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"La Ligue des Champions se décide en mai." Pour paraphraser un vieux proverbe de Giovanni Trapattoni, la lutte pour la qualification à la prochaine Ligue des Champions va se jouer entre six équipes prêtes à concourir pour les trois places restantes. En ce qui concerne l'Inter, comme le souligne La Gazzetta dello Sport, concernant le double Derby électrisant en Demi-Finale et de la Coupe d'Italie, les Nerazzurri devront décrocher le laissez-passer pour la prochaine Ligue des Champions lors du dernier sprint de la saison. Les Nerazzurri auront trois matchs contre des concurrents directs pour pouvoir se qualifier, la Rosea les analyses un par un. Inter-Lazio - 32e journée Maurizio Sarri est deuxième, il n'a pas d'engagements en coupe il se concentre uniquement sur la Série A: Dimanche, il a l'occasion d'envoyer Simone Inzaghi à 10 points de retard et il peut aussi profiter de l'autre gros match entre la Roma et le Milan pour étendre son avance, à condition que la défaite face au Torino n'ai pas sapé le moral et cassé la dynamique des derniers matchs. L'Inter est énigmatique: Brillante en Coupe et démoralisante en Série A, elle a perdu ses trois derniers matches de Serie A à San Siro sans jamais marquer et la Lazio n'a encaissé aucun but lors de ses 5 derniers matches à l'extérieur. Les résultats récent donne l'avantage aux invités, ce qui peut aussi être très bien. Mais la fierté de l'Inter, polie par le succès en Demi-Finale de la Coupe contre la Juve, peut aussi rabattre les cartes sur la table. Simone Inzaghi voyage entre louanges et critiques son Inter doit retrouver un visage unique. Rome-Inter - 34e journée La Lazio et Vérone (à l'extérieur) ne sont pas de simples obstacles pour les Nerazzurri qui concluront un triptyque hebdomadaire à l'Olimpico. Si Inzaghi devra penser au Derby de la Ligue des Champions, Mourinho ne pourra pas ignorer Leverkusen, même s'il aura un jour de repos supplémentaire. De plus, la Roma sera à Monza, face à une équipe qui semble vouloir tout prendre sur son passage. Inter-Atalanta - 37e journée Le discours ci-dessus est valable mais uniquement pour l'Inter, qui saura s'il peut jouer pour la Ligue des Champions. En tout cas, sur le papier Inzaghi dispose du parcours le plus difficile. Il lui faudra un mois avec beaucoup de caractère. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Pour son retour à Giuseppe Meazza, et dans le cadre de la 2ème journée de Série A, l'Inter recevait La Spezia de Luca Gotti, ancien de l'Udinese. Après une timide entrée en matière la semaine dernière, qui a été marquée par le but inespéré de Dumfries au bout de la nuit à Lecce, les joueurs de Simone Inzaghi ont remis l'église au centre du village en dominant La Spezia 3-0. Dès le coup d'envoi, les intentions étaient claires : attaquer et marquer rapidement ce premier but. Romelu Lukaku et Lautaro Martínez sont beaucoup recherchés, ainsi que les deux pistons, Denzel Dumfries à droite et Federico Dimarco à gauche. Cela conduit à un grand nombre de hors-jeu signalés dans les premières minutes. La première occasion de la partie arrive à la neuvième minutes de jeu, lorsqu'Hakan Çalhanoğlu botte un coup franc excentré sur la tête de Dumfries, qui vient butter sur Dragowski. Le Hollandais est très entreprenant sur son côté droit, proposant de bonnes solutions à ses partenaires. C'est ensuite au tour de Lautaro de tester la vigilance du portier Polonais. Suite à un bon contrôle orienté, l'Argentin frappe fort au premier poteau, sans succès. L'ancien du Racing se montre créatif dans le dernier tiers. Au milieu de terrain, la dynamo Nicoló Barella propose en permanence des solutions de passes, avec un volume de jeu débordant. Marcelo Brozović, quant à lui, nous fait du Brozović : il nettoie les ballons du milieu et les recycle à merveille, malgré quelques pertes de balles inhabituelles. Le troisième mousquetaire, Çalhanoğlu, est celui qui oriente le jeu des Nerazzurri, maniant la pelota à la perfection, en la faisant fuser d'un côté à l'autre du rectangle vert. La défense, elle, est plutôt tranquille tant La Spezia est invisible. Notons tous de même les quelques sautes de concentration de notre ami Stefan De Vrij, qui, de match en match, semble de moins en moins serein. Le rythme retombe un peu. Jusqu'à la trente-deuxième minute, et la tentative de Lautaro en pivot, suivie de celle de Dumfries, bien aidé par le bon travail de Lukaku : les deux échouent. Mais l'Inter est déterminée à faire la différence avant la mi-temps. Et la différence va effectivement venir quelques minutes plus tard. Barella trouve Lukaku derrière la défense des Spezzini, qui remise de la tête pour Lautaro Martínez, alors seul. Le natif de Bahía Blanca, dans la Province de Buenos Aires, ne se fait pas prier : il envoie une mine du gauche en une touche de balle dans le petit filet droit de Dragowski. La LuLa fait mouche et ça fait 1-0 pour l'Inter. Les Nerazzurri poussent pour faire le break avant la pause : Lukaku trouve la barre transversale après un superbe coup de tête suite à un centre d'Alessandro Bastoni, tandis que Lautaro, sur l'action suivante, est coupable d'un petit raté, alors qu'il était plutôt seul au cinq mètres cinquante. L'arbitre de la rencontre, Davide Ghersini, siffle la mi-temps sans accorder de temps additionnel. L'Inter est l'auteure d'une première période sérieuse, avec un bon nombre d'occasions à l'appel. Il faudra faire preuve de plus d'efficacité en seconde mi-temps. Et de fait, les coéquipiers de Milan Škriniar () ne vont pas mettre longtemps à tuer la rencontre. Après une tête non cadrée de De Vrij au retour des vestiaires, c'est Hakan Çalhanoğlu qui, après un exellent boulot de Lukaku balle au pied, vient placer son ballon à ras-de-terre au premier poteau : plat du pied sécurité, 2-0 pour l'Inter. Après avoir réalisé le break, l'Inter poursuit son match en maîtrisant le rythme. La Spezia patauge et ne parvient toujours pas à se créer d'occasions franches. Le temps passe, Edin Džeko et Robin Gosens entrent en jeu. À la quatre-vingt-deuxième minutes, Džeko, à la réception d'un bon ballon de Barella, réussit à glisser celui-ci à Joaquín Correa, fraîchement rentré sur la pelouse. L'ancien protégé de Simone Inzaghi à la Lazio reste lucide et place son ballon, avec beaucoup de lucidité, dans le petit filet gauche d'un Dragowski parti aux champignons. Un dernier changement avec Kristjan Asllani, qui se laisse aller à un petit élastico, et l'Inter dit au revoir à une Spezia décidément bien inexistante. Davide Ghersini siffle la fin d'une rencontre dominée, avec beaucoup de sérieux par l'Inter, à l'inverse du déplacement périlleux de la semaine dernière dans les Pouilles. Trois buts marqués, un clean-sheet et la connexion LuLa retrouvée, l'Inter a rendez-vous vendredi prochain, 20:45, à l'Olimpico pour y affronter la Lazio de Maurizio Sarri. Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Inter 3 - 0 Spezia Buteur(s): 35' Lautaro (I), 52' Çalhanoğlu (I), 82' Correa (I) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (85' 14 Asllani), 20 Çalhanoğlu (76' 5 Gagliardini), 32 Dimarco (68' 8 Gosens); 90 Lukaku (68' 9 Džeko), 10 Lautaro (76' 11 Correa) Banc: 11 Correa, 5 Gagliardini, 8 Gosens, 21 Cordaz, 24 Onana, 12 Bellanova, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian, 9 Džeko, 42 Agoumé, 14 Asllani Entraîneur: Simone Inzaghi Spezia (3-5-2): 69 Dragowski; 29 Caldara (67' 15 Hristov, 14 Kiwior, 43 Nikolaou; 11 Gyasi (90' 2 Holm), 33 Agudelo (90' 28 Ellertsson), 6 Bourabia, 20 Bastoni (79' 24 Kovalenko), 13 Reca; 7 Sala (67' 44 Strelec), 18 Nzola Banc: 28 Ellertsson, 77 Bertola, 40 Zovko, 44 Strelec, 30 Maldini, 89 Sanca, 24 Kovalenko, 17 Podgoreanu, 2 Holm, 8 Ekdal, 23 Capradossi, 15 Hristov, 1 Zoet Entraîneur: Luca Gotti Arbitre: Davide Ghersini VAR: Marco Guida Averti(s): / Exclu(s): / ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
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Grâce à sa victoire 4-2 sur la Juventus au Stadio Olimpico de Rome, l'Inter a remporté la Coppa Italia pour la huitième fois de son histoire. Les Nerazzurri ont atteint la finale de la compétition à 14 reprises et ce triomphe porte à 42 le nombre de trophées remportés par le club depuis sa fondation en 1908. Seules la Juventus (14) et la Roma (9) ont remporté la Coppa Italia plus souvent que l'Inter, la Lazio (7) occupant la quatrième place du classement. Après avoir perdu contre la Juventus en finale de la Coppa Italia en 1959 et 1965, l'Inter a maintenant battu les Bianconeri dans deux finales consécutives, après la Super Coupe d'Italie en janvier à San Siro, avec une prolongation nécessaire pour déterminer le vainqueur. Le dernier triomphe de l'Inter en Coupe d'Italie remonte à 2011, lorsque l'équipe de Leonardo avait battu Palermo 3-1 grâce à deux buts de Samuel Eto'o et un autre de Diego Milito. Un certain Andrea Ranocchia était dans le onze de départ ce jour-là, tandis que le défenseur était également dans le groupe à l'Olimpico où il a célébré son deuxième succès en Coppa Italia, 11 ans après son premier. Les finales de l'Inter en Coppa Italia 1939 | Ambrosiana Inter 2-1 Novara 1959 | Inter 1-4 Juventus 1965 | Juventus 1-0 Inter 1977 | Milan 2-0 Inter 1978 | Inter 2-1 Naples 1982 | Inter 2-1 Torino, en aller-retour 2000 | Lazio 2-1 Inter, en aller-retour 2005 | Roma 0-3 Inter, en deux manches 2006 | Roma 2-4 Inter, en deux manches 2007 | Roma 7-4 Inter, en deux manches 2008 | Roma 2-1 Inter 2010 | Inter 1-0 Roma 2011 | Inter 3-1 Palerme 2022 | Juventus 2-4 Inter Palmarès de l'Inter 19 Scudetti 8 Coupes d’Italie 3 Ligues des Champions 2 Coupes Intercontinentales 1 Coupe du Monde des Clubs 3 Coupes de l'UEFA 6 Super Coupes d'Italie Statistiques de la finale à Rome L'Inter est la première équipe à avoir marqué deux fois en prolongation lors d'une finale de Coppa Italia depuis Vicenza, qui avait réussi à le faire contre Napoli en 1997. L'Inter est le premier club à avoir transformé deux penaltys dans une finale de Coppa Italia (hors séances de tirs au but) depuis la Sampdoria contre Ancona en 1994. Les Nerazzurri ont joué les prolongations dans une finale de Coppa Italia pour la première fois dans l'histoire du club, tandis que les Bianconeri ont connu leur quatrième prolongation au cours de leurs sept dernières finales de coupe. L'Inter est devenu la troisième équipe à battre la Juventus trois fois en une seule saison, toutes compétitions confondues, après la Fiorentina en 1940/41 et la Lazio en 1942/43. Ivan Perisic est le quatrième joueur de l'Inter à avoir inscrit un doublé en finale de la Coppa Italia, après Adriano (2005 contre la Roma), Hernan Crespo (2007 contre la Roma) et Samuel Eto'o (2011 contre Palermo). Le but de Nicolo Barella six minutes après le début du match est le but le plus rapide dans une finale de Coppa Italia depuis le but de Stefan Radu pour la Lazio contre la Juventus le 20 mai 2015 à la 4ème minute. Barella est le premier Italien à marquer pour l'Inter dans une finale de Coppa Italia depuis Alessandro Altobelli qui avait marqué lors du match retour de la finale 1981/82 contre le Torino. Barella a inscrit le deuxième but de l'Inter dans les six premières minutes d'une finale de Coppa Italia, imitant ainsi les exploits d'Esteban Cambiasso contre la Roma, 16 ans plus tôt, le 11 mai 2006. La frappe de Barella était le premier but en dehors de la surface dans une finale de Coppa Italia depuis Douglas Costa et son but contre l'AC Milan en 2018. Hakan Calhanoglu est le premier joueur à transformer un penalty dans une finale de Coppa Italia depuis Edinson Cavani contre la Juventus en 2012. ®Internazionale.fr via inter.it - Traduction Oxyred
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L'Inter Milan a concédé sa première défaite de la saison en championnat ce samedi contre la Lazio. Les hommes de Simone Inzaghi n'ont pas su poursuivre leur série d'invincibilité. Retour sur un match lâché en plein vol par les Nerazzuri. Cette rencontre démarre tambour battant, avec une Lazio agressive sans ballon, arrivant à bien conserver le ballon et a gêné l'Inter dans l'entre-jeu par des circuits de passes courtes et en une touche. Les Nerazzuri laissent passer les premières minutes tel un orage, puis reviennent doucement mais sûrement dans la rencontre. Cela se confirmera quelques minutes plus tard. Federico Dimarco renverse le jeu côté opposé vers Matteo Darmian, qui joue intelligemment en une touche de balle pour Nicolò Barella, qui vient s'infiltrer dans l'espace et provoquer un penalty. Hysaj accroche légèrement la cheville du milieu de terrain Italien. Perisić s'en charge et prend à contre pied Pepe Reina. 1-0 pour l'Inter. La Lazio reprend du poil de la bête après cette ouverture du score, notamment par l'intermédiaire du Brésilien Felipe Anderson, véritable poison mortel pour le côté gauche Nerazzuri, en grande souffrance face aux coups de reins du Neo-Laziale. Plusieurs actions dangereuses s'enchaînent, Handanović répond présent face à une frappe ras de terre de Basić sur un centre en retrait du Brésilien. Mais un homme offre les inspirations d'oxygène dont l'inter a besoin: le croate Marcelo Brozović. Tout simplement insaisissable sur le début de rencontre, il trône devant la défense tel un artilleur, décochant coup sur coup ses flèches empoisonnées. Son jeu long est extrêmement précis et permet à l'Inter de se crée des situations sur les ailes. Malheureusement les deux pistons que sont Darmian et Dimarco n'arrivent pas à convertir en occasions les poches d'espaces crées par les décalages du numéro 77 Nerazzuri. Le match se stabilise un peu sur la fin de la première mi-temps. L'Inter et la Lazio tentent chacune de conserver le ballon. Mais ce sont bien les hommes de Maurizio Sarri qui le font le mieux, parvenant à garder cet avantage territorial de la possesion, avec également un très bon contre-pressing mettant en difficulté l'Inter à la perte de balle en se servant de projections rapides vers le but d'Handanović. La fin de la mi-temps arrive, le match gagne en rythme avec une frappe lourde de Basić, stoppée par le Slovène. Dans la minute suivante, Barella déborde côté droit et réalise un petit dribble piqué pour esquiver le retour du défenseur Biancocelesti, comme une gazelle se défesant de ses prédateurs. Son centre sera trop long. Mr Iratti, pas tout à fait irréprochable, siffle finalement la pause à Rome. La mi-temps n'a semble-t-il rien changée aux intentions de deux équipes, particulièrement celles de la Lazio, qui se retrouve en plus grande difficulté pour trouver des brèches dans la défense Nerazzuri. Mais les failles de ces derniers éclatent en seconde période, notamment une: l'absence de joueurs de couloir rapides et percutants, Dimarco et Darmian ne remplissant pas ce critère. Du rythme est présent dans ce match mais les bonnes occasions peinent à être crée par les deux équipes. Jusqu'à un corner anodin à la 62ème minute, et une faute de main totalement involontaire d'Alessandro Bastoni, venant alors bêtement concédé un pénalty. Immobile se charge de son exercice favori et place son ballon au même endroit qu'Ivan Perisić, tout en prenant Handanović à contre pied. La Lazio est revigorée par cette égalisation venu du ciel. Elle se montre plus dangereuse dans le jeu et accentue la pression. Marcelo Brozović tire toujours son épingle du jeu, même entouré de trois joueurs. Dans ce match, le seul à l'avoir stoppé est Mr Iratti. Arrive les changements pour les deux équipes. Côté Lazio, sortie d'Hysaj et de Basić pour Lazzari et Luis Alberto; et côté Inter les sorties de Bastoni, Perisić et Gagliardini pour Dumfries, Correa et Vecino. Pour l'Inter, ces changements n'auront pas l'effet escompté. Pire, l'équilibre de l'équipe semble bousculé, avec un Correa inactif, un Dumfries désorienté, un Barella déporté côté gauche et un Dimarco axe gauche de la défense. Par contre, la Lazio bénéficie grandement de l'apport de ses entrants, Lazzari apporte du mouvement, de la vitesse, et Alberto du liant entre le milieu et l'attaque. Nous avons perdu l'Inter et nous allons douloureusement nous en rendre compte. Dimarco sollicite un une-deux avec Lautaro mais est tamponné par un Romain. L'action se poursuit, Lautaro progresse avec le ballon mais s'en sert mal et le perd de suite. L'absence de Dimarco en défense, encore au sol, se fait ressentir. Felipe Anderson trouve Ciro Immobile, qui emmène Škriniar avec lui et frappe à ras de terre. C'est détourné par Handanović dans les pieds d'un Felipe Anderson ayant suivi depuis le départ de l'action. Il ne se fait pas prier et inscrit le deuxième but devant le but vide. Dumfries a la bonne idée de déclencher une bagarre générale en accrochant Felipe Anderson partant célébrer son but. Cela aboutira à deux cartons jaunes de chaque côté: Milinković-Savić et Anderson, Dumfries et Lautaro Martinez. L'Inter perd le fil de son match, coule et vient encaisser un troisième but, de la tige Sergej Milinković-Savić, cette fois-ci de la tête. Le Serbe anéanti les minces espoirs des hommes de Simone Inzaghi. Fin du match au bout des six minutes de temps additionnel. L'inter s'incline en série A pour la première fois de la saison, et devra montrer un visage plus conquérant mardi, 21:00, à Giuseppe Meazza; dans le cadre de la 3ème journée de Ligue des champions contre le Shériff Tiraspol, surprenant leader du groupe D. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Lazio 3-1 Inter Buteur(s): 12' Perisić (sp)(I), 64' Immobile (sp)(L), 81' Anderson (L), 90+1' Milinković-Savić (L) Lazio (4-3-3): 25 Reina; 77 Marusić, 3 Felipe, 4 Patric, 23 Hysaj (66' 29 Lazzari); 21 Milinković-Savić, 6 Leiva (85' 32 Cataldi), 88 Basić (66' 10 Alberto); 7 Anderson (86' 8 Akpa-Akpro), 17 Immobile, 9 Pedro (75' 20 Zaccagni) Banc: 19 Vavro, 5 Escalante, 94 Muriqi, 27 Moro, 26 Radu, 1 Strakosha, 31 Adamonis T1: Maurizio Sarri Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (67' 2 Dumfries); 36 Darmian, 23 Barella (86' 20 Çalhanoglu), 77 Brozović, 5 Gagliardini (67' 8 Vecino), 32 Dimarco; 9 Džeko (76' 10 Lautaro), 14 Perisić (67' 19 Correa) Banc: 97 Radu, 33 D'Ambrosio, 48 Satriano, 13 Ranocchia, 11 Kolarov, 21 Cordaz T1: Simone Inzaghi Arbitre: Massimiliano Irrati VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 27' Basić (L), 36' Gagliardini (I), 63' Bastoni (I), 83' Milinković-Savić (L), 83' Lautaro Martinez (I), 83' Anderson (L), 83' Dumfries (I), 87' Correa (I), 90+1' Darmian (I) Expulsé(s): 90+7' Felipe (L) ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
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Steven Zhang mécontent du résultat à l’Olimpico
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
Le Président de l’Inter Steven Zhang et plusieurs joueurs se sont livrés en conférence d’après-match suite à la rencontre opposant l’Inter à la Roma, sur le terrain de l’Olimpico, qui s’est soldée sur le score de 2-2. Keita Baldé "C’est dommage de ne pas avoir gagné, j’aurai échangé volontiers mon but contre une victoire. A présent, il faut penser à la Juve. Tout était possible en fin de match, mais je dirai que ce match nul est un résultat juste." "J’ai tellement envie d’affronter la Juve, comme toujours. Nous serons prêt, je m’attend à un grand match entre les deux plus grandes équipes d’Italie. Nous savons que nous rencontrerons une grande équipe comme la nôtre, nous allons y aller sans peur et avec confiance." "J’ai énormément travaillé sur mon mental au niveau personnel et ce afin de pouvoir répondre présent." Ma célébration ? "J’ai vu les tifosi et je suis allé les voir d’instinct." Joao Mario "J’ai joué en tant que Mezzala comme je l’ai toujours fait. Nous étions plus proche que la Roma de la victoire, c’est dommage. Ce soir nous avons tenté de l’emporté, comme nous voulons toujours le faire. Vendredi, nous allons faire face à une rencontre très difficile, mais selon moi, c’est possible de rentrer à la maison avec les trois points." "Aujourd’hui, j’ai cherché à faire de mon mieux, en courant, en me battant, c’est spécial de jouer de la sorte à l’extérieur face à une équipe comme la Roma. Je le répète, c’est dommage de ne pas l’avoir emporté, nous allons nous reprendre vendredi." Steven Zhang Même s’il était souriant, Steven Zhang était tout de même dérangé par ce résultat obtenu sur le terrain Si je suis satisfait ? "Oui, mais objectivement, nous aurions dû l’emporter, c’est dommage...". Accompagné par Radja Nainggolan en tribune, Steven aura pu comparer le traitement réservé par les tifosi locaux : Le Ninja ayant laissé un bon souvenir dans le club de la Capitale, tandis que Spalletti essuyait une pluie d’insultes. De Vrij "Ce sont, selon moi, deux points de perdu. C’était un match équilibré, mais nous aurions dû l’emporter et pour cette raison je suis déçu. C’est dommage que nous ne sommes pas parvenu à prendre les trois points ce soir." Si c’est une réaction après Wembley ? "Selon moi, nous n’y avions pas si mal joué, même si nous avions perdu. Aujourd’hui aussi nous avons réalisé une belle partie avec plusieurs occasions de buts." Mon premier Juve-Inter ? "J’en ai tellement envie, cela me plairait de pouvoir disputer cette si grande rencontre. Ce sera une belle affiche." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 1 commentaire
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