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  1. Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. C’est l’avis de Mario Sconcerti dans les colonnes du site Calciomercato.com, suite à la prestation Nerazzurra face à la Salernitana: "C’est un étrange retour que celui de l’Inter, mais il est réel : Cela fait quatre match qu’elle joue mieux, sans litiges, elle est concentrée et réussi à obtenir des résultats importants comme c’est le cas en Ligue des Champions." "Être Interiste n'est en rien stressant - Mario 27 ans" "L'étrangeté consiste à avoir trouvé un meilleur fond de jeu en l’absence de Marcelo Brozovic, l’invention lente de "Çalhanoğlu Regista" , que personne ne croyait destinée à perdurer suite à la blessure de Brozovic a dicté un rythme de jeu bien différent, comparé à celui rempli de désillusion de début de saison : Çalhanoğlu n’est pas un Regista, mais il sait jouer au football et cela oblige aussi ses équipiers à penser bien plus rapidement." "Ce n’est pas un hasard si Nicolò Barella est parvenu à redevenir celui de toujours en marquant toujours plus, et cela va de même avec la défense et l’insertion complique d’André Onana, elle se sent bien plus protégée. Il y a aussi eu l’intervention du club car toute l'atmosphère autour de l'équipe et de Simone Inzaghi a changé : Il y a eu un changement de comportement et ce dernier ne se produit jamais tout seul: Quelqu'un à l'intérieur du Club a bien dû l'accompagner." Et maintenant, qu’est-ce qui peut encore changer ? "L’Inter est passée du tout à rien, dans le sens où l'Inter, contrairement à la Juve, est une équipe qui peut gagner cinq ou six matchs d'affilée et entamer un nouveau championnat en janvier. Mais il lui a fallu vraiment guérir auparavant." Guérie ou Folle Furieuse, selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. En effet, si la Juventus et l’Inter l'ont remporté ce week-end, en retrouvant une certaine sérénité, Mario Sconcerti s’est livré dans les colonnes du Corriere Della Sera, sur la façon dont la Présidence des deux Géants d’Italie a fait face à la Crise "Peu d'importance a été accordée à l'intervention d'Andrea Agnelli après le match contre Haïfa. Mais c’est le tournant de la saison : Les joueurs respectent la colère et la diversité de ceux qui ouvrent le portefeuille: Andrea Agnelli a fait usage de mots durs, il a parlé de honte, de responsabilité, de la nécessité de s'en sortir ensemble. Il a supprimé tout alibi aux joueurs et à l'entraîneur, prenant même des risques pour l'avenir." "Ce comportement est celui d’un grand club antique qui est en cohérence avec l’ère des réseaux sociaux, et qui est aussi en contradiction avec ce qui avait déjà été relayé par la presse : Ce sont des mots choisi que l’on entend plus dans l’ère actuelle, ce n’est pas quelque chose de nouveau: Steven Zhang ne les a jamais prononcés, mais il a laissé Giuseppe Marotta les dire à sa façon. Friedkin ne les a jamais dit, il a laissé Mourinho les dire, en confondant les rôles." "Ni Elliott ni Cardinale ne se sont exprimés d’une telle façon. Même Commisso, quand il s’exprime, ne le fait jamais sur les problèmes de l'équipe, mais il fait face aux problèmes de de la presse: Aucun président n'assume ses responsabilités, c'est pourquoi lorsqu'un Président le fait, cela fait grand bruit et entraine des réactions et des conséquences." Selon vous, qui a le mieux fait face à cette situation de crise ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Mario Sconcerti a déclaré qu'il était temps pour Steven Zhang de parler à ce quoi l'Inter devrait s'attendre sous sa direction. Comme il l'a écrit dans sa chronique pour Calciomercato.com, il serait être temps pour Steven Zhang de discuter publiquement de l'avenir sportif de l'Inter. "Si un club a besoin de vendre ses joueurs, il a le droit de le faire. Si la famille Zhang ne peut plus se payer l'Inter, elle doit se demander s'il n'est pas temps d'abandonner. C'est une bousculade constante, une course effrénée pour trouver de l'argent. Si ce n'est qu'une question de temps, une entreprise peut tout aussi bien vivre au jour le jour. S'il n'y a pas de limite à l'inappétence, alors le remède doit être drastique." "Il est temps pour Zhang d'en parler, d'expliquer quel est son projet. Les prochaines années seront-elles similaires aux deux dernières ? Personne ne pense que nous devons revenir aux 600 M€ que nous avons utilisés pour obtenir le Scudetto. Mais cette façon de faire, c'est étouffant, que Skriniar reste ou non." "Zhang a le devoir d'expliquer quel genre de vie l'Inter devrait avoir. Le football est souvent pris trop au sérieux. Cependant, ce n'est pas un supermarché où l'on entre, sort et change demain si on n'est pas content. Le football est une église. Les clubs représentent les personnes, les villes, la vie, les souvenirs, les sentiments." Traduction alex_j via Sempreinter.
  5. Interrogé par Il Libero, Mario Sconcerti est persuadé que jusqu'à présent l'Inter est l’un des big qui a le mieux agi sur le marché des transferts:: "Il y a quelques mois, vous disiez que le Milan avait "Plus de conviction" que l'Inter, personnellement je n'étais pas du tout d'accord, mais ensuite les Rossoneri ont remporté le Scudetto. L'Inter était plus forte, Milan a dû trouver le" plus" en lui-même et il y est parvenu." Qui s'en sort le mieux parmi les grands en ce moment ? "L'Inter, le deal Lukaku est extraordinaire, mais il en a "caché" deux autres qui ne le sont pas en reste. Mkhitaryan sait tout faire, de temps en temps il hiberne mais surprendra toujours. J'ai aussi suivi Asllani la saison dernière : il m'a impressionné, il sait toujours quoi faire, c'est un grand joueur. " Mieux vaut Lukaku à l'Inter ou Pogba à la Juve ? "Lukaku a remporté un Scudetto presque seul, Pogba est moins décisif. Un bon joueur, mais surévalué." ®Interkhero - Internazionale.fr
  6. Le journaliste italien Mario Sconcerti estime qu'il n'y aura pas de surprise d'un point de vue tactique lors de la demi-finale retour de la Coppa Italia entre l'Inter et l'AC Milan ce soir. Dans son article paru hier dans le Corriere dello Sport, Sconcerti prédit qu'aucun des deux entraîneurs n'apportera de changements majeurs à leurs approches et à leurs compositions. L'entraîneur de l'Inter Simone Inzaghi a montré des idées claires sur la façon dont il veut que son équipe joue depuis qu'il a pris en charge les Nerazzurri l'été dernier, et son homologue Rossonero Stefano Pioli a également une philosophie tactique assez évidente. Les deux équipes tenteront probablement d'aligner leurs meilleurs éléments dans ce qui sera un match très important dans le contexte de leurs saisons respectives, et qui est sur le fil du rasoir avec le 0-0 du match aller. Pour Sconcerti, le match sera un concours de choix des deux entraîneurs plutôt qu'un match plein de changements et de surprises. "Milan-Inter sera un match avec une identité claire", écrit-il. "On ne connaît pas encore le résultat, mais on sait exactement le style des deux équipes". "Il n'y a pas de détails cachés", poursuit-il. "L'Inter a une composition précise, si tant est que leur limite est qu'au moins six ou sept joueurs n'ont pas de véritables remplaçants (Skriniar, Perisic, Brozovic, Barella, Calhanoglu, Handanovic, Dzeko)." "Milan n'a que deux variables, Messias pour les Saelemaekers et l'espace vide laissé par Diaz que personne ne peut vraiment remplir", poursuit-il. "C'est donc un match déjà vu mais pas encore décidé". ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
  7. Mario Sconcerti s’est livré dans les colonnes du Corriere Della Sera sur la période compliquée vécue par l’Inter et le Milan, préfaçant de la sorte le Derby Della Madonnina a venir: "La première chose observable aujourd’hui, c’est que le Milan et l’Inter sont deux équipes étirées, cela veut dire qu’elles laissent trop de distance d’un secteur à l’autre, ce qui relève le niveau de difficulté en phase de construction du jeu et c’est ce qui offre la possibilité aux adversaires de partir en contre en partant de derrière." Voici l'analyse Nerazzurra "A Gênes, l’Inter a réalisé une partie très honnête, mais elle a pris trop de risques face à une équipe qui ne marque que très peu. Elle ne s’est jamais sentie arrogante, mais elle était sur de se sentir plus forte. Toutefois, la meilleure Inter se retrouve à la veille de la rencontre face à Liverpool, car depuis lors et depuis cette défaite, elle se sent inférieure." "Conte aurait tout retourné dans le vestiaire en incendiant l’orgueil de tous. Inzaghi et son entourage sont, en revanche, plus réconfortants. Une équipe sait lorsqu’elle n’est pas au niveau, elle ressent la complexité de faire face à l’adversaire. Pour l’Inter, une vison de l'avenir, une partie de projet, s'est éteinte à ce moment-là. Cela a immédiatement grippé les plus doués, les plus sensibles aux grandes illusions : Car elle a "perdu" Barella et Çalhanoğlu, soit l'idée et l'instinct de son jeu. Bien sûr, ils sont fatigués, mais ils sont surtout étonnés, comme s'ils avaient perdu l'illusion d'être immortels. Tout ce qu'ils avaient fait, au fil du temps, les avait amenés à voir Liverpool gagner facilement mais chez eux." "Ici, L'Inter n’est pas confrontée à de la fatigue mais à de la confusion, ne pas comprendre le pourquoi, une remise en question de ce qu'elle est vraiment. Ce n'est pas un secret dans le monde du football, car cela arrive à tout le monde. Si elle avait battu Liverpool, l'Inter aurait même eu 4-5 points de plus qu’ aujourd'hui et ne ressentirait aucune fatigue." "Maintenant, il y a le problème de marquer des buts, cela concerne Lautaro, mais aussi Sanchez et de Dzeko. Au cours des huit derniers matchs, seul Dzeko a marqué seulement deux buts. Lorsque la crise est générale, cela signifie qu'à la source, il y a un problème de jeu: Le jeu d'Inzaghi tend à exclure aussi bien Lautaro et Sanchez car la pluie de ballons en provenance d’Ivan Perisic et de Denzel Dumfries, visent l’axe et ne conviennent qu'à Dzeko." "Lautaro et Sanchez se retrouvent dans une zone neutre du terrain, perdus entre les montées de Çalhanoğlu et de Barella et les balles aérien en provenance des ailes : Ils "regardent" le match depuis un endroit vide. Lorsque vous n'avez plus d’imagination et c’est ce qui se passe, vous devenez tous plus lents et donc en méforme. Il faut ajouter que Brozovic est maintenant marqué à l’homme devant sa propre surface. Cela l'oblige à prendre plus de temps pour lancer une action. Il y a trop d'espace entre lui et Barella, entre lui et la ligne défensive. Cela ouvre à son tour un espace pour les contre-attaques." "En fait, l'Inter est une équipe désaxée depuis deux mois maintenant. Ce ne sera pas toujours comme ça, le football c'est aussi du hasard et le hasard est multiplié quand on a de bons joueurs comme l'Inter. Mais c'est comme ça que ça se passe maintenant" Selon vous, est-ce que Simone Inzaghi doit adapter son jeu en fonction de Lautaro et d’Alexis ? Notre Inter fait-elle sa crise d’adolescence ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Interview& par TMW Radio, Mario Sconcerti est revenu sur la confrontation entre l’Inter et Liverpool qui s’est tenu au Stade Giuseppe Meazza: Que pensez-vous de la défaite de l’Inter face à Liverpool ? "Pour moi, les deux équipes ont joué chacune une mi-temps. Elles ont joué d’une façon différente comparé à ce qui leur est propre. Lautaro ne traverse pas une bonne période en ce moment : il n’est pas encore un joueur capable d’inscrire 30 buts. Il n’était pas bon en ce moment. Le meilleur était Çalhanoğlu. L’Inter aurait pu faire bien mieux : Inzaghi s'est peut-être aussi planté car il a trop tiré sur l'adversaire en dépersonnalisant son équipe qui n’a fait preuve que de très peu d’autorité." Ce Perisic doit-il être prolongé par une signature ? "La construction de l’Inter a été interrompue. Si elle avait toujours connu ce qu’elle traverse actuellement, à savoir ne pas percevoir d’argent de son propriétaire, elle n'aurait pas construit cette excellente équipe. Aujourd'hui, elle s'autofinance avec de lourdes dettes. Face à des équipes qui ne connaissent pas une telle situation, cela représente un handicap. C’est difficile que pour le prochain quinquennal, qu'elle puisse faire la différence dans de telles conditions : Elle perdra toujours quelque chose à chaque saison." Comment jugez-vous les prestations d’Handanovic ? "C’est un gardien de très grande expérience dont son potentiel est en diminution. J’ai vu l’Inter perdre toutefois suite à d’autres facteurs que le gardien. Elle n’a rien proposé pour inverser la tendance, cette infériorité que l’on ressentait vis-à-vis de son adversaire, elle a proposé un jeu moins dynamique qu’à son habitude." Comment jugez-vous cette analyse ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Écrivant dans sa chronique dans le Corriere della Sera, Sconcerti a déclaré que le match d'hier soir montrait l'assurance que l'équipe pouvait réussir sans Antonio Conte. Voici ce que Mario Sconcerti a écrit: "L'Inter a joué un bon match pendant 75 minutes, en dominant souvent son adversaire. Ensuite, Inzaghi a pensé qu'ils avaient le contrôle total et il a changé Barella et Lautaro, concédant l'initiative et un but jusqu'à ce qu'ils soient proches d'un match nul." "En tout cas, l'Inter est l'équipe qui a le plus progressé depuis le début de la saison. Ils ne sont pas seulement bien organisés, ils savent aujourd'hui aussi être cliniques et obtenir un résultat." "Ils amènent toujours six ou sept joueurs dans l'attaque et ont toutes les qualités au milieu du terrain, ce qui les rend très difficiles pour tout adversaire." "Il semble maintenant que Conte ne manque plus, l'Inter fait de son mieux et nous verrons si cela suffit. Le Napoli était à peine dans le match pendant les trois quarts du match." Sur Tweeter, le journaliste Fabio Ravezzani a souligné que perdre des points dans des positions gagnantes a été un problème pour les Nerazzurri cette saison. "Si seulement l'Inter n'avait pas l'air effrayée à chaque fois qu'elle est en tête, elle serait en tête du classement aujourd'hui. Après avoir accordé des nuls ou une défaite contre la Sampdoria, la Juve, Milan et la Lazio, ils risquent également de faire de même contre Naples. Cette fois, ils ont réussi à s'en sortir, mais les changements d'Inzaghi ne sont pas convaincants." Traduction alex_j via sempreinter.
  10. Interviewé par Calciomercato.com, Mario Sconcerti s’est livre sur la lutte au Scudetto qui voit actuellement les écuries milanaises défier le club du Vésuve. Pour le journaliste italien, la Juventus est déjà hors-course "Le Milan a tout pour remporter le Scudetto, mais il n’est pas le seul. L’Inter est une équipe mieux préparée, elle a des joueurs capable de te faire remporter un match, même lorsque l’équipe ralentie. Je ne crois pas à une remontée de la Juve, et pas parce que ce n’est pas possible, mais par ce que l’Inter et le Milan me semblent plus complet : Tonali et Barella sont les meilleurs joueurs, en ce moment, du championnat." "Personne, parmi le Milan, l’Inter et le Napoli, ne dispose d’énormément de réserves au milieu du terrain, et ils ont tous les trois des entraîneurs qui n’ont jamais remporté le Scudetto, mais je crois que cette fois-ci, ils vont parvenir à le faire." Un dur retour à la réalité du côté turinois…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Nos confrères de Fcinter1908.it se sont livré sur l’analyse de la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid, une fois la défaite absorbée "Cela doit être dit haut et fort : Hier, l’Inter ne méritait absolument pas de perdre. Nous attendions une grande réponse après le sévère scepticisme entourant le partage à Gênes et elle est arrivée. Le début de la rencontre a été excellent, joué tête haute et sans avoir peur d’un adversaire de tout premier niveau. L’équipe était organisée et solide dans chaque secteur, l’équipe d’Inzaghi a même donné la sensation de pouvoir l’emporter, mais hélas, cela ne s’est pas déroulé de la sorte." "Aux points, un match nul aurait été bien plus juste, probablement que l’Inter était un peu fatiguée et l’épilogue a été le plus cruel possible: Une défaite qui fait mal mais qui enseigne : Les Nerazzurri devront faire un trésor de cette rencontre afin d’éviter d’autres désagréable désillusions pour le reste de la saison." "Inzaghi peut tout de même avoir le sourire. C’est paradoxal, mais l’estime de soi, après un faux-pas de ce genre, peut aussi augmenter. De retour chez soi, chaque joueur pourra se remémorer le déroulement du match et regretter ces situations où une plus grande attention aux détails aurait pu assurer une fin différente. Cette défaite, 0-1, est plus dure à admettre de part les occasions gâchées, comme ce fut le cas l’année dernière et plus récemment à Gênes : En attaque, le manque de concrétisation fait défaut." "L’Inter crée beaucoup mais ne marque pas assez. C’est d’ailleurs son principal ennemi, lorsqu’il faut jouer à armes égale face aux autres grandes équipes : Il faut également mieux gérer son énergie et parvenir à faire un résultat face à des équipes qui sont à sa portée. Ce qui a rompu l’équilibre d’une fin de match sans histoire réside dans un autre facteur : Carlo Ancelotti avait inévitablement de bien meilleures opportunités sur le banc, avec des remplaçant d’un niveau bien supérieur à ceux de Simone Inzaghi." "Si Vidal ne sa’est pas montré aussi désastreux que l’année dernière, il ne s’est pas montré aussi incisif que souhaité : Dumfries reste encore une personnalité mystérieuse et Correa est tombé dans le piège de la défense adverse qui se l’était mise en poche. D’autre part, l’entraîneur adverse a tiré le meilleur de ses bijoux : Camavinga et Rodrygo, ils sont su se mettre en évidence face à un milieu de terrain lessivé de l’Inter : Leur combinaison est d’ailleurs à l’origine du but décisif." "Il faudra faire preuve de patience." Confirmation de Mario Sconcerti "L’Inter d’Inzaghi est bien meilleure en Coupe d’Europe, même si elle a été refroidie par le jeune Rodrygo […] Le Real a été longtemps dominé […] La réalité est que l’Inter a plus risqué de l’emporter que de perdre. La partie apporte un fond de vérité : L’Inter a techniquement le niveau de la Ligue des Champions. Elle conserve ses chances intactes de rester compétitive surtout après la défaite du Shakhtar." Et vous, quelle est, à présent, votre analyse à froid ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Écrivant dans sa chronique pour Calciomercato.com, Mario Sconcerti soutient que la situation au sein du club est, financièrement parlant, insoutenable et que seule la vente à un nouveau propriétaire peut remettre les choses en ordre. Les problèmes du Suning sont bien connus, la société mère Suning.com étant récemment "retirée" des mains du fondateur Zhang Jindong après qu'une partie de ses actifs ait été saisie par un tribunal chinois et qu'une participation majoritaire dans la société ait été reprise par le fondateur d'Alibaba, Jack Ma. De plus, les problèmes d'endettement des Nerazzurri ont été largement rapportés, le club ayant contracté un emprunt auprès du fonds américain Oaktree Capital pour couvrir les impayés et d'autres obligations. De plus, un joueur clé a également dû être vendu afin de générer des revenus du mercato d'été. Ce sont ces circonstances qui, selon Sconcerti, obligeront Suning à vendre le club. "Les fans de l'Inter et de la Juve se poursuivent pour démontrer les difficultés de leurs clubs. Le PDG des Nerazzurri Antonello a ensuite mis sa part dans la discussion en précisant que la dette venant à échéance à la fin de l'année sera refinancée avec une autre dette." "J'ai pensé et écrit pendant un certain temps que l'Inter ne peut être vendue. On ne peut pas sortir d'une telle situation sans être recapitalisé. La vente de Hakimi n'a servi à annuler aucune dette, mais seulement à couvrir les pertes de gestion du dernier bilan." "Cependant, il est faux de dire que le problème est énorme ou insoluble. Tout au plus c'est pour Zhang, mais l'Inter ne ferme pas boutique, tout au plus elle passe entre les mains d'un autre milliardaire. Et de toute façon, l'Inter des propriétaires chinois résistera aux intempéries aussi longtemps que les banques les soutiendront. Certainement pas pour un joueur vendu ou pour les trésors de la redondance."
  13. Antonio Conte semble être sans emploi pour la saison prochaine et il se peut que certains clubs soient rebutés par ses méthodes agressives et conflictuelles. Sur TMW Radio, Mario Scocerti a évoqué le départ de Conte. "En tout cas, c'est comme s'il avait déjà touché son prochain salaire en obtenant une indemnité de 7,5 M€ de l'Inter. C'est le genre de salaire que vous recevez d'un grand club…" "Tottenham Hotspur et Everton sont toujours des options pour Conte, mais cela s'applique également à Maurizio Sarri. Sarri a laissé un grand souvenir de lui-même en Angleterre, alors que Conte a poursuivi Chelsea en justice et a laissé tomber l'Inter au milieu de la route de manière peu élégante." "C'était un héros à l'Inter et puis il est soudainement parti après avoir pris son argent."
  14. Antonio Conte aurait tout à fait le droit d'avoir des doutes sur le fait de rester à l'Inter, selon Mario Sconcerti dans une chronique pour le Corriere della Sera. Conte a admis la semaine dernière qu'il aurait besoin de clarté de la part du Suning concernant leurs projets pour le club avant la saison prochaine, suite d'une campagne mouvementée pleine de spéculations hors du terrain. Il devrait rencontrer Steven Zhang pour des entretiens lorsque il reviendra à Milan, où Conte posera probablement des questions sur le prochain mercato estival. "Conte sait très bien que l'Inter a besoin de renforts pour devenir compétitive en Europe. L'Inter fait le strict minimum depuis huit matchs maintenant. S'ils entraient en Ligue des champions comme ça, ils seraient dans le magma avec toutes les équipes les moins flashy." "La famille Zhang était absente alors que l'Inter se partait en la tête de la Serie A et a dû reporter de nombreux paiements. Que peuvent-ils offrir sérieusement maintenant, pour de vrai?" "Concernant le rachat, nous avons entendu que l'Inter était assez certaine d'obtenir un accord de financement avec un groupe américain, mais ce serait seulement de racheter l'actionnaire minoritaire (LionRock Capital) et d'investir 90 M€ dans le club pour cette saison, où il y a il reste 80 M€ de salaires à payer." "Que se passe-t-il après ça? Nous aurons un club qui a augmenté sa dette globale de 250 M€, ce qui nous amène à environ 900 M€ au total. Nous avons tous tardé à en parler car il était important pour l'Inter d'atteindre le scudetto, mais maintenant il est temps de se réveiller et de se poser une autre question: cela vaut-il vraiment la peine que Conte continue cette aventure avec la famille Zhang?" "Que peuvent-ils offrir maintenant, à part beaucoup de dettes?"
  15. L'Inter n'aura pas la chance de participer à une Super League européenne parce que le projet a été construit sur le "désespoir", a fait valoir Mario Sconcerti dans une chronique pour le Corriere della Sera. "Avec le recul, il y a trois choses que nous pouvons apprendre de cette histoire." "Premièrement: il pourrait encore être possible pour les grands clubs européens de s'entendre sur quelque chose qui est moins drastique que la Super League." "Deuxièmement: nous avons eu la confirmation que les jeunes (président, ndlr) s'intéressent beaucoup moins au football que leurs pères." "Troisièmement, la Super League s'est effondrée en l'espace de deux jours parce qu'elle n'avait pas une fondation industrielle forte, elle a été avancée par désespoir." "Andrea Agnelli, Beppe Marotta et Ivan Gazidis ont des rôles avec la Lega Serie A et pourtant ils travaillaient pour endommager la ligue." "Vous ne pouvez pas faire ça." La critique de Marotta par Sconcerti semble trop large, étant donné que Marotta a admis qu'il n'avait jamais été directement impliqué dans les projets de la Super League.
  16. Antonio Conte est pleinement conscient que l'Inter doit améliorer son style de jeu la saison prochaine, du moins selon Mario Sconcerti dans sa chronique pour Calciomercato.com. Antonio Conte divise l'opinion en Italie avec le football que l'Inter joue, attirant des critiques pour avoir trop compté sur la contre-attaque et pas assez sur la possession. "Je reviens sur le sujet déception-Conte parce que j'ai quelque chose à clarifier. Le football de Conte me convient et je suis un grand partisan de l'importance exclusive du résultat. À long terme, si vous jouez mal, vous ne gagnez pas. Jamais! La somme des résultats a toujours une logique. Ce que j'attends d'une équipe, c'est qu'elle avance, grandisse et s'améliore. Cette même Inter qui gagne doit beaucoup s'améliorer. C'est une discussion inutile aujourd'hui, mais fondamentale pour l'avenir. Et Conte le sait mieux que quiconque. Ou y a-t-il un fan de l'Inter qui espère que l'Inter reste telle quelle en joueur et en style l'année prochaine? L'Inter est une équipe solide et concrète, ils ne sont pas souvent brillants, mais ils ont des joueurs qui sont très bons au niveau individuel. C'est pourquoi je suis convaincu que Conte peut construire et réaliser plus de cette équipe. S'il ne réussissait pas, ce serait une déception surtout pour lui-même, j'en suis sûr. Parfois, il me semble que nous sommes tous tellement amoureux de la controverse que nous ne pouvons même pas distinguer lorsque nous sommes d'accord dès le départ."
  17. L'Inter n'a "jamais'' joué un bon ou beau football cette saison mais mérite d'être les champions, selon Mario Sconcerti dans une chronique pour Calciomercato.com. dans le même temps, Le Corriere dello Sport a souligné que Conte était sur la bonne voie pour remporter son sixième titre de champion dans un cinquième club différent. Les Nerazzurri ont 11 points d'avance avec huit matchs à jouer, ce qui en fait des favoris pour remporter le premier titre de champion du club depuis 2010. Antonio Conte est toujours critiqué pour son approche tactique, certains affirmant que l'Inter ne progressera pas en UEFA Champions League en utilisant un tel style. "Tout le monde a raison de dire que l'Inter n'a pas bien joué, jamais, mais quel est le problème?" "La question devrait être de savoir s'ils sont les meilleurs, et la réponse est oui: l'Inter reste clairement la meilleure équipe de la ligue cette saison." "À ce stade, les gens élargissent le débat en disant que le style de jeu de l'Inter ne conviendrait pas pour jouer en Europe, et c'est également vrai. Mais c'est une critique que les gens font au mauvais moment, car l'Inter n'est pas en Europe. Vous pouvez parler de leur passé avec les résultats de la Ligue des champions, mais personne ne peut prédire l'avenir." Le Corriere dello Sport a souligné que Conte était sur la bonne voie pour remporter son sixième titre de champion dans un cinquième club différent, avec les Nerazzurri. Conte a remporté son premier titre lorsqu'il a terminé en tête de la Serie B avec Bari en 2009, avant de gagner une autre promotion avec Sienne lors de la saison 2010-11 (bien qu'il ait terminé deuxième cette année-là). Il a ensuite remporté trois titres de champion consécutifs à la Juventus, entre 2012 et 2014, puis a remporté la Premier League à Chelsea en 2017. Il continue sur la bonne voie pour suivre les traces de Giovanni Trapattoni en remportant la ligue avec la Juventus et l'Inter, a souligné le CdS, mais il mérite également des comparaisons avec Carlo Ancelotti et Fabio Capello. Notre entraîneur-chef compte actuellement 296 victoires pour sa carrière d'entraîneur de club, toutes compétitions confondues, ce qui signifie qu'il pourrait bien atteindre la barre des 300 avant la fin de la saison. Les Nerazzurri ont encore besoin de 13 points pour boucler le Scudetto donc il n'y a donc aucun signe pour que Conte lève le pied sur l'accélérateur maintenant.
  18. Dans une chronique pour Calciomercato.com, Mario Sconcerti explique pourquoi le premier Scudetto avec nous est très important pour Conte. Je suis convaincu que ce futur Scudetto Interiste finira par compter plus que le premier à la Juve pour Antonio Conte. Ce n'est pas un problème technique, je pense avant tout à l'importance que Conte avait sur les deux clubs. A la Juve, tout coach est limité car il y a une forte présence de l'entreprise, avec un président actionnaire qui vit le club comme un métier, au jour le jour. La propriété est la même depuis un siècle, les habitudes ont été choisies et consolidées, chaque victoire a apporté la sienne. L'Inter, quant à elle, a toujours eu une tendance plus familière, depuis l'époque de Moratti père. L'affection a produit de la créativité, c'est certain, mais aussi un peu d'anarchie. Conte l'arrêta. Il a pu le faire parce que la société n'avait pas de modèle prescrit. Il venait d'une autre culture, mais il ressentait le besoin d'une nouvelle clarté, peut-être même d'un sérieux différent. Nous avions besoin d'un grand entraîneur qui nettoierait les vices et échecs accumulés parmi les joueurs et dans la société. À l'Inter, Conte a pu être écouté jusqu'à ce qu'il devienne décisif dans la gestion de chaque détail. Telle est la différence. Les scudetti sont toujours des scudetti, partout où ils sont gagnés. Mais à l'Inter, Conte est l'entraîneur total, à la Juve, il n'était juste que l'entraîneur.
  19. Dans une colonne pour le Corriere della Sera, Mario Sconcerti a critiqué les rivaux de l'Inter pour leur désintégration et a offert une vue sombre sur l'état actuel du jeu en Serie A. "L'Inter n'a pas d'opposition, tout le monde joue pour le top quatre. La Serie A est devenue un championnat où un objectif périphérique, c'est à dire la qualification pour l'UEFA Champions League, est devenu l'objectif principal de tous." "Cela nuit au football italien car celle qui termine quatrième est toujours une équipe incomplète. Tout le monde se concentre pour sécuriser les 50M€ de revenus de la Ligue des champions, mais ce n'est toujours pas suffisant pour couvrir les dettes des clubs." "Il n'y a personne derrière l'Inter qui soit prêt à remporter le championnat. L'Inter a pris la place de la Juventus, mais cela ne signifie pas que la Serie A s'est améliorée en tant que championnat. Cela signifie simplement que l'Inter est la meilleure équipe."
  20. Christian Eriksen montre toute sa classe au milieu de terrain alors que l'Inter se dirige vers le titre en Serie A, selon Mario Sconcerti dans une chronique pour le Corriere della Sera. "Il a trouvé sa place à l'Inter dans une zone du terrain qu'il ne connaissait pas ou peu. Eriksen a couvert l'espace devant la défense et il l'a fait comme un professionnel, avec intelligence. C'était un match où toute l'équipe était compacte devant ses défenseurs afin de restreindre l'espace à Sassuolo, un adversaire plus jeune mais pas forcément inférieur." Sur la rivalité pour le Scudetto. "Dans un championnat où tout le monde ne s'inquiète que de finir dans le top quatre (pour la C1, ndlr), l'Inter est dans un territoire calme, peu perturbé où aucune autre forme de vie n'existe. Autrement dit, ils sont très proches de remporter le titre, même s'il est inutile de dire qu'ils l'ont déjà gagné. Ils ne pourront jamais être attrapés maintenant, mais dès qu'ils feront un match nul, il y aura beaucoup de gens qui lèveront la main pour exprimer quelques doutes. Concentrons-nous sur les mathématiques: l'Inter a 11 points d'avance, ce qui vaut quatre matchs sur neuf restants. C'est un réel avantage supérieur à 40%, et c'est à ce moment-là que vous supposez que les autres vont gagner tous leurs matchs restants. L'avance de l'Inter est aussi large que la mer."
  21. Malgré que l'Inter soit première après neuf victoires consécutives, les suspicions persistent, les principales étant que l'Inter soit sortie de la C1 et la faiblesse de la Serie A. Néanmoins, Paolo Condo dit que rien n'est encore mathématiquement acquis. Écrivant dans La Repubblica, Paolo Condo a suggéré que les Nerazzurri étaient la seule équipe à s'être assurée d'une place en C1 la saison prochaine, tout en avertissant qu'il était trop tôt pour déclarer l'Inter championne. "Les Scudettis sont célébrés avec le confort de l'arithmétique, et avec 10 autres matchs à jouer, l'Inter doit encore remplir un quart de sa saison. Je ne pense pas que Conte ait déjà sabré le champagne ou il n'a peut-être bu que deux doigts car la victoire à Bologne a creusé encore plus l'écart sur les challengers. L'Inter reste la seule équipe raisonnablement certaine d'une place en Ligue des champions. Les trois autres places se jouent entre cinq équipes, et peut-être même une sixième avec la Roma." Apparaissant dans "Maracana Show'' sur TMW Radio, Mario Sconcerti a insisté sur le fait que les Nerazzurri n'avaient pas une saison scintillante et avaient bénéficié d'un manque de vrais rivaux pour le titre, tout en déplorant également l'état du football italien. "L'Inter ne connaît pas une saison exceptionnelle. Ils jouent la saison qu'ils voulaient pour remporter le titre, mais les autres n'ont jamais concouru à l'exception de Milan, qui a abandonné après quelques tours. Nous sommes une ligue défaillante avec 4 milliards d'euros de dette. Nous sommes condamnés à des seconds couteaux et n'avons rien gagné en Europe en 11 ans. L'équipe nationale n'a rien fait lors des trois dernières Coupes du monde. Nous avons vu comment les magnats américains conquièrent le football italien, et ils ne mettent pas 50 à 70 M€ entre les mains des réalisateurs. Ils font des affaires. Il n'y a plus de président patron, il y a aujourd'hui des entrepreneurs qui veulent voir clairement et directement sans donner d'argent à personne." Toujours sur TMW Radio, Enzo Bucchioni a cité le manque d'engagements européens comme un facteur important dans la capacité d'Antonio Conte à dominer sur la Serie A. "L'Inter se dirige vers le Scudetto et après l'élimination de la Ligue des champions, ils ont été libérés d'un fardeau et leur force a jailli. Ils sont également passés à un 3-5-2 et ont donné une plus grande certitude à leur jeu. Match après match, l'équipe est devenue plus concentrée."
  22. Le Corriere dello Sport a souligné que les Nerazzurri ont l'attaque la plus prolifique de la Serie A cette saison avec 65 buts en 27 matchs, une moyenne de 2,4 par match. Mario Sconcerti a donné son avis pour que l'Inter s'améliore en C1. L'Inter de Conte marque donc des buts à un rythme plus soutenu que ses deux dernières équipes, la Juventus et Chelsea, son équipe étant en passe de marquer 91 buts d'ici la fin de la saison. Chelsea a marqué 85 buts lors de sa saison victorieuse sous Conte en 2017, tandis que la Juventus n'a jamais réussi à marquer plus de 80 buts sous sa direction. Conte n'avait pas un duo d'attaquants prolifique à la Juventus, comptant plutôt sur des alternatives telles que Claudio Marchisio et Arturo Vidal pour compenser la différence. Diego Costa et Eden Hazard ont été ses sources de buts en Premier League, avec respectivement 20 et 16 buts. Romelu Lukaku et Lautaro Martinez dominent la scène chez nous, avec 33 buts pour eux jusqu'à présent en Serie A. Mais l'Inter a néanmoins marqué avec 13 joueurs différents cette saison, prouvant que même cette équipe peut offrir diverses solutions. Ceci dit, le point noir reste cette fameuse élimination précoce en UEFA Champions League. Interrogé sur TMW Radio sur les besoins des Nerazzurri pour progresser en Europe, Mario Sconcerti a déclaré: "Tout d'abord, nous devons voir comment la situation concernant les propriétaires de l'Inter se résout. Après cela, ils devraient trouver un attaquant de remplacement pour Romelu Lukaku, quelqu'un qui peut intervenir avec la même qualité avec laquelle Alexis Sanchez remplace Lautaro Martinez. Ils n'auraient besoin de rien d'autre alors, si ce n'est peut-être une version plus jeune d'Arturo Vidal."
  23. On se croirait à l’Inter en 2012, à la différence près que l’Inter est dans les livres d’Histoire pour avoir réalisé un quintuplé historique: En effet, si la Beneamata, l’ennemi-juré, s’impose clairement comme le leader des saisons à venir en cas de stabilité conservée, le Milan Ac est prêt à devenir son rival le plus dangereux. La Juventus pourrait, dès à présent, connaitre quelques années de disettes. L’avis de Luca Marchetti, spécialiste du Mercato à Sky Sport "La Juventus avait compris que Sarri n’était plus l’entraineur juste avec qui continuer. Agnelli, de plus, savait qu’en prenant Pirlo, il prenait le risque de ne pas gagner. Mais ce serait douloureux de ne pas se qualifier en Ligue des Champions car c’est le jardin du club turinois." "Pirlo restera jusqu’en fin de saison, sauf séisme. Pour l’année prochaine, l’idée est de continuer avec Andrea, à moins que la Juve ne se qualifie pas en ligue des champions." Roberto Tricella, ancien joueur turinois "Pirlo est autant responsable que le Club et les joueurs. Les tifosi vont se mettre dans la peau de ceux de l’Inter et du Milan, mais ils ne doivent pas oublier que les bianconeri ont remporté 9 Scudetti consécutifs. Ils ne peuvent pas se lamenter, un passage à vide peut aussi arriver." Mario Sconcerti détruit Paratici "J’ai quelques doutes sur Paratici, une personne tel que lui, impliqué dans le Cas Suarez aurait dû, pour moi, être acté. Il peut faire n’importe quel type d’autre métiers, mais il fait juste que dire ce qu’on lui dit de dire. Si La Juve était correcte envers elle-même elle devrait confirmer Pirlo, car elle sait qu’elle lui a donné une patate chaude entre les mains." "S’il y a quelqu’un de plus offensé que Prandelli, ici, c’est bien Pirlo, ne serait-ce que pour le nombre de tifosi. Ma sensation est qu’il sera finalement remercié. Pour moi, il faut prendre une personne comme Allegri ou Zidane, mais il ne me semble pas qu’Allegri retournera à la Juventus, il ira à la Roma, même s’il n’y a pas encore d’information en ce sens." Si vous auriez eu la possibilité: Auriez-vous préféré réaliser ce quintuplé historique ou dominer outrageusement et sans réelle concurrence le championnat domestique durant 9 saisons ? Pensez-vous que la crise turinoise est partie pour durer ? Selon vous, Milan sera-t ’il le rival le plus dangereux de l'Inter lors des saisons à venir ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. "Un grand club ne regarde pas sa propre équipe s’éloigner de la tête du championnat, en envoyant son meilleur attaquant au Festival de Sanremo, blessé ou pas cela n'a pas d'importance." Telle est la déclaration lapidaire de Mario Sconcerti dans son éditorial du Corriere Della Sera "Milan peut perdre la saison, mais tous ensemble : Voir Ibrahimovic réciter un copion pour faire rire les gens d’un côté et le Milan perdre du terrain de l’autre est une contradiction trop importante qui n’appartient pas au Calcio, c’est d’un satyrisme négatif. Dans de telles conditions, c’est normal de perdre car vous n’êtes pas Da Scudetto." Sconcerti s’est également livré sur le futur duel lombard face à l’Atalanta : "Elle est plus complète que la Juve et forcément que le Milan. Elle n’a perdu qu’une seule fois en 15 matchs, La Juve s’est inclinée à trois reprises, Milan et la Roma à 4 reprises." "Milan n’a même plus de marge avantageuse sur l’Inter qui n’a plus aucun autre engagement : Pas de Coupe, ni de Sanremo qui, dans le fond, va se terminer." Pensez-vous réellement que la participation du suédois au célèbre musical italien est un manque de professionnalisme dans le chef de la Direction Milanaise ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. Le journaliste Mario Sconcerti a parlé à Calciomercato.com de l'absence de Lautaro dans les matches qui comptent. "Lautaro Martinez Acte II. En fouillant un peu, on découvre que même Conte n'est pas satisfait de son rendement. Il voudrait qu'il marque dans les matches qui comptent. Les 10 buts de Lautaro n'ont été inscrits que 2 fois contre une des sept premières équipes de Serie A, contre l'Atalanta et contre la Lazio, deux rencontres qui se sont achevés sur le score de 1-1. Les autres ont été inscrits contre la Fiorentina, contre Benevento à l'aller et au retour, le Torino, le Hellas Verona et un triplé contre Crotone. Un bon nombre de buts, inscrits dans des matches où la différence de niveau est nette, où ils étaient moins nécessaires." Conte est en colère contre la fameuse LuLa "Ce qu'il manque, c'est la présence de Lautaro contre les vraies adversaires de l'Inter. Là où il y en a vraiment besoin. La colère de Conte le mène même à penser que le terme LuLa soit injuste pour synthétiser la qualité du duo avec Lukaku. Il y a une trop grosse différence de poids dans les prestations. La présence de Lautaro dans le duo est moins justifiée. Dire LuLu serait plus juste. Lautaro a marqué dans 8 des 20 matches auxquels il a participé. Nous avons parlé des matches nuls contre Lazio et Atalanta. Dans quatre des six autres matches, ses buts ont été utiles mais pas décisifs. C'est un problème qu'il n'est pas nécessaire de clarifier car il est déjà bien apparent et sur à l'étude du côté de l'Inter. Il faut le résoudre et c'est du ressort du joueur de le faire".
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