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Roberto Gagliardini évoque son début de saison après ses adieux à l'Inter et à Monza. Voici l'interview du milieu de terrain au Corriere dello Sport avant le match contre la Roma au Stadio Olimpico : "Nous allons bien, mais cela n'a pas de sens d'y penser maintenant : huit jours, c'est peu. Il nous a fallu 110 ans pour accéder à la Serie A, nous ne pouvons pas prendre 24 mois pour revenir en B." Gagliardini, la Roma a récemment retrouvé son rythme de croisière : coefficient de difficulté ? "Elle reste l'une des meilleures équipes de notre championnat, une grande équipe qui saura certainement moduler ses ambitions. Et puis il y a Mourinho, qui a apporté des résultats importants à un collectif de grande individualité. A Rome, nous allons jouer un grand match". Il y a un mois, le match nul au Stadio Olimpico agrémenté d'un but de Gagliardini : ce match a-t-il définitivement débloqué Monza ? "On a fait un très bon match contre la Lazio, qui a des ambitions en Ligue des champions : on a réussi à imposer notre jeu et on méritait plus. Ensuite, les victoires sont toujours libératrices, donc aborder la trêve en ayant battu Sassuolo et Salernitana aide beaucoup. Deux matches qui nous ont donné de l'élan et de la fluidité, ce qui nous permet aujourd'hui de jouer avec un peu plus de sérénité. Mais ce sera difficile à Rome. En tant qu'ancien coéquipier, comment avez-vous perçu ce bras de fer sur le marché ? "Je le connais bien et, à titre personnel, j'éprouve de la gratitude pour Lukaku. En ce qui concerne la façon dont l'Inter et lui se sont quittés, je dis que ce sont des choses qui arrivent dans le football. Romelu a toujours fait la différence partout : c'est un champion et il doit être respecté en tant que tel. Il a été l'un des architectes de l'équipe avec laquelle nous avons gagné le Scudetto, disputé deux finales européennes et remporté d'autres coupes. Pour dimanche, je dirais que nous devrons essayer de le contenir, car Lukaku a de nombreuses façons de faire mal. Et puis il y a les huit points supplémentaires sur la zone de relégation : un bel avantage pour Monza. "Il faudra savoir s'en prémunir, notamment parce que le niveau du championnat est plus élevé. Cette année, on se sauve en marquant entre 38 et 42 points. Il faudra donc montrer des signes de continuité dès Rome". Gagliardini a-t-il tout pour se sentir le leader de cette équipe de Monza, qui prend un nouveau départ après l'Inter ? "En réalité, le secret est toujours ce groupe qui a été compétitif au fil du temps. Peut-être que lorsque Monza est arrivé en Serie A, quelqu'un a pu se sentir impressionné. Depuis mon arrivée, j'ai trouvé une grande solidité, que nous traduisons sur le terrain. J'ai terminé un cycle à l'Inter, j'étais conscient du choix que j'avais fait. J'ai tout de suite senti l'empreinte donnée par Berlusconi et Galliani : tout le monde peut le voir ici. Sur le terrain, Monza a montré qu'il pouvait se tailler un grand rôle, en réalisant une première année incroyable". Les tricolores avec Conte, avant cela le parcours de Gagliardini avec Pioli et Spalletti qui ont remporté les deux derniers championnats : Palladino est-il proche de certains sommets ? "C'est un entraîneur du Scudetto, certainement un entraîneur de premier plan en raison de ses méthodologies et de son organisation : je le vois dans quelques années capable de jouer une finale européenne. C'est le premier championnat dans lequel il a entraîné depuis le début. J'aime sa façon de prendre le groupe en main. D'ailleurs, jetons un coup d'œil par la fenêtre : les garçons du secteur des jeunes s'entraînent. "Je pense immédiatement à Palladino, qui a commencé à entraîner de cette manière et qui a obtenu de grands résultats. C'est un maître du football et il vous fait vous sentir bien. Il a encore beaucoup d'expérience, un avenir important et de grands principes. Ce n'est pas un hasard s'il a obtenu ces résultats". Monza les veut surtout comme ça, jeunes et italiens : est-ce la stratégie gagnante ? Un choix qui nous mène loin : je crois que c'est un message à transmettre à notre championnat. L'empreinte italienne voulue par le club devrait plaire au football italien, surtout en cette période". ®Jean Idriss – Internazionale.fr
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Giuseppe Marotta : Lautaro Martinez ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Interviewé par Sky Sport peu avant la cérémonie de l’European Golden Boy 2023 au Teatro Cucinelli de Solomeo, Giuseppe Marotta s’est livré, comme à son habitude, sans filtre Made In Italy "Même en fermant les yeux pour recruter l’un de ces candidats, ce serait toujours une bonne pioche car ce sont des jeunes très intéressants qui feraient de belles choses dans n’importe quelle équipe italienne. Mais il faut savoir que nous sommes dans une période de contraction financière très importante et que même les grands clubs ne peuvent pas se permettent des investissements importants." "C’est difficile de savoir combien de temps elle durera car les meilleurs ressources sont représentées par la valorisation des droits télés, qui traversent également une période difficile et que la Lega gère de la meilleure des façons. Je crois qu’il faut, par-dessus-tout, valoriser le Made In Italy : Nous, comme Inter, sommes fier qu’il y a actuellement 6 footballeurs en Nazionale pour nous y représenter." "Je retiens le Made In Italy, aussi bien pour les entraineurs que pour les joueurs, comme quelque chose d’important et d’unique, il faut continuer à puiser sur la valorisation e ces ressources." Simone Inzaghi Est-ce que les points perdu face à Sassuolo et Bologne sont une sonnette d’alarme ? "Je dirais que les trois quarts de notre noyau sont engagés dans différents matchs avec leurs équipes nationales, cela veut dire à quel point notre noyau est fort. Le fait d’avoir fait match nul face à Bologne et d’avoir perdu de Sassuolo fait partie de notre parcours, qui est que nous sommes dans une phase intermédiaire de la saison et du championnat. "Je ne peux qu’être extrêmement fier d’un côté, et d’un autre que très satisfait du travail réalisé par Simone Inzaghi qui démontre, par les faits et avec des résultats et des prestations, que c’est un entraineur brave et préparé. Ces résultats ne sont pas des blessures de parcours, mais ils font parties d’un parcours qui nous voit engagé sur tellement de fronts. Il faut faire preuve de patience et comprendre les erreurs qui ont été commise dans ces matchs afin de nous améliorer." Captain Argentina Les déclarations de Roberto Baggio sur Lautaro? "C’est une icône du football mondial, un fin connaisseur, il n’y a pas meilleur référence. Je retiens qu’il a tenu des paroles sacro-saintes : Lautaro est un jeune qui a tellement muri, il s’est affirmé aujourd’hui comme un Champion, il y a une si grande satisfaction pour tout ce qu’il est parvenu à faire jusqu’à présent et pour tout ce qu’il fera. Aujourd’hui, c’est notre Capitaine et j’espère tellement qu’il pourra continuer à représenter la Bandiera de l’Inter pour de très nombreuses années : Il a toute les qualités pour rester dans nos mémoires et pour offrir, les plus grandes satisfactions, à chacun d’entre nous." "Il y a une très grande volonté, de notre part, d’investir sur lui car il représente le présent et le futur de l’Inter : Nous ferons tout pour parvenir à trouver un point d’entente dans le respect également des autres joueurs qui réalisent également et amplement leur devoir." Présent à la Cérémonie du Golden Boy 2023, Beppe Marotta s’est également livré à Tuttosport Varese "Le Varese d’Antan était le premier qui représentait le plus la Discipline Sportive, avec une vision, une stratégie, l’ingénieur Borghi avait l’œil et avait proposé un modèle organisé avant-gardiste pour l’époque : Se fier à ses Managers: Il y avait le concepts de déléguer du travail aux Managers les plus compétents. Le Manager choisi avait le profil adapté pour le football, pour le basket, pour le cyclisme en apportant la valeur de la Compétence. Ce Varese était un melting-pot de tout cet ensemble de chose, mais la Compétence était l’élément fondamental." A 26 ans, j’en suis devenu le Président dans une période où avec le départ des mécénats, le soutien fut moins présent dans des places telles que Varese, Novara et Como. Nous avions alors dû nous adapter en créant un nouveau modèle de soutenabilité qui, à présent, est employé et utilisé par tous, en cherchant à valoriser nos atouts les plus importants comme les secteurs de la Jeunesse. C’est ainsi que Varese est devenu une équipe formatrice qui revendait ensuite les jeunes aux grandes équipes." Monza "C’était une période très importante en ce sens on les contre-rachats n’existaient pas encore dans le Calcio. J’étais allé à la Juve, place Crime et j’avais vendu la moitié de la carte de Casiraghi au Président Boniperti. J’étais jeune, j’avais 30 ans et je me suis retrouvé en difficulté: "Je suis allé voir le Président et je lui ai dit : Dites-vous le prix car je n’arrive pas à le dire (il sourit)." Et il avait été très bien, très bon, car il s’agissait d’un milliard et demi de lire. J’ai revendu l’autre moitié lorsque Montezemolo arrivait." Suning “Meno male que les propriétés étrangères sont arrivées car je ne sais pas où notre Calcio aurait terminé sans elles. Notre propriété chinoise a injecté de très grandissimes investissements, quasiment près d’un milliard d’euros. Nous avons dû aiguiser nos esprits, faire preuve de vertu, car même si nous ne faisons pas des investissement importants, notre Actionnaire veille toujours à ce que nous mettions en place une équipe des plus compétitives et l’année dernière, nous avons atteint la Finale de la Ligue des Champions." "L’avantage de cette propriété chinoise est qu’elle nous permet de travailler en toute sérénité sans pression : Steven Zhang est un jeune Président âgé de 30 ans qui est très serein et qui ne te transmet aucune pression." ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Carlos Augusto s’est livré à DAZN sur son arrivée dans le Club Vice-Champion d’Europe à l’occasion du programme 1vs1: "L’Inter a comme objectif de toujours gagner dans toutes les compétitions, nous tenons à la Seconde Etoile, mais aussi à la Coupe d’Italie et à arriver le plus loin possible en Ligue des Champions : C’est une équipe comme ça, nous voulons tout gagner, tout le temps." "Nous avons bien débuté, le Groupe et le Staff m’ont tant aidé afin de m’habituer à ce nouvel environnement: Ils l’ont fait de la meilleure des façons et je suis très heureux de venir en aide à mes équipiers : Nous sommes en Famille où tout le monde s’entraide et c’est pour cela que tout va pour le mieux." Pourquoi avoir justement choisi l’Inter ? "Parce que c’est une grande équipe, quand j’étais au Brésil je regardais toujours ses matchs, elle jouait la Ligue des Champions comme je le voulais et je pense aussi, pour cette raison, que j’ai fait le bon choix." Qu’avez-vous ressenti lors de votre première entrée au Giuseppe Meazza avec ce maillot ? "C’était incroyable, j’étais sur le banc à regarder les Tifosi, tout était extraordinaire, je crois que ce sera une rencontre dont je me rappellerai toujours." Avec qui es-tu le plus lié ? "Je parle énormément avec Frattesi, nous avons déjà joué ensemble à Monza, quand la nouvelle est sortie sur mon arrivée à l’Inter, il m’a écrit immédiatement! Je parle surtout avec lui, mais j’aime aussi le faire avec tout le monde, j’aime me sentir bien avec tout le monde." Quel est ton rapport avec Inzaghi et que te demande-t ’il ? "Inzaghi est un entraineur qui t’aide à grandir, il est toujours très proche de toi, il te parle toujours, il te soutient et il tient le groupe toujours uni : Il m’a énormément aidé en ce début de saison : Je cherche toujours à m’améliorer et il est toujours là, à m’aider : Avec lui, je sais que je peux grandir, il m’a demandé immédiatement de m’attaquer à l’aspect pratique du jeu de l’Inter, dans la ligne de cinq, pour que je comprenne certaines choses." A quel point les choses ont changé depuis votre arrivé à Milan ? "Lorsque j’ai signé à l’Inter, j’étais à la maison avec mon père et je pensais à la rapidité dont les choses s’étaient passées, c’était un plaisir : C’était aussi mon rêve de jouer dans une grande équipe, mon père était très content, tout comme moi je l’étais, j’espère continuer sur cette voie et à bien faire." Comment a évolué ta carrière avec ce poste ? "Jusqu’à mes 15 ans, j’étais un ailier offensif, ensuite un attaquant et par la suite un latéral. Lorsque j’ai débuté en équipe première, j’ai dû m’adapter à jouer en défense centrale, vraiment, avant de repartir sur l’aile. Au Brésil, on disait que j’étais un latéral défensif, ensuite, lorsque je suis arrivé en Italie et tout a changé. A présent on parle de moi comme d’un latéral offensif." "Je dirais que j’aime bien alterner les deux phases, cela me permet d’être encore plus heureux: Je suis un ailier au milieu du terrain, mais je suis capable d’évoluer à d’autres postes pour donner un coup de main à l’équipe." "J’ai toujours rêvé d’être footballeur, je n’étais pas bon à l’école et mon père m’a alors inscrit dans une école de football, et à 11 ans je suis allé au Corinthians. La première fois que j’avais fréquenté cette école de football j’avais voulu arrêter, mais mon père m’avait dit que si je ne devais pas professionnel, que j’irais travailler avec lui, il est comptable et ma mère enseignante. Je pense que j’ai très bien fait de rejoindre l’Italie et Monza car cela m’a appris à grandir et à comprendre le Calcio : L’Inter est aussi le choix juste." Qui t’as découvert ? "J’ai été repéré par Filippo Antonelli, le Directeur de Monza. Ensuite, j’ai parlé avec Galliani, je leur en suis reconnaissant car ils m’ont tant aidé: Je suis arrivé l’année du Covid, j’étais seul, mes parents ne pouvaient pas venir en Italie et Galliani a été comme un père pour moi, je lui ai dit. Berlusconi était aussi un Président très proche de l’équipe, il aimait le football. Je suis très triste qu’il n’est plus là, j’ai fait des photos avec lui et c’était un plaisir de l’avoir connu. Lorsqu’il me voyait, il me disait toujours : "C’est un ailier qui sait faire toute l’aile, c’est notre locomotive" : Il disait toujours ça, c’était vraiment une personne extraordinaire." Sais-tu qui est Roberto Carlos ? "C’était un joueur dévastant, j’étais très jeune lorsqu’il était venu jouer ici, je regardais Marcelo. Mais j’ai regardé aussi tous les Brésiliens qui ont joué ici à l’Inter : Roberto Carlos, Adriano, ils sont nombreux : Julio Cesar, Lucio aussi…" La concurrence avec Dimarco ? "Je pense qu’elle est bonne pour nous deux, il réalise d’excellentes prestations: C’est un grand joueur, nous parlons toujours ensemble. Je veux aider l’équipe, être prêt à donner le maximum et lorsque je reçois une opportunité, je dois en profiter." Questions courtes et réponse courtes Ton plus mauvais souvenir... "Celui de ne pas avoir su monter en Serie A lorsque de ma première année avec Monza. Mon plus beau souvenir est mon premier match au Meazza avec le maillot de l’Inter." De qui aimerais-tu recevoir le maillot ? "Neymar, il est brésilien." Le Meilleur ailier actuellement... "Dimarco qui réalise d’excellentes prestations." L’entraineur qui a marque un tournant... "Palladino car il m’a laissé la liberté de choisir mon propre poste et d’attaquer, tout en devant être attentif lors des phases défensives." Où aimerais-tu jouer ? "J’aimerai jouer au Bernabeu et je reste fier de mon tout premier match, disputé en équipe première, lorsque je vivais au Brésil." Loisirs... "Sur Playstation, j’aime aussi jouer à Call Of Duty." Italie ou Brésil ? "Entre les deux équipes nationales, je rêve de l’Auriverde". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Forte d'un remarquable sérieux, l'Inter s'impose à Cagliari (0-2)
Aurios-Inter a posté un article dans Serie A
Après une entame de championnat réussie face à Monza à Giuseppe Meazza, l'Inter se déplaçait en Sardaigne pour y affronter le Cagliari de Claudio Ranieri, fraîchement promu, dans le cadre de la 2ème journée de Serie A. Et c'est avec une grande maîtrise que les hommes de Simone Inzaghi ont triomphé. C'est avec le même onze que celui aligné face à Monza que l'Inter se présente à la Sardegna Arena : Sommer entre les poteaux, Bastoni - De-Vrij - Darmian en défense centrale, le néerlandais palliant l'absence d'Acerbi, l'habituel milieu Mkhitaryan - Çalhanoğlu - Barella, avec Dimarco et Dumfries sur les côtés, et le tandem Lautaro - Thuram devant. Et dès le coup d'envoi, les Sardes annoncent la couleur : bloc mi-haut et remarquable combativité. Mais ce scénario ne durera hélas guère longtemps pour Cagliari. L'Inter, faisant preuve d'une telle sérénité à la relance, reprend progressivement le dessus sur la fougue Sarde. Elle maîtrise parfaitement le tempo du match, et reste audacieuse face au but, à l'image de la volée manquée de Barella à la 5'. Elle se projette superbement, bien aidée par les décrochages successifs de Thuram. L'Inter ne tarde alors pas à élever l'intensité, avec notamment une reprise de Lautaro échouant sur le poteau gauche du portier de Cagliari. L'Inter ne laisse que des miettes aux attaquants adverses : une tête manquée de Pavoletti, ainsi qu'une frappe totalement dévissée de Nandez. Cette domination des Nerazzurri se concrétise à la 21' : Thuram récupère le ballon suite à une passe imprécise, se décale côté droit, et sert Dumfries : celui-ci finit d'une frappe imparable, croisée et dans le petit filet. L'Inter mène 1 but à 0 et vient de se faciliter grandement la tâche. Cependant, l'Inter est coupable d'une dangereuse inattention, laissant Nandez filer au but. Il faut une somptueuse intervention de Çalhanoğlu pour interrompre le mouvement Sarde et leur refuser l'égalisation. Ceci fait, l'Inter remet le pied sur l'accélérateur : projections, combinaisons et contre pressing haut permettent à l'Inter de se mettre à l'abri. Joli une-deux côté gauche entre Dimarco et Thuram, l'Italien percute puis sert Lautaro : notre capitaine se saisit du ballon, et d'un subtil crochet, vient éliminer son vis à vis. Dès lors, il n'a plus qu'à ajuster le portier adverse d'une frappe ras de terre (que le football est simple pour El Toro <3). L'Inter mène alors 2 buts à 0, et a fait le plus difficile. De l'autre côté, les Sardes voient leur capitaine Pavoletti sortir, remplacé par le dynamique Luvumbo. Ce dernier s'illustre dès lors par sa percussion et son imprévisibilité. L'Inter clôt alors tranquillement la 1ère mi-temps, forte d'un avantage de 2 buts. Au retour des vestiaires, la volonté Interiste est clairement établie : contrôler la fin de match et ne pas se mettre en danger. Thuram satisfait par sa capacité à faire jouer ses coéquipiers, grâce à une excellente qualité technique : ses contrôles sont fluides et ses passes bien senties. Au fil des minutes, le rythme ralentit : les Sardes, bien qu'ayant fait monter leur bloc, sont anesthésiés par la troublante maîtrise de l'Inter. Inzaghi effectue un triple changement à 20 minutes du terme de la rencontre : Dumfries, Dimarco et Barella cèdent respectivement leur place à Cuadrado, Augusto et Frattesi. Par ailleurs, l'ancien de Cagliari est applaudi à sa sortie par ses anciens supporters : une bien belle image. Mais les joueurs de Ranieri n'abandonnent pas : ils montent d'un cran en intensité et sont même proche d'obtenir un pénalty, par l'intermédiaire de Luvumbo. L'Inter doit son salut à un joli retour de Bastoni. Inzaghi effectue ensuite ses deux derniers changements : Arnautovic prend la place d'un très bon Thuram, tandis que Sensi remplace un Mkhitaryan moins en vue, souvent rattrapé par Çalhanoğlu, et victime d'un coup au genou. L'Inter termine son match tout en maîtrise, Çalhanoğlu heurtant le poteau droit en conclusion d'un beau mouvement collectif. Mais Luvumbo met encore la pagaille dans la défense : son centre, dévié, arrive dans les pieds de Azzi. Celui ci contraint Sommer, jusque là assez tranquille, à la parade. Les esprits s'échauffent quelque peu, puis l'arbitre, M. Michael Fabbri, siffle la fin du rendez-vous au terme des 5 minutes de temps additionnel. Match extrêmement sérieux de la part de nos Nerazzurri, ayant su se mettre à l'abri tôt pour confirmer une deuxième victoire de rang, ainsi qu'un second clean-sheet. Rendez-vous dimanche prochain, 18h30 à Meazza pour le premier test de la saison, et la réception de la Fiorentina d'Italiano. Tableau Récapitulatif Résumé Cagliari 0-2 Inter Buteur(s): 21' Dumfries (I), 30' Lautaro (I) Cagliari (4-2-3-1): 1 Radunovic; 27 Augello, 33 Obert, 4 Dossena, 28 Zappa (85' 61 Shomurodov); 25 Sulemana (85' 14 Deiola), 29 Makoumbou; 21 Jankto (60' 37 Azzi), 8 Nandez, 19 Oristanio (45' 99 Di Pardo); 30 Pavoletti (35' 77 Luvumbo) Banc: 22 Scuffet, 10 Viola, 14 Deiola, 39 Kourfalidis, 18 Aresti, 37 Azzi, 16 Prati, 77 Luvumbo, 3 Goldaniga, 61 Shomurodov, 99 Di Pardo Entraîneur: Claudio Ranieri Inter (3-5-2): 1 Sommer; 95 Bastoni, 6 De Vrij, 36 Darmian; 32 Dimarco (71' 30 Augusto), 22 Mkhitaryan (82' 5 Sensi), 20 Çalhanoğlu, 23 Barella (71' 16 Frattesi), 2 Dumfries (71' 7 Cuadrado); 9 Thuram (77' 8 Arnautovic), 10 Lautaro Banc: 8 Arnautovic, 31 Bisseck, 34 Agoumé, 7 Cuadrado, 21 Asllani, 49 Sarr, 50 Stankovic, 5 Sensi, 48 Guercio, 12 Di Gennaro, 77 Audero, 30 Augusto, 16 Frattesi Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Michaele Fabbri Averti(s): 81' 22 Mkhitaryan (I), 81' 77 Luvumbo (C) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter- 6 commentaires
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Retour à la maison pour la première fois depuis 84 jours. Retour des regards qui se croisent entre les joueurs. Retour à la célébration. Rien n'a changé. Amour, chaleur, passion, énergie: la saison de l'Inter débute avec deux buts, trois points, de nombreux nouveaux visages, quelques vielles connaissance, des accolades, un doublé pour notre capitaine et l'indéfectible soutien des fans qui ont encore une fois embrasé Giuseppe Meazza. Monza est vaincu 2 buts à 0, Lautaro trouvant le chemin des filets lors de chaque périodes. Une nuit que nous attendions, une nuit qui a vu 6 joueurs faires leurs débuts en compétition officielle (Sommer, Thuram, Carlos Augusto, Cuadrado, Frattesi, Bisseck) et Arnautovic faire son retour sur le terrain pour les Nerazzurri 4865 jours après sa dernière apparition lors d'Inter vs Atalanta en 2010. Du beau football présenté malgré la chaleur étouffante. C'est une Inter à laquelle nous sommes habitués sous les ordres de Coach Inzaghi que nous avons vu. Une qui attaque avec de nombreux hommes, qui se créé une pléthore d'opportunités, qui divertit. Une bien belle démonstration noire et bleu, un bien beau départ. Deux nouveaux visages faisaient partis du onze sélectionné par le coach: Sommer dans les buts et Thuram en attaque, le numéro neuf sur le dos. En face, des visages familiers avec D'Ambrosio et Gagliardini chaleureusement accueillis par le public avant le coup d'envoi. Sans oublier Valentin Carboni, entré en fin de rencontre. L'Inter voulait une chose ce soir: les trois points pour commencer la campagne de Serie A de la meilleure façon possible. Une minute de silence rendant hommage à Carlo Mazzone, décédé plus tôt dans la journée, et puis la balle roule enfin. Et elle ne s'arrête plus, car l'Inter démarre pied au plancher. Dumfries se montre particulièrement impressionnant dans la première période, délivrant la première passe décisive de la saison dès la huitième minute de jeu. Le touché de Barella pour trouver Denzel frôle la perfection, de même que la course de Captain Lautaro pour réceptionner et conclure le centre du Hollandais. Sommer n'est pas vraiment mis à contribution, l'Inter manageant leur avance avec maîtrise. Un Lautaro inspiré, Dimarco menaçant Monza et Di Gregorio de sa pâte gauche... Les applaudissement arrivent naturellement au regard de la force et la lucidité avec laquelle l'Inter pousse, récupérant de précieux ballons et mettant Monza en grande difficulté. L'Inter électrique en fin de première mi-temps laisse place à un jeu plus raisonné et maîtrisé en deuxième période. La chaleur suffocante, l'entraînement intense: les jambes sont lourdes. Mais rien de plus normal, c'est la reprise. Monza tente de réagir mais se fait bien vite aplatir. Calhanoglu est monumental quand d'une glissade il ferme la porte au tir de Kiriakopoulos. Pas de panique. A l'heure de jeu, premiers changements d'Inzaghi : Carlos Augusto et Cuadrado font leurs débuts et Arnautovic fait son retour, chaleureusement accueilli par un public qui se souvient. Et c'est l'Autrichien qui offre le but du break à Lautaro après un double tour de passe-passe sur la gauche et un centre impécable. Lautaro conclu, Marko rugit et les jeux sont fait. Coup de massue décisif pour Monza, dépassé par la fraîcheur des nouveaux joueurs de l'Inter. Première apparition également pour Frattesi et Bisseck dans une fin de match fermée où l'Inter continue de pousser. Carlos Augusto a failli marquer deux fois, Arnautovic a rendu le stade fou avec une talonade et quelques actions dangereuses. Magnifique, jusqu'au coup de sifflet final qui met le point d'exclamation à la première victoire de la saison. Le vieux Arnau séduit comme un jeunot et notre Lautaro va finir par... nous rendre chèvre. Jusqu'ici tout va bien. Forza Inter INTER (3-5-2) : 1 Sommer; 36 Darmian (31 Bisseck 84'), 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries (7 Cuadrado 62'), 23 Barella, 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (30 Carlos Augusto 62'); 9 Thuram (8 Arnautovic 62'), 10 Lautaro (16 Frattesi 80') Banc : 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 11 Correa, 21 Asllani, 44 Stabile, 50 A. Stankovic Coach : Simone Inzaghi. MONZA (3-4-2-1) : 16 Di Gregorio; 33 D'Ambrosio (13 Pedro Pereira 71'), 22 Pablo Mari, 5 Caldirola; 84 Ciurria, 6 Gagliardini (7 Machin 71'), 32 Pessina, 77 Kyriakoupoulos (21 V. Carboni 86'); 28 Colpani (19 Birindelli 61'), 10 Caprari; 24 Maric (47 Mota Carvalho 61') Banc : 23 Sorrentino, 66 Gori, 11 F. Carboni, 37 Petagna, 38 Bondo, 44 A. Carboni, 46 Cittadini, 80 Vignato Coach : Raffaele Palladino. Buteur : Lautaro Martinez 8' et 76' Avertis: Lautaro (I), Caldirola (M) ©Internazionale.fr, via inter.it - Traduction Trent_FCI
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Lazar Samardzic à l'Inter : Quel impact sur le bilan ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Après plusieurs ventes, l’Inter a réussi à ramener le joueur Lazar Samardzic complétant ainsi le milieu de terrain Nerazzurro que disposera Simone Inzaghi la saison prochaine. Rappelons que le premier match aura lieu le 19 août à domicile face Monza. Samardzic a réalisé une bonne saison, sa deuxième avec le maillot de l’Udinese, en jouant 39 matches entre Serie A et Coupe d’Italie, comptabilisant 5 buts et 4 passes décisives. C’est la deuxième signature majeure au milieu de terrain du club qui a vu le départ de Brozovic et Roberto Gagliardini remplacés par Davide Frattesi qui remplace le croate et, en attendant de passer la visite médicale et de signer son contrat, Samardzic qui viendra remplacer Gagliardini. Comme lors de l’opération Frattesi, l’Inter a de nouveau mis en place sa bonne vieille recette avec l’Udinese, à savoir, un prêt onéreux avec obligation d’achat. Si Samuele Mulattieri est allé à Sassuolo, c’est Giovanni Fabbian qui cette fois-ci fait le chemin inverse en allant au Frioul. Prêté à la Reggina en Serie B la saison dernière il a marqué 8 buts et 1 passe décisive en 36 matches disputés. Selon des informations parues dans la presse italienne, le deal Samardzic a coûté à l'Inter : 20 millions d'euros entre un prêt onéreux et une obligation d’achat, Auxquels il faut ajouter la valorisation du prix de 4 millions de Fabbian. Si ces chiffres se confirmaient, dans quelle mesure l'achat du Serbe affecterait-il le bilan de 23/24 ? S'agissant d'une opération de prêt avec obligation de rachat, comme cela arrive souvent, le club acquéreur comptabilise immédiatement l'opération dans ses comptes à partir du bilan en cours, tandis que le club vendeur attend que le rachat devienne effectif et comptabilise donc la vente à partir du bilan suivant, celui relatif à la saison 2024/25 en l'occurrence. Avec les chiffres rapportés ci-dessus, l'Inter inscrira Samardzic dans le budget 2023/24, en comptant l'opération Fabbian déliée au niveau comptable de celle du Serbe, une commission d'amortissement pour le prix à payer de 4 millions d’euros, vu le contrat de 5 ans que l'ancien de l'Udinese s'apprête à signer (jusqu'au 30 juin 2028). A ce chiffre, il faut ajouter le salaire brut du joueur. Ici, les rumeurs parlent de 1,5 million d'euros par saison plus bonus. Si tel est le cas pour la première saison, profitant de l’abattement fiscal prévu par le Décret Croissance, le salaire brut de Samardzic pèserait dans les caisses des Nerazzurri pour la saison 23/24 au total que 1,965 millions d'euros. Au total donc, le coût que les Nerazzurri devront budgétiser pour la saison 2023/24 s'élèvera à 5,965 millions pour Lazar Samardzic. La vente de Fabbian Pour conclure cette transaction avec l’Udinese, comme mentionné, la vente du milieu de terrain né en 2003, Fabbian, a été importante. Lui allant dans le Frioul il jouera désormais sous les ordres de Sottil. Issu de la primera et revenant d’un prêt concluant en Série B à la Reggina, l’Inter en registre une belle plus-value avec son transfert. En effet, la valeur comptable de Fabbian était pratiquement inscrite au budget pour un résultat proche de zéro. Donc avec le transfert à l’Udinese pour 4 millions, le chiffre peut être intégralement inscrit au bilan Inter 2023/24 comme plus-value nette. Le poids de l'opération pour la première saison ne concernera donc que l'embauche de Samardzic, à partir du moment où la quote-part d'amortissement sera couverte par la plus-value réalisée avec la vente de Fabbian. ®Jean Idriss – Internazionale.fr- 14 commentaires
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C'est l'information de la journée relayée par Fcinter1908.it: "Nicolò Barella portera le brassard de capitaine pour la première fois aujourd'hui contre Salzbourg, en raison de l'indisponibilité de Lautaro." "Après le départ de Samir Handanovic, le brassard de capitaine se retrouve autour du bras de Lautaro Martinez. L'attaquant argentin ne sera cependant pas à la disposition d'Inzaghi aujourd'hui pour le match amical des Nerazzurri contre Salzbourg en raison d'une surcharge de travail, ce qui ne l'empêchera toutefois pas d'être présent pour l'ouverture du championnat contre Monza." "Ce soir, contre les Autrichiens, Nicolò Barella portera le brassard de capitaine pour la première fois dès le coup d'envoi." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Officiel: Francesco Acerbi s'est blessé!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
A travers un communiqué sur son site officiel, l'Inter a annoncé la blessure de notre pilier défensif! "Francesco Acerbi s’est soumis ce matin à des examens instrumentaux à l'Istituto Clinico Humanitas di Rozzano. Le défenseur est victime de douleurs dans la zone du soléaire de la jambe droite. Son état sera réévalué dans les prochains jours" La présence de notre Francky pour la réception de Monza est considéré comme "douteuse". ®Antony Gilles - Internazionale.fr -
En effet, après le recrutement de Roberto Gagliardini, Gianluca Di Marzio nous informe que notre Danilone va rejoindre le club d’Adriano Galliani Si celui-ci devrait se voir offrir une standing ovation de la part du Giuseppe Meazza, le plus surprenant reste la déclaration de Raffaele Palladino sur son nouveau milieu de terrain: "Il est déjà super motivé, j’ai dû le freiner car il va déjà à 2.000 km/h, je suis heureux que son arrivée soit accompagné d'un peu de méfiance, il fera réfléchir beaucoup de gens. Avant son arrivée, j'ai voulu le connaître et il m'a plu. C'est ce que je fais toujours, pour m'assurer que les nouveaux sont les hommes qu'il faut pour le groupe." Deux options : Soit le Milieu de terrain de Monza est très lent, soit il y a erreur sur la marchandise ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Son transfert officialisé l’international italien, Davide Frattesi, s’est livré en exclusivité sur le canal YouTube Nerazzurro d'Inter TV Pourquoi avoir choisi l’Inter ? "Il suffit juste de voir le palmarès pour comprendre l’importance de l’Inter. Mais il y a déjà un an et demi, lorsque j’ai joué au Meazza face à l’Inter, je suis resté marqué par les Tifosi. Et vu son importance, je n’ai pas pris beaucoup de temps pour y réfléchir lorsque cette opportunité s’est présentée." A quel type d’expérience t’attends-tu et que veux-tu apporter à l’Inter ? "J’espère remporter quelques titres par-dessus tout, Et je voudrais donner clairement, et en premier lieu, de l'engagement, du sérieux et, je l'espère, atteindre les objectifs." Grâce à l‘équipe nationale, tu connais aussi déjà quelques équipiers... "Oui, ce sont tous des braves garçons et je connais très bien Bastoni car nous avons traversé ensemble les différentes classes de jeune de l’équipe nationale, il est né en 1999, comme moi: Je suis impatient de devenir aussi son équipier en club." Vous avez été complimenté par Giuseppe Marotta après votre match au Giuseppe Meazza... "C’était marquant, lorsqu’un Dirigeant de ce calibre te fait un compliment cela démontre à quel point c’est une reconnaissance importante. Cela a aussi pesé dans mon choix." Ton arrivée renforce un milieu de terrain de qualité, est-ce un motif pour t'améliorer ? "Oui, je vais évoluer avec des Champions, je compte leur voler des choses à l’entrainement, de prendre tout ce qu’il y a de positif, et le reproposer sur le terrain : Ce sera un honneur et un plaisir pour moi." Ton premier match aura lieu face à ton ancienne équipe, Monza... "C’est une équipe où j’y ai laissé mon cœur, je me suis lié d’amitié avec tout le monde, ce sera un début chargé d’une double émotion." Quel effet te fait la chaude Tifoserie du Meazza ? "En tant qu’adversaire, c’est difficile, en tant que joueur de l’Inter, cela te motive encore plus, je suis impatient de marquer et d’exulter sous la Curva." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Ce mercredi 5 juillet 2023 a eu lieu le tirage au sort de la nouvelle saison de Serie A qui verra le Napoli défendre son titre. L'Inter figure, bien sur, dans les favorites pour le détroner. La saison débutera par la réception de Monza le week-end du 20 août 2023 Le premier Derby sera le Derby Della Madonnina qui se tiendra le week-end du 17 septembre avec la réception du Milan Ac L'Inter jouera ensuite consécutivement les week-end du 26 novembre et du 3 décembre la Juventus et le Napoli lors de la phase aller. Pour la phase retour, l'Inter connaitra une période hivernale de feu avec la réception de l'Atalanta le week-end du 21, le déplacement à Florence le week-end du 28 janvier, suvit de la réception de la Juventus le week-end du 4 février et un déplacement à la Roma le week-end du 11 février. Le week-end du 21 avril 2024 sera le jour du Derby Della Madonnina retour sur le terrain du Milan La fin de saison est marquée par la réception de la Lazio lors de l'avant dernière journée de Serie A, le week-end du 19 mai. L'Inter clôturera sa saison, sur le terrain de l'Hellas Vérone le week-end du 26 mai Les Lives sont disponible ici: https://www.internazionale.fr/forums/forum/423-serie-a-2023-2024/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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L’Inter envoie balader Manchester United et le Real Madrid
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Federico Dimarco a réalisé une saison de rêve, en faisant oublier Ivan Perisic sur l’aile gauche Selon l’Independent "la grande saison de Federico Dimarco n’est pas passé inaperçue à l’étranger et la Direction de l’Inter, qui a fait signer une prolongation à Federico jusq’au 30 juin 2026 il y a déjà un an et demi, n’ aucune intention de le laisser partir." Ce haut rendement a rebattu les cartes pour la Gazzetta Dello Sport: Gosens est très proche de retourner en Bundesliga, pour le remplacer à ce poste, le joueur qui a les préférences se nomme Carlos Augusto de Monza. Non Si Tocca A FEDE! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Internazionale.fr rend hommage à Silvio Berlusconi
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En effet, c'est la triste nouvelle de la journée: Silvio Berlusconi est décédé.... Détenteur d'un palmarès inégalable en Italie: Il sera, à tout jamais, un Président qui aura marqué à la fois le Milan Ac et Monza, en plus d'être une personnalité des plus exubérantes. Internazionale.fr présente ses plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches, à l'Ac Milan et à Monza: Repose en paix Silvio! ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 10 commentaires
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Inter Campus : Visite de Carlotta Moratti au centre de Monza
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Carlotta Moratti, présidente d' Inter Campus, a visité le centre de Monza. Voici ses mots. "Nous sommes très heureux de notre collaboration avec le Centre Maria Letizia Verga et nous sommes très impressionnés par leur compétence et la grande affection que les opérateurs mettent à relever les défis au quotidien. Au Centre, il y a vraiment une atmosphère familiale et une sérénité dans la voie de guérison que chacun, médecins, infirmières, enseignants, parents, bénévoles, poursuit avec les enfants, voie qui inclut aussi le moment du jeu, du sport comme outil de guérison et nous en sommes sincèrement honorés." Les mots de Carlotta Moratti résument sa satisfaction face au projet dédié aux enfants et aux jeunes du 'Centro Maria Letizia Verga', actif depuis 2012. Leur programme les implique dans des activités de football qui se déroulent chaque semaine dans le gymnase, dans les chambres et même dans le centre de transplantation de l'établissement de Monza. Une contribution précieuse qui amène les jeunes patients à pratiquer une activité sportive, utile sur le plan psychologique comme outil de récréation et de socialisation et sur le plan physique pour renforcer le corps des enfants subissant des traitements médicaux importants. La visite spéciale du Centre a été l'occasion de retracer ensemble l'histoire de ce lieu d'excellence, né il y a 43 ans grâce à l'engagement de Giovanni Verga, un père qui a perdu la petite Maria Letizia et à qui il a dédié la structure et l'énorme travail menés depuis pour enrichir la recherche, essentielle pour lutter contre la leucémie et franchir des étapes importantes dans la guérison. Aujourd'hui, 85 % des enfants touchés par ce type de cancer sont capables de récupérer et de mener une vie normale. Traduction alex_j via FCInterNews.-
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Fabio Costantino, éditorialiste à FCInterNews, a rédigé un bel article suite à la victoire écrasante, ou presque, de l'Inter face aux cousins dans le premier round de l'Euroderby. Bonne lecture. Tout d'abord, calmons-nous et calmez-vous ! Comme face au Benfica la première mi-temps, d'un match qui s'étale sur 6 jours et qui dure 180 minutes, vient de se terminer. Il reste encore plus de 90 minutes à jouer et le Milan, ayant échappé au danger de perdre avec un score beaucoup plus lourd que 0-2, a des aspirations légitimes de remuntada. En attendant, cependant, s'ils veulent réaliser l'exploit mardi prochain, ils devront vaincre une équipe forte, très forte, physiquement et mentalement en bonne santé en ce moment. Inter-Monza semble très, très loin dans le temps, depuis cette gifle les Nerazzurri, touchant alors le fond, ont effectué une course sensationnelle pour d'un, sortir du puits et de deux, revoir la lumière. Entre la Ligue des Champions, le championnat et la Coupe d'Italie, à partir du 0-3 face à Empoli, six victoires consécutives sont arrivées, avec 17 buts marqués et un seul encaissé, contre la Lazio. Et si les chiffres ne suffisaient pas, allons faire un bilan de la première mi-temps du derby dans un décor majoritairement rouge et noir. Domination absolue et totale, deux buts, un poteau, quelques arrêts décisifs de Maignan et un penalty d'abord accordé par l'arbitre puis, à juste titre, refusé par la VAR. Qui n'a pas pensé au récent 0-6 au Hellas, emporté par un optimisme fou, lève la main ! Et c'est là qu'émerge le vrai, seul regret de la soirée Ne pas avoir gagné avec un résultat plus lourd, compte tenu également des occasions que nous avons eues en seconde période qui étaient plus nombreuses que le Milan lui-même. Ironiquement, selon Pioli, le Milan a mieux joué en seconde période mais ils n'ont pu produire qu'un tir imprécis de Messias et un pied droit de Tonali qui a ébréché le poteau. Notre Onana inactif n'a jamais été le protagoniste de véritables arrêts. Ah, encore un regret : l'assidu Martinez Munuera, bon à corriger Gil Manzano sur le penalty accordé à Lautaro, pourquoi a-t-il laissé filer le coup de poing de Bastoni à Krunic en pleine surface de réparation, carton rouge et penalty réglementaire ? Geste non violent mais punissable malgré tout. Consolons nous : nous n'avons même pas laissé à nos cousins la satisfaction de se plaindre de l'arbitrage. Au contraire, Pioli a eu le courage de le faire. Mais à juste titre, comme il le dit : le gagnant fait la fête, le perdant explique... Dirigez-vous maintenant vers Sassuolo, qui en termes de potentiel offensif est supérieur même au Milan, démontré sur le terrain et pas en théorie. Un excellent coup de cœur en vue du match retour au Meazza. Le dossier n'a pas encore été archivé, il doit être laissé là sur le bureau en attendant d'être repris dans cinq jours et bouclé définitivement. Il reste un combat à mener, comme l'a dit Inzaghi, voyons qui a le courage de le mettre dehors maintenant, un énorme effort est encore nécessaire pour couronner le rêve d'une finale de la Ligue des Champions. Mais si l'Inter, qui se présentera face aux Rossoneri, sera la même qu'hier soir, on pourra dormir tranquille. Traduction alex_j via FCInterNews. Texte de Fabio Constantino.
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Et de quatre. L'Inter ramène les trois points de l'Olimpico et continue sur sa lancée positive en championnat. Elle se présente donc de son mieux lors du grand rendez-vous européen de Mercredi. Voici les mots de Simone Inzaghi lâchés aux micros de DAZN. Une soirée avec une grande Inter qui a marqué le match avec patience et l'a clôturé au meilleur moment contre la Roma. "Absolument oui. On s'attendait à un match très difficile contre une équipe qui encaisse très peu à domicile. Les garçons doivent être embrassés un par un pour ce qu'ils font depuis le 1er avril, celui qui joue, qui prend le relais et qui ne peut pas aller sur le terrain. Nous sommes l'Inter, nous faisons un énorme effort pour jouer toutes les compétitions jusqu'au bout. Nous voulons jouer les finales que nous obtenons nous-mêmes avec beaucoup d'enthousiasme." Qu'est-ce qui a changé après Monza ? "Cela a changé que maintenant j'ai la possibilité de choisir au milieu de terrain et en attaque, des rotations très importantes que je n'avais pas avant Janvier. En défense, j'ai des petits problèmes avec le cinquième que j'espère résoudre avec le retour de D'Ambrosio et Gosens. Alors je peux choisir." La Roma n'a pas construit de buts à partir de 12 corners, c'est une méthode pour l'entraîneur de se préparer aux duels. "Nous avons beaucoup travaillé sur cet aspect car au match aller, un coup franc à 10' de la fin nous avait coûté cher. Bien défendre face aux nombreux corners encaissés démontre la concentration mise pour gagner sur un terrain aussi difficile." Brozovic connaît une croissance exponentielle, partagez-vous ? "Oui. Du 1er octobre à fin janvier, je ne l'ai jamais eu, il a été absent pendant quatre mois comme Lukaku. Nous savons à quel point ils sont importants. Maintenant ils recommencent à faire ce qu'ils peuvent faire. J'espère qu'ils continueront comme ça, j'ai une grande foi." Dans votre esprit, faut-il diriger le match aller tout de suite ou voyez-vous l'enjeu sur les 180 minutes ? "C'est clair que c'est un défi sur les 180 minutes. On a joué beaucoup de matches comme celui-ci, il faut penser aux 180 minutes en sachant qu'il y aura des moments où on devra tous souffrir ensemble. Ce sera un derby ouvert, puis les bulletins de composition, tu sais très bien qu'un entraîneur peut avoir ses idées mais 72 heures après le match les joueurs peuvent te les faire changer." Vous avez parfois donné l'impression de gérer la charge de travail, le Napoli a-t-il eu une influence ? "Nous avons travaillé mais personne ne nous a donné la certitude d'atteindre la demi-finale de la Ligue des champions et la finale de la Coupe d'Italie. Pendant dix ans, j'ai eu la chance de travailler avec de grands professionnels qui m'aident en tout. Nous voulions arriver à le maximum en tout mais nous ne pouvions pas prévoir ces objectifs. Ensuite, j'ai la chance d'entraîner des joueurs avec un cœur énorme qui donnent toujours le meilleur d'eux-mêmes, malgré des moments où nous avons dû nous boucher les oreilles et nous retrouver à entendre des jugements plus positifs. Maintenant, nous allons jouer une demi-finale de la Ligue des champions avec beaucoup d'esprit." Traduction alex_j via FcInterNews.
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En effet, ce mercredi soir l’Inter se déplaçait sur le terrain de l’Hellas Vérone dans ce qui représentait l’un des matchs pièges de cette fin de championnat. Et le moins que l’on puisse dire c’est que l’équipe de Simone Inzaghi a pris le match par le bon bout : Pour le 100ème match de son entraineur, les Nerazzurri ont proposé un récital offensif avec un net 0-6 dont un fantastique chef d’œuvre d’Hakan Çalhanoğlu. Si Lorenzo Montipò aura longtemps repoussé l’échéance, il se verra trahi par son attaquant Adolfo Gaich à la 31ème minute auteur d’une très belle tête plongeante sur la tentative à ras de terre de Federico Dimarco. Et si le bijou de la soirée reste la mine de notre international turc (37'), il est bon de noter les doublés d’Edin Dzeko (38', 61') et de Lautaro Martinez (55',92') Et vu les performances de l’Ac Milan et de la Roma stoppés respectivement par les redoutables Cremonese et Monza, l’Inter pointe seule à la quatrième place avec 60 points à quelques jours de se déplacer à la Roma, tandis que le Milan recevra la Lazio et la Juventus l'Atalanta dans une 34ème journée pyrotechnique! Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Hellas Verona 0-6 Inter Buteur(s): 31' Gaich (Aut.), 37' Çalhanoğlu, 38', 61' Dzeko, 55', 92' Lautaro Martinez Hellas Vérone: 1 Montipò; 17 Ceccherini (82' 32 Cabal), 6 Hien (62' 42 Coppola), 23 Magnani; 5 Faraoni, 61 Tameze, 28 Abildgaard, 29 Depaoli; 7 Verdi (46' 33 Duda), 8 Lazovic (46' 3 Doig); 38 Gaich (69' 19 Djuric) Banc: 22 Berardi, 34 Perilli, 2 Zeefuik, 24 Terracciano, 25 Braaf, 26 Ngonge, 27 Dawidowicz, 30 Kallon, 77 Sulemana Kakari T1: Marco Zaffaroni Inter: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio (57' 12 Bellanova), 6 De Vrij, 15 Acerbi; 2 Dumfries (65' 46 Zanotti), 22 Mkhitaryan (65' 5 Gagliardini), 77 Brozovic (78' 14 Asllani), 20 Çalhanoğlu, 32 Dimarco (57' 36 Darmian); 9 Dzeko, 10 Lautaro Martinez Banc: 21 Cordaz, 24 Onana, 11 Correa, 23 Barella, 45 Carboni, 47 Fontanarosa, 90 Lukaku, 95 Bastoni T1: Simone Inzaghi Arbitre: Orsato VAR: Marini Averti(s): / Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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"La Ligue des Champions se décide en mai." Pour paraphraser un vieux proverbe de Giovanni Trapattoni, la lutte pour la qualification à la prochaine Ligue des Champions va se jouer entre six équipes prêtes à concourir pour les trois places restantes. En ce qui concerne l'Inter, comme le souligne La Gazzetta dello Sport, concernant le double Derby électrisant en Demi-Finale et de la Coupe d'Italie, les Nerazzurri devront décrocher le laissez-passer pour la prochaine Ligue des Champions lors du dernier sprint de la saison. Les Nerazzurri auront trois matchs contre des concurrents directs pour pouvoir se qualifier, la Rosea les analyses un par un. Inter-Lazio - 32e journée Maurizio Sarri est deuxième, il n'a pas d'engagements en coupe il se concentre uniquement sur la Série A: Dimanche, il a l'occasion d'envoyer Simone Inzaghi à 10 points de retard et il peut aussi profiter de l'autre gros match entre la Roma et le Milan pour étendre son avance, à condition que la défaite face au Torino n'ai pas sapé le moral et cassé la dynamique des derniers matchs. L'Inter est énigmatique: Brillante en Coupe et démoralisante en Série A, elle a perdu ses trois derniers matches de Serie A à San Siro sans jamais marquer et la Lazio n'a encaissé aucun but lors de ses 5 derniers matches à l'extérieur. Les résultats récent donne l'avantage aux invités, ce qui peut aussi être très bien. Mais la fierté de l'Inter, polie par le succès en Demi-Finale de la Coupe contre la Juve, peut aussi rabattre les cartes sur la table. Simone Inzaghi voyage entre louanges et critiques son Inter doit retrouver un visage unique. Rome-Inter - 34e journée La Lazio et Vérone (à l'extérieur) ne sont pas de simples obstacles pour les Nerazzurri qui concluront un triptyque hebdomadaire à l'Olimpico. Si Inzaghi devra penser au Derby de la Ligue des Champions, Mourinho ne pourra pas ignorer Leverkusen, même s'il aura un jour de repos supplémentaire. De plus, la Roma sera à Monza, face à une équipe qui semble vouloir tout prendre sur son passage. Inter-Atalanta - 37e journée Le discours ci-dessus est valable mais uniquement pour l'Inter, qui saura s'il peut jouer pour la Ligue des Champions. En tout cas, sur le papier Inzaghi dispose du parcours le plus difficile. Il lui faudra un mois avec beaucoup de caractère. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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L’Inter s’offre l’Euro-Derby Della Madonnina!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, l’Inter, 13 ans après avoir réalisé son Historique Triplé, retrouve les demi-finales de la Ligue des Champions après avoir éliminé un Benfica Lisbonne qui n’a jamais déposé les armes, dans un Giuseppe Meazza en fusion! En effet, si les buts d’Antonio Silva à la 86’ et de Musa à la 95’, dans une certaine incompréhension générale, n’ont fait qu’enrichir le marquoir, l’Exploit revient bel et bien aux Hommes de Simone Inzaghi qui avait débuté la compétition dans le Groupe le plus relevé du Tournoi! Mais cette Inter a double-face, capable de perdre contre Monza et de s’offrir le Fc Barcelone, retrouve donc l’Elite via un premier chef d’œuvre signé Nicolò Barella qui trouve la lucarne de Vlachodimos peu avant le quart d’heure. Si Aursnes permet à Benfica d’espérer à la 38’ de jeu, l’Armada Albiceleste Nerazzurra mettre fin à tout suspense en seconde péride avec un but de Lautaro Martinez à la 65 : Via un très beau travail d'un Henrik Mkhitaryan lançant sur son aile gauche Federico Dimarco : L’ailier italien centrait ensuite pour l'Argentin qui surgit tel un Taureau dans l'arène pour conclure du pied droit face à Vlachodimos à l’entrée du petit rectangle. L’épisode paranormal de la soirée est signé Joaquin Correa : Suite à une très belle combinaison interiste orchestrée par Romelu Lukaku, l'Argentin s'infiltre dans la surface, crochète Otamendi, frappe du droit dans le petit filet opposé avec l'aide du montant de Vlachodimos à la 78’. L’Inter se prépare donc à débuter un mois de mai infernal mais également très électrisant avec, dans le coin de sa tête, l’envie de laver l’affront d’une élimination amère, lors du précédent Euro-Derby de 2003! Le Saviez-Vous ? Les supporters de Benfica ont fait HONTE à leur Club en lançant des fumigènes sur nos Tifosi! Tableau Récapitulatif Inter 3-3 Benfica Agreegate: (2-0) Buteur(s): 14' Barella (I), 38' Aursnes (B), 65' Lautaro Martinez (I), 78' Correa (I), 86' Antonio Silva (B), 95' Musa (B) Inter: 24 Onana; 36 Darmian, 15 Acerbi, 95 Bastoni (81' 33 D'Ambrosio) 2 Dumfries, 23 Barella (76' 20 Calhanoglu), 77 Brozovic, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (81' 8 Gosens); 9 Dzeko (76' 90 Lukaku), 10 Lautaro Martinez (76' 11 Correa) Banc: 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 12 Bellanova, 14 Asllani, 45 Carboni T1: Simone Inzaghi Benfica: 99 Vlachodimos; 2 Gilberto (46' 7 Neres), 66 António Silva, 30 Otamendi, 3 Grimaldo; 61 Florentino, 22 Chiquinho (81' 87 Joao Neves); 27 Rafa Silva (81' 33 Musa) 20 Joao Mario (89' 21 Schjelderup), 8 Aursnes; 88 Gonçalo Ramos Banc: 24 Soares, 75 André Gomes, 4 Verissimo, 15 Guedes, 19 Tengstedt, 21 Schjelderup, 23 Ristic, 73 N'Dour, 91 Morato T1: Roger Schmidt Arbitre: Del Cerro Grande VAR: Martinez Munuera Averti(s): Rafa Silva (B), Musa (B), David Neres (B) Expulsé(s) : / Affluence : 75.380 Tifosi Recette de la soirée : 8.200.528€ ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 14 commentaires
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Toujours présent à Disneyland Paris, il aime se faire plaisir : ) Stéphane Dalmat s’est livré sur la qualification historique de l’Inter en demi-finale de la Ligue des Champions https://www.instagram.com/p/CrQNG75IxIx/c/17989501075822044/ "Bonjour à tous Je suis encore à Disneyland, hier j’ai rencontré deux Tifosi interiste et nous avons un bar pour aller voir le match, je suis si fier de la qualification de l’Inter et ce sera contre le Milan, c’était mon rêve! J’ai regardé la rencontre avec énormément de joie, il y avait une ambiance extraordinaire au Giuseppe Meazza, des gens heureux, nous étions tous furieux après la partie de Monza et ici nous sommes tous fier que l’Inter soit en demi-finale contre le Milan, oui oui ! Pour la Vendetta de 2003 et j’espère que cette année, ce sera l’Inter qui remportera ce Derby. Ensuite on verra pour la Finale, mais avant je tiens à féliciter toute l’équipe qui a réalisé une grandissime rencontre contre une bonne équipe, cela doit être dit: Je vous aviez dit que j’en avais un peu peur, que Benfica pouvait marquer des buts, mais l’Inter le pouvait aussi même si ces derniers temps elle ne parvenait plus à marquer : Elle en a planté trois hier et c’était une rencontre très ouverte. Je veux en découdre avec Milan et c’était un plaisir de voir cette rencontre avec deux amis interistes : J’attends les demi-finales mais il ne faut pas oublier le championnat car il faut terminer dans le top 4 pour être sûr de se retrouver en Ligue des Champions, pour revivre à nouveau ce type de match et pour offrir ces émotions aux gens qui viennent dans le stade : Pour qu’ils vivent des matchs comme ça! A présent, concentrons-nous sur le championnat et ensuite on verra pour les demi-finales. Je vous souhaite une très belle journée, moi je vais en passer une belle ici ! Et comme je le dis toujours : Forza Inter" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Le président de l'Inter a voulu rester proche de l'équipe à sa manière. Appel à Inzaghi et contact direct avec les joueurs. La victoire 2-0 au match aller à Lisbonne ne suffit pas, il faut terminer le travail ce soir à San Siro. Benfica arrive à Milan et l'Inter a besoin d'une autre belle performance. Proche de l'équipe et des joueurs, le président Steven Zhang a fait sentir sa présence à sa manière. "Ce soir, Steven Zhang pourrait devenir le quatrième président de l'Inter à atteindre une demi-finale de la compétition européenne la plus noble, la Ligue des Champions. Zhang comme Angelo Moratti, Ivanoe Fraizzoli et Massimo Moratti : Ce soir, vous le pouvez. Peut-être sans se compliquer la vie. Et suite à la poussée du Président, qui a trouvé le moyen de rester proche de l'équipe même ces dernières heures, après l'avoir fait en personne à Lisbonne. Comment? En encourageant directement les joueurs et l'entraîneur . Et aussi faire sentir sa présence avec des appels téléphoniques et des messages" , explique La Gazzetta dello Sport. "Zhang est un président différent. Il a 31 ans, il a le même âge que les joueurs, il a une façon de se rapporter à eux qui est totalement différente de celle de ses collègues. Et donc ce n'est pas étonnant si, en plus de la présence physique, le contact se fait par téléphone, avec des messages d'encouragement. Il l'a fait avec Simone Inzaghi, avec qui il a pu se rencontrer en personne samedi dernier également, dans le ventre de San Siro après la douloureuse défaite contre Monza. Ils ont une relation directe depuis les premières semaines et celle-ci n'a jamais changé, même pas dans les périodes difficiles. Donc le Président a tenu à rassurer l'entraîneur avec un coup de fil hier aussi." Pas seulement Inzaghi. Zhang a également un dialogue avec l'équipe. Dans ces heures, le Président a également tenu à faire sentir son soutien à plusieurs joueurs. Dont Lautaro, par exemple, qui ne vit pas un moment simple du point de vue de la réalisation et en termes de confiance, encouragé à garder son calme. Mais il a également fait la même chose avec d'autres joueurs. Avec Dzeko, par exemple, dont il a une estime professionnelle infinie. Et puis avec Barella et Calhanoglu, d'autres joueurs avec qui il a l'habitude d'échanger, aussi pour prendre le pouls de l'équipe". "Zhang vit cette veille de match avec fierté. Même avec une certaine prudence : Hier il est resté silencieux, il a choisi de ne pas aller à Appiano pour ne pas rajouter de pression à l'équipe, il sent qu'il a une qualification historique est entre les mains." Un finale de saison qui peut lui réserver bien des surprises. Pour cette raison, il a annulé un voyage d'affaires qui l'aurait conduit aux États-Unis dans les prochaines semaines, il restera à Milan jusqu'à la fin de la saison. Son porte-monnaie est également en jeu : La demi-finale peut valoir environ 25 millions d'euros, entre le prix UEFA, le market pool (répartition de l'argent au niveau national en fonction de l'historique, des matchs joués et de la zone de chalandise). Malgré le manque de revenus de la vente de Skriniar, la société devra faire rentrer un maximum d'argent pour le 30 Juin. Zhang veut placer son nom dans l'histoire des Nerazzurri". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Ernesto Paolillo : "Une saison incompréhensible"
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les déclarations de l'ancien directeur général des Nerazzurri entre progression en Ligue des Champions, 4e place et avenir du club. Ernesto Paolillo, ancien PDG de l'Inter, a accordé une interview aux micros de TMW avant le match entre les Nerazzurri et Benfica, le match retour des quarts de finale de la Ligue des champions. L'objectif de l'équipe d'Inzaghi est d'atteindre les demi-finales et rejoindre Milan, qui a remporté hier soir le laissez-passer pour le tour suivant et rencontrera le vainqueur entre l'Inter et Benfica après la victoire 2-0 des Nerazzurri au stade de la Luz. "Ce serait très important, tout d'abord les bonus distribués par l'UEFA augmenteraient, pour une entreprise qui est en déficit et qui a des problèmes financiers ce serait une importante injection de liquidités, même si elle ne permettra pas de tout surmonter. À ce niveau, une demi-finale, c'est beaucoup de choses". En championnat, en revanche, l'Inter joue-t-elle avec le feu ou est-ce un terme excessif? "Permettez-moi d'utiliser un terme: Il est incompréhensible que les mêmes joueurs qui mouillent le maillot en se sacrifient, jouent bien en faisant bien tourner le ballon, comme cela s'est produit dans de nombreux matchs de Coupe, puis en jouant à domicile contre Monza ou Salerne, il y a clairement un manque de concentration Il y a pas grand choses à dire : Pas un, mais les quatre attaquants n'ont plus marqué depuis des mois. On ne parle pas d'un, mais des quatre." Cela semble paradoxal, mais la Quatrième place est plus importante que d'atteindre la Finale de la Ligue des champions? "Absolument oui, car cela donne des revenus important pour l'année prochaine en Champions League. Et donc cela permet aux propriétaires de faire d'autres recettes. Il faut absolument finir à la quatrième place, étant donné que vous ne pouvez pas penser à gagner le Ligue des Champions si facilement: C'est ce qui assure les recettes budgétaires". Commençons-nous à entrevoir la fin de l'ère Zhang? "Une prémisse : Je n'ai pas de nouvelles à apporter. Cependant, vu le niveau de la Dette et celui des nombreux taux d'intérêt, je ne sais pas combien de temps cette dette peut être soutenable pour Zhang, considérant que pour mille raisons ils ne peuvent plus injecter d'autres liquidités ». Dans l'hypothèse d'un tournant, croyez-vous plutôt aux propriétaires Italiens ou étrangers? "J'ai vraiment du mal à voir un entrepreneur Italien investir une somme d'environ Un Milliard d'euros pour racheter l'entreprise. Je doute qu'il y ait quelqu'un en Italie qui néglige à ce point ses finances : Seul un gros fonds pourrait le faire, qui a une portée plus large. Mais je doute que ce soit un seul entrepreneur ». Quelle est votre opinion sur la question de San Siro? "J'ai eu une idée très triste de la bureaucratie italienne, de la vraie volonté en Italie de se concentrer sur la relance du football en autorisant des travaux dans les stades. Cela ne s'applique pas seulement à Milan, mais partout : Florence, Rome, Naples, partout. Il y a des retards absurdes, le football coule : Sans avoir son propre stade, il n'y a aucub club qui puisse continuer". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908-
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Benfica ne décidera pas du futur de Simone Inzaghi!
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Après la défaite retentissante à domicile contre Monza, Simone Inzaghi est de retour sur le grill! Après la défaite retentissante à domicile contre Monza, Simone Inzaghi est de retour sur le grill. Comme le souligne la Gazzetta dello Sport, la direction a longuement réfléchi et pour le moment l'idée est de renoncer à l'exemption même en cas de catastrophe mardi en Ligue des champions. " S'il s'agissait d'une vraie défaite, si le 0-2 en or obtenu à Lisbonne était gâché de manière impardonnable, et si pour la première fois, l'Inter était conforme en Ligue des champions comme en championnat, à ce moment-là, rien ne peut être exclu". Nous Verrons Mercredi Si Inzaghi sera "Cuit"! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 2 commentaires
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