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Piero Ausilio : "L'Inter est ma seconde famille"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Massimo Moratti a quitté l'Hôpital!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C'est la belle information de la journée relayée par la Gazzetta Dello Sport! "Massimo Moratti est rentré chez lui. Les suites post-opératoires se sont déroulées comme prévu et l'ancien Président de l'Inter est sorti hier de l'hôpital Galeazzi de Milan. L'état de Moratti a été jugé stable dès le début, sans alarmes ni craintes. Depuis hier, le Président du Triplé a entamé sa convalescence à son domicile milanais, quarante-huit heures seulement après son intervention chirurgicale" "Moratti avait déjà subi une première opération cardiaque il y a cinq ans, et cette nouvelle intervention a d'abord suscité l'inquiétude de ses amis et de ses soutiens. Mais il s'agissait probablement d'une opération de routine relative à l'entretien d'un stent. Désormais, Moratti, entrepreneur et Président de Saras, pourra se rétablir tranquillement, avant de reprendre son quotidien traditionnel. Il va donc pouvoir recommencer à suivre son Inter" Pas tout de suite Président! ®Antony Gilles - Internazionale.fr -
Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Massimo Moratti hospitalisé!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Selon nos confrères de Fcinter1908.it "Massimo Moratti, ancien président de l'Inter Milan, a été admis à l'Hôpital Galeazzi de Milan. L'ancien président a subi une angioplastie urgente vers 13 heures. Massimo Moratti a été immédiatement pris en charge par l'ensemble du personnel médical. Toujours selon Fcinter1908.it, l'ancien président Nerazzurro s'est réveillé après l'opération et se porte bien." Et selon Fabrizio Biasin: "Les proches du président Massimo #Moratti disent que le Président est hospitalisé pour un contrôle programmé et qu'il va bien." Forza Président, faut profiter des infirmières! ®Antony Gilles - Internazionale.fr -
Massimo Moratti : "Attention à la Viola !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Dans une interview accordée à Radio Bruno Firenze, Massimo Moratti évoque la Viola et le mercato. Le match contre la Fiorentina. "J'ai toujours le sentiment que cette équipe peut jouer des tours à l'Inter. Les matchs contre la Fiorentina, c'est toujours difficile mais aussi des signaux pour la saison. Quand j'étais président, je me souviens que les saisons se passaient bien si on gagnait contre la Viola, et mal si on ne gagnait pas. J'espère donc que ça se passera bien pour l'Inter mais j'avoue que je crains la Fiorentina." Le mercato de l'Inter. "Je pense que l'Inter peut être considérée comme très renforcée, surtout au milieu du terrain où ils ont recruté de nombreux bons joueurs. Puis je l'ai vue sur le terrain et il m'a semblé que cette équipe joue vraiment bien." Lukaku ? "Il me semble qu'il a fait une grosse erreur en traitant avec l'Inter ET la Juventus... du moins en regardant la situation de l'extérieur. Mais de toute façon, il a terminé dans un club important, La Roma." Traduction alex_j via FCInterNews.- 3 commentaires
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Massimo Moratti s'exprime sur le match contre Cagliari, Arnautovic et le Calciopoli sur Tuttocagliari.net. Cagliari-Inter approche, quel type de match devra jouer l'Inter? "En attendant, je dois dire que Cagliari a pris un bon départ. J'ai regardé le match d'hier contre le Torino et les Sardes ont joué très intelligemment. Peut-être qu'ils méritaient même plus qu'un match nul. Je pense qu'ils affronteront les Nerazzurri sans complexe ou certaine. L'Inter semble très forte et très rapide. L'année dernière, de nombreux joueurs ont démontré leur valeur, et cette année, la direction a encore amélioré l'équipe. Bien sûr, il manque un avant-centre mais cette équipe est également capable de créer des dangers et des occasions. Elle est très compétitive. Elle devra cependant le prouver et ce ne sera pas facile à Cagliari." En parlant de l'avant-centre, même après l'excellente impression qu'il a faite contre Monza, ce renfort dont l'Inter parle tant ne pourrait-il pas être Arnautovic lui-même ? "À mon avis, Arnautovic est une belle recrue. Ensuite, je suis particulièrement heureux parce que Marko faisait partie du groupe du Triplete, à ce moment-là, c'était un garçon plein de classe et de capacités techniques. Par la suite, il a bien fait en Angleterre et aujourd'hui, de retour à l'Inter, il peut être très utile. Peut-être y a-t-il aussi besoin d'un élément supplémentaire pour compléter le secteur offensif, en vue de la Serie A, de la Ligue des Champions et de la Coupe d'Italie. Après tout, l'Inter a le devoir de jouer sur les trois fronts." Le Conseil d'État a confirmé l'attribution du Scudetto 2006 à l'Inter. Quelle est votre réaction ? Pensez-vous qu'à ce stade le Calciopoli est définitivement clos ? "Je l'espère bien! Maintenant, cette histoire devient un peu ennuyeuse, alors j'espère que c'est vraiment le dernier chapitre. Nous sommes certainement très fiers de cette énième confirmation du Scudetto 2006." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interrogé par Notizie.com, notre ancien président Massimo Moratti commente le mercato des Nerazzurri. Sur l'attaque. "Nous avons perdu un bel avant-centre comme Edin Dzeko et ce ne sera pas facile de le remplacer. Il nous faut un bon attaquant pour compléter l'équipe et viser le Scudetto." "Romelu Lukaku s'en va aussi ? Oui oui, je sais qu'il était là aussi mais je ne l'ai délibérément pas mentionné. Ce qu'il a fait, promis d'abord, pris des engagements, puis parlé à d'autres, je n'a pas aimé comme tous les fans n'ont pas aimé. J'ai été très déçu par son attitude! Mieux qu'il ne reste pas à l'Inter, on ne se comporte pas comme ça. Et peu importe avec qui a fait quoi. Peu importe si sous ma direction il n'y a pas eu de tels comportements, ça ne se passe pas comme ça. Point." Les transferts conclus. "Jusqu'à présent, d'excellents joueurs ont été signés comme Davide Frattesi et Marcus Thuram. Ils me semblent être d'excellents espoirs et d'excellents joueurs, je suis curieux de voir comment se termine l'histoire de l'avant-centre. Nous en avons besoin." "Qui voudrais-je? Eh, mais ceux que je voulais et aurais aimés vont tous en Arabie mais je suis convaincu que le club va signer un joueur fort, que personne n'attend peut-être. On a une super équipe et un super entraîneur." Une équipe qui doit se battre pour un objectif précis! "Par histoire, l'Inter se bat pour le Scudetto chaque année mais cette année je pense qu'ils peuvent faire dames. Je ne veux rendre quelqu'un plus responsable qu'il ne l'est déjà mais il me semble que l'année prochaine, nous avons tout pour bien faire et continuer à gagner. Je pense que nous et Naples sommes là mais nous devons faire quelque chose de plus. Je fais confiance à Simone Inzaghi, il a très bien réussi, il sait faire bien jouer les équipes qu'il entraîne et je l'ai toujours soutenu, c'est un bon gars et un excellent entraîneur. Je n'ai aucun doute, je considère Nicolò Barella comme un bon joueur utile et l'un de ceux qui, là où il s'investit, fait toujours bien et belle figure. Il aurait été super dans mon Inter et aurait toujours joué." Traduction alex_j via FcInetrNews.
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Massimo Moratti évoque Lukaku, Onana et Ronaldo
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Voici les mots de Massimo Moratti déclarés à sportpaper.it. Concernant la situation liée à Romelu Lukaku. "Je ne m'attendais absolument pas à une telle situation, j'ai été très surpris. C'est normal que la Juventus le veuille, diminuer l'Inter est l'un des objectifs des Bianconeri! Les supporters sont à juste titre en colère contre la décision de Lukaku, précisément parce que c'était sa décision, cela a surpris et agacé les supporters." De nombreux noms sont évoqués pour l'attaque de l'Inter, qui aimeriez-vous ? "Je n'ai pas de préférences. Beaucoup dépendra de la volonté et des besoins de l'entraîneur. Très probablement, un attaquant sera choisi qui sera utile pour manœuvrer. Il sera certainement difficile de trouver un attaquant avec les caractéristiques de Lukaku." Un footballeur avec les caractéristiques d'Icardi ? "Cela faisait un moment que je n'avais pas vu jouer l'Argentin, si je revoyais le Icardi d'autrefois, je l'aurais certainement pris." L'Inter avait-elle raison de vendre Onana ? "Malheureusement, dans le football d'aujourd'hui, l'aspect économique compte beaucoup. Ce sont des situations plus liées à l'économique qu'à la technique." Que pensez-vous de la Roma de Mourinho ? "Mourinho a déjà beaucoup fait, certainement la quatrième place serait réalisable avec un attaquant de niveau comme Morata ou Scamacca. L'ancien joueur de Sassuolo pourrait beaucoup grandir avec Mou. Morata est expérimenté et peut peut-être être plus utile à l'équipe." Un regard sur le passé, renverriez-vous Ronaldo au lieu de Cuper ? "Après les années, je peux dire que je ne pense pas que ce soit un départ lié à Cuper. Après les graves blessures subies, je pense que Ronaldo voulait changer de décor. Je le répète, je ne pense pas que Ronnie ait choisi de partir à cause de la venue de Cuper. De plus le Brésilien me connaissait bien et savait que les entraîneurs ne duraient pas longtemps avec moi. (rires)" Traduction alex_j viaFCInterNews.- 3 commentaires
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En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Tuttosport rend hommage à Piero Ausilio
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Et oui, notre ami Piero est depuis 2010 le Directeur Sportif de l'Inter et celui-ci a tout connu: De Massimo Moratti à Erick Thohir sans oublier l'Ere actuelle de Suning. Et si, exception faite de Luciano Spalletti, peu d'entraineur ont changé de club cet été, les Directeurs Sportifs, eux, ont eu la bougeotte La Juve, le Milan, la Lazio et le Napoli ont tous changé de directeur sportif et Piero Ausilio peut donc célébrer un record bien particulier: Il est le plus ancien Directeur Sportif du Calcio au sein d'un même club: "L'Interiste a hérité du trône laissé libre d'Igli Tare, qui a rompu le cordon ombilical avec la Lazio à la fin de la saison dernière, lui qui était en poste depuis 2009." Piero Ausilio a connu les derniers faits de gloire de Massimo Moratti, la brève Ere Thohir avec "l'Indonésien qui a eu le mérite de transformer l'Inter d'entreprise "familiale" vers une entreprise de "business", et également l'ère Suning, qui a commencé en fanfare et qui se poursuit sous le signe de l'autofinancement. Depuis 2017, Ausilio est assisté par Dario Baccin en tant que Directeur-Sportif Adjoint, mais "c'est toujours lui qui a géré les négociations, en personne, en réalisant des coups très importants pour le club Nerazzurro comme Lautaro Martinez et Achraf Hakimi", dont la vente prématurée fait encore saigner le cœur du joueur et aussi celui d'Ausilio. Ses détracteurs ne lui pardonnent pas le choix d'insérer Zaniolo dans la négociation avec Nainggolan: "Un joueur qui se sera avéré toutefois fondamental la saison suivante pour se qualifier en Ligue des Champions" Mais surtout ces dernières années, notre Directeur Sportif a toujours dû agir avec une épée Damoclès et se montré vif dans l'anticipation étant donné les enjeux très rigides dans lesquels il se doit de se mouvoir: "Et il en est toujours sorti vainqueur, ce qui dans le Monde du Calcio n'est pas rien..." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 5 commentaires
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Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Beau geste de Steven Zhang pour la finale de la Champions League !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Présence massive d'anciennes gloires de l'Inter à Istanbul pour la finale de la Ligue des champions selon la Gazzetta dello Sport. Il y aura une présence massive d'anciennes gloires des Nerazzurri à Istanbul. En effet, Steven Zhang a invité pratiquement tous les héros du Triplete 2010, l'ancien président Massimo Moratti et aussi son prédécesseur Ernesto Pellegrini. Le numéro un des Nerazzurri espère bien évidemment que l'esprit des champions d'Europe 2010 illuminera l'équipe actuelle tout comme la présence de quelques piliers de la Grande Inter l'a fait à cette occasion à Madrid. Tout le monde n'a pas encore répondu à l'invitation mais beaucoup seront présents. Naturellement, il était impossible de ne pas envoyer une invitation à Massimo Moratti, il appartient à la famille qui a écrit l'histoire des Nerazzurri avec des trophées. Le mania pétrolier a une relation profonde avec la famille Zhang. Steven a souvent parlé avec l'ancien mécène, surtout dès son arrivée à Milan et quand il a succédé à Thohir. Il a eu l'intelligence d'"absorber" l'Interismo de Moratti, de prendre conseil auprès de lui dans les premières années. Et comme Moratti, maintenant lui aussi a commencé à gagner cinq trophées. A ce stade, maintenant il ne lui manque que la Ligue des champions que seuls Angelo et Massimo Moratti ont reportée. Ernesto Pellegrini sera également à Istanbul. Il avait triomphé en Europe avant Moratti mais avec la Coupe UEFA à deux reprises. Tous les employés actuels du club sont également invités, elles prendront deux charters monopolisés par l'entreprise. Les proches des joueurs partiront Vendredi, la veille de la finale, l'équipe Jeudi. Traduction alex_j via FCInterNews.- 8 commentaires
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Le 22 mai 2010, l'Inter de Massimo Moratti battit le Bayern Munich 2-0 pour remporter sa troisième C1. Treize ans plus tard, un autre anniversaire tombait exactement hier et l'ex-Président l'a rappelé en en exclusivité sur FcInterNews. Comment avez-vous vécu l'attente de la finale ? "C'était avant tout le match le plus important auquel j'aurais dû assister en tant que président. Je l'ai vécu avec toute la passion possible pour que tout se passe dans le bon sens." Quelle fierté y a-t-il d'avoir été le président du Triplete ? "Nous l'avons réalisé après que ce fut une étape si importante, nous sommes heureux à ce jour d'avoir été les seuls à l'avoir atteint, quelqu'un d'autre nous suivra. Mais pour le moment, nous sommes toujours un point de référence important." Qu'attendez-vous de la prochaine finale de Ligue des Champions entre l'Inter et City ? "N'importe quoi. Si l'Inter devait s'exprimer comme elle l'a fait dans les premières minutes contre Milan, ce sera vraiment difficile pour Manchester City. Je dois dire que je m'attends à un match ouvert." Il y a trois ans, le 22 mai, Gigi Simoni nous quittait. Quel souvenir gardez-vous de l'entraîneur ? "Je l'aimais beaucoup. Il a beaucoup donné à l'Inter, il a eu le malheur de ne pas pouvoir gagner le championnat parce qu'ils nous l'ont enlevé. Sinon il aurait gagné le Scudetto la première année de Ronaldo ainsi que la coupe de l'UEFA. Pour être honnête. Je me souviens de lui comme d'une personne très riche, qui a beaucoup donné à la société, mais aussi à la relation qu'il avait avec moi." Était-ce une erreur de le virer après avoir battu le Real et Salernitana ? "Ce sont deux bonnes victoires mais elles n'ont pas pu me faire changer l'idée que j'avais : à savoir qu'avec Ronaldo, nous aurions dû gagner le Scudetto. Mais ensuite, j'ai réalisé que même avec le Brésilien, il aurait été difficile de gagner le championnat." Qui attendez-vous en attaque contre la Fiorentina et City ? "Dzeko-Lautaro a eu tellement de succès ces derniers temps que je n'y toucherais pas, je les laisserais jouer ensemble. Lukaku grandit beaucoup, il est très utile et pourrait encore être utile pendant le match." Scalvini et Frattesi pour un Inter italien, vous êtes d'accord ? "A l'Inter, il y a une bonne base italienne, voyez Barella et les autres joueurs. Mais attention, et là je fais une déclaration générale : jouer pour l'Inter, ce n'est pas comme jouer pour une équipe de province." Mais est-il vrai qu'à votre époque les joueurs italiens coûtaient plus chers que les joueurs étrangers ? "Vous économisez si vous recherchez dans le monde entier. À l'époque, c'était un marché pour lequel je ne regardais pas la nationalité, je voulais juste faire l'équipe la plus forte de toutes. Et c'était la fin." Que pensez-vous de l'affaire Skriniar ? "Une situation que je ne connais pas, ça s'est passé comme ça, ça veut dire qu'ils n'ont pas pu trouver d'accord des deux côtés. Je ne peux pas intervenir." À quel point allez-vous encourager l'Inter contre City ? "Je veux voir si je ne soutiendrai pas l'Inter, bien sûr !!! J'espère vraiment qu'ils gagneront, ce serait le bon triomphe pour se souvenir de la force de l'Inter dans le monde. Est-ce que j'irai à Istanbul ? Je dois encore décidez, voyons." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Massimo Moratti : "L'Euroderby de 2003 a été vengé !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les deux victoires de l'Euroderby contre Milan "resteront dans les mémoires à l'avenir," selon Massimo Moratti protagoniste d'un entretien exclusif avec Tuttomercatoweb.com. On peut parler de cette finale ? "Ne parlons pas de la finale, faisons comme si de rien n'était (rires, ndlr). Ce sont deux matchs qui ont éclairé toute la saison, très importante et belle, surtout les 20 premières minutes du match aller qui ont été décisives non seulement pour les buts mais pour une telle supériorité qui provoqué un grand complexe à Milan." Cette victoire venge-t-elle l'élimination de 2003 ? "Certainement. La même chose était à gagner et à l'époque ça s'était mal passé. Cette fois-ci, ça s'est bien passé, en effet. Je dirais très bien, dans le sens où il n'y avait aucun doute sur qui devait aller en finale." Que signifie le retour en finale pour l'Inter après 13 ans ? "C'est une grande satisfaction, une immense joie de voir des supporters si heureux. En tout cas être parmi les deux meilleures équipes d'Europe est une chose merveilleuse. Pouvoir participer à la finale nous rend très fiers." Où Inzaghi a-t-il eu le plus grand impact ? "Je dois dire que si l'on regarde sa progression en championnat, il ne peut qu'être déçu par les 11 défaites, que j'ai moi-même, très honnêtement, imputées à Inzaghi. Mais si vous allez ensuite voir ce qu'il a fait dans les coupes, c'est miraculeux, il est très bon. L'équipe a non seulement bien joué mais avec le bon caractère et l'attitude pour atteindre la finale. Super félicitations, je retire tous ces doutes sur lui." Manchester City semble imbattable. Combien de chances l'Inter a-t-elle de gagner ? "Je ne sais pas. Je connais les finales et je sais surtout qu'il faut être superstitieux jusqu'au bout (rires, ndlr). L'inter est rapide dans le jeu, c'est un jeu totalement différent du Real Madrid, donc on ne peut pas faire de comparaisons. Cependant, les Nerazzurri sont surprenants, ils jouent en profondeur et très franchement ils peuvent vraiment embêter Manchester City qui reste très fort." Traduction alex_j via FCInterNews.- 5 commentaires
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A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé par la Gazzetta Dello Sport, Massimo Moratti s’est livré sur l’EuroDerby du début du millénaire et suri celui qui se disputera ce soir, avec en ligne de mire, la Finale de la Ligue des Champions Président, Moratti, c’est reparti pour un tour... "Et oui, ça recommence même si tout a changé depuis cette demi-finale de 2003, à l’époque j’avais un poste à responsabilité. A présent, je suis juste l’un des millions des tifosi qui souffre pour cette rencontre, cela fait des semaines que j’y pense. Je sais que j’ai pris de l’âge et le fait de ne plus être de l’intérieur me permet de faire descendre la pression. Aujourd’hui, le plaisir l'emporte sur le devoir, mais elle reste comme à l’époque, une belle partie unique : Aucune autre ville ne peut se féliciter d’un spectacle de ce niveau." Qu’est-ce qui vous vient en tête 20 ans après... "Une torture, mon flash-back que je n’oublierai jamais, le face à face entre Kallon et Abbiati à la fin de match retour, si on dit que ça reste un très grand arrêt, je continue à penser qu’il aurait dû la mettre au fond." Même le Triplé ne vous a pas permis de combler cette amertume de l’EuroDerby de 2003 ? "Cette défaite en 2003 nous a été utile pour nous mener vers cette ascension vers la gloire, c’était l’étape d’un parcours, mais c’est vraiment très triste d’avoir été sorti ce soir-là, d’autant plus que nous n’avions jamais été battu : Aujourd’hui, dans une telle situation, nous serions allé en prolongation. Ce soir, le destin nous donne l’occasion unique de prendre une Vendetta Sportive et je pense qu’aucune des deux équipes ne s’y attendait vraiment." Que faudra-t ’il pour mener à bien cette Vendetta ? "Je crois que cela va énormément dépendre du match aller, car au match retour il y aura inévitablement un peu plus d’anxiété, nous nous connaissons bien. Au match aller, tu auras un peu plus de liberté pour jouer au ballon et pour trouver, qui sait, les bons espaces." A l’époque vous aviez dû faire sans Christian Vieri et avec un Hernan Crespo qui n’était pas au mieux : Ce soir, Milan pourrait évoluer sans sa star… "Les absences ont pesé en 2003, c’est évident qu’il s’agira d’un préjudice important pour le Milan si Leao est absent. Dans une rencontre d’un tel niveau, avec toute la charge émotionnelle qui y incombe, les compteurs seront remis à zéro dès le coup d’envoi." Qui peut être le Stratége de l’Inter ce soir ? "Je vote pour Barella qui est en train de devenir un vrai symbole : Il crée une identité avec les Tifosi et c’est pour moi le moteur de l’équipe. J’aime aussi le comportement d’Onana, il a fallu du courage pour l’aligner au début, mais il n’a peur de rien et par-dessus tout, il est vraiment très bon. Je pense aussi à Lautaro qui a le pied chaud en ce moment, heureusement pour nous d’ailleurs." Qui aimeriez-vous voir aligner en duo avec le Toro ? "Lukaku est dans une croissance intense en ce moment, c’est visible aux yeux de tous: C'est aussi une bonne chose car il nous a énormément manqué dans les moments les plus délicats. Je pense toutefois que la paire la plus fiable, du moins au début, reste toujours Dzeko-Lautaro." Dites-nous la vérité : Vous l’auriez remercié Inzaghi, lorsqu’il était en sérieuse difficulté en championnat… "Peut-être, mais j'apprécie la façon dont il a réussi à se maintenir à flot sans se noyer. Il est resté lucide, malgré les nombreuses critiques, et j'en fais partie. Il a montré qu'il était bon et qu’il avait le caractère pour rester dans un environnement comme celui de l’Inter." Si jamais, iriez-vous également à Istanbul ? "Ben j’aimerais bien, mais évitons d’en parler en ce moment : Nous avons deux solides rencontres qui nous attendent, deux soirées de pure passion." Vous sembliez détendu lors de votre diner avec vos amis milanites Gherardo Colombo et Renato Pozzetto, vous avez d’ailleurs chanté également La vita l’è bela”. "La vie est toujours belle et savoir s’amuser au-delà de la rivalité montre à quel point l’amitié et la civilisation milaniste est plus forte que tout : Mais nous ne pousserons plus la chansonnette jusqu’à mardi prochain." Mohammed, si tu nous lis, Massimo a toujours le seum! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Main Sponsor : Vers un maillot inédit pour l’EuroDerby ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, c’est la révélation de Tuttosport : "Depuis le retrait de DigitalBits, le Club Nerazzurro est en pleine réflexion en vue du Double Derby Della Madonnina de la Ligue des Champions qui apportera une visibilité Mondiale." Trois options sont sur la table en cas d’autorisation pour combler l’espace laissé libre suite au retrait du Main Sponsor: "La première option porte à la présence d’ "Inter Campus", soit l’ONG Nerazzurra créé par Massimo Moratti en 1997, primée par l’ONU. Elle est présente à travers le Globe et ce serait un choix logique et immédiat qui permettrait de faire connaitre encore plus un projet qui a déjà obtenu les plus hautes reconnaissance au plus haut niveau international, mais il existe quelques réticences en interne." "La seconde option est relative à la possibilité de placer un acronyme ou un logo faisant référence à toutes les activités sociales et aux bonnes œuvres soutenues par le Club." Chiche les potos "La troisième option consiste à la présence d’un slogan lié à la campagne "I M Inter" lancée il y a deux ans, peu avant la conquête du Scudetto avec Antonio Conte sur le banc." Avez-vous une préférence ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Vous l’avez très récemment découverte sur les réseaux sociaux entrain de chanter l’Hymne de l’Inter : Elle, c’est Romina Sorbelli qui est Interiste depuis la naissance. Ayant la chance de pouvoir travailler pour nos confrères d'Inter-News.it, celle-ci- s’est livrée à cœur ouvert pour Internazionale.fr A sa demande, vous retrouverez également à la fin de notre article, la version italienne intégrale de notre échange Bonjour Romina, peux-tu nous dire quelque chose à ton sujet ? Quelles sont tes passions dans la vie ? On suspecte un peu la musique... "Volontiers, j’ai 26 ans et je suis étudiante/aspirant journaliste, je suis diplômée en Communication et je termine mes études universitaires à la Faculté de l’Information, de l’Edition, et du Journalisme, j’en ai terminé avec mes examens et j’écris actuellement ma thèse." "Mes passions principales sont aux nombre de trois : Le football, la musique et la cuisine : Celle pour le football se transforme tout doucement en un travail : j’en suis à ma seconde année pour devenir journaliste indépendante, et mon rêve est de devenir une journaliste sportive. J’ai hérité de l’amour de la musique de ma famille, ils sont tous musicien (en plus d’être Interiste) : Je joue de la guitare, du ukulélé, et j’aime chanter et c’est devenu, à tous les effets, un hobby. J’aime aussi la cuisine et j’aime cuisiner, j’aime cuisiner pour tous les autres car je pense aussi qu’il s’agit d’une preuve d’affection." Pourquoi l’Inter ? Est-ce que tu fais partie d’une famille interiste ? Et pourquoi pas une autre équipe ? "Comme je vous l’ai dit auparavant, nous sommes tous interiste dans la Famille. Dans ma Commune, Sutri, il y a un Inter-Club, l’Inter-Club Peppino Prisco, auquel je suis membre depuis toute petite et je dois surement ma passion pour l’Inter à mon père qui est un grand Tifoso Interiste! Comme je l’ai toujours dit, j’ai choisi l’Inter en suivant les traces de mon père, mais j’ai ensuite décidé de moi-même de continuer sur cette voie en suivant par-dessus tout mon cœur, un cœur qui est entièrement Nerazzurro je dirais, il ne pouvait pas en être autrement." "A présent, d’une simple passion, cela se transforme en un travail et cette opportunité m’a été offerte par la Rédaction d’ Inter-News.it, rédaction que je remercierais toujours pour m’avoir fait confiance et m’avoir accueillir au sein de leur famille." Quel est le plus beau souvenir qui te lie à l’Inter ? "Sans aucun doute, la première fois que je suis allé à San Siro, j’avais seulement dix ans et je ne l’oublierai jamais, comme je n’oublierais jamais toutes les soirées passées à l’Inter-Club à voir les matchs, nos diners et nos célébrations pour les victoires. Je me rappelle en particulières d’une soirée organisée pour fêter le Centenaire de l’Inter en 2008 et à cette occasion, j’ai rencontré Recoba et Stankovic, deux de mes idoles. Mais plus que tout, je garderai toujours en moi ma rencontre avec Massimo Moratti, il y a quelques années : C’est une personne accueillante, un gentleman, c’était un honneur et un privilège pour moi de le rencontrer." Que penses-tu du Giuseppe Meazza qui pour nous est une Institution, qui fait partie de l’Histoire mondiale de notre Calcio ? Aimerais-tu qu’il reste encore notre stade ? "San Siro fait partie de nous tous, nous les Interistes, comme je l’ai dit avant, la première fois que j’y suis allé, je n’avais que dix ans et chaque fois que j’y retourne, c’est toujours comme la première fois : Je pense qu’il serait difficile qu’un autre stade parvienne à nous offrir, à nous les Tifosi, les mêmes émotions : San Siro te coupe le souffle." Quel est ton joueur préféré et pourquoi ? "Dans l’absolu, même si c’est forcément prévisible : Javier Zanetti pour ce qu’il représente et représentera toujours pour nous les Interistes : C’est une vrai Institution de l’Histoire Nerazzurra. Mon rêve est de l’interviewer et j’espère y parvenir un jour." "Dans l’actuel noyau de l’Inter, je dirai Nicolò Barella. Au-delà de son talent inégalable, il y a aussi une raison spécifique pour laquelle je me sens proche de ce joueur. Je revenais à San Siro après onze ans d’absence à l’occasion d’Inter-Verona et Barella marquait ce jour-là son premier but en Serie A sous le maillot de l’Inter, un but qui décidait de l’issue de la rencontre. A ce moment-là j’ai compris que cela allait faire la différence et la joie que cela m’a procurée était incroyable car après avoir passé 14h dans le car, j’avais peur de rentrer à la maison sans victoire." "Je pense qu’il doit encore un peu affiner son caractère sur le terrain car il est, de façon objective, très impulsif, mais je sais aussi m’identifier en partie à lui, c’est ce qui fait que je l’apprécie encore. Pour mon vingt-troisième anniversaire, mes amis m’ont offert son maillot que j’endosse à chaque fois que je vais au Stade. Lors du dernier Derby face au Milan, il a porté bonheur !" Que penses-tu de l’Inter cette saison : Vois-tu une explication suite à une telle saison ? "Je pense que l’Inter nous offre tellement de surprise aussi bien en positif qu’en négatif. Après la désillusion de la saison dernière en championnat, j’espérais que nous aurions fait mieux cette année et au contraire, il y a eu cette involution : Je crois que même l’équipe en elle-même n’est pas capable de vraiment l’expliquer, mais je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Nous avons gagné des coupes qui nous manquaient depuis tant de temps. Nous devons prendre en considération ce qui nous fait plaisir et pas seulement ce qui nous fait souffrir." "Et ne pas se qualifier à la prochaine Ligue des Champions serait une humiliation bien plus qu’une désillusion, mais nous n’avons pas encore dit notre dernier mot et j’espère qu’en cette fin de saison, l’équipe pourra retrouver de la sécurité et de la concentration aussi en championnat." Qui est pour toi la révélation de l’année et qui, au contraire, t’as le plus déçu ? "Je débute par les désillusions et je pense principalement à deux noms, en écartant Skriniar sur qui nous parlerons ensuite : Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic : Ils ont tous les deux été pénalisés par des blessures, mais ils ne se montrent objectivement pas sous leur meilleurs jours. Certains étaient méfiant du retour du belge et d’autres lui ont fait confiance : je fais personnellement partie de la seconde catégorie et, avec le recul, je crois que nous reverrons difficilement le Lukaku de Conte. Et si d’un côté, nous avons perdu notre référence en régie (Brozovic), mais nous faisons la connaissance d’un nouveau Çalhanoğlu qui est parmi les grandes révélations de cette année , lui qui est passé de son poste naturel de Mezz'ala à celui de pivot au milieu de terrain : C’est devenu totalement un nouveau joueur, et il est parmi les meilleurs selon moi." "L’autre grand protagoniste de cette années est Mkhitaryan qui, de réserviste est devenu un titulaire inamovible dans le onze d’Inzaghi et qui est toujours capable de faire la différence et il est surtout infatigable ! Je suis aussi très fier de la saison de Darmian et Dimarco." Comment juges-tu l’incident au Stadium de Turin avec Romelu ? "En un seul mot : Vergognoso (Honteux). Je sais qu’il y a eu une marche arrière et que la FIGC a levé la suspension infligée à l’attaquant Belge. En Italie, on dit “ci hanno messo una pezza” que l’on peut littéralement traduire par "ils ont mis Un pansement sur une jambe de bois". Et c’est ce qu’il s’est passé littéralement : On s’est rendu compte de la très mauvaise image que cela provoquait au niveau mondial et tout a été fait pour y remédier. Toutefois, la décision prise initialement reste, je dirais même mieux, c’est le mauvais message qui a été envoyé qui restera marquant. La conscience demeure qu'une fois de plus il y a ceux qui ont préféré les slogans et les paroles aux actes en eux-mêmes et cela ne peut plus être toléré." Comment te prépares-tu à une rencontre ? Es-tu calme, stressée ? En Famille, au Stade ? "Je suis toujours très tendue avant un match car j’y tiens beaucoup. Lorsque je suivais l’Inter en tant que Tifoso j’allais voir les rencontres au Club et l’ambiance y était très chaude. Aujourd’hui, je vis à Rome, et je regarde les matchs seule et lorsque nous sommes dans les dernières minutes, je suis en direct avec la rédaction d’Inter-News.it (suivez-vous !) ." "Je dois donc me montrer sereine, calme et professionnelle, même si j'ai peut-être mille émotions en moi, mais je dois avouer que très souvent ma spontanéité m'amène à montrer quasiment toutes mes émotions." Penses-tu qu’Inzaghi soit toujours l’homme juste ou devrions-nous changer d’entraineur ? "Je m’en réfère au discours précédent : Je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Je pense qu’Inzaghi a ses propres fautes et qui lui manque un peu cette poigne dans certaines situations, mais c’est aussi le premier entraineur depuis Mourinho à avoir remis l’Inter à un certain niveau européen, et à Milan, les titres manquaient depuis très longtemps . Il faut aussi se dire qu’il est à la tête d’une équipe qui manque de tellement de certitudes (je fais référence aussi bien à la situation sociétal qu’aux joueurs en particulier) ce n’est pas facile et nous tirerons le bilan à la fin de la saison. Peu importe comment cela ira, que cela soit positif ou négatif, tout lui retombera inévitablement dessus." Que penses-tu du départ de Skriniar ? "Je pense que nous nous sommes bercés d’illusions et qu’il nous a bercé d’illusions car nous pensions trouver en lui une nouvelle référence, mais il va sans dire qu’en ce moment, c’est très difficile qu’un joueur regarde autre chose que le profit. D’autre part, il n’y a qu’un seul Javier Zanetti." Qui remportera l’Euro Derby ? "On peut passer à la prochaine question ? Blague à part, le Milan et l’Inter traversent une situation similaire : Ils sont, ensemble, momentanément hors des quatre premières équipes en Italie et ils ne réalisent pas un championnat satisfaisant. Toutefois ils sont parvenu à se retrouver parmi les quatre meilleures équipes européennes en battant des adversaires très compétitifs : Ils ont tous les deux de l’expérience et un noyau valable : Celui qui l’emportera sera celui qui aura le moins peur." Que fais-tu si tu es abordée par un Milaniste ou un Juventino ? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Si c’est un Juventino, je me coupe les doigts), Plus sérieusement, j’ai beaucoup d’amis dans la vie qui sont des "ennemis" en tant que supporters, mais il y a du respect et chacun se nourrit de ses propres passions. Mais pour te dire la vérité, je suis aussi très compétitrice, il vaut donc mieux ne pas regarder les matchs ensemble !" Vu ton talent pour la musique, si l’on te demandait de produire un nouvel hymne pour le Club, de quoi parlerait-il ? "Je suis plus une interprète qu’une compositrice, mais ce serait surement une chanson qui me ressemblerait un peu : Pleine de passion et d’enthousiasme, une mélodie et un texte qui peuvent te donner cette motivation juste d’avant-match, qui serait adaptée pour célébrer les victoires et qui pourrait aussi te consoler après une défaite : Ce serait un Hymne qui raconterait notre Histoire, la nôtre, celle des tifosi : une histoire d’amour." Versione italiana L'avete scoperta di recente sui social network mentre cantava l'inno dell'Inter: è Romina Sorbelli, interista dalla nascita. Romina Sorbelli, ha la fortuna di lavorare per i nostri colleghi di Inter-News.it e che ha parlato apertamente con Internazionale.fr. Ciao Romina, puoi raccontarci qualcosa di te? Quali sono le tue passioni nella vita? Sospettiamo un po' la musica. 'Volentieri. Ho 26 anni e sono una studentessa/aspirante giornalista. Sono laureata in comunicazione e sto terminando gli studi universitari alla facoltà di Informazione, Editoria e Giornalismo. Ho terminato gli esami e sto scrivendo la tesi. Le mie passioni principali sono tre: il calcio, la musica e il cibo. Quella per il calcio si sta trasformando pian piano in un lavoro: sono al secondo anno di formazione per prendere il tesserino da giornalista pubblicista e sogno di diventare una giornalista sportiva. L'amore per la musica l'ho ereditato dalla mia famiglia, sono tutti musicisti (oltre che interisti). Io suono la chitarra, l'ukulele e adoro cantare ma adesso è diventato a tutti gli effetti solo un hobby. Infine, mi piace la cucina e amo il cibo; mi diverto a cucinare soprattutto per gli altri perché penso che sia una dimostrazione d'affetto." Perché l'Inter? Fai parte di una famiglia interista? E perché questa e non un'altra squadra? "Come accennavo prima, in famiglia siamo tutti interisti. Nel mio paese, Sutri, c'è un Inter Club (Inter Club Peppino Prisco) al quale sono iscritta fin da bambina. Sicuramente devo la mia passione per l'Inter a mio padre, grande tifoso interista! Come ho sempre detto, ho scelto l'Inter seguendo le orme di mio papà ma poi ho deciso di continuare su questa strada seguendo soprattutto il mio cuore. Un cuore interamente nerazzurro direi, e non potrebbe essere altrimenti." "Adesso da semplice passione si è trasformata in un lavoro e questa possibilità mi è stata concessa dalla redazione di Inter-News.it, che ringrazierò sempre per avermi dato fiducia e accolta nella loro famiglia." Qual è il tuo ricordo più bello legato all'Inter? "Sicuramente la prima volta che sono andata a San Siro. Avevo solo dieci anni e non lo dimenticherò mai. Così come non dimenticherò tutte le serate passate all'Inter Club a vedere le partite, le cene e i festeggiamenti per le vittorie. Ricordo in particolare una serata organizzata per festeggiare il centenario dell'Inter nel 2008: in quell'occasione ho incontrato Recoba e Stankovic, due dei miei idoli. E soprattutto porterò sempre con me l'incontro con Massimo Moratti di qualche anno fa. Una persona disponibile e un gentiluomo, è stato per me un onore e un privilegio conoscerlo." Cosa ne pensi dello stadio Meazza che per noi è un'istituzione, parte della storia mondiale del nostro calcio? Vorresti che fosse ancora il nostro stadio? "San Siro è parte di tutti noi interisti. Come ho detto, la prima volta che ci sono andata avevo solo dieci anni e ogni volta che ci torno è sempre come la prima. Penso che difficilmente un altro stadio riuscirebbe a regalare a noi tifosi le stesse emozioni. San Siro toglie il fiato." Chi è il tuo giocatore preferito e perché? "In assoluto (forse scontato) Javier Zanetti, per ciò che rappresenta e rappresenterà per sempre per noi interisti. Una vera istituzione della storia nerazzurra. Il mio sogno è intervistarlo e spero di riuscirci un giorno. Dell'attuale rosa dell'Inter dico Nicolò Barella. Al di là del suo talento innegabile c’è un motivo specifico per il quale mi sono avvicinata a questo giocatore: tornai a San Siro dopo undici anni di assenza nel 2019 in occasione di Inter-Verona. Barella segnò il suo primo gol in Serie A in maglia nerazzurra, decidendo la partita." "Da quel momento ho capito che avrebbe fatto la differenza e la gioia che mi ha regalato è indescrivibile, dopo 14 ore totali di pullman temevo di tornare a casa senza vittoria. Penso che debba affinare solo un po' il carattere in campo. È oggettivamente molto impulsivo ma in parte mi ci rispecchio e questo me lo fa apprezzare ancora di più. Per il mio ventitreesimo compleanno gli amici mi hanno regalato la sua maglietta, che ovviamente indosso ogni volta che vado allo stadio. All’ultimo derby contro il Milan ha portato fortuna!" Cosa ne pensi dell'Inter in questa stagione? Vedi una spiegazione per una stagione del genere? "Penso che l'Inter ci stia regalando tantissime sorprese sia in positivo che in negativo. Dopo la delusione della scorsa stagione in campionato ho sperato che quest'anno potessimo fare molto meglio e invece c'è stata un'involuzione. Credo che neanche la squadra sappia darsi una vera e propria spiegazione ma io sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno: siamo tornati ad imporci sul palcoscenico europeo dopo anni e abbiamo vinto coppe che mancavano da tempo. Dobbiamo tenere in considerazione quello che ci fa gioire e non solo ciò che ci fa soffrire." "Sicuramente mancare la qualificazione alla prossima Champions League sarebbe un'umiliazione oltre che una delusione, ma non è ancora detta l'ultima parola e spero che in queste ultime giornate la squadra possa tornare a trovare la sicurezza e la concentrazione anche in campionato." Chi è per te la rivelazione dell’anno e chi invece ti ha deluso di più? "Parto dalle delusioni e penso principalmente a due nomi (tenendo fuori Skriniar di cui parleremo dopo): Romelu Lukaku e Marcelo Brozovic. Entrambi sono stati penalizzati dagli infortuni ma oggettivamente non stanno mostrando il loro lato migliore. C'è chi era diffidente sul ritorno del belga e chi invece gli dava fiducia, io faccio parte della seconda categoria ma col senno del poi credo che difficilmente rivedremo il "Lukaku di Conte". Se poi da un lato abbiamo perso il nostro riferimento in cabina di regia (Brozovic) dall'altro abbiamo scoperto un "nuovo" Çalhanoğlu, tra le grandi rivelazioni di quest'anno: spostandosi dal suo ruolo naturale di mezz'ala a perno di centrocampo è diventato totalmente un altro giocatore; tra i migliori a mio parere. Altra grande protagonista di quest'anno è Mkhitaryan che da riserva è ormai titolare inamovibile tra gli undici di Inzaghi e capace di fare sempre la differenza, soprattutto instancabile! Sono anche molto felice per la stagione di Darmian e Dimarco." Come giudica l'incidente allo stadio di Torino con Romelu? "Una sola parola: vergognoso. So che è stato fatto un passo indietro e che la FIGC ha rimosso la squalifica inflitta all’attaccante belga. In Italia si dice “ci hanno messo una pezza”. E a tutti gli effetti è stato così. Ci si è resi conto della pessima figura a livello mondiale e si è tentato in tutti i modi di risolvere. La decisione presa inizialmente comunque rimane, o meglio rimane il messaggio sbagliato che è stato mandato. Resta la consapevolezza che c’è chi per l’ennesima volta ha preferito slogan e parole ai fatti e questo non può più essere accettabile." "Sono sempre molto tesa prima di una partita perché ci tengo molto. Quando seguivo l'Inter (solo) da tifosa andavo a vedere le partite al club e l'atmosfera era molto accesa, ora che vivo a Roma guardo le partite in solitaria e negli ultimi minuti sono in diretta con la redazione di Inter-News.it (seguiteci!), quindi devo mostrarmi calma e professionale, anche se magari dentro ho mille emozioni. C'è da dire però che molto spesso la mia spontaneità mi porta comunque a mostrarle quasi tutte." Pensi che Inzaghi sia l'uomo adatto o dovremmo cambiare allenatore? "Mi ricollego al discorso precedente. Sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno. Penso che Inzaghi abbia le sue colpe e che gli manchi un po' il "pugno duro" in alcune situazioni. Ma è il primo allenatore dopo Mourinho ad aver riportato l'Inter a certi livelli in Europa e a Milano trofei che mancavano da tempo. C'è da dire anche che guidare una squadra a cui mancano tante certezze (mi riferisco sia alla situazione societaria che a quella dei singoli giocatori) non è facile. Le somme vanno tirate a fine stagione. Ma a prescindere da come andrà, sia meriti che colpe ricadranno inevitabilmente su di lui." Cosa ne pensi della partenza di Skriniar? "Penso che ci siamo illusi, e che ci abbia illuso, di poter trovare in lui un nuovo riferimento ma, sarà scontato dirlo, di questi tempi è molto difficile che un giocatore guardi oltre il guadagno. D'altronde, di Javier Zanetti ce n'è solo uno!" Chi vincerà l'Euro Derby? "Passiamo alla prossima domanda? A parte gli scherzi, Milan e Inter vengono da una situazione simile: entrambe sono momentaneamente fuori dalle prime quattro squadre in Italia e non stanno disputando un campionato soddisfacente, ma sono riuscite a rientrare tra le migliori quattro in Europa battendo avversari molto competitivi. Entrambe hanno esperienza e una rosa valida. Vincerà chi avrà meno paura!" Cosa fai se vieni avvicinata da un milanista o da uno juventino? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Scherzo ovviamente, ho molti amici nella vita che sono "nemici" di tifo ma c'è rispetto ed è giusto che ognuno coltivi le proprie passioni. Ma, dico la verità, sono anche molto competitiva quindi meglio non vedere insieme le partite!" Dato il tuo talento per la musica, se ti venisse chiesto di produrre un nuovo inno per il club di cosa parlerebbe? "Sono un'interprete più che una cantautrice ma sarebbe sicuramente una canzone un po' come me: carica di entusiasmo e di passione. Una melodia ed un testo che possano dare la giusta carica nel pre-partita, che siano adatti per festeggiare le vittorie e possano consolare dopo una sconfitta. Un inno che racconti la storia di tutti noi tifosi, una storia d'amore." Je tiens à remercier personnellement Romina, que je vous invite à suivre sur son Twitter Officiel et je tiens également à saluer l’équipe d’Inter-News.it : Suivez-la également via le lien suivant : https://www.inter-news.it/ Ringrazio personalmente Romina, che vi invito a seguire sul suo Twitter ufficiale e saluto anche il team di Inter-News.it: Seguitela anche al seguente link: https://www.inter-news.it/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Simone Inzaghi, la poule aux œufs d’or de Steven Zhang
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, le travail de Simone Inzaghi dans les matchs de Coupe est exceptionnel : Détenteur de deux Super Coupe d’Italie, Champion de la Coupe d’Italie en titre et qualifié pour la Finale, sans oublier les huitièmes de finale de l'an dernier mais surtout la Demi-Finale actuelle de la Ligue des Champions, son travail est remarquable. Le seul point noir étant un Championnat des plus contrastés comparé à la seconde place remporté en mai dernier. 200 patates! C'est la révélation de Tuttosport: "Ce mercredi soir, en l’espace de quatre-vingt-dix minutes de jeu, sont entrés dans les caisses du club, les fonds lié à la Coupe d’Italie et la Super Coupe d’Italie élargie à quatre équipe. Si cela ne représente que des miettes comparée au pactole déjà encaissé par l’UEFA pour la demi-finale de la Ligue des champions (93 millions d'euros) ce qui est pris est toujours bon à prendre. "Grâce à une régularité des performances dans les matchs aller-retour, inconnue depuis la splendeur de l'Inter de Moratti, Simone Inzaghi a déjà rapporté à Suning une dotation de plus de 200 millions d'euros en deux saisons. Un chiffre monstrueux et totalement imprévu dans les prévisions budgétaires qui, même dans le cas malheureux d'une non-qualification pour la Ligue des Champions à venir, permettra d'atténuer considérablement le choc." L'importance de "Revoir les étoiles" "S’il est vrai que l’Inter viendrait à perdre 15% de son chiffre d’affaire, cette saison est tout de même allé bien plus loin en termes d’objectif fixé, avec juste une prévision d'une qualification en huitième de finale. Et si l’effet boomerang serait important, il ne serait pas des plus dramatique que ceux qui suggèrent le départ de l’entraineur. Le tout sans oublier de souligner que cette Inter doit également faire face à une possible réduction d’effectif, vu les couts onéreux demandés lors des négociations, dont celle relative à Alessandro Bastoni : Dans le fond, il serait possible de jouer l’Europa League avec l’objectif d’arriver jusqu’au bout." "Toutefois, ce scénario reste à écrire étant donné que la quatrième place n’est qu’à deux petit points, et l’actualité récente peut aussi nous rappeler que l’Inter a perçu une maxi-recette avec la réception de la Juventus en Coupe d'Italie : 4.318.850 euros, il reste juste l’inconnue des recettes liées à la finale de la Coupe d’Italie car les finalistes percevront 3 millions d’euros pour le chemin parcouru. Le Champion, lui, percevra 4,5 millions d’euros et son dauphin 2 millions d’euros de plus. Par la suite, chacun percevra 45% des recettes de la billetterie de l’Olimpico, soit environ 2 millions d’euros. A cette somme, il faudra ajouter celles de la nouvelle version de la Super Coupe, qui apportera une dotation de 7 millions à celui qui la remportera, le gain total sera donc de 23 millions d’euros." "Grâce à Simone Inzaghi, Steven Zhang a déjà mis dans sa tirelire un peu plus de 7 millions d’euros tout compris, soit la somme liée à la dernière édition de la Super Coupe d'Italie et du Triomphe sur le Milan. La part du lion du budget d'Inzaghi, sur ce biennal, reste bien sûr la Ligue des Champions : il y a un an, les Nerazzurri ont récolté 64,8 millions, alors qu'à l'heure actuelle, et en attendant l'Euroderby, nous en sommes déjà à 93 millions d'euros." Conte Ko Technique "Pour vous faire une idée, en 2020-21, soit la saison du Scudetto remporté par Antonio Conte, les revenus garantis par l’UEFA étaient de 37,8 millions d'euros, ce qui, avec les primes liées au Scudetto, avait conduit à récolter une soixantaine de millions d'euros de bénéfices liés aux performances d'une équipe avec une masse salariale plus élevée et avec des coûts liés plus important comparé à la situation actuelle. Le poste "Serie A" sera évidemment pénalisant pour Inzaghi cette année, mais les 26,6 millions d'euros perçus pour la deuxième place dans le tournoi de l'an dernier restent dans les annales." "Ce qui n’est pas mal pour un entraîneur qui a un salaire divisé par deux par rapport à son prédécesseur et qui avait été appelé au chevet d'une équipe qui semblait sur le point d'être démantelée, comme Conte lui-même nous l'avait fait croire : C'est aussi pour cette raison que penser à son retour, aujourd'hui, frise l'utopie étant donné aussi les exigences de l'intéressé, en termes de salaire, totalement en dehors du budget de l'Inter" Faut-il toujours licencier Simone Inzaghi selon vous, ou sommes-nous en pleine saison de transition ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 16 commentaires
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"Les modèles de gouvernance ont évolué. Auparavant, le secteur du football était géré par les magnats pour la subsistance du club, et les revenus étaient liés aux revenus du stade et aux coûts découlant des dépenses des joueurs. Maintenant, les modèles de gouvernance ont évolué et nécessitent des modèles scientifiques et qui se sont naturellement appliqués dans d'autres secteurs comme les services ». C'est l'un des concepts exprimés par Alessandro Antonello, PDG Corporate de l'Inter, interviewé par TMW en marge du débat "Football, argent contre idées" organisé à l'Université Bocconi de Milan. "Le monde du football exige désormais un haut professionnalisme. Le football est en tout cas un secteur atypique, car d'une part il doit garantir la compétitivité sportive et d'autre part la durabilité et la protection du système où il ne doit pas y avoir de situation de monopole. Le football moderne au niveau des entreprises a changé dans les années 80, avec des parrainages et des droits de télévision. Une loi a également été insérée où les équipes professionnelles sont devenues des sociétés à but non lucratif. Un autre moment fondamental a été la loi Bosman, avec la libre circulation des travailleurs au sein de la monde du football. Qui est maintenant une industrie du divertissement où la concurrence est mondiale. L'Inter s'affronte pour conquérir des joueurs libres, nous devons saisir ces opportunités pour les fans." La discussion passe ensuite au thème des investisseurs Internationaux : « Nous sommes un exemple, il a donné de la stabilité au projet exécutif et a mis en place une stratégie claire. La dimension a changé: Du domestique au global. Il y a eu une contamination culturelle, nous sommes une entreprise mondiale qui, cependant, doit également agir au niveau local. Du patronage de la famille Moratti, nous sommes passés à la direction actuelle, qui a soutenu d'importants investissements pour l'équipe et le cœur du métier a également changé étant donné que aujourd'hui l'entreprise est aussi dans le secteur du divertissement en faisant un parcours important en transformant une icône du monde du football comme l'Inter à une dimension de style de vie liée par exemple au design et à l'innovation. Notre président Zhang, le plus jeune du club, a rapproché les nouvelles générations. Il ne faut pas s'effrayer des investisseurs venus de l'étranger, l'effort que doivent faire les managers est de combiner les différents aspects globaux et locaux. Suning a une activité développée dans la zone Asiatique mais il y a aussi d'autres investisseurs qui essaient de prendre un potentiel dans le monde du football qui ne s'est pas encore exprimé à un niveau supérieur. Il existe également des multipropriétés, où les investissements ont lieu non seulement dans un pays. L'exemple est Manchester City qui possède des clubs partout dans le monde." Il est également impossible de ne pas aborder le sujet de San Siro : "Le phare qui nous a guidés dans le projet commun est la durabilité. Il n'y a pas de projet qui n'ait pas cette idée en son cœur. Aujourd'hui, San Siro ne résiste pas aux nouvelles valeurs de durabilité" rapporte Calcio et Finance, qui recueille ensuite également les mots sur l'Euroderby à venir :" Avoir une demi-finale de Ligue des Champions à Milan doit être une fierté non seulement pour la ville, mais pour tout le système. Nous sommes en train de vivre des jours d'excitation sensationnelle, des messages d'estime arrivent du monde entier. Aujourd'hui, le football Italien tant décrié a mené cinq équipes en demi-finales des Coupes, de temps en temps, en tant qu'Italiens, nous devrions également regarder du bon côté. On est toujours très hypercritique, on sait qu'on a un boulot important pour combler l'écart avec les autres grands Championnats. Précisément parce que nous avons ces difficultés, bien que dans le mauvais sens, les principaux clubs Italiens ont rejoint le projet Super league. Nous avons reconnu qu'elle était erronée dans la manière dont elle était énoncée, même si c'était une voie qui aurait dû naître au sein des institutions. De cette expérience négative a commencé un processus d'idées innovantes qui envisagent l'avenir du football dans une configuration différente. Nous pensons que les clubs Italiens doivent être représentés au niveau Européen, mais il doit y avoir un équilibre compétitif et une solidarité." Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Massimo Moratti cartouche encore Simone Inzaghi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Massimo Moratti s’est livré à l’occasion de la réception du prix "Grandi Guglie Della Grande Milano" durant la présentation du livre "Interottanta" Inzaghi ? "Vous savez tous très bien qu’il n’aurait jamais survécu jusqu’aux 11 défaites, absolument pas." Un Derby en demi-finale ? "Il y a ce désir de revanche, car en 2003 cela s’est terminé par deux matchs nuls et l’un des nôtres avait d’ailleurs raté un but des plus faciles, il y a de l’envie. D’un autre côté, je ne voudrais pas que ce malaise et cette émotion ne se répète…" Revenir à la Présidence ? "Lorsque tu penses à la somme d’argent que cela nécessite…Je ne vois pas cette solution avec facilité : Une Famille gérée par un Fonds d’investissement peut la gérer, mais cela reste difficile." Un duo Moratti-Pellegrini? "Non, c’est difficile et pour quelle raison le faire ?" Thiago Motta? "C’était un joueur très intelligent et il le prouve aussi comme entraineur, il montre à quel point, lorsqu’il était joueur, il était pragmatique, intelligent et misait sur le résultat." Pour un Conte ou un Mourinho Bis ? "Je suis favorable aux changements qui apporte de l’espérance, je dirais oui sans le moindre doute. L’équipe n’est pas déprimée, mais ses résultats sont déconcertants : En Ligue des Champions, elle est bonne, très bonne." Momo, tu parlais vraiment de la C1 à la fin de l'interview ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Le président de l'Inter a voulu rester proche de l'équipe à sa manière. Appel à Inzaghi et contact direct avec les joueurs. La victoire 2-0 au match aller à Lisbonne ne suffit pas, il faut terminer le travail ce soir à San Siro. Benfica arrive à Milan et l'Inter a besoin d'une autre belle performance. Proche de l'équipe et des joueurs, le président Steven Zhang a fait sentir sa présence à sa manière. "Ce soir, Steven Zhang pourrait devenir le quatrième président de l'Inter à atteindre une demi-finale de la compétition européenne la plus noble, la Ligue des Champions. Zhang comme Angelo Moratti, Ivanoe Fraizzoli et Massimo Moratti : Ce soir, vous le pouvez. Peut-être sans se compliquer la vie. Et suite à la poussée du Président, qui a trouvé le moyen de rester proche de l'équipe même ces dernières heures, après l'avoir fait en personne à Lisbonne. Comment? En encourageant directement les joueurs et l'entraîneur . Et aussi faire sentir sa présence avec des appels téléphoniques et des messages" , explique La Gazzetta dello Sport. "Zhang est un président différent. Il a 31 ans, il a le même âge que les joueurs, il a une façon de se rapporter à eux qui est totalement différente de celle de ses collègues. Et donc ce n'est pas étonnant si, en plus de la présence physique, le contact se fait par téléphone, avec des messages d'encouragement. Il l'a fait avec Simone Inzaghi, avec qui il a pu se rencontrer en personne samedi dernier également, dans le ventre de San Siro après la douloureuse défaite contre Monza. Ils ont une relation directe depuis les premières semaines et celle-ci n'a jamais changé, même pas dans les périodes difficiles. Donc le Président a tenu à rassurer l'entraîneur avec un coup de fil hier aussi." Pas seulement Inzaghi. Zhang a également un dialogue avec l'équipe. Dans ces heures, le Président a également tenu à faire sentir son soutien à plusieurs joueurs. Dont Lautaro, par exemple, qui ne vit pas un moment simple du point de vue de la réalisation et en termes de confiance, encouragé à garder son calme. Mais il a également fait la même chose avec d'autres joueurs. Avec Dzeko, par exemple, dont il a une estime professionnelle infinie. Et puis avec Barella et Calhanoglu, d'autres joueurs avec qui il a l'habitude d'échanger, aussi pour prendre le pouls de l'équipe". "Zhang vit cette veille de match avec fierté. Même avec une certaine prudence : Hier il est resté silencieux, il a choisi de ne pas aller à Appiano pour ne pas rajouter de pression à l'équipe, il sent qu'il a une qualification historique est entre les mains." Un finale de saison qui peut lui réserver bien des surprises. Pour cette raison, il a annulé un voyage d'affaires qui l'aurait conduit aux États-Unis dans les prochaines semaines, il restera à Milan jusqu'à la fin de la saison. Son porte-monnaie est également en jeu : La demi-finale peut valoir environ 25 millions d'euros, entre le prix UEFA, le market pool (répartition de l'argent au niveau national en fonction de l'historique, des matchs joués et de la zone de chalandise). Malgré le manque de revenus de la vente de Skriniar, la société devra faire rentrer un maximum d'argent pour le 30 Juin. Zhang veut placer son nom dans l'histoire des Nerazzurri". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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L'ancien président des Nerazzurri s'est exprimé sur TMW Radio pour parler de l'élan de l'équipe d'Inzaghi. Massimo Moratti, pour Piazza Affari, sur Tmw Radio, a parlé de l'Inter et du moment que vit l'équipe en championnat et en coupes. «Nous attendons tous le match contre Benfica a déclaré l'ancien propriétaire de l'Inter, c'est un match qui doit être considéré comme très important car nous sommes mal en point en championnat. Et si après toutes ces défaites j'avais gardé Inzaghi ? Non, je ne pense pas car par nature j'ai renvoyé les entraîneurs après 3-4 défaites. Et j'aurais probablement fait cette erreur dans ce cas aussi». « Sont-ils plus doux envers Zhang dans les critiques qu'ils ne l'étaient envers moi ? LesTifosi ont toujours été très proches et j'étais content. Des critiques s'élèvent à l'égard des ambitions. Si vous êtes modeste, tout s'aligne au niveau de votre médiocrité. Le match contre Benfica? L'Inter a 70% de chances de passer étant donné le 2-0 au match aller mais ce pourcentage ne veut rien dire en Champions League. Si vous rencontrez Milan en demi-finale ? Je dis juste que ce serait excitant », a conclu l'ancien président de l'Inter. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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L'ancien gardien de but légendaire de l'Inter, Julio Cesar, pense que cette équipe de l'Inter sera capable d'aller en Finale de la Ligue des Champions. S'adressant à Amazon Prime, via FCInterNews , le Brésilien a exprimé sa confiance quant aux chances des Nerazzurri d'aller même jusqu'à la finale, tout en faisant des louanges à l'actuel gardien de l'Inter André Onana comme étant de la plus haute qualité. L'Inter a encore beaucoup de travail à faire s'il veut réserver sa place dans le plus grand match européen, mais il est certainement devenu beaucoup plus proche que beaucoup ne l'auraient imaginé. Contre Benfica à San Siro mercredi soir, les Nerazzurri ont l'occasion de concrétiser l'avantage de deux buts qu'ils ont acquis sur l'équipe Portugaise lors du match aller de leur quart de finale. À partir de là, les Nerazzurri rencontreront l'AC Milan ou Naples, selon l'équipe Italienne qui remportera le match retour du quart de finale de ce soir. Étant donné que l'Inter a déjà battu les Rossoneri et les Partenopei en Serie A cette saison, ils auront toutes les raisons de penser que ses deux matchs seront a leurs portés. Du point de vue de Julio César, qui a remporté la compétition avec l'Inter en 2010, il n'y a aucune raison pour que cette équipe ne puisse pas rêver d'une apparition en finale de la Ligue des Champions. "Je pense qu'ils peuvent le faire, tout peut arriver dans le football, mais je vois l'Inter aller en demi-finale après sa victoire à Lisbonne." "Ils ont toutes les chances d'atteindre la Finale, ils se heurtent à des équipes qu'ils ont déjà affrontées." "L'Inter a joué contre des équipes assez difficiles dès les huitièmes de finale, et cela les a fait progresser." "Si le prochain tour s'avérait être un Derby, ce serait bien, même contre Naples, ce serait très ouvert." De sa propre expérience en remportant la Ligue des champions, Cesar a rappelé que: "Moratti tenait beaucoup à gagner une Ligue des champions, j'ai pu le voir tout de suite, puis Mourinho est arrivé." "Nous avons ressenti la pression sur nous, vous sentez toujours les papillons dans votre estomac dans les matchs importants, quand un joueur cesse de ressentir cela, cela veut dire qu'il n'y a plus cette passion." "Puis quand le match commence, tu es concentré et tu oublies tout." Lorsqu'on lui a demandé entre Onana et le portier de l'AC Milan Mike Maignan qui été le meilleur cette saison, Julio Cesar a répondu: "Qu'il y a toujours eu des comparaisons et il y en aura toujours." "J'aime Maignan, et puis Onana montre pourquoi l'Inter le voulait." "Je sais que c'est un gars très positif et optimiste, et c'est un excellent gardien Onana. "Et quand vous commencez à faire des arrêts décisifs, votre confiance augmente." "Les deux gardiens sont dans une très bonne phase actuellement". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Massimo Moratti : "Berlusconi est un grand homme !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Massimo Moratti s'est livré à Libero en parlant de son père Angelo et de Slivio Berlusconi. Qu'avez vous essayé de copier de votre père ? "J'ai toujours eu en tête la façon de travailler de mon père, sa façon d'être un gagnant et que j'ai pu reproduire... avec difficulté. Pour moi mon père était très important, il représentait un exemple qui m'a permis de voir ce que j'étais à affronter non pas comme une nouvelle expérience mais comme la continuation d'un chemin que nous avions vécu dans notre enfance." "La détermination dans les décisions, se savoir seul quand on les prend et en assumer l'entière responsabilité, mais ce que papa m'a laissé en héritage, c'est définitivement son immense humanité, sa disponibilité pour tous. C'était un homme avec un grand charisme et extrêmement gentil. Il m'a donné la possibilité d'essayer de tirer le meilleur parti de ses qualités que j'ai essayé de faire miennes." En parlant de mécènes, quelle rivalité y avait-il avec le Milan de Berlusconi ? "La rivalité entre nous a été l'un des moteurs qui m'a amené à essayer de bien faire. Quand je suis arrivé en tant que président de l'Inter, Milan était à son meilleur et je devais essayer de m'assurer que mon équipe était au même niveau, si pas supérieure. Avec Silvio Berlusconi il y avait une relation de rivalité footballistique indéniable mais avec une grande sympathie. Dès que j'ai pris l'Inter, je me souviens qu'il a essayé de me prévenir en me disant que Milan lui coûtait beaucoup d'argent. Au départ je n'y croyais pas que c'était une chose si onéreuse et en fait raison. C'est la passion, un sens aigu du devoir qui m'a poussé à aller de l'avant. Une fois cette décision prise, je n'ai pas eu envie de tout abandonner et de changer d'avis. Cela ne fait pas partie de moi. J'ai donc décidé d'aller de l'avant en essayant de donner le meilleur de moi-même." "Berlusconi a tout gagné ! Comment ne pas respecter un tel homme ? Vous pouvez utiliser différentes méthodes mais cela m'a été utile d'essayer de comprendre comment il a réussi à gagner autant. Je crois que l'humilité pour comprendre ce qui se passe autour de vous est fondamentale. Berlusconi a certainement changé les paramètres économiques présents dans le football italien. Depuis son arrivée, les valeurs des équipes de football ont commencé à progresser et les dépenses ont augmenté (rires, ndlr). Après tout, quand on élève la qualité, on ne l'élève pas simplement parce qu'on est poète mais il faut intervenir économiquement." Mieux vaut-il avoir Ronaldo ou Van Basten ? "Je crois que Ronaldo était le joueur le plus fort qui s'est présenté en Italie d'après guerre." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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