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  1. Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Folarin Balogun et Marcus Thuram, car ces derniers jours, si l’attaquant a envoyé plusieurs signaux à destination du Monde Nerazzurro, personne ne s’attendait à une telle situation: "L’Inter a découvert, avec un peu de surprise, qu’un des couples possibles de son attaque 2022-23 serait fait d’amis. Deux vrais "Brothers", le français né en Italie et l’américain élevé en Angleterre." "Là où elle n’est pas surprise, en revanche, c’est de voir l’américain appartenant à Arsenal, ne plus se cacher pour rejoindre l’équipe de Simone Inzaghi. Et hier, il a souhaité un bon anniversaire à Marcus Thuram, qui fêtait ses 26 ans, mais pas uniquement par amitié, car il tenait à lancer un nouveau message subliminal, le deuxième en deux jours : Dans la tête et dans le cœur de Folarin, âgé de 22 ans, il n’y a que l’Inter." "Et cela n'est en rien laissé au hasard , pas même cette autre Story de samedi où il admirait les merveilles de Ronaldo Il Fenomeno en demi-finale de la Coupe de l’UEFA 1998. Il y a toujours quelque chose de Nerazzurro autour de lui, et beaucoup moins de rouge car, avec Arsenal, il a rompu en privé et même en public. Il a réaffirmé au Management et à l’entraineur Arteta son envie de jouer, après avoir vécu une présaison à regarder les autres le faire et il a précisé qu’il voulait le faire à Milan, et en Nerazzurro." "Hier, il n’était même pas sur le banc, mais dans la tribune de Wembley suite à un problème de cheville, alors que ses équipiers actuels prenaient leur revanche sur Manchester City en remportant le Community Shield aux tirs au but. Balogun a d'ailleurs ajouté une autre histoire Instagram, presque obligatoire, pour célébrer le trophée, mais le message précédent qui parlait de l’Italie a fait plus de bruit". Et l’information de la journée selon Sky "L’Inter se concentre sur Balogun, qui plaît beaucoup au club. Différent de Scamacca, qui a choisi l’Atalanta, il représente une perspective intéressante pour le présent et l’avenir. De plus, il a fini dans la tribune hier avec Arsenal et est exclu du système de rotations d’Arteta. Des contacts avec le club anglais et les agents/intermédiaires sont également prévus dans la journée. Une opération qui devrait passer dépasser le plafond de 30 millions d’euros." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Marcus, fils de l'ancien parmesan Lilian Thuram, s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport sur ses premiers jours à l’Inter : "J’ai trouvé, en l’Inter, une grande équipe, un club organisé avec des entrainements de qualité: Inzaghi et Lautaro m’ont donné confiance en me disant qu’ils ont besoin de moi." Le fait que je ne marque pas énormément ? "En réalité, la saison dernière était ma première saison comme attaquant car je jouais sur l’aile, mon poste de prédilection. Cela m’importe peu que je marque ou que je réalise une passe décisive, ce qui compte c’est de gagner." Un numéro 9 symbolique "Lorsque tu portes le maillot de l’Inter, tu ressens le poids du maillot, pas du numéro. Cela aurait pareil si j’avais choisi le 99, le 8 ou le 7, ils auraient tous eu le même poids, car cela reste une très grande responsabilité. J’ai changé tant de fois de numéro dans ma carrière, le numéro 9 était libre et je l’ai pris sans plus attendre." Allez-vous devenir plus fort que Lukaku ? "Nous sommes deux joueurs différents, je le respecte, mais je suis quelqu’un d’autre." L’Italie, le pays En effet, Marcus a vécu en Italie du temps de son père à Parme et à Turin Quels sont vos souvenirs ? "La nourriture, mmmmh. J’étais trop jeune à Parme, à Turin, je me rappelle l’école, de mes s amis, du parc : J'étais un enfant très heureux, puis nous sommes allés vivre à Barcelone." Ce qu’il y a d’italien en moi ? "Je n’ose pas vous le dire, mais Ok.... mon père me dit toujours que lorsque je suis victime d’une faute, que je reste trop longtemps au sol." Votre première fois au Meazza? "J'ai vu AC Milan-Juve et Trezeguet marquer après un retourné de Del Piero." Vous allez vous y retrouver en tant que protagoniste ? "Je suis impatient, c'est une idée fixe dans ma tête. Le Giuseppe Meazza est l’un des plus beaux stades du monde, mythique pour tous ceux qui jouent au football. Certes, la Serie A a changé depuis que papa a joué en Italie, mais c'est lui qui m'a poussé à choisir ce championnat. Il m'a expliqué que c'est un pays qui vit pour le football. J'avais plusieurs options, mais papa m'a conseillé, recommandé l'Inter". Pour l’anecdote, Marcus a choisi de rejoindre l'Inter, un club qui l'aurait accueilli il y a déjà deux ans, avant qu'il ne se blesse "Je m'étais déjà imaginé portant ce maillot il y a deux ans: Le club Nerazzurro et sa Direction ont été présent pour moi, même après ma blessure. Ils m'ont consolé et ça, je ne l'ai pas oublié. Il était donc naturel pour moi de les choisir. Avoir la chance de recommencer ce que le destin m'avait enlevé il y a deux ans est incroyable." Milan a été à deux doigts de vous recruter : . Savez-vous que le prochain derby sera plus chaud que d'habitude pour vous ? "Les Tifosi du Milan vont m'en vouloir, mais patience! Je sais pourquoi j'ai choisi l'Inter et je ne m'inquiète pas des huées, qui arriveront de toute façon dans le Derby". La seconde étoile dans le viseur "Le Scudetto est notre objectif, nous travaillons quotidiennement pour cela, nous voulons être heureux en fin de saison." L’avez-vous dit à votre ancien équipier Sommer ? "Non, il est trop réservé, j’espère qu’il arrivera, mais il ne s’exprime jamais." Votre idole... "Adriano : Il savait tout faire, je m’inspire de lui." Pourquoi pas Ronaldo ? "Lui non plus ne peut pas être loin de mes pensées : Mon père ne dormait jamais de toute la semaine lorsqu’il savait qu’il devait l’affronter, je m’en souviens bien." Avez-vous vu le Président Zhang à Tokyo ? "Oui, je l’ai rencontré vendredi au déjeuner, il m’a serré dans ses bras et m’a dit qu’il était fier de me voir ici et qu’il était impatient de me suivre en direct." Vous n’avez jamais évolué en 3-5-2... "Je l’ai parfois testé avec le Borussia, je dois comprendre son fonctionnement avec l’entraineur." Lautaro? "Il m’a marqué, impressionné immédiatement: Il est bien plus fort que ce que je ne le pensais." Je suis amoureux vous le saviez ? "Je suis un amoureux du football: Chaque fois que je monte sur le terrain, je suis heureux et dans la vie, tu es fier lorsque tu fais la chose qui te plais la plus au monde, encore plus si les choses se termine bien et je ferais tout ici pour que cela se passe bien." Quelle est la grande différence entre l’Allemagne et l’Italie ? "Le football est le football partout, surtout à haut niveau. Mais ici, on accorde plus d'attention à l'aspect tactique : je le savais déjà, maintenant je le touche de mes propres mains". Que vous a dit Lilian, votre père, de la Serie A ? "Qu’il a énormément changé depuis qu’il y avait évolué en Italie, mais il m’a poussé à choisir ce championnat, il m’a convaincu en me disant : "C’est un Pays qui vit pour le Calcio, tu t’y trouveras bien" et c’est vraiment comme ça." Vous êtes très actif sur les réseaux sociaux, comment vous imposez-vous face aux critiques ? "Je me diverti énormément avec les réseaux sociaux, c’est vrai: C’est un monde ouvert où tout le monde a la possibilité de parler et c'est plus facile de le faire derrière un ordinateur qu’en face à face. Je suis un personnage public : et donc Allez-y, cela ne m'affecte pas. Mais il y a aussi des aspects positifs." "Si je dois faire le bilan, je reçois bien plus d'amour que de méchanceté." Promettez-vous de battre votre record personnel de 13 buts ? "Je travaille sur cela, lorsque qu’une saison débute, l’objectif est de faire mieux que la précédente n’est-ce pas ?" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Le focus proposé par l'ancien défenseur des Nerazzurri sur son coéquipier à l'époque de l'Inter Luis Nazario de Lima Ronaldo, tout simplement dit: Il Fenomeno! Lors d'une interview accordée à LeoVegas.news, Lele Adani s'est exprimé sur un de ses anciens coéquipiers: Il était totalement différent. L'ancien défenseur des Nerazzurri a expliqué pourquoi ce surnom est-il si approprié: "Ronaldo est l'avant-centre de référence pour tout le monde, pour une raison très simple. À mon avis, il a été le meilleur avant-centre de l'histoire du football, en Hollande en Espagne, jusqu'à l'Italie avec l'Inter. Il faisait les choses à une vitesse, avec une technique et une force inconnue. Il a marqué une époque, le rythme des années où il a joué : Il y avait quelque chose de différent que personne n'avait. Il était impossible d'aller plus vite que lui et de prédire ce qu'il allait faire. Lui seul dépendait de la conclusion d'une action, un vrai Phénomène"! Grazie Massimo! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  5. Ce qui s'est passé mardi soir à l'Allianz Stadium suite aux honteuses insultes racistes contre Lukaku n'est que le dernier épisode d'une saga sans fin. Juventus-Inter est une rivalité féroce et amère qui va au-delà du football et prend souvent des tonalités de Far West. Voici donc, avant le match retour, toutes les polémiques et les bagarres les plus enflammées des 114 ans du Derby d'Italie : Pour retracer l'origine du poison de chaque match entre l'Inter et la Juve, il faut remonter au 16 avril 1961. Ce jour-là, l'Inter d'Helenio Herrera débarque à Turin en plein sprint pour le titre. Le match a cependant été interrompu après une demi-heure en raison d'une invasion de terrain qui, suite à une plainte des Nerazzurri, a donné la victoire à l'Inter. Cependant, une victoire annulée par un appel des Turinois, qui a obligé à rejouer le match. En réponse le président de L'inter Angelo Moratti, à envoyé l'équipe de la Primavera à Turin, qui a été humilié 9-1. Jusqu'au mémorable 26 avril 1998 37 ans plus tard, jour qui inaugura une nouvelle ère de feu et de flammes même sur le terrain : En pleine lutte pour le titre à quelques journées de la fin du championnat, L'Inter est sorti battu après s'être vu refuser un penalty très clair à Ronaldo, qui a été renversé dans la surface par Iuliano quelques instants avant que l'arbitre Ceccarini accorde un penalty à la Juventus sur un contre qui à été rondement mené, Del Piero échoue face à Pagliuca. Alors Une bagarre furieuse s'ensuit, avec Pagliuca qui a récemment révélé d'avoir donné un coup de poing sur le côté à Ceccarini. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  6. Arrivé à l’été 2000 sous l’ère Marcelo Lippi, Robbie Keane n’aura duré que six mois à l’Inter, une courte période certes, mais une période qui aura tout de même marqué l’international irlandais qui s’est livré dans le Podcast We Are Liverpool. "Si je regarde derrière moi, j’étais vraiment trop jeune pour y aller et il y a eu des choses qui échappent à tout contrôle, mais lorsque tu vois les joueurs que nous avions à l’époque….. Ronaldo était toujours blessé car il avait connu de très graves problèmes à son genou. Mais tu avais Christian Vieri, Hakan Sukur, Alvaro Recoba, Ivan Zamorano, c’était les meilleurs, ce qui se faisait de mieux en joueurs." "Je ne regrette rien même si je sais que je n’y suis resté que très peu de temps, pourtant j’ai énormément appris en terme de culture et sur les modes de vie, comme la façon de se nourrir par exemple. Nous restions sur le terrain d’entrainement lorsque nous devions jouer le soir: Il y avait des chambres sur place et Clarence Seedorf était mon colocataire et c’est surement l’un des pire que l’on peut avoir." "Il ne dormait pas, il aimait regarder des films d’animation, les lits étaient étroits avec qu’un très léger espace entre eux, une chaise les séparaient: Il mettait son pc portable sur cette chaise et nous regardions le Roi Lion et d’autres choses jusqu’à une heure ou deux heures du matin, alors que je préférais me coucher toujours vers minuit: Si la rencontre se jouait que le lendemain, il en profitait pour parvenir durant deux ou trois heures dans la journée sans problème alors que moi j’étais toujours bien éveillé : Il ronflait comme un porc!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Le Vice-Présidence de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à la Gazzetta Dello Sport directement du Qatar où il assiste à la Coupe du Monde : "Nous sommes comme ça les argentins, lorsque nous sommes dans le dur, sans aucune possibilité d’erreurs, c’est là que nous donnons le meilleur." Qu’avez-vous ressenti sur ce but de Messi ? "Une libération, pour moi et pour tout mon pays : En première période, nous n’étions même pas parvenu à réaliser un tir cadré, nous flirtions avec la possibilité d'être éliminés, ce qui aurait été un coup très dur à encaisser, surtout après que tout le monde nous ait donnés comme favoris. Ce but nous a permis de de tout débloquer, notre jeu et notre mental, car inconsciemment, la Vérité est que notre équipe nationale est inconsciemment dans l’obligation de l’emporter." "Ce discours aurait aussi été de mise pour l’Italie si elle avait été présente : L'objectif n'est jamais seulement de participer pour les grandes équipes. A présent, notre Coupe du Monde a commencé avec le but de Leo. Après cet épisode lié au but, l’équipe a commencé à jouer et a mérité sa victoire." Qu’y-avait-il derrière cette célébration de Messi ? "Le visage, regardez son visage, il semblait en transe, c’était incroyable : Leo a égalé Diego pour le nombre de buts inscrit en Coupe du Monde le lendemain du jour de l’anniversaire de sa mort : Tout semblait vraiment écrit de là-haut, tout était décidé à l'avance". Peut-être que Maradona lui a vraiment donné un coup de main… "C’est comme si Diego n’était jamais partie : Diego est l’essence même du football, il est toujours avec nous, il suffit d’écouter les chants des Tifosi argentins au stade qui nomment Messi, Maradona, le père de Maradona, la mère de Maradona pour pousser tout le monde vers la Victoire. Là, dans ce refrain, se trouve tout ce que la Seleccion représente pour le peuple argentin". Scaloni a déclaré ces derniers-jours : "Endosser le maillot de l’Argentine est une chose de totalement différente comparé à celui d’autres équipes nationales". Qu’est-ce que cela signifie ? "C’est assez simple : On ne se contente pas d'aller sur le terrain avec nos maillots et nos chaussettes et notre short, ce n’est pas suffisant pour nous. Nous portons en nous Diego à chaque fois, comme lors de la finale de 78, de la finale de 86. Nous avons sur nos épaulses l’espoir de tant de supporters à chaque match. Avez-vous vu combien d'Argentins sont présents à Doha, malgré la situation difficile de mon pays ? C'est incroyable. Il en va aussi de notre responsabilité qui se doit d’être importante : Car ils nous poussent, nous encouragent, nous soutiennent et c’est tout à fait normal : Ils veulent voir aussi des résultats et il ne faut pas croire que les joueurs ne le ressentent pas du tout." Qui est pour vous l’Homme de cette Coupe du Monde ? "Mbappé : Il l’a déjà prouvé lors des premières rencontres, il casse les matchs, il les brise. Il est si rapide avec le ballon au pied alors que d’autres ne le sont que sans le ballon. Et le fait qu’il le soit avec est une toute autre histoire et cela fait toute la différence. A quelques détails près, le français me rappelle Ronaldo il Fenomeno". En général les Stars répondent présent à l’appel... "Ce mondial sera décidé par leurs prestations : Je n’imagine pas de rencontres décisive où ils ne seront pas protagonistes : Mbappé est au rendez-vous. Il y a Ronaldo, Messi aussi: Celui qui aura la plus grande capacité à transcender ses équipiers emportera avec lui la Coupe à la Maison." Qui peut aller jusqu’au bout ? "Je vois trois équipe en meilleure position : Le Brésil, la France et nous l’Argentine." Pourtant, le fond de jeu de la Seleccion n’est pas visible... "En fait, je dirais que l’Argentine est entrain d’améliorer son fond de jeu : l’intensité augmente et la condition physique se doit d’augmenter également, sinon ce serait difficile de pouvoir aller de l’avant." Que se passe-t ‘il avec Lautaro ? "Cette Coupe du Monde peut encore être la sienne : Il va se débloquer rapidement, c’est garanti, peut-être même déjà face à la Pologne. Lauti ne doit pas s’inquiéter car c’était deux rencontres loin d’être simple à gérer pour un attaquant, cela ne l’aurait été pour personne et je ne vois pas de problème, j’ajouterai quelqu’un d’autre." Je vous en prie... "Di Maria : Pour l’Argentine il est devenu absolument décisif : C’est quelqu’un qui sait inventer le geste pour débloquer la rencontre, épouser les équilibre, sa condition physique est en augmentation, il est arrivé ici très limite, il ne peut que s’améliorer." Qui vous a le plus surpris, jusqu’à présent, dans le tournoi ? "En terme d’équipe, je dirais le Maroc : Compacts, concentrés, je ne les attendais pas à ce niveau, et contre la Belgique j'ai été impressionné. J’ai aussi été surpris par déclarations de De Bruyne après leur premier match où il dit que la Belgique ne fera certainement pas aussi bien qu'en 2018. Comment pouvez-vous dire cela, après une victoire ? C’est étrange..." Etrange comme l’exclusion d’André Onana du Cameroun... "On cherche à comprendre, et je vais bien discuter avec le joueur, ce qui est certain, c’est qu’il y a eu une discussion." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Javier Zanetti, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré aux "Autogol" au cours du Festival du Sport organisé à Trento par la Gazzetta Dello Sport: "Joueur, j’étais très lié avec Marcelo Bielsa, Luigi Simoni et José Mourinho, avec qui j’échange encore. Dirigeant, mes deux années avec Conte ont été très importantes, nous avons tissé des bons liens, même familiaux." Aviez-vous bien travaillé ensemble ? "Très bien, même en joueur nous nous serions bien trouvés vu sa culture du travail." Quel est le joueur le plus fort avec lequel vous avez joué ? "J’ai eu la chance de jouer avec de très grand joueurs, mais j’en citerai deux : Ronaldo il Fenomeno et Lionel Messi. Et j’ai aussi un gros faible pour Roby Baggio, qui au-delà de ses capacités footballistiques est une grande personne vraiment fantastique : Il est unique." Quel est votre plus beau souvenir sportif, celui auquel vous êtes le plus lié ? La Finale de la Coupe de l’Uefa à Paris et celle de la Ligue des Champions à Madrid, pour tout ce qu’elles représentent dans l’Histoire de l’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Présent à la Cérémonie du Ballon d’Or, le seul et unique Ronaldo s’est livré sur la Serie A à Sport Mediaset "Je suis l’Inter et le Calcio, je regarde énormément le Calcio. Je suis propriétaire de deux équipe, l’une au Brésil, l’autre en Espagne, mais je regarde tous les matchs, je suis un malade du Calcio. J’ai regardé l’Inter lors de ces deux matchs contre Barcelone et elle a réalisé une très belle performance: Deux rencontres de Géants face à une grande équipe." Milan et le Napoli sont devant… "Oui, mais le Championnat est encore très long." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Le Roc Nerazzurro s’est livré dans le très célèbre Match Day Programme qui anticipe toujours les matchs de Coupe d’Europe, voici ses déclarations: "Chaque entraineur m’a apporté quelque chose, comme pour mes équipiers, je crois que l’entraineur qui a eu le rôle le plus important pour moi, c'est celui qui m’a testé pour la première fois en défenseur central car avant, je jouais au milieu et gamin en attaque." "Avoir la bonne mentalité, même dans les moments les plus difficiles, est ce qui m’a aidé le plus dans ma carrière: Je crois qu’avoir du mental et de la détermination sont les éléments essentiels. Je suis très attaché à la ville où je suis né, Ziar nad Hronom, puis il y a Zilina, où j’ai commencé à jouer au football en tant que professionnel et Milan, une ville qui m’a accueilli immédiatement en me faisant sentir chez moi." "Enfant, mon idole était Il Fenomeno Ronaldo, c’était un joueur décisif et incroyable. Je me suis toujours dit que les choses faciles peuvent être faites par tout le monde, donc il faut avoir le courage d’essayer les plus difficiles." "Si je ferme les yeux, la rencontre qui m’a le plus touché a été mes débuts en Ligue des Champions face à Tottenham : Lorsque nous sommes montés sur le terrain, j’ai ressenti de si belles sensation : Ensuite, il y a mon premier but face au Sheriff. Et dans les ballons sauvés en Ligue des Champions, celui que je retiens comme le plus important reste celui face au Shakhtar à Kiev". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  12. Milan Skriniar, le défenseur central de l'Inter, s’est livré à Borja Valero dans le cadre de l'émission "Dazn Heroes". Que représente pour toi Ronaldo ? "Il Fenomeno était mon idole depuis l’enfance, je jouais attaquant. Tous les gamins, lorsqu’ils commençaient à jouer, voulaient marquer et faire des passes décisives comme lui, mais au plus haut niveau. C’était mon idole, je me souviens de la Coupe du Monde 2002 où il avait cette coupe de cheveux, j’avais demandé à mon père de me faire une coupe comme lui, mais c’était dégueulasse et il me les a tout de suite coupés." Quel est ton rapport avec Bastoni ? "Nous écoutons de la musique italienne, je l’aime énormément. Lorsque l’on rentre dans le vestiaire, les gens nous voient ensemble, j’ai une partie du casque et lui l’autre, c’est quelque chose que vous ne verrez jamais ailleurs." Parlez-vous, ensemble, des critiques ? "L’équipe ou l’Entraineur ne blâme pas les défenseurs, nous prenons généralement les buts en tant qu’équipe : C’est toute l’équipe qui défend comme ce sont les défenseurs qui sont à la base des attaques. Nous avons parlé tous ensemble de cela, et comme défenseurs, nous savons ce que nous pouvons faire pour nous améliorer." Décris-nous ton tatouage sur le torse... "Il a une signification : C’est un diable et un ange qui se tiennent par la main pour maintenir l’équilibre. Si tu es trop gentil, les gens vont profiter de toi, mais tu ne peux pas être trop mauvais non plus, c’est nocif, je l’ai fait il y a cinq ans." Combien de temps t’as-t ’il fallut pour accepter et métaboliser la saison dernière ? "Il y avait énormément de désillusions, mais nous nous sommes dit que nous avions tout de même remportés deux titres et que le fait de ne pas avoir remporté le Scudetto devait être un stimulant pour commencer la préparation et chercher à la gagner cette année. Je ne veux pas écouter les rumeurs, elles te font perdre uniquement de l’énergie, nous avons perdu le Derby en l’ayant dominé 70 minutes, et nous sommes trompés en pensant que la rencontre de Sassuolo pouvait être décisive : Le Milan a été très bon, ils ont eu des rencontres très difficiles, mais il les a toute remportés : Le mérite leur en revient, il n’y a pas que notre démérite…" Ton arrivée à Gênes "J’y suis arrivé en fin janvier, c’était très difficile pour moi, mais j’étais content de cette opportunité: Je ne parlais pas l’italien et le transfert s’est fait en trois jours : J’étais à Dubaï avec les U-21, et je suis tout de suite parti lorsque j’ai vu cette possibilité. Je n’ai joué que deux matchs, je me suis entrainé tant de fois à part, c’était une période difficile mais cela m’a aidé, cela m’a rendu plus fort." "Je tiens à remercier Giampaolo car même si j’ai raté quelque matchs il m’a toujours soutenu, il voyait ce petit quelque chose en plus que les autres ne voyaient pas : Je ne pensais pas que cela allait être aussi difficile : Je devais toujours être à la bonne place, regarder mes équipiers et les adversaires, c’est aussi ce qui m’a permis de devenir un défenseur de qualité." Quand as-tu débuté en tant que défenseur ? "J’évoluais au poste de milieu de terrain au Zilina, un jour, le défenseur central s’était blessé et l’entraineur m’avait demandé de le remplacer. Après ce match, il m’avait dit que j’avais réalisé une très belle prestation et j’ai commencé à toujours jouer en défense dans les parties suivantes : C’était une chance car peut-être que je serai encore en train de jouer en milieu de terrain dans le championnat slovaque." Antonio Conte ? "La défense à trois était quelque chose de nouveau, j’ai eu des difficultés au tout début, j’étais limité dans ce rôle. Travailler avec lui m’a aidé à m’améliorer, je me suis habitué à jouer à ce poste, je peux, à présent, aussi bien jouer dans une défense à trois que dans une défense à quatre, c’est quelque chose de positif." Simone Inzaghi ? "C’est comme si c’était l’un des nôtres, il parle et il pète les plombs avec nous: Quand il a quelque chose à dire, il hausse le ton : C’est un entraineur équilibré : Il sait se divertir avec nous, et il sait quand il doit intervenir pour nous dire ce qu’il pense." Les fléchettes… "On y joue encore, mais plus comme avant, Brozovic était un fou de fléchettes, ils nous écœuraient tous : A présent, en stage, nous sommes toujours ensemble, nous sommes à 6 ou 7 dans les chambres, nous regardons les matchs : Nous formons un groupe fantastiques composé de bons garçons, nous sommes aussi amis hors du terrain, nous ne sommes pas que des équipiers." As-tu un rite ? "La veille d’un match, le soir, je regarde les vidéos de mes adversaires du jour, ensuite j’écoute de la musique lors du voyage en car pour arriver au Stade." Tu es dans le cœur des Tifosi... "J’ai toujours cherché à donner mon maximum pour ces couleurs et cette équipe. Je le fais encore maintenant comme je l’ai toujours fait et c’est pour cela que les Tifosi me veulent du bien : J’ai d’excellents rapport avec eux et je tiens à les remercier, c’est si beau pour un joueur, d’avoir un tel rapport avec ses supporters." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Interviewé en présence de Fabio Galante sur le canal YouTube de Star Casino Sport, Javier Zanetti s’est livré sur son parcours à l’Inter. Place à l’interview du Capitaine des Capitaines Le Meazza "C’est devenu notre maison pour tout ce que j’y ai vécu, tant de moments inoubliables." Débarquement à Milan "C’était un grand changement pour moi, car en Argentine, je vivais dans la périphérie de Buenos Aires. Lorsque l’on m’a dit que l’Inter m’avait recruté…Je ne parvenais pas à y croire, je jouais dans une petite équipe en Argentine…. Faire ce grand saut et prendre l’avion tout seul à Buenos Aires, direction Milan, était une nouveauté pour moi et pour ma famille." "Cela a changé ma réalité mais aussi celle de mon père et de ma mère, je me rappelle d’un déluge universelle sur la Terrasse Martini, c’était mon premier contact avec Milan. Et dès cet instant, j’ai été énormément séduit. Je n’oublierai jamais mon premier match au Meazza : C’était le 27 août, Inter-Vicenza, nous l’avions remporté 1-0 via un but de Roberto Carlos." "On devait jouer le dimanche, mais déjà le vendredi j’avais pris la voiture avec mes parents pour faire un tour au Meazza, je leur avais dit : Regarder, c’est ici que je vais jouer, dimanche, ma première partie, ils étaient si émus." L’idée de génie de Ronaldo "Voici une anecdote : Il y avait une douche solaire dans le vestiaire, c'est-à-dire une lampe car, notre médecin qui était Ronaldo, nous avait dit que ça aidait contre les champignons et les taches sur la peau. Nous n'avions pas remporté le championnat, mais nous étions la plus bronzée (il rit)" Uefa 98 Qu’as-tu dit à Simeone sur ton but ? "De me laisser le ballon, d’habitude, il n’écoutait pas, mais à ce moment-là, il m’a laissé faire et j’ai inscrit un très beau but. C’était une très grandissime émotion pour moi car c’était ma première finale au niveau européen avec l’Inter. En vrai c’était la seconde, car l’année précédente nous l’avions perdu eux penalty." "C’était une sorte de revanche et affronter une équipe italienne, comme la Lazio, au Parc des Princes à Paris, avec toute la tifoserie de l’Inter était très touchant. De ce parcours en Coupe, je me souviens de la fameuse rencontre à Moscou, un vrai champs de patate où Ronaldo semblait se déplaçait de la sorte (il simule un patinage), il avait une telle puissance." Ses adversaires les plus forts "Dans ma carrière, j’ai toujours eu la chance de marquer de très grands joueurs. J’ai dû marquer Messi aussi en demi-finale de la Ligue des Champions, ce n’était pas un client faclie, mais on parle-là de joueurs qui pouvait faire la différence à n’importe quel moment : C’étaient tous des joueurs différents." Le rôle du défenseur "Le football a évolué, avant le défenseur ne devait que défendre et ensuite penser à construire, a présent c’est l’inverse : d’abord la construction, puis la défense." Gigi Forever "C’est difficile de désigner le meilleure entraîneur : Simoni, pour nous a été si important et il me manque tellement, car en plus de ses capacités d’entraîneurs, c’était une très Grande Personne. Il avait vraiment créé un grand groupe Personnellement, je ne peux pas ne pas citer Mancini car c’est avec lui que nous avons commencé à gagner des choses importantes. Et il y a, enfin, Mou pour tout ce qui nous a transmis, il nous a fait comprendre que tout est possible: Il nous a sincèrement bien fait aller au-delà de nos possibilités car cette année 2010 reste et restera inoubliable pour nous les Interistes." Rendez-lui le brassard et sa jeunesse ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. C’est une révélation définitive de la Gazzetta Dello Sport: Milan Skriniar a dit oui au Paris-Saint-Germain. Et sauf démenti officiel de sa part dans le courant de la journée, il faudra considérer cette information comme officielle! "Milan Skriniar a dit oui au PSG. Le Slovaque lui-même avait d'abord souligné, entre les lignes, une légère déception pour une opération qui n'émanait pas de son désir. Ces derniers jours ont permis d'atténuer la rigidité de Skriniar : le temps, le besoin absolu de l'Inter de gagner de l'argent et aussi (et surtout) la maxi-offre de Paris l'ont fait revenir à des conseils plus doux. En effet, ils l'ont amené à prononcer les deux lettres manquantes : SI." "Milan a dit un oui définitif et est convaincu par le projet (lucratif) du Psg: Skriniar est donc prêt à dire au revoir à l'Inter, mais il faut d'abord trouver un accord entre le club, ce qui n'est toujours pas le cas." Trahi par un ancien "Un coup de fil avec Achraf Hakimi, l’ailier marocain qui courait comme un TGV lors de la dernière année de Conte, mais qui n’est pas parvenu à réitérer cette performance à Paris sous Pochettino, a permis à Milan de dissiper ses derniers doutes. La détermination du nouveau Directeur Sportif, Luis Campos, et un contrat de base de 7,7 millions nets, soit plus du double de ce qu'il gagne actuellement, ne suffisaient pas à Skriniar : Le défenseur central slovaque voulait aussi avoir connaissance des considérations tactiques précises: Hakimi lui-même a répété que le club veut construire un 11 plus équilibré et que cela passe par une défense renforcée et ce n'est pas un hasard si une maxi-offre pour Milan a été définie." Place aux clubs "En début de semaine, une première augmentation considérable est arrivé de la France: l'offre initiale de 50 millions ayant été portée à 60 millions d'euros, mais une nouvelle démonstration de force qatarie devrait bientôt arriver: Attention également car Giuseppe Marotta et Piero Ausilio restent fermes sur la Montagne à gravir de 80 millions d'euros." "Le point de bascule, similaire à celui connu précisément par Hakimi est réaliste, car l’international marocain est allé à Paris pour un total de 68 millions d'euros, primes comprises, il suffirait d'aller un peu plus haut cette fois-ci" Une vente record Sauf démenti officiel du principal intéressé, Milan a donc succombé à la tentation, peu importe la raison, et n’est pas Alessandro Bastoni ou Javier Zanetti qui veut. Financièrement parlant sa vente représenterait dans l’absolu la seconde vente la plus cher de l’histoire du club. En effet, déjà avec 70 millions d’euros et un contrat, bonus compris à hauteur de 9 millions d’euros, Milan Skriniar ne serait devancé que par un certain Romelu Lukaku au niveau des transferts les plus lucratifs de l’Histoire du club. Skriniar, dans ce classement, devancerait: Zlatan Ibrahimovic, vendu au Fc Barcelone en 2009 pour 69,5 millions d’euros (49.5 millions d’euros et Samuel Eto’o), Achraf Hakimi et ses 66,5 millions d’euros en 2021, Mauro Icardi et ses 50 millions d’euros en 2020, Ronaldo, il Fenomeno, pour 45 millions d’euros au Real Madrid en 2002 Sans prise de position officielle pour démentir de la part du principal intéressé: Amour du maillot ou Amour de l’Argent…. Vous avez la réponse ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Toujours très sérieux, Footy Headlines fait généralement mouche lorsqu’il s’agit de révéler les maillots des différents clubs européen, l’Inter incluse. Et si les kits sont assez bien détaillés, vous n’êtes absolument pas prêt pour le kit d’avant-match annoncé… Mais nous y reviendrons à la fin de cet article. Maillot Home Voici La première vraie photo du kit domicile de l'Inter 22-23 qui a été divulguée la nuit dernière par @ebbkrXLIV. C'est notre premier regard sur ce modèle unique l'Inter 2022-23, y compris son col inhabituel. Il est également à noter que le maillot domicile ne comporte pas d'étoile au-dessus de l'écusson. C'est également la première fois que nous voyons le maillot avec le sponsor DigitalBits. Le maillot de football Home de l'Inter 2022-23, reste fabriqué par Nike. Basé sur une variation du modèle de 2021-2022, le maillot 2022-2023 présente de larges rayures noires et bleues sur le devant, le dos et les manches. Le bas du dos présente le logo de Lenovo en blanc, couleur qui est également utilisée pour la marque Nike et le logo du Main Sponsor principal. L'intérieur de l'encolure du maillot arbore un graphique de fierté sur mesure avec le mot MILANO en son centre. Un short et des chaussettes noirs complètent le kit Home de l'Inter 2022-2023. Maillot Away Cette photo montre le maillot extérieur Nike Inter Milano 2022-23 Le maillot Away combine une base blanche coloré de ‘Light Aqua' pour un graphique "All-over" et du noir pour les logos de la marque et des sponsors et les sponsors. Cela inclut l'écusson de l'Inter, qui est recoloré en turquoise et blanc avec un contour noir, correspondant à la palette de couleurs de l'ensemble du kit. La caractéristique la plus remarquable du nouveau maillot "away de l'Inter est sans aucun doute le graphisme, qui, représente une carte du monde, avec l'Italie et Milan placés juste en dessous de l'insigne du club. Cela s'inspire de l'histoire de l'Inter en tant que club qui a toujours accepté les Italiens comme les étrangers sans aucune limite avec cette célèbre citation : "Cette nuit merveilleuse nous offre les couleurs de notre armoirie : noir et bleu sur fond d'étoiles dorées. Il s'appellera Internazionale, parce que nous sommes frères du monde." Le kit extérieur de l'Inter 22-23 devrait être lancé en juillet 2022. Third Kit Si des photos ne sont pas encore disponibles, des éléments importants émergent et font étrangement penser à un maillot historique de l'Inter. Le troisième maillot de l’Inter 2022-23 combine une couleur principale jaune vif avec des logos noirs. Officiellement, les couleurs sont "Jaune Dynamique / Noir". Le bleu clair complètera certainement l’ensemble. En fait, le jaune dynamique est la même couleur que celle utilisée pour le maillot domicile de la Coupe du monde Brésil 2022. De nombreux Brésiliens ont joué pour le club, notamment Ronaldo R9 et Adriano. La couleur du troisième maillot Nike Inter 2022-2023 évoque des souvenirs de la saison 2015-16, lorsque l'Inter avait un troisième maillot de couleur très similaire. Le troisième maillot Nike Inter 2022-2023 sera lancé très probablement en août 2022. Place à présent au Chef d’œuvre ! Le maillot d'avant-match a fait l'objet d'une fuite. Fabriqué par Nike, il présente un design "impressionnant" et sera porté pour l'échauffement avant les matchs de la Serie A 2022-23. Inspiré du nom et de l'histoire du club (Football Club Internazionale Milano), le maillot de football Nike Inter 2022-23 d'avant-match présente un design unique avec des drapeaux de pays partout. En termes de couleurs, le maillot se décline en différentes nuances de bleu, associées à du blanc pour les logos. Le maillot de football Nike Inter Milan 22-23 d'avant-match proposera également le Main Sponsor et devrait sortir d’ici au mois de juillet 2022 Vous étiez prévenu, vous n’étiez pas prêt ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. C’est une révélation de Tuttosport, si l’Inter a décidé de miser sur Paulo Dybala, l’arrivée de la Joya apportera une plus-value aussi bien fondamentale sur le terrain, qu’en terme d’image "L'un des aspects qui a incité l’Inter à miser à miser sur Paulo Dybala est sa visibilité mondiale. Il dispose d’une Fan Base de de près de 70 millions de followers à travers l’ensemble des différents réseaux sociaux à travers le monde. Pour le Président Steven Zhang, le voir porter les couleurs Nerazzurre peut également représenter un extraordinaire virage en terme de marketing du club, en prenant en considération le fait que, depuis l'époque d’Il Fenomeno Ronaldo, l'Inter n’avait plus jamais eu un joueur avec un tel impact dans l’imaginaire collectif." L’Inter larguée Dybala a 15,5 millions d'"amis" sur Facebook, 2,5 millions de followers sur Twitter et 48 millions sur Instagram, des chiffres qui font de lui le leader des joueurs en Serie A. ligue: "Le chiffre sur Instagram est particulièrement significatif de l'impact que son atterrissage à la Pinetina peut représenter à l’Inter : En additionnant les followers des 25 joueurs de l'effectif la saison dernière, on arrive à 54 millions, un chiffre " maintenu élevé grâce aux deux Chiliens, puisque Vidal revendique 17,2 millions de followers, tandis que Sanchez en compte 13,9." 48 millions pour la Joya 22,9 millions pour l’Inter sans les Chiliens… Ouch ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Antonio Conte va s’en mordre les doigts : Si les transferts de Paulo Dybala et Romelu Lukaku sont confirmés, l’Inter proposera une puissance de feu qui ne sera pas sans rappeler les formidables paires formées par Samuel Eto’o et Diego Milito, ou encore celle composée de Ronaldo, Christian Vieri et un certain Adriano.... Comme le révèle nos confrères de Blastingnews en Italie, Simone Inzaghi se verrait contraint et forcé d’adapter son 3-5-2 vu la présence des trois bombardiers: "L'Inter a décidé de prendre de l’avance sur le Mercato Estival pour ne pas être prise au dépourvue. Le but étant de renfoncer l’effectif afin de lancer l’assaut vers la Seconde Etoile. Les Nerazzurri ont donc pris de l'avance en commençant à mettre en place d'importantes négociations, mais ces dernières semaines, une suggestion importante prend également forme: Celle du retour sensationnel à Milan de Romelu Lukaku, un an après sa vente record à Chelsea pour 115 millions d'euros." Jamais Inzaghi n’a composé avec un tel effectif Et l’Inter d’Inzaghi pourrait s’en retrouver bouleversé avec un changement de modulo : "Ces dernières heures, les chances de voir Romelu Lukaku revenir à l'Inter la saison prochaine augmentent de façon exponentielle: "Un an après son transfert à Chelsea, Big Rom fait maintenant pression pour retourner à Milan car il n'a pas pris ses marques chez les Blues, souvent relégué sur le banc par l'entraîneur Tuchel." L'opération n'est pas facile et la seule façon de la faire aboutir est celle de passer par le biais d’un prêt avec le joueur déjà prêt à diviser son salaire par deux pour être dans les paramètres du club milanais. Conséquence directe: "Simone Inzaghi, l’entraîneur de l’Inter verrait son échiquier tactique totalement remis en question, au point de devoir abandonner son classique 3-5-2. La raison n’est pas uniquement liée au retour de Lukaku, mais surtout par l’arrivée en attaque également de la Joya Paulo Dybala qui est en fin de contrat à la Juve, et qui rejoindrait gratuitement les Nerazzurri, en retrouvant par la même occasion Giuseppe Marotta qui l’avait amené à Turin de Palerme pour une somme de 40 millions d’euros." "Et même avec le départ attendu d’Alexis Sanchez, l’Inter disposerait de trois attaquant de renom : Lukaku, Dybala et Lautaro Martinez. Simone Inzaghi devrait donc passer au 3-4-2-1 ou 3-4-1-2, selon le cohabitation tactique à lier à côté de Lautaro." La suggestion d’Internazionale.fr L'attaque de Simone Inzaghi pourrait donc être composée de Romelu Lukaku au centre, avec Paulo Dybala et Lautaro Martinez libres d'évoluer sur tout le front de l'attaque, avec Mkhitaryan et Çalhanoğlu comme premières alternatives. Barella et Brozovic confirmés au milieu du terrain, avec Gosens et Dumfries sur les ailes. En défense, tout dépend du "sacrifié", s’il s’agit à n’en pas douter de Stefan de Vrij Voici une suggestion d’équipe Suffisante pour revendiquer le Scudetto selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Footyheadlines.com nous propose quelques exemples des futurs jeux de maillot pour la saison 2022/2023. Preuve de son sérieux, le célèbre site avait, par exemple, très bien anticipé le troisième jeu de maillot européen nerazzurro de cette saison Annonce du jeu de couleurs Le vrai maillot Home 2022-23 Le maillot domicile 2022-2023 présente de larges rayures noires et bleues sur le devant, le dos et les manches.. Dans le bas du dos, on retrouve le logo de Lenovo en blanc, qui sera également utilisé pour la marque Nike et le logo du sponsor principal, bien qu'il apparaisse ici en gris. L'intérieur du col du maillot domicile 2022-2023 sera orné d'un graphisme personnalisé, similaires aux maillots des Corinthians et du Hertha Berlin. Away 2022/2023 FootyHeadlines, grâce à Gol de Sergio, peut déjà nous confirmer les couleurs à venir du futur maillot extérieur. Le maillot 2022-2023 Away combine une base blanche avec Light Aqua pour les logos et les sponsorisations. Cette couleur n'a jamais été utilisée pour un maillot extérieur de l'Inter, mais il évoque le maillot extérieur de la saison 2019-2020 "'Aquamarine" Le noir sera utilisé pour les détails et peut-être pour certaines parties de l'écusson de l'Inter. Third Le troisième maillot combine une couleur principale jaune vif avec des logos noirs. Officiellement, les couleurs sont "Jaune Dynamique / Noir". Le jaune dynamique est la même couleur que celle utilisée pour le maillot domicile du Brésil lors de la Coupe du monde 2002. De nombreux Brésiliens ont joué pour le club, notamment Ronaldo "R9" et Adriano. La couleur du troisième maillot 2022-2023 évoque celui de la saison 2015-16, lorsque l'Inter avait un troisième maillot de couleur très similaire. Si bien sur, il est encore très tôt pour connaitre les modèles définitifs, validez-vous déjà ces premières informations ? Avez-vous déjà une préférence ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  19. Dans le calendrier de cette fin de saison, la confrontation avec la Roma de notre célèbre José Mourinho était le match de tous les dangers : Une victoire était impérative pour cette dernière confrontation directe face à une équipe du Top. Et ce que l’Inter a proposé face à la Juve et face au Milan, l’Inter l’a répétée face à la Louve : Marquer au bon moment pour couper les jambes de son adversaire! Et si Denzel Dumfries s’est pris pour Ronaldo, le brésilien en partant seul en but lancé en profondeur par Hakan Çalhanoğlu à la demi-heure de jeu, il est bon de rappeler que quelques secondes auparavant la tête de Mancini fleurtait avec la transversale de notre Samir Handanovic. Le chef d’œuvre de la soirée est à mettre à l’actif de Marcelo Brozovic, qui suite à une excellente séquence de jeu se retrouve dans la surface de réparation, lancé par Ivan Perisic, sa phase de jeu épique voit sa reprise du pied droit nettoyer la lucarne opposée de Rui Patricio. Lautaro Martinez inscrira le troisième but de l'équipe etnrainée par Simone Inzaghi à la 52’ via une tête sur corner. Notre Beneamata se chargera ensuite de gérer la rencontre avec une Roma qui aura été l’auteur d’une première période catastrophique avant de se reprendre en fin de match, preuve en est le bijou et la patate inscrit par Henrikh Mkhitaryan à la 85'. Avec la défaite du Napoli à Empoli suite au doublé d’Andrea Pinamonti et la victoire du Milan via l’assist de son (futur ?) recrutement Acerbi, la course au titre passera plus que jamais par une victoire impérative sur le terrain de Bologne dans le cadre du match en retard de l’Inter Tableau Récapitulatif Résumé Video Inter 3-1 Roma Buteur(s): 30' Dumfries(I), 40' Brozovic (I), 52' Lautaro Martinez (I), 85' Mkhitaryan (R) Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 32 Dimarco (63' 95 Bastoni); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozovic (72' 5 Gagliardini), 20 Çalhanoğlu, 14 Perisic (72' 18 Gosens); 9 Dzeko (63' 19 Correa), 10 Lautaro Martinez (82' 7 Sanchez) Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian, 38 Sangalli T1: Simone Inzaghi Roma: 1 Rui Patricio; 23 Mancini, 6 Smalling, 3 Ibanez; 2 Karsdorp, 7 Pellegrini (63' 17 Veretout), 27 Oliveira (80' 52 Bove), 59 Zalewski (78' 5 Vina); 92 El Shaarawy (63' 11 Perez), 77 Mkhitaryan; 9 Abraham (78' 14 Shomurodov) Banc: 63 Boer, 15 Maitland-Niles, 24 Kumbulla, 37 Spinazzola, 42 Diawara, 55 Darboe, 64 Afena-Gyan T1: José Mourinho Arbitre: Sozza VAR: Irrati Averti(s): Mancini (R), Brozovic (I), Oliveira (R), Çalhanoğlu (I) Expulsé(s): / Affluence: 74.947 Tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport qui, si à Milan ne changera rien, elle enfoncera encore un peu plus Romelu Lukaku parti à Chelsea pour un meilleur salaire: "La vente estivale de Romelu Lukaku n’était pas prévue, mais elle a très certainement donné un grand coup de main aux comptes financiers de l’Inter : L’encaissement des 115 millions d’euros a permis au club de continuer son parcours, en blindant par la même occasions ses meilleurs talents." Selon la Rosea un retour du Belge est impossible avec les paramètres actuels à moins d’un cadre inattendu : "S’il était resté à Milan, le Belge aurait perçu aujourd’hui 8,5 millions d’euros et aurait perçu bien plus que le meilleur et nouveau standard interiste. A Chelsea, le salaire va bien au-delà : 12,5 millions d’euros, et cela rend encore plus étroit la route le menant à Milan. De plus Marina Granovskaia, qui dispose des pleins pouvoirs à Chelsea est l’une des personnalités parmi les plus coriaces de l’Europe du football. Il est donc difficile d’imaginer une quelconque concession après un maxi-investissement estival." "Traduisez : L’unique possibilité pour le revoir Nerazzurro, c’est un prêt gratuit qui s’annonce extrêmement compliqué. Dans la composition de ce cadre, Romelu est prêt à apporter sa pierre à l’édifice : Il serait prêt à réduire son salaire somptueux afin de prouver sa volonté encore plus visible pour les différents responsables. Après des jours de pure tempête en décembre suite à sa fameuse interview, tout semblait rentrer dans l'ordre : Romelu Lukaku était prêt à réintégrer pleinement Chelsea. Mais les derniers échos font état que tout a de nouveau changé : Le Belge pense encore à l’Inter." Mais si Romelu veut l’Inter, est-ce que l’Inter voudrait Romelu ? "Il serait audacieux de répondre par un "non" catégorique : Qui renoncerait à une arme qui a fait des ravages en Italie ? Il serait plus juste de dire qu'il s'agit d'une question de "possibilité" et non de "volonté" : Les Nerazzurri, pour le moment, ne peuvent pas. Il faudrait même dire : Ils ne pourraient pas, il faut faire emploi du conditionnel dans les voies infinies du marché. Car le club a désormais d'autres projets, tant techniques qu'économiques". L’Inter "s’aligne" sur ses Tifosi "Au même moment, à Milan, les supporters blessés de l’Inter le perçoivent autrement : Romelu est traître parti pour l'argent, un fugitif en pleine tempête. Mais depuis, beaucoup de choses ont changé, tant sous le ciel du Belge que sous celui de l'Inter : Romelu se meurt de nostalgie pour ses anciens coéquipiers et les Nerazzurri ont retrouvé, eux, une partie de leur ancienne solidité. Et si les Nerazzurri ont retrouvé une partie de leur solidité d'antan, ceux-ci ont choisi une voie différente de celle du Belge sur le Mercato: L'avenir nous dira si cela changera un jour" Après Zlatan, Après Ronaldo, un nouvel attaquant s’aperçoit bien trop tard à quel point l’Inter peut être merveilleuse ! Lorsque l’on sait que Giuseppe Marotta est disposé à tout faire pour s’attacher les services de Paulo Dybala, le Diable Rouge regrettera amèrement, comme les autres l’idée d’être parti, non pas pour le projet sportif, comme ce fut le cas pour Ronnie et Zlatan, mais pour un meilleur salaire. L’argent ne fait pas tout dans la vie ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Lautaro Martinez est prêt à disputer la rencontre la plus importante de sa carrière à l’Inter. En effet, dans quelques heures, Liverpool se dressera sur son chemin. Pour l’occasion, le Toro argentin, muet depuis la mi-décembre, s’est livré à Amazon Prime : Quel Lautaro verrons-nous demain ? "Un joueur qui a énormément appris, j’ai joué deux ou trois fois en Ligue des Champions, ce sera une partie très belle à jouer, nous avons passé la phase de groupe et c’était important pour nous. J’espère être bon et aider l’équipe, se qualifier est notre rêve : Mon Inter veut être protagoniste et mettre en difficulté ses adversaires." S’agira-t ’il de la partie la plus importante de votre carrière ? "Oui, car c’est un huitième de finale, ce sera l’une des plus importantes, aucun doute." Les déclarations de Jurgen Klopp...... "Ses éloges me font plaisir et je remercie, c’est un grand entraîneur qui aura très certainement bien préparé la rencontre. Nous devrons nous montrer bon si nous voulons nous qualifier. Liverpool a des joueurs de qualité, nous devrons être bien préparé et les phases de non-possession seront importantes, car ils attaquent avec énormément d’hommes rapides, nous devrons rester concentrés." Diego Milito ? "C’est une personne très importante pour moi, il m’appelle tous les jours et me donne des conseils, je le remercie car j’ai appris énormément avec lui et je conserverais pour toujours ses moments passés avec lui en moi." Vous aviez débuté au Racing en le remplaçant… "C’était une émotion unique, c’était l’Idole des tifosi de l’Avellaneda. Je suis arrivé à Buenos Aires avec un rêve et le réaliser si beau." Quel est l’attaquant idéal ? (Des photos de Ronaldo, Milito, Adriano, Lukaku et de lui-même lui sont montrés) "Le meilleur pied droit est de Milito, le meilleur pied gauche est d’Adriano : Précis et puissant" Le meilleur de la tête ? "Romelu, car il cherchait toujours l’espace dans la surface et il nous a décidé une bonne paire de match en marquant de la sorte, je le prendrai lui." Pour les dribbles ? "Il Fenomeno : Il était très rapide, il savait passer l’adversaire si facilement pour se projeter vers le but." "Pour moi, c’est le cœur : Je cherche toujours à donner le maximum avec le maillot que j’endosse et l’important est que l’Inter gagne, je cherche à tout donner pour aider mes équipiers. Depuis mon premier jour ici, j’ai toujours eu un traitement particulier avec les tifosi, car les Argentins ont écrit l’Histoire : J’espère continuer à faire de mon mieux afin de permettre à l’Inter d’aller le plus haut possible." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Interviewé par Radio Kiss Kiss Napoli, le Président Historique de l’Inter s’est livré sur son affection pour Alvaro Recoba, pour José Mourinho et sur les performances napolitaines cette saison "Mes joueurs m’appelaient papa pour m’amadouer, pour leur octroyer des primes (il sourit). Du point de vue footballistique, j’avais beaucoup d’affection pour le potentiel des joueurs et Alvaro Recoba était l’un de ceux-ci. A l’Inter, il ne jouait pas énormément et Zamparini me l’avait demandé. Pour le convaincre, j’avais dit à El Chino qu’il irait dans la ville la plus belle du Monde et qu’il reviendrait bien plus fort. Il s’y est très bien adapté et a sauvé Venise." "Recoba et Ronaldo m’appelaient Papa, j’entretiens d’excellent rapport avec Mourinho, et nous sommes toujours en contact : L’estime est intact depuis le temps du Triplé. J’irai surement voir au stade la rencontre entre l’Inter à la Roma." Le Napoli ? "Il retrouve, à présent, son équilibre et il peut revenir et avoir sa chance pour le Scudetto. Le mérite en revient aussi à la bravoure de Spalletti, mais l’Inter reste toutefois la plus forte actuellement en Italie." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Avant de dispter la finale de la Super Coupe d’Italie, Milan Skriniar s’est livré à DAZN dans le cadre de l’émission "1vs1". Voici les déclarations de la Bête Nerazzurra A présent, ton surnom est Skrigno...... "Certains m’appellent encore Milan, mais ils sont très peu." Tu es très fort cette année... "Oui, nous sommes une bonne équipe." Es-tu le plus fort d’Italie dans les 1 contre 1 ? "Je ne sais pas si je suis le plus fort, mais lorsque je joue face à des adversaires, je les regarde en vidéos pour connaitre les mouvements qu’ils réalisent, c’est pour cette raison qu’l m’est plus facile de lire leur jeu, même s’ils sont talentueux : Je ne les étudie pas, mais je regarde énormément de vidéo de mes adversaires, surement qu’ils font eux aussi la même chose." Est-ce que la défense composée avec Alessandro Bastoni et Stefan De Vrij est la plus forte dans laquelle tu as pu jouer ? "Je dirai oui, nous avons remporté aussi le Scudetto : Depuis mon arrivée ici, c’est la plus forte." Qui est le défenseur le plus fort ? "En ce moment, le Napoli est la défense qui encaisse le moins de but, ils sont fort: Mais je pense que nous réussirons à les rattraper : Nous sommes les plus fort et nous voulons le rester." Comment te sens-tu avec Simone Inzaghi ? "Très bien, mais je ne suis pas le seul à le penser, ce sont tous les gars : Il est l’Uno di noi. Il y a encore quelques années, il jouait sur les terrains, c’est vraiment une bonne personne, c’est comme un compagnon d’équipe : Nous nous sentons vraiment bien avec lui." Quel est l’attaquant le plus fort que tu aies dû marquer ? "Comme numéro 9, je dirais que Romelu Lukaku était difficile à marquer, mais par chance c’était uniquement lors de nos entraînements. Edin Dzeko me donnait aussi du fil à retordre quand il était notre adverse, il est massif et protège bien le ballon, il était aussi difficile à marquer. Comme ailiers, ils sont nombreux, mais cette année, je dirais que Vinicius, qui est très rapide, est vraiment très difficile à marquer." Bastoni ? "Je l’appelle Gerry, comme une girafe : Il est très grand et a un long cou, d’où ce surnom : Nous avons d’excellent rapports, c’est mon frère, depuis son arrivée, nous nous sommes très bien trouvé et entendu, nous sommes toujours à deux dans les chambres et nous regardons les matchs, nous sommes toujours ensemble." Pinamonti ? "C’est un autre frère, il était déjà là à mon arrivée et nous sommes rapidement devenu amis. Il habitait près de chez moi et j’allais le cherchais pour aller à l’entrainement car il n’avait pas encore le permis : C’est un très brave garçon et je lui veux le meilleur, nous nous appelons quotidiennement: Il est devenu plus massif que moi." Eriksen ? "J’ai très mal vécu ce qui lui est arrivé, j’avais si peur et je ne comprenais rien car le chroniqueur parlait en russe. Après, lorsque j’ai vu la photo où il s’était réveillé, j’étais heureux. Nous étions tous affectés : Christian ne peut plus jouer en Italie, mais à présent, le plus important est sa santé : Je sais qu’il va bien actuellement et je suis heureux pour lui." Penses-tu au brassard de Capitaine ? "Oui, j’aimerai le devenir c’est sûr, être le Capitaine de l’Inter est quelque chose de si beau. Mais je n’y pense pas, selon moi le Capitaine n’est pas uniquement celui qui porte le brassard, mais nous tous qui sommes sur le terrain, nous devons nous comporter comme des capitaines et venir en aide à l’équipe." La seconde étoile ? "C’est l’objectif sur lequel nous travaillons tous, nous sommes un groupe fort, nous le démontrons quotidiennement, nous avons des joueurs très fort et un staff fantastique. Nous nous sentons bien, nous devons continuer ainsi jusqu’à la dernière journée et nous verrons où nous en serons. L’objectif est la seconde étoile, c’est un rêve pour nous." Quelle est ta meilleure partie en carrière ? "Mon premier match en Ligue des Champions." Quelles sont les chansons que tu écoutes avant les matchs ? "Les nouvelles de l’Inter, je les écoute toujours dans le car, j’ai un casque pour moi et un pour Bastoni : Je les écoute toujours dans le car, mais il n’y a pas qu’elles, j’écoute toujours des chansons italiennes." Qui est ton idole ? "Ronaldo il Fenomeno, enfant, je jouais en attaque, c’était le plaisir le plus fort qu’il soit." Qui est l’équipier qui te fait le plus rire ? "Ils sont nombreux : Dimarco, Cordaz, Bastoni, Barella, Brozovic, Ranocchia, sont si drôles, chacun à leur manière." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Interviewé par Radio Nerazzurra, Francesco Toldo s’est livré sur ses premiers pas avec l’Inter, lui qui a signé au club à l’été 2001 : "C’était une Inter en croissance, programmée pour la Victoire." "Il y avait Hector Cuper et de grands champions comme Ronaldo, Christian Vieri, Sergio Conceicao, Marco Materazzi, Javier Zanetti. C’était une Inter compostée de grands joueurs, combatifs qui ont été très conscient du parcours important réalisé même si l’épilogue en fut très amer, nous avons par la suite appris comment tournait le vent et le système." Quel est le gardien qui est votre source d’inspiration ? "Walter Zenga. Pour nous les gardiens, c’est le symbole de l’Inter, c'est l’âme Nerazzurra. Il a écrit l’Histoire comme Dino Zoff auparavant. Walter a été un symbole pour moi car il se distinguait pour son courage, je me considère en-dessous de Walter car il a été le Gardien de l’Inter par excellence. Je me mets derrière lui car mon histoire était aussi différente, je me considère comme un tifosi interiste, un interiste de cœur et je n’ai jamais fait un pas de côté, ni pour le maillot, ni pour le groupe." Être le gardien le plus cher vous a-t ’il mis la pression ? "En réalité, je suis arrivé à l’Inter car Barcelone voulait me recruter en payant en 4 tranches et que l’Inter payait tout immédiatement, la Fiorentina avait besoin d’argent. Lorsque je l’ai su, j’ai tout de suite dit oui au club car je ne suis pas intéressé par l’enrichissement personnel." "En tant qu’adversaire sportif avant, je me demandais comment c’était possible que l’Inter ne parvenait pas à gagner malgré ses champions dans le noyau. La réponse nous a été apporté par la suite et nous avons également vu comment le cas a été solution." Quel est le moment qui reste gravé dans votre cœur ? "Ce sont toutes les parties liées aux grandes victoires, en passant par les différents Scudetti et les Coupes d’Italie. Ce qui est resté dans cœur, ce sont mes rapports avec mes anciens équipiers, la propriété, c’était un Honneur d’avoir connu Massimo Moratti". Vos premières années étaient source de déceptions...... "Vous devez faire la distinction à un moment : En tant que joueur, vous aimeriez tout gagner, ensuite plus les années passent, plus la réflexion et la sagesse prennent le pas et tu te dis : Merde, j’ai quand même gagné énormément avec l’Inter. Je n’ai jamais vu l’Inter débuter une saison tranquille et arriver à la finir sereinement, une situation de ce genre n’a jamais existé." "Nous avions les moyens, ensuite des choses se sont passées et le grand public l’a appris par la suite, il suffisait de voir sa réaction. Ensuite, en reprenant d’une page blanche, la mer s’est calmée et l’Inter a navigué dans des eaux sereines, en gagnant." Toldo est-il l’un des meilleurs gardiens de l’Histoire de l’Inter ? "Les gardiens de l’Inter ont toujours été fort, mais je crois que Walter Zenga nous a été supérieur à nous tous. Il a réalisé des années impossibles à répéter, pour son état de forme, pour la maturité qu’il avait atteinte, il est très très loin devant. J’aime me rappeler que je jouais avec tellement de continuité et j’ai cherché à faire de mon mieux pour ce maillot." "A l’Inter, je n’ai pas connu que des années faciles, j’en ai vu de tous les couleurs, même s’il y avait aussi nos propres responsabilités. Malgré les différentes critiques, j’ai toujours fait face avec une honnêteté sportive et intellectuelles et en me donnant au maximum de mes capacités." "Je suis fier d’avoir fait partie de l’Inter, si je pouvais revenir en arrière, je suivrai la même trajectoire." Mon futur ? "Le football vécu de l’intérieur me suffit, j’y ai vécu de belles expériences. Maintenant, je me dédie à ma famille mais je ne donne rien pour acquis, je vis l’instant présent. Si j’ai la possibilité d’entraîner les tout petits, ce serait une fierté, mais en ce moment, je n’y pense pas." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. Présent à Fusignagno dans le cadre de l’exposition dédié à Arrigo Sacchi, Alberto Zaccheroni est revenu sur le 5 mai 2002 et l’ambiance entourant le stade: "Je t’ai fait gagner un Scudetto” a dit le Zac à Marcello Lippi présent à l’exposition Antonio Conte Bianconero - Simone Inzaghi buteur qui aurait cru que 20 ans après.... "Personne ne voulait jouer ce match, tous me disaient avoir des problèmes. Le dimanche précédant, Cuper m’avait dit en télé qu’il allait faire jouer Vieri, Recoba et Ronaldo. Les Tifosi avaient passer la nuit à coudre et assembler des écharpes de la Lazio et de l’Inter: Lorsque les joueurs de l’Inter sont monté sur le terrain, ils ont tous été applaudi." "A l’annonce de ma formation, seul Poborsky fut sifflé car tous savaient qu’il était un ami de Nedved. En seconde période, l’Inter avait perdue la tête et même si nous étions sorti du terrain, ils ne seraient jamais parvenu jusqu’à notre cage." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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