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Inter 1-0 Milan (3-0) : Lautaro envoie l'Inter en finale de la C1
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Le "olé" de fin de match suffirait à souligner la supériorité de l'Inter sur le Milan. Les premiers sont en finale de la Ligue des Champions après avoir remporté un énième derby, les seconds rentrent chez eux la queue entre les pattes. Envoi d'Il Diablo en enfer cette fois-ci et c'est Lautaro Martinez qui scelle le 1-0, qui signe le rendez-vous à Istanbul et avec l'histoire. Première mi-temps Contrairement au match aller, le Milan démarre cette fois plus fort, grâce au résultat du premier acte et à la nécessité d'accélérer le jeu au retour. L'Inter garde le centre de gravité un peu plus bas et alterne les phases d'agression mais sort à distance avec la qualité de l'entrejeu, exploitant le dribble et en tout cas arrivant souvent à la conclusion. D'un côté Onana et de l'autre Maignan envoient pourtant les équipes au repos dos à dos avec ce 0-0 lui aussi dicté par l'imprécision générale. La tuile pour Inzaghi est la perte de Mkhitaryan (remplacé par Brozovic) en raison d'un problème musculaire. Deuxième mi-temps En deuxième mi-temps, le chronomètre tourne plus vite, Milan essaie sans conviction et l'Inter le punit au bon moment, également grâce au double changement d'Inzaghi qui jette Gosens et Lukaku dans la mêlée contre Dimarco et Dzeko à la 65e minute. Seulement neuf minutes plus tard, c'est Big Rom lui-même qui a lancé Lautaro qui a percé les mains d'un Maignan moyen sous un angle serré avec son pied gauche et a fait exploser le Meazza. Les entrées de Gagliardini et Correa contre Barella et le Toro sont pour l'enregistrement mais aussi pour éviter le double jaune qui coûterait le rendez-vous et avec l'histoire et avec Istanbul, où l'Inter jouera la Ligue des champions contre un colosse entre le Real Madrid et Manchester City. Il est encore temps de rêver. Traduction alex_j via FCInterNews- 21 commentaires
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Fabio Costantino, éditorialiste à FCInterNews, a rédigé un bel article suite à la victoire écrasante, ou presque, de l'Inter face aux cousins dans le premier round de l'Euroderby. Bonne lecture. Tout d'abord, calmons-nous et calmez-vous ! Comme face au Benfica la première mi-temps, d'un match qui s'étale sur 6 jours et qui dure 180 minutes, vient de se terminer. Il reste encore plus de 90 minutes à jouer et le Milan, ayant échappé au danger de perdre avec un score beaucoup plus lourd que 0-2, a des aspirations légitimes de remuntada. En attendant, cependant, s'ils veulent réaliser l'exploit mardi prochain, ils devront vaincre une équipe forte, très forte, physiquement et mentalement en bonne santé en ce moment. Inter-Monza semble très, très loin dans le temps, depuis cette gifle les Nerazzurri, touchant alors le fond, ont effectué une course sensationnelle pour d'un, sortir du puits et de deux, revoir la lumière. Entre la Ligue des Champions, le championnat et la Coupe d'Italie, à partir du 0-3 face à Empoli, six victoires consécutives sont arrivées, avec 17 buts marqués et un seul encaissé, contre la Lazio. Et si les chiffres ne suffisaient pas, allons faire un bilan de la première mi-temps du derby dans un décor majoritairement rouge et noir. Domination absolue et totale, deux buts, un poteau, quelques arrêts décisifs de Maignan et un penalty d'abord accordé par l'arbitre puis, à juste titre, refusé par la VAR. Qui n'a pas pensé au récent 0-6 au Hellas, emporté par un optimisme fou, lève la main ! Et c'est là qu'émerge le vrai, seul regret de la soirée Ne pas avoir gagné avec un résultat plus lourd, compte tenu également des occasions que nous avons eues en seconde période qui étaient plus nombreuses que le Milan lui-même. Ironiquement, selon Pioli, le Milan a mieux joué en seconde période mais ils n'ont pu produire qu'un tir imprécis de Messias et un pied droit de Tonali qui a ébréché le poteau. Notre Onana inactif n'a jamais été le protagoniste de véritables arrêts. Ah, encore un regret : l'assidu Martinez Munuera, bon à corriger Gil Manzano sur le penalty accordé à Lautaro, pourquoi a-t-il laissé filer le coup de poing de Bastoni à Krunic en pleine surface de réparation, carton rouge et penalty réglementaire ? Geste non violent mais punissable malgré tout. Consolons nous : nous n'avons même pas laissé à nos cousins la satisfaction de se plaindre de l'arbitrage. Au contraire, Pioli a eu le courage de le faire. Mais à juste titre, comme il le dit : le gagnant fait la fête, le perdant explique... Dirigez-vous maintenant vers Sassuolo, qui en termes de potentiel offensif est supérieur même au Milan, démontré sur le terrain et pas en théorie. Un excellent coup de cœur en vue du match retour au Meazza. Le dossier n'a pas encore été archivé, il doit être laissé là sur le bureau en attendant d'être repris dans cinq jours et bouclé définitivement. Il reste un combat à mener, comme l'a dit Inzaghi, voyons qui a le courage de le mettre dehors maintenant, un énorme effort est encore nécessaire pour couronner le rêve d'une finale de la Ligue des Champions. Mais si l'Inter, qui se présentera face aux Rossoneri, sera la même qu'hier soir, on pourra dormir tranquille. Traduction alex_j via FCInterNews. Texte de Fabio Constantino.
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Gianluca Pagliuca : "L'Inter quasiment en finale et le Milan dans le top 4"
alex_j a posté un article dans Interviews
S'exprimant aujourd'hui sur Radio Anch'io Lo Sport, notre ancienne légende Gianluca Pagliuca s'est exprimé sur les divers sujets brulants de l'Inter. L'Inter passant le Milan pour la finale de la Ligue des Champions ? "L'Inter commencera comme favorite avec son 2-0 mais je ne vois pas le Milan 'battu' d'avance. Je suis convaincu que l'Inter a d'excellentes chances et j'espère qu'ils atteindront la finale mais les Rossoneri vendront chèrement leur peau. En championnat, je pense que le Milan sera dans le top 4 car les quatre plus forts y iront : Naples, l'Inter, la Juventus et Milan... La Roma aurait quelques points de plus s'il n'y avait pas eu les coupes." Onana vs Maignan "Ils sont tous les deux très forts. Pour l'instant je suis du côté de Maignan mais Onana connaît une saison incroyable en Serie A. Je ne pensais pas qu'il éclorait si tôt car je pensais qu'Handanovic avait plus de 'touché'. Mais Maignan est l'un des trois plus forts du monde." Plus peur d'affronter le duo Lukaku-Martinez ou Dzeko-Martinez ? "Lukaku est vraiment en forme, il redevient le joueur décisif qu'il était. J'aurais plus peur d'affronter Lukaku-Lautaro que Dzeko-Lautaro. Ils s'entendent bien, ils ont remporté le championnat avec Conte et cette année ils étaient à leur paroxysme. Je pense qu'ils finiront la saison sur une bonne note." Les jeunes gardiens italiens "J'aime vraiment Vicario , il a eu un championnat incroyable et il est déjà prêt pour des clubs plus importants. Carnesecchi est bon mais je le laisserais faire une autre année dans une équipe moyenne pour ensuite sauter le pas aussi." La confrontation joueurs-fans qui a eu lieu à la Spezia après la défaite du Milan "Je ne comprends pas comment les joueurs de Milan qui ont fait une belle saison doivent s'excuser d'avoir perdu. Je peux comprendre si vous êtes relégués. Milan a perdu mais parce qu'ils sont probablement déjà concentrés sur le derby. Quiconque a fait ce travail pendant tant d'années peuvent comprendre cela. Certains fans ne le comprennent pas. Ils pensent que Milan devrait aller à La Spezia et gagner 3-0 et ce n'est pas le cas." Traduction alex_j via FCInterNews.- 7 commentaires
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AC Milan 0-2 Inter : Dzeko et Mkhitaryan donnent la victoire
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
L'Inter domine le Milan pour le premier round de l'Euroderby. Résumé du match. Il y a des moments si mémorables qu'on pourrait presque les dessiner. Si vous fermez les yeux, vous pouvez voir les contours clairs de la volée du pied gauche de Dzeko, l'action de Lautaro et de la course et de la finition de Mkhitaryan, les câlins, la joie... Mais avant tout, il y avait la détermination et le courage des Nerazzurri, ces caractéristiques fondamentales pour un match aussi difficile qu'important. De la tête et du cœur oui, mais il faut aussi de la ténacité, de l'habileté et tant d'envie pour gagner un match aller de demi-finale de Ligue des champions, surtout pour s'imposer après seulement 10 minutes et 16 secondes. Le premier but, un mélange de technique et de physique, était un beau but d'Edin Dzeko qui a frappé une volée du pied gauche sur le corner de Calhanoglu et a donné l'avantage à l'Inter avec le but numéro 400 de sa carrière, son 29e en Ligue des champions. Deux beaux buts en quelques minutes mais les Nerazzurri en voulaient toujours plus. L'Inter perforait le Milan avec aisance et à la 16e minute, ils ont failli marquer un troisième avec le tir de l'extérieur du pied de Calhanoglu qui a heurté l'intérieur du poteau. Les Rossoneri ont tenté de revenir dans le match grâce à l'effort de Calabria, qui a été trouvé par Messias avant de toucher le filet latéral. Mais les niveaux de concentration de l'équipe d'Inzaghi n'ont jamais baissé et ils ont eu l'aide de Dumfries qui a taclé Saelemaekers dans une position dangereuse. Mi-temps pour souffler. En seconde période, les Rossoneri se sont plus rapprochés de Diaz et Messias avec deux tirs qui ont dépassé le but d'Onana. L'Inter, cependant, cherchait toujours ce troisième but et à la 53e minute, Bastoni a presque effectué une autre passe décisive en Ligue des champions, passant à Dzeko qui a été stoppé par un superbe arrêt de Maignan. Le Milan a été le plus proche de réduire la marque grâce à Tonali, dont le tir, qui a légèrement dévié par Bastoni, a touché le poteau. L'Inter a tourné avec de Vrij, Gagliardini, Brozovic, Lukaku et Correa venant tous injecter de l'énergie dans l'équipe. À la 74e minute, Lukaku a bien fait de trouver Lautaro qui l'a passé à Darmian, dont le tir a été bien bloqué par Thiaw. Enfin, à la 83e minute, il y a eu un joli travail de combinaison avec Barella qui a mis en place Gagliardini qui n'a pas réussi à tirer, en dépit d'être en position de marquer. MILAN AC - INTER : 0-2 Buteurs : 8' Dzeko, 11' Mkhitaryan AC MILAN (4-2-3-1) : 16 Maignan ; 2 Calabre (82' 20 Kalulu), 24 Kjaer (59' 28 Thiaw), 23 Tomori, 19 Theo Hernandez ; 33 Krunic, 8 Tonali; 10 Brahim Diaz (82' 32 Pobega), 4 Bennacer (18' 30 Messias), 56 Saelemaekers (59' 27 Origi) ; 9 Subs Giroud : 83 Mirante, 92 Nava, 5 Ballo-Touré, 12 Rebić, 46 Gabbia, 90 De Ketelaere. Entraîneur : Stefano Pioli INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 36 Darmian, 15 Acerbi, 95 Bastoni ; 2 Dumfries, 23 Barella, 20 Calhanoglu (78' 5 Gagliardini), 22 Mkhitaryan (62' 77 Brozovic), 32 Dimarco (70' 6 De Vrij); 9 Dzeko (70' 90 Lukaku), 10 Lautaro (78' 11 Correa) Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 8 Gosens, 12 Bellanova, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 46 Zanotti Entraîneur : Avertissement : 45'+1' Krunic, 45+2 Mkhitaryan, 64' Tomori Temps additionnel : 4': 4' Arbitre : Jesus Gil Manzano (ESP) Assistants : Barbero, Nevado (ESP) Quatrième arbitre : Sanchez (ESP) VAR : Martinez Munuera (ESP) VAR assistant : Hernandez (ESP) Traduction alex_j via le site officiel.- 11 commentaires
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A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
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L'ancien gardien de but légendaire de l'Inter, Julio Cesar, pense que cette équipe de l'Inter sera capable d'aller en Finale de la Ligue des Champions. S'adressant à Amazon Prime, via FCInterNews , le Brésilien a exprimé sa confiance quant aux chances des Nerazzurri d'aller même jusqu'à la finale, tout en faisant des louanges à l'actuel gardien de l'Inter André Onana comme étant de la plus haute qualité. L'Inter a encore beaucoup de travail à faire s'il veut réserver sa place dans le plus grand match européen, mais il est certainement devenu beaucoup plus proche que beaucoup ne l'auraient imaginé. Contre Benfica à San Siro mercredi soir, les Nerazzurri ont l'occasion de concrétiser l'avantage de deux buts qu'ils ont acquis sur l'équipe Portugaise lors du match aller de leur quart de finale. À partir de là, les Nerazzurri rencontreront l'AC Milan ou Naples, selon l'équipe Italienne qui remportera le match retour du quart de finale de ce soir. Étant donné que l'Inter a déjà battu les Rossoneri et les Partenopei en Serie A cette saison, ils auront toutes les raisons de penser que ses deux matchs seront a leurs portés. Du point de vue de Julio César, qui a remporté la compétition avec l'Inter en 2010, il n'y a aucune raison pour que cette équipe ne puisse pas rêver d'une apparition en finale de la Ligue des Champions. "Je pense qu'ils peuvent le faire, tout peut arriver dans le football, mais je vois l'Inter aller en demi-finale après sa victoire à Lisbonne." "Ils ont toutes les chances d'atteindre la Finale, ils se heurtent à des équipes qu'ils ont déjà affrontées." "L'Inter a joué contre des équipes assez difficiles dès les huitièmes de finale, et cela les a fait progresser." "Si le prochain tour s'avérait être un Derby, ce serait bien, même contre Naples, ce serait très ouvert." De sa propre expérience en remportant la Ligue des champions, Cesar a rappelé que: "Moratti tenait beaucoup à gagner une Ligue des champions, j'ai pu le voir tout de suite, puis Mourinho est arrivé." "Nous avons ressenti la pression sur nous, vous sentez toujours les papillons dans votre estomac dans les matchs importants, quand un joueur cesse de ressentir cela, cela veut dire qu'il n'y a plus cette passion." "Puis quand le match commence, tu es concentré et tu oublies tout." Lorsqu'on lui a demandé entre Onana et le portier de l'AC Milan Mike Maignan qui été le meilleur cette saison, Julio Cesar a répondu: "Qu'il y a toujours eu des comparaisons et il y en aura toujours." "J'aime Maignan, et puis Onana montre pourquoi l'Inter le voulait." "Je sais que c'est un gars très positif et optimiste, et c'est un excellent gardien Onana. "Et quand vous commencez à faire des arrêts décisifs, votre confiance augmente." "Les deux gardiens sont dans une très bonne phase actuellement". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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L'ancien entraîneur s'est exprimé sur les pages de La Gazzetta dello Sport sur les matches de la Ligue des champions et la victoire de l'Inter: "Milan et Naples ont joué une première mi-temps de niveau européen. Au début, la domination de l'équipe de Spalletti était évidente : il s'est créé plusieurs occasions et Maignan à était très bon. Milan a cependant su résister et repartir. Et dans une de ces contre-attaques ils ont ouvert le score. Brahim Diaz à été très bon, à mon avis, il a trouvé la position idéale sur l'aile droite. Dans l'ensemble, en première mi-temps, j'ai admiré un spectacle sur la scène internationale. C'est ainsi qu'il faut jouer : avec courage, avec le désir d'étonner et de dépasser ses propres limites". Mais en plus du match à San Siro, la Ligue des champions de cette semaine a également été marquée par une magnifique performance de l'Inter qui s'est soudainement fait admirer par toute l'Italie. Oui, car jusqu'à présent l'équipe de Simone Inzaghi avait été très discontinue et les dix défaites en championnat sont là pour le prouver, mais la victoire contre Benfica dans la pagaille Lisboète était vraiment un bel exploit. L'Inter a joué avec courage, idées et caractère. Et ça n'a pas été facile du tout, car les Portugais sont forts et ont des éléments capables de mettre beaucoup d'adversaires en difficulté. Tous les Nerazzurri ont donné toute l'énergie qu'ils avaient dans leur corps, ce qui, en plus d'être un motif de satisfaction pour l'entraîneur, est aussi une démonstration de grand professionnalisme. Quand on se dépense autant, on est gagnant. Je n'ai aucun doute sur les valeurs techniques des garçons d'Inzaghi, ils sont très bons. Au lieu de cela, je me pose des questions sur leur volonté capricieuse de toujours faire les choses au maximum, comme cela s'est produit à Lisbonne. Sinon comment expliquer les dérapages en championnat ? Les entraîneurs italiens, et cela vaut non seulement pour Simone Inzaghi mais aussi pour tous les autres, doivent regarder la personnalité, la motivation, l'esprit de sacrifice et l'intelligence des éléments à leur disposition, et pas seulement le raffinement des pieds. Ce qui fait la différence, dans le football comme dans la vie de tous les jours, ce sont des valeurs comme le professionnalisme, l'éthique et l'engagement au travail. L'Inter, à Lisbonne, a frôlé les 10, a la note général. Barella, par exemple, a joué un jeu d'une grande intensité, ce qui n'a pas été toujours le cas cette saison. Le milieu de terrain a très bien fonctionné, Mkhitaryan se sacrifiant humblement et Brozovic s'est très bien débrouillé. La défense a bénéficié de l'aide des milieux de terrain et s'est approchée de la perfection. Si on veut vraiment retrouver un cheveu dans la soupe, il faut essayer d'être encore plus compact pour apporter une action pressante efficace. Maintenant, il ne reste plus qu'à terminer le travail et pour ce faire, il ne faut pas laisser Benfica dominer le jeu à San Siro. Le courage montré à Lisbonne, où l'Inter a disputé l'un des meilleurs matches internationaux dont je me souvienne. Un Milaniste Réaliste! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Romelu Lukaku a reçu la solidarité du monde entier. Sportif et autre. A commencer par de nombreux joueurs de Milan. Mais rien de la Juve! Romelu Lukaku a reçu la solidarité du monde entier. Sportif et autrement. A commencer par de nombreux joueurs. De Leao à Bennacer jusqu'à Maignan, grande solidarité du monde Rossoneri pour l'avant-centre belge, victime d'ignobles insultes racistes tout au long du dernier match Juventus-Inter. Solidarité aussi des stars mondiales du calibre de Mbappè, Vinicius, Drogba. Mais, comme le rappelle la Gazzetta dello Sport, "personne de la Juve ne lui a parlé directement, du moins jusqu'à hier soir". "Ainsi que des messages publics et privés du monde entier - du président de la Fifa Gianni Infantino au Français Mbappé, en passant par le ministre des Sports Abodi et le Rossoneri Leao - l'Inter s'est occupé de chouchouter le Belge. Les dirigeants et l'entraîneur étaient près de lui, dans les heures qui ont suivi l'épisode puis aussi hier matin à Appiano ", souligne la Rosea. VERGOGNA!! HONTEUX Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Notre gardien André Onana a accordé une interview aux micros de DAZN pour le format "Culture". Voici ses mots À quoi ressemble votre journée type dans votre pays d'origine ? — Quand j'habitais là-bas j'étais très jeune, on se levait, on prenait le petit déjeuner et on allait travailler en ville. Je me souviens que des trains passaient près de chez moi, il fallait traverser les voies. Et nous marchions 45 minutes pour atteindre les champs où nous travaillions. Nous avons passé les journées à travailler et à être ensemble, puis nous rentrions à la maison. La chose la plus étonnante est que nous n'avions pas de lumière, nous avions des lanternes - nous les utilisions pour nous frayer un chemin dans l'obscurité. Il n'y avait pas d'école, je l'ai fréquentée à Yaoundé car mes parents travaillaient dans cette ville et mes frères et moi les suivions. Les enfants ont-ils joué au football ? — Oui, mais sans attentes. Ce que je vis est un rêve. Être joueur de l'Inter est quelque chose que je ne pouvais même pas imaginer dans mon enfance au Cameroun. Je ne sais pas si vous pouvez me comprendre parce que si je pense que je viens d'un endroit totalement différent, je viens d'un village sans lumière et d'une famille modeste. Imaginez ce que cela signifie pour moi si on me disait "tu joueras pour l'Inter" quand j'étais enfant. Je ne pouvais même pas en rêver, c'était impossible d'y penser. Quand avez-vous pensé à être gardien de but ? — Toujours enfant. J'ai 4 frères : nous étions 5, un nous a quitté. Mais quand on me pose cette question je dis instinctivement que nous sommes 5, je l'emporte toujours avec moi. Je suis le plus jeune de 4 garçons, l'aîné nous a quitté. Mon frère Christian, également gardien de but, joue en Indonésie : avant d'y jouer, quand on était au Cameroun, je l'accompagnais aux matchs, je portais son sac. J'ai vu comment il jouait et je suis tombé amoureux du rôle. Que seriez-vous devenu sinon ? — Officier de police. J'aime les responsabilités. J'aime beaucoup être gardien mais c'est un poste compliqué : tu fais bien aujourd'hui et tu fais des erreurs demain et c'est fini. Il faut être très fort mentalement car chaque erreur est un but L'Académie Eto'o ? — J'étais enfant, j'avais 11 ans, je rentrais de l'école et ma mère m'a dit qu'elle avait quelque chose d'important à me dire. L'entraîneur de l'Académie était venu me demander d'y aller et de jouer comme j'habite là-bas. Je vivais dans la maison du coach. J'y suis resté environ 4 ans : c'était très drôle quand le coach m'a appelé pour me dire que j'allais à Barcelone. Je ne savais rien, ma mère a appelé et lui a dit : je ne savais rien pendant une semaine, pendant ce temps je jouais. Avec l'Académie, nous avons fait de nombreux voyages en Europe, dans l'un d'entre eux, nous avons dû aller à Irun. Et le coach m'a dit : "Prends tous tes vêtements pour ce voyage." J'ai demandé pourquoi, il a répondu parce qu'il m'a dit. J'ai commencé à être nerveux parce que j'étais le seul à devoir faire mes affaires. Alors j'ai appelé ma mère pour lui dire, elle riait tout le temps : mon frère lui a dit de me dire la vérité. Puis il m'a dit de me calmer car il avait une nouvelle importante, que j'allais à Barcelone. Je veux dire, c'est comme ça que tu me le dis. Là j'ai commencé à réaliser : Cela s'est bien passé et j'ai signé quand j'avais 14 ans. Adama Traoré, Munir, Deulofeu, Thiago, Rafinha, beaucoup de talents ont joué avec moi. Où habitiez-vous? — Dans l'ancienne ferme. Y avez-vous appris à jouer avec vos pieds ? — Je savais déjà le faire, là j'ai appris l'approche par le bas, en apprenant à lire les situations. Cela dépend aussi de la formation avec laquelle vous jouez, ce n'est pas la même chose avec un 4-3-3 ou un 3-5-2. Pour moi c'est plus facile à 4, j'ai l'habitude, mais tous les schémas vont bien, si on se comprend, on joue bien au foot. Vous avez changé l'Inter dans celui-ci. — C'est moi qui ai changé pour l'Inter. Au cours des 20 dernières années, la position du gardien de but a changé. Ma façon de jouer et de voir le football, surtout dans les buts, est différente. Maintenant s'il y a de l'espace, la balle doit être jouée, il faut toujours chercher de l'espace. Quand je vous parle du gardien de but, je parle du moderne : un joueur au pied fort, en 1 contre 1, qui est courageux et qui transmet de la confiance et qui est fort dans les ballons hauts. Si tu as un gardien comme ça, tu as une force remarquable, tu joues en supériorité numérique avec le gardien. Le canard n'est plus un drame. — Pour progresser, il faut faire des erreurs. Si vous ne vous trompez pas, vous n'apprenez pas : quand vous gagnez, vous n'apprenez rien, la victoire couvre tout. Nous pouvons mal jouer, mais si nous gagnons, personne ne parle d'erreurs. En tant que gardien, il faut apprendre à nous convaincre, je n'y pense pas, je sais que ça va arriver : c'est un risque calculé. Ça fait partie de l'apprentissage, il faut être fort mentalement : si tu penses ne pas pouvoir faire d'erreur, tu te trompes. On n'a même pas à parler de ceux de Courtois et d'Alisson, ils sont très forts et prennent des risques. Si vous ne les dirigez pas, vous ne prenez aucun risque et vous n'aidez pas l'équipe. Ne prendre aucun risque, c'est jeter le ballon. Aimez-vous le bruit du San Siro lorsque vous prenez des risques ? — Je ne l'entends pas. A ce moment je suis dans mon monde. J'ai eu la chance de jouer des matchs importants dans de grands stades. J'ai ma musique dans la tête, je m'isole de la réalité. J'y suis, je vois beaucoup de monde, mais je n'y pense pas, je ne veux pas me faire écraser par le jeu. Je fais mon travail et je rentre chez moi. Vous avez joué une finale avec la peur de perdre. — Oui, avec beaucoup de peur. Et après ce match, je me suis dit que je ne jouerais jamais avec cette peur sur moi. Si nous jouions ensemble contre le Real et le Barça, je n'aurais pas peur. Même s'ils avaient 22 ans, je ne crains personne sur le terrain. J'ai perdu une finale de Ligue Europa par peur. Nous avons perdu ce match avant de le jouer : nous devions jouer contre United, nous sommes arrivés à Stockholm, j'ai appelé Van Der Sar et lui ai dit que je ne jouerais pas parce que je n'allais pas bien. Nous nous sommes réveillés le matin avec 7 joueurs malades. On était jeune, on était dans le tunnel, je vois De Gea derrière moi : six mois plus tôt je jouais sur PlayStation. Younes est venu vers moi et m'a dit de regarder l'énorme bras de Valencia et qu'il ne pouvait pas jouer contre lui. Que vous a dit Handanovic lors de votre rencontre ? — II m'a dit "bienvenue". Je le connaissais, je ne sais pas s'il me connaissait. Cela m'aide beaucoup. Je me souviens de son visage sérieux : nous sommes très différents, j'aime chanter, je suis gai. Il est très calme. Que s'est-il passé avec Dzeko ? — Ce sont des choses qui arrivent dans le football. Si nous devons faire cela pour gagner, faisons-le toujours. Si je dois crier sur Dzeko comme ça pour gagner, je le ferai. C'est moi qui ai le ballon et qui décide quoi faire : tout le monde le veut, Lautaro, Calhanoglu, Brozo, tout le monde ! Mais je décide et tu dois respecter ça. Je peux me tromper, mais vous devez l'accepter. Au final j'ai aimé ce qu'il a dit : il veut le ballon, je jouerai avec lui la prochaine fois. Quel est l'impact de votre personnalité sur l'équipe ? — Je dois aider l'équipe et si les aider signifie se disputer avec Dzeko ou Lautaro, j'ai la personnalité pour le faire. De ma position, je peux voir tout le terrain. Skriniar ou Acerbi me disent "à gauche", parce que si je suis concentré sur la croix, je ne vois nulle part ailleurs. A ce moment-là, ils voient mieux le terrain que moi et je dois leur faire confiance. Votre arrêt face à Porto ? — L'important est de parer, aussi beau soit-il. Le ballon rebondit et je ne le bloque pas, je le repousse et je sais que Barella sera là : je le fais parce que je fais confiance à mes coéquipiers au rebond. C'est quelque chose que j'aime vraiment. Votre retour au Cameroun après la Coupe du monde ? — J'y suis né et j'y ai grandi, j'y mourrai probablement. C'est mon pays, je l'aime. Pour le bien du pays, il faut parfois se retirer. Je jouais au foot, j'étais avec mes amis et ma famille en paix. Au final c'est important d'être avec eux et avec des gens qui vous connaissent, ce sont des gens qui ont toujours su comment ils sont. J'adore ces instants. Neuer ? — Pour moi c'est le meilleur gardien de l'histoire, il a révolutionné le poste : grâce à lui on est des gardiens qui jouent dans le football moderne. Lors de la Coupe du monde 2014, il a fait quelque chose d'incroyable et de jamais vu auparavant. Neuer m'a fait penser différemment. Buffon ? — En tant que gardien de but, il m'est difficile de parler de lui, c'est l'un des plus grands. J'ai joué contre lui en Coupe d'Italie : je lui ai demandé son maillot et il m'a aussi donné ses gants. J'étais heureux comme un enfant. Maignan ? — En 2017, j'étais le seul gardien noir qui jouait à un haut niveau. Maintenant, je suis content de revoir Mendy, Maignan et les autres. Je le connais bien, nous avons joué mille fois contre lui. Nous sommes amis, pas intimes : c'est un grand gardien, j'aime jouer contre lui. Nous avons joué contre 4 fois. Le meilleur? Je ne sais pas, mais dans ma tête je sais qui est le meilleur. Bravo à toi André pour ce si beau parcours! Traduction Lindt1908 Via Inter1908
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Le gardien français n'est pas encore totalement remis de sa blessure, et son retour sur le terrain s'éloigne. L'inquiétude règne à l'AC Milan : le rétablissement de Mike Maignan, blessé avant la Coupe du monde, progresse lentement, et le gardien français risque désormais de manquer le match de Supercoupe contre l'Inter. Tuttosport écrit : "De l'anxiété des derniers jours du camp d'entraînement d'hiver à Dubaï, à l'alarme. Mike Maignan préoccupe l'AC Milan. En effet, l'état du mollet gauche du gardien français n'apporte pas de bonnes nouvelles et le sentiment qui se dégage de Milanello est que le retour de Maignan n'aura pas lieu le mercredi 4 janvier à Salerne lors de la reprise du championnat, mais pourrait même être reporté d'au moins deux semaines supplémentaires. Maignan pourrait donc être absent un mois de plus, risquant ainsi de manquer également la Supercoupe d'Italie contre l'Inter prévue le 18 janvier à Riad. ®Oxyred - Internazionale.fr via fcinter1908
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C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport, la retentissante défaite, dans la manière, du Derby Della Madonina, a fait sauter toutes les immunités possibles, La Direction allant même à parler d’humilité, à la Pinetina, au lendemain d’une soirée chaotique à San Siro : "L’équipe s’était présentée sur le terrain en faisant preuve d’un manque de concentration, de courage et de motivation : Ceux qui auraient dû transcender leurs équipiers ne l’ont pas fait, surtout les Bigs qui sont tous sous examens: Pour cette raison, il n’existe plus d’intouchable dans le vestiaire, plus personne n’est sur de son poste dans un futur proche : De Nicolò Barella à Alessandro Bastoni, une fois leader une fois l’ombre d’eux-mêmes, en passant par Hakan Çalhanoğlu, sans oublier le duo Milan Skriniar - Stefan De Vrij qui, pour diverses raisons, a fait l’objet de distraction et d’un manque évident de concentration." Handanovic et Inzaghi est aussi dans le viseur "Car Romelu Lukaku mis à part, les nouvelles recrues ont été peu ou pas du tout utilisées par Simone Inzaghi en ce début de saison. Le cas le plus emblématique est celui d'André Onana, qui n'a toujours pas joué la moindre minute en match officiel : Est-il possible que l'Inter puisse garder un numéro un mondial potentiel sur le banc pendant une saison?" s'interroge la Rosea "L'entraîneur avait été clair lors de la présaison au sujet de Samir Handanovic comme titulaire, mais le tourment des critiques et des Tifosi au sujet de la mise sur le banc du capitaine en faveur du Camerounais a repris de plus belle après le Derby au cours duquel la comparaison à distance avec Mike Maignan s’est avéré impitoyable." "L'ancien joueur de l'Ajax n'est pas le seul à être resté aussi longtemps inactif lors des cinq premières journées de championnat : les deux jeunes Kristjan Asllani et Raoul Bellanova, présents sur le terrain pour un total combiné de 35 minutes (24' et 11'), attendent également une véritable chance. L'Albanais, après un été au sommet a été mis en veilleuse, tandis que l'ancien joueur de Cagliari est "bloqué" par les nombreux cinquièmes changement de l'effectif, et notamment à droite avec Denzel Dumfries. Et il ne faut pas oublier l'expérimenté Henrikh Mkhitaryan, qui est monté en cours de jeu après s'être remis d'une blessure : "C’est un exemple tangible de la façon dont l'Inter a besoin de nouvelles énergies, à la fois technique et nerveuse: L'entrée de l'Arménien dans le Derby a été plus qu’un électro-choc en apportant du temps, en offrant une meilleure gestion du ballon avec des choix lucides et toujours justes au moment de lancer les offensives." Selon vous, De Vrij, Bastoni, Handa, pour ne citer qu’eux, doivent-ils être "rangés" au placard en ce moment ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Après la défaite concédée lors du derby della Madonnina, Simone Inzaghi et la défense intériste est sous le feu des médias italiens. Extraits. On commence par un article du Corriere della Sera publié aujourd'hui stipulant que l'Inter avait beaucoup à faire lors de la défaite 3-2 contre les Rossoneri. Une chose est que le Milan a clairement le gardien de but nettement meilleur puisque Mike Maignan a effectué un certain nombre de superbes arrêts tout au long du match, arrêts de classe qui n'ont pas pu être reproduits à l'autre bout par Samir Handanovic. Il y a aussi des questions qui doivent être posées à Simone Inzaghi en ce qui concerne les sélections qu'il a faites pour le match et aussi pour le moment de ses changements en seconde période qui n'ont pas eu le plein effet qu'il aurait voulu, avec seulement Edin Dzeko et Federico Dimarco faisant, un peu, la différence. Ensuite, l'analyse de FCInter1908 a évoqué le fait qu'Inzaghi a une fois de plus montré qu'il n'avait peut-être pas l'esprit tactique et calme qui est nécessaire dans les grands matchs comme celui du derby. Le XI de départ n'a pas semblé fonctionner car Joaquin Correa n'a pas pu affecter le match. Les changements d'Edin Dzeko et de Federico Dimarco ont brièvement amélioré l'équipe, mais les autres changements semblent arriver bien trop tard car le Milan menait déjà 3-1. Avant de marquer le premier but, il était clair que les Rossoneri étaient l'équipe qui avait le dessus et l'entraîneur a peut-être raté sa chance de renverser la vapeur avant le Milan prenne le large. On poursuit avec l'Interista qui se focalise sur la défense. En effet, elle semble être très perméable cette saison puisqu'elle a encaissé huit buts en seulement cinq matchs. Seul Cremonese en a concédé plus lors de ses cinq premiers matches. C'est l'un des principaux domaines à blâmer pour la défaite, mais Simone Inzaghi a également reçu beaucoup de critiques pour les changements qu'il a apportés et qui sont arrivés trop tard dans le match. Simone Inzaghi a obtenu 5,5 sur 10 par Tuttosport et TMW, 5/10 par La Gazzetta dello Sport et L'Interista, puis le Corriere dello Sport lui a donné 4,5. Stefan de Vrij a été critiqué pour son attitude dans ce match et en particulier pour le faible marquage sur Rafael Leao pour les deux buts de l'attaquant portugais. Pour cette raison, il a obtenu des notes très faibles de la presse italienne. La Gazzetta dello Sport, TMW et L'Interista lui ont donné 4,5 sur 10, tandis que le Corriere dello Sport et Tuttosport lui ont donné 4/10. Denzel Dumfries a été critiqué pour les moments où il a semblé perdre sa concentration défensivement, ce qui a coûté à l'Inter à plusieurs reprises. Il a également été critiqué pour ne pas avoir livré de bons centres dans la surface, ce qui est une marque de fabrique de son jeu dans un bon jour. Il était autorisé pour ne pas trop marquer Rafael Leao, mais cela a ensuite déséquilibré l'Inter et a donné au Milan un moyen d'exploiter cette faille. Il a reçu une note de 5/10 de La Gazzetta dello Sport, Tuttosport et L'Interista. Il a obtenu 5,5 du Corriere dello Sport et TMW. Traduction alex_j via Sempreinter.
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Milan - Le verdict est tombé : les banderoles et les insultes adressées à l'Inter et à ses joueurs lors de la célébration du Scudetto ont coûté cher à l'AC Milan. Suite à l'accord conclu par les parties, quatre joueurs des Rossoneri, à savoir Theo Hernandez, Rade Krunic, Mike Maignan et Sandro Tonali ont été sanctionnés pour avoir violé l'article 4, paragraphe 1, du Code de justice sportive pour leur comportement lors des célébrations du 19ème Scudetto des Rossoneri. Krunic a été sanctionné d'une amende de 5 000 €, et Theo Hernandez, Maignan et Tonali d'une amende de 4 000 €. L'AC Milan a également été sanctionné pour responsabilité stricte avec une amende de 12 000 €. De quoi les priver des vacances d'été! ©Internazionale.fr, via FCinternews.it- Traduction Oxyred
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Une rencontre à oublier, aussi bien pour les Rossoneri que pour les Nerazzurri, ce nouveau Derby Della Madonnina avait comme consigne, de la part des deux parties, de ne pas faire mal, ne pas faire trop mal, et avant tout à soi-même. C’est donc sans aucune surprise que nous avons tous assisté à une véritable purge au Stade Giuseppe Meazza, dans une rencontre qui a mis en lumière deux équipes qui sont loin d’être au top de leur forme, mais qui parviennent à occuper le Top 3 en Serie A. Dans un combat de boxe, au niveau des points, c’est le Milan qui l’aurait emporté, l’équipe de Stefano Pioli se créant les plus belles occasions. De son côté, l’Inter d’Inzaghi semble être parvenue à cadrer la mire en défense, sachant qu’il s’agit de la seconde rencontre sans buts encaissés. Toutefois, le rempart offensif à de nouveau répondu absent : L’Inter est apparue très rarement incisive et Mike Maignan, mis à part, un contact fautif de Lautaro Martinez, aura passé une soirée tranquille. L’Inter apparaît clairement rincée, en méforme, et ne parvient plus à construire et à proposer son jeu huilé, preuve en est le caviar offert à Arturo Vidal, à peine monté aux Cugini Pour l’heure, la qualification pour la Finale de la Coupe d’Italie n’est pas remise en question, le match retour aura lieu le 20 avril prochain. La priorité est à présent de bien se préparer pour faire face à la Salernitana et parvenir à retrouver le chemin des filets après plus de 400 minutes sans buts inscrits. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Milan 0-0 Inter Buteur(s): / Milan: 16 Maignan; 25 Florenzi (84' 2 Calabria), 23 Tomori, 13 Romagnoli (26' 20 Kalulu), 19 Hernandez; 79 Kessié, 4 Bennacer; 56 Saelemaekers (67' 30 Messias), 33 Krunic (67' 10 Diaz), 17 Leao (67' 12 Rebic); 9 Giroud Banc: 1 Tatarusanu, 83 Mirante, 5 Ballo Touré, 22 Lazetic, 27 Maldini, 41 Bakayoko, 46 Gabbia T1: Stefano Pioli Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries (88' 36 Darmian), 23 Barella (65' 22 Vidal), 77 Brozovic, 20 Calhanoglu, 14 Perisic (88' 18 Gosens); 9 Dzeko (79' 19 Correa), 10 Lautaro Martinez (65' 7 Sanchez) Banc: 97 Radu, 5 Gagliardini, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 32 Dimarco, 33 D'Ambrosio, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Arbitre: Mariani VAR: Irrati Averti(s): Brozovic (I), Lautaro Martinez (I) Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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La Serie A 2021/2022 est-elle la plus fracassée de l’Histoire ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Nous avons le plaisir de vous proposer une analyse condensée de plusieurs journaux qui font état d’une situation inédite et Historique, en Serie A Une première pour la Repubblica "2 points pour les trois premières équipes, tel est le maigre butin conquis lors de la 26ème journée de championnat récolté par le Milan, l’Inter et le Napoli: Nous sommes très loin d’assister à un rendement de premiers de classe. Pour la première fois depuis la saison 2010/2011, saison où Massimiliano Allegri était sur le banc du Milan Ac, aucun entraîneur en cours n’a jamais remporté le Scudetto." "Entre Stefano Pioli, Simone Inzaghi et Luciano Spalletti, le seul à être parvenu à réaliser une saison Da Scudetto en terme de points, c’est bel et bien le dernier…sans y parvenir : Lors de la saison 2016/2017, sa Roma composée entre autre d’Alisson et Salah était parvenu à récolter 87 points, pour se retrouver derrière la Juve. La meilleure saison de Simone Inzaghi remonte à la saison 2019/2020, avec 78 points au compteur. Stefano Pioli en a engrangé un de plus la saison dernière, en terminant à la seconde place, à 12 points de l’Inter. Lorsque l’on regarde la parcours global des trois entraîneurs en Serie A, Stefano Pioli propose une moyenne de 1,50 points par match, contre 1,73 pour Spalletti et 1,85 pour Simone Inzaghi. "Le gagnant sera celui qui, par rapport à son propre rythme historique, sera capable d'accélérer vers la ligne d'arrivée. Tous les trois dirigent des équipes qui, en théorie, le permettraient. Et tout dépendra en grande partie de la motivation. Beaucoup de choses peuvent également dépendre du calendrier. Milan et Naples devront se rencontrer au Maradona le 6 mars. Des cinq premiers au classement, les Rossoneri devront faire face à l’Atalanta à San Siro et aux Azzurri à l’extérieur. L’Inter, elle, est attendue par la Juventus à Turin." "Ce championnat a démontré jusqu’à maintenant que n’importe qui peut perdre ou gagner face à n’importe qui…Une équipe parviendra-t ’elle à passer l’accélérateur ?" Gardiens, mode d’emploi Comme l’écrit le quotidien Liberi, le Scudetto passera également par les prestations des portiers des trois équipes, portiers pour qui cette 26ème journée de championnat a été catastrophique "La glorieuse 26ème journée a ravivé le feu des "petits" aux dépens des "grands" qui les ont abordé, peut-être, d’une façon trop présomptueuses, ce qui a eu comme conséquence un rebattement des cartes et la mise à nu de la variable du "Gardien de but". La journée qui s’est à peine terminée à mis en évidence une série de Fails à en tomber par terre." "Mike Maignan a fait rire les supporters milanais en décidant de s’envoler à Salerne, ce qui a ouvert la porte au retourné acrobatique de Bonazzoli lors de l’égalisation. La panthère française de 26 ans s'est vu attribuer le surnom de SuperMike: Il peut tout de même être aussi spectaculaire qu'efficace entre les poteaux, comme le prouve sa passe décisive à destination de Leao face à la Sampdoria. Toutefois, il présente encore de sérieuses lacunes dans son jeu aérien." "Pour Handanovic, âgé de 37 ans, à plusieurs reprises durant ses dernières années, il a fait s’égosiller les tifosi de l'Inter pour son inexplicable capacité à tenir le coup. Nous devrions dire sa capacité à rester figé sur place plutôt, certains l’on rebaptisé Poseman, en lui attribuant même le superpouvoir de dévier les ballons avec un regard laser. Il ne serait jamais arrivé à temps de toute façon, et il n’y est d’ailleurs pas parvenu dimanche dernier face à Sassuolo, lorsque le tir de pestiféré de Raspadori lui est passé sous les jambes, ouvrant la voie à l'effondrement de l'Inter, qui rêvait de reprendre seul la tête du classement." "Le moment magique des gardiens "Da Scudetto" a trouvé son épilogue lorsque Ospina a été surpris par le tir de Pereiro sur l’ouverture du score de Cagliari. Par la suite, le gardien colombien de Naples a sauvé les siens à trois reprises, mais sa situation présente un sentiment similaire d’incertitude que celui dont est atteint Samir Handanovic : Quelle est le vrai visage des deux gardiens ?" Pour Tancredi Palmeri, intervenu sur TuttoMercatoWeb, les trois grands se tirent vers le bas "L’Inter, le Milan et Naples se sont tirés mutuellement vers le bas. Chacun a un problème qui lui pèse : L'Inter souffre d'un déclin physiologique à la suite d’un premier tour joué à 1000 à l’heure, le Milan a un problème de mentalité dû à son manque d'habitude de jouer pour des titres et le Napoli a un problème de construction du jeu, vu qu'il souffre peu mais reste souvent bloqué dans la création: Ce sont trois problèmes qui peuvent être résolus, mais Milan a peut-être maintenant développé des anticorps, car les cadeaux faits contre la Spezia et la Salernitana pourraient être les derniers..." Enfin pour le Corriere Della Sera, il s'agira d'un Scudetto remporté au ralenti "Un Scudetto au ralenti: Cela fait dix ans que la première équipe du classement, après 26 matches, n'a pas récolté aussi peu de points. Même à cette époque, le Milan était en tête avec 54, mais la Juve, deuxième avec 52, a fini par remporter le premier de ses neuf championnats consécutifs. Cette saison est historique à certains égards. Celle-ci, au moins, est passionnante : Trois équipes en l'espace de deux points." "Pour retrouver un championnat tout aussi embrouillé, il faut revenir vingt ans en arrière, et à la saison 2001-2002. Nous gardons volontiers cette "incertitude" qui rime toutefois avec modestie par rapport au reste de l'Europe qui compte, car personne ne semble vouloir s'échapper. Une sorte de surplace, rappelant les années d'or du cyclisme sur piste." "Au début de l'année 2022, aucun des prétendants au titre n'a réalisé ou n'est sur le point de réaliser un tour d'honneur. Naples a marqué 15 points en 7 matchs, un de plus que l'AC Milan (14 points), et 7 de plus que l'Inter (8 points) qui, quelques minutes avant la fin du derby, semblait inatteignable et qui s'interroge maintenant sur une crise soudaine mais dangereuse". Assistons-nous vraiment à la saison la plus éclatée de l’Histoire du Calcio ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Ce samedi soir, à Giuseppe Meazza, deux des plus grandes entités du football européen, l'Inter et le Milan, s'affrontaient dans le cadre de la 24ème journée de Série A. L'enjeu était énorme pour les deux formations. Pour les hommes de Simone Inzaghi, il y avait la possibilité de s'échapper en tête de la Série A, en prenant 7 points d'avance sur son adversaire du jour. Les Rossoneri quant à eux avaient une formidable opportunité de récoller à 1 petit point de son rival Nerazzurri. Et c'est bien l'équipe de Stefano Pioli qui raffle la mise au cours d'un fantastique Derby della Madonnina. Retour sur un match qui laissera de gros regrets à l'Inter. L'Inter de Simone Inzaghi est fidèle à elle-même. Elle prend les commandes du jeu dès la première minute. De son côté, le Milan presse haut les Nerazzurri, avec notamment un "marquage à la culotte" de Franck Kessié sur Marcelo Brozović, le cerveau du milieu de terrain de l'Inter. Le début de match est plutôt haché, les contacts sont rugueux, autoritaires. Le jeu de l'Inter se passe en grande partie sur le côté du Néerlandais Denzel Dumfries, qui rencontrait un sacré client, en la personne de Theo Hernandez. Au milieu de terrain, la bataille tactico-physique fait rage : Marcelo Brozović, Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu d'un côté, et Ismaël Bennacer, Sandro Tonali et Franck Kessié de l'autre. L'on sent de grandes qualités techniques des deux équipes. Cela se confirme quelques minutes plus tard. Çalhanoğlu décale Ivan Perisić dans l'intervalle, qui centre fort en première intention au second poteau. Tout là bas, Dumfries mange Theo Hernandez et envoie une tête placée dans le tier inférieur des cages de Mike Maignan. Le stade exulte, mais bien malheureusement, Perisić est signalé hors-jeu au départ de l'action. C'est la première grosse alerte pour le Milan. Dans la foulée, à la onzième minute, c'est Brozović qui tente sa chance de loin. Sa frappe est déviée par Pierre Kalulu puis miraculeusement stoppée par Maignan. Les vagues déferlent, notamment du côté droit, où Dumfries domine Theo Hernandez. Le piston Interiste réalise très certainement son meilleur match sous les couleurs Nerazzurri. Barella déclenche lui aussi, de l'extérieur du droit. Sa tentative passe à côté du poteau droit de Maignan. Sur l'action suivante, Dumfries parvient à se retrouver seul en face à face avec Maignan. Mais le portier français remporte encore une fois son duel. Encore après, Edin Džeko contraint Kalulu à mettre sa tête pour sauver la maison Milanaise, sur une remise de la tête de Lautaro Martínez. Les occasions défilent, mais le but lui ne vient pas. Le Milan est noyé par l'Inter. Au milieu de terrain, le trio Nerazzurri prend l'ascendant sur celui des Rossoneri. Brozović se joue de Kessié, tandis que Barella et Çalhanoğlu se baladent à ses côtés. Devant, le duo Džeko-Lautaro domine la charnière Romagnoli-Kalulu. Derrière, l'Inter musèle parfaitement les attaquants Milanais, en particulier leur côté gauche Rafael Leão-Theo Hernandez. L'Inter maîtrise son match et son adversaire. La première frayeur pour l'équipe d'Inzaghi vient d'une frappe lourde de Tonali. Samir Handanović s'employe pour détourner la tentative du milieu Italien. Dans la foulée, une frappe de Leão est déviée de justesse par Perisić, qui voit le ballon filer à quelques centimètres du but d'Handanović. Le couperet tombe à la trente-huitième minute. Çalhanoğlu botte un énième corner dans la boite, et Perisić, qui vient de sauver une balle décisive, reprend le ballon de volée. Sa reprise ras de terre ne laisse aucune chance à Mike Maignan, enfin battu. Le Turc égalise Sergej Milinković-Savić au nombre de passe décisive en haut du tableau des passeurs de la Série A. La domination Interiste est récompensée. Les Rossoneri s'agacent, Theo Hernandez commet une vilaine faute sur Barella. Il s'en sort très bien, sans avertissement. La mi-temps arrive, mais Brozović en décide autrement. Le Croate envoie sur orbite Çalhanoğlu, mais une superbe sortie de Maignan coupe l'action et prive les Nerazzurri d'une balle de break. Dernière chaleure pour les coéquipiers de Tonali, les deux équipes rentrent au vestiaires sur ce score de un à zéro pour l'Inter. Tactiquement, Simone Inzaghi mate son adversaire du jour en bloquant tout ce qui fait ses forces. L'on parlerai presque d'une leçon de football. Au retour des vestiaires, Alexis Saelemaekers, totalement inexistant, cède sa place à Junior Messias. Le match redémarre là où il s'était arrêté : un bon enchaînement de passe se termine dans les pieds de Çalhanoğlu, qui est repris in-extremis par un énorme retour de Bennacer. Le match se poursuit de la sorte, avec tout de même un peu moins de rythme. Mais tout va changer à la cinquante-huitième minute. Pioli sort Kessié et fait rentrer Brahim Díaz. Le petit Espagnol, de part son petit gabarit et son agilité, perturbe énormément la défense Nerazzurri. Partant de là, le Milan ressort progressivement la tête de l'eau. Tonali s'essaie sur coup-franc, sans succès, puis Leão, qui voit sa frappe terminée dans les travées de Meazza. Le deuxième tournant du match vient à la soixante-dixième minute. Simone Inzaghi décide de sortir Perisić et Lautaro, pour faire entrer Alexis Sánchez et Federico Dimarco. Le match contre le Napoli, la semaine prochaine, est déjà dans les têtes. Mais ces changements sont le début de la fin pour l'Inter. Olivier Giroud égalise à un quart d'heure du terme, sur une passe contrée de Díaz. Les Nerazzurri perdent le contrôle du match, notamment à cause de la sortie de Perisić, qui fût un des meilleurs sur la pelouse. Dimarco ne parvient pas à réaliser la moitié du quart de ce que faisait le Croate. Le match va virer au cauchemar trois minutes plus tard, quand Giroud malmène Stefan De Vrij puis place une frappe puissante dans la petit filet droit d'un Samir Handanović pas exempt de tout reproche. Le Milan prend les devants et mène deux buts à un. La désillusion est totale. Une Inter qui avait pourtant tant dominée les débats se retrouve menée à dix minutes du terme. Inzaghi abandonne presque le match en sortant Brozović, sous le coup d'une suspension. L'Inter sort de sa rencontre et se tend, à l'image de Milan Škriniar. Les quelques coups de pied arrêtés sont mal négociés par Dimarco, décidément pas dans un bon jour. Le match va s'achever sur une faute dangereuse de Theo Hernandez sur Dumfries, qui va écopé d'un carton rouge. Il sera suspendu pour la réception de la Sampdoria. L'arbitre Marco Guida siffle la fin d'un Derby qui nourrira de gros regrets du côté des Nerazzurri, qui voient leur voisin se rapprocher à un petit point d'eux. À noter que l'Inter a toujours un match en retard, qui sera à joué contre Bologne. Toujours est-il que les hommes de Simone Inzaghi doivent vite se remettre la tête à l'endroit, car la semaine prochaine, ils iront au stade Diego Armando Maradona pour y défier le Napoli, qui a lui aussi la possibilité de revenir à 1 point en cas de victoire face à Venise. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Milan Buteur(s): 38' Perisić (I), 75' 78' Giroud (M) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (82' 36 Darmian); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (82' 8 Vecino), 20 Çalhanoğlu (73' 22 Vidal), 14 Perisić (70' 32 Dimarco); 10 Martínez (70' 7 Sánchez), 9 Džeko Banc: 7 Sánchez, 36 Darmian, 8 Vecino, 22 Vidal, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 97 Radu, 32 Dimarco, 41 Curatolo, 5 Gagliardini Entraîneur: Simone Inzaghi Milan (4-2-3-1): 16 Maignan; 2 Calabria, 20 Kalulu, 13 Romagnoli, 19 Hernandez; 8 Tonali, 4 Bennacer (80' 33 Krunić); 56 Saelemaekers (45' 30 Messias), 79 Kessié (58' 10 Díaz), 17 Leão; 9 Giroud Banc: 10 Díaz, 41 Bakayoko, 25 Florenzi, 27 Maldini, 33 Krunić, 23 Tomori, 30 Messias, 22 Lazetić, 46 Gabbia, 7 Castillejo, 83 Mirante, 1 Tătăruşanu Entraîneur: Stefano Pioli Arbitre: Marco Guida VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 21' Romagnoli (M), 60' Çalhanoğlu (I), 72' Díaz (M), 76' Bennacer (M), 84' Škriniar (I), 90+1' Krunić (M) Expulsé(s): 90+5' Hernandez (M) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
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Derby Della Madonnina, Simone Inzaghi: "Déçu du résultat"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Simone Inzaghi, Milan Skriniar et Alessandro Bastoni se sont livrés à Inter TV à la suite du partage 1-1 de l’Inter sur le terrain de l’Ac Milan Simone Inzaghi "Je pense que si nous regardons les dernières rencontres face à la Juventus et le Milan, qui sont deux très grandes équipes, nous aurions mérité un tout autre résultat. Nous devons nous améliorer, pour l’instant ça va comme ça. C’est normal que nous soyons marqué par un match disputé de cette façon, nous voulions vraiment la victoire car nous étions en retard et que nous souhaitions nous rapprocher." Lautaro ? "Les attaquants vivent de faits de jeu, auparavant, chaque ballon était dans le but, à présent, il tape le poteau et manque un pénalty sur un miracle du gardien. Il doit continuer à travailler de la même façon et la situation se normalisera au plus vite." Le second penalty ? "Nos tireurs sont Lautaro, Çalhanoğlu et Perisic. Lautaro est le premier: Ce soir, Çalhanoğlu a voulu tirer le premier et le second a été botté par Lautaro. Je crois que la hiérarchie est bien claire, les joueurs vivent de sensations et de faits de jeu : C’était une bonne Inter." "Nous avons mal débuté le premier quart d’heure et les dix dernières minutes, mais nous nous sommes créés tellement d’occasions face à une équipe très forte et organisé. Nous sommes conscient de notre prestation et il reste encore 26 matchs. J’espère que les joueurs sortis ne connaîtrons pas de problèmes important car dans 15 jours nous disputerons une autre rencontre importante." "Je suis déçu du résultat, pour le penalty raté, nous méritions plus. Il faut aussi remarquer la prestation de notre adversaire qui est fort et qui réalise un parcours incroyable: C’était une partie qui te donne du courage, nous savons que nous nous devons de revenir sur ces équipes qui réalise un championnat impressionnant." Milan Skriniar "La rencontre était dure et nous en avions conscience. Rien qu’à voir le nombre d’occasions de buts, je me sens de vous dire que nous avons perdu deux points en cours de route. Dans le vestiaire, nous nous sommes dit que nous allions montrer que nous étions fort et uni, que tous doivent trembler." "Nous avons dominé aujourd’hui, comme lors des autres matchs face aux grands, mais il manque une étape, celle de concrétiser les si nombreuses occasions que nous parvenons à nous créer, il faut nous monter un peu plus de détermination. Ce qui est sûr c’est que nous avons proposé de très belles choses lors des derniers matchs : Nous sommes plus organisé et équilibré." Alessandro Bastoni "Cela aurait été important de se rapprocher du Milan, nous aurions voulu l’emporter même si nous sommes satisfait de notre prestation et si tu ne parviens pas à gagner, l’important est de ne pas perdre. Ce qui est certain, c’est que nous aurions pu inscrire deux ou trois but après 70’, nous aurions mérité, sans la moindre discussion possible, de rentrer à la maison avec les trois points." "C’est vrai que nous n’avons pas remporté de confrontation directe, mais nous sommes encore en course dans toutes les compétition. L’année dernière nous étions dans la même situation et nous sommes parvenu à revenir. Personne, lors de nos confrontations avec les autres grandes quipes , nous a été supérieur, pas même le Real Madrid." "A Rome, nous avons connu tant de malchance, comme ce soir. Nous allons de l’avant avec nos principes et, objectivement, ce n’est que de la malchance car nous sommes satisfait de notre parcours." La prestation d’équipe ? "Nous nous dirigeons vers un football où il n’y a plus de rôle prédéfini, l’entraîneur nous demande de nous mouvoir énormément sur le terrain et nous tentons de le faire. Je me sens important pour l’équipe, c’est pareil pour tout le monde : Nous sommes un groupe uni : Inzaghi porte en avant le projet avancé par Conte. Nous nous sentons tous au cœur de ce projet, il y a beaucoup de rotations et celui qui joue donne toujours le maximum." L’interview du rival Ciprian Tatarusanu, le portier du Milan Le penalty de Lautaro ? "Je m’étais très bien préparé et je suis heureux de l’avoir contré. Ce n'était pas un penalty facile car il l'a très bien tiré : Disons que je l'ai sauvé et qu'il ne l'a pas manqué." Çalhanoğlu ? "Je le connais bien, mais lui aussi me connait." Lautaro n’avait pas mal tiré son penalty, il vous a fallu de la force pour le contenir... "Je donne tout pour continuer de cette façon. Maignan a fêté mon arrêt car il sait ce que veut dire stopper un penalty: Nos rapports sont très bon, je cherche à lui venir en aide aussi par la langue française. Il a fait un bon début de saison et il s’est blessé ensuite. Je me suis toujours entraîné en donnant le maximum, au cas où l’équipe aurait eu besoin de moi. Cette opportunité s’est présentée et je suis heureux de jouer à ce niveau." Selon vous, est-ce plus un raté de Lautaro ou un arrêt avec la manière du portier milanais ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 9 commentaires
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