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MAURO ICARDI Informations Générales : Nom : ICARDI Prénom : MAURO Poste : Attaquant Date de naissance : 19 / 02 / 1993 Lieu de naissance : Rosario Pays : Argentine Taille : 181 cm Poids : 75 kilos Numero de maillot : 7 Au club depuis : 2013 Position sur le terrain : Biographie : Clubs Mauro Icardi arrive à l'âge de 15 ans à La Masia, le centre de formation du FC Barcelone. Il y reste trois ans avant d'être recruté par la Sampdoria. Le 6 janvier 2013, il marque deux buts décisifs en championnat face à la Juventus. Il réalise un quadruplé face à Pescara le 27 janvier 2013 et totalise 8 buts pour sa première saison à seulement 19 ans. Il remarque lors de la victoire de la Sampdoria 3-1 contre l'AS Rome d'une superbe tête croisée. Lors du mercato 2013, il est engagé par l'Inter Milan qui base de grands espoirs en lui. Equipe nationale Il est sélectionné à 5 reprises en équipe Argentine U20 et marque 3 buts (Source: Wikipédia) Clubs : 2008-2011: FC Barcelone 20011-2013: UC Sampdoria 2013-?: Inter Milan
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C'est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Lautaro sauve l'Inter: Dans une soirée "extrême" destinée aux cœurs bien accrochés, l'Inter a traversé les murs de l'enfer et n'est resté debout qu'avec la force du désespoir. Et ce n'est pas un hasard, si son salut vient du pied de Lautaro Martinez, après plus de trois quart d'heure de jeu à la merci de la Real Sociedad, lui qui reprenait du gauche le tir raté de Davide Frattesi, le transformant de la sorte en une passe décisive." "Porteur du Brassard de Capitaine, il a survécu au Turn-Over de Simone Inzaghi et n'a pas été remplacé malgré une fatigue évidente, car c'est l'attaquant sur lequel l'Inter compte en cas de coup dur. Et cette année, plus encore que les précédentes, il est devenu le Capitaine et le Guide spirituel d'un groupe qui a profondément changé: C'est aussi pour cette raison qu'en fin de match, il ne s'est pas voilé la face face au danger qui s'est présenté à lui, il n'a même pas esquissé le moindre sourire, mais il est allé secouer toute l'équipe, y compris lui-même, avec ses propre mots". Et si le Toro a scoré dans une rencontre des plus cauchemardesque comme l'a été la soirée vécue au San Sebastian, on retrouve une éclaircie car son but est le 200ème but de l'Inter Ligue des Champions. A titre personnel, Lauti en est à son onzième but dans la compétition, il se rapproche de son illustre compatriote, Hernan Crespo, au tableau des buteurs de l'Inter dans l'Europe qui compte: "Ce qui reste toutefois le plus marquant est qu'il y soit parvenu sur la première tentative de son équipe, alors qu'il ne restait que trois minutes à jouer avant d'atteindre la la 90ème minute" "Le but de l'attaquant argentin contre la Real Sociedad est également son 108ème but avec le club de la Viale Della Liberazione, son sixième cette saison. Vrai phénomène, il vise à entrer dans la liste des meilleurs buteurs de l'Histoire des Nerazzurri avec encore plus d'insistance : Christian Vieri, neuvième de ce classement spécial, a marqué 123 buts avec l'Inter, tandis qu'Icardi, huitième, s'est arrêté à 124." "Mais ce n'est pas tout : Lautaro, mis à part le match contre l'AC Milan, a marqué contre tous les adversaires qu'il a rencontrés : un doublé contre Monza, un but contre Cagliari, deux autres buts contre la Fiorentina. Si les buts du joueur ont rapporté neuf points en championnat, celui d'hier soir contre la Real Sociedad a permis d'éviter une défaite en terre basque". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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A travers sa vidéo diffusée sur son canal YouTube, ce mardi, Luca Mastrangelo s’est offert le renégat slovaque "Bravo, bravo bravo, tu as bien fait le faux jeton. Tu te retrouves bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge psychopathe.Toi, je vais te surnommer à présent, le Slovaque "Finto Buono" qu’on peut traduire par un faux-jeton. Lorsque l’on ne savait pas ce qu’il se passait, comme dans l’histoire récente de Lukaku, lorsque l’on ne sait pas où vous alliez apparaitre, lors vous faisiez usage de termes cryptique, de mystères: Vous avez toujours fait croire aux Tifosi des choses au point que le Tifoso se disait "Mais le pauvre"…. Vous avez joué sur le fait que le peuple avait de l’affection pour vous, qu'il vous voulait du bien, et en faisant usage de phrases mystérieuses pour le Tifoso, ceux-ci se disaient "Mais non le pauvre , il doit forcément se passer quelque chose dont je ne suis pas au courant, il ne peut pas être aussi mauvais, non." Non, Faux-jeton, non le Slovaque Faux-Jeton, tu te retrouves bien avec le Belge Psychopathe et l’Argentin simulateur de maladie, vous être fameux, 3 Fameuses merdes et même si je ne vous souhaiterai jamais, car je ne suis pas comme ça, du mal sur votre intégrité physique, mais j’espère qu’au niveau sportif vous ferez vraiment de la vraie merde, à m’en saigner les deux mains. Skriniar, vu comment ça s’est passé, je n’ai plus envie d’argumenter, mais aujourd’hui j’ai pris l’air, et je vous montrerai par après où je suis allé et ce que je me suis acheté. regardez bien la vidéo jusqu’au bout. Mais j'ai regardé aussi mon portable et j’ai vu les déclarations de Skriniar, ses déclarations, pas celle d’un autre, depuis Paris: "Nous avons commencé à parler avec le PSG depuis l’été dernier" et c’est vrai et ici, je n’ai rien pour m’énerver , il y avait une négociation en cours l’été dernier, il aurait aussi pu être vendu. Le fait que tu as parlé avec le PSG l’année dernière n’est pas un problème, ce n’est pas quelque chose qui peut m’énerver. "Finalement je suis à Paris et je suis vraiment très heureux" Et là aussi c’est une bonne phrase, qu’est-ce que tu veux dire, tu es sur place, tu ne vas pas dire : "Je suis dans une équipe de merde, je ne suis pas heureux." Si tu es heureux, bonne affaire pour toi "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doute sur mes intentions" et là, les choses changent, "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doutes sur mes intentions, je voulais venir à Paris, je pensais que c’était fantastique.." Et là tu es vraiment un batard, un conard, tu es vraiment un connard car TOI, tu nous a fais croire à nous quelque chose que tu avais mis en avant, mais mis en avant depuis des mois et jusqu’à fin janvier, jusqu’en février: Que tu étais vraiment indécis que tu n’avais encore pris aucune décision alors qu’ici tu dis "Depuis les premiers contacts, je n’avais aucun doute sur mes intentions" Tu es quelqu’un de FAUX, tu es un faux-jeton, qui est bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge Psychopathe, tu es bien avec eux. "Depuis les premiers contacts, je n’avais pas de doute" avec des Tifosi qui te mettaient des bannières dans la Curva "Resta Con Noi" - "Reste avec Nous". Reste avec nous car ils pensaient, tous croyaient que toi moi-même tu étais indécis, mais en vrai, ça faisait longtemps que tu avais décidé, mais la chose la plus scandaleuse et la plus honteuse est que Toi, tu avais entretemps accepté que le fait que le Club tente de te convaincre par n’importe quel moyen , alors que tu avais déjà accepté depuis le départ, mais tu as continué à faire semblant car tu n’avais pas les couilles de le dire aux Tifosi, aux dirigeants aux équipiers que tu avais déjà pris ta décision, tu n’avais pas les couilles. Que s’est-il passé ensuite ? Le Club t’a offert le brassard de Capitaine pour te montrer à quel point tu comptais pour cette équipe , à quel point tu étais important et TOI, Faux-Jeton, Sous-Merde, tu l’as accepté et tu te l’es mis au bras . Et là, tu as fait croire encore plus au peuple qui t’aime que tu allais devenir le nouveau capitaine et que forcément Nan…Nan.... Si c’est comme tu le dis Toi sous-merde de Slovaque , si comme tu le dis toi-même , que ta décision était prise depuis le début , lorsque l’on a offert le brassard de Capitaine, toi tu aurais du dire NON, non merci, Les gars, je dois vous dire que j’ai déjà pris ma décision : Dans trois, quatre mois, je change d’équipe Et là, le brassard de Capitaine aurait été certainement donné à quelqu’un d’autre, mais tu n’as pas eu les couilles de dire "Non, les gars le brassard de Capitaine je ne la prends pas." Car le Brassard de Capitaine de l’Inter, même si tu pourrais dire l’année dernière, "je n’étais pas le seul à l’avoir porté, car tout le monde l’a vraiment porté", le Brassard de Capitaine n’ets pas une tenue qui chaque dimanche doit passer d’un bras à l’autre , ce n’est pas qu’un bout de tissus, ce brassard qui a été porté par Facchetti, Bergomi, Zanetti, ce n’est pas ça Lorsque l’on t’a donc dit : Tu veux devenir notre Capitaine ? En pensant que tu n’avais pas encore pris ta décision, alors que tu l’avais déjà fait, comme tu l’as dit à présent, Tu aurais dû avoir les couilles de dire : Les gars, Stoppez tout, je dois vous dire quelque chose et tu aurais dû vider ton sac, mais à la place , tu as continué à aller de l’avant: Bravo sous-merde. Je vais d’ailleurs vous présenter ce que j’ai acheté, car grâce à des personnes comme vous qui sont à vomir comme l'Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe et le Slovaque faux-jeton, grâce à des personnes comme vous, j’ai décidé de faire quelque chose , une chose que chaque année, je me dis c’est bon , ce sera pour l’an prochain mais je me fais baiser toujours ensuite. Cette année grâce à l’Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe, et le slovaque faux-jeton, je suis allé à l’Inter Store et je suis allé acheter le second maillot de l’Inter qui est très beau, très cher et je me rends bien compte qu’il y a des personnes qui se disent qu’elles ne savent pas se le permettre car dépenser autant pour un maillot n’est pas donné à tout le monde, je vous montre le prix de 94.99€ pour l’achat . Je l’ai acheté sans nom, car c’est terminé de me faire avoir comme avec l’Argentin simulateur de maladie, le belge psychopathe et ce faux-jeton de slovaque, je me le disais toujours, mais chaque année, je ne le faisais jamais. De plus, en faisant mettre le nom, le numéro et le patch que l’on met au bras, les 94.99€ devenaient 120€ comme on le lit partout et ça aurait pu encore grimper et ce n’est pas comme si c’était donné . Je me suis donc offert le second maillot de l’Inter qui est très beau et je me suis aussi acheté ce maillot pour le même prix, même je n’ai plus l’étiquette. Celui-ci est aussi très beau, même si personne ne comprend pourquoi le logo est jaune et le sponsor est blanc car ils auraient pu être tous les deux blancs ou tous les deux jaunes, mais celui-ci aussi n’a pas de nom derrière Je veux que le nom des deux derniers joueurs que j’ai pris restent tel quel, et ce sont Darmian et Dimarco, deux joueurs que j’ai dans le cœur et qui, je l’espère, ne me trahiront jamais, mais je pense que si demain, ils viennetà le faire, cela se ferait en toute sincérité, sans vouloir nous enfler sans nous la faire à l’envers, sans rien de rien. Je tiens à vous montrer le ticket de caisse aussi, je l’ai encore car il y en a toujours qui sont là pour dire, "Mais Luca ces vêtements te sont offerts par l’Inter , elle va me régaler deux marrons allez…" Voilà, pour deux maillots, j’ai dépensé 189.90€ vous voyez mais grâce à des personnes comme Lukaku , Skriniar et Icardi, je n’achèterais plus jamais de maillot avec le nom des joueurs dans le dos , je ne veux plus trop m’attacher aux joueurs et c’est juste que vous ayez tous vos idoles, c’est jusque vous aimiez bien un joueur plus qu’un autre, vous connaissez aussi mes petits protégés , j’aime énormément Darmian, j’aime énormément Dimarco, Barella et Bastoni n’en parlons pas, ce sont les joueurs pour qui j’ai le plus d’affection. Vraiment à présent, dans le football d’aujourd’hui, tu as trop de coup de poignard dans le dos, trop et les paroles actuelles du faux-jeton de slovaque sont vraiment pitoyables, très pitoyables, il ne méritait ni le maillot de l’Inter, ni le brassard de l’Inter et encore moins la banderole qu’on fait les Tifosi : Tu ne les méritaient vraiment pas, faux-jeton à la face d’ange, faux-jeton, tu es très bien avec les deux autres. Ciao," Touché, Coulé! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Massimo Moratti évoque Lukaku, Onana et Ronaldo
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Voici les mots de Massimo Moratti déclarés à sportpaper.it. Concernant la situation liée à Romelu Lukaku. "Je ne m'attendais absolument pas à une telle situation, j'ai été très surpris. C'est normal que la Juventus le veuille, diminuer l'Inter est l'un des objectifs des Bianconeri! Les supporters sont à juste titre en colère contre la décision de Lukaku, précisément parce que c'était sa décision, cela a surpris et agacé les supporters." De nombreux noms sont évoqués pour l'attaque de l'Inter, qui aimeriez-vous ? "Je n'ai pas de préférences. Beaucoup dépendra de la volonté et des besoins de l'entraîneur. Très probablement, un attaquant sera choisi qui sera utile pour manœuvrer. Il sera certainement difficile de trouver un attaquant avec les caractéristiques de Lukaku." Un footballeur avec les caractéristiques d'Icardi ? "Cela faisait un moment que je n'avais pas vu jouer l'Argentin, si je revoyais le Icardi d'autrefois, je l'aurais certainement pris." L'Inter avait-elle raison de vendre Onana ? "Malheureusement, dans le football d'aujourd'hui, l'aspect économique compte beaucoup. Ce sont des situations plus liées à l'économique qu'à la technique." Que pensez-vous de la Roma de Mourinho ? "Mourinho a déjà beaucoup fait, certainement la quatrième place serait réalisable avec un attaquant de niveau comme Morata ou Scamacca. L'ancien joueur de Sassuolo pourrait beaucoup grandir avec Mou. Morata est expérimenté et peut peut-être être plus utile à l'équipe." Un regard sur le passé, renverriez-vous Ronaldo au lieu de Cuper ? "Après les années, je peux dire que je ne pense pas que ce soit un départ lié à Cuper. Après les graves blessures subies, je pense que Ronaldo voulait changer de décor. Je le répète, je ne pense pas que Ronnie ait choisi de partir à cause de la venue de Cuper. De plus le Brésilien me connaissait bien et savait que les entraîneurs ne duraient pas longtemps avec moi. (rires)" Traduction alex_j viaFCInterNews.- 3 commentaires
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C’est l’information de Sport Mediaset, auteur de 22 buts et 7 passes décisives, Maurito s’est trouvé une seconde jeunesse au Galatasaray Le Paris-Saint-Germain, club auquel l’argentin est toujours lié, serait prêt à le céder pour une somme estimée entre 15 et 20 millions d’euros et le Milan Ac se montre très sérieusement intéressé. Mais il doit faire face au salaire gourmand du joueur : 7 millions d’euros par saison: "Un salaire actuellement insurmontable. De ce point de vue, un sacrifice du joueur serait nécessaire." Quand les poubelles des uns font le trésor des autres…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Lautaro Martinez égale Christian Vieri et Mauro Icardi!
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'Inter a remporté une victoire importante en Série A en battant la Lazio hier après-midi. Les Nerazzurri avaient besoin des Trois Points pour revenir dans les places pour la Ligue des Champions, tout en profitant du match nul entre la Roma et l'AC Milan. Ce n'était pas facile après que les Biancocelesti aient pris les devants en première mi-temps, mais l'Inter a continué à pousser et a ramené les Trois Points avec un doublé de Lautaro Martinez et un but de Robin Gosens. Lautaro Martinez a franchi une étape importante en matière de buts, comme le souligne un Tweet du compte de statistiques de football Opta. Ils ont Tweeté: "Lautaro Martínez est le Troisième Joueur de l'Inter à marquer plus de 15 buts en au moins Trois Saisons consécutives en Serie A au cours des 55 dernières années, après Christian Vieri (entre 2000/01 et 2002/03) et Mauro Icardi ( quatre, entre 2014/15 et 2017/18). El Toro.” Félicitation au Toro! Traduction Lindt1908 Via SempreInter -
Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.
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? Wanda Nara Icardi ? ? Née le 10 décembre 1986 ? Nationalité : ?? ? Occupations : Modèle, personnage de TV réalité, agent de football ? Enfants : Valentino Gastón López (né en 2009) Constantino López (né en 2010) Benedicto López (né en 2012) Francesca Icardi (née en 2015) Isabella Icardi (née en 2016)
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Ex-Inter: Wanda Nara allume Mauro Icardi sur son départ de l'Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
C'est une information relayée par football-italia.net: "Wanda Nara confirme avoir rompu avec Mauro Icardi, ajoutant qu'il était "plus facile" pour lui de la rendre responsable de son départ de l'Inter." En effet, Wanda Nara a été l'agent de Mauro Icardi pendant de nombreuses années. Elle avait en premier lieu rompu avec son premier mari, Maxi Lopez, alors qu'Icardi jouait à la Sampdoria avant son transfert à l'Inter en 2013. Ce qui avait provoqué un tollé en Italie vu le lien d'amitié qui liait les deux argentins Son interview au Vanity Fair "Mauro m'a demandé de devenir son agent et je suis devenue assez douée pour ajouter ou annuler des clauses: J'ai de la personnalité et de l'intelligence, mais je suis une personne calme, lui a une forte personnalité" Sur le départ de l'Inter Pour rappel "Maurito" a quitté l'Inter pour le Paris-Saint-Germain après que sa relation avec l'entraîneur Luciano Spalletti et le reste de l'équipe implose: "Il a tout fait par lui-même: Je mettais sur papier ses désirs. Bien sûr, il est plus facile de blâmer une fille, surtout dans un monde sexiste comme le football. Il y a quelques années, j'ai dû envoyer un homme me remplacer pour signer un contrat parce qu'un président de club refusait de traiter avec une femme." Un beau gâchis étant donné qu'Icardi a marqué 124 buts en 219 apparitions avec les Nerazzurri en y devenant Capitaine en 2015. Rupture, vraiment ? "C'est rare de voir une femme de footballeur travailler. Je me suis occupée de mes enfants et de mon mari pendant longtemps, mais maintenant je veux retrouver mon temps-libre et continuer à poursuivre ma profession. On m'a proposé de nombreux rôles à la télévision en Argentine, mais Mauro n'a pas aimé. Cela ne signifie pas que j'ignorerais ma famille. Mauro s'entraîne deux heures par jour et il pourrait m'aider, mais il n'aimait pas l'idée de ne pas me voir concentrée sur la famille." "D'un autre côté, je pense que l'indépendance est vitale. Mauro essaie sans cesse de me reconquérir. L'autre jour, il est venu me chercher à l'aéroport avec une voiture pleine de fleurs et m'a emmenée dîner en me disant : "Je n'abandonnerai pas. Cependant, je sais déjà que si nous nous remettons ensemble et que je reçois une nouvelle offre, tout recommencera." Reste juste à présent à savoir quel type de rôle lui était proposé.... ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 12 commentaires
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Raffaele Caruso : Lettre à Goran Pandev et Andrea Ranocchia
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En deux jours, deux joueurs interistes ont tiré leur révérence. Raffaele Caruso de FcInterNews a écrit une lettre ouverte à Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Voici la traduction. Quelques heures plus tard Goran Pandev, puis Andrea Ranocchia ont annoncé jeudi leurs adieux du football sur les réseaux sociaux. Un double "salut" qui a ravi tous les fans de ce sport, en particulier les fans de l'Inter. Parce qu'il n'est pas nécessaire de marquer 500 buts pour rester dans l'histoire d'un club aussi prestigieux que les Nerazzurri. Humilité, professionnalisme et amour du maillot sont les trois valeurs qui vous rendent éternel et vous permettent de gagner le respect et l'admiration de vos fans. Pandev est un produit de la cantera Nerazzurri. Après avoir vécu plusieurs expériences en Italie, dont la plus illustre à la Lazio, il revient à l'Inter dans la saison des saisons, celle du Triplete. Et il a été un grand protagoniste malgré son arrivée cette saison en Janvier. Goran a été immédiatement utilisé par Mourinho, notamment grâce à l'absence de Samuel Eto'o en Coupe d'Afrique des Nations. Et le Macédonien a tout de suite répondu présent : le 6 Janvier, il fait ses débuts en championnat face au Chievo et est immédiatement décisif, il inscrit son premier but sous le maillot de l'Inter, quelques jours plus tard face à Bari ouvrant le chemin du retour de 2-0 à 2-2 et a répliqué le 24 Janvier dans le derby contre Milan avec un coup franc, marquant le deuxième but. Tout le monde n'a pas ce truc. Il faut avoir la classe pour pouvoir le faire, mais surtout l'humilité pour s'intégrer dans un groupe avec autant de champions. Mourinho se classe lui aussi en finale de la Ligue des champions contre le Bayern Munich, il sera l'un des protagonistes de la course finale vers le Triplete. Et comment oublier le but du 2-3 marqué quelques mois plus tard contre les Bavarois, toujours en Ligue des champions, lors du match retour des huitièmes de finale : il le définira lui-même comme le but le plus important de sa carrière. Comment oublier cette exultation. Et ce jour-là, Andrea Ranocchia était également sur le terrain, dans l'un des matchs les plus emblématiques de son histoire de plus de 10 ans avec le maillot Nerazzurri. L'arrêt sur la ligne de but, avec un poteau. Ses débuts à l'Inter rappellent beaucoup ceux de Pandev. Arrivé à l'Inter lors de la saison en cours à l'hiver 2010-2011, il s'est d'emblée imposé parmi les titulaires aux yeux de l'entraîneur Leonardo , remportant alors son premier titre en fin de saison, la Coppa Italia, remportée contre Palerme. Confirmé plus tard par les entraîneurs suivants, dans la première moitié des années 2010, Ranocchia fait partie des rares jalons de l'équipe interiste : lors de la pré-saison 2014-2015, l'investiture en tant qu'héritier de Zanetti en tant que nouveau capitaine de l'Inter, semble être le prélude à une belle histoire. De manière inattendue, cependant, sa carrière prend une tournure inverse : Andrea ne parvient pas à s'imposer comme le leader du groupe des Nerazzurri et se fait retirer le brassard au profit d'Icardi. Il est ainsi devenu l'un des plus critiqués et ciblés par le public Nerazzurri. Mais jamais un mot déplacé, jamais une interview provocatrice. Ranocchia continue de travailler en silence, s'investissant toujours dans l'entraînement. Pour se retrouver il décide aussi de changer d'air, tentant d'abord l'expérience du prêt à la Sampdoria puis à Hull City. Le premier tournant est intervenu en 2017 avec l'arrivée sur le banc de l'Inter de Luciano Spalletti. La vidéo dans laquelle il défend Ranocchia en retraite des critiques d'un fan des Nerazzurri, elle certifie immédiatement l'importance et la gratitude de l'entraîneur Certaldo envers lui. Ce n'est pas un titulaire, mais il redevient un élément très important pour les rotations en défense et surtout un homme du vestiaire. Un double rôle qui devient encore plus évident avec l'arrivée de Conte à Milan, l'entraîneur qui l'avait lancé au début de sa carrière dans les expériences d'Arezzo et de Bari. Et grâce à lui, Ranocchia remporte son premier Scudetto avec l'Inter après 10 ans. Un championnat qui est venu après tant de chutes, tant de sacrifices, tant de larmes, qui témoigne pourtant de la grandeur d'un vrai homme et joueur, d'un professionnel exemplaire et d'un joueur de l'Inter comme peu d'autres. Nous ne pouvons que remercier Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Merci de faire partie de notre histoire et de comprendre l'importance de cet maillot. Pour l'avoir honoré. Merci les gars, ce fut un honneur et un beau voyage. Traduction alex_j via FCInterNews.- 2 commentaires
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Ex-Inter: Wanda Nara officialise sa séparation avec Mauro Icardi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
C'est une information relayée par nos confrères de RMCSPORT : "Prêté cette saison par le PSG à Galatsaray, Mauro Icardi connaît une nouvelle déconvenue sur le plan personnel. Sa femme et agent, Wanda Nara, a annoncé leur séparation ce jeudi. "La saga Mauro Icardi-Wanda Nara connaît un nouvel épisode. Public, forcément. Une nouvelle séparation du couple est annoncée ce jeudi par la femme et agent de l’attaquant du PSG, prêté cette saison à Galatasaray. Dans une story Instagram, Wanda Nara Icardi a diffusé un message de rupture, pour répondre aux rumeurs ces dernières semaines sur l’état de leur couple." Un seul match disputé cette saison "C’est très douloureux pour moi de vivre ce moment. Mais compte tenu de mon exposition et des spéculations médiatiques qui sortent, il est préférable de l’apprendre de ma part. (…) Je ne veux pas donner de détails sur cette séparation. S’il vous plaît, je vous demande de le comprendre, non seulement pour moi, mais aussi pour nos enfants", écrit-elle sur les réseaux sociaux. "Relégué sur le banc la saison passée et placé cet été dans le loft des indésirables au PSG, Mauro Icardi va tenter de se relancer sportivement en Turquie. Auteur de 38 buts en 92 matchs avec Paris, l’international argentin a été prêté pour une saison à Galatasaray, qui ne prendra en charge qu’une petite part du salaire du joueur. A savoir seulement 750 000 euros sur les 6,75 M d’euros annuels touchés par Icardi dans son contrat, le reste étant à la charge du PSG." "Depuis son arrivée sur les rives du Bosphore, l’ancien attaquant de l’Inter Milan n’a disputé qu’un seul match en championnat avec une entrée en jeu de 28 minutes ponctuée d’un accrochage avec des joueurs adverses." - RMCSPORT Reste juste à savoir qui il a niqué cette fois....- 18 commentaires
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Record de buts : Lauti égale notre légende Facchetti !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Lautaro Martinez a égalé notre ancien capitaine et légende Giacinto Facchetti dans le classement des buteurs du club avec son but contre Cremonese. Ceci est mis en évidence dans un article imprimé hier dans Tuttosport qui note que le but, le troisième de Martinez de la saison, était le 77e de l'Argentin toutes compétitions confondues pour les Nerazzurri depuis son arrivée à l'été 2018, le même que Facchetti a marqué à travers sa carrière. Martinez a commencé la saison au même niveau qu'avec notre ancien attaquant légendaire Adriano dans ce classement, avec 74 buts. Il a maintenant dépassé le Brésilien ainsi que son compatriote Diego Milito qui a marqué 75 buts pour le club. Avec son prochain but, le joueur de 25 ans dépassera Facchetti et égalisera avec les 78 buts marqués par Aldo Serena, bien qu'il soit encore loin des décomptes des anciens attaquants tels que Christian Vieri et Mauro Icardi. Martinez est en pleine forme alors que l'équipe se dirige vers le derby contre le Milan Samedi. Il cherchera à progresser rapidement dans le classement des buteurs de tous les temps des Nerazzurri au fil de la saison, tout en aidant l'équipe à concourir sur tous les fronts pour les trophées. Note: je ne sais pas trop comment les buts sont comptés. En effet, suivant les sites, le nombre varie de 2 à 3 buts. Traduction alex_j via Sempreinter.- 4 commentaires
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Mauro Icardi traverse l’une des périodes les plus délicates de sa carrière : Capitaine d’alors de l’Inter, celui-ci s’était cru plus grand que le Club. S’en est suivi l’arrivée de Big Rom et un départ au Paris-Saint-Germain! Toutefois, à Paris, Monsieur Wanda Nara ne sera pas parvenu à trouver sa place. Et s’il a pu assister au retour du Roi, dans la Cité Milanaise, il en a pas moins laissé un message énigmatique sur son compte Instagram "Que d’émotions vécue ici et de moment inoubliables pour ma famille et dans ma vie de footballeur." "Tant de bons souvenirs qui resteront toujours dans mon cœur". Ils comptent tous prendre un abonnement pour revenir en rampant dans le bureau de notre Steven ou bien ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Un Neuf peut en cacher un autre!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C'est une information en provenance du Corriere Dello Sport, si Romelu Lukaku était à Milan, ce n'était pas le seul numéro 9 à avoir la vue sur l'Inter! *Comment dis-t'on "Il fait froid en chinois ?" Sakaaiiii* "L'attaquant belge s'est rendu au siège des Nerazzurri pour y signer son contrat et y rencontrer le président Steven Zhang. Anecdote amusante: Pendant que Lukaku était sur le toit du Siège, Icardi, Wanda et leur famille étaient dans le penthouse situé en face du Siège du Club, soit à quelques mètres de là" "Le Big Rom avait pris la place de Maurito en 2019. Ces deux-là sont juste... connectés." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 17 commentaires
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Il n’y a plus l’ombre d’un doute, La Joya est en passe de devenir un joueur de l’Inter. Preuve en est la déclaration de la Gazzetta Dello Sport: "Paulo Dybala veut l’Inter, il a choisi l’Inter et il jouera à l’Inter. La fin de l’Histoire n’est plus remise en discussion, la route est déjà tracée et il n’y a plus aucun obstacle devant lui qui pourrait envoyer tout balader et qui pourrait être considéré comme insurmontable entre les différents protagonistes" "Encore plus à partir du moment où le joueur a communiqué son "oui" au projet sportif et a mandaté son agent pour finaliser le tout. Il y a même déjà bien plus que des simples confirmations lassantes : Dybala a déjà parlé avec Simone Inzaghi de son futur rôle, à l’Inter, la saison prochaine. Pour l’annonce officielle, il faudra attendre le retour du joueur en Italie, qui est tout sauf imminent." "Toutefois, il n’est plus qu’une question de jours pour acter le tout: Ce lundi, l’Administrateur-Délégué de l’Inter, Giuseppe Marotta et Jorge Antun ont à nouveau échangé par téléphone, ce n’était pas uniquement pour se saluer, mais surtout pour définir la durée du contrat de l’attaquant argentin : Il s’agira d’un quadriennal. Dybala sera Nerazzurro jusqu’au 30 juin 2026, l’hypothèse d’un contrat 3+1 de la semaine dernière a donc été écartée et aujourd’hui ou au grand maximum demain, Marotta et Antun iront encore plus loin dans le détail pour peaufiner les derniers détails permettant de sortir le Champagne du frigo." "Il y aura encore une rencontre, reste à savoir si elle sera virtuelle ou physique vu le nombre important d’engagements des différents protagonistes, mais la thématique salariale n’est plus remise en discussion : Dybala percevra 6 millions d’euros net par saison. A cela il faut ajouter des bonus qui lui permettront d’atteindre les 7 millions d’euros. Il ne reste plus qu’à définir les différentes modalités pour activer ces bonus, sans oublier la prime à la signature que l’Inter devra débourser: Tout devrait être systématiser pour cette fin de semaine." L’aval de la Mamma "Dybala à l’Inter est une Affaire qui a convaincu toutes les composantes du Club, Qu’il s’agisse de la Direction avec Giuseppe Marotta et Piero Ausilio, de l’aire Technique avec Simone Inzaghi, qu’au plus haut niveau, avec Steven Zhang qui a donné son consentement pour donner la voie libre à cette opération." Mondovision "Dybala en Nerazzurro, entendons-nous, est également une acquisition importante en termes d’images : Il ne faut pas douter un seul instant qu’il y aura différentes initiatives médiatiques qui seront liées au nom de Dybala. Paulo a donné sa Parole à l’Inter, il l’a également fait sur base des conseils reçu ces derniers temps par sa maman, Alicia, qui est une personnalité très importante dans la vie et les choix sportif de la Joya: Le OUI est total, l’Inter en ce sens est convaincue de l’issue positive, surtout après avoir pris en charge tous les moindres détails permettant de finaliser positivement cette négociation." Une MasterClass de Marotta qui, en plus d’avoir envoyé Icardi au Paris-Saint-Germain, est parvenu à signer la Joya, sans verser le moindre centime ni renforcer le noyau de la Vieille Dame ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Vers une ligne offensive cousine comble de traîtrise ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Les poubelles des uns sont les trésors des autres….Et c’est d’autant plus vrai lorsque des rumeurs font état de l’intérêt sérieux du Milan Ac pour les deux anciens goleadors de l’Inter : Romelu Lukaku et Mauro Icardi Selon nos confrères anglais de Goal.com "L'AC Milan apparaît comme une destination possible pour l'attaquant Lukaku de Chelsea, qui coûte 100 millions de livres sterling. Le club de San Siro pourrait offrir une porte de sortie mais l'opération éventuelle est compliquée par le coût de la superstar belge. L'AC Milan pourrait offrir à Romelu Lukaku une porte de sortie à son cauchemar à Chelsea en fonction de l'issue de son rachat actuel." "Le joueur de 28 ans n'a pas marqué un seul but en championnat ou en Ligue des champions en 2022 et devient de plus en plus un problème pour Thomas Tuchel à Stamford Bridge. Ayant excellé chez les rivaux de l'Inter, Milan estime qu'il pourrait y avoir une opportunité de s'offrir Romelu Lukaku, mais cela dépend de beaucoup de circonstances." Selon Sport.fr: "Une opération sous forme de prêt pourrait être financée par Investcorp, le nouveau propriétaire bahreïni du club italien: La stratégie du Milan AC, selon Goal, est d’attendre que Chelsea soit également entre de nouvelles mains et profiter du fait qu’ils cherchent à assainir leurs comptes en se débarrassant du fardeau Lukaku." Et selon le Corriere Della Sera Manque plus que Pirelli en Main Sponsor et le compte est bon! "L’aventure de Mauro Icardi au Paris-Saint-Germain semble être arrivé au générique de fin : L’ancien attaquant argentin de l’Inter serait prêt à quitter Paris lors de la prochaine session du mercato: Maurito veut revenir en Italie, mais depuis l’arrivée de Dusan Vlahovic, il semble improbable qu’il débarque à la Juventus." "La nouvelle suggestion se nomme le Milan qui est à la recherche d’un attaquant pour la saison prochaine, même si la Direction Rossonera s’est activée depuis un certain temps sur Divock Origi de Liverpool." Selon vous, allons-nous assister à la trahison de l’autoproclamé "Roi" de Milan ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 12 commentaires
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La marque d’amour Epic de Marcelo !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, le Mariage liant Marcelo Brozovic et l’Inter continue, les vœux ayant été officiellement renouvelles ce mercredi 23 mars 2022, pourtant Marcelo était un homme désiré, courtisé…Mais il reste avant tout FIDELE ! Révélation du Libero "Le Fc Barcelone le voulait, Antonio Conte le voulait à Tottenham, les Scheiks de Newcastle le voulait, il aurait été couvert d’or car et lui auraient offert le monde et un salaire de huit millions d'euros (plus les commissions de son père-agent), mais il a préféré aller de l'avant avec le club qui l'a transformé en cet "ovni". Brozovic est devenu le joueur le plus payé du noyau, il s’agit d’une reconnaissance pour le Croate qui démontre sur le terrain, et avec sa présence dont l'aspect est fondamental : Il n’est certainement pas le meilleur milieu de terrain du monde, mais il est certainement l’un des plus rare." Un remplaçant à la hauteur Simone Inzaghi est encore à la recherche d’un plan B en cas d’absence de l’ancien du Dinamo Zagreb : "Tout le monde est remplaçable, sauf le cerveau de l’équipe : Inzaghi a testé à son poste Nicolò Barella, Matias Vecino, mais également Arturo Vidal et Hakan Çalhanoğlu, tous avec un résultat mitigé et il est difficile de trouver une alternative capable de réaliser le même travail, il serait même mieux de penser à un schéma différent. Le natif de Piacenza y pense, mais il espère surtout qu’il disposera de suffisamment de temps pour retrouver son Phare sur le terrain, lors de la rencontre fondamentale contre la Juventus le 3 avril." Le Saviez-vous ? Un plan à trois avec Wanda Nara et Mauro Icardi, cela vous rappelle-t ’il quelque chose ? Assisté de son avocat, Danilo Buongiorno, Marcelo Brozovic demandera des dommages et intérêts lors du procès qui commencera demain, aux auteurs de cet article, non seulement parce qu'il estime que son image a été endommagée, mais aussi pour les éventuelles conséquences que la diffusion de la nouvelle aurait pu avoir dans le vestiaire de l'équipe. Les trois sont accusés d'avoir permis "la publication d'articles diffamatoires" contre Brozovic "dans lesquels il était fait état de relations sexuelles entre lui et Wanda Nara", démenties par les intéressés, et d'une "rixe conséquente qui a eu lieu dans le vestiaire du club sportif FC Internazionale". Les personnes suivantes se joindront à l'action civile et demanderont une indemnisation raisonnable (quelques dizaines de milliers d'euros) ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Tout ce dont vous devez savoir avant le match de dimanche soir. Milan - Les Nerazzurri feront face au Torino ce dimanche à 20:45, dans le cadre de la 29ème journée de Série A. Leur dernière rencontre était le 22 Décembre, un match qui a clôturé l'année 2021 de l'Inter par une victoire, grâce à un but décisif de Denzel Dumfries à la 30ème minute de jeu à Giuseppe Meazza. Rencontres précédentes Il y a eu 155 matchs entre les deux équipes. L'Inter mène au nombre de victoire, avec 70 matchs remportés. Le Torino compte quant à lui 36 victoires. Il y a également eu 49 matchs nuls. Seule la Juventus, avec 74, a plus de victoires contre le Toro en Série A. Plus récemment, l'Inter a remporté les 5 dernières confrontations, ainsi que 12 des 17 derniers matchs à l'extérieur, perdant seulement 2 fois et concédant le nul 3 fois. Formes L'Inter arrive à Turin avec une victoire 5-0 contre Salernitana à leur actif. Ils comptent 58 points après 27 journées. Sur leur route, les Nerazzurri ont glané 3 points lors de leurs 3 derniers déplacements, faisant matchs nuls contre l'Atalanta, le Napoli et le Genoa. L'équipe de Simone Inzaghi a concédé seulement 2 buts lors de leurs 8 derniers matchs à l'extérieur en Série A. En fait, depuis début Octobre, aucune équipe dans les 5 championnats majeurs a encaissé moins de buts (6) et obtenu plus de clean sheets (6) hors de leurs stade que l'Inter. Le Torino, pendant ce temps, reste sur un match nul et vierge contre Bologne. Les hommes d'Ivan Juric n'ont pas connu la victoire lors de leurs 6 derniers matchs, avec 3 nuls et 3 défaites. La dernière fois qu'is ont connu une si longue série sans victoire, c'était en Décembre 2020, sous Marco Giampaolo : 8 matchs sans victoire. Leurs résultats contre les meilleures équipes ne sont pas plus réjouissants, ayant perdu 1-0 chacun des trois matchs qu'ils ont joués contre une équipe du top 2 cette année. Note plus positive, le Toro a trouvé le chemin des filets lors de leurs 10 derniers matchs de Série A à domicile, marquant 20 buts au total, soit environ 2 par match. Ils n'ont pas dépassé ce chiffre en une saison depuis Décembre 2018. Statistiques générales Le Torino a la plus grande différence (+14) entre les points obtenus à domicile (24) et à l'extérieur (10) en Série A cette année. La rencontre oppose l'équipe avec le record de point obtenus après avoir été menée, contre l'équipe avec le pire score. L'Inter est allé chercher 17 points depuis une position perdante, alors que le Torino n'en a pris que 4. En revanche, en ce qui concerne la défense, seul Naples (8) a encaissé moins de buts que le Torino (10) avant le coup de sifflet de la mi-temps, tandis que l'Inter (9) a le meilleur bilan défensif de la Serie A en deuxième mi-temps. Focus sur les joueurs Lautaro Martínez a été directement impliqué dans cinq buts lors des cinq derniers matches contre le Torino en championnat, avec quatre buts pour lui et une passe décisive. Il n'y a que contre Cagliari qu'il a un meilleur bilan en première division Italienne, avec sept contributions. Si l'attaquant argentin venait à marquer, il deviendrait le cinquième joueur de l'Inter (depuis le début de la victoire à 3 points) à faire trembler les filets lors de trois matchs consécutifs à l'extérieur contre un même adversaire. Il a marqué en déplacement contre le Toro du 23 novembre 2019 au 14 mars 2021. Les seuls autres joueurs à avoir réalisé cette prouesse depuis sont Christian Vieri (contre Pérouse), Álvaro Recoba (contre Empoli et contre la Reggina), Ivan Perišić (contre la Fiorentina) et Mauro Icardi (contre Cagliari). Pour Edin Džeko, en revanche, la rencontre a été moins fructueuse. De toutes les équipes qu'il a affrontées au moins 10 fois, le Torino est l'un des trois adversaires, avec la Lazio et la Juventus, où il a été impliqué dans le moins de buts (4 au total, avec 3 buts et 1 passe décisive). Nicolò Barella a le plus grand nombre de passes décisives dans le jeu (9) dans les cinq grands championnats européens cette année. Florian Wirtz, Sergej Milinkovic-Savic et Paul Pogba sont juste derrière lui, avec 8. Il pourrait devenir le premier joueur de l'Inter à atteindre les 10 passes décisives en championnat avant la 30e journée depuis 2004/05. Dans le même idée, Hakan Çalhanoğlu est le joueur qui a délivré le plus grand nombre de passes décisives sur coups de pied arrêtés, soit 6 depuis le début de la saison. Si l'on compare avec les autres gardiens de but ayant au moins 25 apparitions en Série A cette saison, Samir Handanović a le meilleur pourcentage d'arrêts, de 77 %. Vanja Milinkovic-Savic est deuxième avec 62%, et Lorenzo Montipò, qui suit de près, avec 61%. Milan Škriniar fera sa 200e apparition en Série A depuis ses débuts en championnat le 24 avril 2016 contre la Sampdoria. En défense, seul Francesco Acerbi a disputé plus de matchs de première division (205). C'est lors de la rencontre à l'aller, en Décembre, que Denzel Dumfries a inscrit son dernier but en championnat. De tous les défenseurs des cinq grands championnats européens, c'est celui qui a touché le plus de ballon dans la surface de réparation adverse (92). Le Torino est la seule équipe contre laquelle Federico Dimarco a marqué plus d'un but en Série A, les deux ayant été inscrits en 2021 pour Vérone sous la direction d'Ivan Juric (le 6 janvier et le 9 mai). Alexis Sánchez a obtenu son plus grand nombre de passes décisives contre une équipe dans cette confrontation, avec 5 en 6 rencontres. Le Chilien a également marqué lors de la rencontre du 22 novembre 2020. C'est contre le Toro que Stefan De Vrij a inscrit son tout premier but avec l'Inter, en Août 2018. Danilo D'Ambrosio, quant à lui, affrontera son ancienne équipe, avec laquelle il a fait 42 apparitions et marqué 4 buts en championnat lors des saisons 2012/13 et 2013/14. Matteo Darmian est également passé de l'autre côté du terrain, puisqu'il a disputé 100 matchs de championnat pour le Toro entre 2012 et 2015, marquant 2 buts. DÉTAILS DISCIPLINAIRES Suspendu : Torino : N/A Inter : N/A À un avertissement d'une suspension : Torino : Aina, Buongiorno, Djidji, Pobega Inter : Lautaro Martínez, Vidal ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
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Beppe Marotta prépare l’assaut pour Paulo Dybala!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C’est une information en provenance de la Gazzetta Dello Sport et, ce n’est finalement une surprise pour personne : Giuseppe Marotta, l’Administrateur-Délégué Sport de l’Inter se prépare à lancer pour Paulo Dybala, l’argentin ayant toujours connu une relation particulière avec le meilleur dirigeant de la Botte, est en fin de contrat au 30 juin 2022! "Le coup de théâtre serait de voir Dybala évoluer la saison prochaine à l’Inter. Il ne faut pas perdre de vue ce scénario, car le club Nerazzurro est prêt à s’insérer dans les difficultés entourant le numéro 10 turinois et son club dans le cadre de la procédure de renouvellement : Il n’est d’ailleurs pas juste de considérer cela comme une manœuvre de déstabilisation, il y a quelque chose de plus, c’est une réelle idée." "Dybala et la Juventus s’étaient entendu depuis le mois d’octobre pour procéder à un renouvellement quinquennal à hauteur de huit millions d’euros plus deux de bonus par saison. Ensuite, la machine s’est enrayée à l’instant fatidique, celui où il devait prendre le style en main : L’Inter est au courant de tout, Marotta est parfaitement informé de la situation, il connait le moindre mouvement relatif à l’argentin." "L’Administrateur-Délégué Nerazzurro sait également que le numéro 10 a donné à la priorité à la Juve jusqu’à la fin de ce mois de janvier, il ne veut pas échanger avec d’autres clubs, car oui, plusieurs appels sont déjà arrivé chez son agent, Jorge Antun. De son côté, Paulo ne s’explique pas ce revirement de situation de ses dirigeants, avec lesquels, il était pourtant parvenu à définir un vrai et propre accord, actuellement. A présent, ils veulent rediscuter des termes de celui-ci, aussi bien au niveau de la durée que de l’offre salariale." "L’Inter, raisonne sur des possibles interventions à réaliser pour renforcer son attaque l’année prochaine et le nom de Gianluca Scamacca est en première ligne, mais attention aussi à l’Idée Dybala, car elle peut être l’opportunité dont parlaient certains et bien sûr Marotta en personne. Le Club de Zhang ne peut pas intervenir sur base de l’accord conclu au mois d’octobre, les dix millions d’euros globaux sont hors de portée pour le club qui a prolongé Lautaro à six millions d’euros plus bonus et qui compte en faire tout autant pour Marcelo Brozovic." "Toutefois, si le niveau des enjeux vient à diminuer sur une base inférieure, alors l’assaut à Dybala est une guerre dans laquelle l’Inter veut s’inscrire, avec de très bonnes raisons de pouvoir le ramener à la maison: Il a déjà été courtisé, il se dit même qu’il y a déjà eu une approche, précoce, mais pas trop, car les comptes de la Viale Della Liberazione le savent parfaitement." "Comprenez : Si le nouveau contrat de Dybala ne diffère pas énormément de celui en cours avec la Juve, l'Inter sera au rendez-vous. Et l'Argentin lui-même en est conscient. En juin, la masse salariale des Nerazzurri sera moins bien imposante que l’actuelle avec deux joueurs qui arriveront en fin de contrat au 30 juin 2022 : Arturo Vidal et Matias Vecino : La somme totale épargnée s’élèvera à environ 16 millions d’euros bruts par an sur les caisses de l’Inter et ces 16 millions seront suffisants pour planifier l'assaut sur Dybala." "Après lui avoir fait la cour, l’Inter disposerait des fonds pour tenter le coup et observe la situation: Marotta attend le bon moment pour tenter l'assaut car un Dybala gratuit est un plat trop délicieux pour ne pas tenter l'Inter. Marotta a déjà essayé de se l’offrir à l'été 2019, lorsqu'il a proposé un échange avec Mauro Icardi. L'estime envers le joueur est toujours intact 30 mois plus tard et paradoxalement, l’opération est plus réaliste aujourd’hui qu’à l’époque." "L’Inter est prête, mais Marotta ne veut pas faire de vagues et personne n’aime perdre des combats car finalement, plus que la Juventus, c’est bel et bien Paulo Dybala qui a tout entre les mains, il suffira donc d’attendre encore quelques semaines pour découvrir quels sont les cartes en sa possession : L’Inter est aujourd’hui considérée comme un Cheval de compétition qui pourrait peut-être l’emporter "Di Corto Muso"." Etes-vous si surpris que cela, du comportement de Giuseppe Marotta ? Entre un Scamacca payant et un Dybala gratuit, lequel recruteriez-vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 26 commentaires
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Samir Handanovic reste le leader de l’équipe
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
"Finalement, Samir Handanovic récolte les fruits de sa longue carrière à l’Inter." Tel est le focus consacré, par la Gazzetta Dello Sport, au Capitaine de l’Inter. "Un voyage semé d’embûches, mais qui est à présent plus beau que jamais. Depuis le Scudetto, place à présent à la Super Coupe hissé vers le ciel avec son solide aplomb, mais aussi avec un hurlement de joie caractéristique au personnage, depuis toujours. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le brassard lui a été confié après le cas Icardi." "Hier, Handa a d’ailleurs prouvé une nouvelle fois ce que veut dire être Leader : Durant la fête, il a voulu s’entourer autour de ses collègues Cordaz et Radu et des préparateurs des gardiens Bonaiuti et Zappalà: Présent tous ensemble sous la Curva Nord, avec la Coupe entre les mains. Pour lui : On gagne tous ensemble et on perd tous ensemble même si cette Inter semble connaitre uniquement le chemin vers la gloire." "Samir y a pris gout, il veut à présent remporter un second Scudetto et pourquoi pas la Coupe d’Italie, mais après une telle nuit, mieux vaut ne pas penser au fantôme d’Onana : Il aura le temps pour y penser, à présent, seul la fête compte !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Interviewé par 90° Minuto diffusé sur la Rai2, Giuseppe Marotta a fait le point en cette mi-saison de championnat Simone Inzaghi "J’imaginais qu’il y allait rencontrer plus de difficultés, mais en réalité, il s’est immédiatement inséré dans notre environnement, avec le soutien de la Direction. Il est parvenu à démontrer sa valeur et il représente, aujourd’hui, la valeur ajouté de notre aire technique." Souviens-toi l’été dernier "Durant l’été, nous avons été investis de turbulences temporelles, mais nous avons trouvé notre Etoile du Nord, prête à nous guider de la meilleure des façons. Nous avons su compenser les départs d’Antonio Conte, d’Achraf Hakimi et de Romelu Lukaku, en plus du problème qu’a connu Christian Eriksen. Le travail d’Inzaghi s’exprime au mieux." La seconde étoile "C’est l’objectif que nous avons tous préfixés et que nous voulons atteindre." Antonio Conte Si Conte s’en veut ? "Je ne le crois pas. Ce n’est jamais utile d’aller ressasser le passé. Je crois qu’il a laissé une empreinte importante dans notre processus croissance, sous l’aspect tactique et mental : Son travail a été très fructueux, comme l’est celui d’Inzaghi : Nous voulons répéter la victoire de l’année dernière, j’y tiens pour nos tifosi et pour la propriété." Mauro Icardi Icardi à la Juve ? "L’Italie n’est plus l’Eldorado du football: Aujourd’hui, nous sommes un championnat de transition. C’est normal que, si des joueurs importants puissent revenir ici, qu'il s'agira de quelque chose de bénéfique : Je ne parle pas de lui, c’est un joueur du Paris-Saint-Germain. Je suis content des attaquants qui sont à notre disposition." Mondial Biennal "L’hypothèse de la Super League est née comme un cri d’alarme des clubs adhérents. Ce football ne représente plus un modèle soutenable et il a besoin d’un réaménagement général. Même notre Gouvernement a dû démontrer plus d’attention et de sensibilité envers le Calcio qui représente un modèle d’agrégation très important. C’est une partie de notre industrie, qui verse dans les caisses de l’Etat, un milliard d’euro par an. Nous ne demandons pas de réductions, mais plus d’attention et de collaboration." Joe Baronne "J'ai soumis une demande à la Lega pour que tous les clubs présentent, au nom de la transparence, leurs dettes aux membres et aux autorités fiscales. Tant en ce qui concerne la saison dernière que celle en cours. Cela témoigne du fait que l’Inter a toujours tout respecté. A l'Assemblée, je lui ai dit ce que j'avais à lui dire, que l’Inter est pour la transparence, ce qui a mis en lumière cette situation. Nous avons toujours rempli nos obligations, en respectant tous les délais. Je lui ai demandé de limiter ces remontrances désagréables". Marcelo Brozovic "Nous avons diverses thématiques à affronter : Je suis content des joueurs en fin de contrat et nous sommes avancés dans les négociations les concernant, je me souhaite de pouvoir les finaliser positivement : Il a exprimé sa volonté de vouloir rester à l’Inter, nous devons trouver l’accord économique, mais je suis optimiste." Luis Alberto "C’est tôt, je ne veux pas m’exprimer sur le futur, j’aborderai ces sujets au moment opportun." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L’Inter est Championne d’Hiver en explosant la Salernitana
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Si vous l’auriez dit, il y a encore quatre semaines à Simone Inzaghi, probablement qu’il ne l’aurait jamais cru. Pourtant grâce à la défaite subie à la Lazio, dans un contexte connu de tous, son Inter s’est remise immédiatement sur le droit chemin, alignant actuellement 6 victoires consécutives et reprenant 11 points au Milan Ac et au Napoli pour déjà prendre 4 points d’avance et pour s’offrir le titre de Championne d’Hiver : Dans le duel de ses deux ex, l’Inter aura assisté à la victoire du Napoli de Luciano Spalletti, sur le terrain du Milan Ac de Stefano Pioli. Cette Inter Championne d’Italie s’amuse sur le terrain tout en aimant proposer du beau jeu, Comme l’a souligné Danilo D’Ambrosio: "Elle propose un jeu offensif, mais organisé". Tous, dans le développement d’une action se retrouvent concerné. Ce n’est d’ailleurs pas une surprise que le marquoir reprend cinq nom de buteurs différent : "Peu importe qui marque, l’important est de gagner" voici ce qui résumé l’équipe de Simone Inzaghi qui ne peut être heureux d’une telle performance: Inspiré, il fera rentrer dans ce match Lautaro Martínez et Roberto Gagliardini, tous deux buteurs. Ivan Perisić ouvrira d’ailleurs le score sur le premier corner de la rencontre via un coup de pied arrêté par Hakan Çalhanoğlu. L’International croate continue à se montrer indiscutable : Il court, il presse, il attaque, il défend, propose le tempo de certaines actions dévastatrices. Ses combinaisons du soir, avec l’international turc auront fait très mal à l’adversaire. Hakan Çalhanoğlu recruté pour remplacer Christian Eriksen répond également présent en ce début de saison, sa passe décisive pour Perisić est la huitième de la saison pour la manche aller du championnat. Il est actuellement à -1 du record historique signé Antonio Candreva qui était parvenu à délivrer 9 caviar. Si Alexis Sánchez retrouve également des couleurs avec un nouveau but inscrit tout en facilité et en confiance, la belle surprise de la soirée est le nouveau but inscrit, sur un caviar d’Edin Džeko, de Denzel Dumfries : L’international hollandais se montre toujours plus mature et en croissance, en augmentant, match après match son niveau. Lautaro Martínez et Roberto Gagliardini auront inscrit également le 4ème et 5ème but des Nerazzurri. Pour l’argentin, celui-ci est parvenu à égaler son ancêtre, Mauro Icardi, auteur d’au moins un but lors de 5 matchs consécutifs, une performance réussi en 2018. Pluie de record Avec le but de Denzel, l’Inter a battu son propre record historique de buts inscrits sur une année civile datant de 1950: Le palier des 99 buts a été franchi. Mieux encore, Si Denzel a inscrit le 100ème but, ceux d’Alexis Sánchez, Lautaro Martínez et Roberto Gagliardini ont permis à l’Inter d’écrire l’une de ses plus belle page d’histoire avec, encore un match à disputer : Les 103 buts de l’Inter de Simone Inzaghi seront à jamais inscrit dans le marbre devant les 101 buts inscrit lors de la saison 2018 de la Juventus de Massimiliano Allegri Grâce à cette nouvelle victoire, Simone Inzaghi présente également un très beau bilan en carrière en s’offrant avec la manière son 200ème résultat utile : 150 victoires et 50 matchs nuls entre la Lazio et l’Inter: Pour la sixième fois consécutive, une équipe d’Inzaghi l’emporte dans un stade où elle ne l’avait jamais emporté auparavant en Serie A, et elle y est parvenu sans encaisser le moindre but. L’Inter pourrait également écrire une nouvelle ligne d’histoire : Lors de cette première partie du championnat, la Beneamata a déjà inscrit 12 buts de la tête et, si elle parvient à en inscrire un nouveau ce mercredi face au Torino, elle égalerait le record établi en 2005/2006 par la Fiorentina qui est de 13 têtes victorieuses. Le seul point noir de cette soirée a été la prise à partie de Tifosi de l’Inter qui, selon la Gazzetta Dello Sport ont vu des pseudos supporters de la Salernitana les agresser : "Avant le match un groupe de jeunes a pris pour cible un bus de supporters des Nerazzurri qui se dirigeait vers le secteur visiteur ; des fumigènes ont également été allumés et ont fait exploser des pétards alors que la police s'efforçait de chasser les fauteurs de troubles. Un homme de Salerne a été arrêté, d'autres pourraient être identifiés dans les prochaines heures." Dans une moindre mesure, Nicolò Barella, averti pour la cinquième fois, ratera le dernier match de l’année face au Torino : Un repos qui lui sera bien plus que bénéfique. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Salernitana 0-5 Inter Buteur(s) : 11’Perisić, 33’ Dumfries, 52’ Sánchez, 77’ Lautaro Martínez, 87’ Gagliardini Salernitana : 1 Fiorillo; 33 Delli Carri, 31 Gagliolo, 23 Gyomber (80’ 21 Zortea), 26 Bogdan, 19 Ranieri (71’ 4 Jaroszynski); 18 Coulibaly, 20 Kastanos (61’ 8 Schiavone), 22 Obi; 7 Ribery (71’ 15 Gondo); 25 Simy (61’ 11 Djuric) Banc : 72 Belec, 96 Guerrieri, 14 Di Tacchio, 24 Kechrida T1 : Stefano Colantuono Inter : 1 Handanović; 33 D'Ambrosio, 6 De Vrij, 95 Bastoni (56’ 32 Dimarco); 2 Dumfries, 23 Barella (56’ 22 Vidal), 77 Brozović (71’ 5 Gagliardini), 20 Çalhanoğlu, 14 Perisić (78’ 11 Kolarov); 9 Džeko, 7 Sánchez (56’ 10 Lautaro Martínez) Banc : 97 Radu, 8 Vecino, 12 Sensi, 13 Ranocchia, 37 Škriniar, 46 Zanotti, 48 Satriano T1 : Simone Inzaghi Arbitre : Mariani VAR : Giacomelli Averti(s): Barella (I), Gyomber (S) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Tuttosport analyse le triennal de Giuseppe Marotta
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L’ancien Administrateur-Délégué est sans conteste l’un des principaux artisan du renouveau conquérant Nerazzurro: Entré en poste le 13 décembre 2018, Giuseppe Marotta est nommé Administrateur-Délégué Sport de l’Inter. Sur le banc de touche on retrouvait Luciano Spalletti et Mauro Icardi comme capitaine et Leader de l’équipe. Le retour en Ligue des Champions aura vu l’équipe disputer la phase de groupe avant d’être reversé en Europa League. 16 décembre 2021, soit un tout petit peu plus de trois années ont passé et la situation est totalement différente : On retrouve à la tête du groupe Simone Inzaghi et sur le maillot une certaine cocarde tricolore. De plus, le club a retrouvé sa compétitivité aussi bien en Coupe d’Europe qu’en Italie Le Triennal de Marotta entre passé, présent et futur L’avènement de Marotta fut clairement décisif pour convaincre Antonio Conte d’épouse le projet Nerazzurro. "Pour réduire l’écart avec la Juventus, il n’est pas utile de se lancer dans des proclamations, mais d’avoir une Culture du travail accompagnée du sens d’appartenance envers le club" - Dixit Marotta le jour de son intronisation Des mois intenses et délicats suivantes avec la gestion du cas Icardi et un vestiaire qui a implosé : Mais finalement, le dirigeant est parvenu à redresser la situation, en recrutant Conte à Milan L’été 2019 est celui de la construction de l’Inter qui en deux saison permettra la conquête d’un Scudetto via une campagne de transfert pharaonique : Romelu Lukaku, Nicolò Barella, Stefano Sensi, Alexis Sánchez, Valentino Lazaro et Diego Godin, sans oublier les retouches hivernales Christian Eriksen, Ashley Young et Victor Moses. Pour la première année de Conte, l’équipe accroche la seconde place en Serie A et s’incline en Finale de l’Europa League face à Séville. C’est exactement à partir de ce dernier que débutera la chevauché menant au Scudetto malgré un mercato estival 2020 pratiquement inexistant, la faute à la pandémie liée au Covid-19 qui inflige de sérieuses séquelles à tous, et pas uniquement à l’Inter. Le temps de célébrer un succès retrouvé et l’importante satisfaction d’avoir mis un terme à la Domination de la Juve qu’il avait lui-même créé est bref : Giuseppe Marotta et Piero Ausilio faisant face à un été difficile avec des départs importants : Antonio Conte, Romelu Lukaku et Achraf Hakimi, sans oublier la dramatique situation entourant Christian Eriksen. Pourtant comme le démontre le terrain, les joueurs ont été bien remplacés via les affaires conclus pour s’attacher les services d’Hakan Çalhanoğlu, Edin Džeko, Joaquín Correa et Denzel Dumfries. Ceux-ci sont accompagné par le choix de miser sur le "nouveau Massimiliano Allegri": Simone Inzaghi qui s’est montré capable de reprendre l’héritage d’Antonio Conte avec pragmatisme et empathie envers le groupe, ce qui n’est pas sans rappeler « Max » à Turin en 2014 Le présent et le futur Le parcours de Marotta n’est pas terminé, même si le principal intéressé a confirmé que l’Inter sera le dernier club de sa carrière, lui qui songerait à se renouvellent dans un poste à niveau institutionnel. Giuseppe Marotta n’est pas simplement qu’n très grand gestionnaire de club, d’homme et de vestiaire, c’est un dirigeant compétent en plus sur les terrains, disposant d’un poids politique à la Lega. Giuseppe Marotta est de la Vieille Ecole, comme Adriano Galliani : Il sait et s’occupe de tout. Il se confronte avec les Présidents des Tops Clubs Européens, mais aussi avec les jardiniers d’Appiano Gentile. Comme déjà dit, l’Histoire de Marotta à l’Inter ne prendra pas fin au 30 juin 2022, date de la fin de son contrat actuel. Depuis longtemps, Marotta, comme Piero Ausilio et son adjoint Dario Baccin, sans oublier Samaden, le Responsable des jeunes, est en négociation avec Suning pour prolonger son contrat, et malgré les hauts et les bas connus par la propriété, Giuseppe Marotta restera toujours à la barre Comment jugez-vous et analysez-vous le triennal de notre Padrino préféré ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 7 commentaires
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C&F: Nicola Volpi, élément central entre l'Inter et PIF
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Comment est perçu l’Inter par les fonds d’investissement ? A cette question, une réponse est formulée par Bebeez, qui est un portail spécialisé dans les fusions et acquisitions de fonds d'investissement privés. En effet, celui a analysé la situation de l'Inter Milan vu les différentes rumeurs liant la Beneamata au Fond souverain saoudien PIF. Voici ce que nous révèle Calcio& Finanza L’analyse trouve son origine suite à la parution de deux articles paru dans le Libero qui font état sur un nouvel intérêt du Pubic Investment Fund (PIF), le fonds souverain de l'Arabie saoudite avec environ 430 milliards de dollars d'actifs sous gestion, selon l'Institut SWF. Celui-ci est présidé par son Altesse Royale Mohammad bin Salman, le prince héritier de la couronne saoudienne et vice-premier ministre d'Arabie saoudite. Le fonds d’investissement saoudien vient également d'acquérir Newcastle en étant rejoint par des investisseurs : PCP Capital Partners et RB Sports & Media dans une transaction à hauteur de 300 millions de livre-sterling. Malgré cet accord, l’intérêt de PIF pour l'Inter reste présent, compte tenu également des difficultés de Suning à subvenir financièrement aux besoins du club Nerazzurro, explique BeBeez. De plus, Oaktree Capital Management, a reçu des actions de l’Inter en gage dans le cadre de l'accord de prêt de 275 millions d'euros avec Suning, il y a donc à un rôle à prendre en considération Sur le plan économique, l'Inter a annoncé officiellement que, pour l'exercice clos au 30 juin 2021, les recettes consolidées s'élevaient à 364,7 millions d'euros, tandis qu'une perte de 245,6 millions d'euros a été enregistrée. Celle-ci est essentiellement lié à la privation des recettes des matchs résultant de la fermeture des stades, des réductions contractuelles des sponsors en raison de l'incapacité du club à fournir des prestations, et la liquidation certaines relations de nature sportives. Dans le semestre précédant la date du 30 décembre 2020, la perte avait été contenue à 62,7 millions, contre une perte de 32,7 millions dans la même période de l'exercice 2019-2020. Au 30 juin 2020, le bilan avait été clôturé avec une perte de 100 millions grâce à la plus-value réalisée suite à la vente de Mauro Icardi. Pour savoir se doter des ressources nécessaire à son fonds de roulement, Suning a réussi en mai dernier à obtenir un prêt triennal de 275 millions d'euros auprès d'Oaktree à un taux de 9%. Celui-ci ayant été garanti via les actions du club détenues par Suning. Le prêt a été accordé à Great Horizon sarl, la société luxembourgeoise par laquelle Suning contrôle l'Inter et qui versera de façon matérielle dans les caisses du club l'argent nécessaire à sa bonne gestion. Au 31 mars 2021, comme le confirme Inter Media and Communication spa, les Nerazzurri ont reçu une injection de liquidités de 50 millions d'euros sous la forme d'un financement octroyé par les actionnaires de la TeamCo (FC Internazionale)". Dans le même temps, la plupart des différents financements antérieurs accordé par les actionnaires de Suning à l’Inter ont été convertis en capitaux. Le rapport sur neuf mois d'Inter Media indique qu'au cours des neuf mois clos au 31 mars 2021, un total de 85,2 millions d'euros a été converti en réserve de capital, ce qui laisse un montant résiduel de 31,9 millions d'euros à amortir (plus les intérêts cumulés de 15,9 millions d'euros). Une nouvelle conversion de 23 millions d'euros a d’ailleurs été effectuée en avril 2021″. Les problèmes de Suning sont donc de deux D'une part, le refinancement de l'obligation pour un total de 375 millions d'ici 2022 (le club planche sur une nouvelle obligation de 400 millions) D'autre part, l'expiration en 2024 du financement garanti par Oaktree. Et dans l'affaire, il n'est pas exclu qu'en perspective Oaktree vienne également prendre la part majoritaire de Suning, dans le cas où il ne serait serait pas en mesure de rembourser le prêt à échéance, comme cela s'est déjà produit en 2018 pour Milan avec le relais entre Yonghong Li et Elliott. De plus, étant donné les besoins en liquidités, les 275 millions d'Oaktree pourraient être épuisés bien avant la fin des trois ans, et un problème de liquidités pourrait donc survenir bien avant. D'où la nécessité de trouver un investisseur financier pour injecter de nouveaux fonds, mais cette fois sous forme de capital et non de dette. L'une des hypothèses était qu'Oaktree entrerait dans l'actionnariat du club avec la part actuellement détenue par le fonds LionRock Capital (31,05%), mais cela ne s'est finalement pas produit. Le Fonds d'investissement public est meilleur atout de son Altesse Royale Mohammad bin Salman pour mettre en œuvre sa Vision 2030 saoudienne, un plan stratégique de transformation du pays lancé en 2016 dans le but de renouveler son image internationale et son modèle économique, de le rendre moins dépendant du pétrole et de diversifier ses investissements, fort des immenses liquidités accumulées avec l'or noir ces dernières années, dont une grande partie a été canalisée vers PIF. L'Italie, d'ailleurs, est déjà dans le viseur de PIF : en août dernier, en effet, le fonds saoudien est entré avec une participation minoritaire dans Horacio Pagani Spa, la holding qui détient la totalité du capital de Pagani Automobili Spa, le constructeur emblématique des supercars emblématiques. La participation serait d'environ 30 %. PIF a ainsi rejoint les actionnaires minoritaires actuels d'Horacio Pagani, Nicola Volpi (Partenaire Fondateur de Permira) et Emilio Petrone (PDG de Sisal), soit directement, soit par l'intermédiaire de Movidea Srl. Et c'est précisément Volpi qui est vu comme le point de contact entre le PIF et l'Inter, considérant que le manager entre 2014 et 2018 a étét Membre du conseil d'administration de l'Inter, quand l'actionnaire majoritaire était Erick Thohir. Le tout sans oublier le projet d'un actionnariat populaire dans Interspac Srl, pourssé par l'économiste Carlo Cottarelli. L'économiste espère que beaucoup de capitaux pourront provenir de ce front, même si la structuration de l'opération pourrait ne pas être chose aisée, sachant que les Spacs (Special Purpose Acquisition Companies) sont cotées et qu'il n'en est pas encore question pour Interspac. Le projet fait plutôt penser à une campagne d'Equity Crowdfunding qui, toutefois, vu les chiffres évoqués, nécessiterait nécessairement la publication d'un prospectus informatif de la Consob. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 7 commentaires
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Giuseppe Marotta s’est livré à cœur ouvert sur le parcours de sa carrière et sur son avenir, avec et sans, l’Inter au Festival du Sport La victoire du Scudetto "Le 2 mai, nous l’avions mathématiquement remporté. Lorsque j’ai entrepris cette aventure, l’objectif était de ramener la Coupe à la maison. C’était une libération après tant de difficultés." Le moment clé du championnat remporté "Contre la Juve, nous avions compris que nous serions protagoniste : Nous étions le chasseur, puis le lièvre, et nous avions pris conscience que nous pourrions aller très loin." Le Championnat et la Ligue des Champions "La différence entre la Serie A et la Ligue des champions est que le second doit être un tournoi où tu es dans les meilleures conditions : Les victoires en Ligue des Champions ne sont pas toujours celles des équipes les plus forte, tandis qu’en Championnat, c’est l’équipe la plus forte qui le gagne. Le Giro n’est pas Milan-Sanremo. Le jour de notre élimination, il y avait tant d’amertume, mais nous l’avons concentré sur l’objectif Scudetto." Les difficultés financières et le départ d’Antonio Conte "La décision finale est le fruit des échanges des jours précédents. On n’entrevoyait plus un parcours commun, mais cela fait partie du sport et de la vie : Si une personne décide d’interrompre tout rapport, il est important de respecter sa décision et de regarder devant soi avec optimisme. Dirigeants, joueurs, entraîneurs passent, mais le club reste. Nous avions besoin d’aller de l’avant en ayant, ici, la conscience d’être un grand club et nos professionnels ont remporté le Scudetto avec un très grand mérite." Le choix de Simone Inzaghi "La décision de Conte n’était pas si prévisible, celle nous a un peu surpris et nous avions dû agir rapidement en définissant le meilleur profil . J’ai décidé de miser sur un entraîneur jeune qui avait déjà derrière lui un parcours important: Il était en pleine négociation avec la Lazio et l’opportunité s’est présentée : En lui soumettant notre projet et son sérieux, il nous a immédiatement suivi, et nous sommes reparti de là. Nous venions de recruter un entraîneur capable de se calquer sur le dispositif tactique de Conte, afin de ne pas devoir le modifier, même s’il y allait y avoir d'autres changements." Le malaise d’Eriksen "C’était un moment dramatique pour une personne que je connaissais et qui risquait de mourir, là aussi les informations nous sont parvenues rapidement. Le Professeur Volpi s’était mis immédiatement en contact avec les médecins qui étaient allé sur le terrain, pour avoir un premier diagnostic suite à ce qu’il s’était passé. Encore aujourd’hui, nous sommes dans une phase d’hypothèse, mais la chose la plus belle est que le joueur avait donné des signes de réveils. La nouvelle la plus belle est qu’il continue à vivre, au-delà du vide laissé à l’intérieur du vestiaire, qui est d’une importance relative. En ce moment, c’est difficile d’émettre des hypothèses, nous attendons l’évolution de la situation. Nous évoluerons la situation au moment opportun." Lukaku "L’expérience me fait dire qu’il faut toujours se préparer aux imprévus. Lukaku a manifesté son intention d’être transféré à Chelsea. Devant une situation de ce type, tu ne peux qu’accéder à sa demande. Il y a eu, à ce moment-là un début de négociation avec le club qui le désirait aussi, c’est comme cela que nous avons agi. Nous avons établi notre prix et pensé aux alternatives. Ce sont des dynamiques qui peuvent arriver dans le football. Je ne me suis pas senti trahis ou contrarié, j’ai évalué l’opportunité comme celle de pouvoir injecter une somme importante pour les caisses du club. Nous avons fait valoir notre requête économique et nous avons réalisé une belle opération." L’option Vlahovic et le choix de Dzeko "Dzeko était un choix prioritaire, nous avions déjà tenté notre chance l’année dernière : Il disposait d’une promesse de la Roma pour être libre gratuitement en cas de demande. Notre demande est arrivée et le sérieux de nos entretiens a facilité la définition de la négociation." "Je considère Vlahovic comme un grand talent, il y a une différence entre talent et champions. Nous nous sommes retrouvé dans une situation de négociation engagée. Nous n’étions dans les conditions, même si j’avais imaginé miser sur deux attaquants : Le premier était Dzeko, le second Vlahovic. Un était prêt pour l’immédiat, l’autre pour le futur. Cela aurait été le mieux, et je suis content de ce qu’offre Dzeko." Les difficultés financières "La pandémie a accéléré le processus: L’Inter, le Milan et la Juventus ont perdu, globalement, un milliard d’euros: Cela signifie que le modèle actuel ne te donne plus de garantie sur la continuité." "Il faut trouver des remèdes, car je dois dire qu’il n’est pas juste de toujours dépendre des augmentation des capitaux en provenance des actionnaires. Le football romantique du mécénat est révolu, nous besoin d’arriver à un modèle différent. La Famille Zhang a injecté 700 millions d’euros environs et c’est normal de revoir, tôt ou tard les conditions économique." "Le travail du Management est celui de concilier les objectifs sportifs et l’équilibre financier. Par le biais de ces deux opérations nous sommes désormais chanceusement serein, nous pouvons donc poursuivre les objectifs préfixés déjà l’année dernière étant donné que l’ossature est restée et que ceux qui sont arrivés nous donnes satisfactions. Il faut savoir contenir les coûts et faire comprendre aux joueurs que nous traversons une période de grande difficultés : Revoir les salaires est fondamental pour parvenir à un équilibre." Y-aura-t ’il des ventes importantes à l’avenir ? "Je peux les exclure, je tiens à rassurer nos Tifosi : l’Inter existera dans le futur aussi, la compétitivité est garantie. Ce n’est pas celui qui dépense le plus qui l’emporte toujours, il existe un patrimoine de ressources humains connu de tous qui n’est pas mis en lumière, une équipe invisible qui se trouve derrière ceux qui sont sur le terrain le dimanche : Si cette équipe est forte, tu peux allez très loin, et cela va bien au-delà de ton nom et des joueurs." Est-ce possible de voir un nouveau partenaire arriver au Club ? "Ce sont des évaluations qui doivent être analysées par l’actionnaire. Par expérience, je dis toujours qu’un club doit rester dans les mains d’une famille, d’une entreprise. Le fait de devoir vendre une partie des actions des fins d’un actionnariat minoritaire existe, mais je ne pense pas que cela soit la meilleure façon pour résoudre les problèmes car l’impact d’un partenaire minoritaire ne te garantit pas le changement de modèle radical, ce ne serait qu’un bien-être momentané." "Il est nécessaire d’identifier un modèle de soutenabilité et de sécurité de référence, vous l’obtenez si vous disposez d’un projet. Nous sommes parvenus à reprendre notre projet et à le remettre sur les rails. Nous avions des choix difficiles devant nous car nous avions décidé d’engager Conte tout en continuant à rémunérer Spalletti qui avait encore deux ans de contrat, mais nous l’avons fait car la consigne de notre priorité était de gagner." "Tu construis une équipe conquérante si tu as une vision précise et si l’équipe a conscience de faire face à un objectif, qu’elle dispose d’une vision du futur. Nous avons construit nos victoires en nous basant sur la force de nos hommes et le mérite en revient principalement à Conte qui a transmis des valeurs qui représente un patrimoine. J’ai en tête Marchionne qui déclarait qu’un Manager avait deux grands droits: Le droit de choisir des valeurs et choisir des hommes. Si tu en disposes, l’aspect économique est relégué au second plan car tu traverses un moment de difficulté que tu sauras le surmonter en te basant sur les valeurs que tu portes avec toi. Et nous en avons connu des difficultés." Les contrats des joueurs "Les joueurs ne l’ont peut-être pas bien compris, car ils vivent dans un monde doré. Ils gagnent tellement qu’ils ne sont pas habitués à faire face aux problématique familiales qui sont vécu quotidiennement : Ce sont des garçons très jeunes qui doivent être éduqués. Les réponses ont été d’un côté positive, et d’un autre coté négative, à nous de les former, de leur donner cette culture." "Il y a eu une prise de conscience de la part des joueurs, mais le drame a davantage été vécu dans le contexte de préserver sa propre santé. Néanmoins, nous avons respecté les contrats des joueurs: nous les avons tous payés, nous n’avons pas obtenu un euro de ristourne, mais nous l’avons fait eu égard aux performances réalisées lors de la saison 2019/2020 et de cette dernière années. Nous avons décidé, après une discussion courtoise avec les joueurs de ne pas les pousser trop fort à faire quelque choses qu’ils ne se sentaient pas capable de faire." Un message d’Adriano Galliani est arrivé "Nous avons été victime ensemble du Covid, il était dans un état bien pire que le mien. Lorsque des choses de ce genre arrivent, tu apprécies encore plus les valeurs de la vie et tu apprécies le fait d’être là, c’est valable aussi pour lui qui a quelques années de plus. L’autre jour au Meazza, il m’avait raconté qu’il s’énervait toujours lorsqu’arrivait un résultat négatif. Dernièrement Monza avait perdu 3-0 à Lecce et il avait vécu une soirée en toute insouciances, c’est le revers de la médaille de ce que nous avons connu. Je peux aussi m’énerver mais j’affronte la vie avec une vision différente. Dans le football, il faut toujours donner le maximum, mais la culture de la défaite est utile. Au mieux tu la maîtrises, au mieux tu vis." Un message de Simone Inzaghi arrive aussi "C’était l’un de mes joueurs à la Sampdoria, je le remercie aussi lorsqu’il me dit que je suis très visionnaires. Je suis principalement amoureux de mon travail, je l’avais fait aussi par hobby et ensuite, c’est devenu mon travail depuis 45 ans. Je me suis toujours plus appliqué à rester humble et respectueux, tout en ayant l’ambition de toujours vouloir gagner." Un dernier message arrive en provenance de son frère Salvatore. "Cela me fait me rappeler de mon adolescence où j’’étais déjà malade du Calcio et où j’écoutais à la radio "Tutto il calcio minuto per minuto". J’aimais imiter les chroniqueurs." La prolongation de Barella "C’est l’un des cas qui de talent est devenu Champion. J’ai eu à faire à Cassano que je viens de rencontrer à l’Hôtel, je lui ai toujours dit qu’il n’était jamais devenu un Champion. Le talent est inné et fait partie de son ADN. Encore aujourd’hui je n’ai pas revu de joueurs potentiellement plus fort que lui, mais celles-ci n’ont jamais été accompagné de qualités humaines, d’un comportement sérieux, discipliné, d’une vision de la vie et de la professions. Il a la conscience d’être resté un joueur qui n’a pas atteint le top niveau." "Barella a confirmé déjà à Cagliari et à présent à l’Inter que je suis devant un champion et il est juste de le gratifier économiquement pour ce qu’il réalise. Ce n’est pas une prolongation mais une reconnaissance adaptée à un style de joueurs important qui font partie de l’Inter. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines. Nous ne devons certainement pas le laisser s’enfuir et ce sera si beau qu’il devienne notre prochain Capitaine. C’est une qualification qui ne s’offre pas, tu dois démontrer avoir des qualités de leader." "Piero Volpi, le médecin de notre Club a toujours été le Capitaine dans les équipes de football car c’est un Leader : Barella peut commencer à le devenir." Cassano et Gheddafi à la Sampdoria "Il n’y a pas de mots, c’était une expérience sympathique, très belle aussi, mais je devais toujours rester très attentif à ce qu’il se passait." Les objectifs de la saison "Les attentes de tous sont de nous voir comme celui à battre, un rôle que nous sommes heureux d’endosser : Nous sommes l’Inter et nous devons placer la barre très haut, mais vu que nous sommes dans un sport d’équipe, nous avons besoin aussi d’évaluer nos propres capacités tout comme celle des adversaires avec qui nous luttons." "Il peut arriver que certaines années tu investisses 100 millions, mais que les autres investissent 150 millions ou qu’ils parviennent à réaliser des opérations plus importantes et s’en retrouvent plus fort. Nous sommes dans une saison qui ne comprends pas qui est le plus fort: Le Sheriff a six point et il l’a emporté à Madrid. Dans le Championnat il y a les fameuses sept sœurs avec le Napoli comme équipe gagnante. Je crois qu’il est bien prématuré de procédé à une évaluation sur ce qui s’avèrera définit en mai. Je tiens toujours à la culture de la victoire." "Je prends toujours en considération ceux qui ont la culture de la victoire la plus forte, donc la Juventus et le Milan. Naples a clairement un grand mérite, mais gagner est toujours quelque chose de difficile et qui va au-delà de qu’une équipe propose et met en pratique : Il y a des valeurs qui s’acquièrent avec le temps, il n’y a pas que le seul choix de l’équipe." "Tu dois prendre en considération tous les aspects complémentaires, si tu réussi à améliorer la qualité des terrains, des médecins, tes physiothérapeute, de l’alimentation, tu l’emporteras certainement plus facilement." Osimhen "C’était une opération très onéreuse, et ce n’est pas un inconnu, les circonstances nous ont amené à suivre une route plutôt qu’une autre." Son arrivée à l’Inter, les cas Nainggolan et Icardi "Je ne tiens pas à critiquer celui qui a géré cela avant moi. Icardi était sincèrement un grand talent, il était devenu un joueur optimal en étant investi d’une responsabilité dont il n’était pas encore en capacité de recouvrir, je me réfère au brassard de capitaine. Lorsque je l’ai connu, il se comportait bien avec moi, mais il y a eu des évaluations qui différaient. Je dis toujours que la vision que vous devez avoir se doit d’être précise. L’entraineur et le club procèdent à des évaluations et il a été évalué qu’il devait y avoir une équipe avec des valeurs à respecter." "Conte les a d’ailleurs interpréter de la meilleur des façons.: Il nous a laissé quelque chose d’important, il a posé les fondations et c’est tout aussi vrai que nous avons recruté un entraîneur qui a de grandes qualités, certains aspects sont essentiels." L’arrivée à l'Inter en provenance de la Juventus "Je suis resté émerveillé par la rapidité dont tout cela s’est produit. Dès le lendemain de mon départ, Steven Zhang m’a écrit un message en m’invitant à une réunion avec lui. Je voulais forcément me reposer, mais j’ai saisi directement cette opportunité. Je laissais la Juve et je trouver l’Inter, nous étions à armes égales. Je me suis lancé dans ce métier avec des caractéristiques que j’ai en moi depuis plus que quarante ans et qui se sont toujours enrichie dans chaque club." "L’expérience est une autre caractéristique importante dans le vie de tous, surtout dans le milieu professionnel. A 24 ans, à Varese, j’ai perdu un championnat d’une façon retentissante, alors que si je reviens en arrière, ce tournois, nous l’aurions remporté avec 15 points d’avances." La conscience d’avoir tant gagné te permet d’affronter les difficultés avec une grande détermination. C’est ainsi que je me suis relancé en illustrant mon projet à l’Inter, un projet que le club a épousé, c’était un projet difficile car il consistait à laisser Spalletti à la maison et prendre Conte allait demander du courage." La méfiance initiale à l’égard de l’environnement "Le Derby d’Italie apporte avec lui une grande rivalité. Je n’ai jamais connu de grande difficulté car je suis toujours parvenu à m’accorder avec les personnes, j’ai rencontré un club préparé, composé de bonnes personnes qui avait besoin de nouvelles motivations." Ses débuts "J’ai terminé le Liceo Classico et j’ai commencé à Varese. Certains faits de la vie m’ont ouvert la voie à suivre, je suis devenu directement Directeur Sportif car le précédent avait été victime d’une blessure et le Président m’avait demandé si je me sentais capable d’occuper un tel poste." Le poster de Rivera lorsqu’il était jeune "Je m’identifie à lui, j’ai été footballeur durant une courte période, j’ai arrêté car je me rendais compte que j’avais quelques limites, je me considérais perdu. Mais j’ai joué jusqu’au niveau des Primavera et j’occupais le même poste que Rivera. Il y avait une émulation, je voulais l’imiter comme footballeur. Mon rêve, depuis ma plus tendre enfance était de devenir un dirigeant, ma première expérience fut un oratoire. C’était la première étape de ma profession de dirigeants, je commençais aussi à organiser des toujours à comprendre le sens de la compétition, de la victoire, C’est à partir de là que j’ai commencé mes activités et que j’ai rangé mon poster de Rivera." Son surnom: le “Jeune Kissinger" "Il m’a été attribué par Colantuoni, qui me disait de l’appeler Avocat car pour devenir Président, il fallait une signature et pour devenir avocat, il avait dû passer trois diplômes. Je considère la diplomatie comme une vertu qui ne cache pas derrière un aspect décisionnel très fort. Décider n’est pas simple. Tu peux également devenir un leader sans devoir imposer ton timbre de voix, mais en faisant ressortir ta force intérieure : Pirlo était un leader silencieux. Il avait une si grande valeur dans le vestiaire et cela venait de sa communication non-verbale." Pensez-vous pouvoir confirmer à nouveau la victoire du Scudetto ? "Absolument, notre objectif est la seconde étoile." Le prêt de Recoba au Venezia "Gagner à Venise était si beau, j’habitais dans la région de Carampagne, j’allais au siège et cela avait une valeur inestimable. En plus tu gagnes un championnat et tu te sauves en recrutant Recoba, et je vais vous dévoiler le comment : A l’époque j’étais plus conditionné qu’aujourd’hui. Avec Zamparini, j’avais songé à Orlandini, j’avais appelé Oriali qui était le Directeur Sportif et nous nous organisions pour le contrat." "Il m’avait appelé et il m’avait dit que Tanzi avait été échangé avec Giusti. A ce moment-là, Regalia qui était un grand Manager m’avais appelé et j’en avais profité pour lui parler. Il m’a dit qu’il avait observé Recoba la veille, j’avais rappelé Zamparini pour lui dire que je ne voulais plus viser Orlandini mais que je songeais à un objectif encore plus important : Recoba. J’ai négocié et conclu avec Mazzola, je ne l’avais vu qu’en coups de vent, mais il nous a littéralement porté au maintien." A quel point étiez-vous proche de l’Inter de Pellegrini ? "Je l’ai rencontré une fois, l’alternative était moi ou Dal Cin. Je me souviens toujours d’une particularité avec Pellegrini : Je me suis toujours dit que si j’étais arrivé déjà à l’Inter à ce moment-là, que je me serais brûlé les ailes, tu dois embarquer dans le train au moment opportun. Âgé de 25 ans, je me serais perdu à l’Inter, je n’avais pas la connaissance que j’ai actuellement. J’ai fait un parcours graduel: De la province aux grandes provinces, de la Juventus, à l’Inter, C’est un parcours chanceux." Un regret sur le mercato ? "Il y en a tellement, le dernier est que j’avais eu l’opportunité de prendre Haaland pour deux millions d’euros. Parfois, tu as besoin d’avoir la volonté de miser sur un budget supplémentaire : Si c’est un champion, tu as besoin de le recruter. C’est ici qu’intervient la créativité financière pour réaliser des opérations, nous aurions pu l’avoir pour rien, et il est actuellement l’un des joueurs parmi les plus important au monde. A présent, il ne peut plus venir en Italie." "En 2000, il y avait dans le top 10 des meilleurs chiffres d’affaires cinq équipes italiennes, aujourd’hui, il ne reste que la Juventus. Nous avons un grand retard sur la Premier League. Aujourd’hui, nous sommes devenu un championnat de transition: Regardez Lukaku, nous sommes dans une réalité qui te porte à gouîer aux Champions qui, une fois leur position renforcée, cherchent à obtenir de meilleurs salaires ailleurs." "Nous sommes obligé de faire preuve d’ingéniosité, nous avons travaillé avec Ausilio sur cette vertu, cela va aussi de pair avec la Nazionale qui nous a offert de grande satisfactions. L’Italie met toujours en vitrine de grands entraîneurs et des grands joueurs. Nous avons besoin d’avoir la force les faire mûrir en équipe première, et ici doit entrer également la culture de la défaire. "Les joueurs qui se font siffler se font brûler les ailes et c’est quelque chose qui doit être combattu. L’Espagne a montré l’exemple avec ses jeunes sur le train. Aujourd’hui le Tifoso est plus ouvert et plus compréhensif vis-à-vis des difficultés du clubs. Dans notre cas, lorsque Conte et les joueurs sont parti, il y a eu un dialogue avec la Curva et nous leur avons fait comprendre que c’était pour le bien de l’Azienda. Ils l’ont compris et nous sommes toujours restés proche, ils nous sont toujours soutenu et c’est un très bel exemple de ce que doit être le rapport entre les Tifosi et le Club." Ronaldo à la Juve "J’avais fait part de mon évaluation, tout le monde aurait voulu s’offrir Ronaldo, je l’ai connu six mois avant mon départ. J’apprends toujours des champions, même comme dirigeants. Il a une culture du travail maximale, il est très soigneux sur sa propre condition physique et caractérielle. Toutefois, il devait être contextualisé et selon moi, cela passait aussi par des évaluations économico-financière : Mais j’entretiens encore aujourd’hui un grand rapport cordial avec la Juventus." Choisissez vos meilleurs acquisitions lors de votre carrière, poste par postes "J’avais recruté Rampulla de Pattese et je le conserve pour des raisons affectives. J’en ai trouvé un comme Buffon par exemple. J’ai vendu Taibi à United et c’était un flop, au final il n’était pas prêt. En défense, Bonucci fait preuve d’un très grand leadership, et il venait aussi du vivier interiste. Je le prends lui et Barzagli, à droite Hakimi et à gauche Alex Sandro." "Je dois vous dire qu’Evra était aussi très important dans l’économie du vestiaire : Il arrivait en provenance de United et il apportait avec lui des caractéristiques de champion dans le groupe. A la Juve, j’ai connu des champions, à l’Inter, je rencontrais des joueurs qui n’avaient plus gagné depuis tellement d’années et c’est pour cela qu’il était utile d’avoir un grand entraîneur." "A la Juve, j’ai connu des joueurs qui ont remporté la Coupe du Monde, des championnats: Khedira me disait qu’ils agissaient pareil au Real, j’en avais pris note et je l’ai retenu. Cela vaut aussi pour Evra ou Daniel Alves, tu apprends quelques choses des champions. Evra avait un certain âge mais en dehors du terrain, il avait tant à donner. C’est là que tu retrouves de la richesse et Conte a commencé à le faire , il l’avait transmis aux joueurs." "Nos joueurs à l’Inter n’avaient pas de palmarès et les difficultés étaient donc importantes. Aujourd’hui, ils ont une meilleure connaissance de ce qu’il faut avoir pour gagner. Au milieu du terrain, Barella représente une jeunesse devenue réalité. Je le choisi lui comme Pirlo et Pogba qui était arrivé gratuitement pour être revendu 110 millions d’euros. J’ai à mes côtés une équipe de travail qui me porte à faire des choix, mes décisions sont le fruit de ce travail : Pogba était quelqu’un de rare : pris gratuitement et rendu contre 110 millions d’euros. J’ajouterai Cuadrado comme ailier au milieu." "En attaque, j’en ai deux. Le plus difficile fut l’opération Dybala, je l’ai recruté grâce à mon rapport avec Zamparini qui était devenu le propriétaire de Palerme: Il m’avait contacté un jour pour me dire de me dépêcher car il était tout proche de signer avec Thohir. C’est grâce à notre amitié que j’ai su concrétiser cette opération. Je retire Ronaldo car c’est trop facile. L’autre personnalité avec qui je m’était lié d’affection était Recoba, mais j’aurais pu dire Pazzini ou Vieri. Même Lukaku mais cela aurait été trop facile : Peut-être que je dirais Higuain vu comment cela été devenu difficile." Une parenthèse sur Hakimi: Serait-il resté si Lukaku serait parti avant ? "Comme je l’ai dit, lorsque les joueurs sont intéressés par un salaire plus alléchant, il est très difficile de les garder." Pogba pourrait-il revenir en Italie ? "Je pense que ce serait difficile, même s’il y a aussi l’outil du Décret Croissance, qui s’il est boycotté, il nous a tout de même permis de réduire le coût du travail. Mais face à la valeur qu’il représente, je ne pense pas que quelqu’un puisse se permettre de l’engager." Dybala a l'Inter? "C’était possible lorsque l’on avait parlé d’une possible négociation entre lui et Icardi, mais je pense qu’il va signer avec la Juve pour prolonger." Lautaro Martinez est-il la pierre angulaire du futur ? "Il prouve qu’il est un joueur sur qui l’ont peut baser le présent et le futur, il est brave, professionnel, je souhaite que son futur soir à l’Inter, nous ferons tout. Très prochainement nous annoncerons sa prolongation car il est important: Je tiens à poser les bases pour un futur composé d’un juste équilibre entre des joueurs d’expérience et les plus jeunes." Quelle est votre évaluation sur la situation du club ? "L’Inter continuera à voyager haut avec une sécurité financière. Le modèle ne peut plus être celui qui existait auparavant, le tout doit retrouver une normalité. Mais nous ne pouvons pas nous imaginer que la famille Zhang, qui veut aller de l'avant et je peux le dire avec certitude, doivent toujours nous assainir. Nous voulons nous battre pour des objectifs de plus en plus ambitieux, mais nous voulons construire à partir de l'arrière, du secteur Giovanile, pour disposer d’une équipe qui pourra atteindre des objectifs importants." Votre meilleur entraîneur en carrière ? "Je prends Conte car il a gagné à Turin et à Milan et c’est statistiquement important. J’ai connu tant de très bons entraîneurs en carrière, et j’ai dû congédier des entraîneurs qui étaient humainement très bons mais qui n’étais pas des gagnants. Je pense qu’un entraîneur est bien plus souvent gagnant lorsqu’il est dans une situation des plus inconfortable. Ce rôle qui l’occupe doit être vécu comme une stimulation." "Je ne peux pas nier que Conte est un dur à cuire, mais il nous a prouvé qu’il était un gagneur. Il est très extrêmement exigeant avec une culture de la victoire comme peu en ont. Je dois vous dire qu’Inzaghi, vu comment j’apprends à le connaitre suit ce profil : Nous ne pouvions pas faire meilleur choix." Jusqu’à quand resterez-vous à l’Inter ? "Je me sens très bien ici, moi-même, tout comme l’équipe dirigeants avons parlé avec Steven Zhang. Lorsqu’il reviendra en Italie, je pense au mois de décembre, nous parlerons du futurs, les feux sont tous au vert, je dois vous dire également que j’ai plus une vision d’ensemble de la vie. Aujourd’hui c’est ce défi, puis il y en aura d’autre." "L’Inter sera mon dernier club, il n’y en aura plus de place pour un autre par la suite. Je me sens épanoui dans mon parcours et c’est bien que je puisse songer à des défis différentes, je me sens redevable envers le monde du ballon rond qui m’a enrichi en tant qu’homme, et cela va au-delà des récompenses." "A présent, ma capacité à faire face aux difficultés de la vie trouve son origine que je suis sûr de les surmonter grâce à ce que le sport m’a donné. Je veux y rester mais plus avec le stress d’aujourd’hui, et je pense également qu’il est juste de ralentir mes activités en songeant à ma santé." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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