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  1. Nom : Škriniar Prénom : Milan Poste : Défenseur Date de naissance : 11/ 02 / 1995 Lieu de naissance : Žiar nad Hronom (Slovaquie) Pays : Slovaquie Taille : 187cm Poids : 75kilos Numero de maillot : 37 Au club depuis : Juillet 2017 Position sur le terrain : Biographie : Milan Škriniar, né le 11 février 1995 à Žiar nad Hronom, est un joueur de football slovaque. Il évolue au poste de défenseur central. Milan Škriniar est formé dans le club de sa ville natale, le FK Žiar nad Hronom . En 2011, il est transféré au MŠK Žilina. Il joue 9 matchs en Ligue Europa avec cette équipe. En 2013, il est prêté au FC ViOn Zlaté Moravce. Puis, en janvier 2016, il est transféré à l'UC Sampdoria, en Italie. Škriniar est appelé dans plusieurs sélections nationales de jeunes (moins de 17 ans, moins de 18 ans, moins de 19 ans, espoirs dès novembre 2012). Il réalise ses débuts en équipe nationale de Slovaquie face à la Géorgie le 27 mai 2016. Il est retenu par le sélectionneur Ján Kozák afin de disputer l'Euro 2016 organisé en France. Carrière 2012-2015 : MŠK Žilina 2015-2017 : Sampdoria 2017- ... : Inter Milan Palmarès Champion de Slovaquie en 2012 avec le MŠK Žilina Retranscrit par IIG (Wikipedia.fr) Fiche complète du joueur
  2. Il est inévitable d'avoir des matchs mémorables entre deux rivaux qui s'affrontent en permanence pour obtenir le titre de champion - spécialement quand ces deux équipes sont deux des plus grandes du monde. L'Inter et la Juventus ont produit des affrontements divertissants à travers les décennies, avec une qualité de jeu élevée et une grande tension. Voici résumé 6 Derby d'Italie les plus mémorables en série A Juventus 9-1 Inter (1961) Cette victoire écrasante reste la plus grande victoire de La Vieille Dame, et leurs fans peuvent s'estimer heureux que le match ait eu lieu pour commencer. L'Inter Milan était en colère après que la victoire 2-0 lors du clash originel ait été annulée par la Fédération italienne de Football pour donner match à rejouer. Le président du club Angelo Moratti a ordonné à son coach Helenio Herrera de faire jouer une équipe de jeunes en signes de protestations. Dans son esprit, le club avait déjà perdu le titre en faveur de leur rival à cause de cette décision. Et aussi expérimenté et intelligent tactiquement qu'était Herrera, il n'a pas pu surpasser les Bianconeri avec une équipe de jeunes. L'équipe de la Juve inscrit neuf buts. L'attaquant Omar Sívori, qui gagna le Ballon d'Or cette année, inscrivant six buts. Cette victoire écrasante est longtemps restée dans la mémoire des supporters de la Juve, et ce match est vu comme l'étincelle qui donna naissance à la rivalité entre les deux clubs. Juventus 1-0 Inter (1998) La course pour le titre 1998 est très serrée, la Juventus mène d'un seul point, avec seulement quatre matchs à jouer. Alessandro Del Piero met les hôtes devant en première mi-temps. Plus tard, l'attaquant de l'Inter Ronaldo débarque dans la surface et subi une faute de Mark Iuliano mais l'arbitre Piero Ceccarini repousse les demandes des visiteurs qui réclament un penalty. Seulement quelques secondes plus tard, La vieille Dame obtient un penalty, provoquant la fureur des Nerazzurri. En dépit de l'arrêt de Pagliuca, la Juventus tient bon pour obtenir une victoire 1-0. Après le match, la partie a été débattue avec passion, notamment par des membres du parlement qui se sont disputés à propos du résultat. Le match reste un souvenir douloureux pour les supporters Nerazzurri, qui ont vu là un exemple que les Bianconeri sont favorisés par les autorités footballistiques. Inter 1-1 Juventus (2002) Alors qu'il n'y a pas eu un but durant 89 minutes, le match prend vie lors des derniers instants, avec un acte dramatique que rien ne laissait présager jusqu'à présent. Un penalty controversé a été obtenu par les turinois et converti par Del Piero. Plus tard, Antonio Conte et le Nerazzurro Dominico Morfeo ont été exclu pour être à l'origine d'une bagarre entre les deux équipes sur le terrain. Mais ça ne s'arrêta pas là et l'Inter obtint un corner à la 95ème minute. Le gardien Francesco Toldo monta, il arriva à diriger le ballon vers Christian Vieri, qui marqua pour sauver le match nul à San Siro. Cela reste l'un des final les plus remarquables des Derby d'Italie en série A. Juventus 2-1 Inter (2009) Vous savez que cela va être un match tendu lorsque le Bus de l'Inter arrive à Turin pour être bombardé d'œufs par les supporters locaux. Après seulement 20 minutes, le manager José Mourinho est renvoyé du terrain suite à ses applaudissements sarcastiques après un coup-franc accordé par M. Massimiliano Saccani à La Vieille Dame, sur lequel Giorgio Chiellini marqua de la tête. C'était un Derby chaud, comme le montre le nombre d'avertissements et l'expulsion du Bianconero Felipe Melo, tout comme le clash entre Thiago Motta et Buffon. Mais après que Samuel Eto'o ait égalisé pour les Nerazzurri, c'est Claudio Marchisio qui marque le but de la victoire turinoise. Juventus 1-3 Inter (2012) En étant invaincu durant 49 matchs de championnat, les Bianconeri étaient en bonnes conditions pour recevoir leurs rivaux. Et cela ressemblait déjà à une nouvelle victoire pour la Juventus quand Arturo Vidal ouvrit le score après seulement 20 secondes de jeu. Mais l'équipe d'Andrea Stramaccioni s'améliora à mesure que le match avançait et égalisa suite un penalty de Diego Milito, après une faute de Marchisio. L'attaquant argentin donna l'avantage à son équipe à 15 minutes de la fin, en réagissant rapidement pour propulser le ballon au fond des filets après que Buffon ait arrêté un tir de Fredy Guarín. Alors que les joueurs de la Juve poussaient désespérément pour égaliser, Rodrigo Palacio mit fin à leurs espoirs en inscrivant un nouveau but en contre-attaque pour celer cette victoire. Inter 2-3 Juventus (2018) Avec le Napoli dans ses roues, La Vieille Dame a désespérément besoin d'une victoire pour maintenir son avance en tête de la Série A. L'ailier Douglas Costa ouvrit le score pour les visiteurs et tout alla encore mieux pour eux lorsqu'un de leur opposant, Matías Vecino, est exclu pour une faute sur Mario Mandžukić. Même avec cette avantage, le mieux qu'ils purent faire pour inscrire un second but était une tentative de Blaise Matuidi; sifflée hors-jeu. Les Nerazzurri sont revenus à la vie en seconde mi-temps et changèrent complètement le match. Tout d'abord, c'est Mauro Icardi qui égalisa, avant qu'Andrea Barzagli marque contre son camp pour donner l'avantage à l'Inter pour la première fois du match. Mais le désastre les frappa lorsque Milan Škriniar marqua, lui aussi, contre son camp, permettant aux visiteurs de revenir dans le match et Gonzalo Higuaín inscrivit le but de la victoire pour assurer les trois points à son équipe (et probablement le titre). ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  3. Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. En effet, si l’international français espérait débuter face à la Fiorentina, celui-ci est resté sur le banc de Simone Inzaghi qui dispose d’un plan bien précis à son sujet. Comme le souligne Tuttosport: "Il est difficile d’imaginer qu’il pourra être déjà titulaire lors du Derby à la reprise du championnat, mais cette nouvelle phase de la saison, qui débutera le samedi 16 septembre avec une vision sur la Seconde Etoile, verra le système de rotation de l’Inter débuter avec les premières modifications du onze titulaire en respect aux trois première journées de championnat" Et l’une des principales alternatives dans la formation se nomme Benjamin Pavard qui représente l’acquisition la plus chère de cette fenêtre du mercato italien, soit 30 millions d’euros plus bonus versé par l’Inter au Bayern de Munich: "Le défenseur s’est retrouvé sur le banc car il n’avait réalisé que trop peu d’entrainements à la Pinetina et il était difficile de l’imaginer déjà disposer des automatismes du jeu de Simone Inzaghi. C’est également pour cette raison que l’entraineur italien espérait l’avoir le plus vite possible, afin de pouvoir faire usage des dernières semaines sans engagement européen pour travailler sur l’aspect tactique et lui faire apprendre rapidement les nouveaux mouvements de jeu." Simone Inzaghi est plus que convaincu par Pavard car le Champion du Monde 2018 sera fondamental dans le secteur centre-droit de la défense, lui qui pourrait en imposer autant qu'Alessandro Bastoni en poste de centre-gauche "mais il ne lui sera toutefois pas facile de faire face à l’extraordinaire application défensive mis en avant par Matteo Darmian, depuis qu’il a été appelé à remplacer Milan Skriniar, la saison dernière, à ce poste." Aucun choix n’est définitif et les joueurs alterneront et "Pavard s’avérera aussi important lorsqu’il sera utile que Bastoni soit laisséu repos, afin de maintenir au plus haut niveau, le rempart défensif au niveau de sa construction." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. "L’Inter, auteure d’une prestation somptueuse, a détruit la Fiorentina en s’adjugeant la première place avec le maximum de point en compagnie du Milan." - Telle est le constat de la Rosea qui annonce immédiatement la couleur : "A la reprise, il y aura justement le premier Derby de la saison, un Derby qui dira qui en ce moment sera le plus fort : L’Inter peut se targuer d’un Lautaro en version XXL et d’un Thuram en pleine croissance." Un Duo qui match "De la LuLa à la ThuLa, le produit ne change pas, il s’est même amélioré : Car l’Inter a démoli la Fiorentina et a rejoint le Milan en tête du classement. La ville de Milan est aux commandes et dans deux semaines, le Derby se jouera avec la thématique suivante : Qui est le plus fort des deux ? Le Milan "semi-neuf" qui est plus puissant ou cette Inter qui a survécu aux départ de Marcelo Brozovic, d’Edin Dzeko, de Romelu Lukaku et de Milan Skriniar ?" Tel père tel fils "Marcus Thuram a balayé d’un revers les doutes qui l’entourait, il a brisé ce tabou du but avec un but tout en puissance, digne d’un vrai buteur. Il joue en équipe et son entente avec Lautaro passe de bonne à excellente : Il est le mix de Lukaku et de Dzeko en disposant des caractéristiques de ces deux prédécesseurs, tout en étant plus jeune de plusieurs années." Simone Touch "Thuram est un mélange des deux, mais dispose d’une limite : Il se doit de devenir plus méchant devant le but car s’il en a marqué un, il en a dévoré deux d’une façon retentissante, sans oublier son tir en diagonal qui frôle le poteau. Par la suite, il a offert un assit à Lautaro sur le 2-0 et a profité d’un manque d’assurance du gardien Christensen pour s’offrir le pénalty du 3-0." "Mais oui, l’Inter a pourrait avoir gagné quelque chose en passant de la Lula à la ThuLa : Thuram est un attaquant élégant doté d’une technique qui lui est propre, il joue pour et avec ses équipiers, il réalise des touches de balles intelligents... Si Simone Inzaghi parvient à lui transmettre le “killer instinct", il deviendra un très grand attaquant, c’est cet aspect qu’il se doit de corriger car il n’y a rien d’autre à gommer pour le reste." Que pensez-vous de l’analyse de la Rosea ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. C’est l’analyse de la Gazzetta Dello Sport : "Après avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, l’Inter, malgré le départ de nombreux "Bigs", s’est construite avec l’objectif d’exceller en Italie et de remporter le Scudetto, après deux années "à sec" "Il n’y a pas de place au doute ou à l’incertitude : Le Scudetto est l’objectif déclaré par le Club, qui l’a annoncé dès le début de la Conférence de presse de la présaison, un concept répété par le Président Steven Zhang également durant la tournée au Japon, où il a démontré son désir de faire le Bis, après le Tricolore obtenu en 2020-2021 et chaque décision a été prise dans l’optique du Scudetto." "Si le Club a décidé de rajeunir son noyau, il y a tout de même inséré des éléments qui présente la "Certification" de l’expérience en la Serie A : Davide Frattesi, Juan Cuadrado, Lazar Samardzic et également Gianluca Scamacca, dont la négociation a très bien avancée. Il y a également l’insertion d’éléments en provenance de l’étranger : Marcus Thuram, Yann Sommer, qui est attendu pour ce samedi et également Yann Aurel Bisseck. Il ne s’agira donc pas d’une année de transition ou de reconstruction, c’est certain et ce même si des éléments de valeur, des personnalités charismatiques et d’expérience comme André Onana, Milan Skriniar, Marcelo Brozovic, Romelu Lukaku et Edin Dzeko ont fait leurs valises." "Suning n’a plus la capacité de dépenser comme en 2019 lorsqu’il avait enrôlé Antonio Conte accompagné d’une campagne de recrutement somptueuse et la Pandémie n’avait pas encore frappé. Mais cela ne veut également pas dire que Zhang, même s’il doit veilleur étroitement sur les comptes, ne fait pas tout son possible pour l’emporter. Il a également demandé un effort supplémentaire à Giuseppe Marotta, à Piero Ausilio et à Dario Baccin au niveau des idées à présenter en faisant preuve d’ingéniosité car dès le 2 septembre, le Mercato aura fermé ses portes et ce "poids" sera reporté sur les épaules de Simone Inzaghi qui partira à la conquête du premier Tricolore de sa carrière. "L’Inter visera la Seconde Etoile, mais sans sacrifier les autres compétitions et plus particulièrement la Ligue des Champions où elle se présentera en qualité de finaliste d’Istanbul. L’Objectif déclaré du Scudetto servira aussi à éviter que tout à chacun ne pense trop aux impératifs liés à l’Euro comme cela s’était passé jusqu’en février dernier." "Lors des deux dernières saisons, la salle des Titres de la Viale Della Liberazione s’est enrichie de quatre trophées : Deux Coupes d’Italie et Deux Super Coupes d’Italie et le parcours européen a été à la hauteur du Prestige du Club, mais la Propriété et la Direction gardent, en travers, la perte du Scudetto dans le duel face au Milan lors de la saison 2021-2022 et le départ manqué dans la course au titre de la saison écoulée." Validez-vous le projet de Suning dont le comportement est aux antipodes de celui de Nenking, qui a coulé un FC Sochaux-Montbéliard au bord de la faillite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. A travers sa vidéo diffusée sur son canal YouTube, ce mardi, Luca Mastrangelo s’est offert le renégat slovaque "Bravo, bravo bravo, tu as bien fait le faux jeton. Tu te retrouves bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge psychopathe.Toi, je vais te surnommer à présent, le Slovaque "Finto Buono" qu’on peut traduire par un faux-jeton. Lorsque l’on ne savait pas ce qu’il se passait, comme dans l’histoire récente de Lukaku, lorsque l’on ne sait pas où vous alliez apparaitre, lors vous faisiez usage de termes cryptique, de mystères: Vous avez toujours fait croire aux Tifosi des choses au point que le Tifoso se disait "Mais le pauvre"…. Vous avez joué sur le fait que le peuple avait de l’affection pour vous, qu'il vous voulait du bien, et en faisant usage de phrases mystérieuses pour le Tifoso, ceux-ci se disaient "Mais non le pauvre , il doit forcément se passer quelque chose dont je ne suis pas au courant, il ne peut pas être aussi mauvais, non." Non, Faux-jeton, non le Slovaque Faux-Jeton, tu te retrouves bien avec le Belge Psychopathe et l’Argentin simulateur de maladie, vous être fameux, 3 Fameuses merdes et même si je ne vous souhaiterai jamais, car je ne suis pas comme ça, du mal sur votre intégrité physique, mais j’espère qu’au niveau sportif vous ferez vraiment de la vraie merde, à m’en saigner les deux mains. Skriniar, vu comment ça s’est passé, je n’ai plus envie d’argumenter, mais aujourd’hui j’ai pris l’air, et je vous montrerai par après où je suis allé et ce que je me suis acheté. regardez bien la vidéo jusqu’au bout. Mais j'ai regardé aussi mon portable et j’ai vu les déclarations de Skriniar, ses déclarations, pas celle d’un autre, depuis Paris: "Nous avons commencé à parler avec le PSG depuis l’été dernier" et c’est vrai et ici, je n’ai rien pour m’énerver , il y avait une négociation en cours l’été dernier, il aurait aussi pu être vendu. Le fait que tu as parlé avec le PSG l’année dernière n’est pas un problème, ce n’est pas quelque chose qui peut m’énerver. "Finalement je suis à Paris et je suis vraiment très heureux" Et là aussi c’est une bonne phrase, qu’est-ce que tu veux dire, tu es sur place, tu ne vas pas dire : "Je suis dans une équipe de merde, je ne suis pas heureux." Si tu es heureux, bonne affaire pour toi "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doute sur mes intentions" et là, les choses changent, "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doutes sur mes intentions, je voulais venir à Paris, je pensais que c’était fantastique.." Et là tu es vraiment un batard, un conard, tu es vraiment un connard car TOI, tu nous a fais croire à nous quelque chose que tu avais mis en avant, mais mis en avant depuis des mois et jusqu’à fin janvier, jusqu’en février: Que tu étais vraiment indécis que tu n’avais encore pris aucune décision alors qu’ici tu dis "Depuis les premiers contacts, je n’avais aucun doute sur mes intentions" Tu es quelqu’un de FAUX, tu es un faux-jeton, qui est bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge Psychopathe, tu es bien avec eux. "Depuis les premiers contacts, je n’avais pas de doute" avec des Tifosi qui te mettaient des bannières dans la Curva "Resta Con Noi" - "Reste avec Nous". Reste avec nous car ils pensaient, tous croyaient que toi moi-même tu étais indécis, mais en vrai, ça faisait longtemps que tu avais décidé, mais la chose la plus scandaleuse et la plus honteuse est que Toi, tu avais entretemps accepté que le fait que le Club tente de te convaincre par n’importe quel moyen , alors que tu avais déjà accepté depuis le départ, mais tu as continué à faire semblant car tu n’avais pas les couilles de le dire aux Tifosi, aux dirigeants aux équipiers que tu avais déjà pris ta décision, tu n’avais pas les couilles. Que s’est-il passé ensuite ? Le Club t’a offert le brassard de Capitaine pour te montrer à quel point tu comptais pour cette équipe , à quel point tu étais important et TOI, Faux-Jeton, Sous-Merde, tu l’as accepté et tu te l’es mis au bras . Et là, tu as fait croire encore plus au peuple qui t’aime que tu allais devenir le nouveau capitaine et que forcément Nan…Nan.... Si c’est comme tu le dis Toi sous-merde de Slovaque , si comme tu le dis toi-même , que ta décision était prise depuis le début , lorsque l’on a offert le brassard de Capitaine, toi tu aurais du dire NON, non merci, Les gars, je dois vous dire que j’ai déjà pris ma décision : Dans trois, quatre mois, je change d’équipe Et là, le brassard de Capitaine aurait été certainement donné à quelqu’un d’autre, mais tu n’as pas eu les couilles de dire "Non, les gars le brassard de Capitaine je ne la prends pas." Car le Brassard de Capitaine de l’Inter, même si tu pourrais dire l’année dernière, "je n’étais pas le seul à l’avoir porté, car tout le monde l’a vraiment porté", le Brassard de Capitaine n’ets pas une tenue qui chaque dimanche doit passer d’un bras à l’autre , ce n’est pas qu’un bout de tissus, ce brassard qui a été porté par Facchetti, Bergomi, Zanetti, ce n’est pas ça Lorsque l’on t’a donc dit : Tu veux devenir notre Capitaine ? En pensant que tu n’avais pas encore pris ta décision, alors que tu l’avais déjà fait, comme tu l’as dit à présent, Tu aurais dû avoir les couilles de dire : Les gars, Stoppez tout, je dois vous dire quelque chose et tu aurais dû vider ton sac, mais à la place , tu as continué à aller de l’avant: Bravo sous-merde. Je vais d’ailleurs vous présenter ce que j’ai acheté, car grâce à des personnes comme vous qui sont à vomir comme l'Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe et le Slovaque faux-jeton, grâce à des personnes comme vous, j’ai décidé de faire quelque chose , une chose que chaque année, je me dis c’est bon , ce sera pour l’an prochain mais je me fais baiser toujours ensuite. Cette année grâce à l’Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe, et le slovaque faux-jeton, je suis allé à l’Inter Store et je suis allé acheter le second maillot de l’Inter qui est très beau, très cher et je me rends bien compte qu’il y a des personnes qui se disent qu’elles ne savent pas se le permettre car dépenser autant pour un maillot n’est pas donné à tout le monde, je vous montre le prix de 94.99€ pour l’achat . Je l’ai acheté sans nom, car c’est terminé de me faire avoir comme avec l’Argentin simulateur de maladie, le belge psychopathe et ce faux-jeton de slovaque, je me le disais toujours, mais chaque année, je ne le faisais jamais. De plus, en faisant mettre le nom, le numéro et le patch que l’on met au bras, les 94.99€ devenaient 120€ comme on le lit partout et ça aurait pu encore grimper et ce n’est pas comme si c’était donné . Je me suis donc offert le second maillot de l’Inter qui est très beau et je me suis aussi acheté ce maillot pour le même prix, même je n’ai plus l’étiquette. Celui-ci est aussi très beau, même si personne ne comprend pourquoi le logo est jaune et le sponsor est blanc car ils auraient pu être tous les deux blancs ou tous les deux jaunes, mais celui-ci aussi n’a pas de nom derrière Je veux que le nom des deux derniers joueurs que j’ai pris restent tel quel, et ce sont Darmian et Dimarco, deux joueurs que j’ai dans le cœur et qui, je l’espère, ne me trahiront jamais, mais je pense que si demain, ils viennetà le faire, cela se ferait en toute sincérité, sans vouloir nous enfler sans nous la faire à l’envers, sans rien de rien. Je tiens à vous montrer le ticket de caisse aussi, je l’ai encore car il y en a toujours qui sont là pour dire, "Mais Luca ces vêtements te sont offerts par l’Inter , elle va me régaler deux marrons allez…" Voilà, pour deux maillots, j’ai dépensé 189.90€ vous voyez mais grâce à des personnes comme Lukaku , Skriniar et Icardi, je n’achèterais plus jamais de maillot avec le nom des joueurs dans le dos , je ne veux plus trop m’attacher aux joueurs et c’est juste que vous ayez tous vos idoles, c’est jusque vous aimiez bien un joueur plus qu’un autre, vous connaissez aussi mes petits protégés , j’aime énormément Darmian, j’aime énormément Dimarco, Barella et Bastoni n’en parlons pas, ce sont les joueurs pour qui j’ai le plus d’affection. Vraiment à présent, dans le football d’aujourd’hui, tu as trop de coup de poignard dans le dos, trop et les paroles actuelles du faux-jeton de slovaque sont vraiment pitoyables, très pitoyables, il ne méritait ni le maillot de l’Inter, ni le brassard de l’Inter et encore moins la banderole qu’on fait les Tifosi : Tu ne les méritaient vraiment pas, faux-jeton à la face d’ange, faux-jeton, tu es très bien avec les deux autres. Ciao," Touché, Coulé! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Voici les déclarations de Milan Skriniar avant le match contre l'Inter. "Le PSG est un grand club qui grandit un peu plus chaque année. Je suis content de faire partie d'un tel projet et j'ai envie de rester longtemps à Paris. Je leur parlais depuis l'année dernière. Parfois les choses mettent du temps pour se réaliser mais je n'ai jamais douté de mes intentions. Même lorsque j'ai été blessé, les contacts n'ont jamais cessé." Selon la Gazzetta dello Sport, ses phrases ont agacé l'Inter. En effet, rappelons que Skriniar, l'hiver dernier, parlait au club du renouvellement de son contrat. Moralité: Sacré Martin... tu es bien là où tu es Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. C'est la confirmation de la Gazzetta Dello Sport: L'Inter devient de plus en plus italienne! Si en 2010, notre Bien-Aimée n'avait aligné aucun italien dans son Onze de base en Finale de la Ligue des Champions, les temps ont bien changé pour la Vice-Championne d'Europe en titre! L'Inter a identifié le profil pour renforcer la défense de Simone Inzaghi. Il s'agit d'un joueur expérimenté qui évolue déjà dans la défense à trois en tant que latéral droit depuis des années: Toloi, de l'Atalanta, notamment parce qu'il connaît parfaitement les autres défenseurs, pour y avoir déjà joué en sélection avec l'Italie. "Toloi se sentirait immédiatement chez lui à la Pinetina, ne serait-ce qu'à cause de tous ces visages familiers. Darmian, par exemple, est le dernier arrivé dans le groupe (Ner)azzurro de Roberto Mancini, mais c'est aussi celui avec lequel l'actuel capitaine de Gian Piero Gasperini devrait éventuellement jouer. Dans le 3-5-2 rigide d'Inzaghi, après la blessure et la mutinerie de Skriniar, l'ancien joueur de United a réussi à passer du flanc droit au rôle de défenseur central avec application et ductilité: Il devrait débuter en qualité de titulaire, du moins au début mais la Garantie "Toloi" permettrait à Matteo d'aider sur l'aile au besoin" "Rafa retrouverait également Acerbi et Bastoni, qui ont pleuré de joie avec lui à Wembley en 2021, mais aussi Federico Dimarco, pilier du nouveau cycle: Si à l'Inter il est désormais toujours un ailier de haut niveau, chez les Azzurri il peut aussi évoluer en tant qu'arrière latéral dans une défense à 4." "L'italianisation d'une équipe dont l'internationalité est déjà inscrite dans son nom ne s'arrête cependant pas à sa base arrière : Quelques mètres plus loin, on trouve Davide Frattesi qui vient de s'ajouter à Barella, soit les deux turbines de l'équipe nationale" "En bref, l'écosystème serait parfait pour intégrer également Toloi, si la Dea décide de se montrer ouverte à la négociation." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. En effet, la Bien-Aimée s’offre une jolie tournée estivale au Japon où, sans gardien, elle tentera de gifler l’Al-Nassr de Marcelo Brozovic et défier le Paris-Saint-Germain éclaboussé par le KykyGate Comme nous le révèle la Gazzetta Dello Sport, c’est dans une ambiance chaleureuse qu’ont été reçu les Vice-Champions d’Europe: "Des selfies pour tout le monde, même pour le nouveau venu Juan Cuadrado qui, malgré son passé à la Juventus, apprend ses premières leçons d'interisme. Parmi tous les Nerazzurri qui ont atterri hier à Osaka pour entamer leur tournée japonaise, personne n'a été plus acclamé que Lautaro, qui est arrivé au Soleil Levant en tant que nouveau Capitaine." "Aujourd'hui, il y aura une autre séance d’entrainement avant le premier match amical, celui contre l' Al-Nassr de Cristiano et Brozovic qui aura lieu ce jeudi à 12h20, heure italienne. Le 1er août, ce sera au tour du Paris-Saint-Germain de Skriniar." Le Saviez-Vous ? C'est également la troisième fois que l'Inter se rend à Tokyo et dans ses environs pour une tournée de ce type, après celle de 1981, où Herbert Prohaska avait fait le spectacle, et celle plus récente en 2004. On retrouve, au Japon, 1,6 millions de Tifosi, des Vrais qui n’ont aucune sympathie pour les autres clubs et on célèbrera également les 10 ans d’activité de l’Inter Academy avec la présence de 200 gamins qui participeront à de véritables "stages" avec les joueurs." On compte aussi 3 Inter-Clubs officiels pour 355 membres. Les organisateurs du Japan Tour vendent d’ailleurs de tout, mais vraiment tout : "Si vous payez, il vous est possible de vous assurer une place aux conférences de presse d'avant-match" Le club de Steven Zhang recevra 2,5 millions d'euros de recettes suite à sa participation au Tournoi. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Et c'est mérité! Notre Fabrizio s'est livré à ce qu'à du ressembler la réelle interview de Milan Skriniar! "Je suis content de pouvoir jouer avec Messi." "Euh, Il est parti...". "Je suis content de pouvoir jouer avec Mbappé." "Euh, il veut se barrer...". "Je suis content de pouvoir retrouver Hakimi". "Euh, il n'est pas très content ici...". "... Je suis content pour mon salaire !". "BIENVENUE #SKRINIAR !". Uno Di Noi! Traduction: Twitter ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  12. Nom : Škriniar Prénom : Milan Poste : Défenseur Date de naissance : 11/ 02 / 1995 Lieu de naissance : Žiar nad Hronom (Slovaquie) Pays : Slovaquie Taille : 187cm Poids : 75kilos Numero de maillot : 37 Au club depuis : Juillet 2017 Position sur le terrain : Biographie : Milan Škriniar, né le 11 février 1995 à Žiar nad Hronom, est un joueur de football slovaque. Il évolue au poste de défenseur central. Milan Škriniar est formé dans le club de sa ville natale, le FK Žiar nad Hronom . En 2011, il est transféré au MŠK Žilina. Il joue 9 matchs en Ligue Europa avec cette équipe. En 2013, il est prêté au FC ViOn Zlaté Moravce. Puis, en janvier 2016, il est transféré à l'UC Sampdoria, en Italie. Škriniar est appelé dans plusieurs sélections nationales de jeunes (moins de 17 ans, moins de 18 ans, moins de 19 ans, espoirs dès novembre 2012). Il réalise ses débuts en équipe nationale de Slovaquie face à la Géorgie le 27 mai 2016. Il est retenu par le sélectionneur Ján Kozák afin de disputer l'Euro 2016 organisé en France. Carrière 2012-2015 : MŠK Žilina 2015-2017 : Sampdoria 2017- ... : Inter Milan Palmarès Champion de Slovaquie en 2012 avec le MŠK Žilina Retranscrit par IIG (Wikipedia.fr)
  13. Notre Bien-Aimée se prépare pour cet été, toujours plus belle avec le temps qui passe contrairement à la Vieille Dame, celle-ci devrait s'ajouter un nouveau rencard dans son agenda estival: Et après les deux rendez-vous déjà fixés lors de la Tournée au Japon, face au Al-Nassr de Marcelo Brozovic et le Paris-Saint-Germain de Milan Skriniar, l'Inter devrait affrontera le Red Bull Salzbourg sur son terrain, le 9 aout 2023, à la Red Bull Arena. Red Bull te donne tes ailllleuuuus ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  14. Sur base des informations actuelles de la presse sportives en Italie, il est possible de confirmer les faits suivant : Le départ de Marcelo Brozovic est certain, seule la destination fait défaut : Le Fc Barcelone serait rentré sérieusement dans la danse en proposant Franck Kessié : Les deux joueurs pouvant être estimés au "pari" pour 40 millions d’euros. Xavi veut Brozovic et Inzaghi apprécie Kessié. Si Marcelo Brozovic est vendu, qu’il s’agisse du Fc Barcelone ou la péninsule arabique, l’Inter foncera sur Davide Frattesi dont la parole a déjà été donnée Hier, l’agent d’Onana a été vu à Manchester United: L’offre de 40 millions d’euros n’a pas ravi l’Inter qui ne compte pas brader son joueur. Une offre scandaleuse doit être présentée pour qu’il quitte l’Inter César Azpilicueta devrait être le remplaçant de Milan Skriniar L’Inter a déjà un accord avec le joueur qui doit encore se libérer de Chelsea Romelu Lukaku a signifié à la Direction Interiste de le conserver alors que Chelsea impose une vente et non un prêt du Diable Rouge Dans une telle période d’auto-financement, l’Inter tente de trouver une solution pour contenter toutes les parties. Lukaku est si motivé qu’il est prêt à diviser son salaire de 325.000 livre sterling (= 379.914 euros) par semaine par deux pour parvenir à la fumée blanche Marcus Thuram devrait annoncer dans les heures à venir le nom de son nouveau club Extra : Toulouse devrait aussi être éjecté de la Ligue Europa. En effet, Red Bird a qui appartient le Milan est aussi le propriétaire de Toulouse: L’Uefa interdisant deux clubs à disputer la même compétition, le risque est de voir Milan être reversé en Ligue Europa ! Si la décision sera rendue ce lundi 26 juin, c’est le club qui participe à la compétition par Club la plus importante qui est favorisé ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Davide Frattesi et Romelu Lukaku ne sont ni Sandro Tonali, ni Milan Skriniar, les deux premiers ayant donné leur parole d’Homme à Giuseppe Marotta Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "Pour les hommes d’Honneurs, la parole vaut bien plus que milles contrats. Oui ce sont des paroles et rien n’est écrit, mais cela permet à l’Inter de se sentir pleinement, encore, en course pour Davide Frattesi. Pour Rom, il suffit de se souvenir la façon dont il s’est comporté il y a douze mois pour comprendre à quel point il est lié au monde Nerazzurro et à quel point il y voit son avenir." Sur base de ces deux promesses, celle de Lukaku et de Frattesi, on pourrait être sûr qu’ils seront sans aucun doute des joueurs de l’Inter, "mais il y a encore tant de facteur en jeu et l’Inter ne peut pas se sentir encore à l’abri de très mauvaise surprise", en ce sens que Giuseppe Marotta, l’Administrateur-Délégué "n’entend pas (et ne peut pas) participer à une surenchère." La situation est d’autant plus différente pour Romelu "Il est extrêmement lié aux Tifosi avec lesquels il se sent encore coupable d’être parti à l’improviste il y a deux ans. Il est extrêmement lié à Steven Zhang, c’est avec lui qu’il avait anticipé l’extraordinaire parcours en Ligue des Champions de l’Inter. C’est aussi avec les Tifosi que Lukaku était descendu dans la rue pour célébrer le Scudetto 2021 avec le Maillot Nerazzurro." C’est aussi lui qui a continué à envoyer des messages d’amour, lors de cette saison, au moment les plus difficiles de la saison et même après Istanbul : "Nous reviendrons nous battre avec l'espoir d'atteindre ce moment où l'histoire sera écrite". Et Davide semble ne pas vouloir décevoir notre Padrino Marotta a également trouvé un accord avec le joueur, pour un contrat de cinq ans et deux millions d’euros par saison. Tout est réglé, en somme. Mais pour arriver à la fumée blanche finale, il manque encore un transfert (une vente) pour boucler l'affaire: "Et l'Inter s'empresse actuellement de valider cette dernière case" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Avec le départ du Slovaque dans quelques mois, Beppe Marotta et notre Pierro Ausilio s'activent depuis un moment pour trouver le remplaçant de Skriniar, voici les joueurs en tête de liste: "Les défenseurs de Chelsea Kalidou Koulibaly et Trevoh Chalobah seraient les deux des principales cibles de l'Inter pour remplacer Milan Skriniar lors du mercato estival. " Les deux joueurs de Chelsea sont les joueurs que les Nerazzurri visent pour remplacer le Slovaque, mais ils envisagent également plusieurs autres candidats possibles. L'ancien défenseur de Napoli Koulibaly n'a rejoint Chelsea que l'été dernier, mais pourrait bien être déjà sur le chemin du retour en Serie A pour la saison prochaine. La Gazzetta rapporte que les Blues pourraient le vendre cet été s'ils ne se qualifient pas pour la Ligue des champions, alors qu'ils seraient prêts à le prêter si le défenseur du RB Leipzig Josko Gvardiol arrive. Les Nerazzurri ne seraient pas en mesure de payer le salaire net de 10 millions d'euros par saison du Sénégalais de Chelsea, mais pourraient espérer trouver un arrangement avec les Blues qui mettrait sa signature à portée de main. Pendant ce temps, le coéquipier de Koulibaly à Chelsea, Chalobah, est également un joueur très prisé par l'Inter, ayant déjà été ciblé l'été dernier également. Les Nerazzurri se tournent également vers Giorgio Scalvini de l'Atalanta, bien que le joueur de 19 ans coûterait pas moins de 40 millions d'euros. Le défenseur barcelonais Samuel Umtiti, qui est actuellement prêté à Lecce, est un autre nom sur la liste de l'Inter, et ils pourraient proposer aux Blaugranas un contrat de prêt qui leur permettrait de couvrir une part beaucoup plus importante du salaire du Français que Lecce ne l'a fait. En termes d'opportunités de transfert gratuit, la Gazzetta évoque qu'Evan Ndicka de l'Eintracht Francfort et Chris Smalling de la Roma sont deux des principaux noms que les Nerazzurri envisagent pour remplacer Skriniar. A part Umtiti, qui prendriez-vous pour remplacer le Slovaque? ®Lindt1908 - Internazionale.fr via Gazzetta.it
  17. En effet, en stage avec sa sélection nationale, le Hamsik de Paris s’est livré sur la période qui l’a vu trahir l’Inter. "Lorsque j’ai dit à l’Inter que je n’étais pas d’accord avec leur offre pour renouvellement le contrat, j’ai commencé à voir apparaitre sur les médias des choses qui n’étaient pas vraies. Cela m’a fait mal et c’était aussi difficile pour ma famille, je peux le comprendre car ça fait partie du travail, mais si quelqu'un prend une décision qui ne plaît pas à l’autre personne, il est immédiatement pris pour cible" "J’ai reçu toute sorte d’insultes, c’était vraiment difficile, surtout pour ma famille. J’ai toujours cherché à faire le maximum pour l’équipe : Je me suis battu, j’ai essayé. J’ai été hélas victime d’une blessure qui m’a écarté et je regrette de ne pas avoir été opéré plus tôt car j’aurais pu être fit bien avant." C’est plus au dos que tu auras mal à présent, Traditore! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. C'est la Bombe du Mercato signé Marco Barzaghi: Achraf Hakimi qui évolue actuellement au Paris Saint-Germain, pourrait faire un retour fracassant à l'Inter Qui plus est le Paris-Saint-Germain serait ouvert à la possibilité d'un prêt: "Cela pourrait être une façon de s'excuser après le "gâchis" Milan Skriniar. Car il y a eu récemment une longue discussion entre Marotta et Al Khelaifi, vu que le joueur marocain pousse pour revenir à Milan, même si les conditions économiques ne sont pas réunies." "Le PSG, après avoir pris Skriniar gratuitement , pour remettre les choses en ordre et pourrait faciliter le prêt de Hakimi, en apaisant de la sorte ses relations avec l'Inter. Ce qui reste, malgré tout, une situation difficile." Excuses acceptées en cas de deal Nasser! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  19. La saison n'est pas encore terminée pour certains Nerazzurri : 12 joueurs de l'Inter seront engagés dans les prochains jours avec leurs équipes nationales respectives. L'Italie, les Pays-Bas et la Croatie s'affronteront en demi-finales de la Ligue des Nations, l'Espagne étant la quatrième équipe en demi-finale. Les autres équipes nationales ont rendez-vous sur le terrain pour les éliminatoires du Championnat d'Europe et pour des matchs amicaux. ITALIE : Acerbi, Barella, Bastoni, Darmian, Dimarco Espagne vs. Italie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Enschede, 15 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST TURQUIE : Calhanoglu Lettonie vs. Turquie | Éliminatoires Euros - Riga, 16 juin Turquie vs. Pays de Galles | Éliminatoires Euros - Samsun, 19 juin PAYS-BAS : Dumfries Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST ALLEMAGNE : Gosens Allemagne vs. Ukraine | Amical - Brême, 12 juin 18h00 CEST Pologne vs. Allemagne | Amical - Varsovie, 16 juin 20h45 CEST Allemagne vs. Colombie | Amical - Gelsenkirchen, 20 juin 20h45 CEST ALBANIE : Asllani Albanie vs. Moldavie | Éliminatoires Euros - Tirana, 17 juin Îles Féroé vs. Albanie | Éliminatoires Euros - Torshavn, 20 juin CROATIE : Brozovic Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST SLOVAQUIE : Skriniar Islande vs. Slovaquie | Éliminatoires Euros - Reykjavik, 17 juin Slovaquie vs. Liechtenstein | Éliminatoires Euros - Vaduz, 20 juin BOSNIE-HERZÉGOVINE : Dzeko Portugal vs. Bosnie-Herzégovine | Éliminatoires Euros - Lisbonne, 17 juin Bosnie-Herzégovine vs. Luxembourg | Éliminatoires Euros - Zenica, 20 juin
  20. Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.
  21. Gianluca Di Marzio a révélé une anecdote intéressante. Elle concerne Beppe Marotta et Nasser Al-Khelaifi. "Marotta et le président du PSG ont longuement parlé, je ne pense pas qu'ils aient parlé des opérations du mercato en cours. Dans un passé récent, cependant, les deux entreprises ont conclu des coups comme Hakimi, par exemple, et avaient également discuté pour Skriniar. Ils ont eu une longue conversation ici à Istanbul." Juste une question: c'est aujourd'hui la Saint Martin? Traduction alex_j via FCInter1908.
  22. Juste avant la finale contre City, voici le long entretien que Steven Zhang a accordé à la Gazzetta dello Sport. Un rêve ? "Pour être honnête, j'en avais rêvé. Et je pensais, en regardant le moment du football et les différences entre certaines ligues, qu'il serait difficile d'atteindre un tel objectif. L'Inter m'absorbe complètement. Je vis le club avec une énorme intensité mais je m'implique rarement dans les aspects techniques ou tactiques concernant l'équipe. Je n'en parle même pas avec Inzaghi dont je respecte tous les choix. En tant que président, je déteste tous ceux qui veulent m'apprendre à gérer mon propre club et donc je ne fais pas la même erreur avec les autres, c'est logique." Concernant Skriniar, était-ce une erreur de le garder ? "Skriniar a toujours été l'un de mes joueurs préférés. Nous avons tout fait pour que la meilleure équipe gagne. Mais je répondrai à cette question après la finale… Avant le match contre City, je ne trouve pas approprié de parler d'individus. Avec le club, l'équipe et les supporters, nous sommes désormais un seul corps, tous concentrés sur le défi de demain." Cependant, vous pouvez au moins confirmer une anecdote sur Lukaku. En septembre, il aurait prédit : "Président, ne dites jamais jamais, nous atteindrons la finale de la Ligue des champions." C'est vrai? "Oui, j'ai souri en pensant 'il est fou'. Mais il avait raison." Romelu a-t-il obtenu confirmation avec cette heureuse prédiction ? "Pas de questions sur les joueurs, s'il vous plaît..." Et on arrive à Inzaghi... "Si Conte a été le plus 'difficile', Simone est le plus simple. Il a un grand sens de la gestion et insuffle un calme incroyable. Quand je le vois avant les matchs, je suis plus tendu que lui. Inzaghi a été un cadeau pour moi. Et c'est l'homme de la finale de la Ligue des champions. On se demande souvent qui est le meilleur ou le plus brillant entraîneur. Je pense que ce sont les mauvaises questions. Chaque club a une histoire différente. Le travail d'un entraîneur dépend de la phase que traverse le club, des joueurs disponibles, de beaucoup de choses. Le football n'est pas une science exacte." L'idée d'embaucher un top man comme Guardiola n'est-elle pas fascinante pour un président ? On vous promet de ne pas titrer "Zhang rêve de Guardiola". "C'est un très bon entraîneur capable de gagner partout où il est passé, ce serait certainement un plaisir de travailler avec lui, mais je préfère choisir des entraîneurs avec une expérience en Serie A." Au début de la saison, une banderole "Zhang casse-toi" était affichée sous le siège. En repensant aujourd'hui que vous êtes en finale de la Ligue des champions, quel est votre sentiment ? Vengeance ? "Non. D'abord, il faut dire que les manifestants étaient vraiment un tout petit groupe, et puis que le football, comme la vie, a des hauts et des bas : il y a des phases à problèmes et des phases de joie. Ça fait partie du jeu. Le travail d'un président ou d'un CEO est similaire à celui d'un coach : souvent on est seul, et il faut l'accepter." Avez-vous préparé des discours de motivation pour l'équipe ? "Ce n'est pas nécessaire. Les résultats du mois dernier ont contribué à augmenter la conviction et l'énergie. Tout le monde à l'Inter est concentré sur cet événement dont nous voulons profiter pleinement." City est l'équipe la plus forte du monde, les craignez-vous ? "Je respecte profondément City, une équipe magnifique. Mais nous avons la qualité pour les affronter. Ces dernières années, plus l'adversaire était fort, mieux nous nous sommes comportés. L'Inter encaisse avec des équipes fortes. C'est contre celles qui sont moins compétitives que nous avons perdu des points." On l'a vu en championnat. Regrettez-vous les trop nombreux faux-pas qui vous ont empêché de combattre pour le Scudetto ? "C'était difficile de garder une concentration élevée dans toutes les compétitions. La fatigue s'est installée, plus mentale que physique. Mais nous devons jouer pour une finale, pensons-y maintenant." Passons aux aspects financiers. Prêt Oaktree : quelle est la situation ? "C'est un fonds important géré par des gens très professionnels. Nous avons l'intention de renégocier le prêt. Nous trouverons ensemble une solution pour le refinancement." Les fans peuvent-ils être rassurés ? Le projet Inter avance-t-il avec de grandes ambitions ? "Tant que je serai ici, il y aura une Inter stable et compétitive." L'Inter aura-t-elle un sponsor principal l'année prochaine ? Et sera-ce Qatar Airways ? "Nous avons trois ou quatre candidats. Je ne peux toujours pas dire lequel sera choisi. Nous voulons une marque stable et adaptée à l'Inter." Aujourd'hui, il existe de nombreuses propriétés étrangères en Italie : Suning, groupes américains, fonds. Mais le sentiment est qu'il n'y a toujours pas de grande intégration avec les clubs italiens qui permettrait un changement de rythme en Serie A et une modernisation du système. "Ce n'est pas facile de changer un état d'esprit. Cela prend du temps." Nouveau stade : où en sommes-nous ? "C'est le même problème que les droits TV. Il y a de la difficulté à accepter de nouvelles choses et à changer de rythme. L'Inter et Milan sont deux clubs concurrents mais avec le même objectif de croissance. Un stade partagé garantirait cela plus que deux sites. Cela a toujours été notre idée. Milan, en revanche, a changé 4 propriétaires et autant d'idées." Mais si Milan le fait tout seul, l'Inter pourrait-elle rester à San Siro ? "Non, notre priorité est un nouveau stade, avec ou sans Milan." Demain se jouera la compétition la plus importante de l'UEFA. L'Inter avait été parmi les créateurs de la Super League mais aussi la première à abandonner le projet le soir où l'affaire a éclaté. "La Super League n'avait pas le bon format mais c'était une tentative d'innover et de changer. Elle était particulièrement utile pour les clubs italiens qui étaient derrière les autres. Mais nous ne voulions pas entrer en conflit avec l'UEFA. Et la Ligue des champions reste le meilleur tournoi possible aujourd'hui." Au rez-de-chaussée se trouve la salle des coupes. Au centre se trouve la Ligue des Champions 2010. A quel point rêveriez-vous d'en ajouter une à vous ? "J'ai pensé plusieurs fois dans ma tête à ce que cela aurait été de gagner une Ligue des champions. Mais même rêver de gagner cela semblait impossible... Maintenant que nous sommes en finale. Cependant, nous tous dans le club ont une incroyable envie d'essayer. Et nous sommes unis. Comme il l'a dit Inzaghi : nous n'avons pas peur, il n'y a qu'une grande excitation qui nous attend pour jouer ce match. Nous y croyons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. Avec l'accession pour la prochaine Ligue des Champions déjà acquise, l'Inter doit absolument éviter toute blessure lors de la dernière journée de Serie A, où elle affrontera le Torino, et selon La Gazzetta dello Sport, Simone Inzaghi envisagerait un turn-over complet ou presque. Seul Alessandro Bastoni devrait être aligné, Danilo D'Ambrosio étant incertain, mais dans l'esprit de l'entraîneur, aucun des titulaires ne sera mis en danger et il espère récupérer son numéro 33. Le Onze aligné serait donc totalement inédit et expérimental avec un mélange de jeunes joueurs et de réservistes, en incluant également des joueurs de la Primavera dès l'entame du match: Akinsanmiro devrait être aligné au milieu de terrain, Curatolo en attaque, accompagné d'Edin Dzeko Un défenseur devrait être choisi entre Kassama, Stabile et Di Pentima. Correa et Mkhitaryan resteront indisponible Milan Skriniar ne sera que sur le banc. Il y aura donc de la place pour D'Ambrosio (s'il est rétabli) et Stefan De Vrij en défense, Raul Bellanova et Gosens sur les côtés, Gagliardini et Asllani au milieu de terrain. Samir Handanovic sera dans les buts, à la tête d'une équipe de l'Inter totalement méconnaissable Inter, composition "improbable" contre le Torino - Handanovic - - D'Ambrosio - De Vrij - Kassama - - Bellanova - Gagliardini - Asllani - Akinsanmiro - Gosens - - Dzeko - Curatolo - Validé totalement! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. En effet, L'Inter pousse pour se l’offrir, mais elle a déjà fait savoir qu'elle ne pouvait pas investir un euro pour l'acheter, et qu'elle n'opterait donc que pour un échange de joueur ou un prêt L'Inter est dans une situation économique compliquée et elle a besoin de vendre. Si plusieurs joueurs sont déjà sur le Mercato, elle a déjà annoncé à la couleur à Barcelone en confirmant qu’elle ne pouvait pas se permettre à un transfert. Son seul investissement portera sur un défenseur central pour remplacer Milan Skriniar et Kessié, ne comprend pas vraiment la situation. Il a signé dans le but de continuer à jouer au Barça, mais il sait déjà que ce sera difficile. S'il est contraint de partir, il veut choisir sa destination et il semble qu'il soit plus qu’attirer par un retour dans le championnat italien. ®Antony Gilles – Internazionale.fr Source: Sport.es
  25. En effet, si l'Inter se concentre sur la fin de saison et sur l'acte finale de celle-ci en Ligue des Champions, notre Direction pense aussi à de quoi sera composée l'équipe la saison prochaine, avec un oeil tout particulier pour les joueurs en fin de contrat Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les Nerazzurri ont frappé à la porte de Nacho Fernandez, le défenseur central du Real Madrid qui voit son contrat prendre fin au 30 juin prochain et dont son renouvellement est très loin d'être acquis. Si l'approbation chez les Nerazzurri est totale, malgré son âge avancé de 33 ans, preuve en est Francesco Acerbi qui est la confirmation que la carte d'identité n'est pas une source d'influence, mais bien plutôt une opportunité d'une renaissance. De plus, à la Viale della Liberazione, on ne cache plus sur le fait que les joueurs en fin de contrat du Vieux continent peuvent se transformer en opportunité à saisir. Et dans l'armoire à trophée de Nacho, on retrouve 5 Ligue des Champions, 5 Coupes du Monde des Clubs et 3 championnat nationaux. Celui-ci a déjà occupé tous les postes défensif dans un rempart qui sera définitivement privé de Milan Skriniar. L'Inter a d'ailleurs déjà échangé avec ses agents afin de savoir s'il serait possible de le recruter gratuitement en échange d'un triennal malgré une concurrence qui sera des plus féroces. Concernant Benjamin Pavard, si le joueur présente un profil "proche" de celui de Milan Skriniar, le coût de son transfert est des plus décourageant: 20 millions d'euros et un salaire important à prévoir: Une arrivée qui est donc loin d'arriver au meilleur moment de l'Histoire récente des Nerazzurri ®Antony Gilles - Internazionale.fr Source: Gazzetta Dello Sport
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