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Simone Inzaghi : "Belle qualification ! Très content des gars !"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Voici les premiers commentaires de Simone Inzaghi aux micros de Pime Video après la victoire face au RB Salzbourg en Ligue des Champions. Cela fait quoi d'avoir des joueurs qui entrent et font la différence? Jusqu'où peut aller Lautaro? Calhanoglu est resté très défensif, choix technique? Bonne chance pour la phase finale. Avez-vous décroché le billet pour les huitièmes de finale en tant que grande équipe? Garderez-vous le cynisme ce soir? Est-ce une grande équipe? On parle beaucoup de la force des joueurs mais c'est aussi grâce à vous. En avez-vous conscience ? Maintenant, vous pouvez être rassuré en vue contre la Juve et Naples. Guardiola a toujours félicité votre Inter. L'Inter qualifiée au Championnat du monde des clubs. Traduction alex_j via FcInterNews. Inzaghi aux micros d'Inter TV :- 5 commentaires
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Récompensé du Golden Rudder à Arezzo, Antonio Conte a eu son mot à dire sur la finale de la Ligue des Champions. "Tout d'abord, je félicite l'Inter qui a fait quelque chose de grand, et mention spéciale aux joueurs, à l'entraîneur et au club. Félicitations également à la Roma et la Fiorentina. Pep Guardiola a dit que nous, dans le football italien, nous nous sous-estimons, nous nous maltraitions. Je suis d'accord et je pense que les entraîneurs sont très bons, étant donné que nous étudions toujours. Cette année, les équipes italiennes en Europe ont montré que nous n'étions pas loin." "J'étais sûr à 200% que Manchester City souffrirait contre l'Inter. Lorsque vous faites face à des équipes hautement et bien préparées, ce n'est jamais facile. City a ressenti le poids d'être favori et le fait que l'Inter ait montré qu'elle pouvait rivaliser avec les grands noms européens montre que le football italien n'est pas en crise. Nous devons continuer sur cette voie, il y a beaucoup de félicitations à l'Inter, à la Roma et à la Fiorentina." "Romelu a démontré même au cours de ces 30 minutes au cours desquelles il est entré en finale, c'était la partie du match où elle était la plus dangereuse. Mettre un joueur de sa force peut avoir un impact. Cette année, il a eu des problèmes physiques mais vous ne pouvez pas douter de sa valeur." Traduction alex_j via FCInterNews.
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La Gazzetta dello Sport chante les louanges de Simone Inzaghi fraîchement et définitivement diplômé au niveau international à Istanbul. Si pour les Italiens, comme le dit Guardiola, un 0-0 est une victoire, alors l'Inter a remporté la première mi-temps et une bonne partie de la seconde, des minutes pendant lesquelles Manchester City ressemblait à une équipe comme les autres, voire peut-être pire. Cela pourrait être du au fait que les Anglais n'étaient pas dans un soir de grâce. Oui, peut-être. Mais nous nous en doutons car nous sommes convaincus que le plan tactico-stratégique de Simone Inzaghi a eu un impact sur la "banalisation" de City. Il a privé City de ses merveilles. Il l'a drogué avec une attitude faussement soumise. Pendant longtemps il a laissé City dribbler et tirer loin de la zone, avec Haaland isolé et hors contexte comme cela arrive rarement. Une Inter défensive ? Non ! Une Inter intelligente qui a su gérer les moments d'un match très difficile. Et même les propos de Guardiola en fin de match confirment ce qui en est ressorti pendant les 90 minutes : tactiquement, City a été anesthésié. Le beau et presque invincible City ne s'est pas présenté à Istanbul. Le but est venu grâce à une action admirable mais qui s'est concrétisée sur l'un des rares échecs de la phase défensive de l'Inter, avec le côté gauche exposé et faible. City n'a pas volé la victoire, la défaite de l'Inter n'est pas méritée non plus. Inzaghi aurait mérité une prolongation pour la façon dont il a freiné et agacé City. Tous les discours de la veille sur la distance sidérale entre City et l'Inter étaient infondés. Hier soir, Guardiola et Inzaghi étaient proches, très proches, et notre prix de la critique, pour ce que ça vaut, nous le livrons à l'entraîneur d'une Inter à la hauteur absolue de City. Traduction alex_j via FCInterNews.
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"Standing tall" est un slogan qui a été beaucoup abusé et galvaudé ces dernières années. Il a également été utilisé à l'occasion de finales déséquilibrées ou de parcours européens terminant sans succès d'équipes italiennes qui se sont présentées sur la ligne de départ de la Champions et avaient été désignées parmi les "favorites" pour la victoire finale. Toute référence est purement fortuite. Seule certitude, l'Inter sortira véritablement "la tête haute" du stade olympique Atatürk d'Istanbul. La déception restera avec nous pendant des semaines, peut-être des mois, peut-être des années. On ne le sait pas encore. Le fait que l'on ait caressé l'idée de pouvoir soulever la Coupe aux grandes oreilles pour la quatrième fois de notre histoire face au City de Pep Guardiola doit être une source de grand plaisir, de grande fierté. Cela doit être avant tout à cause de la façon dont cette nomination s'est faite et du nombre de choses irrespectueuses qui ont été dites à notre égard. Pour la planète entière, il ne devait pas y avoir de match à Istanbul. Qu'a dû penser le chanteur et fan de City Gallagher, qui voulait à tout prix nous affronter en finale, durant les 90 minutes de la finale ? Qu'a dû penser de l'ex-joueur Bale qui a prédit un sec 5-0 pour City à quelques heures du match ? Et tous les insiders italiens qui pendant toute une saison ont tenu des propos plus que moyens envers Simone Inzaghi ? Comme par magie, d'un coup, le monde entier découvre l'Inter de Simone Inzaghi. Le même qui a gagné à Liverpool l'année dernière et qui dans les 180 minutes a donné du fil à retordre à cette équipe qui a ensuite joué contre le Real Madrid. Le même capable de remporter 4 derbies de la saison contre le Milan Champion d'Italie. Le même capable d'éliminer le Barcelone de Xavi en phase de groupes, qui quelques mois plus tard a remporté la Liga contre ce Real Madrid que tout le monde a indiqué comme le grand favori pour remporter la Ligue des champions, comme City, uniquement pour une question d'ADN. Heureusement, les prédictions et l'ADN tant vanté ne vont pas sur le terrain, mais les idées oui. Il y a de l'abnégation au travail. Vient la préparation. Voilà l'étude. "Vous avez retrouvé Porto, Benfica et Milan dès le deuxième tour" est une thèse qui ne tient pas et ne tiendra jamais. Une équipe "chanceuse" dans le tirage au sort ne joue pas de manière égale contre une équipe extraterrestre, les forçant à changer leur nom de Manchester à Bristol City pendant 90 minutes. Une équipe qui s'y trouvait Samedi est sortie du stade olympique d'Atatürk avec un fracas historique. Au football, il n'y a qu'un seul vainqueur à la fin, mais l'Inter gagne toujours. Pour l'Inter, gagner n'est pas la seule chose qui compte, cela ne l'a jamais été. Mais avoir fait repenser au monde entier qui pensait que nous étions perdus est une source de grande fierté. La certitude d'avoir été grand n'est pas affectée par les mesquineries. Au final, les épisodes décident et c'est comme ça que ça s'est passé Samedi. C'est du sport, c'est du foot. Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve mais nous le vivrons comme ça. Arrivederci Inter. Georges Courteline a écrit "Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet". Une phrase que Gallagher et comparses auraient dû connaître avant de l'ouvrir. Mais quand on est un imbécile... Traduction alex_j via FCInterNews.
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Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
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A la fin du match Simone Inzaghi se présente en conférence de presse pour analyser la finale perdue face à City. Voici ses propos recueillis. La tête haute mais avec des regrets ? "C'est vrai qu'il y en a, la défaite est la pire des choses dans le sport, les gars ont été déçus mais ils doivent être fiers du match qu'ils ont joué. On ne méritait pas de perdre, on a joué contre un super adversaire mais face à eux ils ont trouvé une grande Inter qui a fait une belle finale." Que pouvez-vous dire aux fans de l'Inter ? "Ils sont comme mes garçons, ils sont à câliner un par un, ils sont incroyables, nous avons passé de bons moments. Même dans les moments durs ils ont toujours été là et cela aurait été merveilleux pour nous de partager ce trophée avec eux contre l'équipe la plus forte du monde. Nous l'avons joué avec nos armes, il y a de la déception mais comme je l'ai dit hier, je n'aurais changé aucun joueur avec une autre personne dans le monde et maintenant le monde entier a vu pourquoi." Votre frère s'est demandé avant le match si vous alliez dormir. Mais allez-vous dormir ce soir ? "C'est le football, nous nous éloignons de ces déceptions. Une finale de Ligue des champions jouée comme ça, je me demande encore pourquoi dans ces 25 dernières minutes, le ballon n'est pas entré. Peut-être que tout était écrit, nous n'avons pas pu changer quelque chose mais il faut qu'ils aient la tête très haute, ils ont fait un parcours incroyable. City le méritait mais ils ont affronté une super Inter qui les a mis dans les cordes dans la dernière demi-heure. On le méritait mais j'ai félicité Pep. Ils s'approchaient de plus en plus du but, mais je les aurais volontiers fait patienter un peu plus longtemps." Liverpool vous a peut-être conduit à cette finale. Mais cette finale, pourra-t-elle nous amener au bout ? "C'est un long périple mais je le pense absolument. Nous avons montré que nous pouvions le jouer de la meilleure façon possible. Nous n'avions pas atteint les huitièmes de finale depuis très longtemps, l'année dernière, nous avons trouvé Liverpool et j'aurais volontiers rejoué le match retour. J'avais déjà perçu que cette équipe aurait pu faire plus sans penser aux 12 dernières années. L'équipe a grandi, acquis de la mentalité, de l'expérience, nous allons réessayer avec autant de fierté que nous l'avons fait cette année et l'année dernière. Nous avions rencontré le Real Madrid et Liverpool qui ont disputé la finale et en 4 matches ils ne nous ont pas laminés." Est-ce que tout s'est passé comme prévu ou est-ce que quelque chose d'inattendu s'est produit ? Que pensez-vous du but manqué de Lukaku ? "Lukaku, Dimarco, Gosens, on a eu beaucoup d'occasions. C'était le plan de match, je dois revoir la première mi-temps mais peut-être qu'on aurait pu faire encore mieux. En seconde mi-temps, dans une finale à fort enjeu, on a développé le jeu très bien mais ça me rend fier d'avoir affronté Manchester City comme ça. Onana a fait un arrêt sur Foden et rien d'autre, c'est une grande satisfaction." Le monde entier a vu de quoi Inzaghi est capable maintenant, vous êtes un entraîneur de niveau international maintenant. "Le temps nous le dira. Je suis fier des progrès réalisés par ces garçons et de la façon dont ils ont joué le match contre City. Le monde entier a dit que City le méritait, j'ai dit aux garçons que ce serait un match très équilibré. Tout s'est décidé sur un épisode, il fallait être bon et chanceux pour le trouver, mais c'est comme ça. Il y a beaucoup de déception mais j'ai embrassé tous les gars et j'aurais aimé le faire aussi avec les nombreux fans qui nous ont donné quelque chose en plus. Des émotions uniques. Nous avons disputé de nombreuses finales cette année, et cela peut nous habituer à jouer à des matchs comme celui-ci, et ce soir nous l'avons vu." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Steven Zhang : "C'est un rêve mais nous n'avons pas peur de City et nous y croyons !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Juste avant la finale contre City, voici le long entretien que Steven Zhang a accordé à la Gazzetta dello Sport. Un rêve ? "Pour être honnête, j'en avais rêvé. Et je pensais, en regardant le moment du football et les différences entre certaines ligues, qu'il serait difficile d'atteindre un tel objectif. L'Inter m'absorbe complètement. Je vis le club avec une énorme intensité mais je m'implique rarement dans les aspects techniques ou tactiques concernant l'équipe. Je n'en parle même pas avec Inzaghi dont je respecte tous les choix. En tant que président, je déteste tous ceux qui veulent m'apprendre à gérer mon propre club et donc je ne fais pas la même erreur avec les autres, c'est logique." Concernant Skriniar, était-ce une erreur de le garder ? "Skriniar a toujours été l'un de mes joueurs préférés. Nous avons tout fait pour que la meilleure équipe gagne. Mais je répondrai à cette question après la finale… Avant le match contre City, je ne trouve pas approprié de parler d'individus. Avec le club, l'équipe et les supporters, nous sommes désormais un seul corps, tous concentrés sur le défi de demain." Cependant, vous pouvez au moins confirmer une anecdote sur Lukaku. En septembre, il aurait prédit : "Président, ne dites jamais jamais, nous atteindrons la finale de la Ligue des champions." C'est vrai? "Oui, j'ai souri en pensant 'il est fou'. Mais il avait raison." Romelu a-t-il obtenu confirmation avec cette heureuse prédiction ? "Pas de questions sur les joueurs, s'il vous plaît..." Et on arrive à Inzaghi... "Si Conte a été le plus 'difficile', Simone est le plus simple. Il a un grand sens de la gestion et insuffle un calme incroyable. Quand je le vois avant les matchs, je suis plus tendu que lui. Inzaghi a été un cadeau pour moi. Et c'est l'homme de la finale de la Ligue des champions. On se demande souvent qui est le meilleur ou le plus brillant entraîneur. Je pense que ce sont les mauvaises questions. Chaque club a une histoire différente. Le travail d'un entraîneur dépend de la phase que traverse le club, des joueurs disponibles, de beaucoup de choses. Le football n'est pas une science exacte." L'idée d'embaucher un top man comme Guardiola n'est-elle pas fascinante pour un président ? On vous promet de ne pas titrer "Zhang rêve de Guardiola". "C'est un très bon entraîneur capable de gagner partout où il est passé, ce serait certainement un plaisir de travailler avec lui, mais je préfère choisir des entraîneurs avec une expérience en Serie A." Au début de la saison, une banderole "Zhang casse-toi" était affichée sous le siège. En repensant aujourd'hui que vous êtes en finale de la Ligue des champions, quel est votre sentiment ? Vengeance ? "Non. D'abord, il faut dire que les manifestants étaient vraiment un tout petit groupe, et puis que le football, comme la vie, a des hauts et des bas : il y a des phases à problèmes et des phases de joie. Ça fait partie du jeu. Le travail d'un président ou d'un CEO est similaire à celui d'un coach : souvent on est seul, et il faut l'accepter." Avez-vous préparé des discours de motivation pour l'équipe ? "Ce n'est pas nécessaire. Les résultats du mois dernier ont contribué à augmenter la conviction et l'énergie. Tout le monde à l'Inter est concentré sur cet événement dont nous voulons profiter pleinement." City est l'équipe la plus forte du monde, les craignez-vous ? "Je respecte profondément City, une équipe magnifique. Mais nous avons la qualité pour les affronter. Ces dernières années, plus l'adversaire était fort, mieux nous nous sommes comportés. L'Inter encaisse avec des équipes fortes. C'est contre celles qui sont moins compétitives que nous avons perdu des points." On l'a vu en championnat. Regrettez-vous les trop nombreux faux-pas qui vous ont empêché de combattre pour le Scudetto ? "C'était difficile de garder une concentration élevée dans toutes les compétitions. La fatigue s'est installée, plus mentale que physique. Mais nous devons jouer pour une finale, pensons-y maintenant." Passons aux aspects financiers. Prêt Oaktree : quelle est la situation ? "C'est un fonds important géré par des gens très professionnels. Nous avons l'intention de renégocier le prêt. Nous trouverons ensemble une solution pour le refinancement." Les fans peuvent-ils être rassurés ? Le projet Inter avance-t-il avec de grandes ambitions ? "Tant que je serai ici, il y aura une Inter stable et compétitive." L'Inter aura-t-elle un sponsor principal l'année prochaine ? Et sera-ce Qatar Airways ? "Nous avons trois ou quatre candidats. Je ne peux toujours pas dire lequel sera choisi. Nous voulons une marque stable et adaptée à l'Inter." Aujourd'hui, il existe de nombreuses propriétés étrangères en Italie : Suning, groupes américains, fonds. Mais le sentiment est qu'il n'y a toujours pas de grande intégration avec les clubs italiens qui permettrait un changement de rythme en Serie A et une modernisation du système. "Ce n'est pas facile de changer un état d'esprit. Cela prend du temps." Nouveau stade : où en sommes-nous ? "C'est le même problème que les droits TV. Il y a de la difficulté à accepter de nouvelles choses et à changer de rythme. L'Inter et Milan sont deux clubs concurrents mais avec le même objectif de croissance. Un stade partagé garantirait cela plus que deux sites. Cela a toujours été notre idée. Milan, en revanche, a changé 4 propriétaires et autant d'idées." Mais si Milan le fait tout seul, l'Inter pourrait-elle rester à San Siro ? "Non, notre priorité est un nouveau stade, avec ou sans Milan." Demain se jouera la compétition la plus importante de l'UEFA. L'Inter avait été parmi les créateurs de la Super League mais aussi la première à abandonner le projet le soir où l'affaire a éclaté. "La Super League n'avait pas le bon format mais c'était une tentative d'innover et de changer. Elle était particulièrement utile pour les clubs italiens qui étaient derrière les autres. Mais nous ne voulions pas entrer en conflit avec l'UEFA. Et la Ligue des champions reste le meilleur tournoi possible aujourd'hui." Au rez-de-chaussée se trouve la salle des coupes. Au centre se trouve la Ligue des Champions 2010. A quel point rêveriez-vous d'en ajouter une à vous ? "J'ai pensé plusieurs fois dans ma tête à ce que cela aurait été de gagner une Ligue des champions. Mais même rêver de gagner cela semblait impossible... Maintenant que nous sommes en finale. Cependant, nous tous dans le club ont une incroyable envie d'essayer. Et nous sommes unis. Comme il l'a dit Inzaghi : nous n'avons pas peur, il n'y a qu'une grande excitation qui nous attend pour jouer ce match. Nous y croyons." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Pep Guardiola, entraîneur de Manchester City, s'exprime sur le site officiel de l'UEFA avant la finale de la Ligue des champions. "Nous allons à Istanbul pour réaliser un rêve et nous allons essayer de faire un bon match. Nous avons eu l'occasion il y a deux ans et nous ne l'avons pas fait alors que l'année dernière, nous l'avons manquée de peu. Cette année, nous Nous allons essayer de faire de notre mieux. Nous aborderons ce match comme nous le faisons toujours en Premier League, nous veillerons à ce que les joueurs soient concentrés sur ce qu'ils ont à faire, rien d'autre." "Cette compétition m'a apporté plus que je n'aurais jamais pu imaginer. Si ma vie se terminait aujourd'hui, j'en aurais gagné une en tant que joueur du club que j'aime tant et deux en tant que manager. Cela m'a apporté des moments tristes et de grandes joies. C'est comme ça que ça marche, la vie, et aussi le sport. Nous devons accepter que pour les autres, tout ce que nous avons fait ces dernières années n'a aucun sens si nous ne remportons pas ce trophée. Nous allons réessayer et le plus important est de revenir ici dans quelques années. C'est ce qui fait de vous un grand club : vous allez toujours jusqu'au bout, et il arrive que tôt ou tard vous gagniez. L'échec n'existe pas dans le sport. Admettre que vous avez échoué, c'est comme dire que ton adversaire ne vaut rien: n'est-il pas possible qu'il ait mieux joué ? Il suffit d'essayer, le sport c'est comme ça. Réessayez et relevez-vous." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Simone Inzaghi : "On ne craint rien, on a beaucoup de respect !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Aujourd'hui est une journée dédiée aux médias au Suning Training Center à Appiano Gentile. Le premier à performer est Simone Inzaghi, protagoniste de la conférence de presse qui anticipe celle d'avant-match à Istanbul. Suivez ses paroles. À quel moment avez-vous réalisé que vous iriez en finale ? "Ce fut un long périple qui a commencé le jour du tirage au sort. Un jour pas très chanceux où nous avons croisé le Bayern et Barcelone. En parlant avec le staff et l'équipe, nous nous sommes dit que nous pouvions faire un bon parcours. Maintenant nous sommes en finale mais je pense que tout a commencé l'année dernière. Dans mon esprit et dans celui des gars, les quatre matchs contre le Real et Liverpool, alors finalistes, sont restés dans nos pensées." Quelle émotion ressent-on en arrivant ici ? "Hier, j'y ai plus pensé parce qu'on s'était vu avec mon staff mais on a beaucoup travaillé sur City. On a commencé après la victoire contre le Milan. Le lendemain soir, puis après le Torino, j'ai commencé à réfléchir davantage à ce que nous devrions faire lors du match de Samedi." Quelles sont les chances de gain ? "Je ne suis pas très doué pour les pourcentages. Nous affrontons l'équipe la plus forte du monde qui a remporté la Premier League cinq fois en six ans. Nous devrons être très prudents et jouer en équipe car nous savons que nous affrontons les meilleurs. Une équipe fantastique, un entraîneur qui a marqué une époque. Dans le football moderne, il y a un avant et un après Guardiola. Ce sera un match très important." Est-ce le match le plus important de votre carrière ? "Nous avons des joueurs qui ont joué en demi-finale mais pas en finale. Cela porte ses fruits pour un périple long et délicat. Mais au cours des trois derniers mois, j'ai eu des rotations plus profondes avec tous les joueurs et nous avons fait du bon travail." Quels souvenirs gardez-vous de vos matchs face à Guardiola ? "Les deux équipes auront les meilleurs joueurs, Lautaro est l'un d'entre eux pour l'Inter. J'ai rencontré Guardiola en tant que joueur et j'ai une curieuse anecdote. Lors de ma lune de miel après mon mariage à New York, il y avait une personne assise à la table, en 2019. C'était lui." City a-t-il plus de pression avec le Triplé comme objectif ? Le Real Madrid était-il meilleur ? "Ce sont deux grandes équipes qui ont dominé l'Europe ces dernières années. Nous avons un grand respect pour les deux. City a remporté deux titres mais nous aussi. Nous connaissons les joueurs et l'entraîneur qu'ils ont, mais l'Inter mérite d'être à Istanbul comme eux." Que vous a apporté Real-City ? "Il y a tellement d'admiration pour Guardiola et City. J'ai senti que City atteindrait la finale parce que le match aller avait été un match équilibré. L'année dernière le Real a marqué deux fois dans le temps additionnel mais cette année j'ai dit à ma fille et ma femme qu'ils allaient gagner." Le doute Lukaku-Dzeko existe. Avez-vous déjà décidé? "Non, ni là-bas ni dans les autres départements. Pour le moment, j'ai la possibilité de choisir. Dans la première partie, je n'avais pas la même possibilité d'alterner. Les joueurs importants ne se trahissent pas. Il reste encore quatre séances, un coach peut avoir des idées mais souvent tu arrives le soir et tu penses à une chose, puis le matin tu réveilles tes muscles et tu changes tes idées. Tu portes tes doutes jusqu'au bout." Quelle ambiance attendez-vous à Istanbul ? "Un stade avec beaucoup de monde, avec des supporters de City et de l'Inter ainsi que des supporters turcs répartis entre Calhanoglu et Gundogan. Nous finirons le stade, ils me disent que le terrain est en excellent état." Que vous a apporté la finale de la FA Cup ? "Plus vous voyez City, plus vous comprenez leurs résultats. Ils ont de la technique, du physique, ils sont complets, ils font de belles possessions et attaques. Une équipe avec très peu de points faibles. Ils trouveront une Inter qui a fait ses preuves avec le parcours qu'on a fait. Nous devrons leur enlever un peu de possession couvrant chaque centimètre carré du terrain. Ils sont vraiment forts." Pour City, la Ligue des champions est une obsession, vous êtes l'outsider. Cela peut-il être un avantage ? "Nous verrons, c'est difficile à prévoir. C'est un match très important pour les deux, le dernier acte de la compétition la plus importante. City le suit depuis des années, nous avons fait de grands progrès. Nous avons traversé de nombreux défis, le dernier étant le derby. Nous essaierons de faire un grand match en sachant ce que nous trouverons devant nous." Quelles sont les qualités de l'Inter cette saison ? "Dans les matchs importants, malgré le manque de certains hommes dû à des défections importantes, les gars ont sorti des ressources qu'on pensait tous ne pas avoir. On s'est très bien débrouillés dans des matchs très difficiles, présentés comme dernier recours, même si nous savions que nous devions jouer comme une grande Inter. Ils étaient très bons dans ce domaine." À quel point sera-t-il important de commencer fort ? "Fondamental, on l'a vu. C'est un aspect très important. On sait que City démarre très fort et on est très attentifs et concentrés à cet égard. Il va falloir être très bons." Si Guardiola est le meilleur au monde, êtes-vous celui qui a le plus survécu ? De quoi avez-vous peur? "Rien, on parle de football. Guardiola est le plus fort de tous, il a marqué une époque. On ne craint rien, on a beaucoup de respect. Mais nous sommes fiers de jouer cette finale car nous l'avons voulue de toutes nos forces cette année. Ce sera la dernière des cinquante-sept matchs et ceux qui nous ont amenés ici sont les cinquante-six précédents, où même certaines défaites dont on a beaucoup parlé nous ont permis d'être ici." Quelles armes de plus l'Inter peut-elle avoir que Manchester United ? "Je ne sais pas, United est parmi les plus forts de notre panorama. Nous respectons City mais l'United a fait une bonne finale." Est-ce une motivation supplémentaire pour arrêter City qui peut faire le triplé ? "La motivation est très importante dans le football, le groupe l'a toujours eu sinon nous ne serions pas arrivés ici." Vous êtes surnommé « King of Cups ». Quel est le secret ? "Je suis content de cette réputation. J'ai eu la chance d'avoir de bonnes équipes à l'Inter et à la Lazio. Dans les matches décisifs, nous avons toujours joué de grands matches, en défendant et en attaquant de la meilleure façon possible. Nous devrons le faire encore Samedi." Serait-ce une victoire encore plus importante qu'en 2010 ? "Je n'irais pas jusque là. Un exploit a été réalisé et nous essaierons de le concrétiser Samedi. Le Bayern et City sont des équipes différentes, ce seraient deux entreprises." Combien espérez-vous pouvoir renverser les prédictions ? "Ils parlent de la prédiction depuis que City a battu le Real, mais nous savons tous que tous ensemble que ce n'est pas de l'arithmétique, le football est beau pour cela. Il y a de nombreux épisodes et moments dans un match dans lesquels nous devons contrôler, surtout en finale et même contre des équipes contre City. Il y aura de l'équilibre et les épisodes feront la différence." Haaland peut-il changer votre attitude? "Le match sera fait de moments, c'est normal qu'on doive être bon pour prendre un peu de possession à City parce qu'il excelle dans cet art et qu'il a toujours eu plus de possession. Ce n'est pas facile parce qu'ils mettent la pression. Nous savons qu'il y aura des moments où nous devrons souffrir tous ensemble et d'autres où nous serons plus offensifs." Serait-ce une erreur de jouer trop haut contre City ? "Vous verrez la stratégie Samedi. Bien sûr, il faut autoriser une certaine possession. Il faudra être bon pour leur enlever les certitudes, ils jouent ensemble depuis de nombreuses années avec le même entraîneur et chaque année ils s'améliorent avec le marché des transferts. Nous les affronterons avec nos propres armes." Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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Antonio Cassano : "Allez chercher City ! Après, on verra !"
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S'exprimant en direct sur Twitch sur 'Bobo TV', Antonio Cassano se livre sur la finale de la Ligue des champions contre le monstrueux Manchester City. Vous soutenez l'Inter ? "Évidemment, nous quatre soutenons l'Inter. Je suis un fan de l'Inter. Genre est-ce que je peux dire le contraire ? Alors, c'est normal que City soit meilleur, ils jouent mieux, ils sont plus forts. C'est l'équipe la plus forte du monde et tout le monde peut le voir. Mais...il y a un mais" Quel match l'Inter jouera-t-elle ? "Manchester aura le ballon dans le match, exclusivement, car qu'ils jouent contre le Real, l'Inter ou le Saint-Marin, ils auront toujours le ballon dans le match et ils décideront le sens du match. L'Inter devra partir avec courage, à trois ou quatre, et ils devront faire en sorte que City ne prenne pas les devants, comme ils l'ont fait contre la Fiorentina car autrement, ça devient difficile. Plus le match dure, plus les Nerazzurri ont une chance de jouer de cette manière. City aura plus d'occasions et c'est évident. Cependant, s'ils me disent que l'Inter remporte sur le 100e penalty, je signe maintenant. City est favori et aura la possession du ballon du début à la fin mais nous verrons ensuite. L'Inter va jouer un match attentiste, puis il y a les épisodes : un coup franc, une erreur d'un joueur de l'équipe de Guardiola... Vous pouvez mettre le jeu sur de bons rails et le jouer en contre-attaque. Mais entre dire et faire, il y a un univers. Croisons les doigts et espérons le meilleur." Haland la solution ? "Non." La solution est toujours Guardiola ? "Oui. Je dis aussi que cette année City a perdu contre une équipe qui joue en 3-5-2, je parle de Brentford. Est-ce une coïncidence ? L'Inter joue pareil donc je dis : jouons le jeu. Ils peuvent faire ce qu'ils veulent de vous, s'ils se mettent à tourner, ils vous font peur et si vous ne repartez plus, ils vous font tourner la tête. Mais si vous recommencez et que vous marquez un but, et peut-être un autre, la situation change et le jeu se passe bien. Je dis : allez les chercher, après on verra. Tout au plus tu perds contre le favori !" Traduction alex_j via FCInterNews.- 9 commentaires
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Simone Inzaghi : "Honneur aux garçons qui m'étonnent toujours !"
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L'Inter s'assure la qualification pour la prochaine Ligue des champions en s'imposant 3-2 face à l'Atalanta. Simone Inzaghi s'est exprimé en conférence de presse, voici ses propos. Près de 2 millions de spectateurs, 99 buts marqués, la Coupe d'Italie, la Supercoupe et la finale de la Ligue des champions : Inzaghi est-il dans sa zone de confort à l'Inter ? "Une soirée merveilleuse comme tant d'autres. Ce soir était la dernière devant nos fans après un trophée remporté dont nous n'avons pas pleinement profité car il y avait ce match important. Mon câlin aux garçons est venu parce que je suis fatigué. Ces gars font ressortir des énergies que je ne pensais même pas qu'ils avaient." Que pensez-vous des compliments de Guardiola ? "Je suis content, venant de lui... Nous savons que City est l'équipe la plus forte du monde, avec le meilleur entraîneur du monde. Nous préparerons la finale de la meilleure façon possible, nous la jouerons avec nos qualités qui nous ont amenés à Istanbul." Allegri, après le match de Coppa Italia, vous aurait dit dans le vestiaire 'tu vas finir sixième' : est-ce quelque chose qui vous a excité ? "Je n'ai même pas entendu, je n'ai pas envie de répondre. Je n'ai pas beaucoup écouté, mes garçons me donnent l'énergie grâce à leur travail au quotidien. Nous avons beaucoup travaillé. Cette année, on a eu pas mal de retard parce qu'on a fait des erreurs en championnat qui nous ont fait perdre des points, on a été bons pour combler l'écart. L'Inter a le devoir de participer à la Ligue des champions, on sait ce que cela représente." Faudra-t-il maintenant garder la tête légère ? "Clairement, nous avons acquis une conscience pendant ces 13 matchs. Maintenant il est juste de faire une pause de 48 heures car nous avions un calendrier incroyable mais nous l'affrontions de la meilleure façon. Honneur aux garçons qui m'étonnent toujours, encore plus aujourd'hui parce que nous sommes revenus Mercredi à l'aube. Jeudi je les ai renvoyés chez eux parce qu'on n'a pas pu s'entraîner, puis on a préparé le match sur le terrain et en vidéo Vendredi." A la 3' vous étiez mené 0-1 Mercredi, et 2-0 aujourd'hui : qu'est-ce qui a changé ? "J'avais planifié cette démarche qu'on avait mal faite mercredi, et on l'a payée cher. L'Atalanta a trouvé une grande Inter qui a gagné à juste titre." Lukaku sur la touche après le derby a déclaré que la clé tactique de la saison avait été de se mettre à l'aise avec l'équipe et de rechercher plus de verticalité. "Certes, jouer vertical dès qu'il y a une reconquête est quelque chose que j'aime beaucoup. Le centre de gravité dépend des adversaires, des stratégies de match, parfois tu es plus haut, d'autres moins. En parlant avec Parolo à DAZN, j'ai vu des images claires : j'ai demandé à travailler ensemble. Aujourd'hui j'ai vu 3 transitions négatives comme si on les avait préparées en 20 jours. Aucune fatigue n'a été constatée." Vaut-il mieux envoyer les réservistes contre le Turino ou non ? "On va voir comment vont les gars pendant un moment. Mes collaborateurs étaient bons en termes de temps de jeu, on a des outils pour comprendre comment les gars récupèrent. Certains joueurs ont plus de minutes, je pense aux attaquants et milieux de terrain. Nous jouerons notre match contre le Torino, puis j'évaluerai qui sera le plus apte à jouer." Traduction alex_j via FCInterNews.- 8 commentaires
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Mario Balotelli : "Entre City et l'Inter ? Je reste neutre !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Notre ancien interiste Mario Balotelli, interrogé par la Gazzetta dello Sport, évoque la finale de la Ligue des champions ainsi que Edin Dzeko, l'Inter et l'Italie. Inter ou City ? "J'ai reçu tellement d'invitations pour la finale à Istanbul, je suis indécis. Je pense que je vais m'asseoir au centre du stade, pour éviter les malentendus. Mon cœur est partagé en deux, il vaut mieux ne rien dire d'autre. Ma tête dit que j'aimerais qu'ils gagnent tous les deux mais c'est impossible." Maintenant, l'Inter est en forme. "Sans aucun doute. Et elle a beaucoup de joueurs qui font la différence. A commencer par mon ami Dzeko, mais je ne négligerais pas Lukaku et le déchaîné Lautaro : le deuxième but contre la Viola était magnifique." Tout le monde voit City gagnant. "L'expérience me dit qu'en finale, sur un seul match, il vaut mieux arriver outsiders. En tout cas, l'équipe de Guardiola joue un super football mais celle d'Inzaghi est aussi très efficace." Que retenez-vous de votre Nerazzurra Champions League ? "Le but contre Rubin Kazan m'a fait sentir comme un protagoniste, pour moi c'était une expérience merveilleuse : un garçon qui touche le ciel avec un doigt. Et puis en soulevant cette coupe, j'ai encore des frissons." Immédiatement après le roi de la Premier League à City avec Dzeko... "Il y avait un sentiment incroyable avec Edin. Quand il est venu en Italie chez des amis romains, je l'ai dit immédiatement : attendez-le, c'est un phénomène. Même à Milan, il fait la différence. J'ai beaucoup de bons souvenirs cette année-là, à commencer par ce doublé à United." Vous étiez à San Siro au derby. "L'ambiance des meilleures soirées. J'ai vu beaucoup de monde, Leao entre autres. Je lui ai conseillé de rester à Milan : il y a une équipe avec des perspectives, avec quelques renforts ils peuvent avoir leur mot à dire n'importe où." Haaland contre tout le monde : est-ce vraiment comme ça ? "Erling est extraordinaire. Mino Raiola avait aussi une grande intuition sur lui. Les assisteurs ne manquent pas à City : Guardiola sait bien le servir et c'est un sniper redoutable." Alors la clé du match ? "Je n'ai pas dit ça. L'Inter a aussi des attaquants de haut niveau. Ils seront très opportunistes." Qui est l'attaquant le plus fort du monde ? "Les chiffres disent Haaland mais pour moi c'est une question de goût. Osimhen, par exemple, est spécial. Il peut tout faire sur le terrain, un peu comme moi dans mes belles années. Et puis c'est un garçon unique." Vous êtes-vous réjoui pour le Scudetto de Naples ? "Bien sûr. Je me sens lié à la ville. Avec ma fille, une partie de Naples est toujours avec moi. Et puis l'équipe de Spalletti a tout mérité." D'autre part, depuis combien de temps n'avez-vous pas parlé à Roberto Mancini ? "J'attendais son appel avant la Macédoine. Je ne sais pas ce qui s'est passé." Votre amour pour l'équipe nationale est resté intact. "Bien sûr. Le maillot est une chose, puis les relations avec les personnes en sont une autre." Retournerez-vous en Italie ? "Doucement, j'ai encore un an de contrat avec Sion. Mais la Serie A resterait un objectif passionnant." Traduction alex_j via FCInterNews.- 15 commentaires
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Il est interdit de penser au Triplété, du moins jusqu'à ce qu'en plus de la Premier League, son Manchester City remporte également la FA Cup contre ses rivaux honnis, l'United. C'est la pensée exprimée par Pep Guardiola aux micros de Sky Sports UK. "Je ne penserai au triplé que si on va à Istanbul avec deux titres en poche. Et puis il faut considérer qu'en Angleterre, la seule équipe c'est Manchester United. On se souvient tous comment ils ont gagné la Ligue des champions contre le Bayern Munich à Barcelone en 1999... Donc c'est quelque chose de très difficile. Les deux finales qui nous attendent seront terribles. L'United va arriver avec l'envie de nous empêcher de gagner les trois titres, et puis l'Inter qui... ben, c'est l'Inter. Donc il faut y aller étape par étape, on va essayer." "Pour le moment, je ne pense pas à partir. Mais qui sait ? J'aimerais continuer la saison prochaine ici, quels que soient les résultats; mais pas ce que nous ressentirons en fonction des résultats des deux finales. J'ai toujours un contrat et quand je signerai, je veux respecter les clubs." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Stéphane Dalmat : "Pep n'est pas tranquille face à cette Inter"
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Stéphane Dalmat s'est entretenu sur Itasportpress.it pour évoquer la finale contre City et les actualités de l'Inter. Pep Guardiola. "Une finale contre un Italien n'est pas le meilleur match que vous puissiez avoir. Je pense que Guardiola craint l'Inter parce que c'est celle qui est la plus difficile de toutes à battre sur un seul match. La Juve, le Milan, le Napoli et toutes les autres équipes italiennes n'ont pas cette caractéristique. Les Nerazzurri savent être mortels." En parlant d'Inzaghi: jusqu'à il y a un mois, son limogeage était invoqué... "Même moi, je n'étais pas très convaincu de lui car l'Inter avait perdu trop de matchs. J'ai changé d'avis, en un mois, il a rendu la saison de l'Inter parfaite." En quoi cette Inter ressemble-t-elle à celle de Cuper ? "Zéro. Ce sont deux techniciens complètement différents. Inzaghi est plus pour le jeu, pour la technique et pour la tactique. Cuper était plus soucieux de battre physiquement l'adversaire." Le derby de 2023 a-t-il vengé votre derby de 2003 ? "Avec ces deux victoires, l'Inter actuelle a effacé ce mauvais souvenir. Ensuite, pour moi, l'Inter mérite la finale et la victoire en Ligue des champions : ils ont vaincu Porto, Benfica et Milan..." Traduction alex_j via FCInterNews.- 5 commentaires
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Simone Inzaghi : "Rien à reprocher aux gars malgré la défaite"
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Une soirée qui n'a pas été inoubliable pour l'Inter s'inclinant 3-1 contre le Napoli. Voici les mots de Simone Inzaghi qui s'est entretenu avec DAZN. Match très compliqué avec l'infériorité numérique. Y a-t-il un regret pour la façon dont cela s'est terminé ? "Il y a un grand regret, en première mi-temps on a souffert justement sans trop concéder à Naples. Malheureusement on a été naïf avec l'expulsion qu'on a payée cher. Mais on a aussi égalisé, il y a eu l'occasion de Dumfries puis est venu le but de Di Lorenzo. Pour la C1, je le regrette car la défaite nous ralentit. Mais je n'ai rien à reprocher aux garçons." Quel est l'enthousiasme de l'équipe ces 20 derniers jours ? "Il y a un peu de déception, on sortait de huit victoires mais on savait qu'on affrontait Naples. On a commis cette erreur qui nous a couté cher, puis le 2-1 après le 1-1 de la 82e minute ne collait pas. On avait essayer de ramener le nul à la maison, ça aurait été un point important." Planifiez-vous déjà l'avenir? "On a peu parlé de l'avenir. La confiance du club me rend très heureux mais nous avons des matches très importants, dans trois jours nous aurons une finale et puis d'autres matches très importants dont une autre finale. Cinq finales en deux ans sont très utile pour que l'équipe grandisse encore." Vous avez rencontré Guardiola deux fois en tant que joueurs. Une fois il a marqué un but avec Brescia. "Je me souviens de ce but, nous n'étions pas dans une grande période. Crespo aurait pu me le passer immédiatement mais ensuite il l'a laissé passer et j'ai marqué." Le bilan peut vous mener à vos objectifs de la meilleure façon possible, il y a beaucoup de notes positives dans le match d'aujourd'hui. "Je suis d'accord. Aujourd'hui c'était le 5ème match en 50 jours. J'ai besoin de toute l'équipe car on a un calendrier impossible depuis Avril. J'ai eu d'excellentes réponses, dommage que la défaite nous ralentit vers la Ligue des Champions." Combien de confiance en plus pour Lukaku comme celui-ci "Il va bien comme ses coéquipiers, il revient à son niveau. Lui et les autres attaquants me donnent d'excellentes réponses." Analysez-vous déjà City ou pensez-vous à mercredi ? "Nous connaissons tous bien City, ils font partie des 2-3 équipes les plus fortes d'Europe et nous aurons besoin d'un grand match. Nous n'allons pas commencer battus, nous allons jouer pour ça comme nous le faisons toujours. Mais mercredi, nous avons la finale de la Coppa Italia qui nous attend." Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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Romelu Lukaku s'est entretenu hier avec CBS après le succès contre Milan lors du match retour de l'Euroderby. Impression générale. "Ce fut une saison très difficile pour nous, mais à la fin nous avons tous tout donné et le mois dernier nous avons remis les choses en place en championnat et atteint la finale des coupes. Être présent dans le dernier acte des Champions La ligue est quelque chose de vraiment important pour nous." Une saison noire qui se termine bien ? "Maintenant, l'équipe est presque complète et l'entraîneur peut utiliser tout l'effectif, aussi parce que celui qui joue donne tout. Sur le plan personnel, je peux dire que je vais très bien maintenant mais j'ai beaucoup souffert. Des mois très difficiles plus tard, la blessure, aussi parce que sa gravité n'était pas immédiatement claire. Ensuite, je suis allé au Qatar mais je n'étais pas en forme et plus tard, j'ai dû m'arrêter à nouveau. J'ai travaillé dur pour revenir en forme et maintenant nous voulons finir de la meilleure façon possible cette saison." Henry lui demande un avis sur Simone Inzaghi. "L'entraîneur a beaucoup de mérites pour ce que nous avons réalisé. Il y a deux ans, nous avons remporté le Scudetto en profitant principalement de la reprise, alors que l'année dernière, l'Inter a fait un peu de contre-attaque et un peu de possession de balle. Cette saison, nous avons commencé par essayer avec une pression très élevée mais nous avons encaissé trop de buts et cela nous avait coûté plusieurs points. De ce fait, Inzaghi est revenu et les résultats sont évidents. Maintenant, nous avons un centre de gravité plus bas pour ensuite attaquer rapidement, et ça a été le tournant." Qui en finale à Istanbul ? "Je pense que ce n'est pas important, City et le Real sont deux grandes équipes. Guardiola a un plan tactique différent pour chaque match et cela met les adversaires anglais en difficulté. Ancelotti peut compter sur deux ailiers offensifs de grande qualité tels que Vinicius et Rodrygo ainsi que sur de nombreux joueurs de classe mondiale et d'autres tels que Valverde qui le deviennent." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Luis Figo : "L'Inter pour l'Euroderby et Lautaro décisif"
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Luis Figo prend parti en faveur de l'Inter. Joint par la Gazzetta dello Sport, l'ancien Nerazzurri n'a pas tardé à nous faire savoir de quel côté il sera Mercredi et Mardi prochains, les deux soirs de l'Euroderby. "J'étais fier de porter le maillot de l'Inter et je suis fier que le football italien désormais a deux demi-finalistes en Champions en plus du Napoli qui a fait de belles choses en Europe avant d'être éliminé en quart de finale. Dans le derby de Milan, tout peut arriver, j'en ai joué beaucoup et ils ont tous été serrés et tendus comme matchs. Je m'attends à deux beaux matches. L'Inter, j'ai vécu une expérience fantastique et je vous souhaite d'atteindre la finale." "Le joueur décisif pour Simone Inzaghi? Ceux qui ont généralement la plus grande importance sont ceux qui marquent et donc je dis Lautaro Martinez. Les détails en Ligue des champions sont cruciaux et l'Argentin pourrait être la bonne personne. Il a mûri et a de la personnalité." "La deuxième demi-finale entre Manchester City et le Real Madrid? Je vois City comme favori. Pep Guardiola a l'une des meilleures équipes du monde et il a de l'expérience après avoir atteint et perdu la demi-finale de cette façon la saison dernière. Je pense que le City de Pep est le favori sur le Real même si c'est l'histoire de ce club que vous affronter quand vous jouez contre le Real à Madrid." Traduction alex_j via FCInterNews. -
L'inter est conscient que parvenir à un accord sera également essentiel pour éteindre les rumeurs en provenance d'Angleterre. La question liée à l'avenir d'Alessandro Bastoni se joue à l'Inter . Le contrat du défenseur central expire en 2024 et le club s'efforce de renouveler son contrat pour éviter un autre cas Skriniar. Et, comme le rapporte Calciomercato.com, l'Inter poursuit les négociations avec confiance, également grâce à la volonté de la du garçon né en 99 de rester à Milan. "Il perçoit actuellement un salaire net de 2,8 millions et vise un ajustement substantiel. Le sentiment est qu'un accord peut être trouvé autour de 6 millions plus les bonus, les parties sont en contact pour chercher une ouverture. L'inter est conscient qu'il sera également essentiel de parvenir à un accord pour éteindre les rumeurs provenant d'Angleterre. Manchester City observe la situation depuis quelque temps sur les conseils de Pep Guardiola. Alessandro Bastoni attend un appel pour signer le nouveau contrat, l'Inter est au sommet de ses vœux pour l'avenir." UN VRAI NERAZZURRI!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Eto'o : "Avec moi, l'Inter a fait le plus beau deal de l'histoire !"
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Interrogé par BeIN Sports, Samuel Eto'o, aujourd'hui président de la Fédération camerounaise de football, a évoqué l'été 2009, celui de son transfert chez les Nerazzurri. "Pep Guardiola m'a donné une opportunité dont je serai toujours reconnaissant, celle d'entrer encore plus loin dans l'histoire du football. Il a permis à l'Inter de faire la meilleure affaire de son histoire, avec Zlatan Ibrahimovic pour 90M€ et Samuel dans le deal, était le plus beau deal de l'histoire du football. Quand je suis arrivé à l'Inter, j'ai dit à papa Massimo Moratti: 'Donnez-moi deux ans et je vous donne la Ligue des champions'. J'arrive dans cette merveilleuse famille, avec Marco Materazzi et Javier Zanetti. Autour de moi, donc, j'avais des tueurs. Quand on est entré dans le stade et qu'on regardait nos yeux, ils se disaient: 'Mieux vaut les laisser gagner et retourner dans ma famille. C'était mieux comme ça.'" "José Mourinho est loin de tout ce qu'on dit de lui. Saviez-vous pourquoi nous l'aimions tant ? Parce qu'il a toujours été honnête avec nous. Je me suis toujours senti protégé par lui, même si j'étais sur le banc pendant un mois. Samuel Eto'o sur le banc, c'est incroyable! Puis un jour je lui ai dit: 'José, Samuel ne va pas sur le banc'. Et il a répondu: 'Maintenant, j'ai mon joueur'. C'est là que tout est parti." Voici l'interview: Traduction alex_j via FCInterNews.- 13 commentaires
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D'après The Sun, l'Inter Milan envisagerait le transfert de Gabriel Jesus cet été avec l'expiration du contrat de l'attaquant alors que Man City envisage du cash cet été. L' international brésilien a un peu plus de 16 mois restants sur son contrat actuel avec les pensionnaires de l'Etihad. Cela signifie que City devra peut-être tirer un profit cet été à moins qu'il n'y ait un accord sur une prolongation dans les mois à venir. Des informations en provenance d'Italie indiquent que l'Inter mènera probablement la chasse au joueur de 24 ans s'il devient disponible. Ils sont des admirateurs de longue date de la star et seront prêts à agir si son avenir n'est pas résolu à la réouverture du mercato. City pourrait être tenté de conclure un accord d'échange pour Jésus qui verrait la star de l'Inter Lautoro Martinez se diriger vers l'Etihad en échange du Brésilien. Mais les rivaux de City, Liverpool, prévoient d'empiéter sur la chasse de Martinez par City avec leur propre offre de transfert. Les deux titans de la Prem sont impressionnés par le record de buts de l'Argentin avec 61 buts en 165 apparitions, bien qu'il n'ait pas encore touché le filet en Serie A cette année. Jesus, en revanche, n'a pas joué pour City depuis la trêve hivernale en raison d'une blessure musculaire, mais il est proche d'un retour à l'entraînement. Il a été utilisé comme large cette saison par Pep Guardiola , qui reste un grand fan des qualités que Jésus apporte à l'équipe. Les autres attaquants Raheem Sterling et Riyad Mahrez ont des contrats qui n'auront qu'un an à courir cet été. Sterling aurait été ouvert à un passage à la Liga plus tôt cette saison, avec Barcelone et le Real Madrid intéressés par l'ailier. L' international anglais devenait de plus en plus frustré par la vie à Manchester après être tombé en disgrâce avec Pep Guardiola. Mais il a retrouvé sa forme depuis lors, et après avoir réussi son cinquième triplé de la saison le week-end dernier, il est en passe de rejoindre les dix meilleurs buteurs de l'histoire de la Prem. Traduction alex_j via The Sun.
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"C'était comme crier dans un ouragan'': comment la Super League s'est écrasée
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Les graines de la chute sont venues très tôt alors que les ennemis des séparatistes se sont rassemblés et que son secret l'a miné également. The Guardian livre une analyse pertinente et pesée sur le crash de l'ESL. Cette analyse est très loin des beuglements et autres vociférations aussi unidirectionnelles que moralistes interdisant toute discussion dont les médias nous ont abreuvés pendant ces 50 heures. Bonne lecture. Lorsque les derniers clubs rampés de l'épave fumante de la Super League européenne, une compétition de 4,5 milliards de livres qui promettait de faire tourner le football sur la tête pour s'écraser et brûler dans les 50 heures, le jeu des reproches commençait déjà. Les initiés parlent d'une stratégie de relations publiques désastreuse, de petits tremblements de terre à l'intérieur des clubs et des 12 clubs incapables de faire passer leur message au milieu d'une attaque continue: des supporters, des gouvernements et des instances dirigeantes du football. "C'était comme crier dans un ouragan", a déclaré une source bien placée de la Super League. Alors qu'est-ce qui ne va pas? Les germes de la chute sont venus tôt, lorsque l'histoire a été publiée dimanche dans le New York Times et le Times à l'heure du déjeuner. Cela a surpris les 12 clubs séparatistes, qui étaient plombés et n'avaient pas fait d'annonce officielle jusqu'à tard dans la soirée. "Cela est parti de: 'Ha, c'est en train de venir?' à: 'Merde, c'est parti, c'est en train de se passer!', très vite", dit une source. "Mais pendant des heures et des heures, il n'y a pas eu de déclaration officielle. Et donc les ennemis de la Super League ont été autorisés à se rassembler. Personne n'exprimait le positif." Un récit a pris racine. Que les 12 clubs fondateurs étaient avides, recevant un bonjour en or compris entre 200 et 300 millions de livres sterling tout en laissant le reste du football se battre dans la boue. Que la nouvelle ligue paneuropéenne en milieu de semaine ruinerait la Premier League et détruirait la pyramide du football où, en théorie, un petit club peut grimper au sommet. Peut-être que tout était juste. Mais personne n'a souligné les avantages potentiels du jeu, notamment une meilleure application du fair-play financier et 10 milliards de livres sterling accordés aux clubs le long de la pyramide sur 23 ans, trois fois plus qu'à l'heure actuelle. Le secret du projet est devenu une autre arme contre lui-même, les joueurs et les managers complètement aveuglés par la nouvelle. Ils ne savaient pas comment fonctionnait la Super League, quand elle commençait et quelles pourraient être les conséquences pour leurs contrats. Comme l'a admis mercredi la légende italienne Paolo Maldini: "Je suis le directeur du Milan et je ne savais rien du projet de la Super League. Je n'ai jamais été impliqué dans les discussions, j'ai vu les nouvelles dimanche soir." Dans le vide, des rumeurs ont commencé à se répandre. Lundi, par exemple, les joueurs de Chelsea ont rencontré leur président, Bruce Buck, et plusieurs ont déclaré qu'ils ne s'intéressaient pas à un avenir où ils seraient bannis des compétitions internationales. En vérité, c'était quelque chose de légalement improbable. Comme l’a dit une source de la Super League: "L’avis juridique était que l’UEFA est un monopole… et toute tentative d’interdire des clubs ou des joueurs serait un cas évident de violation du droit de la concurrence de l’UE." D'autres disent que les propositions présentaient un autre défaut fatal depuis le début, le Bayern Munich et le Paris Saint-Germain, finalistes de la Ligue des champions de l'année dernière, refusant de s'inscrire malgré d'énormes pressions pour le faire. Mais un problème encore plus grave pour la Super League était la réaction extrêmement hostile des fans, des organes directeurs et des gouvernements. Le gouvernement britannique a ouvert la voie, non seulement en invitant les groupes de fans à s'exprimer, mais aussi en promettant une "bombe législative". Cela a surpris certains impliqués dans la Super League. "Ce n'est pas Covid, ce n'est pas le Brexit, ce n'est pas Greensill. C'était donc une victoire facile pour eux et n'allait pas leur coûter de l'argent." Le football européen et mondial a également présenté un front uni contre la proposition avec le président de la Fifa, Gianni Infantino, fortement pressé par les gens du jeu pour critiquer la Super League lors d'un discours mardi. Le vent tournait, et rapidement. Des sources affirment que les critiques du manager Pep Guardiola ont sonné l'alarme au conseil d'administration de Manchester City, et il a personnellement déclaré au conseil d'administration qu'il ne s'attendait pas à être impliqué dans une Super League lorsqu'il signerait un nouveau contrat. Il y avait également des tensions entre Jürgen Klopp et une partie du conseil d'administration de Liverpool, qu'il a exprimées lorsque son équipe s'est rendue à Leeds lundi. Tout cela signifiait qu'au moment où les 14 clubs de Premier League restants se sont rencontrés mardi, il y avait un optimisme croissant quant au fait que le projet naissant était en difficulté. Pour un dirigeant avisé du football anglais, la Super League reposait sur quatre piliers: de grandes équipes, un financement incroyable, un marché énorme pour un nouveau projet et un cadre réglementaire qui survivrait à un défi. Mais mardi, il pensait que deux piliers vacillaient, les équipes, avec Chelsea et Manchester City à la recherche d'une issue, et le marché, avec Amazon, Sky, Comcast et BT disant tous qu'ils n'étaient pas intéressés par un accord télévisé. Et tandis que Chelsea et Manchester City informaient encore les journalistes qu'ils étaient toujours dans les coulisses, leurs propriétaires respectifs, Roman Abramovich et Sheikh Mansour, étaient de plus en plus inquiets. Ils ne sont pas impliqués dans le football pour le profit mais pour des raisons de réputation. La vue de fans bloquant les rues a suffi à faire se retirer Chelsea. Et puis les dominos sont tombés. Bien que City et Chelsea aient arrêté en premier, il est entendu qu'il y a eu un moment dans l'après-midi où toutes les parties ont réalisé à l'unisson que le match était terminé. Bien qu'ils aient annoncé leurs décisions à des moments différents, ils ne l'ont pas fait comme une réaction de l'un par rapport à l'autre. Les annonces ultérieures d'Arsenal, de Manchester United, de Liverpool et des Spurs sont intervenues après que ces clubs aient décidé de la nature précise de leurs déclarations et ficelé d'autres détails. Quoi ensuite? Mercredi, Andrea Agnelli a insisté sur le fait qu'il restait "convaincu de la beauté de ce projet" , avant de suggérer que l'opposition de Boris Johnson à la Super League européenne était liée au Brexit, une affirmation qui a fait rire les dirigeants. Pendant ce temps, certains impliqués dans la Super League admettent maintenant que leurs actions ont changé le football, mais pas comme ils l'avaient prévu. "La main de l'UEFA est massivement renforcée. Je crois que nous allons en parler sur une génération avant que quelque chose comme ça ne soit essayé à nouveau."- 2 commentaires
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Les rôles d'un sélectionneur d’équipe nationale et d'un entraîneur de club sont très différents et leurs intérêts s’opposent assez souvent. Pour cette raison, l'IFFHS a organisé distinctement deux votes mondiaux depuis le début. L’expérience qui s’étend sur deux décennies a montré que cette approche est la plus appropriée. Cependant, il n'est pas rare que les meilleurs entraîneurs de club deviennent sélectionneurs. De même, il n'est pas rare qu'un entraîneur reprenne, après son travail de sélectionneur, la fonction d'entraîneur de club. Il est donc logique d’associer les deux catégories d'entraîneurs dans le but de définir un classement mondial. L’IFFHS a mis au point une méthode équitable pour déterminer le classement du meilleur coach du monde du 21ème siècle (2001-2020). L'IFFHS a pris en considération le TOP 20 de chaque classement annuel de chaque catégorie concernée (Top 20 du meilleur sélectionneur et Top 20 du meilleur entraineur de club) et attribué des points à chaque place. Ainsi, le premier placé a obtenu 20 points, le deuxième 19 points, le troisième 18 point, etc., et 1 point pour la vingtième place. Si le classement annuel comprenait moins de 20, aucun point n’est attribué pour les places inoccupées. L'ajout des points des années individuelles de chaque catégorie fournit un classement mondial pour la période 2001-2020. José Mourinho est le leader du classement du meilleur coach du monde du 21ème siècle à la fin de 2020. Il a remporté quatre fois le prix du meilleur coach de club du monde (2004, 2005, 2010 et 2012), et est régulièrement dans le Top 10 depuis 16 ans. Il a remporté le classement avec 226 points devant l'entraîneur sélectionneur allemand, Joachim Löw (vainqueur en 2014 et 2017), et les deux autres légendes Sir Alex Ferguson (vainqueur en 2008) et Pep Guardiola (vainqueur 2009 et 2011). Arsène Wenger et Carlo Ancelotti complètent le Top 6. Classement du meilleur coach du monde du 21ème siècle (2001-2020) ®Oxyred – Internazionale.fr
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C'est désormais fait, Bournemouth a accepté l'offre de Manchester City pour Nathan Aké. Selon ce que reporte SkySports UK, Pep Guardiola aurait décidé de mettre aux environs de 41 millions de livres Sterling (plus de 45 millions d'euros) pour s'assurer les services du central néerlandais de 25 ans. Une nouvelle qui concerne indirectement l'Inter, en effet cela fait maintenant des mois que l'on parle de l'intérêt des Citizens pour Milan Skriniar. Après avoir misé sur Aké, il serait étonnant que Guardiola utilise une autre partie de son budget transferts pour un défenseur central supplémentaire.
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Les deux années fantastiques de Milan Skriniar à l’Inter ne sont absolument pas passées inaperçues. À tel point qu’après Manchester United, c’est au tour de Manchester City de passer à l’acte. Selon Tuttosport, Guardiola est tombé sous le charme de la Bête Nerazzurra, à tel point qu’il souhaite la recruter dès le mois de janvier. La position de l’Inter Intransférable "La situation du Champion d’Angleterre est encore plus problématique qu’il n’y parait suite à la grave blessure dont a été victime Laporte, sans oublier l’arrêt pour suite d’un pépin physique de John Stones. Qui plus est la condition physique de Nicolas Otamendi est loin d’être optimale. Partant de ce constat, l’objectif numéro un de l’entraîneur catalan serait Skriniar." "Mais la position de l’Inter est extrêmement claire : Le défenseur slovaque est considéré comme intransférable. A meilleur raison qu’il s’agirait d’un transfert en cours de saison. Pour la Direction et pour Antonio Conte, il est impossible de songer à se priver d’un des trois piliers du rempart défensif titulaire, De Vrij et Godin étant les deux autres compères, dans une saison où le maximum sera fait pour chercher à jouer jusqu’au bout le Championnat face à la Juve et d’aller également le plus loin possible en Ligue des Champions." Indispensable "La volonté d’Antonio Conte est trop forte, lui qui souhaite lutter à arme égale avec la Juve, il ne peut pas prendre le risque de déstabiliser de façon significative son noyau en janvier. Encore plus lorsque l’on connait le coût à débourser pour les défenseurs centraux en Europe. En effet, remplacer Skriniar reviendrait à chercher un défenseur d’un niveau similaire, un investissement conséquent serait à prévoir." "Tout comme Manchester United, qui a finalement décidé de s’attacher pour 60 millions d’euros Harry Maguire, la tentative de Manchester City sera donc infructueuse. C'est également ce recrutement de l’autre club de la ville qui a poussé Guardiola a demandé une réaction de la part de sa Direction. City avait également sondé ce joueur durant la campagne estivale, mais les contacts n’ont pas permis un débouché." Statistique de la Bête "L’Inter a renforcé sa défense avec l’arrivée de Diego Godin et elle ne compte absolument pas l’affaiblir avec un quelconque départ de Skriniar quelques mois après, et ce, même si la proposition vient de l’un des clubs les plus riches du monde." "Le début de championnat a permis au public Nerazzurro de retrouver un certain enthousiasme et l’intention est de ne pas mettre un terme à cette spirale positive. Guardiola ne compte pas se rendre, convaincu encore plus par les statistiques du défenseur nerazzurro selon WhoScored." "En effet, le défenseur Nerazzurro est celui qui a réussi le plus de passes sur l’ensemble de la saison qui vient de s’écouler… une statistique qui n’est absolument pas secondaire pour un entraîneur tel que Guardiola." Sacrifieriez-vous Skriniar contre une somme absolument scandaleuse ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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