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Le Ballon d'Or et l'Inter: Vainqueurs Nerazzurri et Anecdotes
Zanetti63 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il y a des moments dans une vie de footballeur qui peuvent marquer des carrières pour toujours. Un but, un match, un trophée: un accomplissement important qui gagne le cœur des fans. Parmi eux, le Ballon d’Or occupe une place spéciale et magique : le prix France Football transforme un champion en légende et le projette directement sur le toit de l'Olympe du monde du football. Dans la soirée de lundi 30 octobre, la présentation de la cérémonie du Ballon d’Or 2023 prend place à Paris, où les meilleurs joueurs de la saison passée sont récompensés, après le vote d'un jury composé de 100 journalistes du monde entier, chacun représentant un des 100 pays du classement FIFA. Le jury vote en choisissant dans une liste de 30 nominés, sélectionnés par les rédacteurs de France Football et L'Équipe, avec Didier Drogba, ambassadeur du Ballon d'Or, et un journaliste en dehors des 100 votants, récompensés pour avoir deviné le podium de l'édition précédente. Parmi les 30 nominés pour le Ballon d’Or 2023, il y avait deux joueurs de l'Inter, Lautaro Martinez et Nicolò Barella, ils ont été classés, respectivement, 20ème et 27ème de ce classement, qui inclus également André Onana, Nerazzurro la saison passée, aujourd'hui joueur de Manchester United : Lionel Messi (ARG, 36 ans, Paris-SG/Inter Miami) Erling Haaland (NOR, 23 ans, Manchester City) Kylian Mbappé (FRA, 24 ans, Paris-SG) Kevin De Bruyne (BEL, 32 ans, Manchester City) Rodri (ESP, 27 ans, Manchester City) Vinicius Jr. (BRA, 23 ans, Real Madrid) Julian Alvarez (ARG, 23 ans, Manchester City) Victor Osimhen (NGA, 24 ans, Naples) Bernardo Silva (POR, 29 ans, Manchester City) Luka Modric (CRO, 38 ans, Real Madrid) Mohamed Salah (EGY, 31 ans, Liverpool) Robert Lewandowski (POL, 35 ans, FC Barcelone) Yassine Bounou (MAR, 32 ans, Seville FC/Al-Hilal) Ilkay Gündogan (ALL, 33 ans, Manchester City/FC Barcelone) Emiliano Martinez (ARG, 31 ans, Aston Villa) Karim Benzema (FRA, 35 ans, Real Madrid/Al-Ittihad) Khvicha Kvaratskhelia (GEO, 22 ans, Naples) Jude Bellingham (ANG, 20 ans, Borussia Dortmund/Real Madrid) Harry Kane (ANG, 30 ans, Tottenham/Bayern Munich) Lautaro Martinez (ARG, 26 ans, Inter) Antoine Griezmann (FRA, 32 ans, Atlético de Madrid) Min-jae Kim (CDS, 26 ans, Naples/Bayern Munich) André Onana (CAM, 27 ans, Inter Milan/Manchester United) Bukayo Saka (ANG, 22 ans, Arsenal) Josko Gvardiol (CRO, 21 ans, RB Leipzig/Manchester City) Jamal Musiala (ALL, 20 ans, Bayern Munich) Nicolo Barella (ITA, 26 ans, Inter) Martin Odegaard (NOR, 24 ans, Arsenal) Randal Kolo Muani (FRA, 24 ans, Eintracht Francfort/Paris-SG) Ruben Dias (POR, 26 ans, Manchester City) Figurer parmi les nominés pour le Ballon d’Or est un honneur réservé à quelques joueurs : cela signifie faire partie des 30 meilleurs joueurs du monde. Ce n'est pas la première fois pour Barella et Lautaro: c'est leur seconde nomination, ils faisaient tous les deux partis de la shortlist en 2021, l'année du 19ème Scudetto Nerazzurro. A cette époque, l'argentin a été classé 21ème, l'italien 26ème. Voici les raisons officielles pour lesquelles France Football justifiait la nomination des deux Nerazzurri. “Les poumons de l'Inter et actuellement le meilleur milieu de terrain italien. Sa précision et son efficacité technique, sa capacité à se dévouer pour ses coéquipiers et donner de l'air au jeu, sans même parler de son investissement constant, ont fait de Barella le nouveau synonyme de 'vision'. ” dixit France Football sur Nicolò Barella. “Même sans marquer, il a contribué au succès argentin à la coupe du monde. Spectaculaire dans les demi-finales de Ligue des Champions contre Milan (2-0, 1-0 avec un but dans la deuxième manche), il a ramené l'Inter vers le sommet. ” - France Football sur Lautaro Martinez Les Nerazzurri vainqueurs du Ballon d’Or : LOTHAR MATTHÄUS Numéro 10, milieu de terrain complet et joueur-clé de l'Inter de tous les records : Lothar Matthäus a été le premier joueur de l'Inter à remporter le Ballon d’Or. En 1990, France Football l'a présenté avec le prix après qu'il ait gagné la coupe du monde 1990. Matthäus a présenté son Ballon d’Or aux supporters Nerazzurri à San Siro le 10 mars 1991, avant Inter vs Juventus, qui se termina sur le score de 2-0 avec un but inscrit par l'allemand. La cérémonie de célébration de Lothar a vu des enfants porter des maillots de l'Inter et de l'Allemagne. RONALDO Le 4 Janvier 1998, par un froid dimanche d'hiver, l'Inter était prête à retourner sur le terrain après la trêve de Noël. Un match important contre la Juventus attendait les Nerazzurri; encore une fois, le match fut précédé par la célébration du vainqueur intériste du Ballon d’Or. C'était Luis Nazario de Lima, connu de tous comme Ronaldo, il Fenomeno, qui durant cette soirée, effectua une passe décisive pour le but victorieux de Youri Djorkaeff, suite à une course incroyable le long de la ligne. Le premier brésilien a avoir reçu le prix France Football, Ronaldo était arrivé à l'Inter le mois de juillet précédent, a réalisé le rêve des supporters Nerazzurri; ce jour-là, ils ont adopté leur champion, célébrant sa grandeur hors du commun. Après avoir gagné l'édition 1997, Ronaldo sera couronné à nouveau en 2002, après avoir gagné la Coupe du Monde, en étant le meilleur buteur, avec le Brésil. LA DREAM TEAM BALLON D’OR Deux joueurs extraordinaires, deux footballeurs qui ont gagné le Ballon d’Or en portant le maillot Nerazzurro. Deux légendes, qui en 2020, ont été inclus dans ‘La Dream Team Ballon d’Or,’ le meilleur onze de l'histoire sélectionné par le jury du Ballon d’Or, après que le journal français ait décidé de ne pas présenter de prix cette année-là. Voici la Dream Team, faite à partir des meilleurs joueurs de 1956 à 2020: Yashin; Cafù, Beckenbauer, Maldini; Maradona, Xavi, Matthäus, Pelé; Messi, Ronaldo, Cristiano Ronaldo. Les autres vainqueurs : Tandis que Matthäus et Ronaldo ont gagné le Ballon d’Or pendant qu'ils jouaient pour l'Inter, il y a eu d'autres joueurs qui ont gagné le prix France Football avant ou après leurs carrières à l'Inter. Par exemple, Luis Suárez (1960, Fc Barcelone), Karl-Heinz Rummenigge (1980 et 1981, Bayern Munich), Roberto Baggio (1993, Juventus), Matthias Sammer (1996, Borussia Dortmund), Luís Figo (2000, Fc Barcelone) et Fabio Cannavaro (2006, Real Madrid). Bonus : tous les nominés de l'Histoire de l'Inter Il y a eu 33 joueurs dans l'histoire de l'Inter qui ont été nominés pour le Ballon d'Or, de 14 nationalités différentes. Le joueur Nerazzurro a avoir reçu le plus de nominations est Sandro Mazzola avec 9, suivi de Giacinto Facchetti avec 8. Matthäus, Ronaldo et Suárez complète le podium. En additions des victoires, il y a eu 8 Nerazzurri sur le podium: six à la seconde place et deux à la troisième. Luis Suárez est arrivé 2ème en 1961 (vainqueur: Sivori) et en 1964 (vainqueur: Law), Facchetti en 1965 (vainqueur: Eusebio), Mazzola en 1971 (vainqueur: Cruyff), Matthäus en 1991 (vainqueur: Papin), Dennis Bergkamp en 1993 (vainqueur: Baggio). Andreas Brehme est arrivé 3ème en 1990 et Ronaldo 3ème également en 1998. Voici le détails par année : 1958 -> Skoglund 19ème 1960 -> Angelillo 23ème 1961 -> Suarez 2ème 1962 -> Suarez 15ème 1963 -> Suarez 8ème 1964 -> Suarez 2ème, Corso 7ème, Facchetti and Mazzola 19ème 1965 -> Facchetti 2ème, Mazzola 8ème, Corso 15ème 1966 -> Corso 11ème, Mazzola 14ème 1967 -> Mazzola 10ème, Facchetti 20ème 1968 -> Facchetti 8ème, Mazzola 17ème, Domenghini 24ème 1970 -> Mazzola 8ème, Facchetti 18ème 1971 -> Mazzola 2ème, Facchetti 13ème 1972 -> Mazzola 15ème 1973 -> Facchetti 12ème, Mazzola 14ème 1975 -> Facchetti 27ème 1980 -> Prohaska 7ème (Austria Vienne/Inter), Altobelli 27ème 1984 -> Rummenigge 8ème (Bayern/Inter) 1985 -> Rummenigge 5ème 1986 -> Altobelli 10ème 1987 -> Altobelli 30ème 1988 -> Matthaus 6ème (Bayern/Inter), Zenga 17ème 1989 -> Matthaus 4ème, Brehme 14ème 1990 -> Matthaus 1er, Brehme 3ème, Klinsmann 6ème, Zenga 12ème 1991 -> Matthaus 2ème 1993 -> Bergkamp 2ème (Ajax/Inter) 1996 -> Djorkaeff 9ème (Psg/Inter), Kanu 14ème (Ajax/Inter) 1997 -> Ronaldo 1er (FC Barcelone/Inter), Djorkaeff 12ème 1998 -> Ronaldo 3ème 1999 -> Vieri 7ème (Lazio/Inter), Kanu 23ème (Inter/Arsenal), Ronaldo 23ème 2000 -> Hakan Sukur 18ème (Galatasaray/Inter), Blanc 27ème 2002 -> Ronaldo 1er (Inter/Real Madrid) 2003 -> Toldo 22ème 2004 -> Adriano 6ème 2005 -> Adriano 7ème 2006 -> Vieira 16ème (Juventus/Inter) 2007 -> Ibrahimovic 7ème 2008 -> Ibrahimovic 9ème 2009 -> Eto'o 5ème (FC Barcelone/Inter), Ibrahimovic 7ème (Inter/FC Barcelone), Julio Cesar 21ème 2010 -> Sneijder 4ème, Eto'o 12ème, Maicon 17ème, Julio Cesar 19ème 2011 -> Forlan 7ème (Atletico/Inter), Sneijder 12ème 2021 -> Lukaku 12ème (Inter/Chelsea), Lautaro 21ème, Barella 26ème ®Zanetti63 - Internazionale.fr- 13 commentaires
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Luis Figo : "L'Inter pour l'Euroderby et Lautaro décisif"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Luis Figo prend parti en faveur de l'Inter. Joint par la Gazzetta dello Sport, l'ancien Nerazzurri n'a pas tardé à nous faire savoir de quel côté il sera Mercredi et Mardi prochains, les deux soirs de l'Euroderby. "J'étais fier de porter le maillot de l'Inter et je suis fier que le football italien désormais a deux demi-finalistes en Champions en plus du Napoli qui a fait de belles choses en Europe avant d'être éliminé en quart de finale. Dans le derby de Milan, tout peut arriver, j'en ai joué beaucoup et ils ont tous été serrés et tendus comme matchs. Je m'attends à deux beaux matches. L'Inter, j'ai vécu une expérience fantastique et je vous souhaite d'atteindre la finale." "Le joueur décisif pour Simone Inzaghi? Ceux qui ont généralement la plus grande importance sont ceux qui marquent et donc je dis Lautaro Martinez. Les détails en Ligue des champions sont cruciaux et l'Argentin pourrait être la bonne personne. Il a mûri et a de la personnalité." "La deuxième demi-finale entre Manchester City et le Real Madrid? Je vois City comme favori. Pep Guardiola a l'une des meilleures équipes du monde et il a de l'expérience après avoir atteint et perdu la demi-finale de cette façon la saison dernière. Je pense que le City de Pep est le favori sur le Real même si c'est l'histoire de ce club que vous affronter quand vous jouez contre le Real à Madrid." Traduction alex_j via FCInterNews. -
En marge de la présentation de la nouvelle édition du Campus Vicente Del Bosque, Luis Figo s'est exprimé sur la Ligue des Champions L'ancien joueur a eu son mot à dire sur la Ligue des champions : « En Ligue des champions, il faut toujours compter sur le Real Madrid, mes favoris sont Manchester City et le Bayern Munich. L'inter a des matchs compliquées et je les mets plus derrière les autres », a déclaré l'ancien joueur des Nerazzurri. L'équipe de Simone Inzaghi affrontera Benfica en quart de finale, une équipe à ne pas sous-estimer. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Luis Figo souffle aujourd'hui 50 bougies. L'Inter a effectué cette déclaration pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. "Il a toujours été applaudi! Lors de son premier match avec les Nerazzurri et lors de ses adieux. Luis Figo au cours de ses quatre saisons avec les Nerazzurri a pleinement démontré toutes ses fines caractéristiques : technique supérieure, intelligence tactique et talent pur." "Avec le 7 colé à son dos, il a effectué 140 apparitions et 11 buts, apportant une contribution fondamentale à la conquête de 4 Scudetti , 1 Coupe d'Italie et 3 Super Coupes d'Italie. Son dernier match a provoqué une émeute : le stade à ses pieds pour un accueil plein de passion et de gratitude. Meilleurs vœux à Luis Figo, qui fête ses 50 ans aujourd'hui !" Traduction alex_j via FCInterNews.
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LUIS FILIPE MADEIRA CAEIRO FIGO Informations Générales : Nom : FIGO Prénom : LUIS FILIPE MADEIRA CAEIRO Poste : Milieu Droit Date de naissance : 04 / 11 / 1972 Lieu de naissance : Almada Pays : Portugal Taille : 180 cm Poids : 75 kilos Numero de maillot : 7 Au club depuis : 2005 Position sur le terrain : Biographie : Pas de biographie disponible. A voir sur le site : La Fiche de Figo La Carrière de Figo Les News de Figo Les Statistiques de Figo
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Jonathan Biabiany : "Adriano est l'attaquant le plus complet que j'aie jamais vu".
Oxyred a posté un article dans Interviews
L'ancien attaquant de l'Inter Jonathan Biabiany a été très impressionné par l'expérience de l'entraînement aux côtés de la légende des Nerazzurri, Adriano, lors de son passage au club. Dans un entretien accordé à Foot Mercato, Biabiany s'est souvenu de son entraînement avec le Brésilien et a fait l'éloge de ses capacités extraordinaires, même par rapport à d'autres légendes qui sont passées par le club. Biabiany a rejoint l'académie de l'Inter en 2004, et pendant cette période, il a vécu plusieurs saisons au club où il a croisé le chemin de grands champions. Même si le joueur de 33 ans n'a jamais réussi à s'imposer au club comme l'ont fait certains de ses coéquipiers, il a été très impressionné par l'expérience qu'il a vécue en les voyant tous les jours. "J'ai eu la chance de m'entraîner avec Adriano, ainsi qu'avec Zlatan Ibrahimovic", se souvient-il. "Je me suis souvent entraîné avec eux quand j'étais jeune, puis j'ai joué avec l'équipe Primavera". "J'ai commencé en Copa Italia en jouant avec des joueurs comme Luis Figo, Alvaro Recoba, Adriano...", a-t-il poursuivi. "C'est incroyable. Au début oui, je peux dire que j'ai eu la chance d'être avec de grands joueurs." "Après, poursuit le Français, j'ai voulu montrer ma qualité et montrer que j'avais faim pour réussir." Parmi tous ces anciens joueurs légendaires des Nerazzurri, il y en a toutefois un en particulier qui a marqué Biabiany. "Le joueur le plus impressionnant, qui n'a pas eu la carrière qu'il aurait pu avoir, est Adriano", a-t-il déclaré. "C'était une force phénoménale de la nature ", a-t-il expliqué à propos du Brésilien, "techniquement, il était injouable". "C'était un joueur très complet, rapide et puissant", a-t-il ajouté à propos de l'ancien attaquant des Nerazzurri. "Après la mort de son père, il a eu des problèmes personnels. Mais c'est l'attaquant le plus complet que j'ai vu dans ma carrière." ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter- 9 commentaires
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Tous les milieux de terrain ont une chance d'être intronisés au Hall of Fame 2021. Les votes affluent alors que les fans de Nerazzurri décident des quatre prochaines entrées au HoF. C'est la quatrième édition des intronisations et voyons qui rejoindra les 12 qui y siègent actuellement. Un joueur par poste est à choisir dans cette édition, et après avoir déjà dévoilé les candidats gardiens et défenseurs, il est maintenant temps de parler des milieux de terrain. Il y a 57 joueurs qui peuvent suivre les traces d'Esteban Cambiasso, le dernier milieu de terrain intronisé. Nous avons ici une série de noms qui ont énormément contribué à l'histoire du club: des légendes de la Grand Inter comme Mario Corso, Luis Suarez et Sandro Mazzola, d'autres personnages historiques comme Gabriele Oriali, Evariso Beccalossi et Nicola Berti, ainsi que des héros des temps modernes comme Wesley Sneijder. Les premières années jusqu'à la Seconde Guerre mondiale Parmi les stars des premières années de l'Inter figurent des joueurs qui ont non seulement triomphé avec leur club, mais ont également joué un rôle dans les deux premières victoires de l'Italie en Coupe du monde dans les années 1930. Giovanni Ferrari entre dans cette catégorie, il a remporté les éditions 1934 et 1938. Virgilio Fossati était une autre figure mémorable, qui est devenu le premier joueur de l'Inter à représenter l'Italie. Armando Castellazzi a réussi à la fois en tant que joueur et en tant qu'entraîneur des Nerazzurri, tandis qu'Attilio Demaria a joué dans la Coupe du monde 1934. Les autres joueurs de cette époque qui les rejoignent en tant que candidats au HoF sont: Emilio Agradi, Antonio Blasevich, Enrico Candiani, Aldo Cevenini I, Osvaldo Fattori, Renato Olmi, Enrico Rivolta, Paolo Schleider, Pietro Serantoni et Giuseppe Viani. Après la guerre Lennart 'Nacka' Skoglund est le nom le plus connu du milieu de terrain de l'Inter dans les années 1950. Le Suédois, qui pourrait être décrit comme un génie téméraire, a joué un rôle dans deux triomphes des Nerazzurri Scudetto. Enea Masiero, Bruno Mazza, Maino Neri et Fulvio Nesti sont d'autres figures marquantes de cette période. L'ère de la Grand Inter L'Inter de Helenio Herrera est entrée dans les annales de l'histoire du football. Les personnages clés de son équipe étaient Gianfranco Bedin, Mario Corso, le vainqueur du Ballon d'Or Luis Suarez et Sandro Mazzola. Ce dernier, un milieu de terrain offensif talentueux et polyvalent, a joué 565 fois pour le club, remportant une litanie de trophées et terminant deuxième derrière Johan Cruyff lors du vote du Ballon d'Or 1971. Les Nerazzurri dans les années 1970 et 1980 Salvatore Bagni, Evaristo Beccalossi, Domenico Caso, Gabriele Oriali, Gianpiero Marini (qui a ensuite entraîné l'Inter jusqu'au succès de la Coupe UEFA en 1994), Giancarlo Pasinato, Giuseppe Pavone, Herbert Prohaska et Alessandro Scanziani sont les meilleurs joueurs de cette époque, soit en faisant au moins 60 apparitions pour le club ou remporter un trophée dans l'une ou les deux décennies. L'Inter des années 1990 Lothar Matthaus étant déjà entré au HoF lors de sa première édition de vote, Nicola Berti est un candidat solide pour être intronisé en 2021. Pourtant, il a de la concurrence de cette époque sous la forme de: Alessandro Bianchi, Enrico Cucchi, Pietro Fanna, Gianfranco Matteoli, Benoit Cauet, Youri Djorkaeff, Davide Fontolan, Wim Jonk, Antonio Manicone, Francesco Moriero, Angelo Orlando, Igor Shalimov, Diego Simeone et Aaron Winter. Succès avec Mancini et le triplé Enfin, nous avons plusieurs noms d'équipes de l'Inter du 21e siècle qui ont de bonnes chances de faire partie du HoF. Parmi eux se trouvent les vainqueurs du Scudetto et de la Coppa Italia sous Roberto Mancini et ceux qui ont mené les Nerazzurri au triplé en 2010. Voici les joueurs en lice pour l'intronisation: Luis Figo, Kily Gonzalez, Thiago Motta, Wesley Sneijder, Santiago Solari, Patrick Vieira et Cristiano Zanetti. Traduction alex_j via le site officiel.
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Andrei Radu a salué notre légende Walter Zenga et a admis qu'il aimerait avoir le jeu de pieds de Ronaldo, le vrai. Le Roumain a été invité à choisir son Inter XI de tous les temps dans un long métrage pour Inter TV. "Pour le gardien, c'est un choix difficile, je devrais choisir entre Zenga et Julio Cesar. Je dirai que Zenga pour son record d'apparitions de tous les temps, il était consistent et constant." "Maicon est à l'arrière droit, Cristian Chivu et Marco Materazzi sont au centre et j'aurai Javier Zanetti à gauche. Je les choisis parce qu'ensemble, ils ont été la meilleure défense de l'Inter." "Esteban Cambiasso et Dejan Stankovic sont parfaits pour jouer devant la défense, non seulement parce qu'ils ont remporté le Triplete mais aussi parce qu'ils ont su comment faire les deux côtés du terrain avec brio." "Figo peut jouer à droite, Wesley Sneijder est le 10 et Samuel Eto'o ira à gauche; ils auraient été un trio exceptionnel ensemble." "Je choisirai le Brésilien (R9, ndlr) parce qu'il a remporté le Ballon d'Or." "Je choisirais définitivement voler le talent de Ronaldo, sa nonchalance était vraiment unique. Je pourrais jouer avec ses pieds talentueux, de cette façon je peux dribbler autour d'un attaquant quand ils s'approchent de moi."
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Luis Figo et Walter Zenga ont réagi suite à cette European Super League. Luis s'est rendu sur Tweeter; "Cette soi-disant Super League est tout sauf super. Cette décision cupide et insensible serait un désastre pour notre base, pour le football féminin et pour la communauté du football au sens large..." "Cela ne servirait que les propriétaires intéressés, qui ont cessé de se soucier de leurs fans depuis longtemps, et ce serait un mépris total pour le mérite sportif." "Tragique." Sur Perform Stats News, Walter a déclaré: "C'est un vrai gâchis." "Ce projet pourrait détruire tous les petits clubs, je ne pense pas que ce soit une bonne nouvelle pour le football: ils essaient de créer un groupe exclusif." "C'est une décision qu'ils ont prise pour des raisons commerciales, afin de gagner plus d'argent et d'augmenter leurs revenus, mais si vous me demandez si cela me plaît, je dirai non." "Mais je ne sais pas pourquoi les clubs ont accepté de s'inscrire de toute façon." "Il leur sera difficile d'avancer après les propos de Ceferin , il y a trop de problèmes à résoudre et les clubs ne peuvent pas faire cavalier seul." "L'UEFA a déclaré qu'il y aurait également des sanctions pour les joueurs (interdiction de participer aux Championnats d'Europe), donc je ne pense pas que la Super League se produira." Moralité: Luis Figo qui parle de cupidité
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Lorsque un observateur occasionnel jette un œil sur la brillante carrière du milieu de terrain portugais Luis Figo, son séjour de quatre ans à l'Inter, qui apporta une fin à sa carrière de joueur, peut ressembler à première vue à une note de bas de page. Il était à Barcelone, quand Figo prenait une notoriété mondiale, aidant les Catalans à remporter deux titres de Liga, le même nombre de succès en Copa del Rey et Coupe des vainqueurs de coupe. Ensuite, c'est avec le Real Madrid où, après l'un des plus controversés transferts, il a gagné le Ballon d'Or et sa seule Ligue des Champions en 2002. Après le "Calciopoli" en 2006 qui avait vu des concurrents de l'Inter relégués ou lourdement handicapés, la marche vers le Scudetto dans chacune des saisons participantes de Figo pouvait être interprétée comme un passe-temps serein de pré-retraite. Mais un examen de certains des événements notables qui ont marqué ces quatre saisons, du refus de se rendre sur le terrain dans un match à élimination directe de la Ligue des champions, à être accusé d'avoir délibérément écrasé un chat sur le terrain d'entraînement du club, révèle que c'est loin d'être le cas. "Il Paso Doble'' n'a peut-être pas passé son apogée au Giuseppe Meazza, mais la figure unique qu'il a représentée dans l'histoire du club milanais lui a assuré une place spéciale, bien que légèrement conflictuelle, dans notre cœur. Lorsque Figo est arrivé à l'Inter en provenance de Madrid en 2005, sa nouvelle équipe n'était pas les dominateurs de la Serie A qu'ils allaient bientôt devenir. Ayant terminé troisième la saison précédente, Massimo Moratti était à la tête d'un géant italien qui n'avait pas remporté de titre de champion depuis plus d'une décennie. Moratti avait courtisé publiquement les services de Figo depuis qu'il avait raté David Beckham en 2003, et était ravi de le transférer gratuitement après qu'il fut jugé "sur plus" par rapport aux besoins du Real. Apparemment, il s'agissait d'une acquisition plus alignée sur la politique de recrutement du Milan, un pro vieillissant, ne nécessitant pas de frais de transfert, qui contribuerait peut-être autant en termes d'image de marque que de prouesses sur le terrain. Connu pour un toucher habile, des compétences de dribbles dévastatrices et un penchant pour une situation de balle morte. La première saison de Figo sous notre maillot fut impressionnante. Il a ajouté de la verve et de la ruse sur l'aile, incitant le commentateur excentrique d'Inter Channel, Roberto Scarpini, à appeler le milieu de terrain "Il Paso Doble'' pour ses mouvements élégants. Mais ses efforts n'étaient pas suffisants au départ pour amener Il Biscione à un Scudetto, car ils ont terminé deuxièmes loin derrière la Juventus. Les événements de l'été suivant ont vu le Scudetto de la saison rétrospectivement remis à l'Inter par défaut, après que la Juventus ait été identifiée comme principale bénéficiaire d'un réseau de relations entre les officiels de l'équipe et les organisations arbitrales. Le scandale "Calciopoli'' devait avoir un effet marqué sur les années Figo, c'était une débâcle hors du terrain qui représentait sans doute son acte le plus significatif de la saison. Après un fougueux Derby D'Italia, Figo a affirmé avoir vu le directeur général de la Juve, Luciano Moggi, dans le vestiaire de l'arbitre : "J'ai été partout dans le monde, mais je n'ai jamais connu une personne comme Moggi. Il agit comme s'il était le grand maître du football." Le joueur avait une petite histoire avec son adversaire. En 1995, il a signé à la fois pour la Juventus de Moggi, puis pour Parme le même été, affirmant que son contrat avec la Juve était invalide. La conséquence dans cette affaire a été une interdiction de deux ans du football italien, ce qui a facilité son transfert à Barcelone, et il a été sans surprise condamné à une amende par les autorités italiennes du football pour ses accusations de vestiaires dix ans plus tard. Lorsque les enregistrements téléphoniques ont révélé que Moggi était le principal architecte derrière le "Calciopoli", Figo s'est retrouvé avec un sourire ironique sur le visage : "J'espère qu'ils me rendront mon argent." De retour sur le terrain. L'entraîneur Roberto Mancini a commencé à déployer Figo comme un meneur de jeu plus central dans ses dernières années, alors que l'Inter encaissait des Scudetti successifs à la suite de celui qui leur avait été remis par les tribunaux. L'intelligence de passe sous-estimée du n°7 faisait de lui un bon candidat pour ce rôle, car il était capable de devenir fournisseur pour Zlatan Ibrahimovic, Hernan Crespo et Adriano. La fluidité du milieu de terrain n'a cependant pas toujours été une caractéristique des équipes de Mancini. Bien qu'il ait été utilisé à bon escient contre les équipes les plus faibles, Figo a souvent été sacrifié pour le tenace Dejan Stankovic en position de milieu de terrain offensif. Cette décision n'a pas été particulièrement bien prise par l'ancien "galactico'' du Real Madrid, qui a exprimé sa frustration après avoir été remplacé à plusieurs reprises. La mesure dans laquelle la relation entre l'entraîneur et le joueur s'était détériorée n'est cependant pas devenue totalement évidente jusqu'à un match de Ligue des Champions contre Liverpool en 2008. Son équipe étant dans une position désespérée, ayant besoin de quatre buts pour se qualifier pour les quarts de finale avec vingt minutes restantes, Mancini a demandé à Figo de sortir du banc; Figo indigné a dit non, furieux d'être exclu du onze de départ. Une telle insubordination a divisé les fans de l'Inter qui, avec la persuasion de Moratti, avaient auparavant convaincu Figo d'annuler un transfert convenu à Al-Attihad avec des rugissements de "Figo resta a Milano!" (Figo, reste à Milan!). Quelques mois à peine après l'incident de Liverpool, sa réputation n'a pas aidé lorsque le journaliste Vittorio Felta a bizarrement accusé le joueur de heurter délibérément le chat noir, supposément malchanceux, qui résidait dans le complexe d'entraînement Appiano Gentile de l'Inter. Malgré ses dénégations catégoriques, les Interisti amis des animaux l'ont hué alors qu'il arrivait à l'entraînement, en portant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire "Figo, honte pour l'Inter, justice pour le chat". L'homme qui s'était tellement aimé auprès de son public noir et bleu en tenant tête à leur ennemi juré Moggi perdait progressivement sa popularité. Cela semblait être la fin de la route pour le milieu de terrain maintenant âgé de 35 ans, mais sa carrière avec le club avait développé une durabilité obstinée, aidée de manière cruciale par l'affection immuable de Moratti. Figo a annoncé publiquement qu'il ne resterait pas au Meazza si cela signifiait continuer sous le régime de Mancini, mais le destin a dicté que c'est Mancini qui a cédé la place au compatriote portugais de Figo, José Mourinho, et une prolongation de contrat d'un an a rapidement suivi. Bien qu'interrompu par une blessure, sa dernière saison l'a vu fréquemment utilisé par Mourinho malgré son âge. Après avoir finalement annoncé sa retraite après qu'un autre titre de champion ait été décroché, il a reçu une haie d'honneur pour son dernier match, dans lequel le capitaine Zanetti lui a forcé le brassard dans ses mains protestataires. Figo a fait ses adieux à une Curva Nord en liesse, dont la jubilation lors d'une autre victoire en Serie A a suffi à mettre de côté tout sentiment de malaise. Et pourtant, il devait y avoir une dernière tournure dans cette relation passionnée entre Luis Figo et nous. En route vers le Triplete historique du club en 2009-2010, l'Inter a été tiré au sort contre Barcelone pour une demi-finale alléchante de la Ligue des champions. Dans un coup typiquement sournois conçu pour détourner la pression de ses joueurs, Mourinho a amené Figo sur le banc pour ses capacités "d'entraîneur" pour les deux matchs. Après avoir traversé la fracture Catalan-Madrid, il n'y a pas eu d'amour perdu entre Figo et le Barca (rappelons que les fans Blaugranales avaient même jeté une tête de cochon sur le Camp Nou lors du premier retour du Portugais avec le Real en 2002). Figo a joyeusement digéré la dérision des fans du Barca tandis que son ancienne équipe se battait pour une victoire totale de 3-2 pour atteindre la finale. Les livres d'histoire vous diront que l'Inter a finalement remporté sa deuxième Coupe d'Europe l'année après la retraite de Figo, mais il peut se vanter d'une petite contribution. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un saint, le statut emblématique occupé par Luis Figo lui a valu un rôle d'ambassadeur à l'Inter après sa retraite, ce qui a largement contribué à aplanir sa réputation auprès des supporters du club. Sur le terrain, en attendant, il n'en reste pas moins, à l'exception du meneur de jeu inspirant du Triplete Wesley Sneijder, qu'aucun joueur de l'Inter du 21e siècle n'a surpassé "Il Paso Doble'' en établissant la connexion très importante entre le milieu de terrain et l'attaque. Alors que les Interisti regardent désespérément qu'une autre force de frappe talentueuse tente de récupérer le ballon d'un milieu de terrain créativement émoussé, ils se souviendront avec tendresse des années au cours desquelles un ancien vainqueur du Ballon D'Or pouvait être appelé pour faire la différence. Cet article est une traduction de "Il Paso Doble – The Story of Luis Figo at Inter" écrit par Tom Guerriero-Davies et publié sur gentlemanultra.com le 23 Février 2016.
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Massimo Moratti, ex-Président Nerazzurro et invité de "Che Tempo che Fa" (ndr: une émission italienne sur Rai Due) a répondu aux demandes de Fabio Fazio. Internazionale.Fr a le plaisir de vous retranscrire cet échange. Massimo, vous avez reçu un message de la part de Steven Zhang. Il écrit : "Steven est très gentil. Et toutes les fois où je lai rencontré il m'a dit qu'il voulait me rendre fier. Il est très intelligent et sensible et il a aussi beaucoup de compétences. Nous sommes entre de bonnes mains". Vous pensez à racheter l'Inter ? "Non. Des proches me disent que je devrais racheter le club parce qu'ils pensent certainement me faire plaisir. Cela me plairait bien sûr d'avoir cet âge et de me lancer dans ce type d'aventure mais c'est un chapitre magnifique qui est aujourd'hui fermé. Le club est passé entre les mains de gens qui regardent vers l'avenir avec une vision juste". La vraie fan était votre mère "Oui, nous vivions à Rome, ma mère a emmené mon père voir un match de la Lazio contre l'Inter et mon père est devenu intériste. Mon premier match ? Je me souviens d'un Inter - Milan qui a fini à 5-4, le match le plus prolifique que j'avais vu". Votre femme Milly a appris que vous aviez racheté le club une fois la publication faite au Tribunal, vous lui aviez caché ? "Je m'étais enfuit (rires). Oui, c'est assez vrai. J'avais parlé avec mes fils et ils avaient tous peur de le dire à Milly. Le temps est passé et l'acquisition était déjà réalisée. Etrangement je regardais la télévision et j'étais dans un bureau quand elle m'a appelé pour le dire qu'elle l'avait su. J'ai fait fermer les ascenseurs du bureau pour ne pas avoir de problèmes". Il y a un joueur qui n'est pas arrivé et que vous auriez voulu ? "Oui, Cantona. Du premier jour parce que je pensais qu'il pouvait résoudre tellement de choses. Et puis il y en a eu d'autres". Entre mille rencontres intéressantes il y a eu celle avec Figo. Il parait qu'il a signé son contrat sur une serviette. "Oui, c'est vrai. Sur une serviette parce qu'il est venu me voir à la mer. On s'est mis d'accord sur un tas de choses, puis le lendemain il voulait aller à l'administration pour enregistrer notre accord mais il voulait être sûr de l'engagement, les joueurs tiennent beaucoup à ça, c'était une serviette huileuse, pas très jolie, nous avions pris un apéritif. Mais j'ai quand même réussi à écrire un chiffre et il a tenu le lendemain à le faire valider, il y avait ma signature. Il leur a dit que ce torchon était son contrat". L'arrivée de Sneijder grâce à un Barista... "Il me l'a conseillé et ça a été un grand succès. Il était propriétaire d'un bar le long de la mer. Il m'a parlé de Sneijder d'une telle façon qu'il m'a convaincu. Il m'a dit des choses très justes et m'a promis qu'avec lui nous gagnerions la Champions. Le lendemain de la victoire nous l'avons contacté. Ce barista je l'ai cherché mais nous n'avons plus trouvé signe de vie. Il n'était plus dans son emplacement". En revanche avec Mourinho... "Mourinho est arrivé en cachette dans ma maison à Paris. On s'est mis dans une pièce au fond, mais nous avons entendu un bruit et le concierge arrive en lui disant en portugais "Ola José". Il était très préoccupé par cet incident". Le Triplete... "Un souvenir merveilleux. Mou disait qu'il partait après la victoire ? Il me l'avait dit avant. Cela m'a rendu malade ce soir là, je ne me sentais pas bien. Mais le lendemain il était chez moi à Milan. Je ne voulais pas aggraver la situation, nous étions gagnants, il y avait une tension et je ne voulais pas créer un problème en disant "Tu veux partir ou pas ?" L'important était à ce moment d'avoir tout gagné. Il l'a fait". Avec quels joueurs y'a-t-il eu le coup de foudre ? "Ibra, je le trouve sympathique. C'est un grand professionnel. Si je dois donner un nom moins connu ce serait Ince, un des premiers que j'ai acheté. Le foot me plaît encore. Je regarde toujours les matchs de la même façon". La VAR ? "Cela ne me plaît pas". Votre Derby préféré ? "Un de mes premiers, nous avons gagné 3-1 mais nous aurions du perdre 5-0 parce que le Milan était dix fois plus fort. Ils ont raté 6500 occasions. Nous en avons eu 3 et nous avons gagné". Cette année qui remporte le titre ? "Avant tout il faut voir si le championnat continue. La fermeture du stade c'est inédit, mais c'est une décision juste. L'Inter a de bonnes chances. Il me semble que ce soit la bonne année pour remporter le titre. Puis nous verrons". Conte ? "Il est bon, je crois que c'est un excellent entraîneur, il tient à bien faire et c'est le principal".
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Zanetti: "Se qualifier pour les huitièmes de finale"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
L’Inter est à nouveau tombée dans le groupe le plus coriace de cette édition de la Ligue des Champions. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer les réactions à chaud des personnalités interistes présentes à Monaco. Javier Zanetti "Nous retournerons à Barcelone, nous connaissons leurs forces. Nous allons y jouer. Les deux autres équipes sont des adversaires que l’on peut affronter sereinement, nous voulons les aborder de la meilleure des façons." Conte ? "Antonio a apporté de la mentalité, vous savez mieux que moi comment il vit les matchs. Cela s’est vu lors des amicaux et contre Lecce. Nous voulons nous battre contre tous. Nous avons conscience d’être une équipe qui peut beaucoup donner. Antonio vient à peine de débuter, nous voulons nous qualifier pour les huitièmes. A présent la vraie compétition commence." Icardi ? "Il reste peu de jours, le club s’est exprimé, la situation reste inchangée, nous attendons et nous chercherons à trouver la solution qui convient à tous. Vous connaissez la ligne de conduite du Club. Attendons de voir ce qu’il se passera, puis nous irons de l’avant pour chercher à améliorer l’équipe avec ses objectifs." L’inscription sur la liste ? "Nous n’en avons pas encore discuté, nous ferons des évaluations au terme du mercato." Le Borussia ? "Notre équipe a été construite pour être protagoniste. C’est pour cela que nous avons choisi Conte et réalisé notre Mercato. Notre objectif est de faire une belle phase de groupe et d’atteindre les huitièmes, ensuite nous verrons ce qu’il pourra arriver." Wesley Sneijder Un groupe relevé ? "Il est relevé mais aussi beau. Après plusieurs années, l’Inter retrouve la Ligue des Champions, elle a changé d’équipe. Selon moi, elle est plus forte qu’auparavant. C’est positif de jouer à ce niveau." "Jouer l’Inter au Meazza est toujours difficile, les autres équipes le savent. Selon moi, elle peut finir aussi à la seconde place. Il ne faut pas oublier que l’Inter a changé d’équipe. Elle veut, dans peu d’années, pouvoir jouer pour remporter la Ligue des Champions." "Je ne peux pas dire que l’Inter est la favorite, mais vu les joueurs qu’elle a, elle fera preuve de bravoure." Des souvenirs ? "Nous avons battu le Barça à domicile, ce sont les parties les plus belles. Avec un stade au complet et avec le soutien des tifosi qui aide énormément, ce sera un très beau match." Luis Figo "La Ligue des Champions est toujours fascinante. Si tu veux la remporter, tu dois affronter les plus forts et il est mieux d’y faire face dès le début. J’espère que l’Inter réalisera une belle saison en Serie A et en Ligue des Champions." "L’Inter est aussi une équipe forte, le groupe est difficile mais théoriquement, l’Inter a toute les espérances pour aller de l’avant. Un nouvel entraîneur, une nouvelle saison, des nouveaux joueurs…cela faisant plusieurs années qu’elle ne la disputait plus. L’année passée, l’équipe a gagné en expérience. J’espère qu’elle ravira aussi tous les supporters." "Jouer au Meazza est spécial. Les grandes soirées peuvent aider l’Inter en Ligue des Champions." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 3 commentaires
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Ce qu’ils pensent de l’arrivée d’Antonio Conte à l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Vendredi, l’Inter a créée la sensation en s’attachant les services d’Antonio Conte. Ce qu'il y a de sûr, c'est que son arrivée n'a laissé personne indifférent, voici un petit tour de table Colombo, Corriere Della Sera : "Les Tifosi du Milan ont du mal à digérer l’arrivée de Giampaolo après l’Inter-Conte." Di Canio: “Conte crée une équipe unique, il la pousse à se donner à 100%." Figo: “Conte à l’Inter est une belle nouvelle. Il a prouvé qu’il est capable de savoir faire gagner en jouant en équipe. J’espère qu’il vivra une aventure la plus heureuse possible." Costacurta: “L’Inter, en recrutant Conte, a recruté l’entraîneur le plus fort d’Italie." Jindong Zhang: "Il a été demandé à Conte de faire gagner à nouveau l’Inter, d’être l’équipe qui sera capable de faire tomber la Juve de son piédestale." Le Saviez-vous ? Tottenham a tenté de séduire Antonio Conte pour remplacer Pochettino. Néanmoins, Conte a immédiatement mis un stop aux discussions en déclarant qu’il ne souhaitait pas suivre la destinée des Spurs et en signifiant qu’il préférait l’Inter comme interlocuteur privilégié…L’Inter n’était donc pas un second choix. Le jeu de mot de la semaine Le Premier Ministre Giuseppe Conte était présent à Fori Imperiali, en l’honneur de la fête nationale Italie. Des tribunes, il a entendu : "Retapez l’Inter !" - Fallait oser la faire et elle a été faite. Le Premier Ministre a souri et a continué son chemin. L’indigestion de la semaine Pour une raison inconnue, des supporters de la Juventus étaient présent à Madrid. Ces derniers n’ont pas loupé Conte lorsqu’ils l’ont croisé sur son chemin vers l’Hôtel en le traitant de Mercenaire. De son côté, Alessandro Del Piero, présent également, a été chaleureusement accueilli. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 12 commentaires
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