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Tuttosport rend hommage à Piero Ausilio
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Et oui, notre ami Piero est depuis 2010 le Directeur Sportif de l'Inter et celui-ci a tout connu: De Massimo Moratti à Erick Thohir sans oublier l'Ere actuelle de Suning. Et si, exception faite de Luciano Spalletti, peu d'entraineur ont changé de club cet été, les Directeurs Sportifs, eux, ont eu la bougeotte La Juve, le Milan, la Lazio et le Napoli ont tous changé de directeur sportif et Piero Ausilio peut donc célébrer un record bien particulier: Il est le plus ancien Directeur Sportif du Calcio au sein d'un même club: "L'Interiste a hérité du trône laissé libre d'Igli Tare, qui a rompu le cordon ombilical avec la Lazio à la fin de la saison dernière, lui qui était en poste depuis 2009." Piero Ausilio a connu les derniers faits de gloire de Massimo Moratti, la brève Ere Thohir avec "l'Indonésien qui a eu le mérite de transformer l'Inter d'entreprise "familiale" vers une entreprise de "business", et également l'ère Suning, qui a commencé en fanfare et qui se poursuit sous le signe de l'autofinancement. Depuis 2017, Ausilio est assisté par Dario Baccin en tant que Directeur-Sportif Adjoint, mais "c'est toujours lui qui a géré les négociations, en personne, en réalisant des coups très importants pour le club Nerazzurro comme Lautaro Martinez et Achraf Hakimi", dont la vente prématurée fait encore saigner le cœur du joueur et aussi celui d'Ausilio. Ses détracteurs ne lui pardonnent pas le choix d'insérer Zaniolo dans la négociation avec Nainggolan: "Un joueur qui se sera avéré toutefois fondamental la saison suivante pour se qualifier en Ligue des Champions" Mais surtout ces dernières années, notre Directeur Sportif a toujours dû agir avec une épée Damoclès et se montré vif dans l'anticipation étant donné les enjeux très rigides dans lesquels il se doit de se mouvoir: "Et il en est toujours sorti vainqueur, ce qui dans le Monde du Calcio n'est pas rien..." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 5 commentaires
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L'Inter veut se rajeunir....
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Car ce n'est pas bon de ressembler à une Vieille Dame! Plus sérieusement, l'objectif principal de l'Inter en cette session de mercato estival est de rajeunir la moyenne d'âge de l'effectif et de baisser sa masse salariale.C'est pourquoi Marcelo Brozovic pourrait bientôt quitter Milan pour faire de la place pour Davide Frattesi. Mais le Croate ne sera pas le seul adieu chez les Nerazzurri Danilo D'Ambrosio Arrivé à l'Inter en janvier 2014 et il y est resté neuf ans et demi, accumulant 284 apparitions et 21 buts. Devenu vice-capitaine et son nom est associé à un arrêt retentissant des couilles lors d'Inter-Empoli, le dernier match de 2018-19, qui a permis à la formation de Luciano Spalletti de décrocher la qualification pour la Ligue des Champions. Sur le terrain et dans le vestiaire, il a joué un rôle clé: "A 34 ans et demi, quelqu'un comme lui n'aura pas de mal à trouver une autre équipe de Serie A" Edin Dzeko Le Bosniaque, qui semblait ces derniers mois à deux doigts d'une prolongation d'un an, a été officiellement libéré par le club, qui a informé son agent de sa volonté de ne pas prolonger Samir Handanovic Même si la décision finale sur ce dernier n'a pas encore été prise: Arrivé à la Pinetina en 2012 en provenance de l'Udinese, il a fait l'objet d'un dernier renouvellement en mai 2022, pour un an, alors qu'Onana avait déjà été acheté. André devenu titulaire indiscutable: "Handa, à presque 39 ans, n'est plus... indispensable même s'il est considéré comme un élément important dans le vestiaire" Est-ce selon vous, une bonne idée de se séparer également de Danilone et de Samir ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 10 commentaires
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Objectif Seconde étoile pour la saison 2023/2024 !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, qu’il s’agisse de Steven Zhang ou de Simone Inzaghi, la performance européenne de l’Inter, cette saison, a mis en valeur la qualité de son noyau et l’objectif de la saison à venir est clairement défini : La Seconde étoile. Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, si la désillusion est toujours présente suite à la Finale de la Ligue des Champions, l’objectif principal de l’Inter reste le même : le Scudetto qui ouvre la voie à la Seconde étoile. Le parcours de l’équipe en Coupe d'Europe confirmant le fait que l’organigramme Nerazzurro est l’un des meilleurs d’Italie. "Pour faire quelque chose de plus grand il faut que les meilleurs joueurs soient maintenus dans le noyau, il s’agira d’un mercato fait de choix dans les pures limites d’un fair-play financier à respecter." - Steven Zhang. Et le focus dédié ciblera un rempart bien spécifique : l’attaque qui était le point faible de cette Finale de la Ligue des Champions. D’autant plus qu’à Appiano et encore plus à la Viale della Liberazione, tous sont convaincus d’avoir jeté par la fenêtre le Scudetto 2021/2022 qui s’est retrouvé à Milanello bien plus par un démérite Nerazzurro que par un mérite Rossonero, tout comme cette troisième place cette saison qui ne satisfait personne, si ce n’est qu’elle permet à l’Inter d’axer le plus important : La qualification à la Ligue des Champions 2023-2024. Car si le Napoli a maintenu un rythme de croisière probablement intraitable, l’équipe qui a su mettre les nerfs à vif au mastodonte City, aurait dû terminer la saison avec un écart bien inférieur aux 18 points de retard qui la sépare de l’équipe de Luciano Spalletti, avec par-dessus tous les 12 défaites au compteur en 38 journées. Elle aurait dû être en lice pour le Scudetto au moins jusqu’à la fin du mois de mars. Toutefois, comme le révèle la presse italienne, grâce au chemin parcouru dans les différentes Coupes et avec 2 trophées en plus dans l’armoire, Simone Inzaghi s’est assuré le renouvellement de son contrat. Steven Zhang, lui, est également confiant sur le fait que ce qu’il s’est passé à Istanbul, une fois la défaite digérée, aura un effet positif sur tous car ce KO face à City ne pourra que faire augmenter la confiance du groupe en ses propres moyens, le rendre plus fort et lui faire augmenter "sa colère compétitive" afin de pouvoir prendre sa revanche. A son niveau, Simone Inzaghi, qui est reconnu comme l’Homme des Coupes, souhaite à présent s’inscrire dans la lignée des entraineurs qui ont remporté le Scudetto, une lignée qui outre les solides Massimiliano Allegri et Antonio Conte, a vu Maurizio Sarri, Stefano Pioli et Luciano Spalletti faire considérablement accroitre cette liste. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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En effet, la Serie A 2022/2023 s'est terminée le week-end dernier avec la consécration du Napoli de Luciano Spalletti. Si cette saison a été anormale de part la présence de la Coupe du Monde en plein hiver, la saison 2023/2024 sera un championnat des plus classiques. Celui-ci débutera le week-end du dimanche 20 août 2023 pour se clôturer le week-end du dimanche 26 mai 2024. Voici le détail Dimanche 20 août 2023: 1ère journée Trêve internationale: 10 septembre 2023 Trêve internationale: 15 octobre 2023 Trêve internationale: 19 novembre 2023 Samedi 30 décembre 2023 : journée de championnat Samedi 6 janvier 2024: Journée de championnat (sans la présence de l'Inter, de la Lazio, du Napoli et de la Fiorentina engagée en Super Coupe d'Italie) Dimanche 26 mai 2024: Dernière journée de Serie A L'Inter parviendra-t'elle a décrocher sa seconde étoile ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Mario Balotelli : "Entre City et l'Inter ? Je reste neutre !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Notre ancien interiste Mario Balotelli, interrogé par la Gazzetta dello Sport, évoque la finale de la Ligue des champions ainsi que Edin Dzeko, l'Inter et l'Italie. Inter ou City ? "J'ai reçu tellement d'invitations pour la finale à Istanbul, je suis indécis. Je pense que je vais m'asseoir au centre du stade, pour éviter les malentendus. Mon cœur est partagé en deux, il vaut mieux ne rien dire d'autre. Ma tête dit que j'aimerais qu'ils gagnent tous les deux mais c'est impossible." Maintenant, l'Inter est en forme. "Sans aucun doute. Et elle a beaucoup de joueurs qui font la différence. A commencer par mon ami Dzeko, mais je ne négligerais pas Lukaku et le déchaîné Lautaro : le deuxième but contre la Viola était magnifique." Tout le monde voit City gagnant. "L'expérience me dit qu'en finale, sur un seul match, il vaut mieux arriver outsiders. En tout cas, l'équipe de Guardiola joue un super football mais celle d'Inzaghi est aussi très efficace." Que retenez-vous de votre Nerazzurra Champions League ? "Le but contre Rubin Kazan m'a fait sentir comme un protagoniste, pour moi c'était une expérience merveilleuse : un garçon qui touche le ciel avec un doigt. Et puis en soulevant cette coupe, j'ai encore des frissons." Immédiatement après le roi de la Premier League à City avec Dzeko... "Il y avait un sentiment incroyable avec Edin. Quand il est venu en Italie chez des amis romains, je l'ai dit immédiatement : attendez-le, c'est un phénomène. Même à Milan, il fait la différence. J'ai beaucoup de bons souvenirs cette année-là, à commencer par ce doublé à United." Vous étiez à San Siro au derby. "L'ambiance des meilleures soirées. J'ai vu beaucoup de monde, Leao entre autres. Je lui ai conseillé de rester à Milan : il y a une équipe avec des perspectives, avec quelques renforts ils peuvent avoir leur mot à dire n'importe où." Haaland contre tout le monde : est-ce vraiment comme ça ? "Erling est extraordinaire. Mino Raiola avait aussi une grande intuition sur lui. Les assisteurs ne manquent pas à City : Guardiola sait bien le servir et c'est un sniper redoutable." Alors la clé du match ? "Je n'ai pas dit ça. L'Inter a aussi des attaquants de haut niveau. Ils seront très opportunistes." Qui est l'attaquant le plus fort du monde ? "Les chiffres disent Haaland mais pour moi c'est une question de goût. Osimhen, par exemple, est spécial. Il peut tout faire sur le terrain, un peu comme moi dans mes belles années. Et puis c'est un garçon unique." Vous êtes-vous réjoui pour le Scudetto de Naples ? "Bien sûr. Je me sens lié à la ville. Avec ma fille, une partie de Naples est toujours avec moi. Et puis l'équipe de Spalletti a tout mérité." D'autre part, depuis combien de temps n'avez-vous pas parlé à Roberto Mancini ? "J'attendais son appel avant la Macédoine. Je ne sais pas ce qui s'est passé." Votre amour pour l'équipe nationale est resté intact. "Bien sûr. Le maillot est une chose, puis les relations avec les personnes en sont une autre." Retournerez-vous en Italie ? "Doucement, j'ai encore un an de contrat avec Sion. Mais la Serie A resterait un objectif passionnant." Traduction alex_j via FCInterNews.- 15 commentaires
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Luciano Spalletti, né le 7 mars 1959, est un footballeur italien devenu entraîneur. Joueur de Serie C1 du milieu des années 1980 jusqu'au début des années 1990, c'est en tant qu'entraîneur qu'il acquiert une certaine notoriété dans le milieu du football, notamment en officiant sur le banc de l'AS Rome. Biographie Joueur en Serie C Luciano Spalletti commence à jouer au football à l'âge de 12 ans dans un petit club de Toscane au poste d'attaquant. Rapidement repéré par les recruteurs de la Fiorentina, il intègre son centre de formation et est repositionné au milieu de terrain. Milieu de terrain travailleur, Luciano Spalletti fait sa carrière de joueur dans les divisions inférieures d'Italie. Il passe par Virtus Entella, Spezia, club où il devient capitaine emblématique, Esperia Viareggio et Empoli. Il prend sa retraite à l'âge de 34 ans. Des débuts réussis en tant qu'entraîneur Luciano Spalletti commence sa carrière d'entraîneur à l'Empoli, dernier club dans lequel il ait joué, en 1993. Il endosse d'abord les rôles d'adjoint et de formateur avant de prendre les rênes de l'équipe en 1995 L'équipe évolue alors en Serie C1. Dès sa première saison il finit deuxième du championnat et accède ainsi à la Serie B. L'exercice suivant en deuxième division se conclut également par une promotion, le club toscan finit en effet deuxième et accède ainsi à la Serie A. Pour sa première saison dans l'élite, il termine à la 12e place et maintient ainsi son club en première division. Une confirmation difficile Le jeune entraîneur est désireux de prendre en mains une équipe plus ambitieuse et signe ainsi avec la Sampdoria à l'été 1998. Mais Luciano Spalletti connaît à Gênes son premier échec, il est en effet limogé au bout de 28 journées et le club ligurien finit relégué en fin de saison. Il signe ensuite au FBC Unione Venezia, mais le Toscan est démis de ses fonctions en mars 2000 et le club encore rétrogradé en Serie B à l'issue de la saison. Luciano Spalletti se retrouve sans club. Il s'engage durant la deuxième partie de saison 2000-2001 à l'Udinese Calcio à la suite du licenciement de Luigi De Canio et les sauve de la relégation. Le technicien fait ses valises pour l'AC Ancône, qui évolue au deuxième échelon national, et y réalise une saison moyenne, finissant à une modeste 8e place. Une carrière relancée à l'Udinese Il mène l'Udinese Calcio à la quatrième place synonyme de qualification pour la Ligue des champions. Le succès à la Roma Spalletti signe à l'AS Rome lors de l'été 2005. Il démissionne de son poste en août 2009 en regrettant le manque de moyens mis à sa disposition par la direction du club romain. Le succès en Russie En décembre 2009, Spalletti devient l'entraîneur de Zénith Saint-Pétersbourg. Il remporte deux fois le championnat russe en 2010 et lors de la saison 2011-2012. Il est limogé du club après avoir perdu la première place du championnat le 11 mars 2014. Retour à la Roma Le 14 janvier 2016, il est nommé entraîneur de l'AS Rome en remplacement de Rudi Garcia Palmarès Empoli FC Serie C1 Vice-champion : 1996. Coupe d'Italie de Serie C Vainqueur : 1996. Serie B Vice-champion : 1997. AS Rome Serie A Vice-champion : 2006, 2007 et 2008. Coupe d'Italie Vainqueur : 2007 et 2008. Supercoupe d'Italie Vainqueur : 2007. Finaliste : 2006 et 2008. Zénith Saint-Pétersbourg Premier League Champion : 2010, 2011-2012. Coupe de Russie Vainqueur : 2010. Supercoupe de Russie Vainqueur : 2011. Finaliste : 2012 Posté le 23 mai 2017 par Antony GILLES Sources associé(e)s: Wikipedia
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Giuseppe Marotta s’est livré à Radio Anch'io Sport sur Rai Radio 1 sur la fin de saison à venir et la situation entourant actuellement l’Inter Citizen "Dans le sport, il y a le besoin de jouer chaque compétition jusqu’au bout : Nous avons un très grand respect et de la crainte pour ce grand Colosse qu’est Manchester City : Un colosse en terme financier et un monstre de puissance technique. Mais nous sommes préparés à faire face à un adversaire plus fort que nous, nous irons sur le terrain en mettant des valeurs qui, dans le sport, sont encore bien plus importantes: Comme la motivation, l’attachement au maillot et une très grande organisation footballistique." Inter-Atalanta "Nous sommes conditionnés par la volonté du Diffuseur et cette compression de matchs rapprochés mets en péril l’intégrité physique de nos joueurs : En tant que Lega, nous nous devons de tirer le meilleur parti de cette ressource fondamentale qu'est la vente des droits télés, et les Diffuseurs ont pour mission de planifier et de mettre en place des calendriers en tenant compte des audiences les plus importantes : Mais Il faudrait parvenir à trouver un juste milieu, en tenant compte également des risques compétitifs qu’encourent les différents clubs" David contre Goliath Manchester City est-il plus fort que le Fc Barcelone ou le Real Madrid que vous aviez affronté lorsque vous étiez à la Juve ? "Lorsque j’étais à la Juve, nous avions fait face à ce qui était l’expression du football le plus redoutable : Actuellement, City est une grande puissance footballistique, non seulement du point de vue de son chiffre d'affaires, qui avoisine les 800 millions d'euros: Il dispose donc d'un pouvoir d'achat considérable qui lui permet d'acheter des joueurs de très grande qualité : A mon avis, il possède les meilleurs joueurs d'Europe, un effectif de très grande valeur. Et tout cela nous donne une très grande surmotivation." Est-ce que la Finale de la Ligue des Champions peut distraire l’Inter du Rush Final en championnat et de la Finale de la Coupe d’Italie ? "C’est le risque sportif : Lorsque tu sais que tu dois faire face à des rendez-vous d’importances différentes, c’est tout à fait normal que ta concentration se dirige vers le rendez-vous le plus important. Il revient aux capacités de l’entraineur, du Club et de l’équipe de parvenir à trouver la juste motivation pour faire face à tous ces engagements étape après étape : La rencontre de mercredi est importante car c’est la Coupe d’Italie. Et c'est un titre de grand prestige et nous ferons face à un adversaire de haute valeur qu’est la Fiorentina." Mercato Frattesi et Scalvini sont-il des noms Da Inter? "Nous parlons de deux jeunes très très intéressants, mais il y en a aussi d’autres. Hier, nous avons assisté à une belle prestation de nos ’U-20 face au Brésil : Ils sont tous les deux suivis par de très nombreux clubs, il n’y a pas que l’Inter qui a ses yeux fixés dessus. Ensuite, à partir de la vision, nous devons passer à la négociation, mais pour l'instant, nous n’y sommes pas encore." Big Rom "Il aime énormément le maillot qu’il porte, il se trouve très bien à l’Inter et il veut rester avec nous : Comme vous le savez, le joueur est en prêt jusqu’au 30 juin, ensuite il rentrera à Chelsea et nous ne savons pas encore ce qu’il se passera du point de vue technique avec ce club : En ce moment, nous sommes à la fenêtre." Simone Inzaghi "On ne peut pas évaluer la prestation d’une saison sur un simple match, même si c’est la Finale d’Istanbul : Arriver en Finale est une question de très grand prestige aussi pour les entraineurs et donc pour Simone Inzaghi qui se l’est amplement mérité. L’évaluation que nous avons faite de lui est extrêmement positive." "Et ce même s’il y a eu une période où les choses n’allaient pas bien, avec un débat plus fort et plus direct au sein même du Club, mais avec des critiques toujours propositive : Inzaghi a démontré d’être à la hauteur de son rôle et le Club lui a reconnu qu’il a été capable de remettre le club sur les bons rails." Main Sponsor Vu l’attente d’un sponsor, est-ce qu’un symbole d’une œuvre de bienfaisance pourrait apparaitre sur le maillot à Istanbul ? "Non, en réalité, la branche Corporate du Club négocie avec différentes sociétés et elle parraine des activités, mais il s’agit de négociations dont je ne sais pas très bien si elles seront finalisée d’ici au 10 juin." Implosion Napolitaine "J’ai la chance de connaitre aussi bien Spalletti que De Laurentiis, j’espère pour le bien du Calcio qu’ils pourront continuer à travailler ensemble car ce sont deux valeurs ajoutées de notre Calcio : Le fait de les voir se séparer me génère un peu d’amertume : Ils ont réalisé une très grandissime emprise qui a été le fruit de grandes compétences et de professionnalisme." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Après le discours d'Alessandro Antonello, Beppe Marotta était l'invité à l'événement "Il Foglio Sportivo a San Siro" qui a vu tour à tour de nombreux protagonistes du monde du sport. Voici ses mots, celui qui vient d'être nommé chevalier de la République italienne : "Ça veut dire que l'âge avance", sa plaisanterie. Comment vous sentez-vous après la nuit dernière ? "Nous nous sentons heureux mais pas euphoriques car nous avons gagné le match aller et ne sommes pas encore qualifiés. La performance a été positive, de bon augure pour le match retour que nous devons affronter dans le respect de l'adversaire. J'avais obtenu un résultat qui a été inversé dans le passé, à la Juve par exemple." Qu'aviez-vous de plus que Milan ? "Je pense que l'approche a été décisive, nous avons pris les devants, 2-0, et cela a déstabilisé Milan qui est une équipe forte." Regret? "À mon avis, la performance qui a généré ce résultat est importante. Nous avons été faciles pour contrôler les pièges du Milan en deuxième phase, c'est réconfortant en vue du match retour. Milan aura une charge plus forte." Inzaghi sera-t-il l'entraîneur de l'Inter la saison prochaine ? "Je pense que oui, les évaluations ne se font pas sur un épisode ou un match, mais sur la façon dont nous travaillons et sur le professionnalisme. Inzaghi est bon. Il y a une petite ombre mais pas seulement pour l'Inter qui n'a pas été protagonistes en championnat, où le Napoli a fait un parcours extraordinaire. Nous n'étions que des spectateurs comme les autres top teams. Pour le reste, la saison est positive." Hier, deux joueurs libres comme Dzeko et Mkhitaryan ont marqué. "C'est un modèle que nous avons adopté dans l'objectif de durabilité. Avec Ausilio et Baccin, nous sommes allés à la recherche de ces profils qui ne coûtaient rien, mais qui représentaient des joueurs de valeur. Je fais également référence à Onana, Acerbi et Darmian. De nombreux éléments qui ont un impact d'un point de vue économique." Onana partira-t-il pour 40 millions d'euros ? "C'est difficile d'émettre des hypothèses mais nous n'avons reçu aucune offre et le gardien veut rester ici. Nous ne voulons pas le mettre sur le marché." Giuntoli vous a-t-il surpris ? "C'est un professionnel prudent, il fait des évaluations risquées dans un contexte où il a pu très bien travailler. Spalletti, que je connais très bien, est aussi très bon. Naples le méritait." La Sampdoria est malheureusement en B. "Je suis vraiment désolé parce que la Sampdoria est une belle réalité dans le football. Je suis désolé que tu risques d'être exclu du football qui compte mais je n'en connais pas les causes. Je suis aigri et inquiet, ça m'énerve, imaginez que ça puisse disparaître." Un souvenir de Perrone. "Nous avons le même âge, j'ai vécu de nombreux moments d'amitié avec lui." Lapo Elkann a déclaré que la Juve avait beaucoup perdu avec vottre départ et que vous aviez beaucoup donné à l'Inter. "Je crois que ce sont des coïncidences. Comme beaucoup d'autres managers, j'exerce mon travail avec passion et dévouement. Ce sont des prérogatives fondamentales pour obtenir des résultats, les détails font la différence. Quiconque veut être manager ne doit pas lésiner sur le temps disponible mais il faut faire attention. Le fait que la Juve ne va pas bien et l'Inter soit son contraire est une coïncidence." L'épilogue de Conte à Tottenham vous a-t-il surpris ? "Je suis désolé parce que ce passage n'était pas si bon, cela a aussi influencé sa décision. C'est un grand professionnel, il vit son travail avec une grande intensité. S'il a décidé de s'installer avec Tottenham, il avait ses raisons, pour moi il reste un des plus importants." Spalletti, quel avenir ? "C'est un autre entraîneur important. Je l'ai rencontré en 1998, puis à l'Inter. C'est un entraîneur complet, avec un leadership solide et des compétences technico-tactiques. Il méritait ce championnat." Traduction alex_j via FCInterNews.
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L’Inter félicite le Napoli pour la conquête du Scudetto
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, à travers un message hier soir sur ses réseaux officiels , l’Inter a tenu à féliciter le Napoli pour son troisième titre historique de Champion d’Italie : "Le Président Steven Zhang et tout le Club félicitent le Napoli et Luciano Spalletti pour la conquête du Scudetto" A travers une dépêche envoyé à l’Ansa, Giuseppe Marotta a tenu également à s’exprimer publiquement : "Je tiens à féliciter le Napoli, le Club, l’Entraineur et l’équipe pour cet exploit historique : Ils ont mérité de remporter ce Scudetto vu le parcours extraordinaire qu’ils ont réalisé." Stefano Pioli, Luciano Spalletti, Antonio Conte, manque plus qu’Inzaghi et tous les entraineurs de Suning auront remporté au moins une fois le Scudetto ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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En effet, malgré un parcours des plus tumultueux en Serie A cette saison, Simone Inzaghi a atteint cette barrière symbolique des 500 points en carrière comme le révèle la Rosea "L'entraîneur de l'Inter a accumulé ce demi-millier de points en 267 matchs, et ce compris, le match de dimanche dernier face à son ancien club, la Lazio, en montant de la sorte sur le podium des entraineurs les plus précoces d’Italie à y être parvenu: Il n'est devancé que par Maurizio Sarri et Carlo Ancelotti, avec respectivement 255 et 256 matches. Mais c'est aussi en lisant les noms qui le suivent que l'on se rend compte de la grandeur de cette performance, car il ne lui a fallut que sept années dans la profession : Le top 5 est, en effet, complété par Roberto Mancini et Massimiliano Allegri, puis Luciano Spalletti, Walter Mazzarri, Gian Piero Gasperini, Stefano Pioli et Luigi Delneri." "On peut également jeter un coup d'œil sur la moyenne de points de tous les entraîneurs ayant disputé au moins 100 matchs match en Serie A : Là aussi, Simone Inzaghi figure dans le top 10, mais à un rang inférieur, ce qui est compréhensible : Il y occupe la neuvième place précisément, avec un coefficient de 1,87 points par match. Au palier des deux points par matchs, on retrouve le leader incontesté Antonio Conté suivi d’Allegri, Carlo Carcano, Fabio Capello, José Mourinho, Maurizio Sarri, Carlo Ancelotti et Carlo Parola." "Il est curieux que ces objectifs apparaissent précisément au cours d'une saison où la progression enchampionnat risque d'être un boulet "moqueur" dans l'évaluation de ses performances. Se vanter de ses réalisations n'est pas exactement un symbole d'humilité, mais ces chiffres parlent en sa faveur et si à la fin de la saison, la cinquième place est évitée, ces chiffres brilleront d’autant plus sur le torse de l’ancien joueur âgé de 47 ans." Le Saviez-vous ? Comme nous le révèle Tuttosport: Outre le fait qu’il ait atteint les 500 points en un temps record, "Simone dirigera ce soir la 100ème rencontre sur le banc de l’Inter. A la fin de la saison, il aura égalé Mourinho (108) et pourrait même le dépasser en allant à Istanbul. Et il sera parvenu à dépasser Antonio Conte (102) et Giovanni Invernizzi (107), tous des entraîneurs qui, contrairement à lui, ont remporté le Scudetto, le premier "péché capital" imputé à Inzaghi il y a une saison." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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En effet, Simone Inzaghi sait comment motiver ses Etalons, alors que l’équipe, voire même toute la Serie A, a été assommée par l’incroyable performance du Napoli de Luciano Spalletti! Un Pazzo pour la Pazza Comme le révèle du Corriere Della Sera : "Avant le huitième de finale aller contre Porto, Inzaghi avait dit "Nous pouvons viser la Ligue des Champions" mais il semblait être le seul à y croire. A présent, s'il parvient à la jouer, un Oasis pourra rester au cœur de Milan sans la moindre trace d'ombre d'un désert autour d'elle car après un Scudetto jeté aux oubliettes il y a un an, il n’a pas su saisir sa deuxième chance en championnat, alimentant les doutes sur sa capacité à maintenir le groupe sur les rails lorsque le calendrier s'intensifie. Mais les trois trophées remportés pourraient devenir quatre, à Rome le 24 mai, et même grimper à cinq, le 10 juin à Istanbul." Comment Ken la Vieille… La Gazzetta Dello Sport a également relayée la déclaration de Simone aux siens avant de rencontrer la Juventus à Milan: "Nous ne les avons pas encore battus cette année et le moment est venu de le faire. Nous allons à Rome pour défendre notre Coupe. Et il est important de souligner qu’il l’a nommé NOTRE parce que l'Inter est l'équipe qui détient le titre après sa victoire de la saison dernière, précisément contre les Bianconeri." "Ces phrases ont été sa cerise sur le gâteau, son coup de pinceau décisif après la séance d'entraînement au cours de laquelle l'entraîneur de Piacenza avait compris que le niveau de motivation du groupe était très élevé. Le tout sans oublier une sérénité retrouvée après la victoire à Empoli. Ajoutez à cela le blason de l'adversaire qui a contribué à augmenter le niveau d'attention du groupe…" Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y est parvenu ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Nouvelle polémique qui marquera une nouvelle fois le Derby d’Italie ! Si celle-ci n’as pas eu lieu sur le terrain, c’est bel et bien dans le tunnel qu’il fallait se trouver pour assister à ce si beau spectacle Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Après les insultes honteuse de Marco Landucci envers Luciano Spalletti, un autre membre du Staff Bianconero a été le protagoniste d’un épisode des plus désagréable : Massimiliano Allegri! Allegri ne traverse pas un moment de sérénité, tout a eu lieu comme souvent, dans le tunnel et si on ne sait pas ce qui a déclenché la colère noire de l’entraîneur, celui-ci était évidemment bien plus nerveux que ce qu’il n’a laissé paraitre à la télévision et en conférence de presse." "En rentrant vers les vestiaire, il s’est pris la tête avec un dirigeant de l’Inter : Dario Baccin, avec qui il avait également échangé des politesses à la fin du match aller lors des expulsions de Samir Handanovic et Romelu Lukaku: Cette fois, des insultes ont été proférées et les personnes présentes rapportent que tout le monde en a eu pour son grade, même Giuseppe Marotta avec qui il a pourtant travaillé à la Juventus, et avec qui il avait jusqu’alors toujours entretenu d’excellentes relations." "En effet, l’Administrateur-Délégué avait tenté de le recruter à l’Inter avant que "Max" ne signe de nouveau avec la Juventus, il est allé jusqu’à insulter l’équipe avec des insultes des plus éloquentes." “Siete delle m…, ma tanto arrivare sesti” "Vous êtes des merdes…vous finirez sixième ! C’est ainsi que l’entraineur aurait soulagé sa colère en rentrant dans son vestiaire, où les siens en auraient aussi pris pour leur grade. Il les a d’abord réprimandés avec des mots extrêmement dur vue la performance et la défaite avant de revenir à la charge en visant l’Inter : "Nous devons être devant eux en championnat, nous devons les empêcher de se qualifier pour la Ligue des Champions." "Est-ce que les inspecteurs fédéraux ont assistés à tout cela et est-ce que cela finira dans le rapport arbitral ? Cette réponse sera connue dans quelques jours, mais il est certains qu’un Inter-Juve ne se terminera jamais sans querelles ni polémiques : Et cette fois-ci il s’est de nouveau passé quelque chose, mais loin des caméras !" Mais quel délice les amis ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Juve, Landucci choque Spalletti : "Chauve de M....".
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il y a une phrase injurieuse qui résonne dans les couloirs du Juventus Stadium qui maintenant se retrouve dans un rapport qui comporte trois pages de pièces jointes de Juve-Naples. Épisode très désagréable qui s'est passé dans les couloirs du Juventus Stadium après Juventus-Naples. C'est La Stampa dans l'édition d'aujourd'hui, qui explique comment l'adjoint d'Allegri, Marco Landucci , a attaqué verbalement Luciano Spalletti à la fin du match : "Il y a une phrase offensante qui résonne dans les couloirs du Stade et se retrouve maintenant dans trois pages de pièces jointes de Juve-Naples, rédigées par les quatre émissaires du parquet fédéral de Turin, concernant les mots prononcées par l'entraîneur adjoint de la Juve Marco Landucci, « visiblement agacé par certaines décisions arbitrales », contre Luciano Spalletti, entraîneur de Naples. Les deux, selon le rapport des délégués fédéraux, "se sont retrouvés à environ 1 m l'un de l'autre. À ce stade, Landucci a adressé les mots suivants en vers Spalletti : "Chauve de m... .Spalletti, en empruntant le couloir latéral qui mène au vestiaire de Naples, n'a pas réagi à Landucci". L'épisode malheureux a été "entièrement détecté, de manière claire et sans équivoque", par l'un des quatre Enquêteurs Fédéraux et aujourd'hui, avec le rapport de l'arbitre Fabbri, il sera examiné par le Juge Sportif Gerardo Mastrandrea". Club de M.... Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 14 commentaires
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En effet, même si l’Inter doit encore se qualifier face à Benfica ce mercredi 19 avril, celle-ci observera avec la plus haute attention possible le quart de finale 100% italien opposant le Milan au Napoli de Luciano Spalletti qui aura lieu ce soir et qui pourrait lui proposer un boost mental ! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "La Ligue des Champions se prépare d’elle-même car Istanbul, à présent, n’est plus un rêve mais un objectif fixé où chacun aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du club connait le parcours à suivre. Et il y a une préférence, un désir, pour différentes raisons : L’entraineur, l’ambiance, l’Histoire... et tous, dans cette optique vont dans la même Direction : Celle d’en découdre avec le Milan, de disputer un Derby Della Madonnina en demi-finale pour une revanche, un second acte vingt ans après : L’Inter veut disputer cette demi-finale et l’Inter veut le faire contre l’équipe de Stefano Pioli!" Steven Zhang veut défier le Milan... "Le président Steven Zhang le veut aussi et il ne s’en cache pas, déjà après s’être qualifié face à Porto, il espérait une confrontation face aux Rossoneri dès les quarts de finale. Pour Zhang, le Derby Della Madonnina n'a pas d'équivalent, pas même le Derby d’Italie qui oppose l’Inter à la Juve." De plus, l'idée de pouvoir à nouveau affirmer la Suprématie dans la ville après le succès de Riyad, mais surtout après le Scudetto perdu la saison dernière qui représente sa plus grande déception, est une fascination qui le stimule." .... tout comme Appiano Gentile! "C’est une situation qui séduit aussi entre les murs d’Appiano Gentile car l’on connait tout du Milan, il est encore mieux connu que le Napoli et dans le vestiaire, cette vision est clair et partagée : L'Inter a déjà battu le Milan deux fois cette saison. A Riyad, alors qu'un trophée était en jeu, le match n'a jamais été remis en question." "Et déjà lors du premier Derby du championnat, Lautaro et ses coéquipiers s'étaient inclinés avec des regrets très importants, car tous les protagonistes étaient convaincus d'avoir "donné" ce match à leurs adversaires, en commettant une série interminable d'erreurs." "Les quatrièmes et cinquièmes actes seraient donc les bienvenus, bien plus que la rencontre face au Napoli, qui s’est pourtant incliné au Giuseppe Meazza, mais dont les armes techniques et tactiques sont moins conventionnelles, avec un degré d’agressivité moindre mais généralement plus que redouté." "Et ce raisonnement ne s'applique pas qu'aux joueurs et l’on pense immédiatement à Simone Inzaghi même si, à un tel niveau de compétition, il est difficile d’avoir des préférences. Mais pour l'entraîneur, en passe de partir en fin de la saison, vaincre le rival citadin en demi-finale de la Ligue des champions aurait un goût sucré, un gout bien plus alléchant que la meilleure des friandises." "Ce serait une médaille à garder dans le tiroir, même si à cela ne suffirait probablement pas à changer son destin, étant donné que le club a déjà entamé des contacts à travers l'Europe pour son successeur : Inzaghi lui-même le sait, et les personnes qui l’entourne ne font rien pour s’en cacher." Pour marquer l’Histoire "Le Derby Della Madonnina est dans la tête de tous, entre passé, présent et futur, il est le Jackpot qui te permet de changer le déroulement d’une saison, il est le signal d’alarme qui dit à tous d’évacuer de la Ville, Appiano: Vaincre ou périr, aller en finale ou rendre les armes face à une désillusion des plus grandes…." "Et le Peuple Nerazzurro est prêt à courir le risque, mais tout dépendra de ce que fera le Milan ce soir face à Spalletti, comme tout dépendra aussi du mental de l’Inter qui, en Ligue des Champions, ne lui a jamais fait défaut : Et c’est pour cela aussi pour cette raison que l’on peut déjà entendre ces mots : Donnez-nous le Milan!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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C'est l'analyse de Sport Mediaset, car si le match contre Benfica représente un tournant crucial pour l'Inter et pour Simone Inzaghi, les Nerazzurri auront quoiqu'il arrive, besoin d'un choc immédiat pour faire face à un calendrier démentiel avec potentiellement 14 matches à disputer en l'espace de 50 jours calendrier! En effet, si Benfica devient la clé de voûte de la saison Nerazzurra, l'Inter affrontera ensuite Empoli, la Juventus en Coppa Italia et la Lazio pour clore un mois d'avril des plus enflammé. Et si le mois de mai débutera par un match à domicile contre Vérone, il s'en suivra le déplacement à la Roma d'un certain José Mourinho suivi de la rencontre face à Sassuolo qui sera à jouer entre les éventuelles demi-finales de la Ligue des Champions! Mieux encore, si Naples parvient à se qualifier tout comme l'Inter, Simone Inzaghi affrontera Luciano Spalletti trois fois en l'espace de 11 jours, en tenant compte du match de championnat du 21 mai. Enfin, si l'Inter est parvenue à prendre le meilleur sur la Juventus en Coupe d'Italie, la Finale aura lieu après ce tryptique face au club du Vésuve, s'en suivra quatre jours plus tard l''Atalanta, et le dernier déplacement de la saison face au Torino! Un calendrier fou de matchs à enjeu pour une équipe qui ne se transcende que devant l'adversité! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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C'est la révélation de La Repubblica : "Si Simone Inzaghi est toujours en poste, sur le banc de l'Inter, c'est surtout en raison de son parcours dans les Coupes." "Mais ce n'est pas tout l'autre "assurance" qui a protégé l'entraîneur de Piacenza jusqu'à présent est son rapport avec les joueurs, surtout avec les Sénateurs du vestiaire qui ne l'ont pas lâché, comme le savent les dirigeants. C'est pourquoi un changement d'entraîneur n'a pas encore été sérieusement envisagé, sans oublier le fait que Cristian Chivu, entraîneur de la Primavera, n'est pas non plus considéré comme prêt à jouer ce poste de transition" "Et pour changer d'entraîneur, il faut en trouver un autre, et les consultations ne restent guère secrètes car la Direction de l'Inter voulait éviter de se retrouver dans une situation similaire à celle de 2019, quand Spalletti entraînait dans l'ombre de son successeur, connu du monde entier, au détriment de l'équipe! Roberto De Zerbi est apprécié depuis 2020 au point d'avoir été évalué comme une alternative sérieuse à Massimiliano Allegri lorsque l'on se dirigeait vers le départ d'Antonio Conte... Et lors de son récent voyage à Barcelone, le Directeur-Sportif Piero Ausilio, a rencontré Edoardo Crnjar, l'agent de l'entraineur âgé de 43 ans...." Pensez-vous que Roberto De Zerbi acceptera de prendre les rennes de l'Inter ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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L'ancien entraîneur s'est exprimé sur les pages de La Gazzetta dello Sport sur les matches de la Ligue des champions et la victoire de l'Inter: "Milan et Naples ont joué une première mi-temps de niveau européen. Au début, la domination de l'équipe de Spalletti était évidente : il s'est créé plusieurs occasions et Maignan à était très bon. Milan a cependant su résister et repartir. Et dans une de ces contre-attaques ils ont ouvert le score. Brahim Diaz à été très bon, à mon avis, il a trouvé la position idéale sur l'aile droite. Dans l'ensemble, en première mi-temps, j'ai admiré un spectacle sur la scène internationale. C'est ainsi qu'il faut jouer : avec courage, avec le désir d'étonner et de dépasser ses propres limites". Mais en plus du match à San Siro, la Ligue des champions de cette semaine a également été marquée par une magnifique performance de l'Inter qui s'est soudainement fait admirer par toute l'Italie. Oui, car jusqu'à présent l'équipe de Simone Inzaghi avait été très discontinue et les dix défaites en championnat sont là pour le prouver, mais la victoire contre Benfica dans la pagaille Lisboète était vraiment un bel exploit. L'Inter a joué avec courage, idées et caractère. Et ça n'a pas été facile du tout, car les Portugais sont forts et ont des éléments capables de mettre beaucoup d'adversaires en difficulté. Tous les Nerazzurri ont donné toute l'énergie qu'ils avaient dans leur corps, ce qui, en plus d'être un motif de satisfaction pour l'entraîneur, est aussi une démonstration de grand professionnalisme. Quand on se dépense autant, on est gagnant. Je n'ai aucun doute sur les valeurs techniques des garçons d'Inzaghi, ils sont très bons. Au lieu de cela, je me pose des questions sur leur volonté capricieuse de toujours faire les choses au maximum, comme cela s'est produit à Lisbonne. Sinon comment expliquer les dérapages en championnat ? Les entraîneurs italiens, et cela vaut non seulement pour Simone Inzaghi mais aussi pour tous les autres, doivent regarder la personnalité, la motivation, l'esprit de sacrifice et l'intelligence des éléments à leur disposition, et pas seulement le raffinement des pieds. Ce qui fait la différence, dans le football comme dans la vie de tous les jours, ce sont des valeurs comme le professionnalisme, l'éthique et l'engagement au travail. L'Inter, à Lisbonne, a frôlé les 10, a la note général. Barella, par exemple, a joué un jeu d'une grande intensité, ce qui n'a pas été toujours le cas cette saison. Le milieu de terrain a très bien fonctionné, Mkhitaryan se sacrifiant humblement et Brozovic s'est très bien débrouillé. La défense a bénéficié de l'aide des milieux de terrain et s'est approchée de la perfection. Si on veut vraiment retrouver un cheveu dans la soupe, il faut essayer d'être encore plus compact pour apporter une action pressante efficace. Maintenant, il ne reste plus qu'à terminer le travail et pour ce faire, il ne faut pas laisser Benfica dominer le jeu à San Siro. Le courage montré à Lisbonne, où l'Inter a disputé l'un des meilleurs matches internationaux dont je me souvienne. Un Milaniste Réaliste! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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En vue du match de dimanche soir entre Naples et Milan, La Gazzetta dello Sport a interviewé l'ancien défenseur de l'Inter Andrea Ranocchia. Le joueur a eu les deux entraîneurs à la tête des deux équipes des Nerazzurri, Pioli et Spalletti. Andrea Ranocchia, quels souvenirs gardez-vous de Pioli et Spalletti ? — «En raison d'une question chronologique et de la durée de la relation professionnelle, j'ai pu moins tisser des liens avec l'actuel entraîneur Milanais. Il est arrivé à l'Inter alors que je me dirigeais déjà sur le marché des transferts. À tel point qu'au bout d'un moment, j'ai été prêté à Hull City en Premier League. Mais je l'ai complimenté sur le Scudetto et il m'a écrit après ma retraite. Bien sûr, je parle plus souvent à Spalletti». Avec lequel des deux entraîneurs avez-vous eu le plus de mal à l'entraînement ? — Dès notre arrivée, Pioli nous a presque menacés, il a dit qu'il ne savait pas comment nous nous préparions avant, mais qu'il allait nous "massacrer" physiquement. Il a tenu sa parole. Les deux sont presque obsédés par la préparation du match et l'étude de l'adversaire. Peut-être que Stefano est plus méthodique dans la façon dont il organise son travail quotidien, alors qu'avec Luciano le menu variait un peu plus». Spalletti est arrivé à l'Inter après avoir déjà gagné en Russie et a frôlé le Scudetto avec la Roma. Pioli, en revanche, était moins "formé" à un certain niveau à l'époque. — «C'est vrai, mais le supporter milanais ne semblait pas du tout intimidé par l'environnement. Il avait les idées claires sur le plan footballistique et était très sûr de lui». Quelles différences retiens-tu dans le rapport au vestiaire ? — «Ils ont plus de caractères similaires qu'il n'y paraît. Ils sont très directs et authentiques. En bon toscan, Luciano est plutôt un hôte, enclin à plaisanter. Fascinant avec les joueurs comme on le voit en conférence de presse». Elle a peu joué avec les deux. Votre relation avec l'entraîneur est-elle nécessairement liée à l'espace que vous accordez au joueur ? — "Pour moi non. Ce qui compte c'est le côté humain. J'ai plus joué avec Luciano aussi parce que dans des situations désespérées, il m'a aligné comme attaquant...". Spalletti est également lié au célèbre épisode du fan agressé verbalement lors du camp d'entraînement à Brunico parce qu'il le contestait. — «L'attaque a failli être même physique, il a presque été giflé deux fois...(rires, ndlr). Un épisode que je n'oublierai jamais, qui m'a aidé dans un chemin de renaissance que j'avais déjà entrepris par moi-même. Son travail à l'Inter a été largement sous-estimé. Pour Spalletti, j'irais même à la guerre». Le même sentiment que vous ressentez lorsque vous voyez ses joueurs actuels à Naples? — «Il fait un chef-d'œuvre, ils jouent très bien et on voit qu'il y a une grande unité entre tous les composants. Y compris les fans. Mais Pioli a aussi su créer un groupe très uni à Milan». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Interviewé par le Corriere della Sera, l'ancien attaquant de l'Inter Christian Vieri s'est exprimé sur la belle saison de Naples et les performances de l'Inter d' Inzaghi qui n'a pas été à la hauteur de ses attentes en ce début de saison en championnat. Vous attendiez-vous à un Naples similaire ? — « C'est une voiture parfaite. Je n'ai jamais vu un club apparaître aussi fort après une véritable révolution technique». Giuntoli et Spalletti champions ? — «Giuntoli est un directeur sportif à l'ancienne, il va chercher lui-même les joueurs. Je suis content pour lui, on a joué ensemble à Allievi del Prato : c'était un vieil homme libre, tout en coups et en coups (rires) ». Et Spalletti ? — «Mon père Bob l'estime beaucoup, et mon frère m'a déjà beaucoup parlé de Luciano lorsqu'il était à Ancône. Les équipes de Spalletti jouent bien au football, ça a toujours été comme ça. Son empreinte est très reconnaissable. Il a acquis une expérience totale et sait parfaitement lire chaque détail dans les différents moments de la saison en général ». Est-ce un Napoli qui peut aussi rêver en Ligue des champions ? — "Ce ne serait pas une surprise pour moi, même s'il devra faire très attention à Milan." En parlant d'Inter, une saison difficile à décrypter. — «C'est inacceptable de perdre 9 matchs sur 27 en championnat. L'Inter est une équipe, ils ne peuvent pas laisser cette avalanche de points dans la rue. Je m'attends à beaucoup plus et il ne peut pas y avoir autant de discontinuité». Benfica est-il battable ? — « Un challenge très ouvert. Benfica est fort, c'est le Napoli du Portugal. Là, l'architecte est, sans surprise, Rui Costa, quelqu'un qui a fumé des cigarettes et fait du football toute sa vie (rires)». Lukaku est-il le vrai équilibreur de l'Inter ? — "Jusqu'à aujourd'hui, il a été absent, tout le monde attendait un autre Lukaku". Pendant ce temps, l'aventure de Conte à Tottenham est terminée. Êtes-vous surpris par un tel épilogue ? — «Antonio entre en conflit avec tout le monde, c'est son caractère. Si vous le prenez, vous n'avez pas à vous attendre à quelqu'un qui se tait et tout va bien avec lui. Il est toujours sur les nerfs, c'est sa façon d'être, on aime ou on aime pas. Vous savez qui vous obtenez. Tous les deux ans, vous vous disputez avec tout le monde ? Oui, il part toujours avec des problèmes ? Oui, tu sais qu'il est exigeant, sérieux. Et c'est lourd de l'avoir en société, ça ne permet pas de dormir tranquille. Ce sont des choix. Il y a des entraîneurs comme Conte et Mourinho qui martèlent à toute heure, mettent la pression et exigent toujours le meilleur. Et puis il y a ceux qui sont contents de tout, ils y restent. Chacun s'entraîne et voit le football à sa manière, et cela ne veut pas dire que tel ou tel entraîneur a raison." Chapitre national : que pensez-vous de Retegui ? — « C'est prometteur, impact positif. Un très beau but marqué contre l'Angleterre. Mancio avait encore une fois raison : s'il voit un bon joueur, il le lance sans trop de problème. Dans tous les cas, Mateo doit jouer et encore beaucoup s'améliorer». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.
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En effet, après 27 journées de championnat, le classement révèle que l’Inter se retrouve à la troisième place de la Serie A avec 50 points obtenus via 16 victoires, 2 matchs nul et 9 défaites, dont deux consécutives face à la Spezia et face à la Juve pour 47 buts inscrits contre 31 buts encaissés. Révélation de Fcinternews.it "Ces statistiques font réfléchir sur le courant alternatif de la saison proposé par Lautaro&Cie et plus spécialement si on les compare à la dernière décennies, toujours après 27 journées de Serie A: Pour retrouver quelque chose de pire, il faut retourner jusqu’à la saison 2013/2014 lorsque les Nerazzurri proposaient 44 points en Serie A pour un total de 44 buts inscrits et 29 encaissés, avec une 5ème place au classement avec 60 points obtenus, l'année suivante, l’Inter proposait 37 points pour 42 buts inscrit et 35 buts encaissé. Avec quel résultat ? une 8ème place avec 55 points obtenus." "En 2015/2016, l’Inter parvenait à terminer à la 4ème place de Serie A avec une récolte de 67 points et 48 points obtenus après 27 journées pour 34 buts marqués et 25 encaissés. En 2016/2017, les points en poche, à la même période, de la saison étaient de 51 points pour 46 buts marqués et 28 encaissés combinés à une 7ème place et 62 points obtenu sur l’ensemble de la saison, soit une nouvelle saison décevante." "La situation s’améliorera nettement mieux en 2017/2018 avec l’arrivée sur le banc de Luciano Spalletti et la qualification pour la Ligue des Champions lors de la fameuse confrontation directe de la dernière journée au dépend de la Lazio et le fameux ‘L'ha presa Vecino" avec 72 points en poche et une quatrième place. Toutefois à la 27ème journée, les points récoltés étaient de 52 (soit deux de plus que ceux récoltés actuellement) pour 42 buts inscrits et 21 encaissés. La saison suivante voit l'Inter s'offrir à nouveau la quatrième place avec 69 points en 2018/2019 et 50 points récoltés avec 40 buts inscrit pour 22 encaissés après 27 journées." "En 2019/2020, l’arrivée d’Antonio Conte offre à l’Inter une seconde place avec 82 points et 58 points d’engrangé après 27 journées pour 54 buts inscrits et 28 encaissés alors que l’année du Scudetto remporté avec 91 points proposera une tendance totalement différentes avec 65 points après 27 journées pour 65 buts inscrit et 26 encaissés." "Place enfin au passé très récent et la saison dernière de Simone Inzaghi où l’équipe est arrivée seconde avec 84 points et 55 points récoltés après 27 journées pour de championnat. Pour 56 buts inscrits (9 de plus comparé à maintenant) et 24 encaissés (7 de moins qu’actuellement): Cette dernière statistique doit inviter à un changement de cap immédiat car le mois d’avril s’annonce enflammé avec une saison tout entière remise en question." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Simone Inzaghi n'a qu'une seule façon de rester selon la Gazzetta !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le parcours de l'Inter en Serie A a eu trop de hauts, de bas et de sorties de route. C'est pourquoi les Nerazzurri ne peuvent plus se permettre de perdre des points en route, aussi parce que la course pour se qualifier pour la prochaine Ligue des champions devient difficile. "Sept défaites en vingt-cinq matches, c'est trop pour quelqu'un qui a commencé avec des attentes très différentes. L'Inter a commencé au premier rang dans la course au titre, mais trop de choses n'ont pas fonctionné. D'accord, les blessures auraient pu conditionner la performance mais elles font partie du jeu et elles ont également frappé leurs adversaires dans la course au Scudetto, le Napoli de Spalletti." "Car dans la nuit du 4 janvier, dans la confrontation directe à la reprise de la Serie A, l'Inter avait montré qu'elle était digne du Napoli et avait peut-être même quelque chose en plus. Il s'était ramené à moins huit, suggérant un deuxième tour passionnant. Et au lieu de cela, en deux mois, l'équipe a glissé loin du sommet, perdant des points contre Monza et la Sampdoria (deux nuls) et s'effondrant à domicile contre Empoli et dans le désormais fatal Bologne. Des performances insuffisantes et une attitude pas toujours à la hauteur de l'Inter. Ainsi la qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions est devenue l'objectif minimum pour sauver la saison." "Ce qui est très bien, c'est que l'équipe, les soirs décisifs, a toujours répondu présent. Et c'est ce que l'environnement attend désormais pour ces deux prochains matches. Même Inzaghi attend des confirmations à La Spezia, après la prestation convaincante contre Lecce. En attendant, il faut gagner les deux prochains matchs. Le seul moyen de rester encore à l'Inter." Traduction alex_j via FCInter1908 (La Gazzetta della Sport).- 10 commentaires
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Erick Thohir : "L'Inter me manque beaucoup mais..."
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Présent au lac Toba pour le championnat du monde F1H2O, Erick Thohir est revenu pour parler de l'Inter sur Sportmediaset. Voici ce qu'a dit l'ancien président Nerazzurri. Qu'avez-vous appris de votre expérience en Italie à la tête de l'Inter ? "En Italie, le football est un plaisir et un plaisir pour toute la famille qui va au stade, y compris les femmes et les enfants, alors qu'en Indonésie ce n'est pas le cas. Nous devons essayer de travailler sur cet aspect pour améliorer l'expérience du football indonésien. Nous devons donner aux fans un meilleur spectacle." Suivez-vous toujours l'Inter ? "Certes, nous venons de gagner contre Porto en Ligue des champions : une bonne performance." Elle vous manque ? "Beaucoup, toujours Forza Inter." Avez-vous déjà pensé la racheter ? "Pour le moment, je n'ai pas en tête une reprise de l'équipe car je suis concentré sur les affaires ici en Indonésie. Et puis l'Inter est une famille et pour la suivre, il faut rester à Milan. Pour le moment je dois pense à mon pays. Maintenant, je continue à soutenir l'Inter uniquement en tant que fan." Vous aimez Simone Inzaghi ? "C'est un bon entraîneur et j'aime vraiment son jeu, il a fait un excellent travail ces deux dernières années." Avez-vous toujours des contacts avec Moratti ? Et avec Zhang ? "Malheureusement non, nous n'avons pas eu de nouvelles depuis un moment. Nous échangeons des vœux d'anniversaire et c'est tout. D'un autre côté, pendant la Coupe du monde, j'ai rencontré plusieurs anciens joueurs de l'Inter comme Sneijder et Materazzi et c'était très agréable." Le Napoli de Spalletti est en tête du championnat. Qu'en pensez-vous ? "Il a une énorme avance de points et remportera le Scudetto. Même lorsque j'étais président de l'Inter, Naples avait une équipe solide mais maintenant c'est un groupe très compact. C'est pourquoi cela fonctionne. Spalletti a très bien fait fusionner les joueurs." Traduction alex_j vai FCInterNews.- 5 commentaires
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Lors de Bobo TV et toujours avec son ton mesuré et dans la langue de bois, Antonio Cassano s'est exprimé sur le travail d'Inzaghi et de Marotta chez les Nerazzurri. Il a également évoqué deux noms possibles pour remplacer Inzaghi. Musique maestro ! "Le plus gros problème, c'est l'entraîneur ! Vous gagnez contre Porto et Milan parce que les joueurs se motivent. L'entraîneur n'est pas prêt à entraîner une équipe forte pour gagner. Il a beaucoup de défauts, il lui manque toujours quelque chose. Il a un standard pour sa façon de jouer. La Juve et l'Inter sont de loin les équipes les plus fortes. Inzaghi a une Ferrari en main et la fait passer en seconde alors que Spalletti a une Audi et fonce à toute vitesse. Maintenant, Inzaghi continue de prendre un chemin qui ne mène nulle part. Calhanoglu ne l'a pas découvert, Inzaghi, mais nous ici. Il est incapable de motiver, de donner quelque chose de plus. Dans le football moderne, l'entraîneur doit donner quelque chose de plus. Le vent la pluie, nous ne sommes pas concentré, c'est des conneries tout ça. Marotta, il devrait éviter de parler ! Il dit des conneries ou Juin arrive et lui donne le feu vert pour qu’il se casse ! Je ne peux pas penser qu'il gagne une autre Coppa Italia et qu’on parle d'un chemin positif. L'année dernière, il a perdu le Scudetto contre Milan, cette année contre Naples. S'il m'apporte la Ligue des champions là, et seulement là, je ne le changerai pas. Sinon, il est renvoyé. Il ne sait pas comment coacher une grosse équipe pour gagner. Conte gagne là où il va, Mourinho, Simeone font de même." "Le gros problème de l'Inter ne peut être attribué qu'à l'entraîneur, c'est le plus gros problème. La première année tu as perdu d'un point et il pourrait y avoir, cette année, une catastrophe hallucinante, en Février à -18. Nous ne plaisantons pas. Soit gagner la Ligue des champions, soit au revoir et merci. Je ne peux pas penser que mon équipe a 7 défaites. La Sampdoria ne marquant pas, même pas avec ses mains, ils ont fait 0-0, ils ont fait match nul contre Monza, ils ont perdu contre Empoli à domicile, Bologne lui a donné une tête comme ça. S'il devait quitter la Ligue des champions, Inzaghi devra sortir." "Il y a tellement d'entraîneurs que vous pouvez prendre. L'Inter veut changer de cap ? De Zerbi où es-tu à Brighton ? J'arrive en avion. Tu ne veux pas venir ici ? Je vais à Florence pour prendre Italiano. L'inter n'essaye pas de gagner, quand ils gagnent c'est parce qu'ils sont plus forts. Pas le bon entraîneur pour faire un cycle gagnant. Si vous perdez le scudetto d'un point avec la Juve, ça va. Si vous le perdez contre Milan et Napoli qui sont inférieurs, tout change. Ce n'est pas un entraîneur qui peut continuer avec l'Inter. Marotta et Inzaghi hors de mes couilles. Si j'étais président de l'Inter, je gicle Marotta puis Inzaghi. J'ai pris un risque avec Inzaghi et j'ai été nul, pourquoi ne devrais-je pas prendre de risque avec De Zerbi ?" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
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S'adressant au diffuseur DAZN, Borja Valero nous livre une bien étrange mais amusante anecdote concernant Luciano Spalletti. "J'avais une très longue barbe à cause d'une promesse faite à mes enfants. Quand je suis arrivé à l'Inter, je ne l'avais pas coupée depuis des mois. Cinq jours avant le début du championnat, je l'ai coupée. J'ai raté un ballon à l'entraînement, puis deux, puis trois... A chaque fois Spalletti comptait 'Un, deux, trois...'. A la fin, il m'a dit 'Tu n'aurais pas dû te raser la barbe'. Est-il superstitieux ? Beaucoup!" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.