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Marco Materazzi, lors de l'interview accordée à la chaîne Youtube de Gazzoli, a raconté une anecdote quand il était à Naples. "J'étais à Naples, je ne les soutiens pas mais j'étais content qu'ils aient gagné le Scudetto parce que voir une ville célébrer un titre de cette manière, c'est très beau. Je suis sorti et j'étais au téléphone. Du coup, quelqu'un m'a dit: - Mais oui, toi ? Et j'ai répondu: - Oui ? Il dit: - Et tu viens ici sans rien dire ? Je n'ai jamais vu ça avant, j'étais au téléphone et donc je n'ai pas répondu. Et puis il me dit: - Oh, mais ne parle pas, tu es vraiment un fan de la Juventus toi ! Non ? Et là, c'est comme s'il m'avait insulté et j'ai répondu: -Dis-moi fils de pu***, mais Juventino, non !" Sacré Matrix Traduction alex_j via FCInterNews.
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Invité de Gianluca Gazzoli le 16 Mai dernier, Marco Materazzi est revenu sur sa carrière et des passages de l'Inter. Comment avez-vous vécu l'après-retraite ? "J'ai arrêté en 2011, la première année tu fais tout ce que tu n'as jamais fait durant ta carrière. Puis vient l'effondrement deux ans plus tard. Les vestiaires, les gens me manquent mais ce soir je vais au coin pour Inter-Milan parce que je me sens comme l'un d'eux, comme lorsque je jouais. C'est pour ça que ça me manque moins évidemment. Ensuite, quand vous avez une vie bien remplie, si vous avez créé quelque chose au-delà du football, vous la vivez bien." Votre carrière d'entraîneur. "Je l'ai fait en Inde pendant trois ans, en remportant un championnat. J'ai aimé ça parce que c'était 'vierge', je devais tout faire moi-même. On a monté une équipe, la dernière franchise. On a gagné la saison régulière, puis on a perdu en demi-finale parce que nous étions cuits. L'année suivante, nous avons gagné, l'année dernière nous ne nous sommes même pas qualifiés. En Inde, la religion, c'est le cricket mais quand vous allez jouer à Calcutta, il y a un énorme public." Tu es devenu l'idole des fans des équipes pour lesquelles vous avez joué parce que tu avez toujours donné votre cœur. "Je préfère avoir l'amour de mes parents et la haine des autres. Au moins tu es quelqu'un qui divise, qui a le courage de dire ce qu'il pense." Puis tu es devenu l'idole de tout le monde en 2006. "Pendant un mois et c'est tout, le temps de célébrer. Ma situation à la Coupe du monde a été décrite de manière incorrecte : sur 10 personnes que je rencontre, 9 disent que j'avais raison. On n'a jamais vu un joueur dans l'histoire du football écoper d'une suspension de deux matches pour provocation, j'en suis fier. Je sais comment les choses se sont passées, je n'aurais certainement pas mérité une disqualification en deux matchs. Mais il y avait un "bandit" à la Fifa, il a fait en sorte que ça se passe comme ça. L'avocat de la Fifa m'a appelé alors que j'étais en vacances aux Maldives pour rentrer à Zurich. Je lui ai répondu : 'tu es stupide, quand je reviendrai peut-être que je viendrai'. Puis je suis finalement allé et j'ai été jugé sans être entendu. Ils l'ont joué et chanté, mais il n'en reste pas moins que je suis champion du monde. J'étais un peu désolé parce que j'aurais aimé jouer au Stade de France après la Coupe du monde, j'aurais aimé les défier. Malheureusement ils m'ont empêché... C'était des conneries, Tassotti lui a pris 9 matches pour un coup de coude, un de plus que moi. J'aime me souvenir des deux buts que j'ai marqués, l'un avec la tête et l'autre avec le ballon médicinal de 10 kilos, car ce n'est pas facile de marquer un penalty. Heureusement, Barthez n'est pas si grand mais je savais que je devais marquer. Zidane ? Je le félicite pour ce qu'il a fait en tant que joueur et en tant qu'entraîneur. Ce qui s'est passé cette nuit-là est son problème plutôt que mon problème." Le Triplete. "Pour moi, et pour tous ceux qui ont souffert en 2002, c'était la cerise sur le gâteau. Le noyau historique de cette équipe a atteint son apogée, ils ont gagné à juste titre après avoir souffert. C'était une gratification sportive, pas qu'en Italie personne ne l'a jamais et nous l'avons fait, nous seuls. Pas même le Real Madrid, qui est l'équipe la plus titrée de l'histoire. Ce n'est pas facile ce que nous avons fait. Dans le sport, ce n'est pas toujours l'équipe la plus forte qui gagne mais aussi l'unité d'un groupe, les détails , l'entraîneur n'a rien fait de mal." Aviez-vous des stratégies pour intimider ? "Non. Si je te le faisais, on se disputerait. Samuel, mon idole, si tu lui disais quelque chose il ne te répondait pas. Peut-être que j'ai eu tort de discuter, oui. Ai-je exagéré? Non, ce qui est fait est fait, je ne nie pas le passé." Ronaldo. "La puissance de Cristiano avec la vitesse d'exécution et le talent naturel de Messi. Et il a fait ces choses il y a 20 ans, il était dans une autre catégorie." Le câlin avec Mourinho après la victoire à Madrid. "'M'abandonnez-vous l'année prochaine?'. Je savais qui arriverait malheureusement (Benitez, ndlr). Avec José on s'est toujours dit des choses, je l'ai toujours aidé. Il m'a dit lui-même que la deuxième année il aimait m'entraîner, même s'il m'a dit que je pouvais aussi jouer zéro match. Après 1' j'ai répondu : 'je reste avec vous'." Souvenirs du derby et de la photo iconique avec Rui Costa. "L'ambiance était belle, c'étaient de bons matchs. J'ai signé de nombreuses photos... Le gâchis s'est produit dans la Curva, dans cette circonstance ils ont exagéré, et je dis cela en ayant une excellente relation avec les fans. Ce n'est plus du football, c'est ce que il nous a fait du mal, pour le match perdu et la disqualification du terrain, mais aussi à Milan. Ça n'a pas de sens de gâcher des matches comme ça." Êtes-vous un fan de l'Inter ? "Je ne l'étais pas, mais je le suis devenu. Lors de ma première année à l'Inter, j'aurais pu tout gagner et à la place, j'ai tout perdu. Ce n'était pas facile de recommencer après le 5 mai. Nous avions beaucoup changé, l'année après le 6 -0 du derby. Nous sommes partis de zéro, nous aurions mérité le Scudetto même si nous n'étions pas les plus forts. Je ne veux pas être rhétorique mais quelque chose s'est mal passée." La relation avec Ibrahimovic. "Il n'y a aucune aversion de ma part, il le jette de temps en temps, c'est aussi arrivé à son retour à Milan. Il aime attaquer l'idole Interisti. Il n'y a pas de rancune de ma part. Il ne gagnera jamais la Ligue des champions et la Coupe du monde, parlons de gagner des scudetti avec la Juve, le Psg, Milan et Barcelone... Ils sont tous bons, il l'a fait. C'est un phénomène, c'est un champion mais il n'est pas le plus fort, pas aussi fort qu'il se voitt. Il a créé une marque, mais il n'est pas le plus fort. Lui, comme moi, est fier du parcours et d'où il vient. Chapeau bas pour ce qu'il a fait, alors que mère nature lui a donné un physique et deux pieds incroyables. Dans les championnats, c'est un phénomène. Son adieu fut agité. J'ai perdu le Scudetto la première année et je suis resté à l'Inter, puis j'ai été récompensé. Maintenant, il s'est un peu calmé, il est l'idole des supporters milanais et il est heureux à Milan." Des relations privées après des joutes publiques ? "Je n'ai aucun contact avec lui et je m'en fous, chacun suit son chemin." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Protagoniste du dernier épisode de 'Footsteps', un format diffusé sur la chaîne Recast de l'Inter, Romelu Lukaku se décrit et aborde des sujets liés à l'Inter. Description "La détermination, l'envie de s'améliorer et d'avoir toujours de nouveaux objectifs ont été importantes dans ma carrière. Mais aussi l'humilité." Le plus beau but "L'un des plus beaux buts de l'Inter a été la victoire 3-0 contre Milan. Perisic a frappé la balleet Barella et moi étions là. J'ai alors demandé à Nicolò de me la laisser et j'ai vu qu'il y avait de la place. Et là, j'ai commencé à courir. Au départ, je voulais faire un double pas vers la droite mais Lautaro était là et je ne pouvais pas la lui passer. Alors je suis allé vers la gauche, je n'ai vu qu'un tout petit espace et j'ai dit ok pour moi. Je devais frapper le plus fort possible et j'ai marqué." Compagnons idéaux "En tant que colocataire, j'aurais aimé Adriano parce que c'est une bonne personne, chaque fois que je lui parle, je ressens des émotions. Quand j'étais petit, les gens disaient que c'était un joueur avec de la force et de la puissance qui n'utilisait que son pied gauche. Quand je l'ai vu jouer, j'avais seulement 10 ans et il a tout changé pour moi. En tant que partenaire offensif, j'aurais aimé Ronaldo il Fenomeno parce qu'il est droitier et moi gaucher, mais pour la façon dont il a joué. Je dis aussi Vieri." Adversaire idéal "J'aurais aimé défier Materazzi parce qu'il est grand, fort et agressif et ce sont les défenseurs qui te mettent le plus en difficulté, et en difficulté tu progresses. Les matchs contre lui auraient été intéressants à voir." Hé bé, un duel Lukaku vs Materazzi, là, ça aurait cogné Traduction alex_j via FCInterNews.
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Invité spécial aux micros d' Inter TV. Avant Inter-Milan, le grand Marco Materazzi s'est entretenu avec le diffuseur Nerazzurri. Ses mots. L'Inter à un pas de la finale. "En ce moment, il y a un désir de profiter d'un bon match après un résultat important au match aller. J'espère qu'à la fin, il y aura une bonne fête pour nous. Maintenant, avec le nouveau règlement, chaque match est différent. Nous savons que nous a fait un chemin important. Quand on n'encaisse pas de but en Ligue des champions, c'est beaucoup de choses. Nous, les supporters, étions peut-être un peu sceptiques mais l'équipe nous amène à vivre un rêve. En Ligue des champions, l'équipe a toujours donné le sentiment de jouer contre n'importe qui alors que les matchs les plus difficiles venaient. Tous ceux qui ont joué et même ceux qui étaient sortis ont ramé dans la même direction, je pense à De Vrij qui est venu se battre pour chaque balle. C'était la clé." Une réflexion sur Darmian ? "Il a fait un championnat incroyable, il a apporté une contribution incroyable quand il a joué. Nous ne pensons qu'à Lisbonne, ce qu'il a fait pour nous, il doit être considéré avec beaucoup d'affection." Milan récupère Leao. "Il faut voir comment il aborde le match. Je pense que le Portugais n'a pas encore montré toutes ses qualités en Ligue des champions parce que le talent ne se discute pas objectivement. Ensuite, il faut comprendre quel impact aura le problème musculaire dont il souffre." Acerbi est convaincant. "Le parcours d'Acerbi a été exceptionnel, toujours attentif à chaque match. Quand il a fait une erreur, l'erreur n'avait pas d'importance. De Lautaro Martinez, mais de toute l'équipe, j'attends un match de champion du monde ce soir. Il est très proche d'atteindre cet Olympe de joueurs qui, comme moi, ont gagné la Coupe du monde et la coupe aux grandes oreilles. Nous jouerons pour la victoire au milieu de terrain où je crois que nous sommes plus forts, j'espère que le numéro 23 sera le MVP." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Marco Materazzi et Goran Pandev donnent leurs conseils
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Marco Materazzi et Goran Pandev s'expriment sur le retour de l'Euroderby aux micros de Sky Sport. Marco Materazzi A propos de Goran Pandev. "On s'entendait très bien avec Goran, on avait la fraterie tzigane avec Chivu, Stankovic, on était comme des frères. On s'aimait. Cette année (2010, ndlr), il est est arrivé en Janvier et a fait la différence. Ce n'est pas donné à tout le monde." L'Inter peut perdre ? "Oui. C'est vrai. Quand tu joues sans plus rien à perdre, tu es plus calme comme eux maintenant. Voyons comment ça se passe. On joue à domicile, il va falloir commencer fort. Nous devons les mettre sous pression immédiatement." Avez-vous bien dormi avant le Camp Nou ? "Non avant le Camp Nou mais avant le match aller oui. On savait qu'aller là-bas pour défendre la victoire 3-1 n'était pas facile, il y avait le but à l'extérieur. Puis Thiago Motta a été expulsé et l'obstacle semblait insurmontable. Mais nous voulions vraiment cette finale et nous l'avons atteinte." L'Inter n'aura pas à gérer. "En tant que fan, c'est la seule peur, si vous le maintenez à 0-0, une étincelle ou un but audacieux suffit pour relancer le match. Je pense que les garçons montrent qu'ils sont en excellente condition physique et ils essaieront d'en faire une formalité. Quand on joue 7 matchs de Ligue des Champions sans encaisser de but, ça veut dire qu'on a fait quelque chose. Ils voudront prouver qu'ils méritent la finale." Une comparaison avec votre Inter ? "Je n'aime jamais faire de comparaisons. Je préfère la mienne, mais j'aimerais que celle-ci gagne à nouveau, surtout parce que cette année ce serait vraiment inattendu. Ils peuvent nous faire rêver, je l'espère. Ce serait merveilleux comme fan, nous serions les premiers Italiens après tant d'années." Goran Pandev Ses souvenirs du derby. "Je me souviens quand je venais d'arriver de la Lazio en Janvier, on avait gagné 2-0 avec un but sur coup franc. Nous étions dix parce que Sneijder a été expulsé. Ce sont toujours des matches passionnants." Aimé partout ? "J'ai essayé, là où j'étais, de donner le meilleur de moi-même. Parfois tu réussis et parfois non. J'ai toujours tout donné sur le terrain. Materazzi m'a tellement donné. Il était comme un père, il m'a aussi donné des coups mais pour moi c'était fondamental." Un conseil aux joueurs ? "Dans les deux soirées avant Barcelone, je n'ai pas dormi. Mais après 5 minutes, dès que le match commence, tout semblait normal. Il y a beaucoup de gens expérimentés à l'Inter, physiquement ils vont bien, mais il va falloir oublier le match aller. Je pense qu'ils peuvent passer le tour, ils ont aussi récupéré des joueurs sur le banc, ils marquent tous des buts et en encaissent peu. On sait que Leao est de retour mais ils le connaissent bien et je pense ils joueront un grand match. Cette Inter est forte mais la nôtre a certainement eu des gens comme Eto'o qui a gagné des matchs tout seul. Ce sont deux Inters très différentes." Inzaghi ? "Il a beaucoup changé, nous avons passé cinq ans ensemble à la Lazio. Il a montré qu'il savait souffrir, il a eu des difficultés mais s'il atteint la finale de la Ligue des champions, il aura fait une grande chose. J'espère qu'il pourra le gagner car un club comme l'Inter le mérite." Comment jugez-vous la saison de l'Inter ? "L'Inter a deux grands directeurs sportifs à Marotta et Ausilio, je sais ce qu'ils peuvent faire. À mon avis, cette saison pour l'Inter est positive si au final ils terminent à la deuxième place, vont en finale de la Ligue des champions et remportent la Coupe d'Italie. Ils ont quatre grands attaquants, à mon avis. Vous ne pouvez pas vous planter maintenant parce que tout le monde va bien. Correa a eu quelques problèmes mais ce sont les attaquants qui font la différence." Traduction alex_j via FCInterNews-
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A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Notre Matrix national a acquis un cadeau bien spécial. Souvenir spécial (en français dans le texte, ndlr) pour Marco Materazzi. Notre ancien défenseur et de l'équipe nationale, qui est en vacances à Naples ces heures-ci, a acheté la statue qui représente le désormais coup de boule de Zinedine Zidane lors de la finale de la Coupe du monde 2006. "Une belle visite tant appréciée par le champion du monde Marco Materazzi accompagné de sa famille. Un porte-bonheur pour lui est le célèbre coup de tête de Zidane", a écrit sur Instagram l'auteur de l'oeuvre en terre cuite, l'artisan Genny Di Virgilio. https://www.instagram.com/p/CsG26pSIzel/?utm_source=ig_embed&ig_rid=1b1a8cb6-ccfd-4bc0-83b0-cea81decfffe Traduction alex_j via FCInterNews.
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Romelu Lukaku parle de lui, entre souvenirs d'enfance, idoles et moments inoubliables avec le maillot Nerazzurri. Romelu Lukaku est la vedette du programme d'aujourd'hui, consacré au match entre l'Inter et Benfica en quart de finale retour de la Ligue des Champions : "Plusieurs personnes ont été importantes dans ma vie et ma carrière, la première est sans aucun doute ma mère. Je pense aux premières opportunités que j'ai eues, je pense à Jean Kindermans, responsable de l'académie des jeunes d'Anderlecht et Ariel Jacobs, l'entraîneur qui m'a donné la belle opportunité de faire mes débuts en équipe première pour laisser un garçon de 16 ans jouer, mais à la fin de la saison, nous avions remporté le championnat de Belgique et j'étais le meilleur buteur. Tout cela grâce à leur confiance ." " Le plus important est d'avoir toujours de nouveaux objectifs, de toujours vouloir s'améliorer. La détermination est le moteur, puis il y a d'autres valeurs tout aussi importantes. Je me souviens que ma première année en tant que professionnel, mes résultats à l'école n'étaient pas très bons et dans un match un joueur s'est cassé la jambe. L'entraîneur après le coup de sifflet final m'a appelé dans le vestiaire et m'a dit "On ne sait jamais ce qui va se passer dans le football, il faut bien faire à l'école. Et j'ai bien fait". « Bruxelles, c'est ma ville, mes origines et mes affections y sont. J'ai de merveilleux souvenirs de Manchester car j'y ai vécu même quand je jouais à Everton. La ville de Milan m'a tout de suite impressionné, pour les gens, l'ambiance et tout le reste . " Idoles d'enfance? « Quand j'étais petit, la conception du football était différente. Certains disaient qu'un joueur puissant qui n'utilise que son pied gauche ne pouvait pas faire grand-chose. Et puis Adriano est arrivé, il m'a ouvert le monde, je l'ai vu jouer quand j'avais 10 ans et à partir de ce moment tout a changé pour moi. Avec qui aurais-je voulu jouer ? Avec Ronaldo le Phénomène, la façon dont il était sur le terrain était incroyable. Qui aurais-je défié ? Materazzi parce qu'il est grand, fort et agressif, un de ces défenseurs qui te mettent en difficulté et des difficultés tu t'améliores toujours ". Le plus beau but avec l'Inter? " Si je repense aux buts les plus excitants des Nerazzurri, l'un des meilleurs est certainement celui de la victoire 3-0 contre Milan. Perisic a botté le ballon, Nicolò et moi étions là, je me souviens lui avoir dit "laisse!", j'ai pris le ballon et j'ai vu qu'il y avait de la place pour y aller. J'ai commencé à courir, d'abord j'ai voulu faire deux pas pour aller vers la droite, puis je suis allé vers la gauche, j'ai vu ce "trou" dans le but et je me suis dit "je dois taper le plus fort possible avec l'intérieur du pied, si j'y arrive c'est un but", puis le ballon a fait ce mouvement et est entré. C'était un beau moment" . Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Marco Materazzi est l'invité spécial de "Matchday Hype" sur la chaîne Youtube de l'Inter, avant le match de Ligue des Champions face à Benfica. Les mots de Matrix: Parlons des quarts de finale. "C'était une soirée fantastique au match aller, c'était important de gagner mais c'est encore plus important demain. Nous avons plus de 70 000 fans de notre côté, mais nous devons rester concentrés pendant 90 minutes car n'importe quelle équipe peut marquer à tout moment. " Quelle est l'importance de San Siro? "Je pense que les gars doivent donner leur cœur aux fans. San Siro peut vous pousser pendant 95 minutes, mais vous devez les impliquer dès le début." La défense se porte bien, mais c'est la phase défensive qui fait la différence dans ces matchs. "On a une belle opportunité d'aller en demi-finale et en finale, pourquoi pas ? Tout peut arriver. Tu as deux buts d'avance, on est dans une bonne situation : Je pense que les garçons peuvent bien faire, même si ils ont perdu en championnat samedi." Benfica va tout de suite presser, ils ont une bonne attaque. Qu'attendez-vous? "C'est une bonne équipe, mais nous sommes l'Inter et nous jouons à domicile, donc nous devons gagner. Peu importe l'adversaire." Vos souvenirs de la Ligue des champions. "De super souvenirs, j'ai eu le privilège de gagner cette Coupe. On peut refaire ce qu'on a fait il y a 13 ans, si l'équipe joue a son vrai niveau." Qui peut être l'acteur clé? "J'espère que ce seront les attaquants, nous avons besoin de leurs buts. Bastoni est un bon défenseur comme moi, c'est normal que quelqu'un comme lui fasse des passes décisives. Darmian et D'Ambrosio, par exemple, ont été fantastiques avec Porto, ce qui compte, c'est le groupe , l'équipe". Inzaghi a demandé à l'équipe de l'intensité et de la concentration. "Je n'ai pas entendu la conférence, mais en Ligue des Champions, il faut jouer, avoir de l'intensité". Traduction Lindt1908 Via Fc InterNews
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L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Marco Materazzi, estime qu'il serait resté à l'Inter dans la position où se trouve Milan Skriniar plutôt que de partir rejoindre le Paris Saint-Germain. S'adressant au diffuseur français Canal +, tel que rapporté par FCInterNews , l'ancien défenseur a fait valoir que Skriniar n'obtiendrait jamais le même genre d'amour des fans du PSG que des supporters des Nerazzurri, notant que même Lionel Messi se fait parfois huer par les fans du Parc des Princes. Skriniar a pris la décision de quitter l'Inter lorsque son contrat avec le club expire fin juin. Le joueur de 28 ans semble avoir été convaincu par les offres du PSG, qui sont non seulement supérieures à ce que les Nerazzurri avaient proposé, mais le verront également jouer aux côtés de certaines grandes stars européennes telles que Messi, Neymar et Kylian Mbappe. Cependant, du point de vue de Materazzi ancien défenseur légendaire, cela peut ne pas suffire. Le vainqueur de la Coupe du monde 2006 a suggéré que la façon dont les fans traitent les joueurs est également un facteur déterminant, et que pour lui, il ne pouvait pas imaginer quitter l'Inter pour rejoindre le PSG dans la position où se trouve Skriniar. "A sa place, je serais resté à l'Inter". "Je l'ai dit publiquement : 'Rappelle-toi comme les supporters de l'Inter t'aimaient, je ne sais pas si tu auras le même genre d'amour à Paris même si j'espère que tu l'obtiendra". "Regardez simplement ce qui se passe avec Messi", faisant référence à certains sifflements que l'Argentin a reçues des ""fans"" du PSG, "et c'est l'un des meilleurs joueurs de l'histoire." À propos de Skriniar, Materazzi a déclaré : "C'est un excellent défenseur, pas tout à fait de la plus haute qualité, mais quand il s'applique, il est extrêmement bon dans un contexte défensif collectif." "Il s'est beaucoup amélioré", a ajouté l'ancien défenseur, "il est devenu indispensable et à été capitaine de l'Inter." Matrix a Raison, Il Va Vite Le Regretter Et Tant Mieux! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Marco Materazzi, ancien défenseur de l'Inter, a ainsi évoqué sa rivalité avec la Juventus : ce sont ses mots Lors de l'interview accordée aux micros du podcast Italian Football TV, Marco Materazzi , ancien défenseur de l'Inter, évoquait ainsi sa rivalité avec la Juventus: « Je la respecte mais je déteste la Juventus sur le plan sportif. J'étais là à Cardiff et à Berlin quand ils ont perdu : mon cœur battait a grand coup, s'ils avaient gagné ça aurait été mauvais pour lui". Comme tout Nerazzurri! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Marco Materazzi attaque Chiffi sur la main de Rabiot !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'épisode autour du but de la Juventus a fait et fait encore beaucoup parler. Matrix s'en mêle! L'action est déclenchée par un ballon touché par le bras d'Adrien Rabiot, tout le monde l'a vu, tout le monde est d'accord, les images sont équivoques, sauf pour la VAR. A travers ses réseaux sociaux, Marco Materazzi ne cache pas sa colère et s'en prend directement à l'arbitre du match. "Et puis ils demandent pourquoi... Aviez-vous la vue masquée ?",a-t-il écrit en joignant une image fixe dans laquelle le contact avec le contact avec le bras apparaît tout à fait évident. Traduction alex_j via FCInterNews- 3 commentaires
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Marco Materazzi interviewé par les chaînes officielles de la Lega Serie Aavant le derby italien prévu demain évoque sans équivoque ce derby. Sur la rivalité Inter - Juventus. "C'était mon deuxième match en Serie A, marquer contre la Juventus malgré une défaite 2-1, avec une petite équipe comme Pérouse était un motif de satisfaction... C'est peut-être là que ma feud avec eux a commencé. Nous avons joué plusieurs fois contre eux, je pense que ce sont les adversaires les plus acharnés, avec ceux avec qui il y a le plus envie de se battre. Le meilleur souvenir est la Supercoppa car elle nous a permis de démarrer un cycle de succès incroyables et gagner énormément. Quand il y a des équipes fortes c'est normal qu'il y ait de la 'haine' sportive, peut-être qu'avec la Juventus il y en avait plus car il y a toujours eu une rivalité au niveau des clubs car nous sommes deux superpuissances qui voulaient se battre. Quand on me parle de Milan, je dis 'non, la Juventus'. Il y a une rivalité sportive avec Milan, la Juventus est l'équipe à battre et à abattre. Ils ont toujours été des challengers très passionnés. On se connaissait tous et il y avait un maximum de respect mais ensuite, une fois sur le terrain, c'est normal qu'il y ait la volonté de gagner et on était prêt à tout pour y arriver. Ensuite, en dehors du terrain, on se marrait mais sur le terrain..." Sur Inzaghi. "A mon avis, Inzaghi fait un super boulot, il est un très bon entraîneur qui a gagné plusieurs coupes. Il lui manque sans doute la plus importante qui lui ferait faire le saut qualitatif. Il faut gagner les titres de champion. L'Inter doit marquer des points pour aller en Ligue des champions, la Juve sait qu'ils ont une pénalité qui ne sera décidée qu'à la fin. Les points serviront aussi à se qualifier à la Champions car c'est la Champions qui fait la différence." L'home clé du match ? "J'espère qu'il est fan de l'Inter, et par fan de l'Inter, je veux dire un vrai, pas seulement parce qu'il porte le maillot de l'Inter. Barella, Dimarco, Calhanoglu qui est devenu fan de l'Inter, je l'aime bien, Bastoni... Peut-être un un attaquant aussi, Lautaro... Nous avons beaucoup de supporters de l'Inter qui, au-delà du maillot qu'ils portent, ont l'Inter dans leur cœur et j'en suis très content. Ce sera un beau scénario car je pense il y aura au moins 75 000 spectateurs, le monde entier verra ce match. Il y a des gens là-bas qui s'excitent quand ils trouvent une grande scène. Et j'espère que l'Inter gagne parce qu'on est à la maison et on essaie de gagner les trois points qui sont très importants pour nous." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Andre Onana : "Je ne perds jamais : je gagne et j'apprends toujours "
alex_j a posté un article dans Interviews
André Onana est le protagoniste du sixième épisode de 'Footsteps', un format diffusé sur Inter TV. Le gardien des Nerazzurri se livre en faisant le point sur sa carrière. Sur le football. "L'humilité et le sacrifice ont été décisifs, sans sacrifice il n'y a pas de récompense. Le monde du football est très compliqué, si vous ne donnez pas le meilleur de vous-même, vous risquez d'en payer les conséquences. Au final, le football, c'est comme les montagnes russes, il y a des hauts et des bas, il faut toujours être bien préparé. Mon endroit préféré est un petit terrain près de chez moi. Quand j'étais enfant c'était le plus beau du monde, parfait pour apprendre à jouer." Sa phrase. "Je ne perds jamais : je gagne et j'apprends toujours " Ex-intéristes. "En tant que colocataire, j'aurais aimé avoir un gardien comme Julio Cesar. Il était explosif, jouait très bien avec ses pieds et était parmi les meilleurs au monde dans les buts. Sur le terrain, Materazzi à la place, pour sa grande personnalité." Passé et présent. "Yaoundé est très important pour moi et pour mon pays dont c'est la capitale. Pour moi c'est la plus belle ville du monde, je m'y sens chez moi. Enfant, je n'aurais jamais imaginé devenir un joueur de l'Inter. Mon rêve a commencé là-bas, quand je jouais au football avec mes amis et que nous rêvions tous d'un avenir meilleur. J'aime beaucoup Milan et l'Italie. J'aime l'histoire, l'Empire romain et les gens que j'ai rencontrés m'ont impressionné." Assez littéraire notre André national... Traduction alex_j via FCInterNews.-
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L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Marco Materazzi, estime que si l'Inter peut réserver sa place au prochain tour de la Ligue des champions, il n'y a aucune raison de ne pas rêver encore plus loin. S'adressant au journal milanais Gazzetta dello Sport dans une interview publiée dans l'édition imprimée d'aujourd'hui, via FCInterNews , l'ancien défenseur est également revenu sur sa propre expérience en remportant la compétition en 2010 sur la voie d'un triplé européen. Si l'Inter doit voir ce match aller-retour en huitièmes de finale contre Porto sans perdre son avantage au match aller, alors elle sera l'une des huit seules équipes restantes dans la meilleure compétition européenne. À partir de là, ils seraient sûrs d'affronter un adversaire extrêmement coriace à chaque tour qu'ils doivent atteindre, à commencer par les quarts de finale. Cependant, les Nerazzurri sont déjà arrivés aussi loin contre des équipes comme Barcelone et le Bayern Munich, et prendre le dessus sur cette équipe de Porto ne serait pas une mince affaire en soi. "L'Inter doit continuer à profiter de son voyage en Europe, chaque match sera formidable", a déclaré Materazzi. "S'ils passent ce tour, alors tout peut arriver." "Cependant", a poursuivi l'ancien défenseur, "à partir de maintenant, il ne peut plus y avoir de hauts et de bas, chaque match est comme une finale, y compris en Serie A." Materazzi a également évoqué la fameuse saison en Ligue des champions, notant que "la défaite en phase de groupes contre Barcelone était vitale pour nous". "Nous savions comment en tirer le meilleur parti, nous chérissions la perte et nous en tirions des leçons." "Nous avons ensuite battu Chelsea en huitièmes de finale, puis le Barça en demi-finale", Materazzi a regardé en arrière. Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
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Christian Vieri au Hall of Fame, Marco Materazzi lui rend hommage !
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Christian Vieri est le cinquième attaquant à monter au sommet de Olympe de l'Inter. Sur Instagram, notre légende Marco Materazzi lui a rendu hommage. "Bienvenue au Hall of Fame de l'Inter, mon ami. Ps : Quelle aide je te donnais, facile facile, tu n'avais qu'à la mettre dans le filet." Le lien Instagram est disponible ici. Il y a un bug sur le site. Note: la scène de la couronne fut pour célébrer le 100e but de Bobo contre Lecce. Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Wesley Sneijder nous raconte une curieuse anecdote sur José Mourinho
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Wesley Sneijder se souvient très bien de son passage à l'Inter et notamment de sa première saison avec les Nerazzurri qui a culminé avec le Triplete. L'ancien milieu de terrain a retracé cette saison et raconte une curieuse anecdote sur José Mourinho. "Il a toujours eu des moments privilégiés avec les personnes. Quelques semaines avant la finale de la Ligue des champions, Mourinho a appelé Materazzi dans son bureau et lui a dit : 'Voici une lettre'. Je la mets dans une enveloppe, l'ouvre après le match. Il y avait littéralement le résultat de la finale contre le Bayern Munich." "La Ligue des champions était le rêve que j'avais enfant. Lorsque nous nous sommes tenus sur cette plate-forme et que j'ai été autorisé à toucher cette coupe pour la première fois, je l'ai vraiment ressentie, c'était un moment tellement unique. Je ne l'oublierai jamais." Note: il faut savoir que personne n'a le droit de toucher la coupe aux grandes oreilles sans autorisation express de l'UEFA. Un groupe de personnes dépendant de l'UEFA peut la manipuler et avec des gants. Traduction alex_j via FCInter1908.-
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Inter-eBay, Marco Materazzi comme exemple : "Ceci est mon histoire"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'un des nouveaux produits, exclusif à la boutique du Club sur eBay, est présenté : une écharpe Nerazzurra avec les initiales de Marco Materazzi et de son bien-aimé numéro 23. Le passé, le présent et l'avenir de l'Inter et d'eBay sont liés dans un partenariat qui enrichit notre histoire et qui s'est progressivement renforcé ces derniers mois. En effet, eBay est devenu le partenaire e-commerce officiel du club et figure depuis Janvier sur les manches de nos maillots de match de l'équipe première masculine, de l'équipe première féminine et de la Primavera. La boutique officielle de l'Inter sur eBay est appelée à devenir un nouveau point de contact pour tous nos fans où le club et eBay pourront écrire de nouvelles histoires, des histoires comme celles de Marco Materazzi. Notre légende du Club et du Hall of Fame figure dans la vidéo célébrant le partenariat entre l'Inter et eBay, dans laquelle l'un des nouveaux produits, exclusif à la boutique du Club sur eBay, est présenté : une écharpe des Nerazzurri avec les initiales de Materazzi et son numéro 23 bien aimé. Traduction alex_j via le site officiel. -
Le onze idéal de Marco Materazzi dévoilé par Sportweek !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Marco Materazzi : "Un score flatteur pour le Milan au vu du match !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
S'adressant à DAZN après le match, Marco Materazzi a fait valoir que le 1-0 ne reflète pas le match suggérant que le Milan a eu de la chance. "Il n'y a pas eu de match ce soir! Le Milan a eu de la chance d'en encaisser qu'un. On a vu cette peur à Milan, c'est une lourde défaite même pour la qualification à la Ligue des Champions. Peut-être que les Rossoneri manquaient d'entrain. Lautaro a porté l'Inter ce soir, il fait toute la différence. Le seul défaut était de ne pas avoir tué le match. Dans des derbies on ne sait jamais comment ça peut se terminer et on pouvait risquer un nul immérité dans un match dominé. Ça aurait été dommage car ils jouent bien et sont dignes de confiance. L'important maintenant est de verrouiller la qualification à la Ligue des champions." "Dimarco ? Il incarne les valeurs de l'interisme, encore plus que Barella. En effet, parfois, il est trop tendu car il ressent la pression d'être un fan de l'Inter." "Skriniar ? Il est juste de lui enlever son brassard mais je suis sûr qu'il va tout donner pour l'Inter jusqu'au bout." Traduction alex_j via FCInter1908.- 1 commentaire
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Marco Materazzi : "La folie de ce derby de la saison 2009-2010..."
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Marco Materazzi était le protagoniste d'une conversation avec InterTV quelques heures avant Inter-Milan. Il a raconté les émotions du Derby della Madonnina avec ces mots, émotion et fous rires garantis. Qu'est-ce qu'il vous manque le plus ? "Je n'ai jamais eu de rituels superstitieux! Ce qui me manque encore beaucoup aujourd'hui, c'est la veille, quand les fans Nerazzurri arrivent à Appiano pour nous encourager. C'était un moment unique." Aujourd'hui, en tant que fan, comment abordez-vous le derby ? "En tant que fan, vous souffrez beaucoup plus! Plus car vous ne prenez pas le terrain et vous ne pouvez pas aider vos coéquipiers à gagner le match. C'est beaucoup plus difficile, vous devez vous réjouir en souffrant." Après les derbies, à qui pensiez vous ? "J'ai toujours pensé ma famille et ma femme. Tant quand tu as perdu que quand tu as gagné. La famille est la chose la plus importante et reste près de toi surtout dans les moments difficiles." Votre plus grande folie liée à un derby ? "Quand j'ai porté un masque Berlusconi ! J'étais au supermarché, pendant la période du Carnaval, avec ma fille. On a vu des masques et il y avait aussi celui de Silvio Berlusconi. Je me suis dit: 'Je l'achète et je le porte si on gagne le derby.' J'ai toujours tenu mes promesses. On a gagné 2-0, et je l'ai porté au coup de sifflet final. Puis j'ai parlé au téléphone avec il Cavaliere, on a ri ensemble parce qu'à Milan le derby est beau pour ça aussi, parce que tu le vis sereinement." Le moins que l'on puisse dire est que, à l'époque, cela avait remué les opinions. Extrait d'un article Goal.com. Marco Materazzi, qui n'a même pas pris le terrain lors de ce match, a vu ses coéquipiers triompher depuis le banc et, après le coup de sifflet final, s'est lancé dans une exultation qui a produit des images destinées à entrer dans l'histoire. Lorsqu'il se précipite sur le terrain pour embrasser ses collègue, il le fait en portant un masque de Silvio Berlusconi. Rien de tel n'a jamais été vu sur un terrain de Serie A, et ne se verra pas non plus dans les années suivantes, un joueur célébrant avec le masque du président de l'équipe adverse. C'est la polémique immédiate. Cependant, cela dépasse aussi largement les frontières du sport et ce pour une raison très simple : Berlusconi n'est pas seulement le président du Milan, il en est aussi le Premier ministre. Le discours devient donc aussi politique et les critiques ne viennent donc pas seulement de ceux qui supportent le Milan, mais aussi d'une bonne partie de l'hémicycle parlementaire. La polémique s'est propagée comme une traînée de poudre et même un grand fan de l'Inter comme Ignazio La Russa, alors ministre de la Défense, a vivement critiqué le choix de Materazzi. "Une énorme chute de style. Je n'ai jamais vu personne s'en prendre aux présidents et se moquer d'eux. Le geste de Materazzi fait partie de ceux qui peuvent être offensants." Parmi ceux qui ont acquitté le défenseur de l'Inter, il y a évidemment de nombreux membres de l'opposition qui défendent le 'droit à la plaisanterie'. L'entraîneur du Milan, Leonardo, essaye d'adoucir les choses. "Je ne pense pas que Materazzi ait voulu offenser qui que ce soit. Je pense que c'était juste une blague. Je le connais, je ne pense pas que c'était une blague." Materazzi se retrouve au centre d'un véritable ouragan de polémique qu'il ne pensait évidemment pas pouvoir déchaîner. Sur son site, il explique son geste. "Comme toujours, ce que fait Materazzi suscite la discussion. Même un masque de carnaval, du genre qu'on en vend partout, que j'ai porté pour fêter la victoire d'hier soir : une blague de derby, rien de plus. Aucune intention polémique, aucune volonté d'offenser, aucune implication politique, à Dieu ne plaise. Aussi parce qu'en politique, et ceux qui me connaissent bien le savent, je n'ai jamais voulu y entrer. C'est précisément pour cette raison que je suis sûr que il Cavaliere Berlusconi, en tant que président du Milan et surtout en tant que personne dotée d'un grand sens de l'autodérision, car c'est ainsi que je l'ai rencontré, aura souri en me voyant. J'ai envie de croire qu'il a aimé le geste et qu'il ne s'est pas senti offenser, car je ne voulais vraiment me moquer de personne : à tel point que je ne suis allé que vers la curva de nos supporters, en évitant de croiser les joueurs et supporters de l'AC Milan. Comme d'habitude dans un derby gagné." L'affaire sera ensuite close par un coup de fil 'éclaircissant' entre Materazzi lui-même et Silvio Berlusconi. Le défenseur de l'Inter parlera d'une conversation très courtoise et plaisante, tandis que le président milanais se bornera à l'accepter avec le sourire. Traduction alex_j via FCInterNews et Goal.com.- 7 commentaires
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S'adressant aux micros de DAZN, Marco Materazzi a ainsi évoqué Milan Skriniar destiné à quitter l'Inter dans les prochaines heures. Matrix analyse le moment vécu par le Slovaque à qui il s'adresse directement: "L'expulsion fait partie du match, elle aurait pu arriver il y a 10 matchs ou l'année dernière. Personne ne devrait douter de l'attachement au maillot ou du professionnalisme (regarde la caméra, ndlr) mais rappelle-toi que tu ne trouveras jamais l'amour de 80 000 fans comme les fans de l'Inter, tu voies." Traduction (sans ironie) alex_j via FCInterNews.
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Marco Materazzi fête les 60 ans de José Mourinho
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Marco Materazzi, le prétorien de José Mourinho à l'Inter, souhaite un bon anniversaire à l'entraîneur portugais qui aura 60 ans le 26 Janvier. "Tu ne t'es jamais foutu de nous. Jamais trompé. Tu nous as toujours tout dit en nous regardant droit dans les yeux." "Et dans la lettre les plus grands compliments sont pour l'homme, avant l'entraîneur. Le 26 janvier prochain, José Mourinho soufflera 60 bougies. Joyeux anniversaire monsieur!" Dans les pages de Sportweek, l'hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport en kiosque demain, Matrix a écrit une lettre à coeur ouvert au Special One, dont voici deux extraits. "Tu nous as fait nous sentir trop forts, nous tous. Tu n'as eu qu'un tort, monsieur : partir. Avec toi, l'inter aurait gagné on ne sait combien de temps." "Qu'est-ce que tu m'as fait quand j'ai quitté le match ? Mais j'avais marqué un but en or. Tu es comme ça, tu t'en fous même du temps." Traduction alex_j via FCInterNews.-
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