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  1. Présence massive d'anciennes gloires de l'Inter à Istanbul pour la finale de la Ligue des champions selon la Gazzetta dello Sport. Il y aura une présence massive d'anciennes gloires des Nerazzurri à Istanbul. En effet, Steven Zhang a invité pratiquement tous les héros du Triplete 2010, l'ancien président Massimo Moratti et aussi son prédécesseur Ernesto Pellegrini. Le numéro un des Nerazzurri espère bien évidemment que l'esprit des champions d'Europe 2010 illuminera l'équipe actuelle tout comme la présence de quelques piliers de la Grande Inter l'a fait à cette occasion à Madrid. Tout le monde n'a pas encore répondu à l'invitation mais beaucoup seront présents. Naturellement, il était impossible de ne pas envoyer une invitation à Massimo Moratti, il appartient à la famille qui a écrit l'histoire des Nerazzurri avec des trophées. Le mania pétrolier a une relation profonde avec la famille Zhang. Steven a souvent parlé avec l'ancien mécène, surtout dès son arrivée à Milan et quand il a succédé à Thohir. Il a eu l'intelligence d'"absorber" l'Interismo de Moratti, de prendre conseil auprès de lui dans les premières années. Et comme Moratti, maintenant lui aussi a commencé à gagner cinq trophées. A ce stade, maintenant il ne lui manque que la Ligue des champions que seuls Angelo et Massimo Moratti ont reportée. Ernesto Pellegrini sera également à Istanbul. Il avait triomphé en Europe avant Moratti mais avec la Coupe UEFA à deux reprises. Tous les employés actuels du club sont également invités, elles prendront deux charters monopolisés par l'entreprise. Les proches des joueurs partiront Vendredi, la veille de la finale, l'équipe Jeudi. Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Le 22 mai 2010, l'Inter de Massimo Moratti battit le Bayern Munich 2-0 pour remporter sa troisième C1. Treize ans plus tard, un autre anniversaire tombait exactement hier et l'ex-Président l'a rappelé en en exclusivité sur FcInterNews. Comment avez-vous vécu l'attente de la finale ? "C'était avant tout le match le plus important auquel j'aurais dû assister en tant que président. Je l'ai vécu avec toute la passion possible pour que tout se passe dans le bon sens." Quelle fierté y a-t-il d'avoir été le président du Triplete ? "Nous l'avons réalisé après que ce fut une étape si importante, nous sommes heureux à ce jour d'avoir été les seuls à l'avoir atteint, quelqu'un d'autre nous suivra. Mais pour le moment, nous sommes toujours un point de référence important." Qu'attendez-vous de la prochaine finale de Ligue des Champions entre l'Inter et City ? "N'importe quoi. Si l'Inter devait s'exprimer comme elle l'a fait dans les premières minutes contre Milan, ce sera vraiment difficile pour Manchester City. Je dois dire que je m'attends à un match ouvert." Il y a trois ans, le 22 mai, Gigi Simoni nous quittait. Quel souvenir gardez-vous de l'entraîneur ? "Je l'aimais beaucoup. Il a beaucoup donné à l'Inter, il a eu le malheur de ne pas pouvoir gagner le championnat parce qu'ils nous l'ont enlevé. Sinon il aurait gagné le Scudetto la première année de Ronaldo ainsi que la coupe de l'UEFA. Pour être honnête. Je me souviens de lui comme d'une personne très riche, qui a beaucoup donné à la société, mais aussi à la relation qu'il avait avec moi." Était-ce une erreur de le virer après avoir battu le Real et Salernitana ? "Ce sont deux bonnes victoires mais elles n'ont pas pu me faire changer l'idée que j'avais : à savoir qu'avec Ronaldo, nous aurions dû gagner le Scudetto. Mais ensuite, j'ai réalisé que même avec le Brésilien, il aurait été difficile de gagner le championnat." Qui attendez-vous en attaque contre la Fiorentina et City ? "Dzeko-Lautaro a eu tellement de succès ces derniers temps que je n'y toucherais pas, je les laisserais jouer ensemble. Lukaku grandit beaucoup, il est très utile et pourrait encore être utile pendant le match." Scalvini et Frattesi pour un Inter italien, vous êtes d'accord ? "A l'Inter, il y a une bonne base italienne, voyez Barella et les autres joueurs. Mais attention, et là je fais une déclaration générale : jouer pour l'Inter, ce n'est pas comme jouer pour une équipe de province." Mais est-il vrai qu'à votre époque les joueurs italiens coûtaient plus chers que les joueurs étrangers ? "Vous économisez si vous recherchez dans le monde entier. À l'époque, c'était un marché pour lequel je ne regardais pas la nationalité, je voulais juste faire l'équipe la plus forte de toutes. Et c'était la fin." Que pensez-vous de l'affaire Skriniar ? "Une situation que je ne connais pas, ça s'est passé comme ça, ça veut dire qu'ils n'ont pas pu trouver d'accord des deux côtés. Je ne peux pas intervenir." À quel point allez-vous encourager l'Inter contre City ? "Je veux voir si je ne soutiendrai pas l'Inter, bien sûr !!! J'espère vraiment qu'ils gagneront, ce serait le bon triomphe pour se souvenir de la force de l'Inter dans le monde. Est-ce que j'irai à Istanbul ? Je dois encore décidez, voyons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Les deux victoires de l'Euroderby contre Milan "resteront dans les mémoires à l'avenir," selon Massimo Moratti protagoniste d'un entretien exclusif avec Tuttomercatoweb.com. On peut parler de cette finale ? "Ne parlons pas de la finale, faisons comme si de rien n'était (rires, ndlr). Ce sont deux matchs qui ont éclairé toute la saison, très importante et belle, surtout les 20 premières minutes du match aller qui ont été décisives non seulement pour les buts mais pour une telle supériorité qui provoqué un grand complexe à Milan." Cette victoire venge-t-elle l'élimination de 2003 ? "Certainement. La même chose était à gagner et à l'époque ça s'était mal passé. Cette fois-ci, ça s'est bien passé, en effet. Je dirais très bien, dans le sens où il n'y avait aucun doute sur qui devait aller en finale." Que signifie le retour en finale pour l'Inter après 13 ans ? "C'est une grande satisfaction, une immense joie de voir des supporters si heureux. En tout cas être parmi les deux meilleures équipes d'Europe est une chose merveilleuse. Pouvoir participer à la finale nous rend très fiers." Où Inzaghi a-t-il eu le plus grand impact ? "Je dois dire que si l'on regarde sa progression en championnat, il ne peut qu'être déçu par les 11 défaites, que j'ai moi-même, très honnêtement, imputées à Inzaghi. Mais si vous allez ensuite voir ce qu'il a fait dans les coupes, c'est miraculeux, il est très bon. L'équipe a non seulement bien joué mais avec le bon caractère et l'attitude pour atteindre la finale. Super félicitations, je retire tous ces doutes sur lui." Manchester City semble imbattable. Combien de chances l'Inter a-t-elle de gagner ? "Je ne sais pas. Je connais les finales et je sais surtout qu'il faut être superstitieux jusqu'au bout (rires, ndlr). L'inter est rapide dans le jeu, c'est un jeu totalement différent du Real Madrid, donc on ne peut pas faire de comparaisons. Cependant, les Nerazzurri sont surprenants, ils jouent en profondeur et très franchement ils peuvent vraiment embêter Manchester City qui reste très fort." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Interviewé par la Gazzetta Dello Sport, Massimo Moratti s’est livré sur l’EuroDerby du début du millénaire et suri celui qui se disputera ce soir, avec en ligne de mire, la Finale de la Ligue des Champions Président, Moratti, c’est reparti pour un tour... "Et oui, ça recommence même si tout a changé depuis cette demi-finale de 2003, à l’époque j’avais un poste à responsabilité. A présent, je suis juste l’un des millions des tifosi qui souffre pour cette rencontre, cela fait des semaines que j’y pense. Je sais que j’ai pris de l’âge et le fait de ne plus être de l’intérieur me permet de faire descendre la pression. Aujourd’hui, le plaisir l'emporte sur le devoir, mais elle reste comme à l’époque, une belle partie unique : Aucune autre ville ne peut se féliciter d’un spectacle de ce niveau." Qu’est-ce qui vous vient en tête 20 ans après... "Une torture, mon flash-back que je n’oublierai jamais, le face à face entre Kallon et Abbiati à la fin de match retour, si on dit que ça reste un très grand arrêt, je continue à penser qu’il aurait dû la mettre au fond." Même le Triplé ne vous a pas permis de combler cette amertume de l’EuroDerby de 2003 ? "Cette défaite en 2003 nous a été utile pour nous mener vers cette ascension vers la gloire, c’était l’étape d’un parcours, mais c’est vraiment très triste d’avoir été sorti ce soir-là, d’autant plus que nous n’avions jamais été battu : Aujourd’hui, dans une telle situation, nous serions allé en prolongation. Ce soir, le destin nous donne l’occasion unique de prendre une Vendetta Sportive et je pense qu’aucune des deux équipes ne s’y attendait vraiment." Que faudra-t ’il pour mener à bien cette Vendetta ? "Je crois que cela va énormément dépendre du match aller, car au match retour il y aura inévitablement un peu plus d’anxiété, nous nous connaissons bien. Au match aller, tu auras un peu plus de liberté pour jouer au ballon et pour trouver, qui sait, les bons espaces." A l’époque vous aviez dû faire sans Christian Vieri et avec un Hernan Crespo qui n’était pas au mieux : Ce soir, Milan pourrait évoluer sans sa star… "Les absences ont pesé en 2003, c’est évident qu’il s’agira d’un préjudice important pour le Milan si Leao est absent. Dans une rencontre d’un tel niveau, avec toute la charge émotionnelle qui y incombe, les compteurs seront remis à zéro dès le coup d’envoi." Qui peut être le Stratége de l’Inter ce soir ? "Je vote pour Barella qui est en train de devenir un vrai symbole : Il crée une identité avec les Tifosi et c’est pour moi le moteur de l’équipe. J’aime aussi le comportement d’Onana, il a fallu du courage pour l’aligner au début, mais il n’a peur de rien et par-dessus tout, il est vraiment très bon. Je pense aussi à Lautaro qui a le pied chaud en ce moment, heureusement pour nous d’ailleurs." Qui aimeriez-vous voir aligner en duo avec le Toro ? "Lukaku est dans une croissance intense en ce moment, c’est visible aux yeux de tous: C'est aussi une bonne chose car il nous a énormément manqué dans les moments les plus délicats. Je pense toutefois que la paire la plus fiable, du moins au début, reste toujours Dzeko-Lautaro." Dites-nous la vérité : Vous l’auriez remercié Inzaghi, lorsqu’il était en sérieuse difficulté en championnat… "Peut-être, mais j'apprécie la façon dont il a réussi à se maintenir à flot sans se noyer. Il est resté lucide, malgré les nombreuses critiques, et j'en fais partie. Il a montré qu'il était bon et qu’il avait le caractère pour rester dans un environnement comme celui de l’Inter." Si jamais, iriez-vous également à Istanbul ? "Ben j’aimerais bien, mais évitons d’en parler en ce moment : Nous avons deux solides rencontres qui nous attendent, deux soirées de pure passion." Vous sembliez détendu lors de votre diner avec vos amis milanites Gherardo Colombo et Renato Pozzetto, vous avez d’ailleurs chanté également La vita l’è bela”. "La vie est toujours belle et savoir s’amuser au-delà de la rivalité montre à quel point l’amitié et la civilisation milaniste est plus forte que tout : Mais nous ne pousserons plus la chansonnette jusqu’à mardi prochain." Mohammed, si tu nous lis, Massimo a toujours le seum! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. En effet, c’est la révélation de Tuttosport : "Depuis le retrait de DigitalBits, le Club Nerazzurro est en pleine réflexion en vue du Double Derby Della Madonnina de la Ligue des Champions qui apportera une visibilité Mondiale." Trois options sont sur la table en cas d’autorisation pour combler l’espace laissé libre suite au retrait du Main Sponsor: "La première option porte à la présence d’ "Inter Campus", soit l’ONG Nerazzurra créé par Massimo Moratti en 1997, primée par l’ONU. Elle est présente à travers le Globe et ce serait un choix logique et immédiat qui permettrait de faire connaitre encore plus un projet qui a déjà obtenu les plus hautes reconnaissance au plus haut niveau international, mais il existe quelques réticences en interne." "La seconde option est relative à la possibilité de placer un acronyme ou un logo faisant référence à toutes les activités sociales et aux bonnes œuvres soutenues par le Club." Chiche les potos "La troisième option consiste à la présence d’un slogan lié à la campagne "I M Inter" lancée il y a deux ans, peu avant la conquête du Scudetto avec Antonio Conte sur le banc." Avez-vous une préférence ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Vous l’avez très récemment découverte sur les réseaux sociaux entrain de chanter l’Hymne de l’Inter : Elle, c’est Romina Sorbelli qui est Interiste depuis la naissance. Ayant la chance de pouvoir travailler pour nos confrères d'Inter-News.it, celle-ci- s’est livrée à cœur ouvert pour Internazionale.fr A sa demande, vous retrouverez également à la fin de notre article, la version italienne intégrale de notre échange Bonjour Romina, peux-tu nous dire quelque chose à ton sujet ? Quelles sont tes passions dans la vie ? On suspecte un peu la musique... "Volontiers, j’ai 26 ans et je suis étudiante/aspirant journaliste, je suis diplômée en Communication et je termine mes études universitaires à la Faculté de l’Information, de l’Edition, et du Journalisme, j’en ai terminé avec mes examens et j’écris actuellement ma thèse." "Mes passions principales sont aux nombre de trois : Le football, la musique et la cuisine : Celle pour le football se transforme tout doucement en un travail : j’en suis à ma seconde année pour devenir journaliste indépendante, et mon rêve est de devenir une journaliste sportive. J’ai hérité de l’amour de la musique de ma famille, ils sont tous musicien (en plus d’être Interiste) : Je joue de la guitare, du ukulélé, et j’aime chanter et c’est devenu, à tous les effets, un hobby. J’aime aussi la cuisine et j’aime cuisiner, j’aime cuisiner pour tous les autres car je pense aussi qu’il s’agit d’une preuve d’affection." Pourquoi l’Inter ? Est-ce que tu fais partie d’une famille interiste ? Et pourquoi pas une autre équipe ? "Comme je vous l’ai dit auparavant, nous sommes tous interiste dans la Famille. Dans ma Commune, Sutri, il y a un Inter-Club, l’Inter-Club Peppino Prisco, auquel je suis membre depuis toute petite et je dois surement ma passion pour l’Inter à mon père qui est un grand Tifoso Interiste! Comme je l’ai toujours dit, j’ai choisi l’Inter en suivant les traces de mon père, mais j’ai ensuite décidé de moi-même de continuer sur cette voie en suivant par-dessus tout mon cœur, un cœur qui est entièrement Nerazzurro je dirais, il ne pouvait pas en être autrement." "A présent, d’une simple passion, cela se transforme en un travail et cette opportunité m’a été offerte par la Rédaction d’ Inter-News.it, rédaction que je remercierais toujours pour m’avoir fait confiance et m’avoir accueillir au sein de leur famille." Quel est le plus beau souvenir qui te lie à l’Inter ? "Sans aucun doute, la première fois que je suis allé à San Siro, j’avais seulement dix ans et je ne l’oublierai jamais, comme je n’oublierais jamais toutes les soirées passées à l’Inter-Club à voir les matchs, nos diners et nos célébrations pour les victoires. Je me rappelle en particulières d’une soirée organisée pour fêter le Centenaire de l’Inter en 2008 et à cette occasion, j’ai rencontré Recoba et Stankovic, deux de mes idoles. Mais plus que tout, je garderai toujours en moi ma rencontre avec Massimo Moratti, il y a quelques années : C’est une personne accueillante, un gentleman, c’était un honneur et un privilège pour moi de le rencontrer." Que penses-tu du Giuseppe Meazza qui pour nous est une Institution, qui fait partie de l’Histoire mondiale de notre Calcio ? Aimerais-tu qu’il reste encore notre stade ? "San Siro fait partie de nous tous, nous les Interistes, comme je l’ai dit avant, la première fois que j’y suis allé, je n’avais que dix ans et chaque fois que j’y retourne, c’est toujours comme la première fois : Je pense qu’il serait difficile qu’un autre stade parvienne à nous offrir, à nous les Tifosi, les mêmes émotions : San Siro te coupe le souffle." Quel est ton joueur préféré et pourquoi ? "Dans l’absolu, même si c’est forcément prévisible : Javier Zanetti pour ce qu’il représente et représentera toujours pour nous les Interistes : C’est une vrai Institution de l’Histoire Nerazzurra. Mon rêve est de l’interviewer et j’espère y parvenir un jour." "Dans l’actuel noyau de l’Inter, je dirai Nicolò Barella. Au-delà de son talent inégalable, il y a aussi une raison spécifique pour laquelle je me sens proche de ce joueur. Je revenais à San Siro après onze ans d’absence à l’occasion d’Inter-Verona et Barella marquait ce jour-là son premier but en Serie A sous le maillot de l’Inter, un but qui décidait de l’issue de la rencontre. A ce moment-là j’ai compris que cela allait faire la différence et la joie que cela m’a procurée était incroyable car après avoir passé 14h dans le car, j’avais peur de rentrer à la maison sans victoire." "Je pense qu’il doit encore un peu affiner son caractère sur le terrain car il est, de façon objective, très impulsif, mais je sais aussi m’identifier en partie à lui, c’est ce qui fait que je l’apprécie encore. Pour mon vingt-troisième anniversaire, mes amis m’ont offert son maillot que j’endosse à chaque fois que je vais au Stade. Lors du dernier Derby face au Milan, il a porté bonheur !" Que penses-tu de l’Inter cette saison : Vois-tu une explication suite à une telle saison ? "Je pense que l’Inter nous offre tellement de surprise aussi bien en positif qu’en négatif. Après la désillusion de la saison dernière en championnat, j’espérais que nous aurions fait mieux cette année et au contraire, il y a eu cette involution : Je crois que même l’équipe en elle-même n’est pas capable de vraiment l’expliquer, mais je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Nous avons gagné des coupes qui nous manquaient depuis tant de temps. Nous devons prendre en considération ce qui nous fait plaisir et pas seulement ce qui nous fait souffrir." "Et ne pas se qualifier à la prochaine Ligue des Champions serait une humiliation bien plus qu’une désillusion, mais nous n’avons pas encore dit notre dernier mot et j’espère qu’en cette fin de saison, l’équipe pourra retrouver de la sécurité et de la concentration aussi en championnat." Qui est pour toi la révélation de l’année et qui, au contraire, t’as le plus déçu ? "Je débute par les désillusions et je pense principalement à deux noms, en écartant Skriniar sur qui nous parlerons ensuite : Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic : Ils ont tous les deux été pénalisés par des blessures, mais ils ne se montrent objectivement pas sous leur meilleurs jours. Certains étaient méfiant du retour du belge et d’autres lui ont fait confiance : je fais personnellement partie de la seconde catégorie et, avec le recul, je crois que nous reverrons difficilement le Lukaku de Conte. Et si d’un côté, nous avons perdu notre référence en régie (Brozovic), mais nous faisons la connaissance d’un nouveau Çalhanoğlu qui est parmi les grandes révélations de cette année , lui qui est passé de son poste naturel de Mezz'ala à celui de pivot au milieu de terrain : C’est devenu totalement un nouveau joueur, et il est parmi les meilleurs selon moi." "L’autre grand protagoniste de cette années est Mkhitaryan qui, de réserviste est devenu un titulaire inamovible dans le onze d’Inzaghi et qui est toujours capable de faire la différence et il est surtout infatigable ! Je suis aussi très fier de la saison de Darmian et Dimarco." Comment juges-tu l’incident au Stadium de Turin avec Romelu ? "En un seul mot : Vergognoso (Honteux). Je sais qu’il y a eu une marche arrière et que la FIGC a levé la suspension infligée à l’attaquant Belge. En Italie, on dit “ci hanno messo una pezza” que l’on peut littéralement traduire par "ils ont mis Un pansement sur une jambe de bois". Et c’est ce qu’il s’est passé littéralement : On s’est rendu compte de la très mauvaise image que cela provoquait au niveau mondial et tout a été fait pour y remédier. Toutefois, la décision prise initialement reste, je dirais même mieux, c’est le mauvais message qui a été envoyé qui restera marquant. La conscience demeure qu'une fois de plus il y a ceux qui ont préféré les slogans et les paroles aux actes en eux-mêmes et cela ne peut plus être toléré." Comment te prépares-tu à une rencontre ? Es-tu calme, stressée ? En Famille, au Stade ? "Je suis toujours très tendue avant un match car j’y tiens beaucoup. Lorsque je suivais l’Inter en tant que Tifoso j’allais voir les rencontres au Club et l’ambiance y était très chaude. Aujourd’hui, je vis à Rome, et je regarde les matchs seule et lorsque nous sommes dans les dernières minutes, je suis en direct avec la rédaction d’Inter-News.it (suivez-vous !) ." "Je dois donc me montrer sereine, calme et professionnelle, même si j'ai peut-être mille émotions en moi, mais je dois avouer que très souvent ma spontanéité m'amène à montrer quasiment toutes mes émotions." Penses-tu qu’Inzaghi soit toujours l’homme juste ou devrions-nous changer d’entraineur ? "Je m’en réfère au discours précédent : Je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Je pense qu’Inzaghi a ses propres fautes et qui lui manque un peu cette poigne dans certaines situations, mais c’est aussi le premier entraineur depuis Mourinho à avoir remis l’Inter à un certain niveau européen, et à Milan, les titres manquaient depuis très longtemps . Il faut aussi se dire qu’il est à la tête d’une équipe qui manque de tellement de certitudes (je fais référence aussi bien à la situation sociétal qu’aux joueurs en particulier) ce n’est pas facile et nous tirerons le bilan à la fin de la saison. Peu importe comment cela ira, que cela soit positif ou négatif, tout lui retombera inévitablement dessus." Que penses-tu du départ de Skriniar ? "Je pense que nous nous sommes bercés d’illusions et qu’il nous a bercé d’illusions car nous pensions trouver en lui une nouvelle référence, mais il va sans dire qu’en ce moment, c’est très difficile qu’un joueur regarde autre chose que le profit. D’autre part, il n’y a qu’un seul Javier Zanetti." Qui remportera l’Euro Derby ? "On peut passer à la prochaine question ? Blague à part, le Milan et l’Inter traversent une situation similaire : Ils sont, ensemble, momentanément hors des quatre premières équipes en Italie et ils ne réalisent pas un championnat satisfaisant. Toutefois ils sont parvenu à se retrouver parmi les quatre meilleures équipes européennes en battant des adversaires très compétitifs : Ils ont tous les deux de l’expérience et un noyau valable : Celui qui l’emportera sera celui qui aura le moins peur." Que fais-tu si tu es abordée par un Milaniste ou un Juventino ? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Si c’est un Juventino, je me coupe les doigts), Plus sérieusement, j’ai beaucoup d’amis dans la vie qui sont des "ennemis" en tant que supporters, mais il y a du respect et chacun se nourrit de ses propres passions. Mais pour te dire la vérité, je suis aussi très compétitrice, il vaut donc mieux ne pas regarder les matchs ensemble !" Vu ton talent pour la musique, si l’on te demandait de produire un nouvel hymne pour le Club, de quoi parlerait-il ? "Je suis plus une interprète qu’une compositrice, mais ce serait surement une chanson qui me ressemblerait un peu : Pleine de passion et d’enthousiasme, une mélodie et un texte qui peuvent te donner cette motivation juste d’avant-match, qui serait adaptée pour célébrer les victoires et qui pourrait aussi te consoler après une défaite : Ce serait un Hymne qui raconterait notre Histoire, la nôtre, celle des tifosi : une histoire d’amour." Versione italiana L'avete scoperta di recente sui social network mentre cantava l'inno dell'Inter: è Romina Sorbelli, interista dalla nascita. Romina Sorbelli, ha la fortuna di lavorare per i nostri colleghi di Inter-News.it e che ha parlato apertamente con Internazionale.fr. Ciao Romina, puoi raccontarci qualcosa di te? Quali sono le tue passioni nella vita? Sospettiamo un po' la musica. 'Volentieri. Ho 26 anni e sono una studentessa/aspirante giornalista. Sono laureata in comunicazione e sto terminando gli studi universitari alla facoltà di Informazione, Editoria e Giornalismo. Ho terminato gli esami e sto scrivendo la tesi. Le mie passioni principali sono tre: il calcio, la musica e il cibo. Quella per il calcio si sta trasformando pian piano in un lavoro: sono al secondo anno di formazione per prendere il tesserino da giornalista pubblicista e sogno di diventare una giornalista sportiva. L'amore per la musica l'ho ereditato dalla mia famiglia, sono tutti musicisti (oltre che interisti). Io suono la chitarra, l'ukulele e adoro cantare ma adesso è diventato a tutti gli effetti solo un hobby. Infine, mi piace la cucina e amo il cibo; mi diverto a cucinare soprattutto per gli altri perché penso che sia una dimostrazione d'affetto." Perché l'Inter? Fai parte di una famiglia interista? E perché questa e non un'altra squadra? "Come accennavo prima, in famiglia siamo tutti interisti. Nel mio paese, Sutri, c'è un Inter Club (Inter Club Peppino Prisco) al quale sono iscritta fin da bambina. Sicuramente devo la mia passione per l'Inter a mio padre, grande tifoso interista! Come ho sempre detto, ho scelto l'Inter seguendo le orme di mio papà ma poi ho deciso di continuare su questa strada seguendo soprattutto il mio cuore. Un cuore interamente nerazzurro direi, e non potrebbe essere altrimenti." "Adesso da semplice passione si è trasformata in un lavoro e questa possibilità mi è stata concessa dalla redazione di Inter-News.it, che ringrazierò sempre per avermi dato fiducia e accolta nella loro famiglia." Qual è il tuo ricordo più bello legato all'Inter? "Sicuramente la prima volta che sono andata a San Siro. Avevo solo dieci anni e non lo dimenticherò mai. Così come non dimenticherò tutte le serate passate all'Inter Club a vedere le partite, le cene e i festeggiamenti per le vittorie. Ricordo in particolare una serata organizzata per festeggiare il centenario dell'Inter nel 2008: in quell'occasione ho incontrato Recoba e Stankovic, due dei miei idoli. E soprattutto porterò sempre con me l'incontro con Massimo Moratti di qualche anno fa. Una persona disponibile e un gentiluomo, è stato per me un onore e un privilegio conoscerlo." Cosa ne pensi dello stadio Meazza che per noi è un'istituzione, parte della storia mondiale del nostro calcio? Vorresti che fosse ancora il nostro stadio? "San Siro è parte di tutti noi interisti. Come ho detto, la prima volta che ci sono andata avevo solo dieci anni e ogni volta che ci torno è sempre come la prima. Penso che difficilmente un altro stadio riuscirebbe a regalare a noi tifosi le stesse emozioni. San Siro toglie il fiato." Chi è il tuo giocatore preferito e perché? "In assoluto (forse scontato) Javier Zanetti, per ciò che rappresenta e rappresenterà per sempre per noi interisti. Una vera istituzione della storia nerazzurra. Il mio sogno è intervistarlo e spero di riuscirci un giorno. Dell'attuale rosa dell'Inter dico Nicolò Barella. Al di là del suo talento innegabile c’è un motivo specifico per il quale mi sono avvicinata a questo giocatore: tornai a San Siro dopo undici anni di assenza nel 2019 in occasione di Inter-Verona. Barella segnò il suo primo gol in Serie A in maglia nerazzurra, decidendo la partita." "Da quel momento ho capito che avrebbe fatto la differenza e la gioia che mi ha regalato è indescrivibile, dopo 14 ore totali di pullman temevo di tornare a casa senza vittoria. Penso che debba affinare solo un po' il carattere in campo. È oggettivamente molto impulsivo ma in parte mi ci rispecchio e questo me lo fa apprezzare ancora di più. Per il mio ventitreesimo compleanno gli amici mi hanno regalato la sua maglietta, che ovviamente indosso ogni volta che vado allo stadio. All’ultimo derby contro il Milan ha portato fortuna!" Cosa ne pensi dell'Inter in questa stagione? Vedi una spiegazione per una stagione del genere? "Penso che l'Inter ci stia regalando tantissime sorprese sia in positivo che in negativo. Dopo la delusione della scorsa stagione in campionato ho sperato che quest'anno potessimo fare molto meglio e invece c'è stata un'involuzione. Credo che neanche la squadra sappia darsi una vera e propria spiegazione ma io sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno: siamo tornati ad imporci sul palcoscenico europeo dopo anni e abbiamo vinto coppe che mancavano da tempo. Dobbiamo tenere in considerazione quello che ci fa gioire e non solo ciò che ci fa soffrire." "Sicuramente mancare la qualificazione alla prossima Champions League sarebbe un'umiliazione oltre che una delusione, ma non è ancora detta l'ultima parola e spero che in queste ultime giornate la squadra possa tornare a trovare la sicurezza e la concentrazione anche in campionato." Chi è per te la rivelazione dell’anno e chi invece ti ha deluso di più? "Parto dalle delusioni e penso principalmente a due nomi (tenendo fuori Skriniar di cui parleremo dopo): Romelu Lukaku e Marcelo Brozovic. Entrambi sono stati penalizzati dagli infortuni ma oggettivamente non stanno mostrando il loro lato migliore. C'è chi era diffidente sul ritorno del belga e chi invece gli dava fiducia, io faccio parte della seconda categoria ma col senno del poi credo che difficilmente rivedremo il "Lukaku di Conte". Se poi da un lato abbiamo perso il nostro riferimento in cabina di regia (Brozovic) dall'altro abbiamo scoperto un "nuovo" Çalhanoğlu, tra le grandi rivelazioni di quest'anno: spostandosi dal suo ruolo naturale di mezz'ala a perno di centrocampo è diventato totalmente un altro giocatore; tra i migliori a mio parere. Altra grande protagonista di quest'anno è Mkhitaryan che da riserva è ormai titolare inamovibile tra gli undici di Inzaghi e capace di fare sempre la differenza, soprattutto instancabile! Sono anche molto felice per la stagione di Darmian e Dimarco." Come giudica l'incidente allo stadio di Torino con Romelu? "Una sola parola: vergognoso. So che è stato fatto un passo indietro e che la FIGC ha rimosso la squalifica inflitta all’attaccante belga. In Italia si dice “ci hanno messo una pezza”. E a tutti gli effetti è stato così. Ci si è resi conto della pessima figura a livello mondiale e si è tentato in tutti i modi di risolvere. La decisione presa inizialmente comunque rimane, o meglio rimane il messaggio sbagliato che è stato mandato. Resta la consapevolezza che c’è chi per l’ennesima volta ha preferito slogan e parole ai fatti e questo non può più essere accettabile." "Sono sempre molto tesa prima di una partita perché ci tengo molto. Quando seguivo l'Inter (solo) da tifosa andavo a vedere le partite al club e l'atmosfera era molto accesa, ora che vivo a Roma guardo le partite in solitaria e negli ultimi minuti sono in diretta con la redazione di Inter-News.it (seguiteci!), quindi devo mostrarmi calma e professionale, anche se magari dentro ho mille emozioni. C'è da dire però che molto spesso la mia spontaneità mi porta comunque a mostrarle quasi tutte." Pensi che Inzaghi sia l'uomo adatto o dovremmo cambiare allenatore? "Mi ricollego al discorso precedente. Sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno. Penso che Inzaghi abbia le sue colpe e che gli manchi un po' il "pugno duro" in alcune situazioni. Ma è il primo allenatore dopo Mourinho ad aver riportato l'Inter a certi livelli in Europa e a Milano trofei che mancavano da tempo. C'è da dire anche che guidare una squadra a cui mancano tante certezze (mi riferisco sia alla situazione societaria che a quella dei singoli giocatori) non è facile. Le somme vanno tirate a fine stagione. Ma a prescindere da come andrà, sia meriti che colpe ricadranno inevitabilmente su di lui." Cosa ne pensi della partenza di Skriniar? "Penso che ci siamo illusi, e che ci abbia illuso, di poter trovare in lui un nuovo riferimento ma, sarà scontato dirlo, di questi tempi è molto difficile che un giocatore guardi oltre il guadagno. D'altronde, di Javier Zanetti ce n'è solo uno!" Chi vincerà l'Euro Derby? "Passiamo alla prossima domanda? A parte gli scherzi, Milan e Inter vengono da una situazione simile: entrambe sono momentaneamente fuori dalle prime quattro squadre in Italia e non stanno disputando un campionato soddisfacente, ma sono riuscite a rientrare tra le migliori quattro in Europa battendo avversari molto competitivi. Entrambe hanno esperienza e una rosa valida. Vincerà chi avrà meno paura!" Cosa fai se vieni avvicinata da un milanista o da uno juventino? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Scherzo ovviamente, ho molti amici nella vita che sono "nemici" di tifo ma c'è rispetto ed è giusto che ognuno coltivi le proprie passioni. Ma, dico la verità, sono anche molto competitiva quindi meglio non vedere insieme le partite!" Dato il tuo talento per la musica, se ti venisse chiesto di produrre un nuovo inno per il club di cosa parlerebbe? "Sono un'interprete più che una cantautrice ma sarebbe sicuramente una canzone un po' come me: carica di entusiasmo e di passione. Una melodia ed un testo che possano dare la giusta carica nel pre-partita, che siano adatti per festeggiare le vittorie e possano consolare dopo una sconfitta. Un inno che racconti la storia di tutti noi tifosi, una storia d'amore." Je tiens à remercier personnellement Romina, que je vous invite à suivre sur son Twitter Officiel et je tiens également à saluer l’équipe d’Inter-News.it : Suivez-la également via le lien suivant : https://www.inter-news.it/ Ringrazio personalmente Romina, che vi invito a seguire sul suo Twitter ufficiale e saluto anche il team di Inter-News.it: Seguitela anche al seguente link: https://www.inter-news.it/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  8. En effet, le travail de Simone Inzaghi dans les matchs de Coupe est exceptionnel : Détenteur de deux Super Coupe d’Italie, Champion de la Coupe d’Italie en titre et qualifié pour la Finale, sans oublier les huitièmes de finale de l'an dernier mais surtout la Demi-Finale actuelle de la Ligue des Champions, son travail est remarquable. Le seul point noir étant un Championnat des plus contrastés comparé à la seconde place remporté en mai dernier. 200 patates! C'est la révélation de Tuttosport: "Ce mercredi soir, en l’espace de quatre-vingt-dix minutes de jeu, sont entrés dans les caisses du club, les fonds lié à la Coupe d’Italie et la Super Coupe d’Italie élargie à quatre équipe. Si cela ne représente que des miettes comparée au pactole déjà encaissé par l’UEFA pour la demi-finale de la Ligue des champions (93 millions d'euros) ce qui est pris est toujours bon à prendre. "Grâce à une régularité des performances dans les matchs aller-retour, inconnue depuis la splendeur de l'Inter de Moratti, Simone Inzaghi a déjà rapporté à Suning une dotation de plus de 200 millions d'euros en deux saisons. Un chiffre monstrueux et totalement imprévu dans les prévisions budgétaires qui, même dans le cas malheureux d'une non-qualification pour la Ligue des Champions à venir, permettra d'atténuer considérablement le choc." L'importance de "Revoir les étoiles" "S’il est vrai que l’Inter viendrait à perdre 15% de son chiffre d’affaire, cette saison est tout de même allé bien plus loin en termes d’objectif fixé, avec juste une prévision d'une qualification en huitième de finale. Et si l’effet boomerang serait important, il ne serait pas des plus dramatique que ceux qui suggèrent le départ de l’entraineur. Le tout sans oublier de souligner que cette Inter doit également faire face à une possible réduction d’effectif, vu les couts onéreux demandés lors des négociations, dont celle relative à Alessandro Bastoni : Dans le fond, il serait possible de jouer l’Europa League avec l’objectif d’arriver jusqu’au bout." "Toutefois, ce scénario reste à écrire étant donné que la quatrième place n’est qu’à deux petit points, et l’actualité récente peut aussi nous rappeler que l’Inter a perçu une maxi-recette avec la réception de la Juventus en Coupe d'Italie : 4.318.850 euros, il reste juste l’inconnue des recettes liées à la finale de la Coupe d’Italie car les finalistes percevront 3 millions d’euros pour le chemin parcouru. Le Champion, lui, percevra 4,5 millions d’euros et son dauphin 2 millions d’euros de plus. Par la suite, chacun percevra 45% des recettes de la billetterie de l’Olimpico, soit environ 2 millions d’euros. A cette somme, il faudra ajouter celles de la nouvelle version de la Super Coupe, qui apportera une dotation de 7 millions à celui qui la remportera, le gain total sera donc de 23 millions d’euros." "Grâce à Simone Inzaghi, Steven Zhang a déjà mis dans sa tirelire un peu plus de 7 millions d’euros tout compris, soit la somme liée à la dernière édition de la Super Coupe d'Italie et du Triomphe sur le Milan. La part du lion du budget d'Inzaghi, sur ce biennal, reste bien sûr la Ligue des Champions : il y a un an, les Nerazzurri ont récolté 64,8 millions, alors qu'à l'heure actuelle, et en attendant l'Euroderby, nous en sommes déjà à 93 millions d'euros." Conte Ko Technique "Pour vous faire une idée, en 2020-21, soit la saison du Scudetto remporté par Antonio Conte, les revenus garantis par l’UEFA étaient de 37,8 millions d'euros, ce qui, avec les primes liées au Scudetto, avait conduit à récolter une soixantaine de millions d'euros de bénéfices liés aux performances d'une équipe avec une masse salariale plus élevée et avec des coûts liés plus important comparé à la situation actuelle. Le poste "Serie A" sera évidemment pénalisant pour Inzaghi cette année, mais les 26,6 millions d'euros perçus pour la deuxième place dans le tournoi de l'an dernier restent dans les annales." "Ce qui n’est pas mal pour un entraîneur qui a un salaire divisé par deux par rapport à son prédécesseur et qui avait été appelé au chevet d'une équipe qui semblait sur le point d'être démantelée, comme Conte lui-même nous l'avait fait croire : C'est aussi pour cette raison que penser à son retour, aujourd'hui, frise l'utopie étant donné aussi les exigences de l'intéressé, en termes de salaire, totalement en dehors du budget de l'Inter" Faut-il toujours licencier Simone Inzaghi selon vous, ou sommes-nous en pleine saison de transition ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. "Les modèles de gouvernance ont évolué. Auparavant, le secteur du football était géré par les magnats pour la subsistance du club, et les revenus étaient liés aux revenus du stade et aux coûts découlant des dépenses des joueurs. Maintenant, les modèles de gouvernance ont évolué et nécessitent des modèles scientifiques et qui se sont naturellement appliqués dans d'autres secteurs comme les services ». C'est l'un des concepts exprimés par Alessandro Antonello, PDG Corporate de l'Inter, interviewé par TMW en marge du débat "Football, argent contre idées" organisé à l'Université Bocconi de Milan. "Le monde du football exige désormais un haut professionnalisme. Le football est en tout cas un secteur atypique, car d'une part il doit garantir la compétitivité sportive et d'autre part la durabilité et la protection du système où il ne doit pas y avoir de situation de monopole. Le football moderne au niveau des entreprises a changé dans les années 80, avec des parrainages et des droits de télévision. Une loi a également été insérée où les équipes professionnelles sont devenues des sociétés à but non lucratif. Un autre moment fondamental a été la loi Bosman, avec la libre circulation des travailleurs au sein de la monde du football. Qui est maintenant une industrie du divertissement où la concurrence est mondiale. L'Inter s'affronte pour conquérir des joueurs libres, nous devons saisir ces opportunités pour les fans." La discussion passe ensuite au thème des investisseurs Internationaux : « Nous sommes un exemple, il a donné de la stabilité au projet exécutif et a mis en place une stratégie claire. La dimension a changé: Du domestique au global. Il y a eu une contamination culturelle, nous sommes une entreprise mondiale qui, cependant, doit également agir au niveau local. Du patronage de la famille Moratti, nous sommes passés à la direction actuelle, qui a soutenu d'importants investissements pour l'équipe et le cœur du métier a également changé étant donné que aujourd'hui l'entreprise est aussi dans le secteur du divertissement en faisant un parcours important en transformant une icône du monde du football comme l'Inter à une dimension de style de vie liée par exemple au design et à l'innovation. Notre président Zhang, le plus jeune du club, a rapproché les nouvelles générations. Il ne faut pas s'effrayer des investisseurs venus de l'étranger, l'effort que doivent faire les managers est de combiner les différents aspects globaux et locaux. Suning a une activité développée dans la zone Asiatique mais il y a aussi d'autres investisseurs qui essaient de prendre un potentiel dans le monde du football qui ne s'est pas encore exprimé à un niveau supérieur. Il existe également des multipropriétés, où les investissements ont lieu non seulement dans un pays. L'exemple est Manchester City qui possède des clubs partout dans le monde." Il est également impossible de ne pas aborder le sujet de San Siro : "Le phare qui nous a guidés dans le projet commun est la durabilité. Il n'y a pas de projet qui n'ait pas cette idée en son cœur. Aujourd'hui, San Siro ne résiste pas aux nouvelles valeurs de durabilité" rapporte Calcio et Finance, qui recueille ensuite également les mots sur l'Euroderby à venir :" Avoir une demi-finale de Ligue des Champions à Milan doit être une fierté non seulement pour la ville, mais pour tout le système. Nous sommes en train de vivre des jours d'excitation sensationnelle, des messages d'estime arrivent du monde entier. Aujourd'hui, le football Italien tant décrié a mené cinq équipes en demi-finales des Coupes, de temps en temps, en tant qu'Italiens, nous devrions également regarder du bon côté. On est toujours très hypercritique, on sait qu'on a un boulot important pour combler l'écart avec les autres grands Championnats. Précisément parce que nous avons ces difficultés, bien que dans le mauvais sens, les principaux clubs Italiens ont rejoint le projet Super league. Nous avons reconnu qu'elle était erronée dans la manière dont elle était énoncée, même si c'était une voie qui aurait dû naître au sein des institutions. De cette expérience négative a commencé un processus d'idées innovantes qui envisagent l'avenir du football dans une configuration différente. Nous pensons que les clubs Italiens doivent être représentés au niveau Européen, mais il doit y avoir un équilibre compétitif et une solidarité." Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  10. Massimo Moratti s’est livré à l’occasion de la réception du prix "Grandi Guglie Della Grande Milano" durant la présentation du livre "Interottanta" Inzaghi ? "Vous savez tous très bien qu’il n’aurait jamais survécu jusqu’aux 11 défaites, absolument pas." Un Derby en demi-finale ? "Il y a ce désir de revanche, car en 2003 cela s’est terminé par deux matchs nuls et l’un des nôtres avait d’ailleurs raté un but des plus faciles, il y a de l’envie. D’un autre côté, je ne voudrais pas que ce malaise et cette émotion ne se répète…" Revenir à la Présidence ? "Lorsque tu penses à la somme d’argent que cela nécessite…Je ne vois pas cette solution avec facilité : Une Famille gérée par un Fonds d’investissement peut la gérer, mais cela reste difficile." Un duo Moratti-Pellegrini? "Non, c’est difficile et pour quelle raison le faire ?" Thiago Motta? "C’était un joueur très intelligent et il le prouve aussi comme entraineur, il montre à quel point, lorsqu’il était joueur, il était pragmatique, intelligent et misait sur le résultat." Pour un Conte ou un Mourinho Bis ? "Je suis favorable aux changements qui apporte de l’espérance, je dirais oui sans le moindre doute. L’équipe n’est pas déprimée, mais ses résultats sont déconcertants : En Ligue des Champions, elle est bonne, très bonne." Momo, tu parlais vraiment de la C1 à la fin de l'interview ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Le président de l'Inter a voulu rester proche de l'équipe à sa manière. Appel à Inzaghi et contact direct avec les joueurs. La victoire 2-0 au match aller à Lisbonne ne suffit pas, il faut terminer le travail ce soir à San Siro. Benfica arrive à Milan et l'Inter a besoin d'une autre belle performance. Proche de l'équipe et des joueurs, le président Steven Zhang a fait sentir sa présence à sa manière. "Ce soir, Steven Zhang pourrait devenir le quatrième président de l'Inter à atteindre une demi-finale de la compétition européenne la plus noble, la Ligue des Champions. Zhang comme Angelo Moratti, Ivanoe Fraizzoli et Massimo Moratti : Ce soir, vous le pouvez. Peut-être sans se compliquer la vie. Et suite à la poussée du Président, qui a trouvé le moyen de rester proche de l'équipe même ces dernières heures, après l'avoir fait en personne à Lisbonne. Comment? En encourageant directement les joueurs et l'entraîneur . Et aussi faire sentir sa présence avec des appels téléphoniques et des messages" , explique La Gazzetta dello Sport. "Zhang est un président différent. Il a 31 ans, il a le même âge que les joueurs, il a une façon de se rapporter à eux qui est totalement différente de celle de ses collègues. Et donc ce n'est pas étonnant si, en plus de la présence physique, le contact se fait par téléphone, avec des messages d'encouragement. Il l'a fait avec Simone Inzaghi, avec qui il a pu se rencontrer en personne samedi dernier également, dans le ventre de San Siro après la douloureuse défaite contre Monza. Ils ont une relation directe depuis les premières semaines et celle-ci n'a jamais changé, même pas dans les périodes difficiles. Donc le Président a tenu à rassurer l'entraîneur avec un coup de fil hier aussi." Pas seulement Inzaghi. Zhang a également un dialogue avec l'équipe. Dans ces heures, le Président a également tenu à faire sentir son soutien à plusieurs joueurs. Dont Lautaro, par exemple, qui ne vit pas un moment simple du point de vue de la réalisation et en termes de confiance, encouragé à garder son calme. Mais il a également fait la même chose avec d'autres joueurs. Avec Dzeko, par exemple, dont il a une estime professionnelle infinie. Et puis avec Barella et Calhanoglu, d'autres joueurs avec qui il a l'habitude d'échanger, aussi pour prendre le pouls de l'équipe". "Zhang vit cette veille de match avec fierté. Même avec une certaine prudence : Hier il est resté silencieux, il a choisi de ne pas aller à Appiano pour ne pas rajouter de pression à l'équipe, il sent qu'il a une qualification historique est entre les mains." Un finale de saison qui peut lui réserver bien des surprises. Pour cette raison, il a annulé un voyage d'affaires qui l'aurait conduit aux États-Unis dans les prochaines semaines, il restera à Milan jusqu'à la fin de la saison. Son porte-monnaie est également en jeu : La demi-finale peut valoir environ 25 millions d'euros, entre le prix UEFA, le market pool (répartition de l'argent au niveau national en fonction de l'historique, des matchs joués et de la zone de chalandise). Malgré le manque de revenus de la vente de Skriniar, la société devra faire rentrer un maximum d'argent pour le 30 Juin. Zhang veut placer son nom dans l'histoire des Nerazzurri". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  12. L'ancien président des Nerazzurri s'est exprimé sur TMW Radio pour parler de l'élan de l'équipe d'Inzaghi. Massimo Moratti, pour Piazza Affari, sur Tmw Radio, a parlé de l'Inter et du moment que vit l'équipe en championnat et en coupes. «Nous attendons tous le match contre Benfica a déclaré l'ancien propriétaire de l'Inter, c'est un match qui doit être considéré comme très important car nous sommes mal en point en championnat. Et si après toutes ces défaites j'avais gardé Inzaghi ? Non, je ne pense pas car par nature j'ai renvoyé les entraîneurs après 3-4 défaites. Et j'aurais probablement fait cette erreur dans ce cas aussi». « Sont-ils plus doux envers Zhang dans les critiques qu'ils ne l'étaient envers moi ? LesTifosi ont toujours été très proches et j'étais content. Des critiques s'élèvent à l'égard des ambitions. Si vous êtes modeste, tout s'aligne au niveau de votre médiocrité. Le match contre Benfica? L'Inter a 70% de chances de passer étant donné le 2-0 au match aller mais ce pourcentage ne veut rien dire en Champions League. Si vous rencontrez Milan en demi-finale ? Je dis juste que ce serait excitant », a conclu l'ancien président de l'Inter. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  13. L'ancien gardien de but légendaire de l'Inter, Julio Cesar, pense que cette équipe de l'Inter sera capable d'aller en Finale de la Ligue des Champions. S'adressant à Amazon Prime, via FCInterNews , le Brésilien a exprimé sa confiance quant aux chances des Nerazzurri d'aller même jusqu'à la finale, tout en faisant des louanges à l'actuel gardien de l'Inter André Onana comme étant de la plus haute qualité. L'Inter a encore beaucoup de travail à faire s'il veut réserver sa place dans le plus grand match européen, mais il est certainement devenu beaucoup plus proche que beaucoup ne l'auraient imaginé. Contre Benfica à San Siro mercredi soir, les Nerazzurri ont l'occasion de concrétiser l'avantage de deux buts qu'ils ont acquis sur l'équipe Portugaise lors du match aller de leur quart de finale. À partir de là, les Nerazzurri rencontreront l'AC Milan ou Naples, selon l'équipe Italienne qui remportera le match retour du quart de finale de ce soir. Étant donné que l'Inter a déjà battu les Rossoneri et les Partenopei en Serie A cette saison, ils auront toutes les raisons de penser que ses deux matchs seront a leurs portés. Du point de vue de Julio César, qui a remporté la compétition avec l'Inter en 2010, il n'y a aucune raison pour que cette équipe ne puisse pas rêver d'une apparition en finale de la Ligue des Champions. "Je pense qu'ils peuvent le faire, tout peut arriver dans le football, mais je vois l'Inter aller en demi-finale après sa victoire à Lisbonne." "Ils ont toutes les chances d'atteindre la Finale, ils se heurtent à des équipes qu'ils ont déjà affrontées." "L'Inter a joué contre des équipes assez difficiles dès les huitièmes de finale, et cela les a fait progresser." "Si le prochain tour s'avérait être un Derby, ce serait bien, même contre Naples, ce serait très ouvert." De sa propre expérience en remportant la Ligue des champions, Cesar a rappelé que: "Moratti tenait beaucoup à gagner une Ligue des champions, j'ai pu le voir tout de suite, puis Mourinho est arrivé." "Nous avons ressenti la pression sur nous, vous sentez toujours les papillons dans votre estomac dans les matchs importants, quand un joueur cesse de ressentir cela, cela veut dire qu'il n'y a plus cette passion." "Puis quand le match commence, tu es concentré et tu oublies tout." Lorsqu'on lui a demandé entre Onana et le portier de l'AC Milan Mike Maignan qui été le meilleur cette saison, Julio Cesar a répondu: "Qu'il y a toujours eu des comparaisons et il y en aura toujours." "J'aime Maignan, et puis Onana montre pourquoi l'Inter le voulait." "Je sais que c'est un gars très positif et optimiste, et c'est un excellent gardien Onana. "Et quand vous commencez à faire des arrêts décisifs, votre confiance augmente." "Les deux gardiens sont dans une très bonne phase actuellement". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  14. Massimo Moratti s'est livré à Libero en parlant de son père Angelo et de Slivio Berlusconi. Qu'avez vous essayé de copier de votre père ? "J'ai toujours eu en tête la façon de travailler de mon père, sa façon d'être un gagnant et que j'ai pu reproduire... avec difficulté. Pour moi mon père était très important, il représentait un exemple qui m'a permis de voir ce que j'étais à affronter non pas comme une nouvelle expérience mais comme la continuation d'un chemin que nous avions vécu dans notre enfance." "La détermination dans les décisions, se savoir seul quand on les prend et en assumer l'entière responsabilité, mais ce que papa m'a laissé en héritage, c'est définitivement son immense humanité, sa disponibilité pour tous. C'était un homme avec un grand charisme et extrêmement gentil. Il m'a donné la possibilité d'essayer de tirer le meilleur parti de ses qualités que j'ai essayé de faire miennes." En parlant de mécènes, quelle rivalité y avait-il avec le Milan de Berlusconi ? "La rivalité entre nous a été l'un des moteurs qui m'a amené à essayer de bien faire. Quand je suis arrivé en tant que président de l'Inter, Milan était à son meilleur et je devais essayer de m'assurer que mon équipe était au même niveau, si pas supérieure. Avec Silvio Berlusconi il y avait une relation de rivalité footballistique indéniable mais avec une grande sympathie. Dès que j'ai pris l'Inter, je me souviens qu'il a essayé de me prévenir en me disant que Milan lui coûtait beaucoup d'argent. Au départ je n'y croyais pas que c'était une chose si onéreuse et en fait raison. C'est la passion, un sens aigu du devoir qui m'a poussé à aller de l'avant. Une fois cette décision prise, je n'ai pas eu envie de tout abandonner et de changer d'avis. Cela ne fait pas partie de moi. J'ai donc décidé d'aller de l'avant en essayant de donner le meilleur de moi-même." "Berlusconi a tout gagné ! Comment ne pas respecter un tel homme ? Vous pouvez utiliser différentes méthodes mais cela m'a été utile d'essayer de comprendre comment il a réussi à gagner autant. Je crois que l'humilité pour comprendre ce qui se passe autour de vous est fondamentale. Berlusconi a certainement changé les paramètres économiques présents dans le football italien. Depuis son arrivée, les valeurs des équipes de football ont commencé à progresser et les dépenses ont augmenté (rires, ndlr). Après tout, quand on élève la qualité, on ne l'élève pas simplement parce qu'on est poète mais il faut intervenir économiquement." Mieux vaut-il avoir Ronaldo ou Van Basten ? "Je crois que Ronaldo était le joueur le plus fort qui s'est présenté en Italie d'après guerre." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. L'ancien président légendaire de l'Inter, Massimo Moratti, estime qu'il est important que les Nerazzurri ne traitent pas le travail comme étant fait contre Benfica en quarts de finale de la Ligue des champions. S'adressant au média italien 90min.com , l'ancien président des Nerazzurri a souligné que le match retour sera long pour l'équipe, même si, selon lui, le travail est à mi-chemin après la victoire 2-0 au match aller. Il est indéniable que l'Inter s'est donné un avantage tangible à conserver lors du match retour de son quart de finale de la Ligue des champions contre Benfica. Une avance de 2-0 signifie que les Nerazzurri ont une marge d'erreur. Cependant, à certains égards, la pire chose que l'Inter puisse faire dans cette situation est de devenir complaisant, en particulier avec Benfica qui devra se découvrir maintenant qu'ils savent qu'ils doivent renverser le score. C'est certainement le point de vue de l'ancien président de l'Inter Moratti. L'ancien président trouve que la bonne façon de voir les choses est que les Nerazzurri doivent bien gérer ce match retour, mais qu'en même temps, ils peuvent dire qu'ils ont déjà fait un grand pas avec ce qu'ils ont fait à Lisbonne au match aller. mardi. "C'était un obstacle très important à surmonter", a déclaré l'ancien président à propos du match aller du quart de finale contre Benfica, "ce n'est pas encore fait totalement fait, mais ils ont fait 50% du travail, peut-être même plus. "Et je dirais maintenant qu'ils sont en bonne position pour atteindre le tour suivant, où ils affronteront le Napoli ou le Milan". "Après cela, il ne resterait que la finale." Si Seulement Tu Avais Raison Momo!! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  16. Les mots de l'ancien président : "On a des matchs difficiles et l'équipe doit rester concentrée et ne pas subir de chocs". Massimo Moratti , ancien président de l'Inter, a accordé une interview à Radio Anch'Io Sport sur le moment des Nerazzurri. Ce sont ses mots: Quel est le problème avec cet Inter? Le problème est-il Inzaghi ? "Cela représente certainement un problème car c'est l'entraîneur qui a pris la responsabilité de faire avancer l'équipe. Les résultats ne lui donnent pas raison. Ce que je regrette, c'est qu'il y ait un manque de courage notable. Cela ressemblait à un beau match amical. Il n'y avait pas que "je dois gagner à tout prix", je ne l'ai pas perçu. C'était un match important, c'est décisif pour que l'Inter aille en Ligue des champions l'an prochain." Conte serait-il l'homme idéal pour les Nerazzurri ? "En tant que passeur, je ne sais pas, mais en tant qu'entraîneur, il a montré qu'il a été si bon avec nous qu'il est impossible de dire le contraire. Il garantit plus de victoires, c'est sûr." Les engagements de l'équipe nationale affectent-ils les performances des joueurs ? "Je pense que cela dépend de sa forme. Lukaku n'est pas encore en forme. Il n'a pas perdu ses qualités, mais physiquement, il ne tient pas. Que ce soit la faute de l'équipe nationale ou du club, ils sont d'accord mais quelque chose de plus peut être fait". Quelle est votre opinion sur la saison de la Juventus ? "Allegri va très bien. Ce qu'il fait dans un moment aussi difficile est une chose merveilleuse. Il ramène beaucoup de points. Je ne sais pas ce qui va se passer mais il a très bien fait son job." Que pensez-vous de Naples ? "La nuit dernière a été une surprise. Il se prépare à jouer un match difficile en Ligue des champions, où une défaite comme celle-ci aurait été pire. Il a compris que Milan est fort et que traditionnellement, ils évoluent bien en Ligue des champions". Est-il vrai que l'année du triplé, vous étiez sur le point de limoger Mourinho ? "Ce contexte n'est pas vrai, ça ne s'est pas passé comme ça. Nous espérions tous les deux gagner, puis je ne sais pas ce qui s'est passé et il a voulu partir mais aucun de nous ne s'est disputé". Changeriez-vous Inzaghi ? "J'ai changé trop d'entraîneurs, je suis un exemple négatif en ce sens. Nous avons des matchs difficiles et l'équipe doit rester concentrée et ne pas subir de chocs mais elle a aussi besoin d'un réveil. Les managers et le président prendront une décision." Qui aimeriez-vous affronter si vous vous qualifiez pour la Ligue des Champions ? "Je ne sais pas. Je dois dire honnêtement que Naples est la nouveauté de cette année. Ce serait plus excitant". L'avenir de Mourinho en équipe nationale ou les supporters de la Roma peuvent-ils se rassurer ? "J'espère qu'ils pourront se reposer tranquillement à Rome car je le vois bien intégré, je vois la ville heureuse. J'espère qu'il y restera". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  17. L'ancien président légendaire de l'Inter, Massimo Moratti, estime qu'Antonio Conte serait l'entraîneur avec les bonnes caractéristiques pour remporter à nouveau le titre de Serie A avec les Nerazzurri. S'adressant à la chaîne YouTube Inter69, l'ancien président a fait part de ses réflexions sur ce que signifierait un éventuel retour de Conte, tout en affirmant que l'actuel président de l'Inter, Steven Zhang, ne devrait pas être jugé trop sévèrement en ce moment. Alors que Conte n'a quitté Tottenham Hotspur qu'il y a quelques jours, la rumeur bat déjà son plein concernant la prochaine destination du joueur de 53 ans. L'ancien entraîneur de la Juventus et de l'Inter, qui a également connu du succès avec Chelsea et l'équipe nationale italienne, a été fortement lié à un retour chez les Nerazzurri en particulier. Pour sa part, Moratti estime que Conte pourrait être l'homme qui ramènera le titre aux Nerazzurri, ayant également été le dernier entraîneur à remporter le Scudetto avec le club lors de la saison 2020-21. Quant à savoir s'il pense ou non que Conte pourrait revenir à l'Inter cet été, Moratti a déclaré: "Je n'en ai pas parlé avec Marotta, donc je ne le saurais pas." « Est-ce que je le ramènerais ? » a posé l'ancien président. "Si l'équipe veut à nouveau gagner le Scudetto, il pourrait être le mieux placé pour le faire." Moratti a ensuite fait part de ses réflexions sur la situation financière actuelle de l'Inter, déclarant que "la situation du club est le reflet de l'ensemble de la situation économique internationale, ce qui place les clubs de football de ce niveau dans une position où ils appartiennent soit à de grandes entreprises, soit à des tops fonds internationaux". "Il est peu probable qu'une famille d'Europe ou d'Italie soit capable de posséder l'Inter, Milan ou la Juve", a expliqué l'ancien président dans son analyse de la situation. "En ce qui me concerne, Zhang a investi beaucoup d'argent dans l'Inter et a remporté le Scudetto et plusieurs autres trophées", a ajouté Moratti. "J'attendrais un peu avant de le juger trop sévèrement." Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  18. L'histoire Nerazzurra de Roberto Zaccaria, journaliste et grand fan de l'Inter, et cette foi qui l'a conduit à la vice-présidence du projet InterSpac ont débuté depuis longtemps. Dans un interview, il parle des propriétaires, du stade et de l'Inter d'Inzaghi. L'Inter club sur la RAI, coment est-il né ? "J'ai préféré caractériser la RAI par le football et les divisions apolitiques : chacun a fait son propre club et c'était beaucoup plus amusant. Puis j'ai rencontré Moratti et j'ai décidé de faire Inter Channel qui est né sous ma présidence. Ensuite, nous avons fondé InterSpac avec l'actuel PDG de la Lega, Luigi De Siervo, des choses très agréables." Pourquoi l'Inter n'a-t-elle pas de canal ouvert avec InterSpac ? "Les clubs de football sont des entreprises ayant une responsabilité sociale particulière, différente du cinéma, de la télévision ou du théâtre. Dans d'autres cas, le public est une valeur mais dans le football il y a quelque chose de plus car le résultat compte aussi. Inutile de se poser le problème du remplissage du Meazza si l'Inter perd neuf matches en un an, les supporters ne sont pas satisfaits. L'actionnariat populaire n'est pas une marque de fabrique réservée aux supporters de l'Inter, c'est un projet beaucoup plus large. Pourquoi Zhang ne nous ouvre-t-il pas les portes ? Ils devraient. Peut-être ne le font-ils pas pour des raisons liées au marché chinois qui a en quelque sorte imposé des restrictions. Si vous avez besoin d'obtenir de l'argent d'un fonds comme Oaktree qui vous le donne avec un certain type d'intérêt, ne serait-il pas plus facile d'obtenir cet argent d'un groupe de fans qui vous le donne sans intérêt et avec une participation dans votre équité? La seule explication est celle que j'ai donnée. Nous continuerons de frapper à cette porte, convaincus que tôt ou tard elle s'ouvrira." Si Zhang devait vendre, serait-il utile de se retrouver entre les mains d'un fonds ou plutôt d'un propriétaire reconnaissable ? "Les fonds ont des objectifs de revenus et aussi des objectifs à court terme. La différence est la suivante : peut-être que dans le passé, quelqu'un a acheté un club pour gagner de l'argent mais les réussites sont très rares. Le gain est principalement social ou politique. Nous devons évoluer avec des sujets qui bougent sur le marché, même les fonds finissent par avoir un frontman. Notre présomption est de pouvoir donner au fonds, au sponsor, un élément d'ancrage territorial. Si autrefois l'Inter était internationale, une propriété nationale avec une vocation internationale, maintenant, nous devons plutôt nous connecter avec les fans. Comme l'Inter, nous aimerions être les premiers. Nous sommes un train roulant à très basse vitesse mais du moment où nous pouvons réellement entrer dans l'Inter, nous devons donner de la visibilité et des célébrités avec une grande réputation le garantiraient." Comment résoudre le problème du stade ? "J'aimerais que San Siro soit rénové. Nous sommes très attachés à l'idée de San Siro qui ne s'appelle pas la Meazza par hasard. Je ne construirais pas un stade de 45 000 places, étant donné que 70 000 vont voir l'Inter. Je suis assez favorable à l'idée de restructurer San Siro, alors peut-être que Milan construira son stade ailleurs." L'Inter d'Inzaghi ? "Elle me satisfait à moitié. Je peux tolérer que l'équipe perde 3, 4, 5 matchs mais sans l'oxygène de la Ligue des champions, nous serions extrêmement déçus. Je ne suis pas convaincu qu'il ait la capacité et le courage de prendre l'équipe en main, surtout sur des matches comme celui contre la Juventus. On est doublement blessé après ce match. Je ne peux pas être enthousiaste. Une grande équipe ne change pas d'entraîneur pendant le championnat mais si on n'atteint pas le top 4, je pense que nous devrons réfléchir sur le leadership de l'équipe. Inzaghi est réputé mais pour l'Inter, nous avons besoin d'un plus." Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.
  20. Paroles de Massimo Moratti sur TMW au lendemain du match controversé au Meazza. Encore une polémique! "C'était un Inter-Juventus habituel où il y a polémique, et ce avant, pendant et après le match. Cela fait partie de la tradition. L'important est toujours de gagner ces matches pour ne pas s'apitoyer sur son sort." Chose que l'Inter n'a pas réussi. "Hier a été une défaite lourde de conséquence. Maintenant les Nerazzurri sont non seulement très loin du sommet, ce que nous savions déjà, mais il ne leur sera pas non plus facile d'atteindre la deuxième place." Simone Inzaghi sera-t-il donc jugé pour son parcours en Ligue des champions ? "Ce n'est pas moi qui dois le juger mais aux dirigeants et le président de l'Inter. Ils feront le bilan en fin de saison. Si la Ligue des champions se passe bien, c'est clair qu'elle sauvera tout." Peut-elle répéter le parcours que votre Inter lors de la saison 2009-2010 ? "Ça change beaucoup parce qu'on avait deux fronts (la Serie A et la Ligue des champions, ndlr), en plus de la Coppa Italia. Ceci est très exigeant. Ici, ne devoir penser qu'à un seul but est plus facile. On espère tous que l'Inter peut gagner la Ligue des champions mais ce n'est pas facile car il y a des équipes très fortes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Avant le 8e de finale retour contre le FC Porto, Simone Inzaghi sait que sa place est en jeu au milieu d'une saison qui n'est pas à la hauteur des attentes. La sanction pourrait être immédiate. Simone Inzaghi est prévenu, en cas d'élimination contre Porto, il pourrait être renvoyé par sa direction. À force d'enchaîner les contre-performances en championnat, la pression est de plus en plus importante sur ses épaules. Malgré le court avantage obtenu lors du match aller (victoire 1-0), Simone Inzaghi se présente en terre portugaise en ayant perdu la confiance des supporters Nerazzurri et peut-être même de sa direction. Cette saison, l'ancien attaquant italien a pourtant réussi à gagner un titre, en s'imposant contre le voisin milanais en Supercoupe d'Italie (3-0). Un trophée qui n'a pas eu le mérite de calmer les supporters de l'Inter. Déçus par le jeu proposé et l'écart de points avec le leader napolitain (18 points de retard), ils sont nombreux à demander son départ. Après une nouvelle contre-performance sur la pelouse de la Spezia, si élimination contre Porto il y a, les dirigeants Interistes pourraient bien lui indiquer la porte de sortie. L'ombre d'Antonio Conte Il faut dire que du côté de Milan, un homme est encore dans la tête et dans le cœur de tous les supporters. Tout juste auréolé du titre de champion d'Italie, c'est Antonio Conte lui-même qui avait décidé de claquer la porte, remettant en cause la gestion du club par ses dirigeants. Mais l'actuel entraîneur de Tottenham a laissé un vide que n'a pas réussi à combler Inzaghi. Si l'effectif a connu quelques mouvements (notamment le départ de Lukaku), il est reproché à Inzaghi ne pas avoir remporté le titre la saison passé mais surtout d'être aussi éloigné du Napoli cette année. La comparaison avec son prédécesseur est constante depuis bientôt deux ans et force est de constater que Simone ne rivalise pas avec Antonio Conte. S'il a dû composer avec l'absence de plusieurs joueurs pendant la saison (Brozovic, Lukaku) et des problèmes internes (Skriniar), les résultats inconstants de l'Inter Milan ne s'expliquent pas. Énervé, le groupe de supporters de la Curva Nord a d'ailleurs publié un message critique à l'encontre de son entraîneur après le match nul contre la Sampdoria, le 14 février dernier (0-0 face à la lanterne rouge) : "Monsieur Inzaghi n'est probablement plus capable de motiver les joueurs pour les matchs contre les "petites" équipes.(...) Nous sommes l'Inter, et c'est l'adversaire qui devrait nous craindre, nous devrions attaquer et démontrer notre supériorité et au lieu de cela, nous ressemblons à une équipe de milieu de tableau à qui un match nul à l'extérieur peut convenir." Une éclaircie en Ligue des champions Son équipe a cependant le mérite de répondre présent lors des grands matchs, comme elle l'a montré contre Naples et Barcelone notamment. Face aux Catalans, Simone Inzaghi a su trouver les solutions pour poser des problèmes et ne pas s'incliner, malgré avoir concédé trois buts au Camp Nou. Et c'est l'un des autres défis de cette équipe : savoir voyager comme elle sait recevoir. Cette saison, l'Inter Milan rencontre une étonnante difficulté à performer loin de Giuzzeppa Meazza. Les Nerazzurri affichent en effet le 9e bilan du championnat sur les matchs à l'extérieur avec une défense qui s'avère plus que friable (24 des 30 buts encaissés l'ont été à l'extérieur). Simone Inzaghi le sait, ce déplacement à Porto pourrait être le dernier. Mais heureusement pour lui, ses joueurs semblent être motivés et transformés dès que l'on parle de Coupe. Seule équipe du Top 5 de Serie A encore en course en Coupe d'Italie, les vainqueurs de la Supercoupe d'Italie en janvier dernier pourraient bien être ce que l'on appelle une équipe de Coupe. Et pour Massiomo Moratti, avoir Simone Inzaghi en tant qu'entraîneur est un grand avantage. "Inzaghi sait comment s'y prendre en confrontation directe. L'année passée, il a joué au même niveau que le vrai Liverpool et il y a trois mois, il a éliminé le FC Barcelone en phase de groupe" a affirmé Moratti dans la Gazzetta dello Sport. Alors malgré les critiques et les rumeurs sur un possible départ, Inzaghi pourrait rester à l'Inter en réussissant un bon parcours européen, en assurant la 2e place du championnat et en remportant la Coupe d'Italie. Des objectifs à la portée de son équipe mais pas encore assurés. Avec son destin entre les mains, c'est désormais à lui de faire de la fin de saison de son équipe, une réussite. En résumé: Source le Figaro Sport. Voir l'article ici.
  22. Jorge Nuno Pinto da Costa est le Président du Fc Porto depuis le 17d’avril 1982 et celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur la rencontre à venir face à l’Inter et sur l’évolution du Calcio au cours de ces dernières décennies : "Le sentiment de Vendetta n’existe pas dans le football, l’Inter cherchera à faire de son mieux, et pour nous, ce sera exactement la même chose." Place à présent à la tentative de remontée sur l’Inter, mais vous avez déjà fait pleurer le Calcio : Auquel de nos clubs êtes-vous le plus lié ? "Dans le football, il n’y a de juste milieu, seule la victoire vous rend heureux et les parties face aux italiens sont toujours des rencontres enthousiasmantes car elles sont très compétitives et incertaines et je n'en attend pas moins dans ce huitième de finale." "Nous gagnons, nous perdons, mais ce qui compte c'est le fait de continuer à vous défier en Europe car nous sommes ambitieux, tout comme vous: Si je devais choisir une rencontre, j’en choisirais une lorsque je n’étais pas encore Président mais Administrateur-Délégué : La Coupe des Champions 1979-1980 et le 0-1 de San Siro face à Milan avec un but de Duda." Comment jugez-vous la différence entre le modèle de Porto et de l'Inter, où son propriétaire qui n’est pas italien, a bloquér les investissements ? "Notre situation est différente de celle de l’Inter et du Calcio d’une manière Générale : Porto appartient aux Socios, il s’est organisé pour rester à l’abri de tout investisseur. Chaque pays propose son propre modèle, je ne pourrais pas dire lequel est meilleur que l’autre, mais le nôtre se basera toujours sur ce sentiment d’appartenance: Ensuite, les joueurs qui sont ici sont dans de parfaites conditions pour s’améliorer, ils sont choisis sur base de certaines qualités et nous nous montrons patient." Au début de votre Mandat, le Calcio était la force dominante, à présent il l’est nettement moins, comment expliquer un tel déclin ? "Oui c’est vrai, lorsque je suis devenu Président, le Calcio était le plus dur du Monde, le système a bénéficié aussi aux Présidents qu’étaient les Berlusconi, Moratti et Agnelli, mais à présent tout ce pouvoir a été transféré en Angleterre et vos clubs ont perdu de leurs superbes car ils ne sont plus dirigés par des personnes ayant l’expérience de ceux que j’ai cité. Ceci étant dit, vous restez toujours parmi les meilleurs et ce n’est jamais facile de vous faire face comme le prouve l’Inter. En 41 ans de Présidence, ma plus grande fierté est celle d’être parvenu à nous maintenir toujours compétitif en Europe." Sergio Conceiçao vous a-t ’il parlé de son ami Inzaghi ? "Oui, et son vécu en Italie a été très formateur pour Sergio. Je ne connais pas énormément le travail d’Inzaghi mais pour entrainer un des plus grands clubs du Monde, tu te dois d’avoir des qualités : Plus que l’entraineur ou des individualités, j’ai peur du Collectif de l’Inter." Tôt ou tard, verrons-nous Sergio en Italie et peut-être à l’Inter ? "Il est compétent et passionné par son travail, c’est l’un des meilleurs entraineurs du football européen. Ce n’est pas moi qui le dit, mais ses résultats : Il a de la qualité pour travailler n’importe où, mais il se trouve déjà dans le bon club et j’espère qu’il restera." Il y a une connexion entre Porto et l’Inter qui se nomme José : Comment jugez-vous le Mourinho romain ? "Son succès ne me surprend pas : Il est au sommet depuis plus de deux décennies et après la Roma, il aura face à lui de nouveaux grands défis et d’autres grands clubs tout simplement parce que c’est un prédestiné." L’expérience et le Fair-Play d’un Président à l’ancienne ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Massimo Moratti a accordé une interview aux micros de Leggo. Tels sont ses mots sur l'élan des Nerazzurri, également en vue du match très délicat face à Porto. Comment avez-vous vécu les difficultés de l'Inter à La Spezia ? "Des difficultés déjà vues. Une équipe peu concentrée qui, après une performance importante, ne parvient pas à maintenir l'organisation nécessaire pour gagner le match suivant. J'ai aussi vu une équipe désordonnée. Et désolé, vu la qualité des joueurs, certains d'entre eux ne sont pas en forme." Faites-vous référence à quelqu'un en particulier ? "Eh bien, Lukaku est hors de condition, il est encore très lent." Appelez-vous cela de l'Inter une crise ? "Espérons que ce ne soit pas une maladie (rires, ndlr). Sinon c'est un moment de crise. Espérons que l'équipe soit forte, que l'entraîneur soit bon, mais les résultats ne viennent pas. C'est donc une crise." Comment expliquez-vous la grande différence de performances entre les matchs à la maison et l'extérieur ? "Psychologiquement, c'est quelque chose d'étrange. Je ne pense pas que ce soit parce qu'il n'y a pas de public favorable. Peut-être que tactiquement nous ne trouvons pas la bonne stratégie." Selon vous, quelles sont les responsabilités d'Inzaghi ? "Un entraîneur a toujours toutes les responsabilités, quand il gagne et quand il perd. Dans ce cas, il a perdu et doit donc subir les foudres de la presse, du public, etc. Les responsabilités sont forcément là, car c'est une crise sportive, psychologique ou tactique. Mais c'est une crise." Que pensez-vous d'Inzaghi en général ? "Il me semble être un entraîneur qui laisse les joueurs libres de montrer leurs talents sur le terrain. Il lui reste à démontrer qu'il sait garder l'équipe concentrée en permanence." Contre Porto demain soir, quelle Inter verra-t-on selon vous ? "Ce ne sera pas un match facile, mis à part l'espoir que l'Inter joue bien dans ce match important. Porto est fort, il faudra être très prudent." Ressemble-t-il à l'une des nombreuses nuits européennes de votre présidence ? "La Ligue des champions a un grand charme, je me souviens de tout." Traduction alex_j via FCInter1908.
  24. À l'occasion du 115e anniversaire de l'Inter, Massimo Moratti était l'invité de TeleLombardia lors de l'émission "Inter Connection", pour évoquer les enjeux liés au club dont il était le président historique. Ses mots. Si vous pensez à l'Inter, vous pensez à la famille Moratti. "C'est sûr que ce que mon père a fait était important parce qu'il a donné un virage international au club. Puis après on a eu une histoire positive avec moi aussi, j'ai aidé l'Inter en me mettant à leur service. C'est un privilège de avons vécu cette aventure. Nous sommes également ravis qu'elle se soit très bien déroulée." Comment évaluez-vous l'Inter et Inzaghi cette saison ? "Ce n'est plus l'habitude de porter des jugements même à l'école (rires, ndlr). On est parti avec beaucoup plus d'ambition que la réalité d'aujourd'hui. Le Napoli est très fort. Mais à 15 points des leaders, c'est quelque chose qui ne te met pas dans une position pour penser qu'il a fait de son mieux. Le côté négatif est dû au manque de Lukaku qui aurait été très utile s'il était en forme mais il y a des circonstances. Et puis le fait de Skriniar a peut-être créé des problèmes." Quel est le joueur qui vous a surpris cette saison ? "Certainement Lautaro. Tant dans le rôle d'avant-centre que dans celui de capitaine, il se débrouille très bien avec la bonne attitude. Calhanoglu se débrouille aussi bien au milieu de terrain. Nous avons des joueurs intéressants après tout." Si vous fermez les yeux, quel joueur imaginez-vous porter un maillot de l'Inter ? "Un peu comme tout le monde, dire Recoba est tout à fait normal. Je le considère comme le top au niveau imagination et exhaustivité. Il savait tirer, dribbler et tout faire. Même si pour moi Ronaldo reste le plus représentatif de la grande classe, il était supérieur." Que pensez-vous de la question du stade ? "Pour ma famille, San Siro a un sens, il est dans le cœur et dans les mémoires de manière forte; bien sûr, je réponds que cela doit rester. Même maintenant, aller au stade, je pense que c'est toujours beau. Si vous allez à le stade pour regarder le foot c'est quand même excellent, si tu vas au cinéma, bien sûr que non." Les meilleurs souvenirs. "Le meilleur souvenir, c'est définitivement Madrid, toucher la coupe et réaliser que c'est plus léger que je ne le pensais. C'était quelque chose de beau et d'intéressant. Le pire ? Je ne veux pas me souvenir, ça m'énerve et je culpabilise (rires, ndlr )." Reverrons-nous un président Moratti ? "Je ne sais pas. En ce qui me concerne, je ne pensais pas que je voulais le racheter après mon père, avant que ça arrive. Les conditions dans le passé étaient plus faciles, même si elles étaient encore délicates. Maintenant c'est difficile pour une famille d'avoir une équipe. Mais je ne pense pas que je me permette de dire à mes enfants de ne pas y penser, mais il y a aussi le bon sens (rires, ndlr)." Et si vous achetiez un joueur maintenant ? "Je n'y ai jamais pensé car à l'heure actuelle, tout joueur a des coûts épouvantables. Mbappé est évident et impossible mais j'aurais fait quelque chose de plus pour Haaland, il est fort." L'inter semble n'avoir personne pour la défendre dans les médias : comment le voyez-vous ? "Après les défaites, il faut toujours lever la tête, ce n'est pas une chose banale. De cette façon, les fans comprennent qu'il y a un avenir positif. Je ne sais pas comment les pouvoirs sont répartis dans la société, prendre position quand ça va bien, c'est très facile. En tant que fan, j'attends que quelqu'un aille la défendre. Je dis cela pour espérer que le Dimanche suivant je serai heureux ou pour l'avenir. Le football est une chose fascinante mais dans laquelle il faut rêver." Un retour de Mourinho ruinerait-il une histoire parfaite ? "Cela dépend du type de soupe qu'elle réchauffe. Si c'est une bonne entrée, elle est également bonne lorsqu'elle est réchauffée. Pour Mourinho, cela me semble toujours intéressant." Et avec vous ? "Il était très bon, c'est quelqu'un qui s'isole, il se met contre tout le monde. Mourinho l'a fait en tant que club, Conte en tant que personne. Mais avec cette attitude, il a ramené des résultats importants, je parle très positivement de Conte." Voyez-vous un avenir en tant qu'entraîneur pour Cambiasso comme le dit Mourinho ? "Je le pense aussi, ce ne serait pas mal s'il commençait une carrière. Il serait génial." Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. Présent au lac Toba pour le championnat du monde F1H2O, Erick Thohir est revenu pour parler de l'Inter sur Sportmediaset. Voici ce qu'a dit l'ancien président Nerazzurri. Qu'avez-vous appris de votre expérience en Italie à la tête de l'Inter ? "En Italie, le football est un plaisir et un plaisir pour toute la famille qui va au stade, y compris les femmes et les enfants, alors qu'en Indonésie ce n'est pas le cas. Nous devons essayer de travailler sur cet aspect pour améliorer l'expérience du football indonésien. Nous devons donner aux fans un meilleur spectacle." Suivez-vous toujours l'Inter ? "Certes, nous venons de gagner contre Porto en Ligue des champions : une bonne performance." Elle vous manque ? "Beaucoup, toujours Forza Inter." Avez-vous déjà pensé la racheter ? "Pour le moment, je n'ai pas en tête une reprise de l'équipe car je suis concentré sur les affaires ici en Indonésie. Et puis l'Inter est une famille et pour la suivre, il faut rester à Milan. Pour le moment je dois pense à mon pays. Maintenant, je continue à soutenir l'Inter uniquement en tant que fan." Vous aimez Simone Inzaghi ? "C'est un bon entraîneur et j'aime vraiment son jeu, il a fait un excellent travail ces deux dernières années." Avez-vous toujours des contacts avec Moratti ? Et avec Zhang ? "Malheureusement non, nous n'avons pas eu de nouvelles depuis un moment. Nous échangeons des vœux d'anniversaire et c'est tout. D'un autre côté, pendant la Coupe du monde, j'ai rencontré plusieurs anciens joueurs de l'Inter comme Sneijder et Materazzi et c'était très agréable." Le Napoli de Spalletti est en tête du championnat. Qu'en pensez-vous ? "Il a une énorme avance de points et remportera le Scudetto. Même lorsque j'étais président de l'Inter, Naples avait une équipe solide mais maintenant c'est un groupe très compact. C'est pourquoi cela fonctionne. Spalletti a très bien fait fusionner les joueurs." Traduction alex_j vai FCInterNews.
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