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  1. En effet, après 27 journées de championnat, le classement révèle que l’Inter se retrouve à la troisième place de la Serie A avec 50 points obtenus via 16 victoires, 2 matchs nul et 9 défaites, dont deux consécutives face à la Spezia et face à la Juve pour 47 buts inscrits contre 31 buts encaissés. Révélation de Fcinternews.it "Ces statistiques font réfléchir sur le courant alternatif de la saison proposé par Lautaro&Cie et plus spécialement si on les compare à la dernière décennies, toujours après 27 journées de Serie A: Pour retrouver quelque chose de pire, il faut retourner jusqu’à la saison 2013/2014 lorsque les Nerazzurri proposaient 44 points en Serie A pour un total de 44 buts inscrits et 29 encaissés, avec une 5ème place au classement avec 60 points obtenus, l'année suivante, l’Inter proposait 37 points pour 42 buts inscrit et 35 buts encaissé. Avec quel résultat ? une 8ème place avec 55 points obtenus." "En 2015/2016, l’Inter parvenait à terminer à la 4ème place de Serie A avec une récolte de 67 points et 48 points obtenus après 27 journées pour 34 buts marqués et 25 encaissés. En 2016/2017, les points en poche, à la même période, de la saison étaient de 51 points pour 46 buts marqués et 28 encaissés combinés à une 7ème place et 62 points obtenu sur l’ensemble de la saison, soit une nouvelle saison décevante." "La situation s’améliorera nettement mieux en 2017/2018 avec l’arrivée sur le banc de Luciano Spalletti et la qualification pour la Ligue des Champions lors de la fameuse confrontation directe de la dernière journée au dépend de la Lazio et le fameux ‘L'ha presa Vecino" avec 72 points en poche et une quatrième place. Toutefois à la 27ème journée, les points récoltés étaient de 52 (soit deux de plus que ceux récoltés actuellement) pour 42 buts inscrits et 21 encaissés. La saison suivante voit l'Inter s'offrir à nouveau la quatrième place avec 69 points en 2018/2019 et 50 points récoltés avec 40 buts inscrit pour 22 encaissés après 27 journées." "En 2019/2020, l’arrivée d’Antonio Conte offre à l’Inter une seconde place avec 82 points et 58 points d’engrangé après 27 journées pour 54 buts inscrits et 28 encaissés alors que l’année du Scudetto remporté avec 91 points proposera une tendance totalement différentes avec 65 points après 27 journées pour 65 buts inscrit et 26 encaissés." "Place enfin au passé très récent et la saison dernière de Simone Inzaghi où l’équipe est arrivée seconde avec 84 points et 55 points récoltés après 27 journées pour de championnat. Pour 56 buts inscrits (9 de plus comparé à maintenant) et 24 encaissés (7 de moins qu’actuellement): Cette dernière statistique doit inviter à un changement de cap immédiat car le mois d’avril s’annonce enflammé avec une saison tout entière remise en question." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Le parcours de l'Inter en Serie A a eu trop de hauts, de bas et de sorties de route. C'est pourquoi les Nerazzurri ne peuvent plus se permettre de perdre des points en route, aussi parce que la course pour se qualifier pour la prochaine Ligue des champions devient difficile. "Sept défaites en vingt-cinq matches, c'est trop pour quelqu'un qui a commencé avec des attentes très différentes. L'Inter a commencé au premier rang dans la course au titre, mais trop de choses n'ont pas fonctionné. D'accord, les blessures auraient pu conditionner la performance mais elles font partie du jeu et elles ont également frappé leurs adversaires dans la course au Scudetto, le Napoli de Spalletti." "Car dans la nuit du 4 janvier, dans la confrontation directe à la reprise de la Serie A, l'Inter avait montré qu'elle était digne du Napoli et avait peut-être même quelque chose en plus. Il s'était ramené à moins huit, suggérant un deuxième tour passionnant. Et au lieu de cela, en deux mois, l'équipe a glissé loin du sommet, perdant des points contre Monza et la Sampdoria (deux nuls) et s'effondrant à domicile contre Empoli et dans le désormais fatal Bologne. Des performances insuffisantes et une attitude pas toujours à la hauteur de l'Inter. Ainsi la qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions est devenue l'objectif minimum pour sauver la saison." "Ce qui est très bien, c'est que l'équipe, les soirs décisifs, a toujours répondu présent. Et c'est ce que l'environnement attend désormais pour ces deux prochains matches. Même Inzaghi attend des confirmations à La Spezia, après la prestation convaincante contre Lecce. En attendant, il faut gagner les deux prochains matchs. Le seul moyen de rester encore à l'Inter." Traduction alex_j via FCInter1908 (La Gazzetta della Sport).
  3. Présent au lac Toba pour le championnat du monde F1H2O, Erick Thohir est revenu pour parler de l'Inter sur Sportmediaset. Voici ce qu'a dit l'ancien président Nerazzurri. Qu'avez-vous appris de votre expérience en Italie à la tête de l'Inter ? "En Italie, le football est un plaisir et un plaisir pour toute la famille qui va au stade, y compris les femmes et les enfants, alors qu'en Indonésie ce n'est pas le cas. Nous devons essayer de travailler sur cet aspect pour améliorer l'expérience du football indonésien. Nous devons donner aux fans un meilleur spectacle." Suivez-vous toujours l'Inter ? "Certes, nous venons de gagner contre Porto en Ligue des champions : une bonne performance." Elle vous manque ? "Beaucoup, toujours Forza Inter." Avez-vous déjà pensé la racheter ? "Pour le moment, je n'ai pas en tête une reprise de l'équipe car je suis concentré sur les affaires ici en Indonésie. Et puis l'Inter est une famille et pour la suivre, il faut rester à Milan. Pour le moment je dois pense à mon pays. Maintenant, je continue à soutenir l'Inter uniquement en tant que fan." Vous aimez Simone Inzaghi ? "C'est un bon entraîneur et j'aime vraiment son jeu, il a fait un excellent travail ces deux dernières années." Avez-vous toujours des contacts avec Moratti ? Et avec Zhang ? "Malheureusement non, nous n'avons pas eu de nouvelles depuis un moment. Nous échangeons des vœux d'anniversaire et c'est tout. D'un autre côté, pendant la Coupe du monde, j'ai rencontré plusieurs anciens joueurs de l'Inter comme Sneijder et Materazzi et c'était très agréable." Le Napoli de Spalletti est en tête du championnat. Qu'en pensez-vous ? "Il a une énorme avance de points et remportera le Scudetto. Même lorsque j'étais président de l'Inter, Naples avait une équipe solide mais maintenant c'est un groupe très compact. C'est pourquoi cela fonctionne. Spalletti a très bien fait fusionner les joueurs." Traduction alex_j vai FCInterNews.
  4. Lors de Bobo TV et toujours avec son ton mesuré et dans la langue de bois, Antonio Cassano s'est exprimé sur le travail d'Inzaghi et de Marotta chez les Nerazzurri. Il a également évoqué deux noms possibles pour remplacer Inzaghi. Musique maestro ! "Le plus gros problème, c'est l'entraîneur ! Vous gagnez contre Porto et Milan parce que les joueurs se motivent. L'entraîneur n'est pas prêt à entraîner une équipe forte pour gagner. Il a beaucoup de défauts, il lui manque toujours quelque chose. Il a un standard pour sa façon de jouer. La Juve et l'Inter sont de loin les équipes les plus fortes. Inzaghi a une Ferrari en main et la fait passer en seconde alors que Spalletti a une Audi et fonce à toute vitesse. Maintenant, Inzaghi continue de prendre un chemin qui ne mène nulle part. Calhanoglu ne l'a pas découvert, Inzaghi, mais nous ici. Il est incapable de motiver, de donner quelque chose de plus. Dans le football moderne, l'entraîneur doit donner quelque chose de plus. Le vent la pluie, nous ne sommes pas concentré, c'est des conneries tout ça. Marotta, il devrait éviter de parler ! Il dit des conneries ou Juin arrive et lui donne le feu vert pour qu’il se casse ! Je ne peux pas penser qu'il gagne une autre Coppa Italia et qu’on parle d'un chemin positif. L'année dernière, il a perdu le Scudetto contre Milan, cette année contre Naples. S'il m'apporte la Ligue des champions là, et seulement là, je ne le changerai pas. Sinon, il est renvoyé. Il ne sait pas comment coacher une grosse équipe pour gagner. Conte gagne là où il va, Mourinho, Simeone font de même." "Le gros problème de l'Inter ne peut être attribué qu'à l'entraîneur, c'est le plus gros problème. La première année tu as perdu d'un point et il pourrait y avoir, cette année, une catastrophe hallucinante, en Février à -18. Nous ne plaisantons pas. Soit gagner la Ligue des champions, soit au revoir et merci. Je ne peux pas penser que mon équipe a 7 défaites. La Sampdoria ne marquant pas, même pas avec ses mains, ils ont fait 0-0, ils ont fait match nul contre Monza, ils ont perdu contre Empoli à domicile, Bologne lui a donné une tête comme ça. S'il devait quitter la Ligue des champions, Inzaghi devra sortir." "Il y a tellement d'entraîneurs que vous pouvez prendre. L'Inter veut changer de cap ? De Zerbi où es-tu à Brighton ? J'arrive en avion. Tu ne veux pas venir ici ? Je vais à Florence pour prendre Italiano. L'inter n'essaye pas de gagner, quand ils gagnent c'est parce qu'ils sont plus forts. Pas le bon entraîneur pour faire un cycle gagnant. Si vous perdez le scudetto d'un point avec la Juve, ça va. Si vous le perdez contre Milan et Napoli qui sont inférieurs, tout change. Ce n'est pas un entraîneur qui peut continuer avec l'Inter. Marotta et Inzaghi hors de mes couilles. Si j'étais président de l'Inter, je gicle Marotta puis Inzaghi. J'ai pris un risque avec Inzaghi et j'ai été nul, pourquoi ne devrais-je pas prendre de risque avec De Zerbi ?" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
  5. S'adressant au diffuseur DAZN, Borja Valero nous livre une bien étrange mais amusante anecdote concernant Luciano Spalletti. "J'avais une très longue barbe à cause d'une promesse faite à mes enfants. Quand je suis arrivé à l'Inter, je ne l'avais pas coupée depuis des mois. Cinq jours avant le début du championnat, je l'ai coupée. J'ai raté un ballon à l'entraînement, puis deux, puis trois... A chaque fois Spalletti comptait 'Un, deux, trois...'. A la fin, il m'a dit 'Tu n'aurais pas dû te raser la barbe'. Est-il superstitieux ? Beaucoup!" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
  6. De la Juventus à Milan, en passant par l'Inter, la Fiorentina et Naples. Les sujets abordés par Giuseppe Bergomi dans son interview exclusive à TuttomercatoWeb.com sont nombreux. Alors, la Juventus ? "Ce n'est pas une situation facile, il y a eu mille problèmes et trouver la continuité n'est pas facile. Il y a des jeunes mecs qui pourtant sentent le vestiaire et le vivent. Contre Nantes, la Juve a fait une bonne première mi-temps, puis elle a baissé, attend l'adversaire... Il faut qu'elle trouve la continuité, mais je comprends les problèmes." Comment jugez-vous la saison d'Allegri, qui se définit de plus en plus comme 'un résultat et c'est tout' ? "Je le respecte. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon d'obtenir un résultat. Si vous regardez la saison des Bianconeri, ils ont fait une erreur complète en Ligue des champions, mais ils seraient deuxièmes en Serie A. Bien sûr, la Juventus commence toujours pour gagner, si elle ne le fait pas, il y a des critiques. Cependant, dans les difficultés, ce n'est facile pour personne. Nous devons tous ramer du même côté et avoir une société cohésive." Comment avez-vous la performance de la Viola contre Braga ? "Sur le papier, je pensais que la Fiorentina avait le match le plus difficile. Mais au lieu de cela, ils ont gagné, jouant avec la bonne hargne, ayant un bon impact sur le match. Il y a des données incroyables sur la Viola : ils sont deuxièmes pour la possession du ballon en Serie A, et ils le font dans la moitié de terrain adverse, ils tirent plus de corners que n'importe qui d'autre, ils sont quatrièmes en termes de tirs... Il n'y a vraiment pas de finition, mais hier tu as trouvé les buts des attaquants. Félicitations !" Maintenant l'Inter. La Curva Nord a pris position contre Inzaghi. Pensez-vous aussi que vous osez trop peu ? "Inzaghi fait un excellent parcours. Il a hérité d'une équipe qui avait remporté le Scudetto mais sans pièces importantes. Il a ramené deux coupes et joué pour le championnat lors de sa première saison, a remporté une coupe, est toujours en Ligue des champions et en Coupe d'Italie en seconde... A Gênes, l'Inter a fait 23 tirs au but, puis nul et c'est de sa faute, mais ce n'est pas comme ça que ça marche, je ne suis pas dupe du résultat, il y a trop de critiques pour l'Inter. Malheureusement, ils ne dribblent pas beaucoup, il faut toujours aller au but par le jeu et ce n'est pas facile. Je suis pour Inzaghi." Est-ce que retirer le brassard de Skriniar et choisir Lautaro comme capitaine du présent et du futur est le bon choix ? "Je pense que oui. L'Inter a reconnu le professionnalisme de Skriniar mais il n'a pas adhéré au projet et c'est donc juste de donner un signal. Il Toro a trouvé la continuité de la performance, il a le caractère requis pour être capitaine." Brozovic et Skriniar, dans un certain paramètre zéro. Soyuncu, Smalling, Pereyra et Kessie sont-ils les bons noms ? "L'Inter devrait être laissée tranquille car ils ont des matches importants à jouer. L'Inter a dû céder lors des derniers mercatos sans accepter de transfert, ce qui les a aidés financièrement parlant. Elle est restée haute, mais rappelons-nous d'où elle est partie. Les noms cités sont tous bons, mais il faut de la sérénité. Tout semble négatif autour de l'Inter dès qu'ils font des plans, mais ils ont tendance à bien fonctionner sur le marché en fonction des ressources disponibles." Le Milan est-il sorti de la crise ? "Ils ont retrouvé leur style et c'était bien. C'est une équipe qui a décidé de se couvrir davantage, je le comprends très bien. Mais en se couvrant ils sont redevenus agressifs. Ce n'est pas ce spectaculaire Milan qui est venu prendre l'adversaire très haut. Mais en attendant il n'encaisse pas de but. Il est sur la bonne voie, mais tout s'est joué en un mois." Napoli peut-il gagner la Ligue des champions? "Le Napoli est notre meilleure équipe, très bien construite. Le mérite revient au club qui a bien travaillé pendant des années, du directeur sportif qui sait choisir et de Spalletti qui est un génie du football. Il trouve de nouveaux postes, il fait en sorte que les joueurs soient au meilleur de leur forme. Il peut aller très loin en Ligue des champions, s'il peut jouer avec tous ses atouts. C'est une équipe européenne, rapide et bien structurée. Je ne sais pas quoi ajouter d'autre." Traduction alex_j via Tuttomercatoweb.
  7. Alors qu’Antonio Cassano a honte de l’Inter de Simone Inzaghi, Raffaele Caruso, éditeur à FCInterNews, nous explique pourquoi Monsieur Cassano ferait mieux de se taire. Au lieu d'être exalté, j'aurais honte parce que j'ai l'équipe la plus forte de la Serie A et je suis à -13 d'une équipe qui a la sixième masse salariale et qui a vendu 6 joueurs. Cette année, vous ne gagnerez probablement pas et vous aurez perdu contre une équipe bien inférieure. Spalletti a clairement indiqué qu'il était dix fois meilleur qu'Inzaghi sur le terrain. Nous connaissons tous Antonio Cassano et avons appris à le connaître au fil des ans. Ses sorties souvent piquantes voire violentes reflètent sa nature "rebelle" et, net de sa sincérité sportive, essayons d'analyser ses propos mais surtout quelle a été la saison de l’Inter sous Simone Inzaghi jusqu'à présent. Commençons par le championnat. Les 6 défaites en 21 matches, c'est trop pour une équipe qui vise à se battre pour le Scudetto. C’est clair. Le début du championnat (défaites contre la Lazio, Milan, Udinese et Roma) a immédiatement compromis le parcours des Nerazzurri, sans oubliés les deux KO ensuite contre la Juventus et Empoli. Celle contre l'équipe de Toscane, quelques jours après le succès à Riyad contre Milan, représente la passe à vide la plus sensationnelle de cette saison. Et pourtant, malgré ces 6 défaites, l'Inter est seule à la deuxième place du classement, à +5 de la cinquième place partagée par l'Atalanta et Milan. Complimenter ses adversaires n'est pas une coutume bien connue en Italie. Le Napoli a mené un championnat extraordinaire jusqu'à présent et les suivre aurait peut-être été impossible pour n'importe quel adversaire. Il suffit de prendre le classement des meilleurs championnats européens pour se rendre compte à quel point ce que l'équipe de Spalletti a fait est quelque chose d'inégalée. 100 points sont projetés à l'issue du championnat, même avec 5 ou 6 points de plus au classement, l'écart aurait quand même été important et la lutte pour le championnat déjà pliée. Bien sûr, les regrets subsistent pour quelques instants et pour certains matches, mais aujourd'hui il n'y a pas d'histoire. Pourtant, beaucoup, Cassano inclus, oublient de mentionner une chose dans leurs analyses. La seule défaite subie par Naples jusqu'à présent (à l'exception de celle survenue aux tirs au but en Coppa Italia contre Cremonese) est celle survenue au Meazza contre l'Inter, sans son meilleur joueur pendant 70 minutes, Lautaro Martínez. La seule occasion notable d'Osimhen et de ses coéquipiers n'est survenue qu'en fin de match avec un tir de Raspadori stoppé par Onana, pour le reste il n'y a pas eu de match et l'Inter a mérité trois points. Contrairement au Napoli et Milan, l'Inter est toujours en lice pour la Coupe d'Italie, elle disputera son match face à la Juventus en demi-finale après avoir déjà remporté une Super Coupe d'Italie cette saison, remportée facilement face à nos cousins à Riyad. Gagner aide à gagner, Inzaghi a remporté son troisième trophée depuis qu'il est sur le banc des Nerazzurri et tentera par tous les moyens de se répéter une fois de plus en Coupe d'Italie. Et puis il y a la Ligue des champions. Cher Antonio, comment un entraîneur qui a viré Barcelone de la Ligue des champions, ce Barcelone que tu as toujours exalté et maintenant premier d’Espagne +8 sur le champion d'Europe, le Real Madrid, peut-il avoir honte ? Dans un groupe, rappelons-le pour les plus distraits, dans lequel le Bayern Munich figurait également. Cela ne devrait pas être un alibi, mais Inzaghi a réussi à terminer la mission sans pratiquement compter, jusqu'à présent, sur Brozovic et Lukaku. Rappelons qu’ils sont deux pions fondamentaux pour l’échiquier tactique des Nerazzurri. Enfin, il y eut de nombreux obstacles à surmonter, le dernier étant le non- renouvellement de Milan Skriniar. Plus aurait pu être fait en championnat, même si la super performance du Napoli aurait pu casser de toute façon. On n'a pas de preuve, peut-être qu'une petite pression sur l'équipe bleue aurait pu faire la différence. Après l'arrêt forcé lié à la Coupe du monde, l'Inter a battu Naples, Milan à deux reprises et l'Atalanta en quart de finale de la Coppa Italia. D'ici mai, l'objectif numéro un est de marquer plus de points en championnat, de gagner une Coppa Italia et d'aller le plus loin possible en Ligue des champions. Les comptes seront fais en fin de saison, comme toujours, mais personne n'a à rougir pour l'instant. Fermons les yeux et imaginons un scénario. Et si Inter-Napoli arrivait en quart de finale de la Ligue des Champions ? Y-as-tu déjà pensé Antonio? Selon toi, l'équipe de Spalletti se qualifierait, Luciano étant "10 fois meilleur" que Simone. Nous avons quelques doutes, en fait nous sommes fermement convaincus que les Nerazzurri passeraient. Pourquoi? Le terrain a déjà parlé et l'Inter n'est pas inférieure au Napoli. Et à votre avis... comment cela finirait-il ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. En effet, c’est la grande révélation de la journée signée la Gazzetta Dello Sport : "Si l’on ne considère pas la saison 2016-2017, vu que Steven Zhang n’était pas encore aux manettes, nous assistons à la pire phase aller de l’Inter du Suning : Bien pire que les 39 points récoltés lors de la seconde saison de Luciano Spalletti." "A présent, remporter les deux coupes italiennes ne suffira plus : Il a été demandé à Inzaghi tout autre chose : Ne pas se terminer en Zone Champion’s serait considéré comme une faillite : Qui plus est, la façon dont l’équipe devra y parvenir sera également analyser: Les joueurs devront y parvenir sans faire preuve d’une anxiété exacerbée et sans même plonger dans des température sibériennes comparé au Napoli : Ils devront jouer les 19 prochaines matchs avec l’état d’esprit d’une équipe qui se bat pour remporter le Scudetto même si à présent la seconde étoile n’est plus qu’un mirage." "La qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions est, par contre, bien plus réaliste vu qu’elle permettrait d’engranger à minima 5 millions d’euros entre les primes en provenance de l’UEFA et les recettes du Giuseppe Meazza car si Porto représente un danger, il n’est pas imbattable." "S’il faudra parvenir à comprendre comment l’équipe peut se montrer si agressive face au Napoli et le Milan comparé à des équipes d’un blason inférieur comme le sont Monza, Vérone, Parme et Empoli, il sera important de compter sur des individualités retrouvés que sont Robin Gosens, Denzel Dumfries et Romelu Lukaku: Romelu semble en avoir terminé une fois pour toute avec ses pépins physique, il doit à présent se mettre des minutes dans les jambes et lancer la machine à but et à Appiano, il y a un programme bien spécifique qui l’attend pour l’installer d’une façon durable au cœur de l’attaque car on ne peut pas compter éternellement sur Edin Dzeko." " Si à ses côtés on retrouvera Lautaro Martinez qui va de certitudes en certitudes, Joaquin Correa réalise continuer a aligner les flops : la destinée des deux argentins est diamétralement à l’opposée. Le troisième argentin, lui, reste un regret car il y a quelques mois il aurait fallu parvenir à trouver une voie de sortie au Tucu afin de ne pas de gâcher la chance Paulo Dybala." Une soufflante aux joueurs Simone Inzaghi s’est entretenu avec les joueurs en leur disant qu'ils devaient absolument réagir après la défaite face à Empoli en Serie A et se ressaisir à l’occasion de la rencontre face à Cremonese Le natif de Piacenza a "insisté sur le fait que louper la Ligue des champions serait un "désastre" car si l'Inter avait abordé le match contre Empoli avec le sentiment qu'il restait un faible espoir de rattraper Naples en tête du classement de la Serie A, ce sentiment laisse à présent la place à l’incertitude de parvenir à terminer dans le Top 4. Et vu la victoire d’une dominante Lazio sur l'AC Milan, combinée aux résultats de la Roma et de l'Atalanta ce week-end, cela signifie que finir dans les quatre premiers est encore moins certain pour les Nerazzurri." "Cet échec ne serait rien de moins qu'un "désastre", une "faillite" pour les Nerazzurri sur le plan financier car le club a planifié son budget en fonction de la manne financière provenant de l’UEFA pour la participation à la plus grande compétition de clubs d'Europe qui parviennent à s’y qualifier: S'en priver, ce serait un énorme coup dur." C’est également pour cette raison qu’Inzaghi a insisté auprès de ses joueurs sur le fait qu'ils ne pouvaient pas se permettre de considérer la défaite d'hier contre Empoli comme autre chose qu'un faux pas temporaire, et qu'ils devaient réagir pour se remettre sur les rails contre Cremonese ce week-end." Validez-vous le comportement de notre Direction : La C1 ou la Porte vu que le Napoli réalise une saison digne du Bayern de Munich en Serie A ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. C'est une information relayée par football-italia.net: "Wanda Nara confirme avoir rompu avec Mauro Icardi, ajoutant qu'il était "plus facile" pour lui de la rendre responsable de son départ de l'Inter." En effet, Wanda Nara a été l'agent de Mauro Icardi pendant de nombreuses années. Elle avait en premier lieu rompu avec son premier mari, Maxi Lopez, alors qu'Icardi jouait à la Sampdoria avant son transfert à l'Inter en 2013. Ce qui avait provoqué un tollé en Italie vu le lien d'amitié qui liait les deux argentins Son interview au Vanity Fair "Mauro m'a demandé de devenir son agent et je suis devenue assez douée pour ajouter ou annuler des clauses: J'ai de la personnalité et de l'intelligence, mais je suis une personne calme, lui a une forte personnalité" Sur le départ de l'Inter Pour rappel "Maurito" a quitté l'Inter pour le Paris-Saint-Germain après que sa relation avec l'entraîneur Luciano Spalletti et le reste de l'équipe implose: "Il a tout fait par lui-même: Je mettais sur papier ses désirs. Bien sûr, il est plus facile de blâmer une fille, surtout dans un monde sexiste comme le football. Il y a quelques années, j'ai dû envoyer un homme me remplacer pour signer un contrat parce qu'un président de club refusait de traiter avec une femme." Un beau gâchis étant donné qu'Icardi a marqué 124 buts en 219 apparitions avec les Nerazzurri en y devenant Capitaine en 2015. Rupture, vraiment ? "C'est rare de voir une femme de footballeur travailler. Je me suis occupée de mes enfants et de mon mari pendant longtemps, mais maintenant je veux retrouver mon temps-libre et continuer à poursuivre ma profession. On m'a proposé de nombreux rôles à la télévision en Argentine, mais Mauro n'a pas aimé. Cela ne signifie pas que j'ignorerais ma famille. Mauro s'entraîne deux heures par jour et il pourrait m'aider, mais il n'aimait pas l'idée de ne pas me voir concentrée sur la famille." "D'un autre côté, je pense que l'indépendance est vitale. Mauro essaie sans cesse de me reconquérir. L'autre jour, il est venu me chercher à l'aéroport avec une voiture pleine de fleurs et m'a emmenée dîner en me disant : "Je n'abandonnerai pas. Cependant, je sais déjà que si nous nous remettons ensemble et que je reçois une nouvelle offre, tout recommencera." Reste juste à présent à savoir quel type de rôle lui était proposé.... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. En effet, la onzième victoire d’affilée, toute compétition confondue du Napoli ont marqué les Bookmakers dans la course au Scudetto L’équipe de Luciano Spalletti est donnée à 2,25 par 888sport.it et 2,40 par Planetwin365 (contre 3,25 il y a une semaine) Le Milan lui passe à 3,20 tandis que l’Inter complète ce podium en étant jugée à 5,75. La victoire de la Lazio face à l’Atalanta lui permet de passer à 16 alors qu’elle était donnée à 50 en début de saison, ils se partagent cette position La Roma est donnée à 14 contre 13 pour la Juve Selon vous, le Napoli va-t’il tenir la cadence ou, comme ce fut le cas à l’Inter, l’équipe de Spalletti va-t-elle s’effondrer en seconde partie de saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. La Gazzetta dello Sport revient sur le triste après-match entre la Fiorentina vs Inter où les membres VIP florentins ont cru qu'ils étaient à la Coupe du Monde et ne se sont pas illustré par leur intelligence ni leur comportement. La Gazzetta revient sur les insultes proférées à l’encontre des officiels de l'Inter. "Les évènements de Fiorentina-Inter ne se sont pas arrêtés au coup de sifflet final. En effet, juste après, un nouveau match commençait et bien moins spectaculaire et beau que celui vu sur le terrain. Un match caractérisé par des insultes que Joe Barone et d'autres 'VIP' auraient adressées aux cadres Nerazzurri. En effet, 'Mafiosi' a été le mot entendu à plusieurs reprises et distinctement par Zhang, Marotta et Ausilio alors qu'ils quittaient la tribune VIP. Cependant, d'après le communiqué officiel de la Viola, ils demandent des excuses à l'Inter et à la Digos d’identifier les agresseurs du supporter interiste frappé d'un coup de poing tout en criant 'jette-le par terre'". La Gazzetta a ensuite commenté la position officielle de l'Inter. "Le président Zhang a été abasourdi par les insultes et les menaces qu'il a reçues lorsque, escorté par les hommes de sécurité du club, il a quitté les tribunes. Des dizaines lui ont crié dessus pour des délits de toutes sortes. Il a vécu en Italie pendant 6 ans et a étudié aux États-Unis, mais pour lui et comme d’autres, ce sont des scènes inconcevables. Dans le passé à Florence, cette triste scène était déjà arrivée à Adriano Galliani, lui aussi frappé d'une pièce de monnaie à la tête, à Andrea Agnelli, Pavel Nedved, Gian Piero Gasperini, Carlo Ancelotti et Luciano Spalletti." La Gazzetta explique qu’il ne s’est rien passé dans les vestiaires.. "Les infractions près du balcon de Franchi n'ont pas eu de suite dans le vestiaire car la porte de la salle des Nerazzurri est restée fermée. Barone a erré dans la zone et la tension était palpable (le parquet fédéral a-t-il noté quelque chose?). Mais il n'y a pas eu de nouvelle confrontation avec Marotta qui, en raison des connaissances au sein de la Lega, était sa cible principale. Pendant ce temps, la Fiorentina demande des excuses qui ne viendront pas car l'Inter se concentre uniquement sur le match de mercredi en Champions League. Quant à la vidéo de l'attaque contre le fan des Nerazzurri, la Digos a acquis les images et procède aujourd'hui à l'identification des personnes impliquées." Pour des détails, Stefano Agresti, journaliste, a commenté à La Gazzetta dello Sport ce qui s'est passé au Franchi samedi soir. "Le stade de la Fiorentina devient un cas. En effet, la tribune de ce stade, c'est là que depuis des années maintenant des incidents graves voire pire se sont produits. Des insultes continues aux entraîneurs adverses et aux managers des autres équipes, assis parmi la foule, menaces pour les supporters rivaux. Juste pour donner une dimension de ce qui se passe : ces pseudo-fans ont non seulement fait perdre patience aux chaleureux Spalletti et Gasperini, mais aussi au flegmatique Ancelotti. Presque un record." "Quand il s'agit d'applaudir pour condamner l’autre, tout le monde s'en sort dans les curvae car c'est plus facile. En réalité, à Florence, les pires épisodes se produisent presque toujours dans la tribune garnie par ceux qui peuvent s'offrir les billets les plus chers chers. Et la situation s'est aggravée depuis que le club est aux mains de Commisso qui ne fait rien pour apaiser les esprits autour de lui. Au contraire. Même si cela ternit l'image d'une ville sérieuse et belle, berceau et modèle de civilisation." "L'ennui, c'est que Commisso ne semble pas se rendre compte de l’absurdité de certaines positions. Un exemple. A Bergame, le 2 octobre, les fans ont offensé Commisso pour ses origines calabraises. Un épisode à condamner, bien sûr. Mais pour lequel le DG Barone a même invoqué l'intervention du gouvernement. Oui ! Le gouvernement ! Et pourquoi la même idée brillante n'a-t-elle pas été proposée lorsque, le 28 août, la Fiorentina a été condamnée à une amende pour des chants anti-sud contre les Napolitains ? En bref, insulte bien tant que tu ne le fais pas contre Commisso." Pour terminer, Maurizio Auriemma, questeur de Florence, est revenu sur l'attentat subi par un supporter de l'Inter dans la tribune. Selon ce qui a été appris, l’agresseur identifié est un homme âgé de 56 ans. "Un match de football ne peut être le prétexte pour calmer ses propres tensions et pulsions au sein même du stade. Samedi soir, le personnel est intervenu promptement. L'auteur de ce geste a été identifié et sera dénoncé et visé par des mesures appropriées. Les mesures répressives ou administratives n'aident pas toujours à résoudre le problème. C'est une question de conscience, de participation. Concernant l’absence de gestes barrière, le problème est résolu. Nous voulons aller vers une participation au stade sans gestes barrière. Cependant, je sais que le nouveau projet de restructuration de Franchi est remis en question avec les instances compétentes, de la municipalité au club, jusqu'à l'autorité de sécurité publique et la Serie A." Autrement dit, cet hurluberlu pourra recommencer. Un mot convient : pathétique ! Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInterNews.
  13. Quelques jours après l'annonce de sa retraite du football, Andrea Ranocchia a accordé une interview à La Gazzetta dello Sport, la voici. Commençons par la jambe, après la fracture du péroné d'août. "Ça va un peu mieux, je viens d'enlever le plâtre, j'ai repris la marche, même si j'ai toujours mal. Je fais une thérapie, je serai de retour à la salle sous peu." Pourquoi avez-vous décidé de quitter le football malgré un contrat courant jusqu'en 2024 ? "Il n'y a pas eu qu'un seul épisode déclencheur. A partir d'avril, également grâce à une série de problèmes privés, j'ai commencé à ressentir moins d'enthousiasme pour le football. J'espérais que ce n'était qu'un moment. A l'Inter, je me sentais bien avec tout le monde." En parlant de l'Inter, comment s'est passée la séparation ? "Mon contrat a expiré en juin, Piero (Ausilio) m'a expliqué qu'ils devaient faire toute une série d'évaluations. Je voulais jouer plus, et Monza est arrivé. Projet sérieux, porté par des managers qui ont déjà gagné, la possibilité de ne pas changer de domicile pour mes enfants (Lorenzo, 4 ans, et Adele Luna, 2 ans) et élever les jeunes. J'ai accepté. Mais pendant la retraite, j'ai beaucoup lutté. Les années ne sont pas revenues, c'était terrible." Combien la blessure a-t-elle pesé sur la décision finale ? "Ça a accéléré un cheminement déjà en cours. A tel point que je n'exclus pas qu'une fracture aussi grave soit liée au fait que la tête ne tournait plus dans le bon sens." Que vous a dit Galliani ? "Je lui ai expliqué ce que je ressentais et que je ne voulais pas me moquer de moi-même, mais aussi de ceux qui m'avaient fait confiance. Il a été surpris, mais il a compris et respecté ma décision. Certainement pas parce que j'ai renoncé à l'argent, dont je ne veux pas parler aussi par respect pour ceux qui peinent à joindre les deux bouts." Après l'annonce, étaient-ils si nombreux à vous appeler ? "J'ai reçu des messages et des appels téléphoniques de gens ordinaires, de tous mes coéquipiers, adversaires et entraîneurs, même ceux que je n'ai jamais eus. Mais ces jours-ci, je me suis vraiment isolé. Ce matin (hier, ndlr) Conte m'a appelé." Le plus beau message ? "Citer l'un d'eux ferait tort aux autres. Mais parmi tant d'autres il y avait aussi Zhang, Pioli, Spalletti, Cattelan, Mentana, que je suis toujours." Spalletti nous ramène à un moment décisif de ta carrière. "On se parle souvent avec Luciano, une personne formidable. Vous faites référence à la fois où il a affronté un fan qui en 2017 m'a insulté lors du camp d'entraînement à Riscone. Il a failli lui donner deux gifles (rires). La première fois que quelqu'un me défendait. Un choc décisif sur le long d'un chemin que j'avais entrepris seul." En fait, pendant quelques années, vous avez été le bouc émissaire des problèmes de l'Inter. "J'étais très bas, une expérience dont je me serais passé, mais formatrice. Dans le football, quand les choses ne tournent pas on en vise deux ou trois... Arrivé tout de suite après le Triplete, j'ai vécu des saisons difficiles. Mais j'ai aussi apprécié l'ascension grâce au Suning et Spalletti lui-même, jusqu'aux victoires avec Conte et Inzaghi." Inzaghi est maintenant en difficulté. "Il y a des moments comme ça, surtout en début de saison, avec un effectif plein de nationaux qui ont joué aussi l'été. Je suis sûr que l'Inter va récupérer. Ils ont l'effectif le plus fort et un vestiaire sain. Cela reste ma préférée pour gagner le scudetto." Même sans un leader silencieux comme vous ? "Dans le vestiaire chacun apporte sa contribution. Même en plaisantant toujours comme Brozo." Le football est ta vie depuis qu'il a 5 ans. Avec l'annonce du départ, un fardeau a été enlevé ou est-ce plus triste ? "Triste non, sinon j'aurais continué. Ces derniers mois, j'ai beaucoup réfléchi, même trop. Et la certitude est que je suis fier et satisfait de ma carrière. Des victoires et de la façon dont j'ai surmonté les problèmes. Mais sans enthousiasme on ne peut pas continuer. Maintenant je prends du recul un moment, puis j'aimerais ouvrir une école de foot." Le pire et le meilleur moment de votre carrière ? "Le pire en été, quand je me suis rendu compte que la lumière ne se rallumait plus. Le plus beau, le Scudetto. Je l'ai longtemps chassé, j'en ai vu et vécu de toutes les couleurs. Triomphant ainsi, l'arithmétique est arrivée le lendemain de Sassuolo-Atalanta, mais déjà en revenant de Crotone en avion nous avons fait la fête. Même Monsieur Conte qui n'exulte jamais tant que le résultat n'est pas certain." Conte, avec qui l'aventure avait débuté entre Arezzo et Bari, s'était arrêtée à l'Inter. "Je n'ai pas été surpris. Il est obsédé par la victoire et peut-être pensait-il avoir tout extirpé de lui-même et de ce groupe." Vous avez aimé ce groupe ? "Beaucoup. Mais aussi celui de Monza de mon ancien partenaire (au Genoa) Palladino est excellent. Le vestiaire sera ce qui me manquera le plus. Mais pas aujourd'hui." Maintenant que tu es en retraite, vous pouvez admettre que ce penalty en Mars dernier sur Belotti, non vu par l'arbitre et la Var, était valable. "Bien sûr que oui ! (Rires)." Votre dernier but ? "Avec Empoli en janvier. En acrobatie, décisif pour ne pas sortir déjà au deuxième tour de la Coupe. Ensuite, les coéquipiers ont été bons pour battre la Roma, Milan et la Juve. Mais un morceau de ce trophée est à moi." Traduction alex_j via FCInter1908.
  14. En deux jours, deux joueurs interistes ont tiré leur révérence. Raffaele Caruso de FcInterNews a écrit une lettre ouverte à Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Voici la traduction. Quelques heures plus tard Goran Pandev, puis Andrea Ranocchia ont annoncé jeudi leurs adieux du football sur les réseaux sociaux. Un double "salut" qui a ravi tous les fans de ce sport, en particulier les fans de l'Inter. Parce qu'il n'est pas nécessaire de marquer 500 buts pour rester dans l'histoire d'un club aussi prestigieux que les Nerazzurri. Humilité, professionnalisme et amour du maillot sont les trois valeurs qui vous rendent éternel et vous permettent de gagner le respect et l'admiration de vos fans. Pandev est un produit de la cantera Nerazzurri. Après avoir vécu plusieurs expériences en Italie, dont la plus illustre à la Lazio, il revient à l'Inter dans la saison des saisons, celle du Triplete. Et il a été un grand protagoniste malgré son arrivée cette saison en Janvier. Goran a été immédiatement utilisé par Mourinho, notamment grâce à l'absence de Samuel Eto'o en Coupe d'Afrique des Nations. Et le Macédonien a tout de suite répondu présent : le 6 Janvier, il fait ses débuts en championnat face au Chievo et est immédiatement décisif, il inscrit son premier but sous le maillot de l'Inter, quelques jours plus tard face à Bari ouvrant le chemin du retour de 2-0 à 2-2 et a répliqué le 24 Janvier dans le derby contre Milan avec un coup franc, marquant le deuxième but. Tout le monde n'a pas ce truc. Il faut avoir la classe pour pouvoir le faire, mais surtout l'humilité pour s'intégrer dans un groupe avec autant de champions. Mourinho se classe lui aussi en finale de la Ligue des champions contre le Bayern Munich, il sera l'un des protagonistes de la course finale vers le Triplete. Et comment oublier le but du 2-3 marqué quelques mois plus tard contre les Bavarois, toujours en Ligue des champions, lors du match retour des huitièmes de finale : il le définira lui-même comme le but le plus important de sa carrière. Comment oublier cette exultation. Et ce jour-là, Andrea Ranocchia était également sur le terrain, dans l'un des matchs les plus emblématiques de son histoire de plus de 10 ans avec le maillot Nerazzurri. L'arrêt sur la ligne de but, avec un poteau. Ses débuts à l'Inter rappellent beaucoup ceux de Pandev. Arrivé à l'Inter lors de la saison en cours à l'hiver 2010-2011, il s'est d'emblée imposé parmi les titulaires aux yeux de l'entraîneur Leonardo , remportant alors son premier titre en fin de saison, la Coppa Italia, remportée contre Palerme. Confirmé plus tard par les entraîneurs suivants, dans la première moitié des années 2010, Ranocchia fait partie des rares jalons de l'équipe interiste : lors de la pré-saison 2014-2015, l'investiture en tant qu'héritier de Zanetti en tant que nouveau capitaine de l'Inter, semble être le prélude à une belle histoire. De manière inattendue, cependant, sa carrière prend une tournure inverse : Andrea ne parvient pas à s'imposer comme le leader du groupe des Nerazzurri et se fait retirer le brassard au profit d'Icardi. Il est ainsi devenu l'un des plus critiqués et ciblés par le public Nerazzurri. Mais jamais un mot déplacé, jamais une interview provocatrice. Ranocchia continue de travailler en silence, s'investissant toujours dans l'entraînement. Pour se retrouver il décide aussi de changer d'air, tentant d'abord l'expérience du prêt à la Sampdoria puis à Hull City. Le premier tournant est intervenu en 2017 avec l'arrivée sur le banc de l'Inter de Luciano Spalletti. La vidéo dans laquelle il défend Ranocchia en retraite des critiques d'un fan des Nerazzurri, elle certifie immédiatement l'importance et la gratitude de l'entraîneur Certaldo envers lui. Ce n'est pas un titulaire, mais il redevient un élément très important pour les rotations en défense et surtout un homme du vestiaire. Un double rôle qui devient encore plus évident avec l'arrivée de Conte à Milan, l'entraîneur qui l'avait lancé au début de sa carrière dans les expériences d'Arezzo et de Bari. Et grâce à lui, Ranocchia remporte son premier Scudetto avec l'Inter après 10 ans. Un championnat qui est venu après tant de chutes, tant de sacrifices, tant de larmes, qui témoigne pourtant de la grandeur d'un vrai homme et joueur, d'un professionnel exemplaire et d'un joueur de l'Inter comme peu d'autres. Nous ne pouvons que remercier Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Merci de faire partie de notre histoire et de comprendre l'importance de cet maillot. Pour l'avoir honoré. Merci les gars, ce fut un honneur et un beau voyage. Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. En effet, hier était attendue la rencontre entre Steven Zhang, rentré de Californie, la Direction Italienne composée de Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin et le Staff de Simone Inzaghi, avec l’entraineur également présent : "Si le Mantra de tous était de ne pas dramatiser, autour de la table à Appiano", la situation dégénère de plus en plus... Révélation de la Gazzetta Dello Sport Steven Zhang était revenu directement à Appiano Gentile, en exigeant à la Direction de s’entretenir avec Inzaghi : "Tous les jours quasiment, Beppe Marotta, accompagné de Piero Ausilio et Dario Baccin rentrent dans le bureau de Simone Inzaghi pour inverser, ensemble, la tendance. Mais jamais, comme auparavant, l’entraineur a paru être en proie à de telles difficultés, et c’est aussi pour cette raison que ce qu’il s’est passé dans la journée d’hier était différent des réunions connues par le passé." "Ce n’était pas une rencontre de routine, mais le moment de se confronter, après le désastre d’Udinese, avec un retour présidentiel anticipé qui est tous sauf banal : En voulant tranquilliser Simone en premier, il a ouvert la voie au prochain sommet plus technique." L’échange Marotta – Inzaghi Pour eux: "L'Inter ne s'est pas évaporée dans un nuage de cendres: Elle existe, est réelle, valeureuse, et sa ligne de conduite est bien visible. Il y a encore du temps et de l'espace pour la suivre et viser la tête du Championnat. Mais le changement de cap se doit d’intervenir un plus tôt vu l’échéance fixée pour l’Inter d’Inzaghi version 2.0 : Si l’optimisme est de mise, le mois et demi à venir sera décisif pour l’avenir de l’entraineur, car durant la trêve relative à la Coupe du Monde, il y aura une prise de décision définitive qui se verra prononcée." Soutenir Simone "Penser à voir un Simone Inzaghi sous-tutelle ne veut pas dire qu’il y a un "Commissaire" qui a été mis en fonction : L’entraineur dispose d’une liberté totale demeure sur les choix, du 11 initial aux changements. Au contraire, cela signifie qu’il y aura encore plus de proximité, tant dans la vie quotidienne à Appiano, que dans les relations avec le monde extérieur et avec les Sénateurs du noyau." Zhang a également rencontré la Goldman Sachs. Steven est toujours à la recherche d’un partenaire afin de désengager le Suning et de parvenir à rembourser le prêt de 275 millions d’euros reçu par le fonds d’investissement Oaktree. La Rosea n’exclut pas un transfert également de propriété du Club : "Même sans un "mandat" l’Inter ne peut être qu’ouverte à une cession définitive en cas d’offre vraiment monstrueuse : Celle-ci pourrait arriver plus des Etats-Unis que du Moyen-Orient, étant donné que la somme devrait dépasser le milliard d’euros." La Curva craque En effet, à la vue des informations qui circulent et d’un désengagement toujours plus important de Suning, la Curva Nord a fini par craquer: "Un clivage, peut-être irrémédiable, qui exprime le malaise de la frange la plus chaude (mais probablement pas la seule) des Tifosi de l'Inter envers les propriétaires. La Curva Nord, par le biais de ses canaux officiels, a exprimé un désaccord clair envers Steven Zhang, l'invitant à quitter le club. Ce jeudi soir, les membres de la Curva Nord s’étaient donné rendez-vous pour faire le point. Et le moins que l’on puisse dire est que le fossé entre les Ultras et le Numéro Un du club est plus qu’évident : "Après la banderole relative à Milan Skriniar : "On ne touche pas à Skriniar, à des pactes clairs et de longue amitié " à " Le temps est révolu " sans oublier les " Les promesses doivent être tenues " et le " Prends tes responsabilités ou quitte la ville ". L’Inter fait face à une nouvelle vague de contestation avec ses Ultras qui ont déployé sur les réseaux sociaux "Zhang vattene", soit "Zhang, casse-toi"…une citation qui se retrouve, de façon « anonyme » aussi sur le parking du Giuseppe Meazza." Le retour de Clo-Clo ? Et s’il s’agit cette fois de changer l’ampoule, il conviendra à présent de s'assurer de ne pas avoir les pieds dans l’eau…. En effet comme le révèle à son tour Il Giornale, Giuseppe Marotta tente de protéger au maximum Simone Inzaghi, même si un remplaçant semble avoir déjà été choisi, une information que notre Padrino ne cesse de démentir: "Marotta, à vrai dire, passe beaucoup de son temps pour nier que Claudio Ranieri soit déjà le successeur tout désigné en cas de remplacement en cours de saison." "L’Administrateur-Délégué de l’Inter ne croit pas aux changements de banc en cours de saison, il a également tenu à rappeler que les statistiques actuelles sont "similaire" à celle d’il y a deux ans, soit l’année du 19ème Scudetto et qu’il reste beaucoup de temps pour revenir dans la Course. Dans sa carrière, Marotta n'a écarté qu’un seul entraineur, un très jeune Spalletti alors en pose à Venise, en février 2000…." Enfin à son niveau Tuttosport nous fait par de la réaction de Simone lors de son entrevue avec la Direction Italienne: "Les dirigeants du club ont trouvé devant eux, un entraîneur fortement déterminé à inverser la tendance mais un entraineur aussi lucide dans l’analyse des problèmes qui ont marqué cette première partie de saison, et qui a l’objectif de les résoudre. Parmi les sujets les plus bouillant, celui qui ressort le plus est la Préparation : "Si des têtes ne tomberont pas, il pourrait y avoir de nouvelles arrivées car quelques mesures correctives sous le signe de l’intensité, se doivent d’être mise en place." Avec un désengagement "du propriétaire", une Direction Italienne chargée de souffler le chaud et le froid et, sur ordre de son Président de soutenir un entraineur discrédité auprès du Noyau et trahi par son staff actuel, pensez-vous que l’Inter d’Inzaghi soit sur le point de s’écrouler ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Davide Santon, l'ancien enfant de l'Inter selon José Mourinho, a décidé de raccrocher définitivement les crampons. Voici ses déclarations à Tuttomercatoweb.com. Introduction. "Je suis obligé d'arrêter de jouer. Non pas pour ne pas avoir eu d'offres, pour rien d'autre, mais juste parce que mon corps avec tant de blessures dans le passé, n'en peut plus. Je ne veux pas, mais je dois." Un choix douloureux. "J'ai subi les premiers mois. J'ai eu le temps d'y penser, d'y réfléchir. Quand j'étais hors du XI à Rome, j'ai eu une première période où j'ai souffert. Je ne m'attendais pas à cette fin de carrière. Je voulais jouer, m'amuser, malheureusement j'ai tout eu tout de suite et je suis arrivé haut. Mais il faut accepter : j'ai beaucoup réfléchi, j'ai une famille, deux filles, maintenant je me consacre à ça et après je verrai si je reste dans le foot ou dans un autre domaine." Une parenthèse particulière de sa carrière. "La première période à l'Inter a été la meilleure quand on a tout gagné. J'ai eu des arrêts, des blessures, mais c'était beau : j'étais jeune et je n'avais pas réalisé qu'on entrait dans l'histoire. On n'a perdu que la Supercoupe d'Europe, c'était le meilleur moment. J'étais avec des champions extraordinaires dans le vestiaire." De nombreux techniciens qui l'ont fait grandir. "Mourinho, Benitez, Leonardo, Gasperini, Mancini, Conte qui m'a appelé en équipe nationale, Pioli, Spalletti, Pardew, De Boer, Fonseca, Di Francesco, Ranieri... Sans oublier ceux des premières années dans le secteur des jeunes à l'Inter, bien sûr. Avec Mourinho j'ai vécu la période la plus glorieuse mais je ne le range pas parmi les plus sereines : j'étais jeune, il y avait beaucoup de pression dans le milieu. Pendant l'année de la Champions, j'ai été absent six mois à cause de problèmes physiques, ce n'était pas une période de grande sérénité contrairement à ce qui se passe avec Pardew d'abord puis Carver. On a joué la Ligue des Champions, Tottenham nous a dépassé mais il n'y avait pas de grosses pressions , l'environnement était extraordinaire." Santon ne cache pas une pointe d'amertume lorsqu'il évoque le vrai regret de son aventure footballistique. "Quand je me suis blessé à dix-huit ans chez les U21, j'ai été blessé parce qu'ils m'ont fait entrer. J'ai senti que mon genou était cassé, ça faisait mal. A la fin de la première mi-temps je suis allé aux vestiaires, je me sentais mal, le deuxième coach m'a dit 'on a besoin de toi, tiens bon' et j'ai décidé de ne pas lâcher. J'ai joué toute la seconde mi-temps avec un genou cassé et je l'ai cassé pour de bon. D'une petite fracture c'est devenu une vraie fracture. Au lieu d'arrêter, d'écouter le corps, j'ai décidé de continuer." L'avenir n'est pas encore décidé, mais Santon a déjà des idées à ce sujet. "Le football est devenu un monde où il n'y a pas d'amour avec lequel j'ai grandi. J'avais Moratti comme président, il était comme un père, il montrait de l'affection pour le joueurs. Maintenant c'est le business, ils t'utilisent, te téléchargent et en prennent un autre. Je ne sais pas si ça m'appartient encore ou pas... Le truc que j'aimerais faire c'est coacher dans un secteur jeunesse. Je dois y réfléchir. Mais je ne sais pas si je dois continuer dans ce monde ou pas, peut-être même commentateur. Vous devez avoir le stimulus à l'intérieur, vous devez obtenir la bonne étincelle dans ce que vous faites et là je déciderai quoi faire, avec amour et désir." Traduction alex_j via FCInter1908.
  17. Comme nous le savons tous, l’Inter a hérité du groupe de la mort avec le Bayern, le Barça et Plzen. Voici les réactions de Carlo Ancelotti, Hasan Salihamidzic, Jordi Cruyff et Daniele Adani. S'exprimant lors d'une interview avec Sky Sport Italia après le tirage au sort, Carlo Ancelotti a admis que les Nerazzurri n’ont pas été gâtés. "L'Inter est dans un groupe difficile avec Barcelone et le Bayern. Naples est dans un groupe plus équilibré. La Juve a le PSG… Dans quelques mois, il y a tellement de matches, on joue tellement en peu de temps, ça ne sert à rien de faire des pronostics." S'exprimant via les chaînes officielles du club du Bayern Munich, Hasan Salihamidzic n'a pas hésité à dire que notre groupe est très difficile même s'il est content de jouer contre nous. "C'est sûr que c'est un groupe difficile, mais nous l'attendons avec impatience. Jouer contre des adversaires de haut niveau comme ceux-ci dans des stades exceptionnels sera très amusant. Les garçons devront donner le meilleur d'eux-mêmes dès le début et trouver la bonne attitude à chaque match. Évidemment, nous visons à terminer premiers et nous essaierons de gagner tous les matchs de cette belle manche." S'exprimant lors d'un entretien avec Mundo Deportivo, Jordi Cruyff n'a pas hésité à dire qu'il s'agit du groupe le plus dur, du moins sur papier. "Ce sera difficile, avec des équipes fortes et importantes, un groupe de la mort pour s’amuser et souffrir. Pour Lewandowski, ce sera un match spécial, mais aussi pour nous parce que nous avons eu trois ou quatre matchs très, très difficiles contre eux, mais nous avons une équipe différente des autres saisons et je pense que nous pouvons le jouer." "L'Inter s'est renforcé avec Lukaku et ce sera un match difficile. Et il ne faut jamais perdre de vue la quatrième équipe, qui est généralement une équipe très physique, il faut respecter tout le monde." S'exprimant lors d'un entretien avec La Gazzetta dello Sport, Daniele Adani a laissé entendre que la première place du groupe C était déjà hors de portée pour l'Inter. "Dans la préparation du challenge, il faut considérer que ce sont deux grosses équipes habituées à imposer leur football. Barcelone a un plan clair, il suffit de penser à la façon dont ils ont gagné à domicile contre la Real Sociedad, avec De Jong, Gabi, Pedri, Rafinha, Ansu Fati et Lewandowski sur le terrain." "Quant au Bayern, si Ancelotti le permet, est mon favori pour un succès ultime avec City et Liverpool. Mané s'est déjà installé. À part Lewa lui-même, dont d'autres marqueront des buts, ils ont gardé tous les grands joueurs. Et De Ligt ne peut que grandir." "Viktoria n'a aucune chance, le Bayern est supérieur à tous, alors que pour la deuxième place, je dirais le Barça 60% et l'Inter 40%. Inzaghi aime aussi imposer le jeu, l'an dernier il a su regarder le Real Madrid et Liverpool dans les yeux." "Les bases ont été posées d'abord par Spalletti puis Conte, mais Simone a su moderniser le jeu et diversifier les manières d'attaquer. L'Inter est prêt pour la Ligue des champions. Certes, il a perdu Perisic, mais maintenant il ajoute le poids de Lukaku." Comme l'a suggéré La Gazzetta dello Sport, l'Inter a un groupe très dur. L'équipe allemande est toujours capable de produire des performances étonnantes et elle semble particulièrement forte en début de saison. Barcelone a une superbe équipe malgré un été marqué par une controverse financière. Simone Inzaghi doit entrer dans le tournoi avec le sentiment qu'il n'y a rien à perdre car beaucoup s'attendent à ce que les Nerazzurri terminent à la troisième place. Il doit également utiliser le sentiment lorsque l'Inter a battu le Bayern Munich et Barcelone pour remporter le tournoi en 2010. Traduction alex_j via Sempreinter.
  18. En effet, avec une Coupe du Monde à disputer en plein mois de novembre, tous les clubs seront confrontés à une situation totalement inédite : Qu’il s’agit d’anticiper le tout au Mercato, de s’organiser pour le championnat, cette situation est une première! Révélation de la Repubblica La Beauté du Calcio "Des vacances adaptées ne sont pas à exclure pour la période Post-Mondial, avec les meilleurs joueurs fatigués par le tournoi, et encore plus pour ceux qui termineront dans le top 4 et qui auront donc disputés sept matchs. De plus les "pièges" des petites équipes pourrait logiquement s’avérer être les plus dangereux. Mais la plus importante concentration des Mondialistes concernera objectivement les grands clubs, ceux qui jouent les Coupes, ceux qui sont aussi ceux qui savent faire la différente, c’est évident." "Le Milan, par exemple, mis à part Tonali, verra partir tout le noyau jeune qui lui a permis de faire le saut en qualité : Maignan, Tomori, Theo Hernandez, Leao, Saelemaekers plus la nouvelle recrue De Ketelaere. Le Sénégalais Ballo-Touré sera également de la partie tandis que devant, trois joueurs, Giroud, Rebic et Origi, attendent le retour de leur Sélectionneur National." "La caractéristique du groupe milanais est que ses joueurs de la "Coupe du monde" appartiennent presque tous à des équipes nationales très ambitieuses. Ils peuvent donc rester longtemps au Qatar, plus ou moins comme les joueurs de l'Inter d’ailleurs avec De Vrij et Dumfries (Pays-Bas), Lautaro et Correa (Argentine), Brozovic (Croatie), Gosens (Allemagne), Lukaku (Belgique) et Onana (Cameroun)". "A la Juve, à part Pogba bien sûr, les hommes du "dernier carré" sont Di Maria, Rabiot et, s'il est appelé, Alex Sandro : l'objectif pour Szczesny (Pologne), Vlahovic (Serbie) et McKennie (USA) est de passer la phase de groupe. La quatrième équipe engagée en Ligue des Champions, le Napoli, n'enverra pas ses hommes au Qatar, surtout si Fabian Ruiz, qui n’a plus évolué pour l’Espagne depuis l’Euro, n’est pas rappelé." "Kim, Anguissa, Zielinski, Lozano et Olivera n'appartiennent pas aux groupe des joueurs considéré comme des favoris au poste d’internationaux, ce qui pourrait s'avérer un grand avantage pour Spalletti car le calendrier de janvier-février offrira à Naples trois confrontations directes contre l'Inter, la Juventus et la Roma. La Roma elle-même enverra Dybala, Abraham, Rui Patricio et peut-être Wijnaldum au Qatar, ainsi que Zalewsky et peut-être Vina." Selon vous, la Coupe du Monde peut-elle sourire au Napoli, ou est-ce que les Grands d’Italie seront gérer de la meilleure des façons cette situation inédite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. À un peu moins de deux mois de la reprise de la Serie A, celle-ci s’annonce, selon les Bookmakers, être un duel entre les deux flèches dorées du Championnat : L’Inter et la Juventus L’Inter "Les Nerazzurri de Simone Inzaghi veulent reprendre immédiatement le Scudetto que les cousins du Milan leur ont arraché au cours de la dernière saison et pour y parvenir, ils ont rapatrié le Bélier du Tricolore 2021 : Romelu Lukaku. En attente de savoir si d’autres cadeaux arriverons, selon la Sisal, la bande à Samir Handanovic est donnée à 2,75." La Juve "Les Nerazzurri sont en très bonne compagnie vu la présence de la Juve, à sec de Scudetto depuis deux saisons, et qui présente la même cotation que son rival historique. La Formation de Massimiliano Allegri veut retrouver les tout premier rôles dans le Championnat d'Italie et le but annoncé est celui de rapatrier le 37ème Scudetto à Turin." Le Milan "Le Champion en titre part légèrement en retrait, lui dont la tâche principal sera de chercher à conserver son titre. Les Rossoneri ne sont d’ailleurs plus parvenu à conserver celui-ci deux années de suite, depuis 29 années consécutives et Stefano Pioli aura la lourde tâche de briser ce tabou. Preuve en est la cotation de 3,75." Le Napoli 3Nonobstant le départ du Capitaine Lorenzo Insigne, le Napoli, après s’être battu avec les deux écuries milanaises durant quasiment tout le tournoi, veut élever le niveau et ramener le Scudetto dans les remparts du Maradona. Luciano Spalletti est convaincu de pouvoir jouer à armes égales avec les très grands du championnat. Toutefois pour les Bookmakers, celui qui mise sur le Napoli remportera 9 fois sa mise." L’Outsider Romain "Parmi les autres protagonistes de la Serie A, on retrouve la Roma de José Mourinho qui, après avoir offert la Conference League au Club de la Capitale, cherchera à élever le niveau en cherchant à remporter le 4ème Scudetto de son Histoire, y parvenir permettra au parieur de remporter 16 fois sa mise." LOL "La situation devient extrême, en revanche, pour l’Atalanta (donné à 25) et la Lazio de Maurizio Sarri (donné à 33) Jugez-vous l’analyse des Bookmakers pertinente ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. C’est désormais Officiel, le Scudetto sera décerné en Italie le samedi 22 mai sur le coup de 20h. Si le Milan est tout proche de l’emporter, l’Inter a décidé de proposer aux Cugini une Finale à distance. Et si le Milan dispose de deux résultat sur trois positif, pour être Champion, il y a lieu de ce souvenir du 14 mai 2000 turinois, du triste 5 mai 2002 ou bien plus proche de ce fameux Lazio-Inter à l’Olimpico marqué par la victoire des Hommes de Luciano Spalletti Certes, l’Inter n’a plus son destin entre ses mains, mais la défaite face à Bologne aurait également très bien pu se produire au mois de janvier. Dans cette dernière ligne droite, les Nerazzurri et les Rossoneri se rendent coup pour coup, sans perdre le moindre moins ! Et Si le Milan a terrassé une Atalanta au rabais de Gian Piero Gasperini, l’Inter a surclassé Cagliari malgré les difficultés et un stade sarde bouillant: Dans le premier quart d’heure un but refusé de Milan Skriniar via la Var donnait le ton avant d’assister à un but Ronaldinesque de Matteo Darmian de la tête à la 25’... Inter-Sampdoria affichera Sold-out! L’Inter fatiguée de sa Finale de la Coupe d’Italie joue un match sérieux et Lautaro Martinez double la mise à la 51’. Toutefois le bijou de la soirée est à mettre à l’actif de Lykogiannis qui envoie un missile surpuissant à l’entrée de la surface, Handanovic, pour le coup, ne peut absolument rien. Dans une fin de match quelques peu débridée, Lautaro Martinez mettra fins aux espoirs sarde en réalisant un doublé et en franchissant de la sorte, ce soir, le palier des 20 buts inscrit en Serie A en une saison. Place à présent au duel à distance, qui aura lieu le dimanche 22 juin à 18h00 et qui verra tout le peuple Nerazzurro soutenir Scamacca, Fratesi, Berardi et Raspadori pour ne citer qu’eux: Peu de personne croyaient en cette Inter déboussolée en début de saison : Disputer le titre lors de la dernière journée avec deux Coupes remportées face à la Juventus restera quoiqu’il arrive un très bel accomplissement pour la première saison de Simone Inzaghi arrivé en plein chaos à Appiano Gentile. Son meilleur résultat restera quoiqu’il arrive l’Historique victoire à Anfield Road face à Liverpool, qui n’aura connu là que sa seule et unique défaite à domicile en 2022 ! Chapeau Bas Mister! Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Cagliari 1-3 Inter Buteur(s): 25' Darmian (I), 51', 84' Lautaro Martinez (I), 54' Lykogiannis(C) Cagliari: 28 Cragno; 23 Ceppitelli, 15 Altare (79' 44 Carboni), 22 Lykogiannis; 12 Bellanova, 6 Rog (56' 18 Nandez), 27 Grassi, 8 Marin (78' 4 Baselli), 29 Dalbert; 10 Joao Pedro, 30 Pavoletti (56' 9 Keita) Banc: 1 Aresti, 14 Deiola, 16 Strootman, 20 Pereiro, 21 Luvumbo, 25 Zappa, 40 Walukiewicz, 66 Lovato T1: Alessandro Agostini Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (70' 33 D'Ambrosio); 36 Darmian (58' 2 Dumfries), 23 Barella (58' 5 Gagliardini), 77 Brozovic, 20 Çalhanoğlu, 14 Perisic; 9 Dzeko (70'19 Correa), 10 Lautaro Martinez Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 7 Sanchez, 13 Ranocchia, 18 Gosens, 22 Vidal, 32 Dimarco, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Arbitre: Doveri VAR: Di Bello Averti(s): Darmian (I), Çalhanoğlu (I) Expulsé(s) : / Affluence: 15.443 tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Une rencontre tranquille et sereine, une victoire avec la manière, une première cartouche qui mettait fin à une invincibilité totale au Stadium de Turin…. 10 ans après cette performance signée par le prometteur Andrea Stramaccioni, l’Inter se présente en tant que Championne d’Italie après avoir mis un terme à 9 ans de domination turinoise en Serie A, à croire que la Vieille Dame aime connaitre ses premières fois de ce nouveau siècle avec la Bien-Aimée. Là où Luciano Spalletti, Stefano Pioli, Walter Mazzari et Antonio Conte, pour ne citer qu’eux, sont tous revenus vaincus, Simone Inzaghi a prouvé qu’il était toujours en vie, que son Inter était toujours en vie et dans un match de cour d'école , avec un arbitre totalement dépassé par l’engagement des deux clubs, c’est bel et bien l’Inter qui, totalement dominée en long et en large, a bien serré les fesses, pour placer une seule et unique cartouche sur la Juve qui ne les avaient qu'entrouvertes. Le Seum turinois Un match en souffrance, tout en résistance, tel Rocky face à Drago, l’Inter n'a absolument rien montré, si ce n'est une seule occasion réellement semi-dangereuse via un corner repris par Milan Skriniar et bien arrêté par le portier turinois. De son côté et en réponse, le second club de Turin trouve la barre transversale via une action à l’image de la rencontre : un cafouillage. Preuve que le match allait être particulier, cette occasion était signée Giorgio Chiellini qui s’est finalement montré bien plus dangereux qu’un Dusan Vlahovic muselé par un Skriniar digne d'un Capitaine de son équipe. Place au meilleur moment de la soirée Sur une percée d’un Denzel Dumfries qui tenait à faire oublier sa faute au match aller, celui-ci se fait écraser le pied à l’intérieur de la surface de réparation turinoise. Si la première et logique réaction de l’arbitre Massimiliano Irrati est de ne rien voir, la VAR est bel et bien là pour "Irriter" tout le clan turinois. Place également au moment lunaire de la soirée Hakan Çalhanoğlu se présente face à Wojciech Szczesny et lui offre quasiment un ballon d’entrainement en guise de tir au but. Pourtant, ce ballon pourri est relâché, se retrouve à nouveau devant le joueur turc qui se fait charger par l’arrière garde turinoise. Le ballon étant balancé dans les filets via un auto-goal, Irrati parvient à trouver une faute Nerazzurra pour annuler celui-ci. Toutefois, il était écrit que l’Inter allait réaliser le Hold-Up parfait en s’imposant à la turinoise : un arbitrage (ou plutôt une Var de très belle qualité signée Paolo Silvio Mazzoleni) favorable et un penalty douteux et polémique. Après une nouvelle analyse vidéo, l'arbitre ordonne de retirer le penalty. Ne nous demandez pas la raison, celle qui est invoquée serait l’intrusion dans sa surface de réparation de De Ligt avant qu’Hakan ne tire. Le turc montre une nouvelle fois qu’il en a dans le slip en bottant à nouveau le tir au but et en le tirant cette fois-ci avec bien plus de force. Nous sommes là à la 50ème de jeu d’une première mi-temps qui se terminera à la 55ème ! Du jamais vu pour une première période dans un Derby d’Italie. La seconde période se résumera de la façon suivante : Simulations turinoise, bastons, polémique sur d'éventuels penaltys en faveur de la Juventus à plusieurs reprises, pour ne pas changer et seulement deux belles actions : La première signée par Dusan Vlahovic qui prend, une seule fois de la soirée le meilleur, sur l’international slovaque Zakaria qui trouve le poteau. L’Inter serre les fesses, plie mais ne rompt pas et remporte une Victoire en mode Corto Muso, une victoire fondamentale qui permet aux Nerazzurri de rester en vie dans la Course au Scudetto, car en cas de victoire sur Bologne, les Champions d’Italie resteraient au contact du cousin milanais. Avec seulement trois points éventuellement de retard, la pression n’est plus sur les épaules Nerazzurre, mais bel et bien sur le Milan qui ne peut pas se permettre le moindre faux pas. On a retrouvé Locatelli! De son côté, la Beneamata est revenue de l’enfer en Vie, en mettant un terme aux espoirs de titre turinois. L’emporter de cette manière après autant d’années de polémiques, n’efface pas l’ardoise, mais cela restera très certainement l’une des meilleurs performances de l’Inter d’Inzaghi après la victoire à Anfield Road! Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Juventus 0-1 Inter Buteur(s) : 50' Çalhanoğlu (Pen) Juventus: 1 Szczesny; 6 Danilo, 4 De Ligt, 3 Chiellini, 12 Alex Sandro (73' 2 De Sciglio); 27 Locatelli (34' 28 Zakaria), 25 Rabiot (85' 5 Arthur); 11 Cuadrado (85' 20 Bernardeschi), 10 Dybala, 9 Morata (73' 18 Kean); 7 Vlahovic Banc: 23 Pinsoglio, 36 Perin, 19 Bonucci, 24 Rugani T1: Massimiliano Allegri INTER: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio, 37 Skriniar, 95 Bastoni; 2 Dumfries (59' 36 Darmian), 23 Barella, 77 Brozovic (79' 22 Vidal), 20 Çalhanoğlu (79' 5 Gagliardini), 14 Perisic; 9 Dzeko (91' 18 Gosens), 10 Lautaro Martinez (59' 19 Correa) Banc: 97 Radu, 6 De Vrij, 7 Sanchez, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 32 Dimarco, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Arbitre: Massimiliano Irrati VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): Lautaro Martinez (I), Rabiot (J), Locatelli (J), Morata (J), Cuadrado (J), Skriniar (I), Perisic (I), Calhanoglu (I) Expulsé(s): / Affluence: 40.093 turinois pour 979 Champions ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. L’aventure turinoise de Paulo Dybala arrive à sa fin : L’argentin ne prolongera pas avec la Vieille Dame, qui l’a fracassé par l’intermédiaire d’Arrivabene, le tout pour le plus grand bonheur de Giuseppe Marotta! Révélation de Tuttosport "Dybala à l’Inter n’est plus une suggestion mais un projet concret car Beppe Marotta et Piero Ausilio ont rencontré dans le plus grand secret Jorge Antun, l’agent de la Joya, pour faire part de ll’intérêt Nerazzurro sur le joueur. Cette acte a pu être posé suite au divorce acté de façon unilatéral par la Juventus. Si les parties ne sont pas encore entrées dans le vif via l’aspect économique de la négociation, l’Inter s’est insérée officiellement dans la course à l’argentin, en cherchant à savoir quel serait le timing apprécié par Dybala. En retour, la Direction a reçu une réponse qui peut être considérée comme très favorable pour les Nerazzurri : "L’argentin n’est pas pressé." "L’Inter doit également faire preuve de patience car si elle est intéressée par Dybala, elle n’est pas encore rentré dans les étapes décisives. Giuseppe Marotta et Piero Ausilio doivent en premier lieu prendre connaissance des intentions de Suning et de ce qu'il octroiera comme budget pour le prochain mercato, il conviendra également de connaitre les nécessités et les requêtes de Simone Inzaghi." L’autre raison qui motive cette stratégie est la conviction que Dybala, avec le temps qui s’écoulera, abaissera ses exigences économiques : Il sera plus malléable, à la condition de percevoir des bonus. Marotta et Ausilio ont, en effet, parfaitement conscience que Dybala percevait à la Juve 7,3 millions d’euros, bonus compris et que l’accord convenu mais qui n’a jamais été signé, faisait état d’un contrat de 8 millions d’euros plus 2 millions d’euros de bonus." Paulo comme Stefan ? En effet, le Derby d’Italie de ce dimanche sera particulier pour Paulo Dybala, il sera son dernier, du moins sous le maillot Bianconero, comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "Place à Alessandro Bastoni et au revirement de Dybala, qui depuis des années, s'illumine lorsqu'il voit les Nerazzurri. Ses excellentes performances coïncident d'ailleurs avec la première aventure d'Alessandro à l’Inter: En effet, depuis que la ligne à quatre de Spalletti a laissé sa place au trio composé de l'ancien joueur de l'Atalanta, de Milan Skriniar et de Stefan De Vrij, la Joya a toujours marqué contre l’Inter en Serie A. » "La défense de l'Inter est prévenue : Qu'il débute en première mi-temps ou en cours de match, cela change peu au niveau de la performance de Dybala. Simone Inzaghi profitera de l’occasion pour l’étudier attentivement et qui sait pour se mettre au travail : Peut-être qu’en été, il aura le plaisir de supprimer toutes ses notes relatives à Paulo l’adversaire." Pour les bookmakers, l’Inter est la grande favorite Agipronews rapporte que les bookmakers considèrent l'Inter comme l'option la plus probable, à 2,75 sur Snai, avec deux équipes espagnoles en concurrence : Le FC Barcelone et l'Atletico Madrid, à 6,50. Le Tottenham du couple italien Antonio Conte-Fabio Paratici monte à 7,50, tandis qu'un transfert au Paris-Saint-Germain, appelé à un été de renouveau, vaut 10 fois la mise, comme le Milan Ac. Les autres grands d'Europe sont encore plus loin : un transfert de Dybala à Liverpool est proposé à 15, tandis que les deux clubs de Manchester sont à 20. Mieux encore le Real Madrid et le Bayern Munich s’envolent à 25 fois la mise, car ils ne sont pas convaincus de la valeur de l'opération malgré le fait qu'il s'agisse d'un transfert à coût zéro." Pensez-vous qu’à l’instar de Stefan De Vrij, la Joya réalisera une prestation en demi-teinte ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. L’Inter est parvenue à égaliser lors des toutes derniers secondes face au Torino, évitant de très peu la défaite, mais en perdant le contrôle de sa destinée, et ce, même en cas de victoire sur Bologne! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "L’Inter n’a pas perdu le match mais le contrôle de sa destinée : Le but de Sanchez dans les arrêts de jeu répond à celui de Bremer, mais pour la première fois depuis le 12 décembre, jour où elle prenait le meilleur sur le Milan, et même en remportant l’ensemble de tous ses matchs, l’Inter n’aura plus la certitude de remporter le Scudetto... L’Inter se devra de battre Bologne également pour rester au contact du Milan, mais le match programmé également le 3 avril au Stadium change de physionomie : L’Inter devra attaquer et non plus gérer comme cela fut le cas, il y a encore pourtant quelques semaines." "Lors des six dernières journées des matchs aller, l’Inter avait récolté 18 points sur 18 disponible, avait inscrit 17 buts contre aucun d’encaissé. Ici, lors de ces 9 premiers matchs retours, elle a récolté 13 points sur 27 disponible, contre 22 points pour la Juventus et 21 points pour le Milan et le Napoli. Cet écroulement est bien plus qu’un simple passage à vide car elle avait le Scudetto en poche. A présent, elle va devoir maintenir le pas des autres avec une grande peur." "L’Inter a également perdu 5 points sur 6 disponible en l’absence de Marcelo Brozovic (Sassuolo et le Torino) ce n’est pas qu’un simple hasard. Un examen de conscience devra être établi sur ce qui a été fait sur le Mercato (le cas Sensi en premier) pour rendre "remplaçable" un joueur sur qui l’Inter se repose bien trop. Outre les absents, les présents, au moment clé du championnat, auraient également dû jouer avec un autre rendement et un autre état esprit et se comporter, au minimum, comme les joueurs du Torino." Pensez-vous que l'Inter puisse revivre une saison similaire à celle de Luciano Spalletti et s’effondrer totalement ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Simone Inzaghi s’est livré sur l’une des plus belles prestations de l’Inter, sur la scène européenne, depuis de très nombreuses années : Sa déclaration à Sky Sport “Il y a un grand regret car nous tenions vraiment à ce huitième de finale, nous avons hérité de l'une des meilleurs équipes du tournoi, mais lors de cette double confrontation, nous avons joué à armes égales face à adversaire beaucoup plus fort. Nous payons au prix fort le dernier quart d’heure du match aller : Au Meazza, vu ce que l’équipe avait proposé lors des premières 75’, nous aurions mérité mieux. Nous avons encaissé un but sur une phase arrêté et nous ne l’avons pas bien pris : Le second but nous avait coupé les jambes." "Nous étions venus à Anfield pour jouer de la meilleure des façons et nous en repartons sûr de notre force, mais avec tellement de regret : Au meilleur moment pour nous, il y a eu aussi l'expulsion de Sanchez, dont nous n'avions pas besoin. Je ne regrette absolument pas de ne pas l'avoir remplacé, Je suis habituellement très prudent à ce sujet, mais il était en condition et était très utile sur le terrain." "En fin de match, nous avons connu des problèmes physique, mais je tenais à préserver Dzeko qui venait de disputer trois rencontres consécutives, il sera fondamental à Turin. Nous n’avons pas cherché à préserver le 0-1, mais à tenir la rencontre vive jusqu’au bout, car on aurait pu avoir une possibilité d’égaliser même à 10. Je regrette l’expulsion, car Liverpool était sonné par le but de Lautaro." Sa déclaration en conférence de presse Combien de temps y avez-vous cru après le but de Lautaro ? "Je pense que l’équipe a disputé un excellent match, il y a du regret pour le match du Meazza, sur la double confrontation, nous avons joué à armes égale face à une équipe aussi forte qu’est Liverpool et à l’instant où l’on venait de marquer, il y a eu, hélas, l’expulsion de Sanchez." Est-ce que votre équipe grandi à l’international ? "Ce match me laisse sur le fait que l'équipe, après 11 ans, a réussi son huitième de finale. Nous avons défié probablement l'équipe la plus forte d'Europe. Nous avons réalisé deux grandes performances, et parfois les matchs se décident sur des détails. Ce soir, nous avons beaucoup souffert et à notre meilleur moment, Sanchez a été expulsé. Nous avons parcouru un long chemin mais il y a un goût amer dans la bouche pour le match du Meazza." L’expulsion de Sanchez ? "Cette partie nous apporte tant d’estime en nous. Nous devons voir comment nous sommes sorti: Je fais face à une paire de blessé, j’espère qu’il n’y a rien de grave. Il y a de la déception pour une expulsion qui arrive au moment où nous prenions le match en main. Les regrets sont surtout pour le match aller : Nous sommes venu ici à Anfield défier une équipe extrêmement forte, technique, physique, mais nous avons joué à armes égales. Nous payons au prix fort l’expulsion, je ne sais pas encore m’y attarder car je n’ai pas revu les images." À Inter TV "Nous avons disputé une grande rencontre, il y a de l’amertume pour le match aller. Nous devrons être bon pour reprendre des forces et de l’énergie, des rencontres importantes nous attendent. Nous avons tout donné contre l’une des meilleures équipes, parmi les plus forte d’Europe. Nous avons joué à arme également face à une très grande équipe. Notre futur s’appelle Torino, une rencontre qui s’annonce importante." Lautaro? "Son but est magnifique mais il s’était déjà débloqué en championnat, il doit continuer ainsi, comme tous les autres attaquants à ma disposition et qui font de belles choses." Son interview à Sport Mediaset "Nous avons réalisé un très grand match dans un stade très difficile contre une grande équipe. Je regrette le 2-0 pris au match aller et que nous ne méritions pas. Liverpool avait été sonné par le but, et il y a eu l’expulsion, l’équipe était bien dans le match, je préparais aussi quelques changements. Nous avons bien souffert, mais s’il reste le gout de l’amertume, nous rentrons avec la victoire." "C’est un pas en avant pour une équipe qui, après 11 ans, a joué à armes égales face une équipe beaucoup plus forte : Nous n’étions pas inférieur à Liverpool. Dimanche nous aurons un autre match compliqué et je devrai évaluer les conditions des joueurs comme De Vrij et Brozovic, j’espère qu’ils vont récupérer rapidement car ce sont deux joueurs fondamentaux." Spalletti et Pioli vous voient favori pour le titre… "Je pense à mon équipe, nous devons récupérer de l’énergie physique et mentale : Nous venons de disputer deux excellents matchs." Comment jugez-vous l'Inter de Simone Inzaghi sur ces cette double confrontations... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. C’est une information en provenance de la Gazzetta Dello Sport : "Steven Zhang démontre une nouvelle fois sa proximité avec l’Inter et avec son entraîneur." En effet, le Président de l’Inter a embarqué avec ses troupes, en direction de la Premier League Le feeling entre Simone Inzaghi et le Président est particulier "La syntonie est totale, renforcé par le comportement d’Inzaghi qui a séduit Zhang dès leurs premiers échanges, au mois de mai 2021. Tout est une question de style, de déclarations jamais exagérée, et allons-y, de résultat. C’est évident que le bilan est absolument partiel, mais l’entraîneur a déjà atteint deux objectifs prédéfinis : La Super Coupe d’Italie et la qualification en huitième de finale de la Ligue des Champions. " "C’est donc loin des projecteurs et au terme de la saison, qu’arrivera la proposition d’une prolongation du contrat de l’entraîneur : L’Inter et Zhang n’ont pas la moindre intention de bâtir la nouvelle équipe avec un entraîneur en fin de contrat. A Appiano, tout le monde est d’accord. Son contrat arrivera à expiration en juin 2023 et celui-ci devrait être prolongé jusqu’au 30 juin 2024 avec une option jusqu’au 30 juin 2025. Le salaire actuellement perçu de 4,5 millions d’euros serait réévalué à 5 millions d’euros plus des bonus à définir." Le Saviez-vous ? Si Steven Zhang est prêt à embarquer avec son équipe pour Liverpool, il y a lieu de retenir que les déplacements du Président, en compétitions européennes, sont très rare. Son dernier déplacement était un soir d’été 2020, lors de la Finale de l’Europa League opposant l’Inter au Fc Séville: "C’est une nouvelle preuve de la volonté de Zhang de vouloir être proche de son équipe et de son entraîneur." Sachant que Luciano Spalletti venait de prolonger pour deux saisons avant l’arrivée d’Antonio Conte, est-ce judicieux de prolonger d’un an Simone avec "une option" pour une seconde année ou vaut-il mieux ne courir aucun risque et proposer immédiatement un contrat pour deux saisons supplémentaires ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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