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  1. Dans une rencontre en total contrôle, l’Inter aura su prendre son temps et gérer la pression pour parvenir à battre Berisha. Et si en première période, la tête de Matteo Darmian était sauvée in extrémis sur la ligne par la défense de l’équipe hôte, le plus interiste de nos joueurs décochait une mine à l’entrée de la surface de la réparation pour s’offrir l’Eurogol de la semaine et entrer encore plus dans les tablettes de la Serie A Le seul coup de pression arrivera en toute fin de match où le pauvre malheureux Marko Arnautovic se blessa toute seule en pleine course, une blessure sérieuse car évaluée à trois mois. L’Inter se retrouvait donc acculée lors des dernières minutes du match, à dix car tous les remplacements avaient eu lieu, mais elle pouvait faire confiance à son portier, Yann Sommer, qui répond toujours présent lorsqu’il est appelé à sauver les siens Si l’Inter commence déjà à faire l’écart, il faudra confirmer cet envol déjà mercredi à 20h45 en recevant un Sassuolo qui a allumé la Juventus 4-2 A ne pas sous-estimer ! Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Empoli 0-1 Inter Buteur(s): 51' Dimarco Empoli : 99 Berisha; 24 Ebuehi, 34 Ismajli (51' 4 Walukiewicz), 33 Luperto, 3 Pezzella; 18 Marin (69' 21 Fazzini), 22 Ranocchia (69' 5 Grassi), 29 Maleh; 35 Baldanzi; 7 Shpendi (79' 23 Destro), 28 Cambiaghi (79' 20 Cancellieri) Banc: 1 Perisan, 40 Stubljar, 8 Kovalenko, 11 Gyasi, 13 Cacace, 14 Guarino, 19 Bereszynski, 30 S. Bastoni T1: Aurelio Andreazzoli Inter: 1 Sommer; 28 Pavard, 15 Acerbi, 95 A. Bastoni (72' 6 De Vrij); 36 Darmian, 16 Frattesi (72' 23 Barella), 20 Çalhanoğlu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (81' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram (81' 70 Sanchez), 10 Lautaro Martinez (72' 8 Arnautovic) Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 2 Dumfries, 14 Klaassen, 21 Asllani, 31 Bisseck, 42 Agoume, 50 Stankovic T1: Simone Inzaghi Arbitre: Marcenaro VAR: Valeri Averti(s): Acerbi (I), Pezzella (E), Maleh (E), Accardi (ds Empoli), A. Bastoni (I) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. D'après Sky Sport Italia, via FCInter1908, Henrikh Mkhitaryan et Alessandro Bastoni pourraient tous les deux prendre du repos. Car l'Inter a seulement joué son dernier match de Série A dimanche après-midi mais les Nerazzurri sont de retour en action immédiatement: Demain, l'Inter affrontera Sassuolo au Giuseppe Meazza. "Après un départ qui a vu l'équipe prendre une pleine semaine de repos et récupérer entre les matchs, la réalité de jouer tous les trois jours, ou moins, commence pour les Nerazzurri. Et une part de cette réalité signifie faire tourner l'équipe. L'entraîneur de l'Inter, Simone Inzaghi, a d'ailleurs changé l'équipe pour leurs deux derniers matchs: Le coach lança plusieurs joueurs pour leurs grands débuts contre la Real Sociedad en Ligue des Champions et avant-hier contre Empoli, l'entraîneur a donné du repos à deux joueurs clés: Nicolò Barella & Denzel Dumfries pour débuter pour Inter Vs Sassuolo." "Nicolò Barella sera donc le premier joueur à revenir dans le onze de départ de l'Inter face aux Neroverdi, le joueur de 26 ans est sorti du banc dimanche au stade Carlo Castellani mais jouera dès la première minute. Ce sera Henrikh Mkhitaryan qui fera de la place pour Barella et cela signifie que Davide Frattesi gardera sa place. Les deux internationaux italiens pourront confirmer l'affirmation d'Inzaghi, qu'ils sont capables de jouer ensemble." "Dans le même temps, Dumfries va remplacer Matteo Darmian sur le flanc droit et en défense, Stefan de Vrij débutera tout comme Benjamin Pavard. Francesco Acerbi pourrait également commencer, mais sur la gauche, ce qui permettrait à Alessandro Bastoni de souffler. Enfin, Sky s'attend à ce que Federico Dimarco ou Carlos Augusto soit en balance pour commencer sur le côté gauche de l'Inter." ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  3. Simone Inzaghi, auteur d’un début de saison cinq étoiles, s’est livré au terme de cette cinquième journée de Serie A, qui voit l’Inter présenter un bilan de 15/15 au classement pour 14 buts inscrits et 1 but encaissé. "Nous avons fait preuve d’une excellente approche et de patience, nous nous sommes créés tellement d’occasions, mais nous ne sommes pas parvenus à marquer et nous avons dicté le rythme de jeu dans le dernier quart d’heure de la première période de la rencontre. Nous avons eu, à nouveau, une très bonne approche en seconde période et le but de Dimarco nous a bien aidé." Arnautovic ? "Il réalisera des examens médicaux dan les prochains jours. C’est la seule mauvaise nouvelle de la journée car il s’intégrait de la meilleure des façons, il a ressenti une douleur vive dans le fléchisseur, il faudra évaluer la situation dans les prochains jours." Pavard ? "Il a proposé de très bonnes choses sur l’aile droite : Avec Matteo, ils ont été très bons. Il est arrivé très motivé et il s’est immédiatement intégré à notre façon de jouer. Je connais sa valeur et c’est une excellente acquisition, il doit continuer de la sorte." Y-a-t ’il des solutions pour l’attaque ? "Arnautovic est une perte importante, vous savez à quels points il est important d’avoir 4 attaquants dans le système de rotation: Il faudra clairement évaluer la situation. Il y a aussi Klassen et Mkhitaryan qui peuvent monter dans l’échiquier et occuper le poste de second attaquant mais j’attends le retour d’Arnautovic le plus rapidement possible, tout comme celui de Sensi, qui est un autre joueur qui nous sera utile dans la saison." "L’Inter n’avait aucun message à lancer, nous sommes bien parti en Championnat mais nous n’avons joué que cinq matchs, tout peut changer, nous devons garder la même motivation et la même concentration : Il y a tellement de matchs et nous devrons toujours faire preuve d’attention: Je suis très satisfait, mes joueurs savent que j’ai besoin d’eux et tous sont motivés, ils savent que chacun de leur entrainement doit me mettre en difficulté, car tous veulent jouer et donner un coup de main à l’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Ces derniers jours, Samir Handanovic s’est livré à une interview, en toute franchise, à la Gazzetta Dello Sport . Son retour à l’Inter "Avant tout, j’ai arrêté de jouer et je suis en paix et heureux comme ça, je place ma Famille par-dessus-tout. A présent, le second chapitre de ma vie débute et je peux vous dire que le club et moi-même souhaitons continuer, ensemble dans un nouveau rôle et que toutes les conditions sont réunies pour que cela se produise. Au-delà de tout, je raisonne avec une vision toujours plus grande : Pour le bien de l’Inter." Samir l’entraineur ? "Cela peut vous sembler étrange au début, car je suis encore dans une bonne condition physique et que j’aurais pu faire une autre année, mais lorsqu’on fait le compte, c’est quelque chose de normal, je n’ai aucun regret et j’ai les idées claires : Tôt ou tard j’aimerais devenir entraîneur, mais pas celui des gardiens mais l’entraineur à 360°." Son rapport avec Onana "Ses remerciements m’ont fait plaisir, mais je n’ai pas aimé son comportement lors de ses deux premiers mois ici, lorsqu’il ne jouait pas. Ensuite, il m'a toujours dit la vérité, il a toujours été direct avec moi. J’ai toujours été cohérent avec lui et je l’ai même aidé. Mais personne n’a jamais dit que l’année dernière j’ai eu des blessures qui m’ont pénalisé : un poignet cassé, un doigt cassé et un mollet en tension. Mais j’étais toujours sur le banc, même si j’étais indisponible. Je ne me dresserais jamais contre le club, j’ai un sentiment d’appartenance envers le Club et envers les Tifosi." Captain Argentina "Lautaro a toutes les qualités, mais il doit être soutenu par un groupe de Leaders qui tirent la charrette dans le même sens que lui. Je fais référence au Bloc Italien qui connait bien la Serie A et l’ADN du Club, je me réfère à Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Matteo Darmian, et à Federico Dimarco”. Le Derby Della Madonnina "C’est le Derby le plus beau du Monde, Dans ces match, le Meazza propose une énergie unique, il te fait bouillir la pelouse et te fait tourner le vent : Tu peux être riche et célèbre, mais jamais rien ne te donnera ce frison: Celui d'être dans un Volcan en ébullition : Je le chérirai toute ma vie." L’Inter 2023/2024 "Marcus Thuram et Davide Frattesi sont d’excellents joueurs talentueux capable de s’insérer en toute facilité. L’Inter présente plus de certitude, comme je vous l’ai dit auparavant, nous avons construits des fondations solides, tous ensemble !" Sommer "Notre but est entre de bonnes mais: Sommer est un très bon gardien qui est très doué. Il y a aussi Audero qui est talentueux et qui a la juste ambitionne après tant d'années en Serie A. Être le gardien de l'Inter n'est pas un métier facile, seul le temps peut te permettre d'établir un jugement." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Arrivé à l'Inter en remplacement d'André Onana, Yann Sommer a du temps devant lui pour convaincre les Tifosi de la justesse de son choix. Dans une longue interview accordée à la Gazzetta Dello Sport, le gardien helvétique s'est livré sur les raisons de son arrivée chez la Bien-Aimée : "Car l'Inter, c'est... l'Inter. Elle signifie Tradition, Force et Excellence. Quand j'ai choisi les Nerazzurri, j'ai analysé toute la situation : L'entraîneur, l'entraîneur des gardiens, le style de jeu, le stade, les supporters, la vie dans la ville pour ma famille et j'ai compris que c'était l'endroit idéal pour moi." Aviez-vous peur que le transfert capote ? "Je n'ai jamais eu peur de ne pas venir, j'ai toujours été calme pendant les négociations. Je ne sais pas comment les choses se sont passées entre les deux clubs, mais je savais que je voulais l'Inter et j'étais confiant." Votre avis sur les gardiens du passé ? "De Julio Cesar à Francesco Toldo, en passant par Samir Handanovic et André Onana. A l'Inter, il y a toujours eu des gardiens forts et courageux et je veux aussi être à la hauteur. Avec Handanovic et Onana, je n'ai jamais échangé, ce sont deux gardiens avec des caractéristiques différentes, chacun d'entre nous a son propre style. En plus d'être gardien de but, j'aime jouer depuis l'arrière et être fondamental pour surmonter la ligne d'attaque de l'adversaire." Le Derby au Meazza "Le derby, c'est vraiment sérieux. Le Meazza un stade que j'aime déjà, excitant, bruyant, amusant, et beaucoup m'ont dit qu'il était unique. Les Derby sont tous spéciaux, mais celui-ci est unique vu la profondeur des deux équipes et pour sa profondeur de l'Italie. J'ai hâte de le jouer, ce sera un match passionnant, que tout le monde attend. Mais c'est une confrontation spéciale, unique qui arrive très tôt. Nous avons une longue saison devant nous et tout peut arriver. Il y a aussi d'autres rivaux pour le Scudetto, et comme je suis encore nouveau en Italie : je ne peux pas encore faire de prédictions et de classement". Thuram et Pavard ? "Marcus a un potentiel de classe mondiale et j'espère qu'il fera son chemin jusqu'ici. Il a un physique exceptionnel, de la technique et surtout de l'intelligence. Qu'il attaque en un contre un, qu'il joue en combinaison avec Lautaro ou qu'il s'arrête dans la surface, il est reste dangereux pour l'adversaire. La mentalité que lui a transmise son père est également importante, c'est aussi un bon garçon en dehors du terrain, toujours souriant et positif." "Benjamin est arrivé dans une équipe qui dispose déjà d'une grande défense, il est très complet, il sait lire les situations, il marque avec le ballon car il "voit" le but. Au Bayern, il occupait un poste plus latéral et maintenant il jouera dans un poste plus central dans un dispositif différent: Et c'est toujours bien d'avoir des joueurs capables de jouer dans autant de poste. S'il a choisi l'Inter, c'est parce que c'est un grand club." "La défense de l'Inter me donne un sentiment de sécurité. De Bastoni à Darmian, ils se déplacent tous comme un seul homme, ils sont compacts et savent trouver leur position. Leur langage corporel est également impressionnant. C'est un bel avantage pour un gardien de but, alors bien sûr, des tirs au but vont m'arriver et quand ce sera le cas, je vais devoir faire mon travail." Que craignez-vous du Milan ? "Tous les attaquants sont forts. Maintenant, je les étudie en détail, comme Leao, j'ai l'habitude de me préparer avec l'entraîneur via des vidéos pour essayer de lire toutes leurs occasions sur le terrain." Pensez-vous que ce qu'il s'est passé en Ligue des Champions la saison dernière peut se reproduire ? "La Ligue des champions est une compétition difficile pour tout le monde, elle est unique. Il faut réunir tous les éléments pour aller au bout : Il y a les petits détails, la forme du moment et même un peu de chance. L'année dernière, l'Inter a joué exceptionnellement bien et méritait d'aller la finale. Pourquoi ne pas répéter cette performance ?" Aimeriez-vous gagner avec autant de souffrance que vous l'avez fait l'année dernière en Bundesliga ? Est-ce que c'est plus beau ainsi ? "Tous les sportifs vivent pour ces sentiments que procure la victoire, qu'elle soit "tranquille" ou "mouvementée". La saison, au Bayern a été complexe et pleine de défis à surmonter , nous avions changé beaucoup de choses, de la Direction à l'entraîneur, et c'est ce qui nous a amené à vivre ce choc en in de saison." Pavard, comme vous, voulait absolument rejoindre l'Inter cet été... "Je dirais que c'est un bon signe, non ? Et cela ne m'a pas surpris. J'aurais peut-être pu être surpris avant de venir ici, mais maintenant que j'y suis, tout est clair : C'est vraiment un grand club". Au fait, est-ce que cette photo vous dit quelque chose ? (nous montrons l'image de Jorginho après l'un des deux penalties manqués contre lui) ? "Il rit. Tout le monde s'en moque de ces matches, et je jouais avec la Suisse ! J'en ai aussi paré un à Mbappé à l'Euro, dans un autre moment de grande pression pour nous deux! Un penalty est une question de sensations, de moments où il faut prendre la décision, c'est un défi mental et technique". Où avez-vous appris à jouer si bien de la guitare ? "À l'âge de 18 ans, j'ai suivi un cours avec un professeur, parce que j'avais besoin d'une autre passion, de faire quelque chose à la maison pour me déconnecter du monde et me détendre. Ma guitare est encore en Allemagne, mais elle arrivera bientôt à Milan, même si, avec deux enfants en bas âge, j'ai moins de temps qu'avant". Qui écoutez-vous en particulier ? "J'aime John Mayer et surtout Bruce Springsteen. Je n'ai pas encore réussi à assister à l'un de ses concerts. Cette année, à Zurich, il y a joué pendant trois heures : c'était incroyable. S'il vient au Meazza, je serai là". Vous avez aussi une autre grande passion: La cuisine ? "Il y a quelques années, j'ai même tenu un blog, mais mon intérêt était de montrer ce que mange un sportif de haut niveau. J'aime bien manger, goûter à tout, et disons que je suis dans le bon pays". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  6. Une version "2.0" qui pourrait rimer avec le "20"ème Scudetto, car l’Inter a débuté de la meilleure des manières cette nouvelle saison, avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’un Vice-Champion d’Europe! Voici l’analyse de la Gazzetta Dello Sport qui fait suite aux trois victoire en trois matchs et une première place en compagnie du Milan avec le maximum de points avant le Derby de la Madonnina de la reprise: "L'Inter n'a pas encaissé de but en trois journées, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 57 ans, avec Helenio Herrera assis sur le banc. De plus, personne d'autre dans le Big 5 des meilleurs championnats européen n'a réussi à faire la même chose. Simone Inzaghi peut par-dessus tout être satisfait de la façon dont l'Inter se défend car elle n’est jamais placée dans une situation de crise, jamais mise en difficulté et Yann Sommer en est le premier reconnaissant, lui qui peut se sentir comme au Paradis dans la cage de l’Inter." "Ce zéro est savoureux car il gomme les doutes, il rassure: Lors de la tournée estivale, et alors que la tournée au Japon battait son plein, l'entraîneur et le club ont tenu à comprendre où investir la majeure partie des fonds restants. Et l'idée qui est ressortie très clairement de cette réunion était la suivante : "Nous avons besoin d'un défenseur. Nous devons nous occuper de cet aspect, parce que par caractéristiques, nous sommes une équipe qui n'aura jamais de problèmes pour marquer des buts". C’est pour cette raison que Benjamin Pavard est arrivé, avec un investissement de 30 millions d'euros." "Mais le travail va au-delà du Français, qui n'a d'ailleurs jamais été vu sur le terrain jusqu'à présent. Il va même au-delà d'Acerbi, le meilleur joueur de ce secteur la saison dernière, aujourd'hui encore à zéro minute de jeu à cause d'une blessure: Le travail est global, l’Inter différente car elle a changé sa façon de jouer par rapport à la saison dernière." "Et les différences ont également profité à sa phase défensive. L'Inter a très vite appris à attaquer l'adversaire en haussant son pressing. L’année dernière, lorsqu’elle avait tenté de le faire, elle n’y était pas parvenue lors de la première partie de la saison, mais aujourd'hui, le timing est parfait, le pressing est exercé en équipe et, sans surprise, avec une récupération du ballon est beaucoup plus importante et surtout, cela marche et la défense n’est presque jamais en difficulté." "L'autre clé réside dans le travail réalisé les milieux de terrain. Car même si l'équipe adverse parvient à surmonter cette première phase de pression, l'écran de protection offert par Çalhanoğlu et ses compagnons est remarquable et ce n'est pas un hasard si nous parlons de Çalhanoğlu : Sa qualité de construction du jeu ne fait l'objet d'aucun doute et ce début de saison met en évidence une capacité de couverture surprenante et pas seulement au niveau de ses tacles, pas uniquement dans les contre-attaques : l'ancien joueur du Milan se montre également exceptionnel dans la lecture des lignes de passe adverses." "Il y a finalement les individualités tel que Darmian qui est un véritable ordinateur de fiabilité : Pavard aura vraiment du mal à prendre sa place. De Vrij est redevenu le défenseur du Scudetto sous Conte, physiquement en forme, mentalement toujours sur le ballon. Et enfin Bastoni, n'a jamais baissé son niveau de concentration et a également progressé en termes de marquage." "Sans oublier le lourd héritage dont hérite Yann Sommer, un héritage qu’il a repris avec l'aisance des plus grands. Son nom n'est peut-être pas celui des couvertures de presse et son style n'attire pas l'œil des photographes. Mais derrière l'invincibilité de l'Inter lors des trois premières rencontre, on retrouve également le gardien suisse qui a été le Visage du cauchemar du dernier échec mondial de notre équipe nationale pour nous, les Tifosi." "Après le bref règne d'André Onana, il semblait difficile de trouver un nouveau numéro un capable de se mettre immédiatement au diapason de cet environnement et auprès des Tifosi, mais Yann Sommer a réussi le faire à sa manière : avec discrétion et travail. Yann a déjà convaincu le monde Nerazzurro en trois matches. A Cagliari, il a démontré l’étendue de son talent pour parer le tir d’Azzi, contre la Fiorentina, il a bloqué Sottil à deux reprises." "Derrière la Muraille défensive l'Inter présente un nouveau gardien, expérimenté et fiable: Et ce n'était pas gagné d'avance" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. En effet, si l’international français espérait débuter face à la Fiorentina, celui-ci est resté sur le banc de Simone Inzaghi qui dispose d’un plan bien précis à son sujet. Comme le souligne Tuttosport: "Il est difficile d’imaginer qu’il pourra être déjà titulaire lors du Derby à la reprise du championnat, mais cette nouvelle phase de la saison, qui débutera le samedi 16 septembre avec une vision sur la Seconde Etoile, verra le système de rotation de l’Inter débuter avec les premières modifications du onze titulaire en respect aux trois première journées de championnat" Et l’une des principales alternatives dans la formation se nomme Benjamin Pavard qui représente l’acquisition la plus chère de cette fenêtre du mercato italien, soit 30 millions d’euros plus bonus versé par l’Inter au Bayern de Munich: "Le défenseur s’est retrouvé sur le banc car il n’avait réalisé que trop peu d’entrainements à la Pinetina et il était difficile de l’imaginer déjà disposer des automatismes du jeu de Simone Inzaghi. C’est également pour cette raison que l’entraineur italien espérait l’avoir le plus vite possible, afin de pouvoir faire usage des dernières semaines sans engagement européen pour travailler sur l’aspect tactique et lui faire apprendre rapidement les nouveaux mouvements de jeu." Simone Inzaghi est plus que convaincu par Pavard car le Champion du Monde 2018 sera fondamental dans le secteur centre-droit de la défense, lui qui pourrait en imposer autant qu'Alessandro Bastoni en poste de centre-gauche "mais il ne lui sera toutefois pas facile de faire face à l’extraordinaire application défensive mis en avant par Matteo Darmian, depuis qu’il a été appelé à remplacer Milan Skriniar, la saison dernière, à ce poste." Aucun choix n’est définitif et les joueurs alterneront et "Pavard s’avérera aussi important lorsqu’il sera utile que Bastoni soit laisséu repos, afin de maintenir au plus haut niveau, le rempart défensif au niveau de sa construction." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Après une entame de championnat réussie face à Monza à Giuseppe Meazza, l'Inter se déplaçait en Sardaigne pour y affronter le Cagliari de Claudio Ranieri, fraîchement promu, dans le cadre de la 2ème journée de Serie A. Et c'est avec une grande maîtrise que les hommes de Simone Inzaghi ont triomphé. C'est avec le même onze que celui aligné face à Monza que l'Inter se présente à la Sardegna Arena : Sommer entre les poteaux, Bastoni - De-Vrij - Darmian en défense centrale, le néerlandais palliant l'absence d'Acerbi, l'habituel milieu Mkhitaryan - Çalhanoğlu - Barella, avec Dimarco et Dumfries sur les côtés, et le tandem Lautaro - Thuram devant. Et dès le coup d'envoi, les Sardes annoncent la couleur : bloc mi-haut et remarquable combativité. Mais ce scénario ne durera hélas guère longtemps pour Cagliari. L'Inter, faisant preuve d'une telle sérénité à la relance, reprend progressivement le dessus sur la fougue Sarde. Elle maîtrise parfaitement le tempo du match, et reste audacieuse face au but, à l'image de la volée manquée de Barella à la 5'. Elle se projette superbement, bien aidée par les décrochages successifs de Thuram. L'Inter ne tarde alors pas à élever l'intensité, avec notamment une reprise de Lautaro échouant sur le poteau gauche du portier de Cagliari. L'Inter ne laisse que des miettes aux attaquants adverses : une tête manquée de Pavoletti, ainsi qu'une frappe totalement dévissée de Nandez. Cette domination des Nerazzurri se concrétise à la 21' : Thuram récupère le ballon suite à une passe imprécise, se décale côté droit, et sert Dumfries : celui-ci finit d'une frappe imparable, croisée et dans le petit filet. L'Inter mène 1 but à 0 et vient de se faciliter grandement la tâche. Cependant, l'Inter est coupable d'une dangereuse inattention, laissant Nandez filer au but. Il faut une somptueuse intervention de Çalhanoğlu pour interrompre le mouvement Sarde et leur refuser l'égalisation. Ceci fait, l'Inter remet le pied sur l'accélérateur : projections, combinaisons et contre pressing haut permettent à l'Inter de se mettre à l'abri. Joli une-deux côté gauche entre Dimarco et Thuram, l'Italien percute puis sert Lautaro : notre capitaine se saisit du ballon, et d'un subtil crochet, vient éliminer son vis à vis. Dès lors, il n'a plus qu'à ajuster le portier adverse d'une frappe ras de terre (que le football est simple pour El Toro <3). L'Inter mène alors 2 buts à 0, et a fait le plus difficile. De l'autre côté, les Sardes voient leur capitaine Pavoletti sortir, remplacé par le dynamique Luvumbo. Ce dernier s'illustre dès lors par sa percussion et son imprévisibilité. L'Inter clôt alors tranquillement la 1ère mi-temps, forte d'un avantage de 2 buts. Au retour des vestiaires, la volonté Interiste est clairement établie : contrôler la fin de match et ne pas se mettre en danger. Thuram satisfait par sa capacité à faire jouer ses coéquipiers, grâce à une excellente qualité technique : ses contrôles sont fluides et ses passes bien senties. Au fil des minutes, le rythme ralentit : les Sardes, bien qu'ayant fait monter leur bloc, sont anesthésiés par la troublante maîtrise de l'Inter. Inzaghi effectue un triple changement à 20 minutes du terme de la rencontre : Dumfries, Dimarco et Barella cèdent respectivement leur place à Cuadrado, Augusto et Frattesi. Par ailleurs, l'ancien de Cagliari est applaudi à sa sortie par ses anciens supporters : une bien belle image. Mais les joueurs de Ranieri n'abandonnent pas : ils montent d'un cran en intensité et sont même proche d'obtenir un pénalty, par l'intermédiaire de Luvumbo. L'Inter doit son salut à un joli retour de Bastoni. Inzaghi effectue ensuite ses deux derniers changements : Arnautovic prend la place d'un très bon Thuram, tandis que Sensi remplace un Mkhitaryan moins en vue, souvent rattrapé par Çalhanoğlu, et victime d'un coup au genou. L'Inter termine son match tout en maîtrise, Çalhanoğlu heurtant le poteau droit en conclusion d'un beau mouvement collectif. Mais Luvumbo met encore la pagaille dans la défense : son centre, dévié, arrive dans les pieds de Azzi. Celui ci contraint Sommer, jusque là assez tranquille, à la parade. Les esprits s'échauffent quelque peu, puis l'arbitre, M. Michael Fabbri, siffle la fin du rendez-vous au terme des 5 minutes de temps additionnel. Match extrêmement sérieux de la part de nos Nerazzurri, ayant su se mettre à l'abri tôt pour confirmer une deuxième victoire de rang, ainsi qu'un second clean-sheet. Rendez-vous dimanche prochain, 18h30 à Meazza pour le premier test de la saison, et la réception de la Fiorentina d'Italiano. Tableau Récapitulatif Résumé Cagliari 0-2 Inter Buteur(s): 21' Dumfries (I), 30' Lautaro (I) Cagliari (4-2-3-1): 1 Radunovic; 27 Augello, 33 Obert, 4 Dossena, 28 Zappa (85' 61 Shomurodov); 25 Sulemana (85' 14 Deiola), 29 Makoumbou; 21 Jankto (60' 37 Azzi), 8 Nandez, 19 Oristanio (45' 99 Di Pardo); 30 Pavoletti (35' 77 Luvumbo) Banc: 22 Scuffet, 10 Viola, 14 Deiola, 39 Kourfalidis, 18 Aresti, 37 Azzi, 16 Prati, 77 Luvumbo, 3 Goldaniga, 61 Shomurodov, 99 Di Pardo Entraîneur: Claudio Ranieri Inter (3-5-2): 1 Sommer; 95 Bastoni, 6 De Vrij, 36 Darmian; 32 Dimarco (71' 30 Augusto), 22 Mkhitaryan (82' 5 Sensi), 20 Çalhanoğlu, 23 Barella (71' 16 Frattesi), 2 Dumfries (71' 7 Cuadrado); 9 Thuram (77' 8 Arnautovic), 10 Lautaro Banc: 8 Arnautovic, 31 Bisseck, 34 Agoumé, 7 Cuadrado, 21 Asllani, 49 Sarr, 50 Stankovic, 5 Sensi, 48 Guercio, 12 Di Gennaro, 77 Audero, 30 Augusto, 16 Frattesi Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Michaele Fabbri Averti(s): 81' 22 Mkhitaryan (I), 81' 77 Luvumbo (C) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  9. Damien

    Memories

    Souvenirs de Cagliari avec Darmian
  10. Nom : Darmian Prénom : Matteo Poste : Défenseur Date de naissance : 02/12/1989 Lieu de naissance : Legnano Pays : Italie Taille : 183cm Poids : 70 Kg Numéro de maillot : Au club depuis : Septembre 2020 Position sur le terrain Biographie Matteo Darmian, né le 2 décembre 1989 à Legnano, est un footballeur international italien d'origine arménienne qui évolue au poste d'arrière latéral au Parme Calcio. Carrière en Clubs AC Milan Matteo a donné ses premiers coups de pied dans un ballon dans sa ville natale, à Rescaldina (MI), où l'entraîneur était son père Giovanni. [5] Il a ensuite grandi dans l'académie Jeunesse de Milan, un club dans lequel celui qui l'a découvert Beniamino Abate a joué un rôle dans le staff technique. Darmian a fait ses débuts absolus avec les Rossoneri avant même d'avoir 17 ans, le 28 novembre 2006 dans le match de Coppa Italia Brescia-Milan (1-2), entrant après la mi-temps pour remplacer Kakhaber Kaladze. Les débuts en Serie A ont eu lieu à l'âge de 17 ans, à Milan-Udinese (2-3) le 19 mai 2007, lorsqu'il est entré à la 67e minute pour remplacer Giuseppe Favalli. Au cours de la saison 2007-2008, il est repris dans l'équipe-première mais n'est pas utilisé. Durant cette période, il devient le Capitaine et le leader de l'équipe de Primavera. Avec celle-ci, il dispute 25 matchs avec un but en championnat lors de la saison 2007-2008. Le 21 décembre 2008, il monte au jeu lors de la seconde période mettant aux prises le Milan et l'Udinese (5-1). Il s'agit-là de sa deuxième apparition en Serie A, un an et sept mois après la première. Son aventure milanaise se terminera par 4 apparitions dans l'élite. Calcio Padova Le 17 juillet 2009, à l'âge de 19 ans, l'AC Milan l'a prêté à Padova en Serie B. Le 30 juillet 2009, il a été opéré suite à une fracture du scaphoïde de son pied gauche, ce qui l'a empêché de disputer les premiers mois de la saison.'entrer dans les premiers mois de la saison. Le 28 novembre 2009, il a fait ses débuts sous le maillot de Padova en Serie B lors du duel Padova-Vicenza (1-2). Il y remplacera Andrea Soncin à la 35e minute. Le 20 février 2010, il a marqué son premier but professionnel lors d'Ancona-Padova (2-2), un match valable pour la 26e journée. En fin de saison, son club se maintient en Serie B après un play-out face à Triestina. Le 24 juin 2010, Padova a annoncé la fin du prêt et, par conséquent, le retour du joueur à Milan. Il conclut sa première année en plein essor chez les professionnels avec 22 apparitions en championnat et 1 but. il aura joué également un match avec l'équipe Primavera. US Palerme Le 12 juillet 2010, Darmian est acheté en copropriété par Palerme , qui l'avait déjà inclus dans la liste des joueurs appelés pour le stage de pré-saison la veille du jour de son transfert. L'achat est acté à la Lega Serie A deux jours plus tard. Il a fait ses débuts avec le maillot rosanero le 16 septembre 2010 en jouant comme titulaire dans le match de la Ligue Europa Sparta Prague-Palerme (3-2), il s'agira de ses débuts dans l'absolu en Coupe d'Europe. Ses débuts en Serie A interviennent lors de la quatrième journée du championnat, en remplaçant Javier Pastore à la 92e minute lors de la victoire à l'extérieur pour 3-1 contre la Juventus. Le 6 février 2011, il disputait son premier match en tant que titulaire en championnat, lors du match à l'extérieur remporté contre Lecce pour 4-2 valable pour la 24e journée. Il sortira à la 33e minute sur blessure suite à distraction musculaire au premier degré du fléchisseur de la cuisse droite . Il clôturera sa saison positivement avec 16 apparitions réparties entre la Serie A, la Coppa Italie (perdue en finale contre l'Inter 3-1) et la Ligue Europa. Torino FC Après le renouvellement du partenariat entre Milan et Palerme le 23 juin 2011, le 12 juillet suivant, il est prêté à Turin, en Serie B. Il a fait ses débuts sous le maillot grenade le 13 août à l'occassion de Torino-Lumezzane (1-0) dans un match comptant pour le deuxième tour de la Coupe d'Italie. Il a marqué le premier but de Torino-Empoli lors de la 12e journée du championnat, ce qui a permis à son équipe de l'emporter pour 2-1. Lors de Bari-Turin (1-1) de la 15e journée, disputée le 13 novembre 2011, il est victime d'une une lésion du labrum cotyloïde avec épanchement endoarticulaire. En fin de saison, Torino est promu en Serie A. Il y aura disputé 33 matchs en championnat et 1 en Coupe d'Italie. Le 20 juin 2012, Palerme a racheté l'autre moitié de la carte du joueur de Milan pour 500 000 euros et le 5 juillet suivant, son retour à Turin a été officialisé avec la formule de copropriété pour 850 000 euros. Avec le Torino, il joue 30 parties en Serie A et 2 en Coupe d'Italie. Le 20 juin 2013, Torino acquis entièrement le joueur en déboursant 675 000 euros supplémentaires à Palerme. De façon globale, le Torino aura payé le joueur un peu plus de 1,5 millions d'euros. Lors de la saison 2013-2014, il a joué 37 matchs en Serie A en terminant par par une qualification pour l'UEFA Europa League après l'échec de l'octroi de la licence UEFA à Parme. Il comptera une titularisation en Coupe d'Italie Lors de sa première apparition dans la saison 2014-2015, le 7 août 2014, Matteo marque son premier but international lors du match retour du troisième tour de qualification de l'UEFA Europa League, une victoire 4-0 à domicile contre les Suédois de Brommapojkarna; le second arrive le 11 décembre de la même année, face à Copenhague. Il marquera également lors de la manche retour du seizième de finale de la coupe, le but décisif qui permettra au Torino de vaincre l'Athletic Bilbao 3-2 à San Mamès, le club est le premier club italien dans l'absolu à yparvenir. Il marquera également son dernier but de la saison lors d'un Derby Della Mole remporté après 20 ans de disette. Au total, avec le maillot du Torino, il aura disputé 151 matchs et marqué 6 buts. Manchester United Le 11 juillet 2015, il rejoint officiellement Manchester United contre un chèque de 18 millions €. Il signe un contrat de 4 ans (+1 an en option). Il marque son premier but d'une sublime volée contre Crystal Palace. Après une première saison compliquée à cause de problèmes d'adaptations, Matteo Darmian affiche une bien meilleure copie lors de la saison 2016-2017. Saison bien meilleure grâce aux nombreux succès des Mancuniens et à des performances plus rassurantes de sa part. Il est d'ailleurs titulaire lors de la finale de Ligue Europa 2017 remportée par les Mancuniens, il réalise un très bon match et soulève le premier trophée majeur de sa carrière. Parma Le 2 septembre 2019, il est transféré à titre définitif à Parme. Le 15 du même mois, il fait ses débuts avec les Emilians dans un match à domicile perdu contre Cagliari (1-3), fournissant à Antonino Barillà une passe décisive pour le but des parmesans. Le 25 juillet 2020, il a marqué son premier but avec Parme à l'occasion de la victoire 2-1 à domicile contre Brescia. En tout, il comptabilisera 34 apparitions, pour 1 but et 1 passe décisive. Internazionale Après une période de négociation, facilitée par la bonne entente liant Parme à l'Inter, il est transféré dans le courant du mois de septembre 2020. Il y retrouvera son mentor Antonio Conte qu'il a connu en équipe nationale italienne. Equipe Nationale Matteo Darmian atteint la finale du championnat d'Europe des moins de 19 ans 2008, en étant battu par l'Allemagne. Il joue son premier match en équipe d'Italie le 31 mai 2014 contre la République d'Irlande. Convoqué en équipe nationale lors du dernier match amical de préparation avant la Coupe du monde au Brésil, il figure le lendemain dans la liste des 23 joueurs retenus. Il fait donc partie de la Squadra Azzurra lors du mondial. Il joue trois matchs lors de cette compétition : contre l'Angleterre, le Costa Rica et l'Uruguay. Il inscrit son premier but avec l'équipe d'Italie le 10 octobre 2015 contre l'Azerbaïdjan, lors d'un match comptant pour les éliminatoires du Championnat d'Europe 2016. Le Saviez-Vous ? Matteo Darmian est en couple avec Francesca Cormanni. Ils se sont marié le 14 juin 2017 et sont les parents d'un petit Achile Palmarès Club Milan Vainqueur de l'UEFA Champions League: 2006-2007 Vainqueur de la Super Coupe de l'UEFA en 2006 Vainqueur de la Coupe du Monde des Club en 2007 Manchester United Vainqueur de la Coupe d'Angleterre 2015-2016 Vainqueur du Community Shield 2016 Vainqueur de la Coupe de la Ligue 2016-2017 Distinctions personnelles Gran Galà del calcio AIC: 2 Equipe-Type de l'année de l'Année : 2014, 2015 Pallone Azzurro: 2014 Parcours: En Club 2006-2009: Milan 2009-2010: Padova 2010-2011: Palermo 2011-2015: Torino 2015-2019: Manchester United 2019-2020: Parma Septembre 2020: Internazionale En Sélection 2006: Italia U-17 2006: Italia U-18 2007-2008: Italia U-19 2008-2010: Italia U-20 2009: Italia U-21 2014-2017: Italia ©Wikipedia & Antony Gilles - Internazionale.fr Fiche complète du joueur
  11. Matteo Darmian, l’international italien et défenseur de l’Inter s’est livré au Corriere Della Sera suite à la victoire de l’Inter sur le Paris-Saint-Germain Il est toujours attendu depuis 2018 "Nous avons subi leur jeu de passe lors du premier quart d’heure. Il nous reste une vingtaine de jours pour améliorer les choses. Nous ne voulons plus commettre l’erreur de la saison passée et nous voulons bien démarrer immédiatement : Notre bloc est resté le même et nous aidons les nouveaux à s’intégrer." Frattesi ? "Je le connais déjà bien, le groupe italien, à l’Inter, est important depuis de nombreuses années." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. A travers sa vidéo diffusée sur son canal YouTube, ce mardi, Luca Mastrangelo s’est offert le renégat slovaque "Bravo, bravo bravo, tu as bien fait le faux jeton. Tu te retrouves bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge psychopathe.Toi, je vais te surnommer à présent, le Slovaque "Finto Buono" qu’on peut traduire par un faux-jeton. Lorsque l’on ne savait pas ce qu’il se passait, comme dans l’histoire récente de Lukaku, lorsque l’on ne sait pas où vous alliez apparaitre, lors vous faisiez usage de termes cryptique, de mystères: Vous avez toujours fait croire aux Tifosi des choses au point que le Tifoso se disait "Mais le pauvre"…. Vous avez joué sur le fait que le peuple avait de l’affection pour vous, qu'il vous voulait du bien, et en faisant usage de phrases mystérieuses pour le Tifoso, ceux-ci se disaient "Mais non le pauvre , il doit forcément se passer quelque chose dont je ne suis pas au courant, il ne peut pas être aussi mauvais, non." Non, Faux-jeton, non le Slovaque Faux-Jeton, tu te retrouves bien avec le Belge Psychopathe et l’Argentin simulateur de maladie, vous être fameux, 3 Fameuses merdes et même si je ne vous souhaiterai jamais, car je ne suis pas comme ça, du mal sur votre intégrité physique, mais j’espère qu’au niveau sportif vous ferez vraiment de la vraie merde, à m’en saigner les deux mains. Skriniar, vu comment ça s’est passé, je n’ai plus envie d’argumenter, mais aujourd’hui j’ai pris l’air, et je vous montrerai par après où je suis allé et ce que je me suis acheté. regardez bien la vidéo jusqu’au bout. Mais j'ai regardé aussi mon portable et j’ai vu les déclarations de Skriniar, ses déclarations, pas celle d’un autre, depuis Paris: "Nous avons commencé à parler avec le PSG depuis l’été dernier" et c’est vrai et ici, je n’ai rien pour m’énerver , il y avait une négociation en cours l’été dernier, il aurait aussi pu être vendu. Le fait que tu as parlé avec le PSG l’année dernière n’est pas un problème, ce n’est pas quelque chose qui peut m’énerver. "Finalement je suis à Paris et je suis vraiment très heureux" Et là aussi c’est une bonne phrase, qu’est-ce que tu veux dire, tu es sur place, tu ne vas pas dire : "Je suis dans une équipe de merde, je ne suis pas heureux." Si tu es heureux, bonne affaire pour toi "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doute sur mes intentions" et là, les choses changent, "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doutes sur mes intentions, je voulais venir à Paris, je pensais que c’était fantastique.." Et là tu es vraiment un batard, un conard, tu es vraiment un connard car TOI, tu nous a fais croire à nous quelque chose que tu avais mis en avant, mais mis en avant depuis des mois et jusqu’à fin janvier, jusqu’en février: Que tu étais vraiment indécis que tu n’avais encore pris aucune décision alors qu’ici tu dis "Depuis les premiers contacts, je n’avais aucun doute sur mes intentions" Tu es quelqu’un de FAUX, tu es un faux-jeton, qui est bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge Psychopathe, tu es bien avec eux. "Depuis les premiers contacts, je n’avais pas de doute" avec des Tifosi qui te mettaient des bannières dans la Curva "Resta Con Noi" - "Reste avec Nous". Reste avec nous car ils pensaient, tous croyaient que toi moi-même tu étais indécis, mais en vrai, ça faisait longtemps que tu avais décidé, mais la chose la plus scandaleuse et la plus honteuse est que Toi, tu avais entretemps accepté que le fait que le Club tente de te convaincre par n’importe quel moyen , alors que tu avais déjà accepté depuis le départ, mais tu as continué à faire semblant car tu n’avais pas les couilles de le dire aux Tifosi, aux dirigeants aux équipiers que tu avais déjà pris ta décision, tu n’avais pas les couilles. Que s’est-il passé ensuite ? Le Club t’a offert le brassard de Capitaine pour te montrer à quel point tu comptais pour cette équipe , à quel point tu étais important et TOI, Faux-Jeton, Sous-Merde, tu l’as accepté et tu te l’es mis au bras . Et là, tu as fait croire encore plus au peuple qui t’aime que tu allais devenir le nouveau capitaine et que forcément Nan…Nan.... Si c’est comme tu le dis Toi sous-merde de Slovaque , si comme tu le dis toi-même , que ta décision était prise depuis le début , lorsque l’on a offert le brassard de Capitaine, toi tu aurais du dire NON, non merci, Les gars, je dois vous dire que j’ai déjà pris ma décision : Dans trois, quatre mois, je change d’équipe Et là, le brassard de Capitaine aurait été certainement donné à quelqu’un d’autre, mais tu n’as pas eu les couilles de dire "Non, les gars le brassard de Capitaine je ne la prends pas." Car le Brassard de Capitaine de l’Inter, même si tu pourrais dire l’année dernière, "je n’étais pas le seul à l’avoir porté, car tout le monde l’a vraiment porté", le Brassard de Capitaine n’ets pas une tenue qui chaque dimanche doit passer d’un bras à l’autre , ce n’est pas qu’un bout de tissus, ce brassard qui a été porté par Facchetti, Bergomi, Zanetti, ce n’est pas ça Lorsque l’on t’a donc dit : Tu veux devenir notre Capitaine ? En pensant que tu n’avais pas encore pris ta décision, alors que tu l’avais déjà fait, comme tu l’as dit à présent, Tu aurais dû avoir les couilles de dire : Les gars, Stoppez tout, je dois vous dire quelque chose et tu aurais dû vider ton sac, mais à la place , tu as continué à aller de l’avant: Bravo sous-merde. Je vais d’ailleurs vous présenter ce que j’ai acheté, car grâce à des personnes comme vous qui sont à vomir comme l'Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe et le Slovaque faux-jeton, grâce à des personnes comme vous, j’ai décidé de faire quelque chose , une chose que chaque année, je me dis c’est bon , ce sera pour l’an prochain mais je me fais baiser toujours ensuite. Cette année grâce à l’Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe, et le slovaque faux-jeton, je suis allé à l’Inter Store et je suis allé acheter le second maillot de l’Inter qui est très beau, très cher et je me rends bien compte qu’il y a des personnes qui se disent qu’elles ne savent pas se le permettre car dépenser autant pour un maillot n’est pas donné à tout le monde, je vous montre le prix de 94.99€ pour l’achat . Je l’ai acheté sans nom, car c’est terminé de me faire avoir comme avec l’Argentin simulateur de maladie, le belge psychopathe et ce faux-jeton de slovaque, je me le disais toujours, mais chaque année, je ne le faisais jamais. De plus, en faisant mettre le nom, le numéro et le patch que l’on met au bras, les 94.99€ devenaient 120€ comme on le lit partout et ça aurait pu encore grimper et ce n’est pas comme si c’était donné . Je me suis donc offert le second maillot de l’Inter qui est très beau et je me suis aussi acheté ce maillot pour le même prix, même je n’ai plus l’étiquette. Celui-ci est aussi très beau, même si personne ne comprend pourquoi le logo est jaune et le sponsor est blanc car ils auraient pu être tous les deux blancs ou tous les deux jaunes, mais celui-ci aussi n’a pas de nom derrière Je veux que le nom des deux derniers joueurs que j’ai pris restent tel quel, et ce sont Darmian et Dimarco, deux joueurs que j’ai dans le cœur et qui, je l’espère, ne me trahiront jamais, mais je pense que si demain, ils viennetà le faire, cela se ferait en toute sincérité, sans vouloir nous enfler sans nous la faire à l’envers, sans rien de rien. Je tiens à vous montrer le ticket de caisse aussi, je l’ai encore car il y en a toujours qui sont là pour dire, "Mais Luca ces vêtements te sont offerts par l’Inter , elle va me régaler deux marrons allez…" Voilà, pour deux maillots, j’ai dépensé 189.90€ vous voyez mais grâce à des personnes comme Lukaku , Skriniar et Icardi, je n’achèterais plus jamais de maillot avec le nom des joueurs dans le dos , je ne veux plus trop m’attacher aux joueurs et c’est juste que vous ayez tous vos idoles, c’est jusque vous aimiez bien un joueur plus qu’un autre, vous connaissez aussi mes petits protégés , j’aime énormément Darmian, j’aime énormément Dimarco, Barella et Bastoni n’en parlons pas, ce sont les joueurs pour qui j’ai le plus d’affection. Vraiment à présent, dans le football d’aujourd’hui, tu as trop de coup de poignard dans le dos, trop et les paroles actuelles du faux-jeton de slovaque sont vraiment pitoyables, très pitoyables, il ne méritait ni le maillot de l’Inter, ni le brassard de l’Inter et encore moins la banderole qu’on fait les Tifosi : Tu ne les méritaient vraiment pas, faux-jeton à la face d’ange, faux-jeton, tu es très bien avec les deux autres. Ciao," Touché, Coulé! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Davide Frattesi s’est livré à Dazn quelques jours avant de s’envoler au pays de Captain Tsubasa Comment allez-vous ? "Fatigué, mais bien, je suis arrivé très enthousiaste, tout est si beau ici. Et comme on travaille énormément, tu ressens plus la fatigue lors de la mise au vert, en pleine saison ça va de suite mieux." Tu as souvent marqué contre l’Inter et à la suite de ton dernier but, tu as été complimenté par Marotta. Est-ce ce compliment qui vous a convaincu de rejoindre l’Inter ? "En réalité, il y a un an et demi, lorsque nous étions venu l’emporter avec Sassuolo 0-2 au Giuseppe Meazza, je suis resté marqué par le Stade et les Tifosi. Lorsque j’ai eu vent de l’intérêt concret, j’avais déjà pratiquement fait mon choix." Fait important : Tu vas occuper le poste de Brozovic aussi bien dans le cœur du terrain que dans celui de Barella. Comment cela va-t-il se passer ? "Nous sommes déjà voisins et une bonne amitié, qui est déjà présente, peut grandir. Nous avons tous les deux le même caractère, nous nous trouverons." Qu'est-ce que je veux lui voler ? "Je ne sais pas. Aujourd'hui, c’est toujours le milieu de terrain le plus fort d'Italie, j'espère qu'il va continuer comme ça parce qu'il va nous donner un coup de main incroyable." A quels points sont importantes les déclarations de Dionisi ? "Il m'a dit : "Tu as enfin réussi". Blague à part, je l'ai remercié, ainsi que tout le staff. Ils ont été fondamentaux pour moi, surtout lors de ma première année à Sassuolo car je voulais aller à Spezia en prêt mais ils m'ont dit de rester et tout s’est bien passé, beaucoup de mon mérite leur en revient. Ils m'ont aidé dans les moments difficiles, un autre entraîneur ou un autre staff ne l'aurait peut-être pas fait". Ton premier contact avec Inzaghi... "Je l'avais rencontré en Sardaigne, je mangeais des sushis et il m'a tapoté l’épaule (il rit, ndlr). Nous étions encore en phase de négociation, mais je lui avais répété l'idée de venir ici si l'occasion se présentait, et nous nous sommes revus ici : Nous sommes tous les deux ravis, car il a apporté sa contribution pour me faire arriver ici. Et je sais à quel point l’Inter tenait à me recruter." L’impact de sa grand-mère "Je suis très proche d'elle et elle est très jeune d’esprit malgré ses 80 ans, nous essayons toujours de l'impliquer. De temps en temps, elle m'appelle sur Facetime. En ce moment, elle est en Sardaigne avec mes frères." L'émoticône du tracteur "Ce sont les gars du Vestiaire qui m’en ont affublé je l’ai bien aimé et j'ai commencé à l'utiliser. Je vais aussi le laisser un peu aux autres car je suis en train, peut-être, de leur casser les bonbons." Qui t’a a souhaité la bienvenue ? "Bastoni a été le premier, puis Barella et Darmian. Dès que je suis arrivé, tous les autres l'ont fait. Nous en avions déjà parlé en équipe nationale car nous le savions tous. Tout le monde m'a dit que c'était bien d’être ici et je ne peux que le confirmer." As-tu des rêves ou des attentes ? "Je ne peux pas de dire de quoi j’ai rêvé." Si c’est de Chiara ce n’est pas très seins (ou sain).... ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. C'est la confirmation de la Gazzetta Dello Sport: L'Inter devient de plus en plus italienne! Si en 2010, notre Bien-Aimée n'avait aligné aucun italien dans son Onze de base en Finale de la Ligue des Champions, les temps ont bien changé pour la Vice-Championne d'Europe en titre! L'Inter a identifié le profil pour renforcer la défense de Simone Inzaghi. Il s'agit d'un joueur expérimenté qui évolue déjà dans la défense à trois en tant que latéral droit depuis des années: Toloi, de l'Atalanta, notamment parce qu'il connaît parfaitement les autres défenseurs, pour y avoir déjà joué en sélection avec l'Italie. "Toloi se sentirait immédiatement chez lui à la Pinetina, ne serait-ce qu'à cause de tous ces visages familiers. Darmian, par exemple, est le dernier arrivé dans le groupe (Ner)azzurro de Roberto Mancini, mais c'est aussi celui avec lequel l'actuel capitaine de Gian Piero Gasperini devrait éventuellement jouer. Dans le 3-5-2 rigide d'Inzaghi, après la blessure et la mutinerie de Skriniar, l'ancien joueur de United a réussi à passer du flanc droit au rôle de défenseur central avec application et ductilité: Il devrait débuter en qualité de titulaire, du moins au début mais la Garantie "Toloi" permettrait à Matteo d'aider sur l'aile au besoin" "Rafa retrouverait également Acerbi et Bastoni, qui ont pleuré de joie avec lui à Wembley en 2021, mais aussi Federico Dimarco, pilier du nouveau cycle: Si à l'Inter il est désormais toujours un ailier de haut niveau, chez les Azzurri il peut aussi évoluer en tant qu'arrière latéral dans une défense à 4." "L'italianisation d'une équipe dont l'internationalité est déjà inscrite dans son nom ne s'arrête cependant pas à sa base arrière : Quelques mètres plus loin, on trouve Davide Frattesi qui vient de s'ajouter à Barella, soit les deux turbines de l'équipe nationale" "En bref, l'écosystème serait parfait pour intégrer également Toloi, si la Dea décide de se montrer ouverte à la négociation." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. La conférence de presse lançant la saison 2023-2024 s’est tenu ce mercredi 12 juillet soir à 18h00. Celle-ci a vu Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se livrer ouvertement sur l’objectif de la saison : Le Scudetto de la Seconde Etoile Giuseppe Marotta : Des joueurs qui aiment l’Inter Le Calcio "Il s’est passé environ un mois depuis la fin de la saison écoulée qui a vu le Calcio se montrer à nouveau protagoniste avec 3 finales européennes et 5 demi-finalistes. Nous sommes revenus à un poste de grande crédibilité, mais l’écart des recettes des droits télés ne fait que croitre.Une négociation est en cours avec les diffuseurs, je crois en une issue positive." "II y a aussi d’autres difficultés bureaucratiques: L’Italie éclaire l'avant-scène dans l’établissement des codes pour les bâtiments, pour rendre difficile la constructions des stades et pour faire preuve de carence au niveau des structures pour les jeunes. Un autre aspect important à considérer est les capitaux de l’Arabie Saoudite qui peuvent ébranler la nature du football, aussi l’Italien. D’un autre côté, cela vous donne aussi l’opportunité de percevoir des recettes à réinvestir. Mon espoir est qu’Abodi puisse être accompagné dans le processus de réforme du mouvement footballistique italien." Les mérites d’Inzaghi "La saison dernière a été contradictoire, en plus de la Finale d’Istanbul, nous avons aussi remporté deux trophées et le mérite en revient à l’entraineur qui a fait face à des critiques assez sévère, elle a été influencée aussi par la trêve forcée pour la Coupe du Monde. Nous nous sommes bien repris lors de sa phase finale et nous sommes parvenu à conquérir méritoirement une place en Ligue des Champions." "Tout cela est un motif de fierté : Être vice-champion d’Europe est également un autre motif de fierté : L’année qui débute devra être stimulante pour faire de belles choses." Le Mercato "Dans une campagne de recrutement, notre très bravissimme Directeur Sportif Piero Ausilio travaille en étroite collaboration avec Baccin et Inzaghi, dans le respect de la ligne de conduite dictée par la Propriété. Ces dernières années, la Direction a su démontrer que, même sans procéder à de grands investissements, qu’il était possible de parvenir à composer des équipes importantes." "Il reste encore 40 jours d’ici à son terme et il y a encore tant à faire : Ce qui est certain, c’est que nous chercherons à construire une équipe compétitive, avec des connotations aussi différentes comparées à celle du passé avec des jeunes joueurs qui pourront aussi apporter leur contribution à l’équipe nationale." Love Inter "L’Inter sera compétitive, c’est ce que nous voulons : Nous sommes vraiment une belle équipe directionnelle qui aime l’Inter : Je tiens à remercier nos Tifosi qui nous ont toujours accompagné. Le remerciement le plus important doit être fait à la Propriété qui, même dans les difficultés, ne nous a jamais laissé sans ressources afin que notre travail puisse être finalisé. Je remercie aussi Antonello qui est en charge des activités sportives du Club : J’espère que la saison à venir nous régalera de satisfaction." Simone Inzaghi : Nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile Avec quel état d’esprit reprenez-vous ? "Il y a tant d’envie, nous avons vécu une longue saison : 57 matchs, une saison longue et intense composé d’enthousiasme différents car fait de victoire et de titre : Il y a eu des périodes difficiles et l’ensemble du Monde Interiste a été bon pour se compacter et pour en ressortir une saison riche de satisfaction. Je reprends avec l’envie de parvenir à une saison également pleine de satisfaction." Objectif Scudetto ? "Clairement oui, mon idée et l’Adn de l’Inter est la Victoire, c’est le grand objectif, cela ne me convient pas d’y participer avec l’étiquette de favori : Nous sommes l’Inter et nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile, nous y mettrons toutes nos forces. Il y aura de nombreuses équipes en course, mais nous nous y efforcerons." Vous en êtes à votre troisième année… "C’est un motif de grande fierté, je remercie le club et les joueurs qui m’ont aidé au cours de ces deux années, nous avions tant de défis important devant nous, notre parcours en coupe a été presque parfait car nous nous sommes inclinés face à Liverpool et face à City. En championnat, nous sommes arrivé à la troisième place, nous nous devons de faire mieux." Que signifierait le retour de Lukaku à Milan ? Un commentaire sur le Mercato ? "Je suis en parfaite syntonie avec cette Direction qui a toujours été à mes côtés, avec le Président, il y a également cette grandissime harmonie. Nous sommes au travail, il s’agit d’un mercato difficile mais j’estime que nous l’opérons de la meilleure des façons possible : Nous connaissons tous Frattesi et Thuram et Bisseck vient à peine d’en finir avec l’Euro U-21." "Lukaku est un joueur d’une autre équipe et nous savons ce qu’il représente et ce qu’il nous a apporté lors du finale de la saison : Je me suis battu pour le faire revenir la saison dernière, nous aimerions le faire à nouveau cette année, il appartient à un autre club et nous verrons ce que nous pouvons faire." Très prochainement, vous partiez en Tournée, quand est-ce que votre équipe sera au grand complet ? "Cela aurait été un rêve : Il reste 50 jours d’ici à la fin du mercato et j’ai conscience que cela changera encore énormément. Il y a de l’espérance et elle est importantissime en cette première phase de travail, mais le mercato reste imprévisible : Un mercato ouvert ne nous aide pas, nous les entraineurs, mais nous en avons l’habitude." Pouvez-vous déclarer que l’Inter joue la Ligue des Champions pour la gagner ? "Nous avons démontré qu’il n’y avait pas un si grand écart avec City, nous avons joué à armes égales mais nous nous sommes inclinés : Nous avons tenu tête à l’équipe la plus forte d’Europe. Lors de ces deux dernières années, nous avons énormément travaillé, nous avons connu un long parcours. Nous connaissons l’Histoire des dix dernières années qu’a connu l’Inter et lors de ces deux dernières saisons, nous nous sommes améliorés. Nous savons que cela sera difficile de nous reconfirmer en Ligue des Champions, mais il y a de l’espoir et de l’envie." Le départ de Brozovic peut-il poser un problème ? "Je ferai un discours général pour tous ceux qui ne sont plus là : Ils ont écrit l’Histoire de l’Inter, d’Handanovic à Bellanova, ils ont toujours fait de très belles choses. Avec la Direction, nous avons choisi de rajeunir l’équipe : Nous avons perdu des joueurs importantissimes mais d’autres arriveront. Notre espoir à tous est que les nouveaux arrivants feront tout aussi bien." Le Turnover s’est avéré efficace l’année dernière, repartirez-vous sur les mêmes base l’année prochaine ? "Clairement, cette année, nous savons qu’il n’y aura plus la trêve pour la Coupe du Monde et qu'il n’y aura qu’une seule journée en milieu de semaine, mais nous aurons les Coupes. J’aurai besoin de tous les joueurs. J’ai eu besoin de tout le monde de début avril jusqu’à Istanbul, je me souhaite que tous pourront répondre présent." Vous débutez la saison en étant en fin de contrat… "Le club connait ma pensée : Ce qui prime pour moi c’est le terrain, j’ai exprimé le fond de ma pensée au Club et au Président : Je suis très serein." Lautaro sera-t ’il le Capitaine ? "Je dois encore en parler avec l’équipe." Le calendrier est bon, à quel point est-ce important de bien débuter ? "Il sera fondamental de mieux démarrer que la saison dernière, j’ai regardé le calendrier, mais sans plus, les deux derniers mois que nous avions connu aurait dû être les plus difficile et sans notre défaite face au Napoli, nous aurions récolté le maximum de point. Le début de la saison semble assez soft mais toutes les rencontres du championnat réservent des surprises." Est-ce qu’il y a une auto-estime supérieure comparée à la saison écoulée ? "Oui, il y a tellement plus de confiance en soi comparé à la saison précédente. Mais même là, le parcours de l’année précédente en Ligue des Champions, nous avait apporté de l’auto-estime car nous avions affronté le Real Madrid et Liverpool qui se sont ensuite rencontré en Finale et nous avions joué les deux à armes égales." Que perdrait l’Inter avec le départ d’Onana ? "Nous parlons d’Onana qui est un joueur de l’Inter et il sera convoqué demain au stage de présaison. Le mercato est imprévisible et nous savons tous que toutes les équipes italiennes doivent vendre, en premier, avant d’acheter. C’est risqué mais je suis serein : La propriété et le Club m’ont assuré que l’Inter sera compétitive. Nous en avions déjà discuté lors de notre réunion d’avant-mercato." "L’important est que l’Inter soit compétitive comme lors de ces deux dernières années, nous avons connu des problèmes Post-Covid, mais nous avons réalisé des mercato intelligents et nous avons vu à quel point ils étaient positifs." ESPN vous a nommé dans le Top 10 au niveau Mondial : Quel effet cela vous a-t ’il fait ? "Cela m’a fait énormément plaisir, j’espère pouvoir grignoter d’autres places dans le futur." Avez-vous envie de régler vos comptes ? "Non, je n’ai rien à redire: Je pense au terrain, au travail et je chercher à travailler du mieux possible pour mon Club. Chaque entraineur a son propre parcours, sa propre histoire, je me sens bien ici avec le Club, avec les Tifosi, je cherche sur cette voie." Croyez-vous encore en Correa ? "Oui, les joueurs que j’entraine sont les meilleurs du monde et je pense que c’est le cas pour chaque entraineur : Correa est un excellent joueur, il n’a pas répondu présent comme on aurait pu s’y attendre, mais j’ai une confiance maximale en lui : Il est capable de faire mieux et bien plus, je l’ai entrainé et je connais ses qualités." Qui selon vous peut vous défier dans la Course au Scudetto ? "Il y a tellement d’envie de reprendre la compétition, c’est difficile d’établir un classement, le Napoli a réalisé un parcours extraordinaire, mais nous voulons être compétitif, notre désir est de remporter la Seconde étoile, les Tifosi en rêve depuis des années et j’espère pouvoir leur offrir cette satisfaction." A choisir : Remporter le Scudetto ou jouer une nouvelle Finale de Ligue des Champions ? "C’est une demande difficile. Même si l’année dernière nous n’avons pas remporté le Scudetto, c’était une saison incroyable, composée de nuits incroyable vécues avec les Tifosi. Après Istanbul, j’ai embrassé tous les joueurs, c’était comme-ci nous l’avions emporté nous." Auriez-vous aimé entrainer Milinkovic-Savic? "Je ne m’exprimerai pas sur les choix personnels, je l’ai entrainé à la Lazio et il a de très grandes qualités, une habilité technique, de la force physique et c’est un très grandissime joueur, il a choisi de partir en Arabie et il aura aussi le temps de revenir en Europe." Quelle Inter est en train de naitre et qu’attendez-vous du Mercato ? "Nous avons conscience qu’il y a des cases à combler, nous sommes en parfaite harmonie, nous composerons une équipe de 20 joueurs plus 3 gardiens, avec 3-4 jeunes fixes avec nous. Il nous manque encore un milieu et Çalhanoğlu et Asllani seront nos deux PlayMaker, nous devrons être bons et nous améliorer. Avec Bastoni, Acerbi, De Vrij, Bisseck et Darmian, il nous manque encore un homme dans ce secteur." Avec le départ d’Onana, les gardiens qui arriveront devront-ils présenter les mêmes habilités techniques ? "Le gardien devra être bon techniquement, nous verrons si nous pourrons en trouver plus d'un. Ces deux dernières années, d'abord avec Samir, puis avec Onana, nous avons eu des gardiens avec de très bons dribbles. Ce sera à nouveau le cas" Avez-vous l’intention de lancer quelque jeunes de la Primavera ? "Carboni sera avec nous, il fera la mise au vert avec nous: Il a déjà fait ses débuts et a énormément muri. Zanotti a aussi joué l’année dernière et il est maintenant parti en prêt. Il y aura d’autres jeunes qui seront ajoutés: A eux de prouver qu’ils méritent d’être à l’Inter." Avez-vous vu le match de Ligue des Nations avec Barella et Frattesi aux poste de Mezz’ala ? Thuram est-il un premier ou un second attaquant ? "Frattesi et Barella peuvent tranquillement jouer ensemble : Barella a, de temps en temps, déjà été Mezzala gauche: Ce sont deux joueurs très forts. Thuram est un joueur important, il a une très bonne structure physique, il a réalisé trois excellente saisons au Borussia. Il joue pour l’Equipe de France, c’est un joueur d’une valeur absolue." Gosens peut-il être un joueur important pour l’Inter ? Absolument oui, il a bien fini la saison, il a alterné avec Dimarco et s'en est très bien sorti. De là à dire ce que le Mercato peut nous apporter, je ne sais pas, mais je compte énormément sur tout le monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Nom : Darmian Prénom : Matteo Poste : Défenseur Date de naissance : 02/12/1989 Lieu de naissance : Legnano Pays : Italie Taille : 183cm Poids : 70 Kg Numéro de maillot : Au club depuis : Septembre 2020 Position sur le terrain Biographie Matteo Darmian, né le 2 décembre 1989 à Legnano, est un footballeur international italien d'origine arménienne qui évolue au poste d'arrière latéral au Parme Calcio. Carrière en Clubs AC Milan Matteo a donné ses premiers coups de pied dans un ballon dans sa ville natale, à Rescaldina (MI), où l'entraîneur était son père Giovanni. [5] Il a ensuite grandi dans l'académie Jeunesse de Milan, un club dans lequel celui qui l'a découvert Beniamino Abate a joué un rôle dans le staff technique. Darmian a fait ses débuts absolus avec les Rossoneri avant même d'avoir 17 ans, le 28 novembre 2006 dans le match de Coppa Italia Brescia-Milan (1-2), entrant après la mi-temps pour remplacer Kakhaber Kaladze. Les débuts en Serie A ont eu lieu à l'âge de 17 ans, à Milan-Udinese (2-3) le 19 mai 2007, lorsqu'il est entré à la 67e minute pour remplacer Giuseppe Favalli. Au cours de la saison 2007-2008, il est repris dans l'équipe-première mais n'est pas utilisé. Durant cette période, il devient le Capitaine et le leader de l'équipe de Primavera. Avec celle-ci, il dispute 25 matchs avec un but en championnat lors de la saison 2007-2008. Le 21 décembre 2008, il monte au jeu lors de la seconde période mettant aux prises le Milan et l'Udinese (5-1). Il s'agit-là de sa deuxième apparition en Serie A, un an et sept mois après la première. Son aventure milanaise se terminera par 4 apparitions dans l'élite. Calcio Padova Le 17 juillet 2009, à l'âge de 19 ans, l'AC Milan l'a prêté à Padova en Serie B. Le 30 juillet 2009, il a été opéré suite à une fracture du scaphoïde de son pied gauche, ce qui l'a empêché de disputer les premiers mois de la saison.'entrer dans les premiers mois de la saison. Le 28 novembre 2009, il a fait ses débuts sous le maillot de Padova en Serie B lors du duel Padova-Vicenza (1-2). Il y remplacera Andrea Soncin à la 35e minute. Le 20 février 2010, il a marqué son premier but professionnel lors d'Ancona-Padova (2-2), un match valable pour la 26e journée. En fin de saison, son club se maintient en Serie B après un play-out face à Triestina. Le 24 juin 2010, Padova a annoncé la fin du prêt et, par conséquent, le retour du joueur à Milan. Il conclut sa première année en plein essor chez les professionnels avec 22 apparitions en championnat et 1 but. il aura joué également un match avec l'équipe Primavera. US Palerme Le 12 juillet 2010, Darmian est acheté en copropriété par Palerme , qui l'avait déjà inclus dans la liste des joueurs appelés pour le stage de pré-saison la veille du jour de son transfert. L'achat est acté à la Lega Serie A deux jours plus tard. Il a fait ses débuts avec le maillot rosanero le 16 septembre 2010 en jouant comme titulaire dans le match de la Ligue Europa Sparta Prague-Palerme (3-2), il s'agira de ses débuts dans l'absolu en Coupe d'Europe. Ses débuts en Serie A interviennent lors de la quatrième journée du championnat, en remplaçant Javier Pastore à la 92e minute lors de la victoire à l'extérieur pour 3-1 contre la Juventus. Le 6 février 2011, il disputait son premier match en tant que titulaire en championnat, lors du match à l'extérieur remporté contre Lecce pour 4-2 valable pour la 24e journée. Il sortira à la 33e minute sur blessure suite à distraction musculaire au premier degré du fléchisseur de la cuisse droite . Il clôturera sa saison positivement avec 16 apparitions réparties entre la Serie A, la Coppa Italie (perdue en finale contre l'Inter 3-1) et la Ligue Europa. Torino FC Après le renouvellement du partenariat entre Milan et Palerme le 23 juin 2011, le 12 juillet suivant, il est prêté à Turin, en Serie B. Il a fait ses débuts sous le maillot grenade le 13 août à l'occassion de Torino-Lumezzane (1-0) dans un match comptant pour le deuxième tour de la Coupe d'Italie. Il a marqué le premier but de Torino-Empoli lors de la 12e journée du championnat, ce qui a permis à son équipe de l'emporter pour 2-1. Lors de Bari-Turin (1-1) de la 15e journée, disputée le 13 novembre 2011, il est victime d'une une lésion du labrum cotyloïde avec épanchement endoarticulaire. En fin de saison, Torino est promu en Serie A. Il y aura disputé 33 matchs en championnat et 1 en Coupe d'Italie. Le 20 juin 2012, Palerme a racheté l'autre moitié de la carte du joueur de Milan pour 500 000 euros et le 5 juillet suivant, son retour à Turin a été officialisé avec la formule de copropriété pour 850 000 euros. Avec le Torino, il joue 30 parties en Serie A et 2 en Coupe d'Italie. Le 20 juin 2013, Torino acquis entièrement le joueur en déboursant 675 000 euros supplémentaires à Palerme. De façon globale, le Torino aura payé le joueur un peu plus de 1,5 millions d'euros. Lors de la saison 2013-2014, il a joué 37 matchs en Serie A en terminant par par une qualification pour l'UEFA Europa League après l'échec de l'octroi de la licence UEFA à Parme. Il comptera une titularisation en Coupe d'Italie Lors de sa première apparition dans la saison 2014-2015, le 7 août 2014, Matteo marque son premier but international lors du match retour du troisième tour de qualification de l'UEFA Europa League, une victoire 4-0 à domicile contre les Suédois de Brommapojkarna; le second arrive le 11 décembre de la même année, face à Copenhague. Il marquera également lors de la manche retour du seizième de finale de la coupe, le but décisif qui permettra au Torino de vaincre l'Athletic Bilbao 3-2 à San Mamès, le club est le premier club italien dans l'absolu à yparvenir. Il marquera également son dernier but de la saison lors d'un Derby Della Mole remporté après 20 ans de disette. Au total, avec le maillot du Torino, il aura disputé 151 matchs et marqué 6 buts. Manchester United Le 11 juillet 2015, il rejoint officiellement Manchester United contre un chèque de 18 millions €. Il signe un contrat de 4 ans (+1 an en option). Il marque son premier but d'une sublime volée contre Crystal Palace. Après une première saison compliquée à cause de problèmes d'adaptations, Matteo Darmian affiche une bien meilleure copie lors de la saison 2016-2017. Saison bien meilleure grâce aux nombreux succès des Mancuniens et à des performances plus rassurantes de sa part. Il est d'ailleurs titulaire lors de la finale de Ligue Europa 2017 remportée par les Mancuniens, il réalise un très bon match et soulève le premier trophée majeur de sa carrière. Parma Le 2 septembre 2019, il est transféré à titre définitif à Parme. Le 15 du même mois, il fait ses débuts avec les Emilians dans un match à domicile perdu contre Cagliari (1-3), fournissant à Antonino Barillà une passe décisive pour le but des parmesans. Le 25 juillet 2020, il a marqué son premier but avec Parme à l'occasion de la victoire 2-1 à domicile contre Brescia. En tout, il comptabilisera 34 apparitions, pour 1 but et 1 passe décisive. Internazionale Après une période de négociation, facilitée par la bonne entente liant Parme à l'Inter, il est transféré dans le courant du mois de septembre 2020. Il y retrouvera son mentor Antonio Conte qu'il a connu en équipe nationale italienne. Equipe Nationale Matteo Darmian atteint la finale du championnat d'Europe des moins de 19 ans 2008, en étant battu par l'Allemagne. Il joue son premier match en équipe d'Italie le 31 mai 2014 contre la République d'Irlande. Convoqué en équipe nationale lors du dernier match amical de préparation avant la Coupe du monde au Brésil, il figure le lendemain dans la liste des 23 joueurs retenus. Il fait donc partie de la Squadra Azzurra lors du mondial. Il joue trois matchs lors de cette compétition : contre l'Angleterre, le Costa Rica et l'Uruguay. Il inscrit son premier but avec l'équipe d'Italie le 10 octobre 2015 contre l'Azerbaïdjan, lors d'un match comptant pour les éliminatoires du Championnat d'Europe 2016. Le Saviez-Vous ? Matteo Darmian est en couple avec Francesca Cormanni. Ils se sont marié le 14 juin 2017 et sont les parents d'un petit Achile Palmarès Club Milan Vainqueur de l'UEFA Champions League: 2006-2007 Vainqueur de la Super Coupe de l'UEFA en 2006 Vainqueur de la Coupe du Monde des Club en 2007 Manchester United Vainqueur de la Coupe d'Angleterre 2015-2016 Vainqueur du Community Shield 2016 Vainqueur de la Coupe de la Ligue 2016-2017 Distinctions personnelles Gran Galà del calcio AIC: 2 Equipe-Type de l'année de l'Année : 2014, 2015 Pallone Azzurro: 2014 Parcours: En Club 2006-2009: Milan 2009-2010: Padova 2010-2011: Palermo 2011-2015: Torino 2015-2019: Manchester United 2019-2020: Parma Septembre 2020: Internazionale En Sélection 2006: Italia U-17 2006: Italia U-18 2007-2008: Italia U-19 2008-2010: Italia U-20 2009: Italia U-21 2014-2017: Italia ©Wikipedia & Antony Gilles - Internazionale.fr
  17. La saison n'est pas encore terminée pour certains Nerazzurri : 12 joueurs de l'Inter seront engagés dans les prochains jours avec leurs équipes nationales respectives. L'Italie, les Pays-Bas et la Croatie s'affronteront en demi-finales de la Ligue des Nations, l'Espagne étant la quatrième équipe en demi-finale. Les autres équipes nationales ont rendez-vous sur le terrain pour les éliminatoires du Championnat d'Europe et pour des matchs amicaux. ITALIE : Acerbi, Barella, Bastoni, Darmian, Dimarco Espagne vs. Italie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Enschede, 15 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST TURQUIE : Calhanoglu Lettonie vs. Turquie | Éliminatoires Euros - Riga, 16 juin Turquie vs. Pays de Galles | Éliminatoires Euros - Samsun, 19 juin PAYS-BAS : Dumfries Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST ALLEMAGNE : Gosens Allemagne vs. Ukraine | Amical - Brême, 12 juin 18h00 CEST Pologne vs. Allemagne | Amical - Varsovie, 16 juin 20h45 CEST Allemagne vs. Colombie | Amical - Gelsenkirchen, 20 juin 20h45 CEST ALBANIE : Asllani Albanie vs. Moldavie | Éliminatoires Euros - Tirana, 17 juin Îles Féroé vs. Albanie | Éliminatoires Euros - Torshavn, 20 juin CROATIE : Brozovic Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST SLOVAQUIE : Skriniar Islande vs. Slovaquie | Éliminatoires Euros - Reykjavik, 17 juin Slovaquie vs. Liechtenstein | Éliminatoires Euros - Vaduz, 20 juin BOSNIE-HERZÉGOVINE : Dzeko Portugal vs. Bosnie-Herzégovine | Éliminatoires Euros - Lisbonne, 17 juin Bosnie-Herzégovine vs. Luxembourg | Éliminatoires Euros - Zenica, 20 juin
  18. A travers un message sur son compte officiel Twitter, Matteo Darmian s'est livré aux Tifosi "Ça fait mal, putain ça fait mal. Surtout quand vous êtes seul, plongé dans vos pensées, en pensant à quel point vous étiez proche de réaliser ce rêve que vous avez depuis que vous avez commencé à taper dans le ballon. Nous l'avons tous mérité…" "NOUS pour la sueur, l'envie et l'effort fourni dans ce magnifique parcours, VOUS qui pour le meilleur ou pour le pire êtes toujours là pour nous soutenir et vous le serez l'année prochaine aussi lorsque nous retournerons sur le terrain pour nous battre avec amour et dévouement pour continuer à rêver, ensemble" Traduction: Twitter
  19. En effet, selon Tuttosport, la rencontre opposant l’Inter à la Fiorentina devrait représenter la dernière rencontre de Samir Handanovic entre les poteaux Nerazzurro pour un total de 454 matchs disputés sous nos couleurs, en étant qu’à une seule petite longueur d’Ivan Cordoba, actuel dixième au classement historique des présences des joueurs ayant évolués à l’Inter Le capitaine tentera de remporter son cinquième trophée en onze ans à l'Inter, après le Scudetto en 2020-21, cette Super Coupe et celle de l'an dernier, ainsi que la Coppa Italia de la saison dernière. Pour le joueur né en 1984, et suspendu lors de la demi-finale retour contre la Juventus, il pourrait s’agir de "The Last Dance" soit "La dernière danse": Son dernier match chez les Nerazzurri. Pour le reste, Simone Inzaghi semble enclin à aligner les titulaires. Edin Dzeko, qui n'a pas joué une seule minute contre Naples, devrait être présent aux côtés de Lautaro en attaque. En défense, toujours Darmian, Acerbi et Bastoni. A droite Dumfries, à gauche Dimarco, tandis qu'au milieu de terrain on retrouvera Çalhanoğlu, Brozovic et Barella. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Invité spécial aux micros d' Inter TV. Avant Inter-Milan, le grand Marco Materazzi s'est entretenu avec le diffuseur Nerazzurri. Ses mots. L'Inter à un pas de la finale. "En ce moment, il y a un désir de profiter d'un bon match après un résultat important au match aller. J'espère qu'à la fin, il y aura une bonne fête pour nous. Maintenant, avec le nouveau règlement, chaque match est différent. Nous savons que nous a fait un chemin important. Quand on n'encaisse pas de but en Ligue des champions, c'est beaucoup de choses. Nous, les supporters, étions peut-être un peu sceptiques mais l'équipe nous amène à vivre un rêve. En Ligue des champions, l'équipe a toujours donné le sentiment de jouer contre n'importe qui alors que les matchs les plus difficiles venaient. Tous ceux qui ont joué et même ceux qui étaient sortis ont ramé dans la même direction, je pense à De Vrij qui est venu se battre pour chaque balle. C'était la clé." Une réflexion sur Darmian ? "Il a fait un championnat incroyable, il a apporté une contribution incroyable quand il a joué. Nous ne pensons qu'à Lisbonne, ce qu'il a fait pour nous, il doit être considéré avec beaucoup d'affection." Milan récupère Leao. "Il faut voir comment il aborde le match. Je pense que le Portugais n'a pas encore montré toutes ses qualités en Ligue des champions parce que le talent ne se discute pas objectivement. Ensuite, il faut comprendre quel impact aura le problème musculaire dont il souffre." Acerbi est convaincant. "Le parcours d'Acerbi a été exceptionnel, toujours attentif à chaque match. Quand il a fait une erreur, l'erreur n'avait pas d'importance. De Lautaro Martinez, mais de toute l'équipe, j'attends un match de champion du monde ce soir. Il est très proche d'atteindre cet Olympe de joueurs qui, comme moi, ont gagné la Coupe du monde et la coupe aux grandes oreilles. Nous jouerons pour la victoire au milieu de terrain où je crois que nous sommes plus forts, j'espère que le numéro 23 sera le MVP." Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Nous y sommes! Simone Inzaghi s’est livré à quelques heures de la seconde manche de l’EuroDerby Della Madonnina: "Lors du tirage au sort de la phase de groupe, nous étions un peu déçu, nous n’avions pas été énormément chanceux : Je me suis limité à dire au Staff et aux joueurs que Barcelone et le Bayern Munich n’étaient pas heureux d’avoir tiré l’Inter dans le troisième chapeau : Il y avait tellement de confiance: A présent, nous sommes ici et nous savons que nous avons passé une étape très importante." Pour une meilleure lisibilité, l'interview de Francesco Acerbi est publiée dans un autre article : Qu’attendez-vous du public ? Vous attendez-vous à voir une Inter que va se donner à plus de 100% ? "Je l’avais déjà dit avant Benfica et je suisi répétitif mais demain, nous aurons les Tifosi avec nous, je n’ai aucun doute: Ils ont toujours été proche de nous, même lorsque nous étions en difficulté : Pour nous tous, nous devrons garder la tête froide et avoir le cœur chaud, c’est la seule route à emprunter pour bien interpréter la partie." Comment vont Lautaro et Correa ? "Joaquin a demandé lui-même à sortir, je ne l’aurais pas fait moi car il me séduisait face à Sassuolo, c'était une douleur musculaire: Les sensations sont bonnes et nous évaluerons la situation aujourd’hui. Nous verrons demain s’il sera disponible, mais je n’ai aucune certitude en ce moment : Lautaro traverse une très belle période et il s’entend avec les autres attaquants de la meilleure façon" Etes-vous plus serein maintenant qu’au match aller ? "En tant qu’entraineur, je vis les matchs quasiment de la même façon, demain c’est l’une des rencontres parmi les plus importantes de l’Histoire de l’Inter, nous connaissons tous ce qu’elle représente pour tout le monde, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en sachant que nous disposons d’un avantage mérité, mais nous savons que nous devrons réaliser un mach Da Inter sans chercher à le gérer, nous couvrirons le terrain car Milan, face à nous, a énormément de qualité." Quel est l’état de forme de Lukaku ? A-t-il retrouvé enfin le niveau de son premier biennal ? "Vous le connaissez, vous savez de quoi est capable Romelu : Moi comme entraineur, j’ai cherché à permettre à Lukaku de revenir avec de l’enthousiasme celui de ce dernier mois, qui est celui que j’aurais voulu avoir toute l’année : Lui et Brozovic ont connu des stops imprévus, ils étaient indisponibles pour nous et nous avons soufferts sans eux même si nous avons été très bons pour nous en passer." "Lukaku à énormément travaillé et il est arrivé dans ce dernier mois dans la meilleure des condition possible : Je ne sais pas s’il pourrait être capable d’enchainer trois matchs de suite, mais son physique est incroyable : Nous avons tous vu ce qu’il est capable de nous apporter aussi bien à l’Olimpico qu’a Sassuolo." Comment gérer Milan …et L’arbitre de demain ? "Je ne parle pas beaucoup des arbitres. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué d'une autre manière, je fais référence à la faute de Krunic sur Bastoni qui aurait pu nous donner quelque chose de très important en termes de résultat et de qualification. Mais il n'y a pas de problème." "Beaucoup ont associé la désignation de l'arbitre français avec quatre Français au Milan... mais il n'y a pas de problème, la confiance est maximale. Nous n’allons pas rentrer dans un mode de gestion du match, demain face au Milan, nous aurons besoin de disputer un match Da Inter car il y aura des embuches sur notre route et nous allons essayer de de nous en sortir de la meilleure façon possible". Tactiquement, sans anticiper la rencontre, pourriez-vous envisager de baisser un peu votre centre de gravité ? "Je vous remercie pour vos mots à mon égard. Pour ce type de choix, je lis et j'écoute peu heureusement… mais je sais tout. Ma grande chance, c'est de peu écouter et de lire peu : Je connais mes choix et c’est toujours plus facile après une rencontre. Nous, les entraîneurs, ,nous devons faire des choix tous les jours, parfois on a plus de chance, parfois non : C’est le métier qui nous l'impose." "Je pourrais très bien avoir des choses en tête pour demain, mais on ne sait pas à l'avance comment ça va se passer. Il faudra parfois savoir se montrer agressif comme il faudra parfois savoir défendre tous ensemble. Indépendamment de Leao, Milan a de la qualité et il est en demi-finale, il faut faire très attention." Comment vivez-vous cette situation à titre personnelle ? Vous êtes déjà comparés aux autres entraineurs finalistes italiens.... "Nous sommes à 90', plus des arrêts de jeu, d’atteindre un merveilleux rêve avec ces merveilleux garçons que j'ai la chance d'entraîner. Nous sommes également en Finale de la Coppa Italia. Après coup, on pense tous que nous aurions pu faire mieux: Lors de la trêve, j’ai très bien travaillé avec Lautaro, Dumfries, Lukaku, Brozovic. A présent, nous avons devant nous des matchs rapprochés qui sont tous important et c’est une chance car cela ne nous laisse pas de temps pour cogiter" "Il y a cinq matches de cela, nous étions encore loin d’être en Ligue des Champions, maintenant il ne reste plus qu’à franchir la dernière marche : Nous abordons la rencontre de demain en ayant conscience de notre avantage: Nous sommes très proche d’un rêve et nous aurons besoin de disputer un match vrai: Da Inter." Comment avez-vous fait pour faire en sorte que Çalhanoğlu devienne un maître à jouer, un Regista ? "C'était un choix, une intuition, il nous manquait Brozovic qui est très important pour nous et à ce moment-là, j'ai pensé qu'il pouvait être la solution la plus importante. Il a été très bon à ce poste. Je pense aussi à Darmian qui, en tant que troisième défenseur, réalise de très grandes choses, dans un rôle qu'il n'avait jamais occupé. Il avait toujours joué dans le milieu à cinq, par le passé, voir même dans une défense à quatre : Il est très bon. J'ai des joueurs de grande qualité qui s'adaptent aux situations, je pense aussi à Luis Alberto à la Lazio qui est devenu l'un des meilleurs Mezzala d’Europe". On parle beaucoup de Milan. Avez-vous aussi cette sensation que la qualification ne dépend que de vous ? "Absolument oui, nous savons qui nous allons affronter et nous savons que nous sommes dans une très belle période : Nous sommes prêts à disputer un match de cette importance, nous avons déjà répondu présent face à une équipe très forte qu’était Benfica, nous disposons exactement du même avantage : Ce sera un match, comme celui contre Sassuolo, qui sera composé d’e embûches. Nous devrons être bons pour les surmonter lorsqu’elles se présenterons." Est-ce plus dangereux de se sentir déjà en finale ou de la jouer petit bras ? "Mon équipe est mature et sérieuse, qui sait qu'elle a mérité son avance. Il ne faut plus reculer. Je vous le dis à vous aussi, nous ne devons rien spéculer, nous devons jouer un match Da Inter tous ensemble: Et nous pouvons l'affronter avec beaucoup de confiance. Il ne faut pas vouloir la jouer petit bras: J’ai des joueurs importants, j'ai la chance d'avoir des joueurs qui connaissent la valeur de la rencontre : Nous devrons jouer ce match comme nous l'avons toujours fait lors de nos derniers derbys." Est-ce qu’il s’agira d’un Derby de Spartiates comme l’a déclaré Acerbi ? "J'avais déjà répondu à l'un de ses équipiers que c’était déjà le cas au match aller : C'est très important et nous en avons tous connaissance : Nous sommes ici et nous voulons arriver là où il était très difficile de penser à arriver. Nous connaissons le chemin et la montée que nous avons empruntés pour y parvenir : Nous connaissons les critiques qui, si elles ne sont pas présomptueuses comme c'est souvent le cas, nous aident et nous conseillent, nous avons à quel point la rencontre de demain est importante : Inutile de tourner autour du pot." Comment êtes-vous parvenu à créer cet environnement au sein du Vestiaire ? "C'est, tout d'abord, un travail quotidien, la façon dont l'ensemble d'un groupe travaille. Nous ne sommes pas une équipe composé d’un un nombre de joueurs si élevé, comme d'autres équipes, nous sommes une équipe de 20 joueurs avec des doublures à chaque poste. Zanotti, Carboni et Fontanarosa ont un avenir assuré, mais ces matches seraient compliqués pour eux." "Je m'arrête donc à 20 joueurs, avec quelques blessures jusqu’à récemment, mais après la Coupe du monde, grâce aux garçons, quelque chose s'est créé et maintenant nous sommes en Finale de la Coupe d’Italie et nous avons devant nous cette demi-finale retour. Le calendrier n'est devenu gérable que de cette manière, avec un turnover important de joueurs, avec l’engagement de tous : C'est la seule façon dont je pouvais gérer la situation, en demandant à tout le monde d'apporter une contribution des plus importante." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Voici les mots d'Antonio Cassano à BoboTV après la victoire 2-0 de l'Inter dans l'Euroderby. "Il n'y a jamais eu de match! Je pensais que l'Inter était plus forte que le Milan. Cette fois, nous avons vu un gouffre terrible et à tous les niveaux. Les Nerazzurri ont tout dominé. L'impression était que Milan n'avait pas d'armes, zéro : sans Leao, l'équipe de Pioli est linéaire et toutes les failles sont apparues, de la défense aux couloirs latéraux. Dzeko et Lautaro ont ridiculisé Tomori et Kjaer. Theo ? nul ! Giroud et les autres petits trucs ? Ouais... Le seul qui a essayé de faire quelque chose c'était Tonali." "Dans le football donc, tout peut toujours arriver. Mais franchement, je ça vois très dur pour les Rossoneri même si Leao revient. Ce 2-0 est un peu faible pour l'Inter : l'équipe d'Inzaghi a raté le 3-0 encore et encore." "Si on le critique souvent pour le championnat, il faut dire qu'Inzaghi ne commet pas d'erreurs en coupe! Comme Dzeko. Le mouvement bras dessus bras dessous avec Damrian était parfaitement chronométré, il ne se trompe pas. Si c'est cette Inter, pas de correspondance au retour! Cela dit, à mon avis, Inzaghi ne devrait pas être confirmé car il n'a pas bien fait ces 20 mois. Je séparerais les chemins même s'ils gagnent la Ligue des champions." Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. En effet, auteur d’une saison en demi-teinte en Serie A, L’Inter pourrait tout de même rafler la mise en empochant pas moins de 160 millions d’euros d’ici au 30 juin 2023. 110 Millions d’euros ont déjà été récolé entre les différents matchs de coupes, et ce y compris l’accession à la Super Coupe d’Italie dans le Royaume d’Arabie Saoudite la saison prochaine et la recette historique, à venir, de mardi prochain A cette modique somme, il y a lieu d’ajouter les 50 millions d’euros qui sont à percevoir pour une place dans le Top 4 italien. Comprenez, terminer dans le top 4 viendrait à compenser de la plus belle des manières la perte, en fin de contrat, du traitre qui se nomme Skriniar. Mais s’il est douloureux d’enregistrer une perte de genre, cette situation est également valide dans le sens inverse : André Onana, Matteo Darmian, Henrik Mkhitaryan, Hakan Çalhanoğlu et Edin Dzeko, cinq titulaire indiscutable de cette Inter sont tous arrivés à titre gratuit ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Et ce vieil adage s’applique pour l’Inter qui n’est plus "qu’à" 90 minutes de la Finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes. 7ème Clean Sheets ! Encore une fois l’équipe de Simone Inzaghi n’a pas encaissé de but en Ligue des Champions, ces 7 matchs sans buts encaissés sont un record dans l’Histoire du Club, un mérite qui revient encore plus à la ligne défensive Nerazzurra et à André Onana. Dans cette édition, cette série de 7 matchs sans buts encaissés est la meilleure statistique de l’ensemble des participants, à égalité avec le Bayern de Munich. A Quand remonte la dernière défaite des Nerazzurri en phase à élimination directe ? A domicile, face à Liverpool lors de la manche aller des huitième de finale de la Ligue des Champions, ce n’est donc pas un hasard si le Milan n’a su réaliser que deux tirs cadrés. Neufs ont été non-cadrés dont le poteau de Sandro Tonali en seconde période. Francesco Acerbi s’est battu, Matteo Darmian est toujours resté très attentif comme à son habitude et Alessandro Bastoni dégage cette aura de confiance, celle qui te pousse à ne pas se perdre, mais à se montrer efficace, preuve en est ses slaloms dans le camps de l’adversaire. Stat avant le Derby Della Madonnina! Il y a également l’entrée magistrale de Stefan De Vrij depuis le banc de touche de cette épopée que représente ce Derby Européen. Le milieu de terrain qui avait connu un début de printemps apathique est devenu intraitable et constant pour une moyenne de 100 minutes par matchs, lui qui est le filtre indispensable pour le trio défensif. Série positive Mieux encore, lors des six derniers matchs, l'Inter n'a encaissé qu'un seul but face à la Lazio, qui n'aurait pas existé sans l'erreur d'Acerbi qui a ouvert un boulevard à Felipe Anderson : Cinq matchs sans buts encaissés sur six qui se répartissent entre la Serie A, la Coppa Italia et la Ligue des Champions : Une situation qui n'était plus arrivé depuis août 2020 et le Post-Confinement avec Antonio Conte sur le banc entre le final de la saison en Serie A et la Finale de l’Europa League face à Séville. Pour les Tifosi, il faut remonter 40 ans en arrière pour revoir une situation similaire face à l’Ac Milan. Il faut remonter à 1980 pour voir l’Inter ne pas encaisser le moindre but lors de trois derby de suite. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. Vous l’avez très récemment découverte sur les réseaux sociaux entrain de chanter l’Hymne de l’Inter : Elle, c’est Romina Sorbelli qui est Interiste depuis la naissance. Ayant la chance de pouvoir travailler pour nos confrères d'Inter-News.it, celle-ci- s’est livrée à cœur ouvert pour Internazionale.fr A sa demande, vous retrouverez également à la fin de notre article, la version italienne intégrale de notre échange Bonjour Romina, peux-tu nous dire quelque chose à ton sujet ? Quelles sont tes passions dans la vie ? On suspecte un peu la musique... "Volontiers, j’ai 26 ans et je suis étudiante/aspirant journaliste, je suis diplômée en Communication et je termine mes études universitaires à la Faculté de l’Information, de l’Edition, et du Journalisme, j’en ai terminé avec mes examens et j’écris actuellement ma thèse." "Mes passions principales sont aux nombre de trois : Le football, la musique et la cuisine : Celle pour le football se transforme tout doucement en un travail : j’en suis à ma seconde année pour devenir journaliste indépendante, et mon rêve est de devenir une journaliste sportive. J’ai hérité de l’amour de la musique de ma famille, ils sont tous musicien (en plus d’être Interiste) : Je joue de la guitare, du ukulélé, et j’aime chanter et c’est devenu, à tous les effets, un hobby. J’aime aussi la cuisine et j’aime cuisiner, j’aime cuisiner pour tous les autres car je pense aussi qu’il s’agit d’une preuve d’affection." Pourquoi l’Inter ? Est-ce que tu fais partie d’une famille interiste ? Et pourquoi pas une autre équipe ? "Comme je vous l’ai dit auparavant, nous sommes tous interiste dans la Famille. Dans ma Commune, Sutri, il y a un Inter-Club, l’Inter-Club Peppino Prisco, auquel je suis membre depuis toute petite et je dois surement ma passion pour l’Inter à mon père qui est un grand Tifoso Interiste! Comme je l’ai toujours dit, j’ai choisi l’Inter en suivant les traces de mon père, mais j’ai ensuite décidé de moi-même de continuer sur cette voie en suivant par-dessus tout mon cœur, un cœur qui est entièrement Nerazzurro je dirais, il ne pouvait pas en être autrement." "A présent, d’une simple passion, cela se transforme en un travail et cette opportunité m’a été offerte par la Rédaction d’ Inter-News.it, rédaction que je remercierais toujours pour m’avoir fait confiance et m’avoir accueillir au sein de leur famille." Quel est le plus beau souvenir qui te lie à l’Inter ? "Sans aucun doute, la première fois que je suis allé à San Siro, j’avais seulement dix ans et je ne l’oublierai jamais, comme je n’oublierais jamais toutes les soirées passées à l’Inter-Club à voir les matchs, nos diners et nos célébrations pour les victoires. Je me rappelle en particulières d’une soirée organisée pour fêter le Centenaire de l’Inter en 2008 et à cette occasion, j’ai rencontré Recoba et Stankovic, deux de mes idoles. Mais plus que tout, je garderai toujours en moi ma rencontre avec Massimo Moratti, il y a quelques années : C’est une personne accueillante, un gentleman, c’était un honneur et un privilège pour moi de le rencontrer." Que penses-tu du Giuseppe Meazza qui pour nous est une Institution, qui fait partie de l’Histoire mondiale de notre Calcio ? Aimerais-tu qu’il reste encore notre stade ? "San Siro fait partie de nous tous, nous les Interistes, comme je l’ai dit avant, la première fois que j’y suis allé, je n’avais que dix ans et chaque fois que j’y retourne, c’est toujours comme la première fois : Je pense qu’il serait difficile qu’un autre stade parvienne à nous offrir, à nous les Tifosi, les mêmes émotions : San Siro te coupe le souffle." Quel est ton joueur préféré et pourquoi ? "Dans l’absolu, même si c’est forcément prévisible : Javier Zanetti pour ce qu’il représente et représentera toujours pour nous les Interistes : C’est une vrai Institution de l’Histoire Nerazzurra. Mon rêve est de l’interviewer et j’espère y parvenir un jour." "Dans l’actuel noyau de l’Inter, je dirai Nicolò Barella. Au-delà de son talent inégalable, il y a aussi une raison spécifique pour laquelle je me sens proche de ce joueur. Je revenais à San Siro après onze ans d’absence à l’occasion d’Inter-Verona et Barella marquait ce jour-là son premier but en Serie A sous le maillot de l’Inter, un but qui décidait de l’issue de la rencontre. A ce moment-là j’ai compris que cela allait faire la différence et la joie que cela m’a procurée était incroyable car après avoir passé 14h dans le car, j’avais peur de rentrer à la maison sans victoire." "Je pense qu’il doit encore un peu affiner son caractère sur le terrain car il est, de façon objective, très impulsif, mais je sais aussi m’identifier en partie à lui, c’est ce qui fait que je l’apprécie encore. Pour mon vingt-troisième anniversaire, mes amis m’ont offert son maillot que j’endosse à chaque fois que je vais au Stade. Lors du dernier Derby face au Milan, il a porté bonheur !" Que penses-tu de l’Inter cette saison : Vois-tu une explication suite à une telle saison ? "Je pense que l’Inter nous offre tellement de surprise aussi bien en positif qu’en négatif. Après la désillusion de la saison dernière en championnat, j’espérais que nous aurions fait mieux cette année et au contraire, il y a eu cette involution : Je crois que même l’équipe en elle-même n’est pas capable de vraiment l’expliquer, mais je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Nous avons gagné des coupes qui nous manquaient depuis tant de temps. Nous devons prendre en considération ce qui nous fait plaisir et pas seulement ce qui nous fait souffrir." "Et ne pas se qualifier à la prochaine Ligue des Champions serait une humiliation bien plus qu’une désillusion, mais nous n’avons pas encore dit notre dernier mot et j’espère qu’en cette fin de saison, l’équipe pourra retrouver de la sécurité et de la concentration aussi en championnat." Qui est pour toi la révélation de l’année et qui, au contraire, t’as le plus déçu ? "Je débute par les désillusions et je pense principalement à deux noms, en écartant Skriniar sur qui nous parlerons ensuite : Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic : Ils ont tous les deux été pénalisés par des blessures, mais ils ne se montrent objectivement pas sous leur meilleurs jours. Certains étaient méfiant du retour du belge et d’autres lui ont fait confiance : je fais personnellement partie de la seconde catégorie et, avec le recul, je crois que nous reverrons difficilement le Lukaku de Conte. Et si d’un côté, nous avons perdu notre référence en régie (Brozovic), mais nous faisons la connaissance d’un nouveau Çalhanoğlu qui est parmi les grandes révélations de cette année , lui qui est passé de son poste naturel de Mezz'ala à celui de pivot au milieu de terrain : C’est devenu totalement un nouveau joueur, et il est parmi les meilleurs selon moi." "L’autre grand protagoniste de cette années est Mkhitaryan qui, de réserviste est devenu un titulaire inamovible dans le onze d’Inzaghi et qui est toujours capable de faire la différence et il est surtout infatigable ! Je suis aussi très fier de la saison de Darmian et Dimarco." Comment juges-tu l’incident au Stadium de Turin avec Romelu ? "En un seul mot : Vergognoso (Honteux). Je sais qu’il y a eu une marche arrière et que la FIGC a levé la suspension infligée à l’attaquant Belge. En Italie, on dit “ci hanno messo una pezza” que l’on peut littéralement traduire par "ils ont mis Un pansement sur une jambe de bois". Et c’est ce qu’il s’est passé littéralement : On s’est rendu compte de la très mauvaise image que cela provoquait au niveau mondial et tout a été fait pour y remédier. Toutefois, la décision prise initialement reste, je dirais même mieux, c’est le mauvais message qui a été envoyé qui restera marquant. La conscience demeure qu'une fois de plus il y a ceux qui ont préféré les slogans et les paroles aux actes en eux-mêmes et cela ne peut plus être toléré." Comment te prépares-tu à une rencontre ? Es-tu calme, stressée ? En Famille, au Stade ? "Je suis toujours très tendue avant un match car j’y tiens beaucoup. Lorsque je suivais l’Inter en tant que Tifoso j’allais voir les rencontres au Club et l’ambiance y était très chaude. Aujourd’hui, je vis à Rome, et je regarde les matchs seule et lorsque nous sommes dans les dernières minutes, je suis en direct avec la rédaction d’Inter-News.it (suivez-vous !) ." "Je dois donc me montrer sereine, calme et professionnelle, même si j'ai peut-être mille émotions en moi, mais je dois avouer que très souvent ma spontanéité m'amène à montrer quasiment toutes mes émotions." Penses-tu qu’Inzaghi soit toujours l’homme juste ou devrions-nous changer d’entraineur ? "Je m’en réfère au discours précédent : Je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Je pense qu’Inzaghi a ses propres fautes et qui lui manque un peu cette poigne dans certaines situations, mais c’est aussi le premier entraineur depuis Mourinho à avoir remis l’Inter à un certain niveau européen, et à Milan, les titres manquaient depuis très longtemps . Il faut aussi se dire qu’il est à la tête d’une équipe qui manque de tellement de certitudes (je fais référence aussi bien à la situation sociétal qu’aux joueurs en particulier) ce n’est pas facile et nous tirerons le bilan à la fin de la saison. Peu importe comment cela ira, que cela soit positif ou négatif, tout lui retombera inévitablement dessus." Que penses-tu du départ de Skriniar ? "Je pense que nous nous sommes bercés d’illusions et qu’il nous a bercé d’illusions car nous pensions trouver en lui une nouvelle référence, mais il va sans dire qu’en ce moment, c’est très difficile qu’un joueur regarde autre chose que le profit. D’autre part, il n’y a qu’un seul Javier Zanetti." Qui remportera l’Euro Derby ? "On peut passer à la prochaine question ? Blague à part, le Milan et l’Inter traversent une situation similaire : Ils sont, ensemble, momentanément hors des quatre premières équipes en Italie et ils ne réalisent pas un championnat satisfaisant. Toutefois ils sont parvenu à se retrouver parmi les quatre meilleures équipes européennes en battant des adversaires très compétitifs : Ils ont tous les deux de l’expérience et un noyau valable : Celui qui l’emportera sera celui qui aura le moins peur." Que fais-tu si tu es abordée par un Milaniste ou un Juventino ? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Si c’est un Juventino, je me coupe les doigts), Plus sérieusement, j’ai beaucoup d’amis dans la vie qui sont des "ennemis" en tant que supporters, mais il y a du respect et chacun se nourrit de ses propres passions. Mais pour te dire la vérité, je suis aussi très compétitrice, il vaut donc mieux ne pas regarder les matchs ensemble !" Vu ton talent pour la musique, si l’on te demandait de produire un nouvel hymne pour le Club, de quoi parlerait-il ? "Je suis plus une interprète qu’une compositrice, mais ce serait surement une chanson qui me ressemblerait un peu : Pleine de passion et d’enthousiasme, une mélodie et un texte qui peuvent te donner cette motivation juste d’avant-match, qui serait adaptée pour célébrer les victoires et qui pourrait aussi te consoler après une défaite : Ce serait un Hymne qui raconterait notre Histoire, la nôtre, celle des tifosi : une histoire d’amour." Versione italiana L'avete scoperta di recente sui social network mentre cantava l'inno dell'Inter: è Romina Sorbelli, interista dalla nascita. Romina Sorbelli, ha la fortuna di lavorare per i nostri colleghi di Inter-News.it e che ha parlato apertamente con Internazionale.fr. Ciao Romina, puoi raccontarci qualcosa di te? Quali sono le tue passioni nella vita? Sospettiamo un po' la musica. 'Volentieri. Ho 26 anni e sono una studentessa/aspirante giornalista. Sono laureata in comunicazione e sto terminando gli studi universitari alla facoltà di Informazione, Editoria e Giornalismo. Ho terminato gli esami e sto scrivendo la tesi. Le mie passioni principali sono tre: il calcio, la musica e il cibo. Quella per il calcio si sta trasformando pian piano in un lavoro: sono al secondo anno di formazione per prendere il tesserino da giornalista pubblicista e sogno di diventare una giornalista sportiva. L'amore per la musica l'ho ereditato dalla mia famiglia, sono tutti musicisti (oltre che interisti). Io suono la chitarra, l'ukulele e adoro cantare ma adesso è diventato a tutti gli effetti solo un hobby. Infine, mi piace la cucina e amo il cibo; mi diverto a cucinare soprattutto per gli altri perché penso che sia una dimostrazione d'affetto." Perché l'Inter? Fai parte di una famiglia interista? E perché questa e non un'altra squadra? "Come accennavo prima, in famiglia siamo tutti interisti. Nel mio paese, Sutri, c'è un Inter Club (Inter Club Peppino Prisco) al quale sono iscritta fin da bambina. Sicuramente devo la mia passione per l'Inter a mio padre, grande tifoso interista! Come ho sempre detto, ho scelto l'Inter seguendo le orme di mio papà ma poi ho deciso di continuare su questa strada seguendo soprattutto il mio cuore. Un cuore interamente nerazzurro direi, e non potrebbe essere altrimenti." "Adesso da semplice passione si è trasformata in un lavoro e questa possibilità mi è stata concessa dalla redazione di Inter-News.it, che ringrazierò sempre per avermi dato fiducia e accolta nella loro famiglia." Qual è il tuo ricordo più bello legato all'Inter? "Sicuramente la prima volta che sono andata a San Siro. Avevo solo dieci anni e non lo dimenticherò mai. Così come non dimenticherò tutte le serate passate all'Inter Club a vedere le partite, le cene e i festeggiamenti per le vittorie. Ricordo in particolare una serata organizzata per festeggiare il centenario dell'Inter nel 2008: in quell'occasione ho incontrato Recoba e Stankovic, due dei miei idoli. E soprattutto porterò sempre con me l'incontro con Massimo Moratti di qualche anno fa. Una persona disponibile e un gentiluomo, è stato per me un onore e un privilegio conoscerlo." Cosa ne pensi dello stadio Meazza che per noi è un'istituzione, parte della storia mondiale del nostro calcio? Vorresti che fosse ancora il nostro stadio? "San Siro è parte di tutti noi interisti. Come ho detto, la prima volta che ci sono andata avevo solo dieci anni e ogni volta che ci torno è sempre come la prima. Penso che difficilmente un altro stadio riuscirebbe a regalare a noi tifosi le stesse emozioni. San Siro toglie il fiato." Chi è il tuo giocatore preferito e perché? "In assoluto (forse scontato) Javier Zanetti, per ciò che rappresenta e rappresenterà per sempre per noi interisti. Una vera istituzione della storia nerazzurra. Il mio sogno è intervistarlo e spero di riuscirci un giorno. Dell'attuale rosa dell'Inter dico Nicolò Barella. Al di là del suo talento innegabile c’è un motivo specifico per il quale mi sono avvicinata a questo giocatore: tornai a San Siro dopo undici anni di assenza nel 2019 in occasione di Inter-Verona. Barella segnò il suo primo gol in Serie A in maglia nerazzurra, decidendo la partita." "Da quel momento ho capito che avrebbe fatto la differenza e la gioia che mi ha regalato è indescrivibile, dopo 14 ore totali di pullman temevo di tornare a casa senza vittoria. Penso che debba affinare solo un po' il carattere in campo. È oggettivamente molto impulsivo ma in parte mi ci rispecchio e questo me lo fa apprezzare ancora di più. Per il mio ventitreesimo compleanno gli amici mi hanno regalato la sua maglietta, che ovviamente indosso ogni volta che vado allo stadio. All’ultimo derby contro il Milan ha portato fortuna!" Cosa ne pensi dell'Inter in questa stagione? Vedi una spiegazione per una stagione del genere? "Penso che l'Inter ci stia regalando tantissime sorprese sia in positivo che in negativo. Dopo la delusione della scorsa stagione in campionato ho sperato che quest'anno potessimo fare molto meglio e invece c'è stata un'involuzione. Credo che neanche la squadra sappia darsi una vera e propria spiegazione ma io sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno: siamo tornati ad imporci sul palcoscenico europeo dopo anni e abbiamo vinto coppe che mancavano da tempo. Dobbiamo tenere in considerazione quello che ci fa gioire e non solo ciò che ci fa soffrire." "Sicuramente mancare la qualificazione alla prossima Champions League sarebbe un'umiliazione oltre che una delusione, ma non è ancora detta l'ultima parola e spero che in queste ultime giornate la squadra possa tornare a trovare la sicurezza e la concentrazione anche in campionato." Chi è per te la rivelazione dell’anno e chi invece ti ha deluso di più? "Parto dalle delusioni e penso principalmente a due nomi (tenendo fuori Skriniar di cui parleremo dopo): Romelu Lukaku e Marcelo Brozovic. Entrambi sono stati penalizzati dagli infortuni ma oggettivamente non stanno mostrando il loro lato migliore. C'è chi era diffidente sul ritorno del belga e chi invece gli dava fiducia, io faccio parte della seconda categoria ma col senno del poi credo che difficilmente rivedremo il "Lukaku di Conte". Se poi da un lato abbiamo perso il nostro riferimento in cabina di regia (Brozovic) dall'altro abbiamo scoperto un "nuovo" Çalhanoğlu, tra le grandi rivelazioni di quest'anno: spostandosi dal suo ruolo naturale di mezz'ala a perno di centrocampo è diventato totalmente un altro giocatore; tra i migliori a mio parere. Altra grande protagonista di quest'anno è Mkhitaryan che da riserva è ormai titolare inamovibile tra gli undici di Inzaghi e capace di fare sempre la differenza, soprattutto instancabile! Sono anche molto felice per la stagione di Darmian e Dimarco." Come giudica l'incidente allo stadio di Torino con Romelu? "Una sola parola: vergognoso. So che è stato fatto un passo indietro e che la FIGC ha rimosso la squalifica inflitta all’attaccante belga. In Italia si dice “ci hanno messo una pezza”. E a tutti gli effetti è stato così. Ci si è resi conto della pessima figura a livello mondiale e si è tentato in tutti i modi di risolvere. La decisione presa inizialmente comunque rimane, o meglio rimane il messaggio sbagliato che è stato mandato. Resta la consapevolezza che c’è chi per l’ennesima volta ha preferito slogan e parole ai fatti e questo non può più essere accettabile." "Sono sempre molto tesa prima di una partita perché ci tengo molto. Quando seguivo l'Inter (solo) da tifosa andavo a vedere le partite al club e l'atmosfera era molto accesa, ora che vivo a Roma guardo le partite in solitaria e negli ultimi minuti sono in diretta con la redazione di Inter-News.it (seguiteci!), quindi devo mostrarmi calma e professionale, anche se magari dentro ho mille emozioni. C'è da dire però che molto spesso la mia spontaneità mi porta comunque a mostrarle quasi tutte." Pensi che Inzaghi sia l'uomo adatto o dovremmo cambiare allenatore? "Mi ricollego al discorso precedente. Sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno. Penso che Inzaghi abbia le sue colpe e che gli manchi un po' il "pugno duro" in alcune situazioni. Ma è il primo allenatore dopo Mourinho ad aver riportato l'Inter a certi livelli in Europa e a Milano trofei che mancavano da tempo. C'è da dire anche che guidare una squadra a cui mancano tante certezze (mi riferisco sia alla situazione societaria che a quella dei singoli giocatori) non è facile. Le somme vanno tirate a fine stagione. Ma a prescindere da come andrà, sia meriti che colpe ricadranno inevitabilmente su di lui." Cosa ne pensi della partenza di Skriniar? "Penso che ci siamo illusi, e che ci abbia illuso, di poter trovare in lui un nuovo riferimento ma, sarà scontato dirlo, di questi tempi è molto difficile che un giocatore guardi oltre il guadagno. D'altronde, di Javier Zanetti ce n'è solo uno!" Chi vincerà l'Euro Derby? "Passiamo alla prossima domanda? A parte gli scherzi, Milan e Inter vengono da una situazione simile: entrambe sono momentaneamente fuori dalle prime quattro squadre in Italia e non stanno disputando un campionato soddisfacente, ma sono riuscite a rientrare tra le migliori quattro in Europa battendo avversari molto competitivi. Entrambe hanno esperienza e una rosa valida. Vincerà chi avrà meno paura!" Cosa fai se vieni avvicinata da un milanista o da uno juventino? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Scherzo ovviamente, ho molti amici nella vita che sono "nemici" di tifo ma c'è rispetto ed è giusto che ognuno coltivi le proprie passioni. Ma, dico la verità, sono anche molto competitiva quindi meglio non vedere insieme le partite!" Dato il tuo talento per la musica, se ti venisse chiesto di produrre un nuovo inno per il club di cosa parlerebbe? "Sono un'interprete più che una cantautrice ma sarebbe sicuramente una canzone un po' come me: carica di entusiasmo e di passione. Una melodia ed un testo che possano dare la giusta carica nel pre-partita, che siano adatti per festeggiare le vittorie e possano consolare dopo una sconfitta. Un inno che racconti la storia di tutti noi tifosi, una storia d'amore." Je tiens à remercier personnellement Romina, que je vous invite à suivre sur son Twitter Officiel et je tiens également à saluer l’équipe d’Inter-News.it : Suivez-la également via le lien suivant : https://www.inter-news.it/ Ringrazio personalmente Romina, che vi invito a seguire sul suo Twitter ufficiale e saluto anche il team di Inter-News.it: Seguitela anche al seguente link: https://www.inter-news.it/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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