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  1. Le parcours de l'Inter en Serie A a eu trop de hauts, de bas et de sorties de route. C'est pourquoi les Nerazzurri ne peuvent plus se permettre de perdre des points en route, aussi parce que la course pour se qualifier pour la prochaine Ligue des champions devient difficile. "Sept défaites en vingt-cinq matches, c'est trop pour quelqu'un qui a commencé avec des attentes très différentes. L'Inter a commencé au premier rang dans la course au titre, mais trop de choses n'ont pas fonctionné. D'accord, les blessures auraient pu conditionner la performance mais elles font partie du jeu et elles ont également frappé leurs adversaires dans la course au Scudetto, le Napoli de Spalletti." "Car dans la nuit du 4 janvier, dans la confrontation directe à la reprise de la Serie A, l'Inter avait montré qu'elle était digne du Napoli et avait peut-être même quelque chose en plus. Il s'était ramené à moins huit, suggérant un deuxième tour passionnant. Et au lieu de cela, en deux mois, l'équipe a glissé loin du sommet, perdant des points contre Monza et la Sampdoria (deux nuls) et s'effondrant à domicile contre Empoli et dans le désormais fatal Bologne. Des performances insuffisantes et une attitude pas toujours à la hauteur de l'Inter. Ainsi la qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions est devenue l'objectif minimum pour sauver la saison." "Ce qui est très bien, c'est que l'équipe, les soirs décisifs, a toujours répondu présent. Et c'est ce que l'environnement attend désormais pour ces deux prochains matches. Même Inzaghi attend des confirmations à La Spezia, après la prestation convaincante contre Lecce. En attendant, il faut gagner les deux prochains matchs. Le seul moyen de rester encore à l'Inter." Traduction alex_j via FCInter1908 (La Gazzetta della Sport).
  2. Hakan Çalhanoğlu s’’est livré sur son aventure à l’Inter, sur le double visage de celle-ci cette saison et sur son renouvellement à venir Un Napoli inaccessible "Personne ne s’attendait à une Inter aussi en retard, mais le Napoli mérite cette position, il l’a aussi prouvé en Ligue des Champions. C’est aussi de notre faute comme pour l’année dernière, nous aurions être plus proche d’eux si nous n’avions pas perdu contre Monza, Empoli, la Sampdoria et Bologne. A présent, personne ne saura reprendre le Napoli, mais nous devrons à chaque fois monter sur le terrain avec le même état d’esprit que face à Porto, pour chaque matchs : Nous tenons à remporter la Coupe d'Italie et nous pourrions créer la surprise en Ligue des Champions." Double-Face Les deux visages de l’Inter ? "Si nous battons les grandes équipes, c’est parce que nous sommes forts: Mais il nous manque la bonne détermination face aux petits et c’est comme ça que tu perds certains points en Championnat : En respect à certaines rencontres, nous devons tous améliorer notre motivation." Porto ? "Ce sera une guerre, je crois en l’Inter et je rêve de remporter la Ligue des Champions, c’est difficile, j’en suis conscient, mais tout peut arriver, il suffit de répéter notre prestation faite à Barcelone." Le Monde Inter "Je me suis amélioré aussi parce que je suis une personne plus sure d’elle-même, aussi hors du terrain de jeu : Je me sens très bien et à l’Inter il y a une ambiance spéciale, je m'y suis tout de suite senti voulu avec bienveillance: Ce qui a donné confiance, c’est aussi la positivité des Tifosi qui se font entendre, je sais que même si je me plante, ils me soutiendront. L’autre saut mental découle du tremblement de terre en Turquie, c’est une douleur énorme, je suis dévasté." Vice-Brozovic "Chaque joueur qui joue doit toujours donner le maximum et Inzaghi m'a permis de devenir plus complet en m’insérant à ce poste, d’un point de vue défensif, j’aime les duels physique aussi." Brozovic ? "La concurrence est réelle et c’est un bien pour tout le monde, ensuite le choix revient l’entraineur et moi, je dois me faire trouver prêt." Asllani ? "Je vais lui parler si je le vois démoralisé, car nous a vingt ans, nous étions aussi sur le banc et il est très difficile d’émerger de cette Inter, mais tu sais y apprendre énormément : Il doit rester calme et bosser, il grandi en maturité, il devient plus imposant, ensuite son heure arrivera car il a de très grandissime qualité." Quand on évoque les meilleurs milieux de terrain d'Europe, on parle de Modric, De Bruyne , Casemiro et de Pedri, mais jamais de vous : Est-ce juste au niveau ou vous sentez-vous sous-évalué ? "Je me considère en dessous, mais je le dit en toute humilité et tout état de cause. Je ne suis pas si loin des noms que vous avez cités, j'ai tout pour m'en approcher : La façon dont j'ai grandi, je me vois parmi les 5 premiers en Europe dans mon rôle, je le dis avec humilité mais avec conscience. Certains joueurs, qui jouent par exemple en Premier League en ce moment, peuvent avoir plus de visibilité..." Passé Rossonero, Amour Nerazzurro "Au début, les Tifosi de l’Inter avaient quelques doutes car je devais remplacer Eriksen et je venais du Milan : Je me questionnais sur comment me faire apprécier ensuite, et l’amour a été spontané, sans besoin de geste théâtraux Il a grandi tout doucement sans une véritable étincelle." Les insultes des milanais ? "Je n’y prête plus attention, l’amour des Interistes me suffit, j’ai une moitié de la Ville pour qui je suis un ami et une autre moitié pour qui je suis un ennemi." Un Derby en Ligue des Champions ? "J’aimerais énormément, ce serait historique." Le retour de Kessié dans le Milan Nerazzurro ? "Nous parlons énormément, il sait qu’il évolue dans un grand club, mais l’Inter n’est pas moins inférieur." La prolongation de mon contrat ? "Je suis fier que l’Inter ait envie de me prolonger, mon intention est de rester à Milan et cela va bien au-delà du Calcio." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Stephane Dalmat s'est livré sur son compte officiel Instagram suite à la septième défaite de l'Inter cette saison.... Et attention, ça pique https://www.instagram.com/reel/CpKQVeeoZdJ/?igshid=MDJmNzVkMjY%3D "Bonjour à tous, 1-0 à Bologne….Ce n’est pas possible, ce n’est pas possible de cette façon, je ne sais plus quoi dire car cette équipe est étrange : Comment pourrais-t’on m’expliquer que tu parviens, trois ou quatre jours auparavant, a remporter une partie en Ligue des Champions contre Porto pour perdre ensuite à Bologne. Je vous l’avais dit hier, c’est difficile après un match de Ligue des Champions de se concentrer pour une rencontre telle que celle de Bologne, et je vous avait dit que seuls les grands champions sont capable d’enchainer: Cette équipe n’est pas une équipe composée de grands champions, c’est une bonne équipe oui… Elle l’a prouvée en faisant des résultats contre des grandes équipes mais ce n’est pas une grandissime équipe. A présent, que dire : Il faut tout changer, changer l’entraineur et s’il y avait une possibilité, moi je dirais oui. Mais ici, nous en sommes quasiment à la fin de saison et nous devons, même si je comprends les personnes furieuses, venir en aide à cette équipe, être derrière elle, même si elle ne le mérite pas quelques fois. Il suffit de voir la réaction des supporters après la partie face à Porto , tous étaient, moi inclus, étions extrêmement heureux car nous avions vu une équipe, un ovni qui se donnait énormément sur le terrain. A présent, elle est parvenue à faire le contraire de la première partie de saison, à l'aller, l’Inter ne parvenait pas à l’emporter contre les grandes équipes et elle l’emportait contre les petites équipes . Ici en cette seconde partie de saison , elle fait le contraire: Elle est capable de battre le Napoli , l’Udinese, Porto, la Super Coupe face au Milan et réaliser des prestations extrêmement moches contre Monza, hier contre Bologne. Moi je suis convaincu qu’ils se sont dit qu’il fallait faire au minimum un match nul… au minimum , mais normalement tu vas à Bologne pour leur mettre un 3-0 et Basta, mais non. Nous devons faire avec, avec cette équipe qui est capable de, je ne sais pas, aller loin en Ligue des Champions et finir à la quatrième place : Je n’y crois pas et j’espère bien que non, car j’espère en cette seconde place et la Ligue des champions reste une autre compétition. Face à une telle équipe , je dirais que nous sommes tous furieux , mais il faut finir cette saison de cette façon : Nous devons accepter, même si c’est difficile, que c’est une équipe qui peut faire des Coups: Gagner contre le Milan contre la Lazio pour perdre contre Véone ou une autre petite équipe , c’est comme ça, on ne sait pas s'y fier. Avant la rencontre, je n’imaginais rien car nous ne sommes pas sur de ce qu’est capable de faire cette équipe. J’espère que cette saison se terminera bien et pour l’année prochaine…Ouuuuh , il faut un changement quasiment partout , c’est ce que j’espère: C’est dur de parler comme ça , mais il faut dire la vérité et moi je vous la dit parce que j’aime l’Inter et je veux revoir l’Inter qui fait peur à toute l’Italie, à toute l’Europe , C’est ce dont j’ai envie. Je vous souhaite une très bonne journée et comme je le dis toujours : Forza Inter…." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Après la Curva Nord, place à l’Inter en personne : La Direction n’a que très peu apprécié la prestation des siens face à la Sampdoria Révélation de la Gazzetta Dello Sport "La déception est grande chez les Nerazzurri après le match nul face à la Sampdoria qui a ralenti la course de l'équipe d'Inzaghi : Sept points et Sept raisons d'avoir des regrets. Car l'absence des victoires contre Monza, Empoli et la Sampdoria a ralenti la course de l'Inter avec un écart qui est passé à 15 points du Napoli. L'équipe Nerazzurra est passée en quelques semaines de l'objectif Scudetto à se faire aspirer dans la lutte pour une place dans la prochaine Ligue des Champions et le diagnostic est clair : "Inzaghi et les joueurs font face à un problème de tension : Celle-ci baisse lorsque le niveau de l'adversaire n'est pas assez motivant." Inquiétude du Club "L'inquiétude au club n'est pas liée à la double confrontation avec Porto en Ligue des Champions, mais elle est liée au championnat car tous, au sein du club, étaient convaincu d'avoir mis en place une équipe capable de jouer le Scudetto jusqu'au bout, comme la saison dernière. Et tout ne s'explique pas par l'extraordinaire saison du Napoli.: Ce dernier aspect remet également en question les évaluations sur l'avenir de l'entraîneur, le jugement qui lui sera apporté dépendra non seulement l'entrée effective dans le Top 4, mais aussi la manière dont cela arrivera. " Un manque d’agressivité "Comme l'a souligné Acerbi dans une interview accordée à la Gazzetta Dello Sport la semaine dernière, l'Inter manque parfois de "mordant" : "L'Inter n'avait pas l'envie et la capacité de gagner des matches catégorisé de 'sales'." Et c'est quelque chose qui, à la fin du championnat, c'est-à-dire d'un long tournoi, fait et fera la (grande) différence entre un succès et une simple place". "Ensuite, il y a l'aspect du terrain et à l’Inter, c’est toujours le même refrain : Inzaghi n’ n'abandonne jamais le 3-5-2. Est-ce qu’une adaptation pourrait lui venir en aide ? Peut-être que oui, car cela surprendrait les adversaires d'autant plus pour une équipe qui ne possède pas de joueur capable de se montrer inventif à partir de rien. Et l’on repense immédiatement à Paulo Dybala qui aurait pu l’être et qui ne l’est finalement pas. Il n'y a pas un joueur de similaire chez les Nerazzurri et cette fois, cette affectation pourrait peser de tout son poids." Nervosité "Le fait de jeu entre Romelu Lukaku et Nicolò Barella n'est que le dernier en date. Les problèmes étaient déjà apparus en septembre dernier lors d'une réunion qui avait suivi la défaite face au Bayern, entre le Club, l'entraîneur et la Direction: Aujourd'hui, l'ensemble de la Direction sera à Appiano et un Rappel est à exclure, mais il est probable que Marotta et les siens rencontreront également son entraineur." Inzaghi Out ? Oui mais qui pour le remplacer ?! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Interviewé par la Gazzetta Dello Sport le jour de son anniversaire, Francesco Acerbi s’est livré sur son aventure Nerazzurra : "Dans la vie, c’est toujours nécessaire d’avoir un challenge." "Cela m’a servi, en premier lieu avec mon père et ensuite avec la maladie : A présent, c’est un challenge avec moi-même et c’est normal que je dois tout faire pour y faire face, car c’est ce qui te permet d’avoir toujours l’ambition de t’améliorer." Avant la rencontre face au Napoli, vous aviez déclaré qu’en la remportant vous relanceriez le discours pour le Scudetto, mais à présent… "...A présent, il y a eu le partage face à Monza, quelque chose qui, pour une équipe comme l’Inter, n’aurait jamais dû arriver : Le Napoli est une machine de guerre, mais je ne dirais pas que le discours pour le Scudetto est terminé : Nous avons encore 5% de raison pour croire en cette possibilité : Eux devront ralentir la cadence alors que nous, nous nous devrons de remporter tous nos matchs." Avez-vous des regrets pour les six défaites concédées en championnat ? "Nous aurions dû engranger 5-6 points en plus, cela nous aurait permis, maintenant et avec les confrontations directes, d’avoir un écart de point moins important." Pourquoi l’Inter tourne bien face aux grandes équipes et rencontre des difficultés face aux plus petites ? "Prenons l’exemple d'Empoli : Inconsciemment tu te dit que tu peux l’emporter peu importe la façon, mais parfois cela ne suffit pas, et peut-être que tu comprends qu’il y a un impondérable : Dans les matchs à élimination directe, la motivation est différente, mais nous devrions toujours avoir cette faim : Si tu as la bonne agressivité, tu gagneras, je n’ai aucun doute à ce sujet : Et il nous a manqué, à quelques reprise, d’un peu de mordant." Est-ce une bonne nouvelle de rencontre Porto ? L’Inter peut ‘elle être la Surprise de la Ligue des Champions ? "Si nous nous sentons tous en forme, nous pourrions devenir la Surprise : La phase de groupe nous a donné confiance : Porto est fort physiquement, mais nous sommes capable de les battre. Une fois en quart de finale, tout peut arriver : Cela dépendra de l’état de forme, du moral, de la chance : Et nous venons de retrouver Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic qui se joigneront à nous." Répondez du tac-o-tac : Serez-vous à l’Inter en 2024 ? "Je ne le sais pas : C’est la Vérité : J’aimerais rester, je me sens bien ici. J’ai cependant une certitude : Cela ne m’arrivera plus une autre fois d’être au mois d’août sans connaitre mon avenir : Je veux savoir, en juillet, où je jouerais. J’espère qu’il y aura une solution qui sera trouvée au plus vite pour mon rachat : J’ai 35 ans et je me sens bien physiquement et mentalement." Quelles sont les meilleures qualités d’Inzaghi ? "Il est intelligent, sympathique, fait preuve d’empathie et est toujours positif. Il est aussi chanceux, mais c’est lui qui va se chercher cette chance et il le mérite : C’est un très bon connaisseur du Football, il connait tous les joueurs du monde : C’est incroyable. C’est aussi une personne à qui on s’attache : Il est toujours resté le même que ce soit à Rome et ici à Milan." Comment a été vécu le cas Skriniar vu du Vestiaire ? "Nous savions tous qu’il avait reçu une offre du Paris-Saint-Germain, mais il ne nous avait jamais rien dit et nous cela ne nous intéressait pas tellement : Nous avions toujours vu son engagement et c’était ce qui était le plus important. Ensuite, ce sera une déception de le voir partir et ce ne sera pas facile de le remplacer." "Les jeunes joueurs de qualité son très peu nombreux et coutent cher : Regardez Scalvini." Lautaro Martinez, Romelu Lukaku, Edin Dzeko : Qui est le plus dur à marquer ? "C’est un plaisir d’avoir Lautaro comme équipier, son côté combattif sur le terrain m’impressionne : Lukaku, s’il est en condition est dévastateur, tu ne sais pas le marquer et Edin a une élégance hors du commun, même s’il n’est pas dans une condition optimale, il parvient toujours à trouver 2-3 solutions dans une rencontre. Il y a aussi Correa qui est en difficulté et que nous cherchons à aider: Il vaut les autres." Si vous aviez, plus jeune, l’expérience que vous avez acquise maintenant, auriez-vous réalisé une meilleure carrière ? "Durant une période je pensais autrement : Que j’aurais fait 15 années au Milan au plus haut niveau. Mais aujourd’hui je dirais non : Sans ma maladie, j’aurais arrêté à 28 ans ou je serais allé en Serie B, voir même à la Citadella, je ne sais pas… Ma véritable carrière a débuté avec mes tumeurs, elles m’ont offerte cette seconde chance." Pour quel motif vous regardez toujours vers le ciel avant le début de chaque match ? "J’ai une prière qui m’appartient : Elle est longue de deux pages mais je mets 40 secondes à le dire car je la récite de mémoire rapidement." Vous verriez-vous dans un rôle d‘entraineur à l’avenir ? "J’aimerai le faire et il me semble que c’est devenu à la mode aujourd’hui, même un plombier pourrait obtenir la licence. Et c’est une bonne chose car c’est un rêve accessible à tout le monde, mais j’imposerai une limite : Une priorité devrait être accordé à ceux qui ont joué au football. Je m’y retrouve car je comprends les joueurs, et j’ai connu toutes les nuances du métier : J’ai touché le fond pour ensuite arriver au sommet." La première caractéristique d’un entraineur doit être…Terminez la phrase "L’empathie : Elle fait la différence avec les joueurs et elle vient même avant tout autre aspect du jeu." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Selon une analyse de FCInterNews, l'Inter doit rester sur les clous face aux arbitres italiens. Il n'y a pas d'autre explication au traitement reçu jour après jour par les joueurs d'Inzaghi par nos propres sifflets de Serie A. Dans ce premier aperçu de 2023, la situation est donc devenue vraiment insoutenable et d'autres clubs ont produit les fameux "dossiers d'arbitrages" pour beaucoup moins que ça. Après la nette victoire 1-0 sur le Napoli, les Nerazzurri ont été littéralement victimes d'erreurs souvent flagrantes. Extraits: Monza-Inter : but d'Acerbi refusé; Inter-Vérone : penalty non accordé pour une main sur tir de Mkhitaryan, beau but refusé de Lautaro et double carton jaune non donné à Hien; Milan-Inter en Supercoppa : Barella percuté par Tatarusanu; Inter-Empoli : deuxième carton jaune assez sévère pour Skriniar; Cremonese-Inter : penalty non accordé à Dzeko; Inter-Milan : penalty non accordé à Dzeko, penalty non accordé à Lautaro et but annulé pour Lukaku. Une longue série d"erreurs" difficiles à expliquer. Des erreurs de toutes sortes. Les unes après les autres qui coûteraient également de lourds points. Ensuite, certains d'entre elles peuvent aussi être évoquées, comme par exemple lors du dernier derby où Gabbia a poussé Dzeko des deux mains : il n'y a pas de coup de sifflet. La valeur étalon est totalement faussée et pas seulement d'un match à l'autre mais aussi au sein d'un même match. Les deux épisodes survenus lors du match de Dimanche soir lors de la deuxième mi-temps sont emblématiques. Lautaro, dans la surface, prend position, et Kalulu lui tombe dessus et par derrière en le frappant à la jambe gauche : penalty évident, Massa et Mazzoleni se taisent et rien à la VAR. Le lendemain, rien, tous sont muets! Idem pour le but refusé à Lukaku en fin de partie : le Belge et Thiaw se tirent dessus dans une mêlée des plus classiques entre attaquant et défenseur, Big Rom a le dessus et marque au sol, mais Massa annule. "Ce qui n'est pas encore arrivé doit arriver", dirait quelqu'un qui ne va pas si bien maintenant. Au lieu de cela, ceux de l'Inter sont muets dans un championnat où tout le monde crie au moindre tort tout de suite. Une attitude passive qui n'aide certainement pas. Et en attendant les coups de sifflet qui sont défavorables continuent. Il faudrait comprendre pourquoi l'Inter est si contrariée par les arbitres italiens. Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Simone Inzaghi s'est exprimé concernant le but injustement refusé de Big Rom lors du dernier derby milanais. Ses propos ont été rapportés par DAZN au format BordoCam, les voici "Est-ce que c'est pour nous, ceux qui sifflent avant la fin de l' action ?" En effet, l'imposant attaquant belge aux manières expéditive avait protégé son ballon et avec l'expérience avait maintienu Thiaw à distance: Et il s'agit-là d'un duel classique entre attaquants et défenseurs que nous retrouvons tous les week-ends." "Toutefois, le coup de sifflet de Massa intervient avant que le ballon tiré par Lukaku ne rentre dans le but, avec un Big Rom à terre. Et ce coup de sifflet a rendu toute utilisation de la Var impossible puisque la phase jeu a changé de facto." "Même Federico Dimarco est resté sans voix: "Mais pourquoi il siffle avant ?" " "Un scénario similaire à celui de Monza, lorsque l'arbitre Sacchi a sifflé une faute inexistante avant la tête victorieuse d'Acerbi." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. En effet, c’est la grande révélation de la journée signée la Gazzetta Dello Sport : "Si l’on ne considère pas la saison 2016-2017, vu que Steven Zhang n’était pas encore aux manettes, nous assistons à la pire phase aller de l’Inter du Suning : Bien pire que les 39 points récoltés lors de la seconde saison de Luciano Spalletti." "A présent, remporter les deux coupes italiennes ne suffira plus : Il a été demandé à Inzaghi tout autre chose : Ne pas se terminer en Zone Champion’s serait considéré comme une faillite : Qui plus est, la façon dont l’équipe devra y parvenir sera également analyser: Les joueurs devront y parvenir sans faire preuve d’une anxiété exacerbée et sans même plonger dans des température sibériennes comparé au Napoli : Ils devront jouer les 19 prochaines matchs avec l’état d’esprit d’une équipe qui se bat pour remporter le Scudetto même si à présent la seconde étoile n’est plus qu’un mirage." "La qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions est, par contre, bien plus réaliste vu qu’elle permettrait d’engranger à minima 5 millions d’euros entre les primes en provenance de l’UEFA et les recettes du Giuseppe Meazza car si Porto représente un danger, il n’est pas imbattable." "S’il faudra parvenir à comprendre comment l’équipe peut se montrer si agressive face au Napoli et le Milan comparé à des équipes d’un blason inférieur comme le sont Monza, Vérone, Parme et Empoli, il sera important de compter sur des individualités retrouvés que sont Robin Gosens, Denzel Dumfries et Romelu Lukaku: Romelu semble en avoir terminé une fois pour toute avec ses pépins physique, il doit à présent se mettre des minutes dans les jambes et lancer la machine à but et à Appiano, il y a un programme bien spécifique qui l’attend pour l’installer d’une façon durable au cœur de l’attaque car on ne peut pas compter éternellement sur Edin Dzeko." " Si à ses côtés on retrouvera Lautaro Martinez qui va de certitudes en certitudes, Joaquin Correa réalise continuer a aligner les flops : la destinée des deux argentins est diamétralement à l’opposée. Le troisième argentin, lui, reste un regret car il y a quelques mois il aurait fallu parvenir à trouver une voie de sortie au Tucu afin de ne pas de gâcher la chance Paulo Dybala." Une soufflante aux joueurs Simone Inzaghi s’est entretenu avec les joueurs en leur disant qu'ils devaient absolument réagir après la défaite face à Empoli en Serie A et se ressaisir à l’occasion de la rencontre face à Cremonese Le natif de Piacenza a "insisté sur le fait que louper la Ligue des champions serait un "désastre" car si l'Inter avait abordé le match contre Empoli avec le sentiment qu'il restait un faible espoir de rattraper Naples en tête du classement de la Serie A, ce sentiment laisse à présent la place à l’incertitude de parvenir à terminer dans le Top 4. Et vu la victoire d’une dominante Lazio sur l'AC Milan, combinée aux résultats de la Roma et de l'Atalanta ce week-end, cela signifie que finir dans les quatre premiers est encore moins certain pour les Nerazzurri." "Cet échec ne serait rien de moins qu'un "désastre", une "faillite" pour les Nerazzurri sur le plan financier car le club a planifié son budget en fonction de la manne financière provenant de l’UEFA pour la participation à la plus grande compétition de clubs d'Europe qui parviennent à s’y qualifier: S'en priver, ce serait un énorme coup dur." C’est également pour cette raison qu’Inzaghi a insisté auprès de ses joueurs sur le fait qu'ils ne pouvaient pas se permettre de considérer la défaite d'hier contre Empoli comme autre chose qu'un faux pas temporaire, et qu'ils devaient réagir pour se remettre sur les rails contre Cremonese ce week-end." Validez-vous le comportement de notre Direction : La C1 ou la Porte vu que le Napoli réalise une saison digne du Bayern de Munich en Serie A ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. C'est une information en provenance de la Repubblica, pour s'assurer les services de Milan Skriniar, le Paris-Saint-Germain aurait sorti les muscles, au point de proposer quasiment deux années de contrat "interiste" comme prime à la signature à l'international slovaque, sous une condition bien précise Le Pressing des Tifosi "Supplier un joueur de rester dans votre club, pour six millions et demi d'euros nets par saison, avec la promesse d'en être le capitaine à vie. C'est la situation actuellement vécue par les Tifosi de l'Inter: Les Ultras des Nerazzurri, lors du match contre Parme, tout comme lors du match à l'extérieur à Monza, ont déployé des banderoles et scandé des chants pour convaincre Milan Skriniar de résister à la tentation parisienne où beaucoup d'argent et des promesses de gloire l'attendent, et il faut comprendre à quel point ils sont sincères. De plus, dans cet élan d'amour désespéré se cache toute la condition de actuelle de notre compétition qui est bien trop pauvre en terme d'argent et de moyens techniques pour parvenir à conserver ses Champions entrés dans la fleur de l'âge." WTF! "Mais voir ces supplications adressées au joueur, afin qu'il ne parte pas gratuitement est une nouveauté de cette année. Comme l'a d'ailleurs souligné Giuseppe Marotta: "C'est normal dans le football actuel...." et il a raison. Mais il y a aussi LA TENTATION, celle qui est encore bien plus grande que le salaire déjà proposé: Le Paris-Saint-Germain semble disposé à signer un chèque de 12 millions d'euros au défenseur, à condition de ne pas avoir devoir verser un seul centime d'euro à l'Inter." Que faire dans une telle position ? "Choisir de devenir un Javier Zanetti en puissance en étant d'abord Capitaine et voir un dirigeant par la suite ? Ou aller chercher plus d'argent dans un vestiaire composé de super-héros ? "Il n'y a pas d'échéances" a déclaré tout récemment Giuseppe Marotta.... Et comme on le retrouve dans les belles histoires des comptes de fées: Les Tifosi chantent la sérénade à Milan dans l'espoir qu'il ne choisira pas Paris." L'Amour ou l'Argent ? Milan est appelé à prendre l'une des décisions parmi les plus importantes de sa carrière... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Peu avant le coup d’envoi d’Inter-Parma, Giuseppe Marotta est revenu sur la confrontation face à Monza, sur Milan Skriniar, le Milan, et sur l’adversaire du soir... Petit Flashback Son interview à Sport Mediaset "La Coupe d’Italie est une compétition très fascinante et à laquelle croit les grands clubs. C’est pour cela que ce soir, il n’est pas question de sous-évaluer l’adversaire et de chercher absolument à passer le tour." Ensuite, il y a le Milan, pour ce qui sera le premier titre de la saison "Il s’agira aussi d’un titre et d’une finale qui sera riche de contenus, fascinante et inédite qui faisait défaut depuis tant d’années. Si elle ne se joue pas en Italie, le contexte télévisuel permettra de tout suivre, j’espère que nous assisterons à une belle partie, cela pourrait représenter une très belle publicité pour notre secteur footballistique." Etes-vous encore amer suite à ce qu’il s’est passé samedi avec le 3-1 qui vous a été annulé ? "Je suis très amer car c’est un but valable qui nous aurait offert la victoire. Cependant, il arrive aux joueurs de se planter, aux dirigeants et aux entraineurs, cela me semble donc juste et humain que l’arbitre se plante aussi." Une réflexion doit-elle avoir lieu sur l’usage de la Var ? "Oui, c’est certain : Le coup de sifflet a généré l’impossibilité de faire usage de la Var, cela doit nous porter à réfléchir à la question. Toutes les composantes se doivent de faire preuve de plus de prudence." Etes-vous un peu préoccupé par Lukaku et ses blessures en continu ? "Il faut analyser la situation : Nous étions habitué à voir Lukaku réaliser de très belles rencontres lors de sa précédente expérience. Mais cette année, sa permanence à l’Inter est marquée par des situations qui sont difficilement gérable. Mon espoir est qu’il puisse retrouver sa forme athlétique, cette forme qui lui permettra d’inscrire les buts dont il nous avait habitué lors de sa précédente expérience." Quand aurez-vous la réponse de Milan Skriniar ? "Je ne fixe pas de deadline, ce sont des dynamiques qui sont récurrentes dans tous les clubs, je n’ai plus envie de parler de rendez-vous ou de reports. Aujourd’hui, nous sommes concentrés sur une période très difficile : Il y a tant de matchs à disputer en janvier et tant de points à disposition, nous voulons en récolter le plus possible. Au-delà de ce que sont les principes de bons respects pour les joueurs, notre concentration est sur les matchs que nous allons disputer." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  12. Homme de main de Massimo Moratti de 1995 à 2014, Rinaldo Ghelfi est décédé hier. Rinaldo Ghelfi, le manager historique de l'Inter de l'ère Massimo Moratti, est décédé hier matin. Véritablement milanais, il a siégé au conseil d'administration du club jusqu'en 2014, date à laquelle Moratti, qui avait déjà vendu 70 % à Thohir, a démissionné du poste de président d'honneur et n'est resté qu'actionnaire. Ghelfi a été pendant des années l'homme des comptes des nerazzurri, celui qui gérait les finances du club. C'est dans son bureau que les négociations ou les renouvellements les plus importants ont été signés. Un qui est inoubliable est celui de José Mourinho au printemps 2009, mais les exemples sont nombreux. Personne réservée, il était impossible de lui arracher une déclaration même dans les moments de grande joie. Il a également occupé le poste de directeur général du club pendant quelques mois en 2005 et également celui de vice-président. Propriétaire d'un studio professionnel bien connu dans le centre, il a assisté pendant des années aux matches de l'Inter aux côtés de Massimo Moratti qui était pour lui un ami, plus que le président de son équipe favorite. Dans la soirée, le FC Internazionale a exprimé dans une note "ses condoléances pour le décès de Rinaldo Ghelfi. Le Club et toute la famille Nerazzurri pensent à lui et à tous ses proches". Le club de Monza de Silvio Berlusconi et Adriano Galliani a également exprimé ses condoléances sur Tweeter. "Adriano Galliani et tout l'AC Monza se joignent à la famille suite à la mort de Rinaldo Ghelfi, le directeur historique de l'Inter, dont il était vice-président et membre du conseil d'administration à l'époque Moratti, estimé de tous pour sa compétence et son sérieux." Traduction alex_j via la Gazzetta Dello Sport, Sempreinter, fanpage.it.
  13. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport, "Nous nous rapprochons de plus en plus du départ définitif de Samir Handanovic en fin de saison, et l’Inter est déjà partie à la recherche du futur numéro 12 qui viendra soutenir André Onana... La dernière idée en date est de cibler un ancien qui avait les faveurs du club, et qui est en recherche de rachat : Ionit Radu ! Non, on déconne "Alessio Cragno a toujours été dans les petits papiers de Piero Ausilio, avant même l’arrivée d’Onana à Milan, et l’Inter avait d’ailleurs plus d’une fois pensé à lui pour le placer en concurrence d’Handanovic, en proposant un gardien de grande fiabilité. A présent, à l’Inter, si beaucoup de choses ont changés, l’appréciation de l’ancien numéro de Cagliari, elle, elle n’a pas faibli même s’il est à présent le réserviste de Di Gregorio, qui a fait l’école Nerazzurra, à Monza. "Il est arrivé au club de la Brianza en prêt avec un droit de rachat qui deviendra une obligation à la condition d’être maintenu en Serie A pour une somme abordable, à savoir un peu moins de 4 millions d'euros. Il existe donc une certaine prémice économique pour tenter le coup durant l’été, à condition qu'aucun autre club ne parvienne à obtenir Cragno en janvier car il veut jouer et un départ de Monza est une hypothèse sérieuse : La Fiorentina y réfléchi." "L'Inter, de son côté est observatrice et est prête à s’offrir Cragno en qualité de Vice-Onana, suffisant pour le convaincre ?" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. C’est une information de la Gazzetta Dello Sport : Exclu surprise de la sélection allemande pour la Coupe du Monde, l’ailier gauche est prêt à quitter l’Inter: "Le futur de Robin Gosens est loin de l’Inter, son but de mercredi dernier à Bologne n’aura pas suffi à lui faire changer d’idées." "Qui plus est, l’exclusion de la liste des convoqués de l’Allemagne pour la Coupe du Monde lui a encore ouvert plus les yeux: Il ne veut pas rester six mois de plus sur le banc ou, dans le meilleur des cas, ne jouer que quelques minutes après la mi-temps. Il en a déjà informé l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta et le Directeur Sportif Piero Ausilio." "Pour l’heure, il n’est pas changé d’avis malgré l’estime qui lui a été manifesté par le Président Steven Zhang" Qui pour le remplacer ? Selon Il Giornale, pour remplacer Robin Gosens qui plait sérieusement au Bayern Leverkusen, les joueurs suivant ont été monitorés pour occuper l’aile gauche: Borna Sosa (VFB Stuttgart), Jesús Vázquez (Valence), Alfonso Pedraza (Villarreal), Carlos Augusto (Monza) et Pasquale Mazzocchi (Salernitana) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Quelques jours après l'annonce de sa retraite du football, Andrea Ranocchia a accordé une interview à La Gazzetta dello Sport, la voici. Commençons par la jambe, après la fracture du péroné d'août. "Ça va un peu mieux, je viens d'enlever le plâtre, j'ai repris la marche, même si j'ai toujours mal. Je fais une thérapie, je serai de retour à la salle sous peu." Pourquoi avez-vous décidé de quitter le football malgré un contrat courant jusqu'en 2024 ? "Il n'y a pas eu qu'un seul épisode déclencheur. A partir d'avril, également grâce à une série de problèmes privés, j'ai commencé à ressentir moins d'enthousiasme pour le football. J'espérais que ce n'était qu'un moment. A l'Inter, je me sentais bien avec tout le monde." En parlant de l'Inter, comment s'est passée la séparation ? "Mon contrat a expiré en juin, Piero (Ausilio) m'a expliqué qu'ils devaient faire toute une série d'évaluations. Je voulais jouer plus, et Monza est arrivé. Projet sérieux, porté par des managers qui ont déjà gagné, la possibilité de ne pas changer de domicile pour mes enfants (Lorenzo, 4 ans, et Adele Luna, 2 ans) et élever les jeunes. J'ai accepté. Mais pendant la retraite, j'ai beaucoup lutté. Les années ne sont pas revenues, c'était terrible." Combien la blessure a-t-elle pesé sur la décision finale ? "Ça a accéléré un cheminement déjà en cours. A tel point que je n'exclus pas qu'une fracture aussi grave soit liée au fait que la tête ne tournait plus dans le bon sens." Que vous a dit Galliani ? "Je lui ai expliqué ce que je ressentais et que je ne voulais pas me moquer de moi-même, mais aussi de ceux qui m'avaient fait confiance. Il a été surpris, mais il a compris et respecté ma décision. Certainement pas parce que j'ai renoncé à l'argent, dont je ne veux pas parler aussi par respect pour ceux qui peinent à joindre les deux bouts." Après l'annonce, étaient-ils si nombreux à vous appeler ? "J'ai reçu des messages et des appels téléphoniques de gens ordinaires, de tous mes coéquipiers, adversaires et entraîneurs, même ceux que je n'ai jamais eus. Mais ces jours-ci, je me suis vraiment isolé. Ce matin (hier, ndlr) Conte m'a appelé." Le plus beau message ? "Citer l'un d'eux ferait tort aux autres. Mais parmi tant d'autres il y avait aussi Zhang, Pioli, Spalletti, Cattelan, Mentana, que je suis toujours." Spalletti nous ramène à un moment décisif de ta carrière. "On se parle souvent avec Luciano, une personne formidable. Vous faites référence à la fois où il a affronté un fan qui en 2017 m'a insulté lors du camp d'entraînement à Riscone. Il a failli lui donner deux gifles (rires). La première fois que quelqu'un me défendait. Un choc décisif sur le long d'un chemin que j'avais entrepris seul." En fait, pendant quelques années, vous avez été le bouc émissaire des problèmes de l'Inter. "J'étais très bas, une expérience dont je me serais passé, mais formatrice. Dans le football, quand les choses ne tournent pas on en vise deux ou trois... Arrivé tout de suite après le Triplete, j'ai vécu des saisons difficiles. Mais j'ai aussi apprécié l'ascension grâce au Suning et Spalletti lui-même, jusqu'aux victoires avec Conte et Inzaghi." Inzaghi est maintenant en difficulté. "Il y a des moments comme ça, surtout en début de saison, avec un effectif plein de nationaux qui ont joué aussi l'été. Je suis sûr que l'Inter va récupérer. Ils ont l'effectif le plus fort et un vestiaire sain. Cela reste ma préférée pour gagner le scudetto." Même sans un leader silencieux comme vous ? "Dans le vestiaire chacun apporte sa contribution. Même en plaisantant toujours comme Brozo." Le football est ta vie depuis qu'il a 5 ans. Avec l'annonce du départ, un fardeau a été enlevé ou est-ce plus triste ? "Triste non, sinon j'aurais continué. Ces derniers mois, j'ai beaucoup réfléchi, même trop. Et la certitude est que je suis fier et satisfait de ma carrière. Des victoires et de la façon dont j'ai surmonté les problèmes. Mais sans enthousiasme on ne peut pas continuer. Maintenant je prends du recul un moment, puis j'aimerais ouvrir une école de foot." Le pire et le meilleur moment de votre carrière ? "Le pire en été, quand je me suis rendu compte que la lumière ne se rallumait plus. Le plus beau, le Scudetto. Je l'ai longtemps chassé, j'en ai vu et vécu de toutes les couleurs. Triomphant ainsi, l'arithmétique est arrivée le lendemain de Sassuolo-Atalanta, mais déjà en revenant de Crotone en avion nous avons fait la fête. Même Monsieur Conte qui n'exulte jamais tant que le résultat n'est pas certain." Conte, avec qui l'aventure avait débuté entre Arezzo et Bari, s'était arrêtée à l'Inter. "Je n'ai pas été surpris. Il est obsédé par la victoire et peut-être pensait-il avoir tout extirpé de lui-même et de ce groupe." Vous avez aimé ce groupe ? "Beaucoup. Mais aussi celui de Monza de mon ancien partenaire (au Genoa) Palladino est excellent. Le vestiaire sera ce qui me manquera le plus. Mais pas aujourd'hui." Maintenant que tu es en retraite, vous pouvez admettre que ce penalty en Mars dernier sur Belotti, non vu par l'arbitre et la Var, était valable. "Bien sûr que oui ! (Rires)." Votre dernier but ? "Avec Empoli en janvier. En acrobatie, décisif pour ne pas sortir déjà au deuxième tour de la Coupe. Ensuite, les coéquipiers ont été bons pour battre la Roma, Milan et la Juve. Mais un morceau de ce trophée est à moi." Traduction alex_j via FCInter1908.
  16. A travers une déclaration via les réseaux sociaux, Andrea Ranocchia a tenu à expliquer la raison de son départ de Monza et du football "en tant que joueur." "Je tiens à remercier ma famille, ma femme Giulia, mes enfants, ils m’ont soutenu à de nombreuse reprises, ils m’ont donné tout ce qu’ils pouvaient me donner. Je leur serai éternellement reconnaissant, à remercier tous mes amis, à tous ceux qui ont été proches de moi en dehors du football. J’ai vraiment eu de la chance, car derrière moi j’ai une belle équipe. Cette dernière année et demie n’a pas été facile, la passion pour ce jeu s’est estompée. C’était un échec même au mois de mai lorsque j’étais encore à l’Inter, à ce moment-là j’ai senti qu’il y avait quelque chose qui ne me revenait pas." "Avec le club, avec l’entraîneur, nous avons décidé de nous séparer parce que je voulais de nouveaux challenges, vivre de nouvelles passions et de nouvelles émotions. » J’ai eu de la chance, et je suis reconnaissant, car Monza m’a donné une nouvelle opportunité, qu’il s’agisse de Galliani et de Berlusconi, qui m’ont fait confiance en m’offrant un excellent contrat pour revenir dans le Game. Malheureusement, au début mes sensations n’étaient pas positives, c’est comme si quelque chose était s’était brisé en moi. Au début, je ne voulais pas l’accepter, car la passion que j’ai portée depuis 30 ans a disparu." "J’ai essayé de m’engager mais il n’y avait plus rien en moi, je me suis énormément questionné et ensuite, il y a eu cette sale blessure à Naples qui m’aurait tenu à l’écart des terrain pendant des mois. Et si vous n’avez plus cette flamme pour pouvoir revenir, et même avec la confiance que Monza m’a donnée, j’ai senti qu’il était juste de ne pas me moquer de qui que ce soit, et de moi avant tout : Soit je me donne à 100% soit j’arrête. J’ai parlé avec Galliani et je lui ai fait part de mon malaise et de ma décision, je ne voulais continuer à me moquer de personne, j’aurais été le premier à en payer les conséquences. Si tu veux aider ton équipe, tu dois te sentir bien et je ne peux plus le faire, je n’ai plus rien à donner. Galliani est un Gentleman, il a compris l’instant et nous avons « rompu » mon contrat en toute amitié." "Maintenant, je vais prendre le temps de récupérer, malgré toutes les émotions traversée ces temps-ci et remettre mes pensées sur la bonne voie pour l’avenir, je ne pense pas vraiment à rejouer au football, ce n’est plus dans mes pensées et ce n’est absolument pas ce que je veux. Je prends le temps de profiter des autres choses de la vie et de voir, ensuite, de quoi sera fait l’avenir. C’est ma pensée et je voulais la communiquer. Je tiens à tous vous remercier pour le soutien que vous m’avez apporté, dans les bons moments et dans les plus difficiles, j’ai vécu des émotions indescriptibles, j’ai été bon et chanceux d’avoir pu les vivre." "Je vous embrasse, même si je ne suis pas très réseaux sociaux, mais on se reverra un jour." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. En effet, le mois de juin 2023 sera le mois le plus important de l’Inter pour son avenir, plusieurs forces en présence pourraient prendre la poudre d’escampette! Nos confrères de Fcinter1908.it se sont penché secteur par secteurs! Les gardiens "Ces derniers jour a été officialisé la prolongation du contrat de Samir Handanovic, le Capitaine et Leader du Vestiaire de l’Inter. André Onana est arrivé, mais il débutera son aventure Nerazzurra en tant que second. Simone Inzaghi misera encore sur le slovène, du mois, initialement. Au 30 juin 2023, son départ sera probablement acté. A noter qu’Alex Cordaz, le troisième gardien de l’Inter, sera aussi en fin de contrat au 30 juin 2023." La défense "Milan Skriniar et Stefan De Vrij représentent les noms les plus ronflants : Le slovaque est au cœur du mercato, mais en cas de permanence, le club est prêt à renouveler son contrat actuel qui prendra fin au 30 juin 2023. Il reste encore à définir le futur de De Vrij vu que les négociations pour un renouvellement n’ont pas débutés et que de réelles demandes ne sont jamais arrivées. Mais les deux Nerazzurri ne sont pas les à voir leur contrat se terminer au 30 juin 2023 : Henrique Dalbert, qui ne fait pas parti des plans de l’Inter et qui est actuellement blessé, et Danilo D’Ambrosio, qui reste, lui, l’un des leaders absolu du vestiaire." Les milieux de terrain "Au net de la situation de Raoul Bellanova, prêté avec une option d’achat par Cagliari et de Kristjan Asllani, qui sera formellement en fin de contrat au 30 juin 2023, mais qui fait l’objet d’un prêt avec obligation d’achat avec l’Empoli, il y a lieu de réfléchir sur la situation relative à deux autres joueurs de ce secteur : En effet, les contrats de Roberto Gagliardini, pisté par Monza, et de Matteo Darmian arriveront à expiration." L’attaque "L'attaque est le rempart qui, l’an prochain voir même avant, pourrait faire l’objet de la plus importante des révolutions: Alexis Sanchez sera très probablement vendu lors de cette session estivale, alors qu’il reste quelques situations encore à définir tel que l’avenir de Romelu Lukaku, qui est prêté exclusivement jusqu’au 30 juin, mais qui a déjà fait part de son intention de tout faire pour rester Nerazzurro. Outre Lukaku, Edin Dzeko arrivera également en fin de contrat" Pensez-vous que l’Inter prolongera le mythique Gagliardini ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. L'ancien défenseur de l'Inter et actuel défenseur de Monza, Andrea Ranocchia, est heureux des adieux que lui a faits la Curva Nord lorsqu'il a quitté les Nerazzurri. Au cours d'un entretien accordé à la chaîne italienne DAZN, le défenseur de 34 ans s'est exprimé sur son départ de l'Inter après douze ans au club, et sur sa nouvelle aventure avec le promu Monza. Ranocchia a quitté l'Inter cet été à la fin de son contrat pour rejoindre Monza, à qui il apportera une grande expérience du haut niveau. Andrea Ranocchia avait remporté le Scudetto pour la première fois lors de son avant-dernière saison sous le maillot de l'Inter, puis la Coppa Italia pour la seconde lors de l'un de ses derniers matches avec le club. Ranocchia a cependant traversé de nombreux hauts et bas avec l'Inter au cours de ses plus de dix ans au club, et la Curva Nord lui a fait des adieux spéciaux à la fin de la saison en reconnaissance de sa longue histoire avec l'équipe. "C'était un moment exaltant qui ressemblait à la récompense des nombreuses années que j'ai passées à l'Inter", a-t-il déclaré à propos des adieux, "c'est un grand souvenir et je ne l'oublierai jamais." "Je ferais tous les choix de la même manière, car cela a fait de moi le joueur et l'homme que je suis maintenant", a-t-il poursuivi. "Je suis satisfait de ma carrière et je peux encore accomplir davantage et construire d'autres souvenirs positifs." ®Oxyred - Internazionale.fr via SempreInter
  19. Selon le Corriere Dello Sport, la différence entre la demande et l’offre reste toujours importante entre l’Inter et le Paris-Saint-Germain, et il n’est pas dit que la prochaine entrevue puisse apporter le résultat escompté. En effet, à contre-courant de la Gazzetta Dello Sport, pour le Corriere, la rencontre à venir sera loin d’être suffisante pour Milan Skriniar : "La négociation n’est pas simple à conclure, ou du-moins c’est ce qu’il ressort de chaque partie." La raison ? "La distance économique relative à l’évaluation du joueur slovaque qui est rentré samedi soir à la Pinetina: Le défenseur central a dormi dans sa chambre et a parlé avec l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta. Hier, il s’est soumis à une séance de physiothérapie et du vélo afin de renforcer sa cuisse blessée, en début juin, en équipe nationale." "La différence entre la demande et l’offre reste sensible et il n’est pas dit que la rencontre d’aujourd’hui ou demain sera suffisance pour arriver damner le pion, peut-être qu’il y aura un nouveau round mercredi. Le Directeur Technique Luis Campos a donné son consentement d’un point de vue technique pour valider l’acquisition, mais la négociation est de la compétence d’Antero Henrique. Ce qui est certain, c’est que l’Inter n’est pas disposée à attendre à l’infinie car le défenseur se sent bien aussi à Milan et qu’il dispose d’un accord de confiance pour un renouvellement de son contrat à hauteur de 5 millions d’euros net." Est-ce que le club peut réussir à le conserver tout en s’offrant Bremer ? "C’est possible en vendant Pinamonti : Monza a repris la Pole Position devant l’Atalanta et Sassuolo. Lorenzo Pirola est déjà à la Salernitana et d’autres exubérants sont sur la voie de la sortie... Mais ce qui est certain c’est qu’il s’agisse de la session hivernale ou bien au 30 juin 2023, la vente d’un Top joueur sera indispensable." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. En effet, la situation s’annonce tendu au Paris-Saint-Germain où trois objectifs-clés sont cités : Milan Skriniar, Gianluca Scamacca et Renato Sanchez Selon Tuttosport, une réunion a eu lieu entre Luis Campos et Christophe Galtier même s’il n’a pas été officialisé encore au poste d’entraîneur. Campos aurait envoyé un émissaire en Italie afin de débloquer surtout la situation entourant Milan Skriniar. Selon Sky Sport d’ailleurs, le club parisien reste ferme quant à un dépôt d’une offre de 50 millions d’euros accompagné de l’insertion d’une contrepartie technique. Ce que refuse catégoriquement le Club Nerazzurro. Si les Parisiens veulent Skriniar, il faudra débourser au moins 70 millions d’euros bonus inclus. A noter que les Blues de Chelsea, qui entretiennent d’excellents rapport avec l’Inter, sont aussi sur l’international slovaque. Si Paris comptait sur une pression du Numéro 37, pas de bol également, étant donné que le joueur, si les clubs se mettent d’accord, partira. Mais dans le cas contraire, il n’est également pas contre une permanence en Lombardie. L’Inter assure ses arrières Comme le confirme également la presse italienne, dont le Corriere Dello Sport, le "remplaçant" de Milan est Bremer, évalué à 30 millions d’euros. Si le Torino espérait encaisser plus, via l’intervention de la Juventus qui risque de voir De Ligt jouer au Volley ailleurs, le Toro ne pourra pas compter sur l’aide du Brésilien qui a juré fidélité à l’Inter et qui continue à refuser toutes les offres. Le Corriere souligne d’ailleurs : "Pour les autres mouvements en entrée, il sera nécessaire de procéder aux premières ventes, mais c’est vrai : L’arrivée de Bremer n'est pas lié à la sortie de Skriniar. Si elle l’est d'un point de vue technique, elle ne l’est pas d’un point de vue financier. La situation pourrait se débloquer aussi via le départ de Pinamonti, pour qui l'Atalanta et Monza sont en course." Bremer & Skriniar, ensemble par la force des choses, vous seriez pour ?! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Stefano Sensi est prêt à devenir un nouveau joueur de Monza! Selon les informations de Gianluca Di Marzio, l'accord a été trouvé aujourd'hui: "Le milieu de terrain de l'Inter, courtisé ces derniers jours par Monza, a dit 'oui' au club présidé par Silvio Berlusconi et Adriano Galliani et est prêt pour être transféré, sous la formule d'un prêt sec". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Et si le bien-être de l’Inter passait par les Éternels rivaux qu’étaient Silvio Berlusconi et Adriano Galliani ? En effet, comme le révèle Tuttosport, Monza, le néo-promu en Serie A aurait jeté son dévolu sur plusieurs Nerazzurri. "En plus de Di Gregorio, déjà racheté, les deux clubs parlent de Pirola mais aussi et surtout de Stefano Sensi et Andrea Pinamonti. Pour l'attaquant, les Nerazzurri visent une somme proche de 20 millions à lui seul." Mais comme le révèle également Fcinternews: "L'Inter s’attend aussi à une vingtaine de millions d'euros de la vente de Stefano Sensi et Lorenzo Pirola à Monza. De plus, Michele Di Gregorio a déjà rejoint l'équipe lombarde sur une base permanente pour 4 millions d'euros après avoir été prêté ces deux dernières saisons." Mercato de feu Pour ses débuts en Serie A, Monza veut donc faire les choses en grand comme le prouve les déclarations cryptiques d’Adriano Galliani interviewé à ce sujet : "Lorenzo Pirola est un Italien né en 2002 et il est même originaire de la Brianza, donc il est vraiment d'origine contrôlée…Il rit" Stefano Sensi et Andrea Pinamonti ? "Voyons, ne citons pas de noms." Y-a-t’il des contacts directs avec l'Inter et le Milan pour le Mercato ? "Je ne le sais pas mais les relations sont excellentes, alors nous verrons. Je viens de prendre recruter un responsable pour le Secteur Technique : François Modesto. Je veux le faire travailler un petit peu." L’Inter aidée par le Cavaliere, vous y croyez ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Il Cavaliere fait son grand retour en Serie A avec la promotion de Monza et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a absolument rien perdu de sa superbe : "C’est une grande joie pour toute la Brianza qui est une des provinces les plus chères d’Italie et qui en son cœur une joie à laquelle elle n’aurait jamais songé." "En étant en Serie A, l’objectif est clair : Je vise le Scudetto et ensuite la Coupe des Champions, je suis toujours habitué à gagner et la promotion de Monza associé au Scudetto du Milan sont deux résultats qui me font du bien au cœur." Réaction de son éternel bras droit Adriano Galliani : "C’était une chevauchée pleine d’émotions, spécialement lors de ces dernières semaines : Monza-Milan sera riche d’incroyables émotions, même si mes enfants m’ont immédiatement demandé de battre l’Inter." L'impact de la montée sur l'Inter Grâce à cette montée, la Beneamata est déjà certaine de percevoir le rachat obligatoire de 4 millions d'euros du gardien Michele Di Gregorio, une clause imposée et activée justement, suite à la promotion des Biancorossi. Un autre joueur prêté à Monza pourrait faire rentrer plus d'argent dans les caisses d'Appiano Gentile, à savoir le défenseur Lorenzo Pirola qui fait déjà partie de l'Italie U-21. Mais dans ce cas, il est question d'un "droit de rachat" fixé à 7 millions pour le club de la Brianza. Reste à savoir s'il sera activé, mais il est bon de savoir qu'il existe également un "droit de contre-rachat" en faveur de l'Inter, pour un montant de 8 millions d'euros. Comme le révèle également Calciomercato.com, le premier gros coup du promu en Serie A pourrait être interiste: "Des contacts très avancés ont eu lieu pour s'attacher les services de Stefano Sensi, qui ne rentre pas et plus dans les plans de jeu de Simone Inzaghi. Le Milan n'est pas en reste vu que Galliani rencontrera également Maldini pour comprendre quels joueurs pourraient être bons pour Monza: Si le club de Berlusconi aime beaucoup Messias, attention aux noms de Colombo, Daniel Maldini, Caldara et Gabbia qui pourraient convenir à l'entraîneur Giovanni Stroppa." Défi accepté les potos ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Si Silvio Berlusconi était le Président du Milan Ac, pour recruter de très bons joueurs, il s’adresse tout de même à l’Inter! Révélation de la presse transalpine Selon Tuttosport: "Avec une poignée de millions d'euros , Monza va se retrouver avec des personnalités non-négligeables. La plus importante est celle du gardien de but Michele Di Gregorio, 24 ans, qui deviendra sa propriété via l’activation de l’obligation de rachat pour une somme d’environ 4 millions d’euros. De plus, l’Inter propose le milieu de terrain Stefano Sensi âgé de 26 ans qui si sa technique n’est pas remise en cause, fait défaut au niveau de sa forme physique. En conséquence, l’Inter souhaiterait s’attacher les services de Carlos Augusto en insérant l’international italien dans la transaction. Monza devra discuter avec l'Inter du droit de rachat du défenseur Lorenzo Pirola, âgé de 20 ans. En défense, on pourrait voir aussi Andrea Ranocchia, 34 ans, dont le contrat expirant en juin n’a pas été renouvelé." Selon Calciodangolo.com, Antonio Candreva serait également courtisé et une somme de 2,5 millions d’euros pourrait faciliter la transaction. Francesco Acerbi serait également dans le viseur. Selon Ilmessaggero.it, Mario Balotelli et Andrea Belotti sont dans le viseur. Enfin, l’enveloppe mercato communiqué par le site Forzamonza.it serait de 60 à 70 millions d’euros! Pensez-vous que Monza puisse être la révélation de la saison 2022/2023 et perdurer en Serie A, avec aux commandes le duo historique qui a multititré le second club de Milan ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. La Gazzetta Dello Sport s’est penchée sur la visite de la Guardia Di Finanza au siège de l’Inter et sur la documentation analysée, celle-ci fait état d’une somme d’environ 90 millions d’euros. Pour l’heure, il n’a aucun chef d’inculpation Les officiers ont passé quatre heures à la Viale Della Liberazione, au siège des Champions d’Italie, ils sont ensuite partis au siège de la Lega Calcio, lieu où tous les clubs déposent les contrats. Ceux-ci ont fait l’acquisition de tous les documents relatifs au transfert pour la période 2017-2019 : Il s’agit des états financiers, des contrats, des mouvements bancaires sur les échanges afin de s’assurer de la régularité comptable des relatives plus-values comme l’explique dans une note, le Procureur faisant fonction Riccardo Targetti. Les officiers ont ainsi analysé la situations des deux milanais et mis en évidentes quelques éventuelles criticités, encore à vérifier, dans le bilan de l'Inter. Dans le détail, ils veulent comprendre si "la valeur des droits d'enregistrement des joueurs" a été délibérément surévaluée afin d'augmenter les revenus et, par conséquent, de diminuer les pertes, explique La Rosea Selon celle-ci, voici la liste des transactions passées au crible Davide Bettella évalué à 7 millions d’euros (soit que de la plus-value). Davide Bettella est aujourd'hui le défenseur central de Monza avec un total de 17 minutes en Serie B, mais à l'époque il était un récent champion d'Italie avec les Primavera et l'équipe nationale U19 sans la moitié d'un match joué chez les adultes. Son nom est lié à celui de son ami Marco Carraro. Marco Carraro a été vendu à la Dea en 2018 pour 5 millions (dont 4,4 millions de plus-values). Aujourd'hui, Carraro joue plus régulièrement que son ami à Cosenza, mais à l'époque, à peine âgé de 20 ans, il avait derrière lui une moitié de championnat B à Pescara. D'ailleurs, deux jours seulement après son arrivée chez Gasperini, Gasp, il a été immédiatement transféré en prêt à Foggia. Le riche parcours de Bettella-Carraro a eu lieu alors qu'Alessandro Bastoni passait de Bergame à Milan pour 31,1 millions d'euros: cela semblait un pari exagéré, mais le temps a montré que c'était finalement un bon investissement. En 2018, il y a le futur crack Zaniolo valant seulement 4,2 millions (2,6 millions de plus-values) : avec le recul, Nainggolan a été surévalué le premier et Zaniolo sous-évalué le second. Mais cette année-là, la plus grosse plus-value est celle de Davide Santon, vendu à la Roma pour 9,5 millions après une saison décevante avec Spalletti : 8,1 millions de plus-value. Celle-ci figure avec l'affaire Zaniolo, dans la même acquisition lucrative de Radja Nainggolan (39,5 millions). Parmi les protagonistes de cette session figurait Ionut Radu, le second de Samir Handanovic. Mais à l'époque, revenant d'un prêt à Avellino, il est vendu au Genoa pour 8 millions, mais un rachat par les Nerazzurri de 12 millions est également inclus. Comme prévu, l'Inter a levé son option en 2019, même si le Roumain a été laissé en prêt au Rossoblù pour une saison supplémentaire. Finalement, Radu bénéficie désormais d'un contrat de 1,8 million d'euros et des quelques miettes laissées par Handa sur le terrain." Les deux autres jeunes bien notés cette saison-là sont Federico Valietti, un latéral actuellement prêté à Pordenone, acheté au Genoa pour 6 millions d’euros, dont la quasi-totalité en plus-value, et le Danois Jens Odgaard, classe 99, transféré à Sassuolo il y a trois saisons pour 4,6 millions d’euros (pour une plus-value de 3,5 millions d’euros). Le transfert en Emilie-Romagne a eu lieu avant le 30 juin et a été entrelacé avec celui de Matteo Politano de Sassuolo à l'Inter après le 1er juillet. Ce projet est typique de ces années-là, lorsque le club était engagé dans une course contre la montre pour gagner de l'argent avant la date de présentation du budget annuel, lui qui disposait ensuite, de plus de marge de manœuvre dans les semaines suivantes. Dans la même saison, aux 5,3 millions de plus-value du défenseur colombien Murillo, il faut ajouter les 1,2 de l'Albanais Manaj à Albacete. Pour compléter le tableau 2018, d'autres cessions de joueurs qui ne sont plus stratégiques et qui, dans l'ensemble, n'ont pas ou peu apporté au poste des plus-values : Nagatomo, Bardi, Kondogbia, Medel, Jovetic. Dans l'analyse de la deuxième saison dans le viseur du procureur, il suffit de se concentrer sur deux amis, protagonistes du Primavera Scudetto 2017. Ce sont les auteurs des deux buts des Nerazzurri en finale contre la Fiorentina : Zinho Vanheusden, désormais au Genoa de Sheva, et Andrea Pinamonti, qui, prêté à Empoli, retrouve le niveau qu'il avait promis. La vente de "Pina" au Genoa en 2018-19 avait renfloué le budget avec 19 millions de plus-value, pour un retour stratégique à Milan lors de la saison du Scudetto pour 21 millions et un salaire de 2,2. Le Belge de 21 ans, quant à lui, a été vendu il y a deux saisons au Standard de Liège pour près de 11,7 millions (plus-value de 9,5) et a été racheté cette saison : 16, c'est le montant dépensé pour effectuer le trajet retour. Aujourd'hui, Andrea Adorante évolue en tant qu'attaquant à l'ACR Messina en Serie C, mais à l'époque, il avait été vendu à Parme pour une plus-value de 3,9 millions. Marco Sala, un défenseur prêté à Crotone, a fini pour 3 millions à Sassuolo. Le même prix a été payé pour Gabriele Zappa, ensuite vendu à Pescara et depuis 2020 à Cagliari. Le même prix a été payé par Gabriele Zappa, qui a ensuite été transféré à Pescara et sera à Cagliari à partir de 2020. "La sérénité filtre parce que l'on constate que les évaluations des joueurs sont par définition toujours "aléatoires". En fait, même au quatrième étage du Palais de Justice, ils se déplacent avec des pieds de plomb : des cas similaires se sont déjà terminés dans le passé sans rien (en 2008, l'Inter a déjà été acquitté pour des cas similaires) et il n'y a pas de critère 'scientifique' pour déterminer quel est le juste prix d'un joueur", conclu la Gazzetta Dello Sport. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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