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  1. L'exploit de Lisbonne est derrière eux, avec maintenant pour objectif de récupérer une partie du terrain perdu ces dernières semaines. Des défaites souvent incroyables qui ont fait sortir dangereusement l'Inter de la zone Ligue des champions, cette même Ligue des champions qui fait tant de bien au moral des Nerazzurri. Avec Monza, ce soir, l'Inter n'a pas le droit à l'erreur. INTER - Inzaghi a pleine confiance après Lisbonne et évalue quelques changements par rapport à la composition initiale en tenant compte des efforts fournis du match aller et en prévoyance du match retour. Et donc, par rapport à Benfica, De Vrij, Gosens, Lukaku et Correa devraient être titulaire. Ballotage Darmian-D'Ambrosio en défense et Asllani-Brozovic pour le rôle au milieu. Calhanoglu, sera là mais il sera sur le banc. Et peut être une "chance" de voir Gagliardini pour faire souffler Barella ou Mkhitaryan n'est pas à exclure. Seul Skriniar est absent. MONZA – Brianzoli est en grande forme comme le confirme le fait que Palladino aura toute l'équipe à sa disposition. Cependant il y quelques doutes suite a l'entraînement : Caldirola préféré à Marlon en défense et Petagna en attaque. Pour le reste, on se dirige vers la confirmation du 3-4-2-1 avec Sensi et Caprari derrière l'attaquant. Rovella et Pessina seront les deux milieux de terrain. COMPOSITIONS PROBABLES : INTER (3-5-2) : Onana ; Darmian, De Vrij, Bastoni, Dumfries, Barella, Asllani, Mkhitaryan, Gosens, Lukaku, Corréa. Banc : Handanovic, Cordaz, Acerbi, D'Ambrosio, Dimarco, Bellanova, Brozovic, Calhanoglu, Gagliardini, Carboni, Lautaro, Dzeko. Entraîneur : Inzaghi. Suspendu : aucun Bléssé : Skriniar MONZA (3-4-2-1) : Di Gregorio, Izzo, Pablo Mari, Caldirola, Ciurria, Pessina, Rovella, Carlos Augusto, Sensi, Caprari; Pétagna. Banc : Cragno, Sorrentino, Marlon, Antov, Donati, Birindelli, Carboni, Barberis, Frog, Machin, Valoti, Colpani, D'Alessandro, Mota Carvalho, Gytkjaer. Entraîneur : Palladino. Suspendu : aucun. Bléssé : aucun. Arbitre : Pairetto. Assistants : Vecchi et M. Rossi. Quatrième Arbitre : Rutella. Var : Valeri (Paganessi). Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  2. Dans ce choc de la 22ème journée de Série A, l'Inter avait l'occasion de prendre une petite avance sur son dauphin, tandis que l'Atalanta pouvait se décrocher d'une Juventus menaçante pour le top 4. Et malgré les deux meilleures attaques de Série A, la Beneamata et la Dea se sont neutralisées. Du côté de l'Inter, plusieurs changements par rapport à la victoire en Super Coupe d'Italie. Danilo D'Ambrosio prend la place de Stefan De Vrij, faisant basculer Milan Škriniar dans l'axe de la défense; Matteo Darmian remplace Denzel Dumfries et le héros de mercredi, Alexis Sánchez, remplace Lautaro Martínez. Du côté de l'Atalanta, de nombreux absents sont à noté : Duvan Zapata, Robin Gosens, Joakim Maehle, Rafael Toloï ainsi que Ruslan Malinovski. Dès le début du match, on voit une physionomie qui va être quasiment la même durant tout le match. L'Inter tente d'attirer l'Atalanta jusqu'à la surface de Samir Handanović, tandis que l'Atalanta bloque parfaitement les relances Nerrazzuri. Dans les premières minutes, l'Atalanta ne voit pas le ballon, et attends même plus de 5 minutes pour avoir sa première phase de possession. L'Inter tente de perforer cette équipe Bergamasque, avec de nombreuses permutations au milieu, entre Hakan Çalhanoğlu, Nicolò Barella et Marcelo Brozović. Les Interistes ne sont pas dangereux, mais certaines imprécisions techniques les mettent en danger. Par ailleurs, la pelouse du Gewiss Stadium de Bergame ressemblait plus à une grande patinoire verte qu'à un terrain de foot. Brozović et Alessandro Bastoni en ont fait les frais, mais heureusement, sans danger. La première occasion de ce match vient d'un exellent centre de Brozović, depuis la ligne de touche, pour Edin Džeko. Le Bosniaque ne parvient pas à rabattre ce ballon, qui s'envole au dessus des montants de Juan Musso. L'on sent la pression de l'enjeu sur le contenu de la partie, les deux équipes rechignant à prendre des risques. Le match est lent, l'Inter a le ballon, mais est considérablement gênée par le marquage individuel et le pressing de l'Atalanta. Malgré cela, le match va un petit peu s'accélérer à la demi-heure de jeu, avec deux occasions de Sánchez et Džeko, les deux hors cadre. Matteo Pessina teste ensuite Samir Handanović de la tête, sans succès. L'arbitre de la rencontre Davide Massa siffle la fin de cette première période. Les deux équipes rentrent aux vestiaires avec le sentiment que tout reste à faire. Pas de changement à la pause, les mêmes 22 acteurs reviennent sur la pelouse. Et cette fois-ci, le match va redémarrer un peu plus fort. Remo Freuler s'essaie de loin, mais sa frappe est trop sur le portier Nerrazzuri. Puis vient la plus grosse occasion du match. Pessina se présente en face à face avec Handanović, quasiment dans les 5,50 mètres. Et c'est bien le Slovène qui va remporter ce duel, avec un superbe arrêt au sol. S'en suit une nouvelle tête, encore au dessus, de Pessina. L'inter est un peu sonnée par cette reprise, et met du temps à se reprendre. L'on a la sensation que les Nerrazzuri ne sont jamais réellement rentrés dans leur match. À la 59', Džeko tente une frappe angle fermé, un jeu d'enfant pour Juan Musso. Le Bosniaque n'est pas dans son meilleur jour. Il loupe quasiment tous ses ballons offensifs. Sauf à l'heure de jeu, où il déborde sur Freuler, au physique, pour ensuite adresser un centre vers Matteo Darmian. Mais un excellent retour de German Pezzella sauve la Dea et Musso, totalement battu. Simone Inzaghi effectue ses premiers changements à la 66' : Çalhanoğlu, Sánchez et Darmian sortent respectivement pour Arturo Vidal, Joaquín Correa et Denzel Dumfries. Le Néerlandais réalise une bonne entrée, en proposant davantage de solution offensive que son homologue Italien. À la 70', et après un superbe centre de Barella, Dumfries remise parfaitement dans l'axe vers Edin Džeko. Et alors qu'il est seul face au but, il trouve le moyen de mettre ce ballon au dessus. Les changements ont, momentanément, fait beaucoup de bien à l'Inter. À un quart d'heure du terme, c'est Vidal qui tente sa chance aux 16,50 mètres. Juan Musso se montre vigilant et sort ce ballon. L'Atalanta termine ensuite la rencontre tambour battant. La tête de Mario Pasalić est contrée in-extremis par Danilo D'Ambrosio, et sortie en corner. Et à la 81', Luis Muriel s'échappe seul vers le but Interiste, avec l'espoir de clôturé ce match. Mais c'est sans compter sur l'immense Samir Handanović, qui remporte à nouveau son face à face. Le véritable homme du match côté Nerrazzuri. Sur le corner suivant, Merih Demiral tente une reprise, en vain. La frappe passe largement à côté des filets. Inzaghi sort alors sa dernière cartouche de sa poche : Il Toro Lautaro Martínez, ainsi que Stefan De Vrij. Ils prennent la place de Džeko et Bastoni. Pasalić tente pour la dernière fois d'inquiéter Handanović, mais sans succès. Le Slovène fut absolument impérial. La balle de match vient à la 89' : grâce à la superbe inspiration de Barella, D'Ambrosio est trouvé seul face à Juan Musso. Mais bien malheureusement, il croque complètement cette occasion, en envoyant une frappe devisée dans le petit filet. L'Inter tente d'arracher la victoire dans les derniers instants, mais il est trop tard. Davide Massa siffle la fin de cette rencontre. L'Inter prend malgré tout un bon point, et se contentera du nul. Un nul finalement très juste tant les statistiques des deux équipes sont similaires. L'Atalanta de son côté, voit la Juventus revenir dangereusement sur cette 4ème place. Rendez-vous mercredi, 21h00, pour la réception d'Empoli, en 8ème de finale de coupe d'Italie, avant d'accueillir Venezia, samedi à 18h00. Tableau récapitulatif Atalanta 0 - 0 Inter Buteur(s): / Atalanta (3-4-2-1): 1 Musso; 28 Demiral, 6 Palomino, 19 Djimsiti; 11 Freuler, 15 De Roon, 7 Koopmeiners, 13 Pezzella; 32 Pessina (78' 59 Miranchuk), 88 Pasalić (90' 77 Zappacosta); 9 Muriel (86' 99 Piccoli) Banc: 59 Miranchuk, 57 Sportiello, 46 Cittadini, 99 Piccoli, 48 Panada, 45 Zucon, 77 Zappacosta, 42 Scalvini, 31 Rossi Entraîneur: Gian Piero Gasperini Inter (3-5-2): 1 Handanović; 33 D'Ambrosio, 37 Škriniar, 95 Bastoni (83' 6 De Vrij); 36 Darmian (66' 2 Dumfries), 23 Barella, 77 Brozović, 20 Çalhanoğlu (66' 22 Vidal), 14 Perisić; 9 Džeko (82' 10 Martínez), 7 Sánchez (67' 19 Correa) Banc: 32 Dimarco, 2 Dumfries, 10 Lautaro Martínez, 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 22 Vidal, 12 Sensi, 8 Vecino, 97 Radu, 13 Ranocchia, 19 Correa Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre : Davide Massa VAR : Di Paolo Averti(s): 37' De Roon (A), 42' Brozović (I), 62' Çalhanoğlu (I), 84' Palomino (A) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  3. Suite au forfait l’absente de Matteo Pessina, Roberto Mancini a décidé de convoquer, à sa place, Federico Dimarco. En effet, la FIGC a transmis à l’Uefa la demande de remplacer le joueur de l’Atalanta par celui de l’Inter dans la liste des 23 joueurs convoqués pour disputer la phase finale de l’Uefa Nations League 2021. Federico, auteur d’un très bon début de saison sous l’Inter de Simone Inzaghi retrouvera, en Nazionale, Nicolò Barella et Alessandro Bastoni! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. L'Atalanta pourrait se passer de Matteo Pessina et Luis Muriel pour le choc face à l'Inter, rapportent les médias Italiens. L'Atalanta pourrait être sans deux de ses joueurs majeurs pour la confrontation à Giuseppe Meazza contre l'Inter ce samedi soir, selon un rapport parut dans les medias Italiens. Comme cela a été rapporté sur le site officiel de l'Atalanta, l'équipe a été soumise à l'entraînement au Centre Bortolotti de Bergame pour préparer le match contre les hommes de Simone Inzaghi. Matteo Pessina n'a pas pris part à la séance collective mais a suivi un programme d'entraînement individuel à l'écart du groupe, à cause d'une ecchymose au pied dont il essaye de se remettre. C'est pourquoi il est peu probable de voir l'international Italien participer au match de samedi soir. Le buteur colombien Luis Muriel est aussi incertain car il s'est également entraîné seul, avec pour cause une blessure au quadriceps droit. La Dea sera par contre sans son arrière latéral droit Hans Hateboer. Après l'opération chirurgicale nécessaire pour stabiliser sa fracture du cinquième métatarsien du pied droit, Hateboer a déjà recommencé la réhabilitation visant à retourner sur le terrain le plus vite possible. ®Internazionale.fr - Aurios-Inter Via SempreInter
  5. Giuseppe Marotta et Piero Ausilio se sont livrés à Rimini dans le cadre du lancement de la session estival du Calciomercato. Voici les déclarations de notre Padrino devant le parterre de journalistes présent à Rimini, suivi de celles octroyées à Sky Sport La vente la plus lucrative sera celle d’Hakimi : Où en sommes-nous actuellement ? "Nous sommes en train de finaliser une opération que notre Directeur Sportif a réalisé d’une façon retentissante, il s’agit d’une opération douloureuse que nous réalisons avec énormément de souffrance, mais elle s’avère nécessaire pour donner de l’oxygène au club et pour nous apporter les outils nécessaire pour apporter de la continuité et de la stabilité qu'exige un club de football. Cela ne veut pas dire que l’Inter n’ambitionne pas d’objectifs importants car, à côté de l’aspect financier, il y a la créativité et la compétence inhérente aux dirigeants pour composer une équipe compétitive pour l’Histoire et pour les résultats." Les tifosi se questionnent : Y-aura-t ’il d’autres ventes aussi excellente ou c’en est terminé avec Hakimi ? "Nous sommes, aujourd’hui, dans les conditions de dire que cette opération nous permettra de faire face à tout avec sérénité. La règle du Mercato est que si un joueur manifeste sa volonté de partir, qu’il sera difficile de le conserver, mais en ce moment, il n’y a pas personne qui présente ce type de symptôme chez nos joueurs. J’espère et je me souhaite que l’on puisse confirmer quasiment la totalité de ce groupe de gagnants." Comment se passe la situation relative à Lautaro, avez-vous parlé de prolongation ? "Nous avons débuté un échange dont la finalité sera une prolongation du contrat." Bellerin peut-être être l’idéal pour l’après-Hakimi ? Lazzari est-il le préféré d’Inzaghi ? "Ce sont des noms de joueurs intéressants. Mais en ce moment, nous devons nous comporter avec calme. Le plus important à retenir est que nous n’avons pas la capacité de réaliser des investissements très pesant, c’est évident que nous devrons agir en faisant preuve d’une grande créativité pour saisir les opportunités que le mercato nous offrira." Le fait de ne pas pouvoir investir vous impact à quel point ? "Cela vaut pour tous les clubs, ce n’est pas que pour nous. Il y a une contraction économique qui nous pousse à procéder à une gestion plus attentiste d’un point de vue administratif et financier." Quel est votre premier ressenti sur Inzaghi ? "Il est positif: Je retrouve en lui les caractéristiques conquérantes d’un entraîneur comme Conte. Je suis certain que cela apportera une continuité au projet avancé par Conte. Il est le profil le plus adapté pour être reconnu, à juste titre, comme son héritier." Avez-vous discuté au club d’InterSpac ? "Pas encore, mais il y a un dénominateur commun entre être cette initiative, Zhang et le Suning : Le bien et le futur de l’Inter. Je dois aussi souligner que la famille Zhang a injecté à profusion des ressources financiers : 700 millions d’euros. Toutes les initiatives sont évaluées, nous sommes dans une phase interlocutrice. Je ne peux pas m’exprimer étant donné que je n’ai pas d’autres éléments qui m’ont été porté à ma connaissance." Sur l’aile gauche, vous semblez bien, l’échange Drągowski-Sensi est une possibilité ? "Non, ce n’est pas une opportunité. Nous devrons saisir des opportunités sans faire de folies." Il Padrino à Sky Sport "L’ouverture du mercato reste un moment historique, il n’y aura pas de grands transferts très onéreux, la créativité y aura une grande place." Hakimi-Paris ? "C’est une opération sur laquelle Piero Ausilio a travaillé, nous en sommes dans sa phase finale, il y a des formalités à accomplir, ce qui est normal lorsque l’on traite avec l’étranger. Je pense que l’on peut arriver à sa conclusion dans un délai d’une journée." "C’est un transfert douloureux, mais comme Administrateur, j’ai l’obligation de garantir au club sa soutenabilité. Le mercato n’est pas encore entré dans le vif, et je tiens à souligner la difficulté à parvenir à transférer un joueur en obtenant uniquement du cash, il faut le savoir. C’est normal que le club souhaite confirmer tous ses joueurs, saut si ceux-ci manifestent leur intention de vouloir aller ailleurs, là il faut discuter." "Lorsque Hakimi sera officiellement au Paris-Saint-Germain, nous pourrons respirer. Je ne tiens tellement pas à devoir vendre d’autres joueurs, je veux maintenir l’organisme qui nous a donné tant de satisfaction." Lautaro ? "L’Inter a, devant elle ,des objectifs sportifs à atteindre au-delà de la soutenabilité financière. Avec les joueurs, Lautaro Martinez compris, nous avons débuté des petites approches pour prolonger les contrats. Lui et tant d’autres joueurs sont jeunes et l’Inter mise sur eux. Ce n’est pas une entreprise facile, mais nous devons veiller à défendre le patrimoine historique de ce club riche de succès. Ces couleurs présentent un palmarès riche de succès que nous devons continuer à maintenir à un niveau important. Il faut également souligner que nous sommes dans une période de contraction économique et financière." Y-a-t ’il des avantages et des inconvénients vis-à-vis des joueurs en fin de contrat ? "Tout dépend du point de vue. Si tous font preuve de rigidité dans la gestion de cette situation, cela sera un inconvénient contrairement à avant. Les salaires ont atteint des niveaux insoutenable et dans n’importe quelle autre société, celles qui ne font pas partie du monde du football, nous aurions été en face d’un scénario de faillite." Comment remplacer Hakimi ? "Nous travaillons en équipe, il y a l’entraîneur et les collaborateurs, nous devons faire preuve de sérénité car il n'y aura pas de demandes de clubs vendeurs, nous devons saisir les opportunités et être imaginatifs, je ne prévois pas de grands mouvements entrants du club. Mais le fait de confirmer un groupe gagnant comme le nôtre représente un point de départ important". L’approche populaire ? "Cela concerne la propriété, je ne peux pas m’exprimer aussi bien par respect, que par manque de connaissance des éléments. C’est normal que nous devrons, nous aussi créer un nouveau modèle, nous faisons face à un changement d’époque, il n’y aura plus d’opération pharaonique. On travaille sur les compétences, l’inventivité, l’opportunité, et sur le secteur des jeunes qui représentent un grand patrimoine." Eriksen ? "Nous ne l’avons pas entendu directement, pour des raisons de vie privées. Le médecin, oui, ce qui compte c’est de retrouver Eriksen l’Homme, avant le joueur. La première intervention réalisée par les médecins, dans le stade, a été miraculeuse et efficace, nous parlons ici de quelque chose de merveilleux. Ce n’est pas le moment de parler de l’après, il doit retrouver de la sérénité et sa santé." "La fierté d’une direction est aussi de voir ses propres joueurs évoluer en équipe nationale, à l’Euro. Vendredi, ce sera Belgique-Italie avec nos joueurs, le tifo est acquis, à présent dire que le meilleur gagne ne compte plus, mais que l’Italie gagne. Mais je reste fier de nos joueurs." Inzaghi ? "Nous travaillons en équipe, tout le monde doit chercher à prendre des décisions dans le bien de la collectivité. Je me souhaite qu’Inzaghi soit l’héritier de Conte, en tout et pour tout, dans les résultats et sous l’aspect professionnels. Avec lui, il y a des échanges quotidien, il échange avec Ausilio trois ou quatre fois par jours, avec moi, très peu. Je pense qu’il a passé ses vacances au téléphone, il a déjà démontré un grand sens d’appartenance." Conte ? "Cela fait quelque temps que nous n’avons pas échangé, je sais qu’il est parti en vacances et c’est bien ainsi. Il restera un souvenir splendide de deux années extraordinaires passées avec des résultats atteints." Le Scudetto ? "Nous devons nécessairement tenir élevé la bannière de l’Inter pour l’Histoire du Club. Même si l’on n’a pas de finances, on retrouve les motivations et les compétences, car sans elles, il n’est pas possible d’atteindre les objectifs." Piero Ausilio se livre à Sky Sport depuis Rimini Que pensez-vous de la photo d’Insigne, avec le maillot de l’Inter, enfant ? "Je m’en souviens. Chaque fois que nous finissons par jouer le Napoli, elle me poursuit, je ne sais plus à quel âge il l’a fait. Mais il se moque toujours de moi lorsque nous nous croisons." Y-a-t ‘il la possibilité d’en trouver un lendemain ? "Non, il n’y a rien à voir absolument avec cela, c’est une chose divertissante, c’est une photo qui fait du bien dans la tête." On savait que l’Inter allait devoir sacrifier au moins un joueur titulaire et que ce serait Hakimi. A quel point cela vous déçoit-il vu que vous l’aviez suivi durant tellement d’années et que vous l’aviez recruté pour 40 millions d’euros ? "Notre temps n’est jamais celui qui compose le mercato: Selon vous, nous avions été très rapide, en brûlant quasiment toute la concurrence, mais nous avions respecté les délais. Nous parlons avec Paris et il y a une opportunité, nous sommes encore à distance de la finalisation. Nous prenons notre temps pour, lorsque tout sera prêt, qu’il puisse s’agir de quelque chose de définitif." Les Tifosi se demande s’il s’agira de la dernière vente d’un Big. Lautaro, Skriniar, Bastoni, Barella… "Je sais que vous avez aussi questionné Marotta, l’idée était de sacrifier un joueur avec lequel le mercato pouvait se conclure, et Hakimi en était le plus proche, nous ne pensons pas aux autres. Nous devrons faire tant de petites choses pour arriver à l’objectif fixé par la propriété, nous pensons pouvoir le centrer d’ici à la fin août." Comment est née l’opération Calhanoglu ? "Nous avons dû en parler suite à la situation particulière entourant Christian. Nous avons le devoir, en tant que club, de répondre présent. Nous attendons Eriksen, nous savons qu’il fera face à un long parcours et nous lui sommes proche, nous lui donnerons tout le temps nécessaire et nous souhaitons qu’il puisse revenir à faire ce qu’il a toujours fait. Nous sommes l’Inter et nous devions aussi penser au bien du club et à l’opportunité Calhanoglu”. Etes-vous intéressé par Raspadori? "Ce n’est pas la bonne soirée pour en parler. Bonan est devenu plus vicieux que Di Marzio (il sourit). Je peux seulement vous dire que c’est un joueur que toute l’Italie apprécie pour ses qualités et son sérieux, je le connais et l’apprécie depuis le secteur jeunesse. Selon moi, il profitera encore de Sassuolo quelques temps." "Carnevali est un coriace qui ne vend pas facilement et nous ne sommes pas en mesure de nous présenter sérieusement pour Raspadori. Nous considérons qu’il n'est pas sur le marché et que notre parc d’attaquant est au complet." Bellerin et Zappacosta ont été cité pour être deux bons remplaçants d’Hakimi, Onana pourrait ‘il représenter une opportunité pour un futur sans frais ? "Hakimi est encore un joueur de l’Inter je ne parle pas de remplaçant tant qu’il n’y a rien de définitif. Je contrôle et je connais le Mercato., nous répondrons présent s’il est possible de réaliser quelque chose. Je lis et j’entends tellement de nom,s aussi celui d'Onana qui est récemment sorti, mais notre parc de gardien est suffisamment qualitatif, il peut couvrir aussi bien le présent que le futur. Il ne faut pas oublier que Stankovic est très fort et que Brazao fera rapidement parler de lui, car il est vraiment très doué." Geoffrey appréciera Un échange sympathique a eu lieu entre Adriano Galliani et Piero Ausilio. L’actuel Administrateur-Délégué de Monza est revenu sur le duel à distance qui a mené au recrutement de Geoffrey Kondogbia : "L’Inter a été très bonne, même si je dois prendre aussi en considération la mauvaise relation avec Nelio Lucas son agent. J’avais besoin aussi à ce moment-là de sa contre-signature car nous étions en phase de vente du club" - Galliani Piero allume le français : "Il avait recruté Pessina pour 30.000€ et nous Kondogbia pour 30 millions d’euros. A postériori, nous aurions mieux fait de recruter Pessina, rien n’a bien tourné. L’investissement n’avait pas porté ces fruit vu les prestations qui en ont suivi." Pas même un auto-but de 50 mètres ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Après un match âpre et difficile, l'Italie arrive en quart de finale et affrontera soit la Belgique ou soit le Portugal. Ce récit est la traduction de ''Federico Chiesa’s extra-time missile makes Italy believe in miracles again'' de Jonathan Liew paru sur le site du Guardian. Il n'y avait aucun sentiment d'inévitabilité alors que le ballon atterrissait dans les pieds de Federico Chiesa. Pas de réel sentiment de grâce. 95 minutes de football angoissantes avaient fait tout cela. Comme des boxeurs fatigués lors d'un 13e round, l'Italie et l' Autriche tournaient simplement en rond, attendant de voir quelles jambes céderaient en premier. Un rebond élevé maladroit, forçant Chiesa à contrôler le ballon avec la tête pour l'empêcher de sortir, a simplement renforcé la notion d'un jeu dans lequel rien n'avait fonctionné et dans lequel rien ne fonctionnerait. Et puis via un mouvement du pied gauche, le ballon s'enfonçait dans le filet autrichien, et Chiesa était enterré sous une pile de maillots bleus, et en un instant éphémère, les Italiens étaient de nouveau vivants. L'Italie était à nouveau vivante. Une nuit où l'Italie avait presque cessé de croire aux miracles, le missile de Chiesa semblait être plus qu'un but. C'était comme une bénédiction, une bénédiction et un baiser de la vie. Naturellement même dans la victoire, il y a ici un élément d'anticlimax, étant donné la façon dont les Italiens nous ont charmés lors des phases de groupes. Ce front à trois fluide était introuvable, le milieu de terrain dominant a disparu pendant de longues périodes alors que l'Autriche ripostait avec un nombre et des intentions. Et pourtant, n'importe qui avec la moindre expérience du football de compétition aurait pu prévoir un test comme celui-ci. Pensions-nous vraiment que l'Italie allait se frayer un chemin facile tout au long du parcours? N'était-il pas inévitable que quelqu'un, quelque part le long de la ligne, jette une clé dans les travaux ? Dans l'ensemble, les tournois ne sont pas gagnés et perdus par un beau football. Ils se construisent et se détruisent dans des nuits comme celles-ci: quand les matchs sont serrés et tendus, quand les nerfs sont agités, quand le déterminant ultime de la victoire n'est pas votre palmarès mais votre seuil de souffrance. L'Italie avait joué un football scintillant pour atteindre ce point. Ils avaient mis le feu au tournoi. Mais ils n'avaient pas du tout été obligés de souffrir ainsi. Et ainsi, lors d'une nuit fraîche à Londres, l'équipe de Roberto Mancini ont été enroulés à travers l'essoreuse: secoués et contusionnés, forcés à maintes reprises d'aller à l'endroit douloureux. Le but refusé de Marko Arnautovic en seconde période les avait même contraints à envisager l'impensable. Les remplacements de Mancini, pas seulement les deux buteurs mais même l'introduction tardive d'Andrea Belotti, qui gâche le match, se sont avérés essentiels. La lueur de la victoire, finalement scellée par Matteo Pessina, sera l'analgésique le plus glorieux qu'on puisse imaginer. Il s'agissait certainement d'un test plus difficile, plus rude et plus désagréable que toute l'Italie n'avait encore affronté dans ce tournoi. Contrairement au Pays de Galles, l'Autriche portait en fait une menace importante. Contrairement à la Suisse, ils ont concouru physiquement au milieu de terrain et avaient un plan coordonné pour perturber l'Italie en possession. Contrairement à la Turquie, ils n'ont pas simplement renvoyé le ballon dès qu'ils l'ont reçu. Ils s'apparentent à une équipe de Bundesliga en termes de style et de tempérament, avec leur style vertical singulier et leur presse haute vorace. De toute évidence, l'Autriche avait tenu compte des leçons de la phase de groupes: que la meilleure façon d'atteindre l'Italie est de les forcer à jouer à un rythme plus élevé qu'avec celui ils étaient à l'aise. Et loin de prendre le contrôle du match, l'Italie a commencé à perdre le contrôle au fur et à mesure qu'elle avançait, frappant à plusieurs reprises tout au long des 90 minutes sans jamais vraiment réussir à en tirer une occasion dangereuse. Le but d'Arnautovic, hors-jeu d'une largeur d'une rotule, était un réveil bien nécessaire. Mancini a retiré Marco Verratti sans réelle conviction de son milieu de terrain, a présenté la paire de Pessina et Manuel Locatelli, plus active et plus dynamique, et l'Autriche n'a jamais vraiment semblé gagner après cela. Pessina a rendu le match sûr à la 105e minute, et malgré un but autrichien tardif, l'Italie a réussi à mettre suffisamment d'ordre au milieu du chaos pour progresser. D'une certaine manière, cela pourrait être la meilleure chose qui leur arrive. Ils auront désormais le temps de travailler leurs défauts avant le quart de finale contre le Portugal ou la Belgique: serrer quelques vis, se rendre un peu moins prévisible en attaque et un peu plus dur à contrer. Surtout, ils savent maintenant qu'ils peuvent gagner ce genre de matchs: quand le formulaire sort par la fenêtre, quand tous les plans tactiques sont épuisés, et quand il ne reste plus qu'à se lever et à se battre.
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