Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manchester city'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Contact et inscriptions de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers
  • Football

Catégories

  • Gardiens
  • Défenseurs
  • Milieux
  • Attaquants

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Inter Women

Fonctionnalités

Catégories

  • Carte du Monde des Nerazzurri

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Ville


Joueurs

  1. Benjamin Pavard s’est livré à une longue interview à DAZN : Champion du Monde 2018, celui-ci s’est livré sur son arrivée dans la Botte et le Volcanique Giuseppe Meazza Serie A "C’est un championnat que je suis depuis très longtemps, j’ai énormément d’amis qui jouent en Italie. Pour moi c’est un football qui est fort tactiquement, j’ai énormément à apprendre ici et je suis impatient de faire partie de ce grand club : L’Inter. Je joue au football pour gagner des titres, c’est ma raison de jouer et c’est ce qui me plait : A la fin de ma carrière, je serai fier de regarder dans ma vitrine tous les titres remportés : J’espère qu’il y en aura encore tellement car je suis une personne qui a faim de victoire. J’aimerais gagner de très nombreux titres avec l’Inter aussi et, en fin de saison, célébrer le Scudetto et mettre cette seconde étoile sur le maillot." Son arrivée en Italie "J’étais en Allemagne depuis sept années, le moment était arrivé pour un nouveau défi et l’Inter s’est présentée. C’est un grand Club Historique , une grande Histoire écrite par des Légendes comme Javier Zanetti qui travaille encoure aujourd’hui pour le club et envers qui j’ai le plus grand respect. Pour moi, il s’agissait d’une question de choix et de nouveau défi et l’Inter s’est présentée avec les mêmes ambitions : celle de gagner le plus de titre possible. J’espère pouvoir célébrer, en fin de saison, le plus de victoires possible, en compagnie de nos merveilleux Tifosi." Poste de prédilection "Ma position préférée est celle de central dans la défense à trois, c’est là que je me sens le plus à mon avantage." Le fait d’avoir été Latéral droit ? "Vous savez tous que je peux occuper cette position, mais ce n’est pas celle qui m’avantage le plus. Je suis à l’Inter pour m’exprimer au poste que je préfère et où je peux apporter ma contribution, mon expérience." Coupe du Monde 2018 "Lorsque tu vis ce type d’émotions, comme celle de remporter un Mondial, ce qui est le plus beau et le plus important des titres dans l’absolu, tu veux toujours en profiter avec tes supporters." Mon but face à l’Argentine ? "C’est un moment magique, unique pour moi, pour l’équipe et pour toute la France, c’est un instant qui restera gravé dans la mémoire des français et la mienne car c’était un très grand but dans un match important. D’un autre côté, et je ne m’en cache pas, je me dois de continuer à regarder de l’avant, je préfère penser au présent et à l’avenir, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis." Un jour vous avez déclaré : Je n’ai pas le talent de Messi, mais je suis fort mentalement : L’aspect mental est fondamental pour un joueur "Oui, absolument, pour un joueur de haut niveau c’est comme ça : Je ne suis pas un génie du football comme Messi, mais je suis un garçon qui a toujours bossé. Personne ne m’a jamais rien donné, tout ce que j’ai, je l’ai gagné par mon travail. Je n’ai jamais abdiqué, même lorsque je traversais des périodes difficiles. Je tiens ça de mon père qui a une grande force mentale et qui me la transmise." "Pour moi c’était important de l’avoir aussi bien dans les bons moments que dans les plus compliqués, c’est la Clé pour réussir une grande carrière dans le football." Un match à annuler "C’est difficile à dire. Je dirais la défaite face à Manchester City lors de la dernière Ligue des Champions." Le plus beau Stade "Celui de l’Inter : Le Giuseppe Meazza." Idole d’enfance "Sergio Ramos, j’aime son style de jeu et sa Grinta, c’est un exemple pour moi." Les sacrifices "Ce n’est pas un sacrifice, mais c’est un privilège d’être un joueur de haut niveau d’apporter de la joie aux supporters qui viennent dans le Stade. C’est vrai qu’il arrive que je rate des anniversaires, Noël, le Nouvel-An en Famille ou avec les amis. C’est compliqué, mais je n’ai pas à me plaindre car je fais le plus beau métier du monde." L’attaquant le plus dur à marquer "Je dois y penser… Je dirais Eden Hazard." Plat préféré "Les frites du Nord et de la Belgique." Quel équipier écoute la pire des musiques ? "Marcus Thuram, il écoute de tout, mais ce n’est pas Top. Ce que j’écoute n’est pas mal : Les années 80, 90, le Reggaeton." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Lorsqu'il s'agit de données statistiques liées au monde du football, "Opta" est une véritable institution désormais reconnue dans le monde entier. Ces derniers jours, le fournisseur de données analytiques s'est amusé à enflammer le web et les réseaux sociaux avec des pronostiques sur les cinq plus grands championnats. Le verdict concernant la Serie A est sans équivoque : l'Inter est en en tête avec 43,6 % de chances de victoire finale. Cependant, il faut remarquer que le championnat italien est de loin le plus équilibré parmi les cinq championnats européens. En Angleterre, on voit Manchester City sur une route tracée vers le titre avec 90% de chances de l'emporter, plus encore que le Bayern Munich avec 69% et le PSG 57%, tandis qu'en Espagne, le Real Madrid a 50% de chances de devenir champion. Certes, pour atteindre ces pourcentages, la tendance récente des championnats respectifs a eu un impact. Avec une Serie A qui a vu quatre formations différentes remporter le Scudetto au cours des quatre dernières saisons (Juventus, Inter, Milan et Naples ). Le lifting de qualité réalisé par la direction cet été et surtout la campagne européenne de l'an dernier ont permis à l'Inter de se hisser en tête du classement des favoris pour le titre, statistiques et algorithmes à la clé. Si les chiffres parlent en premier, au final, c'est toujours le terrain qui parle en dernier et ce, pour le meilleur ou pour le pire. Ce qui est certain, cependant, c'est que l'Inter Milan continue de travailler pour la deuxième étoile. Les chiffres parlent d'eux-mêmes mais ne font que suggérer un scénario possible : la vérité du terrain viendra un dimanche après l'autre. Cependant, les données analytiques les plus précises disponibles dans le panorama sportif ont donné leur confirmation. Du côté des bookmakers, à ce jour, l'Inter démarre devant tout le monde. Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Notre Bambino s’est livré à "7", le magazine du Corriere Della Sera sur ce que représente l’Inter, lui qui est né dans la Capitale de la Mode: "Milan est ma Ville, c’est un lieu où j’ai grandi, c’est ici que j’ai tiré la première fois dans le ballon et que j’ai compris que c’est ce que je voulais faire lorsque je serai plus grand, c’est le lieu qui m’a aidé à grandir, j’ai devant moi mon passage dans les différentes équipes de jeune de l’Inter." Comment cela s’était passé ? "J’étais déjà Tifoso, et lorsque l’on m’a dit que c’était possible de porter le Maillot Nerazzurro je suis devenu fou de joie : Jouer pour l’équipe que tu aimes ça t’aide." Dans ta Famille aussi, vous êtes tous interiste ? "Mes parents n’étaient pas de grands passionnés du football. J’’ai commencé à aller au Meazza avec mon oncle et mon grand-père, j’avais 2-3 ans et c’est là qu’a commencé ma vraie passion pour l’Inter, celle que je porte en moi jusqu’à aujourd’hui, exactement avec la même intensité, la même joie." Quel est ton souvenir le plus fort de tes premières fois au Giuseppe Meazza ? "Les émotions les plus fortes sont arrivées lorsque l’Inter a remportés 3-4 Scudetti de suite avec Roberto Mancini et José Mourinho, il y avait des joueurs de très haut niveau." Qui t’enthousiasmait le plus ? "Ils sont si nombreux, mais si je ne devais en citer qu’un, je dirais Diego Milito qui, en 2010, a permis à l’Inter de remporter la Ligue des Champions avec un doublé en Finale et qui a mis sa griffe sur toutes les Victoires les plus importantes. Jouer dans l’équipe que tu supportes est une si belle chose, mais ce n’est pas simple. Ces deux dernières années, lorsque je suis revenu de Vérone, j’ai beaucoup appris de joueurs bien plus expérimenté qui sont partis." "Et je cherche à présent à faire comprendre, à ceux qui arrivent, ce que c’est de jouer à l’Inter, ce que veut dire jouer au Giuseppe Meazza, mais par-dessus-tout, ce que c’est l’Interisme : C’est un sentiment difficile à expliquer, c’est un sentiment que tu as au fond de toi depuis tout petit, des émotions intenses que tu vis depuis les tribunes et qui, dans mon cas, tu revis sur le terrain, c’est un feu ardent qui brule en toi, cela ne se médite pas, c’est instinctif." Quel est ton but le plus important ? "Celui en Finale de la Super Coupe d'Italie contre le Milan, le 18 janvier 2023, l’année ne pouvait pas mieux commencer." Et ta plus belle rencontre que tu as joué ? "Même si elle ne s’est pas terminé comme je l’aurais voulu, la plus belle et la plus importante a été la Finale de la Ligue des Champions contre Manchester City. J’étais vraiment serein la veille et objectivement, soulever la Coupe aurait été la Cerise sur le gâteau. Mais la chose la plus importante a été la fierté que nous avons offert à nos Tifosi : Nous avions tout donné sur le terrain, on nous avait condamné avant le match et City a vraiment sué pour arracher cette victoire, et pas qu’un peu." Ton message sur Instagram était à destination de Lukaku ? "Pour être sincère, non, c’était pour faire comprendre que les joueurs vont et viennent, c’est sûr que ceux qui sont parti nous ont tellement donné, mais finalement, le Maillot Nerazzurro Reste : L’Inter prime sur tout! Chaque joueur qui arrive, comme ceux qui étaient là aussi l’année dernière, savent qu’ils doivent faire en sorte de porter l’Inter au sommet !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Notre international arménien, Henrikh Mkhitaryan, a retrouvé une Inter bien différente de celle qui a disputé la Finale de la Ligue des Champions, avec une concurrence accrue dans son secteur. Celui-ci s’est livré en exclusivité à la Gazzetta Dello Sport A quel point a muri l’équipe ? "Nous sommes dans une période de transformation, tant de choses ont changé, mais nous restons les mêmes. Il y a des joueurs avec des caractéristiques différentes, mais la structure et la façon de jouer ne changent pas. Nous travaillons tous ensemble pour nous améliorer, anciens et nouveaux." Quelles choses ont changé, par exemple dans votre travail, en sachant que vous passez de point de référence comme Edin Dzeko ou Romelu Lukaku à un joueur comme Marcus Thuram ? "Je suis Marcus depuis quelques temps, je l’ai déjà vu évoluer en Allemagne et j’aime bien sa façon de se déplacer, il est rapide et technique, ce sera à nous à le servir d’une façon différente : Lui, de son côté, dispose d’une grande marge de progression qu’il devra exploiter et nous l’aiderons à s’améliorer tout comme lui nous permettra également de nous améliorer." Marcelo Brozovic est parti au milieu, Davide Frattesi est arrivé... "Nous avons perdu un joueur importantissime, mais un joueur fortissime est arrivé. Je ne dis pas qu’il le deviendra car il l’est déjà. En plus de savoir délivrer des passes décisives et jouer avec le ballon, il sait très bien aussi comment marquer, il suffit qu’il voie une ouverture et il s’y engouffre rapidement, et ça, c’est une caractéristique importante: S’il est bien servi, il représente une arme supplémentaire qui s’unira aux autres dont nous disposons déjà dans l’équipe." Si l’on ajoute aussi Lazar Samardzic et son pied gauche, il risque justement de vous concurrencer personnellement... "Nous l’avons joué l’année dernière et nous avons tous vu que c’est un joueur talentueux de grand potentiel. Et je n’ai jamais pensé que le fait d’être en concurrence soit problématique : Plus nous serons, mieux nous nous entraiderons. Finalement, nous nous battons tous pour le même objectif : gagner des matchs et remporter des titres." Avec ce mixte de jeunesse et d’expérience, de technique et de rapidité, l’Inter dispose-t ’elle de l’un des meilleurs Milieu de terrain d’Europe ? "Dit comme ça sur papier, forcément que oui. Mais il faudra passer des paroles au fait et ce seront via les prestations que nous devrons démontrer que nous méritons tous cette considération. La saison sera longue et cette abondance devra nous permettre d’atteindre nos objectifs." Parmi vos objectifs, il y a également celui de prouver que l’exploit en Ligue des Champions n’est pas dû au hasard ? "Arriver au sommet une fois est bien moins difficile que de réitérer un tel parcours et se stabiliser à un certain niveau. Ce qui est sûr, c’est que nous serons prêts à relever ce défi car nous sommes une équipe vraiment forte : Nous verrons ce qu’il se passera en phase de groupe et ensuite nous reprendrons notre course : Car nous sommes là et pas uniquement pour la Ligue des Champions : Le Scudetto est l’un de nos objectifs, nous savons tous à quel point il est important pour les Tifosi, mais il ne faut pas oublier la Coupe d’Italie et la Super Coupe d’Italie, nous y tenons aussi : Ce sont des titres et si tu les gagnes, tu auras cette faim qui te donnera encore l’envie de continuer à gagner." Est-ce que vous allez puiser votre énergie de la désillusion d’Istanbul pour tenter de tenter à nouveau le coup ? "Non, il s’agit d’un chapitre clos, d’une autre histoire. Nous la porterons en nous inévitablement, mais nous débutons un nouveau parcours, à présent, qui se construira quotidiennement." A combien de reprises avez-vous pensé à Istanbul durant l’été ? "Quasi quotidiennement, c’était quasiment la rencontre d’une vie, et peut-être que nous la revivrons à nouveau, peut-être pas. Et nous aurions mérité de l’emporter : Tout le monde s’attendait à ce que City nous en colle trois, mais je pense que nous avons prouvé que nous leur avions été supérieur." Que peut-on ressentir lorsque l’on dispute quasiment toutes les rencontres et que l’on se blesse juste avant la Finale de la Ligue des Champions ? "C’était une blessure malchanceuse face au Milan qui m’a écarté des terrains durant trois semaines et j’ai tout donné pour revenir pour Istanbul. Je ne tiens plus à regarder derrière moi, à penser négativement, je me concentre sur ce qu’il y a de positif et tentons de revivre ces émotions." Avec une année de plus au compteur, pensez-vous savoir maintenir le même niveau que celui de la saison écoulée ? "C’est certain, je bosse dur pour rester en forme, je suis prêt à commencer en force et à tout donner pour rester au top. Il n’y a pas de secret....Finalement si, ce sont mes équipiers car seul tu ne vas nulle part. Mais tu te dois de savoir y mettre du tien en travaillant physiquement, en récupérant, en faisant aller ta tête, c’est une combinaison de tous ces facteurs : Le football est finalement démocratique : Il te rend tout ce que tu lui as donné." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Folarin Balogun et Marcus Thuram, car ces derniers jours, si l’attaquant a envoyé plusieurs signaux à destination du Monde Nerazzurro, personne ne s’attendait à une telle situation: "L’Inter a découvert, avec un peu de surprise, qu’un des couples possibles de son attaque 2022-23 serait fait d’amis. Deux vrais "Brothers", le français né en Italie et l’américain élevé en Angleterre." "Là où elle n’est pas surprise, en revanche, c’est de voir l’américain appartenant à Arsenal, ne plus se cacher pour rejoindre l’équipe de Simone Inzaghi. Et hier, il a souhaité un bon anniversaire à Marcus Thuram, qui fêtait ses 26 ans, mais pas uniquement par amitié, car il tenait à lancer un nouveau message subliminal, le deuxième en deux jours : Dans la tête et dans le cœur de Folarin, âgé de 22 ans, il n’y a que l’Inter." "Et cela n'est en rien laissé au hasard , pas même cette autre Story de samedi où il admirait les merveilles de Ronaldo Il Fenomeno en demi-finale de la Coupe de l’UEFA 1998. Il y a toujours quelque chose de Nerazzurro autour de lui, et beaucoup moins de rouge car, avec Arsenal, il a rompu en privé et même en public. Il a réaffirmé au Management et à l’entraineur Arteta son envie de jouer, après avoir vécu une présaison à regarder les autres le faire et il a précisé qu’il voulait le faire à Milan, et en Nerazzurro." "Hier, il n’était même pas sur le banc, mais dans la tribune de Wembley suite à un problème de cheville, alors que ses équipiers actuels prenaient leur revanche sur Manchester City en remportant le Community Shield aux tirs au but. Balogun a d'ailleurs ajouté une autre histoire Instagram, presque obligatoire, pour célébrer le trophée, mais le message précédent qui parlait de l’Italie a fait plus de bruit". Et l’information de la journée selon Sky "L’Inter se concentre sur Balogun, qui plaît beaucoup au club. Différent de Scamacca, qui a choisi l’Atalanta, il représente une perspective intéressante pour le présent et l’avenir. De plus, il a fini dans la tribune hier avec Arsenal et est exclu du système de rotations d’Arteta. Des contacts avec le club anglais et les agents/intermédiaires sont également prévus dans la journée. Une opération qui devrait passer dépasser le plafond de 30 millions d’euros." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Et encore, il s’agit d’une insulte envers les Ordures qui ne mérite pas une telle comparaison, mais la révélation de Gianluca Di Marzio dans les colonnes du Corriere Della Sera révèle à quel point, le Diable Rouge est loin d’être un joueur professionnel au comportement exemplaire En effet, l’accord entre la Juventus et Romelu de Lukaku n’a de sensationnel que le Timing, car celui-ci a été trouvé en date du lundi 12 juin, soit deux jours après la Finale de la Ligue des Champions! Ce Timing n’est pas tellement l’élément le plus marquant, car le fait marquant est que le lendemain, le 13 juin, Lukaku postait sur ses réseaux sociaux une déclaration d’amour pour l’Inter avec un rendez-vous fixé l’année prochaine "Ça ne devait pas arriver... On a tout donné. C’est un sentiment de merde pour nous tous qui aimons ce beau club. Mais l’Inter a encore faim et nous allons revenir pour nous battre avec l’espoir d’atteindre un jour ce moment où vous écrivez l’histoire." La suite de l’article démontre à quel point le vice était profond et que la merde n'était pas "ce" sentiment: "L’idée folle, de Lukaku à la Juve, est née en mars. Quand Allegri a planifie l’assaut d’un attaquant plus adapté à son jeu et de grand impact tant de la charisme au sein du groupe, que de la dangerosité pour les adversaires, afin de se relancer revenir dans la compétition pour jouer le titre immédiatement." "Les contacts ont débuté avec Manna, devenu aujourd’hui le premier collaborateur de Giuntoli, et l’avocat Ledure, l’homme le plus proche de Romelu. Celui-ci a écouté, pris acte en ne fermant pas la porte, mais en demandant d’en reparler une fois la Ligue des Champions terminée" "Dès le lundi Post-Istanbul, la Juve et Lukaku se serraient la main, sans que l’Inter (Club et joueurs inclus) ne sachent rien. La déception d’avoir été placée sur le banc en Finale contre Manchester City et la parade nuptiale datée des bianconeri avaient ouvert définitivement une brèche dans la tête du géant aux mille masques, ainsi déterminé à trahir l'amour publiquement professé, et les refus annoncés par le passé envers une vareuse qu'il acceptera bien volontiers de porter." Qui se ressemble s’assemble car mis à part la Juventus, aucun club européen digne de ce nom ne s’intéresse à un tel mercenaire qui ne dispose d’aucun mental ! la Belle Belgique ne mérite également pas un tel représentant…. ®Alex_J & Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. L'Inter est 8e de l'UEFA Ranking des clubs. Après le parcours passionnant de la dernière édition en Ligue des champions, l'Inter s'installe à la huitième place du classement des clubs de l'UEFA. Les 28 points de coefficient empochés sur la route d'Istanbul ont permis aux Nerazzurri de dépasser les deux autres Italiens du top dix, la Roma et la Juve, respectivement aux neuvième et dixième places. Pas de changement en tête de tableau : les champions d'Europe, les Citizens, est au dessus de tous, y compris le Bayern Munich et le Real Madrid qui complètent le podium. En Serie A, on notera la 18e place du Napoli, tandis que Milan grignote du terrain en remontant à la 33e place, en tout cas derrière l'Atalanta, 25e. Le classement complet est visible ici. Traduction alex_j via FCInterNews et site UEFA.
  8. Selon Tyc Sports, Lautaro Martinez et Nicolò Barella seraient dans le viseur d'un club saoudien et anglais respectivement. Lautaro Martinez et Nicolò Barella sont incessibles, invendables! Il n'y a aucune possibilité d'ouvrir des négociations avec des clubs intéressés. C'est, selon Sportmediaset, la position qui filtre depuis le siège de l' Inter à Viale della Liberazione. Ces dernières heures, nos managers ont été touchés par des nouvelles circulant entre l'Argentine et l'Italie. Ces nouvelles ou rumeurs concernent d'éventuelles offres XXL pour le capitaine et le vice-capitaine de l'équipe. Selon Tyc Sports, Lauti se serait vu proposer un gigantesque contrat de quatre ans d'une valeur de 240 millions d'euros par un club saoudien de Pro League. Toujours selon Tyc Sports, Manchester City aurait jeté son dévolu sur le milieu de terrain sarde prêt à débourser 120 millions d'euros en cas de vente de Bernardo Silva. Des rumeurs qui le restent... pour le moment. Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. La conférence de presse lançant la saison 2023-2024 s’est tenu ce mercredi 12 juillet soir à 18h00. Celle-ci a vu Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se livrer ouvertement sur l’objectif de la saison : Le Scudetto de la Seconde Etoile Giuseppe Marotta : Des joueurs qui aiment l’Inter Le Calcio "Il s’est passé environ un mois depuis la fin de la saison écoulée qui a vu le Calcio se montrer à nouveau protagoniste avec 3 finales européennes et 5 demi-finalistes. Nous sommes revenus à un poste de grande crédibilité, mais l’écart des recettes des droits télés ne fait que croitre.Une négociation est en cours avec les diffuseurs, je crois en une issue positive." "II y a aussi d’autres difficultés bureaucratiques: L’Italie éclaire l'avant-scène dans l’établissement des codes pour les bâtiments, pour rendre difficile la constructions des stades et pour faire preuve de carence au niveau des structures pour les jeunes. Un autre aspect important à considérer est les capitaux de l’Arabie Saoudite qui peuvent ébranler la nature du football, aussi l’Italien. D’un autre côté, cela vous donne aussi l’opportunité de percevoir des recettes à réinvestir. Mon espoir est qu’Abodi puisse être accompagné dans le processus de réforme du mouvement footballistique italien." Les mérites d’Inzaghi "La saison dernière a été contradictoire, en plus de la Finale d’Istanbul, nous avons aussi remporté deux trophées et le mérite en revient à l’entraineur qui a fait face à des critiques assez sévère, elle a été influencée aussi par la trêve forcée pour la Coupe du Monde. Nous nous sommes bien repris lors de sa phase finale et nous sommes parvenu à conquérir méritoirement une place en Ligue des Champions." "Tout cela est un motif de fierté : Être vice-champion d’Europe est également un autre motif de fierté : L’année qui débute devra être stimulante pour faire de belles choses." Le Mercato "Dans une campagne de recrutement, notre très bravissimme Directeur Sportif Piero Ausilio travaille en étroite collaboration avec Baccin et Inzaghi, dans le respect de la ligne de conduite dictée par la Propriété. Ces dernières années, la Direction a su démontrer que, même sans procéder à de grands investissements, qu’il était possible de parvenir à composer des équipes importantes." "Il reste encore 40 jours d’ici à son terme et il y a encore tant à faire : Ce qui est certain, c’est que nous chercherons à construire une équipe compétitive, avec des connotations aussi différentes comparées à celle du passé avec des jeunes joueurs qui pourront aussi apporter leur contribution à l’équipe nationale." Love Inter "L’Inter sera compétitive, c’est ce que nous voulons : Nous sommes vraiment une belle équipe directionnelle qui aime l’Inter : Je tiens à remercier nos Tifosi qui nous ont toujours accompagné. Le remerciement le plus important doit être fait à la Propriété qui, même dans les difficultés, ne nous a jamais laissé sans ressources afin que notre travail puisse être finalisé. Je remercie aussi Antonello qui est en charge des activités sportives du Club : J’espère que la saison à venir nous régalera de satisfaction." Simone Inzaghi : Nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile Avec quel état d’esprit reprenez-vous ? "Il y a tant d’envie, nous avons vécu une longue saison : 57 matchs, une saison longue et intense composé d’enthousiasme différents car fait de victoire et de titre : Il y a eu des périodes difficiles et l’ensemble du Monde Interiste a été bon pour se compacter et pour en ressortir une saison riche de satisfaction. Je reprends avec l’envie de parvenir à une saison également pleine de satisfaction." Objectif Scudetto ? "Clairement oui, mon idée et l’Adn de l’Inter est la Victoire, c’est le grand objectif, cela ne me convient pas d’y participer avec l’étiquette de favori : Nous sommes l’Inter et nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile, nous y mettrons toutes nos forces. Il y aura de nombreuses équipes en course, mais nous nous y efforcerons." Vous en êtes à votre troisième année… "C’est un motif de grande fierté, je remercie le club et les joueurs qui m’ont aidé au cours de ces deux années, nous avions tant de défis important devant nous, notre parcours en coupe a été presque parfait car nous nous sommes inclinés face à Liverpool et face à City. En championnat, nous sommes arrivé à la troisième place, nous nous devons de faire mieux." Que signifierait le retour de Lukaku à Milan ? Un commentaire sur le Mercato ? "Je suis en parfaite syntonie avec cette Direction qui a toujours été à mes côtés, avec le Président, il y a également cette grandissime harmonie. Nous sommes au travail, il s’agit d’un mercato difficile mais j’estime que nous l’opérons de la meilleure des façons possible : Nous connaissons tous Frattesi et Thuram et Bisseck vient à peine d’en finir avec l’Euro U-21." "Lukaku est un joueur d’une autre équipe et nous savons ce qu’il représente et ce qu’il nous a apporté lors du finale de la saison : Je me suis battu pour le faire revenir la saison dernière, nous aimerions le faire à nouveau cette année, il appartient à un autre club et nous verrons ce que nous pouvons faire." Très prochainement, vous partiez en Tournée, quand est-ce que votre équipe sera au grand complet ? "Cela aurait été un rêve : Il reste 50 jours d’ici à la fin du mercato et j’ai conscience que cela changera encore énormément. Il y a de l’espérance et elle est importantissime en cette première phase de travail, mais le mercato reste imprévisible : Un mercato ouvert ne nous aide pas, nous les entraineurs, mais nous en avons l’habitude." Pouvez-vous déclarer que l’Inter joue la Ligue des Champions pour la gagner ? "Nous avons démontré qu’il n’y avait pas un si grand écart avec City, nous avons joué à armes égales mais nous nous sommes inclinés : Nous avons tenu tête à l’équipe la plus forte d’Europe. Lors de ces deux dernières années, nous avons énormément travaillé, nous avons connu un long parcours. Nous connaissons l’Histoire des dix dernières années qu’a connu l’Inter et lors de ces deux dernières saisons, nous nous sommes améliorés. Nous savons que cela sera difficile de nous reconfirmer en Ligue des Champions, mais il y a de l’espoir et de l’envie." Le départ de Brozovic peut-il poser un problème ? "Je ferai un discours général pour tous ceux qui ne sont plus là : Ils ont écrit l’Histoire de l’Inter, d’Handanovic à Bellanova, ils ont toujours fait de très belles choses. Avec la Direction, nous avons choisi de rajeunir l’équipe : Nous avons perdu des joueurs importantissimes mais d’autres arriveront. Notre espoir à tous est que les nouveaux arrivants feront tout aussi bien." Le Turnover s’est avéré efficace l’année dernière, repartirez-vous sur les mêmes base l’année prochaine ? "Clairement, cette année, nous savons qu’il n’y aura plus la trêve pour la Coupe du Monde et qu'il n’y aura qu’une seule journée en milieu de semaine, mais nous aurons les Coupes. J’aurai besoin de tous les joueurs. J’ai eu besoin de tout le monde de début avril jusqu’à Istanbul, je me souhaite que tous pourront répondre présent." Vous débutez la saison en étant en fin de contrat… "Le club connait ma pensée : Ce qui prime pour moi c’est le terrain, j’ai exprimé le fond de ma pensée au Club et au Président : Je suis très serein." Lautaro sera-t ’il le Capitaine ? "Je dois encore en parler avec l’équipe." Le calendrier est bon, à quel point est-ce important de bien débuter ? "Il sera fondamental de mieux démarrer que la saison dernière, j’ai regardé le calendrier, mais sans plus, les deux derniers mois que nous avions connu aurait dû être les plus difficile et sans notre défaite face au Napoli, nous aurions récolté le maximum de point. Le début de la saison semble assez soft mais toutes les rencontres du championnat réservent des surprises." Est-ce qu’il y a une auto-estime supérieure comparée à la saison écoulée ? "Oui, il y a tellement plus de confiance en soi comparé à la saison précédente. Mais même là, le parcours de l’année précédente en Ligue des Champions, nous avait apporté de l’auto-estime car nous avions affronté le Real Madrid et Liverpool qui se sont ensuite rencontré en Finale et nous avions joué les deux à armes égales." Que perdrait l’Inter avec le départ d’Onana ? "Nous parlons d’Onana qui est un joueur de l’Inter et il sera convoqué demain au stage de présaison. Le mercato est imprévisible et nous savons tous que toutes les équipes italiennes doivent vendre, en premier, avant d’acheter. C’est risqué mais je suis serein : La propriété et le Club m’ont assuré que l’Inter sera compétitive. Nous en avions déjà discuté lors de notre réunion d’avant-mercato." "L’important est que l’Inter soit compétitive comme lors de ces deux dernières années, nous avons connu des problèmes Post-Covid, mais nous avons réalisé des mercato intelligents et nous avons vu à quel point ils étaient positifs." ESPN vous a nommé dans le Top 10 au niveau Mondial : Quel effet cela vous a-t ’il fait ? "Cela m’a fait énormément plaisir, j’espère pouvoir grignoter d’autres places dans le futur." Avez-vous envie de régler vos comptes ? "Non, je n’ai rien à redire: Je pense au terrain, au travail et je chercher à travailler du mieux possible pour mon Club. Chaque entraineur a son propre parcours, sa propre histoire, je me sens bien ici avec le Club, avec les Tifosi, je cherche sur cette voie." Croyez-vous encore en Correa ? "Oui, les joueurs que j’entraine sont les meilleurs du monde et je pense que c’est le cas pour chaque entraineur : Correa est un excellent joueur, il n’a pas répondu présent comme on aurait pu s’y attendre, mais j’ai une confiance maximale en lui : Il est capable de faire mieux et bien plus, je l’ai entrainé et je connais ses qualités." Qui selon vous peut vous défier dans la Course au Scudetto ? "Il y a tellement d’envie de reprendre la compétition, c’est difficile d’établir un classement, le Napoli a réalisé un parcours extraordinaire, mais nous voulons être compétitif, notre désir est de remporter la Seconde étoile, les Tifosi en rêve depuis des années et j’espère pouvoir leur offrir cette satisfaction." A choisir : Remporter le Scudetto ou jouer une nouvelle Finale de Ligue des Champions ? "C’est une demande difficile. Même si l’année dernière nous n’avons pas remporté le Scudetto, c’était une saison incroyable, composée de nuits incroyable vécues avec les Tifosi. Après Istanbul, j’ai embrassé tous les joueurs, c’était comme-ci nous l’avions emporté nous." Auriez-vous aimé entrainer Milinkovic-Savic? "Je ne m’exprimerai pas sur les choix personnels, je l’ai entrainé à la Lazio et il a de très grandes qualités, une habilité technique, de la force physique et c’est un très grandissime joueur, il a choisi de partir en Arabie et il aura aussi le temps de revenir en Europe." Quelle Inter est en train de naitre et qu’attendez-vous du Mercato ? "Nous avons conscience qu’il y a des cases à combler, nous sommes en parfaite harmonie, nous composerons une équipe de 20 joueurs plus 3 gardiens, avec 3-4 jeunes fixes avec nous. Il nous manque encore un milieu et Çalhanoğlu et Asllani seront nos deux PlayMaker, nous devrons être bons et nous améliorer. Avec Bastoni, Acerbi, De Vrij, Bisseck et Darmian, il nous manque encore un homme dans ce secteur." Avec le départ d’Onana, les gardiens qui arriveront devront-ils présenter les mêmes habilités techniques ? "Le gardien devra être bon techniquement, nous verrons si nous pourrons en trouver plus d'un. Ces deux dernières années, d'abord avec Samir, puis avec Onana, nous avons eu des gardiens avec de très bons dribbles. Ce sera à nouveau le cas" Avez-vous l’intention de lancer quelque jeunes de la Primavera ? "Carboni sera avec nous, il fera la mise au vert avec nous: Il a déjà fait ses débuts et a énormément muri. Zanotti a aussi joué l’année dernière et il est maintenant parti en prêt. Il y aura d’autres jeunes qui seront ajoutés: A eux de prouver qu’ils méritent d’être à l’Inter." Avez-vous vu le match de Ligue des Nations avec Barella et Frattesi aux poste de Mezz’ala ? Thuram est-il un premier ou un second attaquant ? "Frattesi et Barella peuvent tranquillement jouer ensemble : Barella a, de temps en temps, déjà été Mezzala gauche: Ce sont deux joueurs très forts. Thuram est un joueur important, il a une très bonne structure physique, il a réalisé trois excellente saisons au Borussia. Il joue pour l’Equipe de France, c’est un joueur d’une valeur absolue." Gosens peut-il être un joueur important pour l’Inter ? Absolument oui, il a bien fini la saison, il a alterné avec Dimarco et s'en est très bien sorti. De là à dire ce que le Mercato peut nous apporter, je ne sais pas, mais je compte énormément sur tout le monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Après deux années passées à remporter des trophées tels que la Coppa Italia et la Super Coupe d'Italie, en y ajoutant la Finale de Ligue des Champions perdue contre City en juin dernier, l'Inter n'a qu'un seul et unique objectif en tête pour la saison prochaine: Le Scudetto....Et tous travaillent déjà pour offrir cette deuxième étoile Simone Inzaghi va recevoir entre ses mains une machine capable d'aller chercher la Victoire Finale, une équipe qui, dès le premier match de championnat, sera plus forte que celle qui a atteint la Finale d' Istanbul, mais qui a aussi, en grande partie, déçu les attentes en championnat: C'est la conviction, l'obsession, l'objectif de figer morceau d'histoire: le Scudetto de la deuxième étoile. En y regardant de plus près, la détermination avec laquelle l'Administrateur-Délégué Beppe Marotta et le Directeur-Sportif Piero Ausilio ont travaillé et conclu d'abord l'achat de Thuram et ensuite celui de Frattesi, qui aujourd'hui signera jusqu'en 2028, représente une grande démonstration de force. C'est l'idée voulue par Zhang, car il a encore très mal vécu le fait d'avoir perdu le Titre il y a deux saisons et parce que tous sont encore en colère de n'avoir jamais été dans la course la saison dernière: Cette Inter veut être au premier rang, Steven Zhang l'a dit lors de la Finale d'Istanbul, ses Dirigeants et l'entraîneur en ont également parlé lors du fameux sommet post-Championnat, où le mercato a été planifié. Pensez-vous que l'Inter parviendra à poursuivre sur sa lancée de fin de saison ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Au terme de la saison 2022/2023, ESPN a dressé sa liste des 10 meilleurs entraîneurs du monde. Et l'on retrouve notre Mister dans un classement dominé à juste titre par Pep Guardiola! Voici la motivation de cette 9ème place: "Simone Inzaghi mérite le respect lorsqu'il convient de parler d'entraîneurs offensifs et de haut niveau. Après avoir mené l'Inter à la deuxième place en 2021-22 grâce à 84 buts en 38 matches, Inzaghi a permis aux Nerazzurri de rester compétitifs en Italie, en remportant la Coppa Italia et la Supercoupe d'Italie, tout en réalisant la meilleure performance de sa carrière en Ligue des Champions." "Grâce à un système de rotation important de son équipe, il ne se passait que très rarement un match sans qu'Inzaghi ne procède à cinq changements - et à une formation à deux attaquants avec l'insaisissable Lautaro Martinez." "L'Inter a atteint sa première finale de Ligue des Champions en 13 ans. José Mourinho avait mené l'Inter à un titre improbable avec un style de jeu basé sur une défense solide. L'approche d'Inzaghi, elle, s'est avérée tout aussi efficace lorsque l'Inter a battu Barcelone en phase de groupes, puis Porto, Benfica et son rival l'AC Milan, avant de s'incliner 1-0 en finale contre Manchester City." "Inzaghi est expérimenté, sobre et toujours fidèle à ses principes: Beaucoup d'équipes devraient s'inspirer d'une vision aussi claire et de sa persévérance dans l'application." MERITE! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  12. Selon la presse britannique, le Croate a rejoint Manchester City pour 25 millions de livres , soit une somme proche de 29 millions d'euros, plus 5 millions d'euros de bonus. Ce transfert permet également, aux clubs où Kovacic a joué lors de ses premières saisons en tant que professionnel, d'encaisser des fonds via le système de contribution de solidarité. La contribution est équivalente à 5% du prix convenu par les deux clubs pour le transfert selon les taux établis et prend notamment en compte le nombre d'années calculée (proportionnellement s’ii s’agit de moins d'une année) pendant lesquelles le joueur a été enregistré pour le(s) club(s) en question au cours des saisons entre son douzième et vingt-troisième anniversaire. En conséquence, la contribution de solidarité a été répartie comme suit Dinamo Zagreb : 580 mille euros Inter Milan : 435 mille euros Real Madrid : 290 mille euros LASK : 145 000 euros Toujours ça de pris ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. En effet, le nouveau format de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA va garantir des revenus importants à ses participants et l’Inter pourrait y décrocher un billet ! Explications de la Gazzetta Dello Sport A partir de 2025, une nouvelle version de la Coupe du Monde des Clubs accueillera bien plus d’équipes. Le tournoi durera un mois et les revenus seront garantis et important pour tous. Par les équipes qui peuvent y participer, on retrouve l’Inter à qui il ne manque que très peu de chose pour se retrouver parmi les 32 participants. "L’Inter devrait y aller franco pour ne pas parvenir à se qualifier à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2025, et ne pas y accéder serait un énorme gâchis : S’il n’y a pas encore de chiffres officiels, à Zurich, on travaille depuis des années sur le projet lancé par Infantino et Boban (lorsqu’il travaillait à la FIFA)." Le montant total des primes de la première édition devrait avoisiner 2,5 milliards d’euros dont 2 milliards se verront réparti entre les 32 finalistes, le reste étant employé pour les dépenses et à la solidarité: Son Champion pourrait encaisser une somme proche de 100 millions d’euros, comme pour une Ligue des Champions, mais sur un mois de temps, et une belle participation dans le tournoi pourrait garantir une cinquantaine de millions d’euros. En plus de l’Inter, on pourrait retrouver un autre italien parmi la Juve, le Milan et le Napoli pour se disputer le précieux sésame prestigieux et pour le bilan financier. Il s’agira d’un tournoi quadriennal, qui débutera aux Etats-Unis entre les mois de juin et juillet 2025 avec une formule de 8 groupes de 4 équipes. Les deux premiers se qualifieront pour les quarts de finale et s’en suivra la phase a élimination directe jusqu’à la Finale. L’Europe y envoie 12 équipes : Les quatre vainqueurs de la Ligue des Champions des éditions 2021, 2022, 2023 et 2023, ainsi que les 8 meilleurs équipes au classement UEFA sur cette même période. Chelsea, le Real et Manchester City, tous champions, sont sur d’y participer. Via le Classement UEFA, le Bayern est également de la partie (avec 84 points). Le Paris-Saint-Germain et l’Inter sont les premiers clubs à pouvoir se qualifier avec respectivement 66 et 60 points: "Pour y parvenir, il faudra réaliser une bonne édition lors de la prochaine Ligue des Champions, en ce sens qu'accéder aux huitièmes de finale leur garantira arithmétiquement de s’y qualifier." Avec le Champions de l'Edition 2024, nous arriverons à 7 équipes et cinq devront encore se qualifier. En ce moment le classement est le suivant : Benfica 49 points, Juve 47 points, Porto 45 points, Borussia 44 points, Barcelone 42 points. Un Championnat ne peut y qualifier plus de deux équipes, à moins d'avoir plusieurs équipes (jusqu'à un maximum de 3 ou 4 vainqueur des éditions des Ligue des Champions:. Liverpool a un coefficient proche de celui du Bayern mais, Chelsea et City étant déjà qualifiés, il se retrouve éliminé. La prochaine Ligue des champions changera également la donne car le Milan et ses 35 points et le Napoli et ses 29 points peuvent dépasser les Bianconeri et se battre pour l'autre place italienne théoriquement disponible, mais ils devront se méfier de Leipzig (39 points), de Séville (36 points) et de Salzbourg (30 points). La mission est en revanche hautement difficile pour la Lazio, qui ne compte que 21 points car le vainqueur de la Ligue des Champions remportera un maximum de 38 points. Elle est là la Super League ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Simone Inzaghi peut être très fier de sa performance! L'International Federation of Football History & Statistics, mieux connue sous l'acronyme IFFHS, a établi le classement des 20 meilleurs clubs d'Europe et du Monde pour la période allant du 1er juin 2022 au 31 mai 2023. Dans le classement établi par l'organisme reconnu et autorisé par la FIFA qui s'occupe des statistiques et des archives du football, l'Inter s'est brillament mise en valeur: Les Nerazzurri occupent la quatrième place en Europe (et la cinquième dans le monde) avec 249 points. Le Real Madrid est en tête (331), suivi de Manchester City (279) et de Benfica (257). Parmi les autres Italiens, Naples occupe la septième place, la Fiorentina la neuvième, la Roma la douzième, la Juventus est seizième et Milan dix-septième. Le tout avec 12 cartouches dans le derche en Serie A! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  15. Au terme de la finale de la Ligue des champions, Stéphane Dalmat s'est exprimé concernant ses sensations par le biais d'une vidéo Instagram: "Salut à tous, Dommage, nous sommes presque arrivés au miracle! Nous avions tous envie de gagner ce match. Nous aurions pu le faire car le match était serré. Eux aussi avaient peur de prendre un but. Il n'y a pas eu beaucoup d'occasions, ils ont tiré deux-trois fois au but. Sur une action anodine ils ont réussi à débloquer le match malheureusement. Nous aurions pu égaliser avec la tête de Lukaku qui aurait du maruqer mais bon c'est comme ça." . "Nous pouvons être fiers de l'équipe qui a montré qu'elle méritait d'être là et de jouer cette finale. Ils ont fait tout le possible pour gagner le match avec un stade où les interistes ont mis toute l'ambiance". "Je suis fier de cette équipe, ils se sont dépassé cette saison et ont donné de la satisfaction à tant de personnes lors des matches à élimination directe. Même sur cette finale, en réalité." "Nous pouvons dire que nous avons affronté la meilleure équipe d'Europe. Quand tu vois que sur le banc il y avait du Mahrez, du Walker, des énormes joueurs qui n'ont même pas pris part au match quasiment, à part Walker brièvement. Je pense que le résultat n'est pas mérité, le match aurait du se terminer sur un nul vierge. Manchester City n'a pas spécialement bien joué, l'Inter elle n'a pas su répéter certaines prestations qu'ils ont fait dans le passé. Avec la pression, ça peut arriver de ne pas arriver à jouer libérés, tous les joueurs ne sont pas habitués à jouer ce genre de match. J'ai quand même vu une équipe qui y a mis du cœur et je pense que nous pouvons être fier d'eux. " "Je les remercie pour les émotions qu'ils nous ont offert durant cette saison que je qualifierais de très belle. Seul le résultat final compte et malheureusement le trophée n'est pas revenu avec l'Inter à Milan. Maintenant que la saison est finie je pense que le club va faire un bilan, surtout par rapport au résultat en championnat. Il faudra voir aussi au mercato, quels joueurs arriveront pour renforcer l'équipe, quels joueurs partiront, etc. Pour l'instant remercions les et digérons cette défaite. Pas de la même manière que les autres défaites cela dit, c'était une finale, cela pouvait finir de toutes les manières. C'est le football, bravo à City et de notre côté soyons fiers et espérons que nous puissions performer à ce niveau la saison prochaine. Ce serait beau de pouvoir arriver à ce stade de nouveau." "Je vous remercie pour les moments que nous avons partagé, toutes les vidéos et le support que vous m'avez apporté. Merci aux gens aussi qui m'ont montré tant d'amour quand je suis allé à Milan. Je vous souhaite de passer un bon mercato, de bonnes vacances et de toute façon nous resterons en contact durant l'intersaison." "Comme je dis toujours 'Forza Inter, ciao a tutti'!" Internazionale.fr ~ © Samus
  16. En effet, le Fuoriclasse français s’est livré sur la prestation de l’Inter en Ligue des Champions et sur l’épisode raciste dont Romelu a été la principale victime lors du match Juve-Inter Qu’avez-vous pensé de la Finale de la Ligue des Champions entre Manchester City et l’Inter ? "Il sourit : En tant que fan du Milan c’est difficile pour moi de parler en bien de l’Inter, mais elle a très bien préparé la rencontre en mettant en difficulté Manchester City. La Finale s’est décidé sur un détail, mais c’est le football : L’Inter peut être fière de sa prestation et félicitations à City." Est-ce une leçon pour le Paris-Saint-Germain ? "Tout le monde veut remporter la Ligue des Champions mais il faut toujours faire preuve d’une exigence maximale, autrement il y a toujours une équipe qui est là pour te rappeler que rien n’est donné pour acquis. Très peu de monde pensait que l’Inter pouvait atteindre la Finale et il ne s’en est fallu de peu pour qu’elle l’emporte : Il faut bien travailler afin d’être meilleur que les autres." Vous avez pris position sur les cas de racismes liés à Romelu Lukaku à Turin et à Vinicius à Valencia. En tant que Capitaine de l’Equipe de France vous pourriez d’une certaine façon commencer à faire bouger les choses, mais par où commencer ? "Nous, les joueurs, nous devons chercher à tous quitter le terrain et comprendre que nous avons le pouvoir de faire changer les choses : Si nous sortons, tous comprendront que la situation est grave comme lorsque nous l’avons d'ailleurs fait à Basaksehir en Ligue des Champions en 2020 avec un match à rejouer : Se lamenter ne suffit plus." "Avec Vinicius, il y a eu la mobilisation de la Fédération de Football Brésilienne, c’est utile pour la médiation: En 2023, on ne peut plus permettre à une minorité de salir le plaisir qu’est le football : Au-delà de l'argent et de la faim, nous jouons aussi pour transmettre aux Tifosi le plaisir du jeu et de voir du football. Si tu te fais traiter de singe, tu n’as plus envie de jouer." "C’est évident qu’il restera toujours quelques racistes, mais il faut qu’il y ait plus de solidarités entre les joueurs et ne pas y penser seulement lorsque cela t’arrive. Pour Lukaku, les joueurs de l’Inter et de la Juve auraient dû sortir, il n’y a pas de rivalité qui tienne : Les institutions doivent aussi changer, si elles sont trop laxistes, elles facilitent de tels comportement." "Les règles doivent changer, comme Capitaine de la France ce sera un thème sur lequel je me battrais, il est important de réveiller les consciences." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Messages d'Edin Dzeko et Romelu Lukaku aux fans de l'Inter suite à la défaite contre City. C'est vraiment difficile de mettre des mots sur toutes les émotions, sur ce qui s'est passé à Istanbul. Je suis très fier de notre parcours, du chemin parcouru depuis le premier jour de cette saison de l'UCL. Toute l'équipe croyait que nous pouvions faire quelque chose de grand, et nous l'avons vraiment fait. Nous avons fait de notre mieux, nous avons joué pour réaliser nos rêves et les vôtres, mais malheureusement nous n'avons pas pu atteindre le sommet. J'en suis désolé et je suis triste pour le club et mes coéquipiers, mais surtout pour nos fidèles supporters qui nous ont soutenus tout au long de la saison et surtout lors du dernier match où ils ont été incroyables : merci pour tout le soutien. Nous avons fait de notre mieux, mais cette fois ce n'était pas suffisant. Forza Inter ! Tout d'abord merci à tous les fans de l'Inter pour l'amour et le soutien témoignés tout au long de la saison. Vous êtes restés à nos côtés à chaque instant et personnellement, je tiens à vous en remercier. Ce n'était pas censé l'être. Nous avons tout donné. C'est un sentiment de merde pour nous tous qui aimons ce beau club… Mais ce club a faim et nous nous battrons pour atteindre ce moment de gloire un jour. Traduction alex_j via Instagram.
  18. Récompensé du Golden Rudder à Arezzo, Antonio Conte a eu son mot à dire sur la finale de la Ligue des Champions. "Tout d'abord, je félicite l'Inter qui a fait quelque chose de grand, et mention spéciale aux joueurs, à l'entraîneur et au club. Félicitations également à la Roma et la Fiorentina. Pep Guardiola a dit que nous, dans le football italien, nous nous sous-estimons, nous nous maltraitions. Je suis d'accord et je pense que les entraîneurs sont très bons, étant donné que nous étudions toujours. Cette année, les équipes italiennes en Europe ont montré que nous n'étions pas loin." "J'étais sûr à 200% que Manchester City souffrirait contre l'Inter. Lorsque vous faites face à des équipes hautement et bien préparées, ce n'est jamais facile. City a ressenti le poids d'être favori et le fait que l'Inter ait montré qu'elle pouvait rivaliser avec les grands noms européens montre que le football italien n'est pas en crise. Nous devons continuer sur cette voie, il y a beaucoup de félicitations à l'Inter, à la Roma et à la Fiorentina." "Romelu a démontré même au cours de ces 30 minutes au cours desquelles il est entré en finale, c'était la partie du match où elle était la plus dangereuse. Mettre un joueur de sa force peut avoir un impact. Cette année, il a eu des problèmes physiques mais vous ne pouvez pas douter de sa valeur." Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. En effet, le père de notre Président Steven Zhang, Jindong Zhang a qui appartient l'Inter, a assisté à la finale de la Ligue des Champions depuis la Chine, vêtu d'un maillot Nerazzurro Comme le révèle Daniele Mari, s'll n'a pas pu rejoindre son fils Steven à Istanbul, celui-ci n'aurait manqué pour rien au monde la Finale de la Ligue des champions entre Manchester City et l'Inter , car malgré la distance, il tenait à montrer sa proximité avec l'équipe. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. Rendez-vous le 10/06 à 21h00 En attendant vous pouvez aller voter et commencer le match par ici :
  21. La Gazzetta dello Sport chante les louanges de Simone Inzaghi fraîchement et définitivement diplômé au niveau international à Istanbul. Si pour les Italiens, comme le dit Guardiola, un 0-0 est une victoire, alors l'Inter a remporté la première mi-temps et une bonne partie de la seconde, des minutes pendant lesquelles Manchester City ressemblait à une équipe comme les autres, voire peut-être pire. Cela pourrait être du au fait que les Anglais n'étaient pas dans un soir de grâce. Oui, peut-être. Mais nous nous en doutons car nous sommes convaincus que le plan tactico-stratégique de Simone Inzaghi a eu un impact sur la "banalisation" de City. Il a privé City de ses merveilles. Il l'a drogué avec une attitude faussement soumise. Pendant longtemps il a laissé City dribbler et tirer loin de la zone, avec Haaland isolé et hors contexte comme cela arrive rarement. Une Inter défensive ? Non ! Une Inter intelligente qui a su gérer les moments d'un match très difficile. Et même les propos de Guardiola en fin de match confirment ce qui en est ressorti pendant les 90 minutes : tactiquement, City a été anesthésié. Le beau et presque invincible City ne s'est pas présenté à Istanbul. Le but est venu grâce à une action admirable mais qui s'est concrétisée sur l'un des rares échecs de la phase défensive de l'Inter, avec le côté gauche exposé et faible. City n'a pas volé la victoire, la défaite de l'Inter n'est pas méritée non plus. Inzaghi aurait mérité une prolongation pour la façon dont il a freiné et agacé City. Tous les discours de la veille sur la distance sidérale entre City et l'Inter étaient infondés. Hier soir, Guardiola et Inzaghi étaient proches, très proches, et notre prix de la critique, pour ce que ça vaut, nous le livrons à l'entraîneur d'une Inter à la hauteur absolue de City. Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Francesco Acerbi s'est exprimé en conférence de presse à Coverciano. Il a évoqué divers sujets. Une amertume avec la défaite en finale face à Manchester City ? "Il faut être fier de ce qui a été fait mais il y a un peu d'amertume, oui. La finale, bravo, bravo... mais si tu ne soulèves pas le trophée, il n'y a rien d'écrit et ça te ronge un peu. Aussi parce que mon sentiment sur le terrain était que nous n'avions pas conscience que nous pouvions vraiment tuer Manchester City. Nous avons trop parlé de sa force et nous avons payé cela un peu inconsciemment. Même City avait peur de nous, on a tout fait pour que la Ligue des champions aille à Milan... Dommage, un gros regret." Que dire de ce cru du football italien ? "C'est une année importante pour l'Italie. Cela ne s'est jamais produit. Je ne sais pas si c'est le début de quelque chose... La Premier League est la plus forte en ce moment mais nous sommes l'Italie. Un pays avec beaucoup de joueurs forts , beaucoup de jeunes qui peuvent jouer. Preuve que le football italien est toujours à un excellent niveau. Même en équipe nationale, nous devons récupérer, nous connaissons notre valeur et ce que nous voulons faire. Nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes." Êtes-vous prêt pour Jeudi ? "Même le lendemain de la finale à Istanbul, alors vous jouez nerveusement. J'ai passé une journée au cours de laquelle vous réfléchissez et réfléchissez à ce que vous auriez pu faire de plus, analysez le match et la défaite. Ces résultats font partie de la vie, le Le l'important est de faire de mieux en mieux chaque jour. Vous êtes en équipe nationale et maintenant vôtre tête est là, pour le match de jeudi. C'est un match qui se prépare, bien." La finale de Samedi était-elle une opportunité unique ? Quelle impression Haaland a-t-il faite? "C'est deux fois le joueur que j'ai affronté contre Dortmund il y a trois ans. Un grand attaquant mais il a fait un excellent travail d'équipe. Après le match, zéro réflexion, pendant dix minutes, je n'ai voulu parler à personne. Occasion unique, penser avant au match, mais une fois dedans, je ne pensais qu'à tout donner et qu'il pourrait y avoir une autre opportunité. D'abord vous pensez à tout, puis vous vous sentez mal de la défaite." Pensez-vous aux chants "Acerbi on n'en veut pas" des fans l'été dernier ? "Je suis assez fort, je m'en fous. Ce qui m'a donné de l'énergie et de la force, c'est ce que je veux, aller plus loin et ne pas rendre les autres heureux. Pour un petit sourire, ils m'ont peint en fan du Milan et ça m'a fait un peu mal parce qu'en tant que professionnel et homme sur le terrain, personne n'avait à remettre en question mon engagement. Quelle que soit l'équipe pour laquelle j'ai joué. Mais j'ai dit que je devais continuer, c'est ma passion et ma vie et pour cela je suis fier de moi-même." Quels sont vos objectifs à ce stade ? "Gagner des coupes oui et non... Mon seul objectif est que lorsque j'aurai fini de jouer au football, je pourrai dire que j'ai tout donné pour ce que je représente. Je ne sais pas où j'en serai dans un an, où je sera dans six jours... Je ne sais pas dans deux semaines. Je ne sais pas où je serai, deux heures avant la fin du mercato j'ai dit non à Inzaghi et puis je suis parti. Le bon chemin sera le meilleur pour moi, puis à la fin de ma carrière je tirerai un trait. La finale de la Ligue des champions n'était pas prévue, je donne tout." Vous avez probablement connu la meilleure saison de votre carrière. Comment expliquez-vous qu'elle était atteinte à 35 ans ? "Après ma maladie, j'ai toujours été sur la bonne voie, j'ai toujours fait de bonnes saisons. Un joueur ne fait pas un match à huit puis à quatre. C'est toujours ce qu'on a envie de faire quand on progresse, j'essaie suivre le meilleur pour moi-même, puis la faim, l'envie, la volonté… Vous voulez aller là où les autres ne veulent pas aller, puis bien sûr il y a aussi le groupe et un peu de chance puisque je n'ai subi aucune blessure." Quelles leçons tirez-vous de la finale à Istanbul ? "J'ai perdu la finale et vous devez être conscient que vous pouvez la jouer contre tout le monde et même gagner s'il y a un groupe fort et cohérent qui continue et se relève même après les revers. C'est la seule voie qui vous permet d'avancer. Quand vous perdez, ce n'est pas un échec mais un enseignement. Vous gagnez et vous perdez, en espérant qu'il y ait toujours plus de victoires que de défaites." Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. "Standing tall" est un slogan qui a été beaucoup abusé et galvaudé ces dernières années. Il a également été utilisé à l'occasion de finales déséquilibrées ou de parcours européens terminant sans succès d'équipes italiennes qui se sont présentées sur la ligne de départ de la Champions et avaient été désignées parmi les "favorites" pour la victoire finale. Toute référence est purement fortuite. Seule certitude, l'Inter sortira véritablement "la tête haute" du stade olympique Atatürk d'Istanbul. La déception restera avec nous pendant des semaines, peut-être des mois, peut-être des années. On ne le sait pas encore. Le fait que l'on ait caressé l'idée de pouvoir soulever la Coupe aux grandes oreilles pour la quatrième fois de notre histoire face au City de Pep Guardiola doit être une source de grand plaisir, de grande fierté. Cela doit être avant tout à cause de la façon dont cette nomination s'est faite et du nombre de choses irrespectueuses qui ont été dites à notre égard. Pour la planète entière, il ne devait pas y avoir de match à Istanbul. Qu'a dû penser le chanteur et fan de City Gallagher, qui voulait à tout prix nous affronter en finale, durant les 90 minutes de la finale ? Qu'a dû penser de l'ex-joueur Bale qui a prédit un sec 5-0 pour City à quelques heures du match ? Et tous les insiders italiens qui pendant toute une saison ont tenu des propos plus que moyens envers Simone Inzaghi ? Comme par magie, d'un coup, le monde entier découvre l'Inter de Simone Inzaghi. Le même qui a gagné à Liverpool l'année dernière et qui dans les 180 minutes a donné du fil à retordre à cette équipe qui a ensuite joué contre le Real Madrid. Le même capable de remporter 4 derbies de la saison contre le Milan Champion d'Italie. Le même capable d'éliminer le Barcelone de Xavi en phase de groupes, qui quelques mois plus tard a remporté la Liga contre ce Real Madrid que tout le monde a indiqué comme le grand favori pour remporter la Ligue des champions, comme City, uniquement pour une question d'ADN. Heureusement, les prédictions et l'ADN tant vanté ne vont pas sur le terrain, mais les idées oui. Il y a de l'abnégation au travail. Vient la préparation. Voilà l'étude. "Vous avez retrouvé Porto, Benfica et Milan dès le deuxième tour" est une thèse qui ne tient pas et ne tiendra jamais. Une équipe "chanceuse" dans le tirage au sort ne joue pas de manière égale contre une équipe extraterrestre, les forçant à changer leur nom de Manchester à Bristol City pendant 90 minutes. Une équipe qui s'y trouvait Samedi est sortie du stade olympique d'Atatürk avec un fracas historique. Au football, il n'y a qu'un seul vainqueur à la fin, mais l'Inter gagne toujours. Pour l'Inter, gagner n'est pas la seule chose qui compte, cela ne l'a jamais été. Mais avoir fait repenser au monde entier qui pensait que nous étions perdus est une source de grande fierté. La certitude d'avoir été grand n'est pas affectée par les mesquineries. Au final, les épisodes décident et c'est comme ça que ça s'est passé Samedi. C'est du sport, c'est du foot. Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve mais nous le vivrons comme ça. Arrivederci Inter. Georges Courteline a écrit "Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet". Une phrase que Gallagher et comparses auraient dû connaître avant de l'ouvrir. Mais quand on est un imbécile... Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. Sacré champion d’Europe face à une Inter qui l’aura fait déjouer, Pep Guardiola s’est livré sur l’adversaire du soir à Sport Mediaset Après 12 ans d’attente vous l’avez de nouveau gagné… "Félicitations à l’Inter qui est une grande équipe, je le dit comme gagnant mais je l’aurais aussi dit comme perdant : Elle méritait d’être à sa place ici, on aurait pu aller jusqu’aux prolongations mais notre Victoire semblait écrite, depuis les défaites de nos années précédentes." Vous attendiez-vous à une telle Inter ? "Je ne m’attendais pas à quelque chose de différent si tu as un portier qui joue comme un joueur de champs, des joueurs comme Barella et Çalhanoğlu, des joueurs qui sont aussi physiquement fort…. Sans un tel gardien tout aurait été plus facile : Ce n’est pas un hasard si les équipes italiennes sont arrivées dans les trois finales." Que voudriez-vous dire à Inzaghi ? "Je voudrais dire à Inzaghi que ce qu’il ressent, je l’ai ressenti il y a quelques années, mais il est aux commandes de l’équipe qui est vice-championne d’Europe, elle est vraiment très forte et ils reviendront ici pour jouer la gagne : Le football est ainsi parfois l’on gagne, parfois l’on perd." Que répondez-vous à ceux qui disent que vous étiez en difficulté avec City pour l’emporter ? "Quelque chose a changé ? On peut dire ce que l’on veut, mais l’important est de gagner et d'être là car tôt ou tard tu l’emporte : Nous ne voulions pas simplement gagner et retomber dans l'anonymat: Nous voulons rester présent pour tout le temps. Cela aurait pu arriver les autres années, mais cela nous est arrivé cette année, et c’est important de pouvoir disputer des matchs comme celui-ci" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...