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La Gazzetta Dello Sport s’est penchée sur la visite de la Guardia Di Finanza au siège de l’Inter et sur la documentation analysée, celle-ci fait état d’une somme d’environ 90 millions d’euros. Pour l’heure, il n’a aucun chef d’inculpation Les officiers ont passé quatre heures à la Viale Della Liberazione, au siège des Champions d’Italie, ils sont ensuite partis au siège de la Lega Calcio, lieu où tous les clubs déposent les contrats. Ceux-ci ont fait l’acquisition de tous les documents relatifs au transfert pour la période 2017-2019 : Il s’agit des états financiers, des contrats, des mouvements bancaires sur les échanges afin de s’assurer de la régularité comptable des relatives plus-values comme l’explique dans une note, le Procureur faisant fonction Riccardo Targetti. Les officiers ont ainsi analysé la situations des deux milanais et mis en évidentes quelques éventuelles criticités, encore à vérifier, dans le bilan de l'Inter. Dans le détail, ils veulent comprendre si "la valeur des droits d'enregistrement des joueurs" a été délibérément surévaluée afin d'augmenter les revenus et, par conséquent, de diminuer les pertes, explique La Rosea Selon celle-ci, voici la liste des transactions passées au crible Davide Bettella évalué à 7 millions d’euros (soit que de la plus-value). Davide Bettella est aujourd'hui le défenseur central de Monza avec un total de 17 minutes en Serie B, mais à l'époque il était un récent champion d'Italie avec les Primavera et l'équipe nationale U19 sans la moitié d'un match joué chez les adultes. Son nom est lié à celui de son ami Marco Carraro. Marco Carraro a été vendu à la Dea en 2018 pour 5 millions (dont 4,4 millions de plus-values). Aujourd'hui, Carraro joue plus régulièrement que son ami à Cosenza, mais à l'époque, à peine âgé de 20 ans, il avait derrière lui une moitié de championnat B à Pescara. D'ailleurs, deux jours seulement après son arrivée chez Gasperini, Gasp, il a été immédiatement transféré en prêt à Foggia. Le riche parcours de Bettella-Carraro a eu lieu alors qu'Alessandro Bastoni passait de Bergame à Milan pour 31,1 millions d'euros: cela semblait un pari exagéré, mais le temps a montré que c'était finalement un bon investissement. En 2018, il y a le futur crack Zaniolo valant seulement 4,2 millions (2,6 millions de plus-values) : avec le recul, Nainggolan a été surévalué le premier et Zaniolo sous-évalué le second. Mais cette année-là, la plus grosse plus-value est celle de Davide Santon, vendu à la Roma pour 9,5 millions après une saison décevante avec Spalletti : 8,1 millions de plus-value. Celle-ci figure avec l'affaire Zaniolo, dans la même acquisition lucrative de Radja Nainggolan (39,5 millions). Parmi les protagonistes de cette session figurait Ionut Radu, le second de Samir Handanovic. Mais à l'époque, revenant d'un prêt à Avellino, il est vendu au Genoa pour 8 millions, mais un rachat par les Nerazzurri de 12 millions est également inclus. Comme prévu, l'Inter a levé son option en 2019, même si le Roumain a été laissé en prêt au Rossoblù pour une saison supplémentaire. Finalement, Radu bénéficie désormais d'un contrat de 1,8 million d'euros et des quelques miettes laissées par Handa sur le terrain." Les deux autres jeunes bien notés cette saison-là sont Federico Valietti, un latéral actuellement prêté à Pordenone, acheté au Genoa pour 6 millions d’euros, dont la quasi-totalité en plus-value, et le Danois Jens Odgaard, classe 99, transféré à Sassuolo il y a trois saisons pour 4,6 millions d’euros (pour une plus-value de 3,5 millions d’euros). Le transfert en Emilie-Romagne a eu lieu avant le 30 juin et a été entrelacé avec celui de Matteo Politano de Sassuolo à l'Inter après le 1er juillet. Ce projet est typique de ces années-là, lorsque le club était engagé dans une course contre la montre pour gagner de l'argent avant la date de présentation du budget annuel, lui qui disposait ensuite, de plus de marge de manœuvre dans les semaines suivantes. Dans la même saison, aux 5,3 millions de plus-value du défenseur colombien Murillo, il faut ajouter les 1,2 de l'Albanais Manaj à Albacete. Pour compléter le tableau 2018, d'autres cessions de joueurs qui ne sont plus stratégiques et qui, dans l'ensemble, n'ont pas ou peu apporté au poste des plus-values : Nagatomo, Bardi, Kondogbia, Medel, Jovetic. Dans l'analyse de la deuxième saison dans le viseur du procureur, il suffit de se concentrer sur deux amis, protagonistes du Primavera Scudetto 2017. Ce sont les auteurs des deux buts des Nerazzurri en finale contre la Fiorentina : Zinho Vanheusden, désormais au Genoa de Sheva, et Andrea Pinamonti, qui, prêté à Empoli, retrouve le niveau qu'il avait promis. La vente de "Pina" au Genoa en 2018-19 avait renfloué le budget avec 19 millions de plus-value, pour un retour stratégique à Milan lors de la saison du Scudetto pour 21 millions et un salaire de 2,2. Le Belge de 21 ans, quant à lui, a été vendu il y a deux saisons au Standard de Liège pour près de 11,7 millions (plus-value de 9,5) et a été racheté cette saison : 16, c'est le montant dépensé pour effectuer le trajet retour. Aujourd'hui, Andrea Adorante évolue en tant qu'attaquant à l'ACR Messina en Serie C, mais à l'époque, il avait été vendu à Parme pour une plus-value de 3,9 millions. Marco Sala, un défenseur prêté à Crotone, a fini pour 3 millions à Sassuolo. Le même prix a été payé pour Gabriele Zappa, ensuite vendu à Pescara et depuis 2020 à Cagliari. Le même prix a été payé par Gabriele Zappa, qui a ensuite été transféré à Pescara et sera à Cagliari à partir de 2020. "La sérénité filtre parce que l'on constate que les évaluations des joueurs sont par définition toujours "aléatoires". En fait, même au quatrième étage du Palais de Justice, ils se déplacent avec des pieds de plomb : des cas similaires se sont déjà terminés dans le passé sans rien (en 2008, l'Inter a déjà été acquitté pour des cas similaires) et il n'y a pas de critère 'scientifique' pour déterminer quel est le juste prix d'un joueur", conclu la Gazzetta Dello Sport. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Coupe d'Italie, 8e : Inter 0-0 Pordenone (5-4, tab)
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Milan – Ce match devait être une simple formalité dont la nouvelle était déjà préparée. Mais dans le froid du quartier de San Siro, l’Inter est parvenue à réaliser une partie complètement folle face au petit poucet du tournoi. Une différence de deux catégories qui ne s’est pas ressentie sur le terrain et il aura fallu la célébrissime séance de tirs aux buts pour se qualifier. Du point de vue marketing, c’est Nagatomo, notre asiatique qui nous a qualifier lors de cette épreuve, il s’agit peut-être du seul aspect positif de la rencontre. Spalletti avait décidé de donner du temps de jeu à ses remplaçants. Vu la prestation de ces derniers, tous les interistes comprennent pourquoi il ne réalise jamais de turn-over et pourquoi l’Inter et son onze de base en Serie A, est en tête du classement. Les remplaçants ne se sont pas montrés à la hauteur et il a fallu faire appel à Maurito, Ivan, nos deux joueurs de la saison pour tenter d’inverser la tendance. On peut également retenir que Perilli, le gardien des neroverde élu homme du match avec un beau 9/10, était dans un état de grâce. Il a pris le meilleur sur Karamoh, il a également pu compter sur le manque de réussite de Brozovic, qui n’a quasi rien cadré, Perisic qui a dévoré un but et Icardi qui a touché du bois. Dans un contexte inattendu, la loterie des tirs aux buts allait donner son verdict et dans ce genre de situation, il n’existe plus de grandes ou de petites équipes. Padelli n’a rien à envier à Handanovic, en parvenant à stopper plusieurs penaltys. Il a d’ailleurs sauvé également l’Inter a quelques reprises dans le match et pourra remercier son poteau qui a repoussé le tir de Magnaghi à la demi-heure. On peut remercier Pordenone d’avoir joué le jeu, de ne pas avoir garé le bus et de nous avoir mis en difficulté. On peut remercier ce club qui a mérité les applaudissements du Meazza malgré la qualification de l’Inter. On peut le remercier car il aura permis à notre Direction et à Spalletti de voir quel est le réel potentiel de certains joueurs sur le terrain. Ce match est un avertissement sérieux et sans frais pour l’Inter, vu la qualification, mais ce match a surtout permis à tous de se redimensionner et de voir qu’il n’y a qu’en travaillant et qu’en respectant l’adversaire, qu’on peut réaliser quelque chose de grands. Spalletti avait prévenu les siens avant le match, hors de question de prendre ce match à la légère. Les joueurs ne l’ont pas écouté….Pas sûr que notre entraineur était festif dans notre vestiaire et certaines gueulantes ont très certainement dû être poussées. Pour certains joueurs, ce non-match est aussi similaire à un bon de sortie, car ils n’ont tout simplement pas le niveau pour jouer chez un grand d’Italie. Merci Pordenone de nous avoir permis de faire un point à cette situation. Nous vous respectons et vous souhaitons le meilleur pour la suite et qui sait, à dans quelques années en Serie A ! Tableau Récapitulatif Résumé du match: Réactions de Tramontana: Inter 0(5)-(4) 0 Pordenone Inter (4-2-3-1): Padelli; Nagatomo, Ranocchia, Skriniar, Dalbert (80' Icardi); Vecino, Gagliardini; Joao Cancelo, Eder, Karamoh (68'Perisic); Pinamonti (46'Brozovic). Entraîneur : Spalletti. Pordenone (4-2-3-1): Perilli; Formiconi, Stefani, Bassoli, Nunzella (116' Parodi); Misuraca, Burrai, Lulli; Maza (80' De Agostini), Berrettoni (102'Ciurria); Magnaghi Entraîneur : Colucci Arbitre: Sacchi Averti(s): Perilli (P) Expulsé(s): / Séances de tirs aux buts : Inter: Brozovic But, Perisic But, Skriniar arrêté par le gardien, Gagliardini arrêté par le gardien, Icardi But, Vecino But, Nagatomo But Pordenone: Misuraca arrêté par le gardien, Burrai But, Magnaghi But, Lulli tir non-cadré, Stefani But, Ciurria But, Parodi arrêté par le gardien. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 27 commentaires
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Milan – La rencontre face à la Juve au Stadium archivée, l’Inter se projette directement vers son match de Coupe d’Italie. Ce dernier verra l’équipe de Luciano Spalletti affronter, mardi soir, le surprenant Pordenone. La formation qui rêve de jouer au Meazza est très active sur les réseaux sociaux et a lancé une campagne publicitaire exceptionnelle à l’égard de cet évènement historique dans l’histoire de ce club qui milite en Serie C. MAI STATI IN B Une expression qui fait la fierté de l’Inter, seul club de Serie A qui n’a jamais connu la relégation. Cette expression est également employée par Pordenone, qui est d’ailleurs le club qui a dégainé le premier, cette réplique légendaire. Avant le Calciopoli, l’Inter et la Juve étaient les deux seuls grands à n’avoir jamais connu la division inférieure. Cette expression et une publicité, ont été reprises durant 4 jours par notre futur adversaire: Et en effet, si l’on s’attarde sur l’histoire du club frioulan, il est l’actuel champion de Serie D et joue cette saison en Serie C, il n’a donc pas encore connu la Serie B ! De plus, Podernone a comptabilisé l'ensemble des titres des deux clubs. Avant le Derby d’Italie et vu le contexte: Un match à Turin, l’Inter avait préféré ne pas répondre à la formation. A présent, le gestionnaire de nos réseaux sociaux s’est fait plaisir, en chambrant la Juve et en répondant à la publicité de Pordenone : "Questa è LA partita, tra #maistatiinB!" : "Voici LA rencontre #entreceuxquin’ontjamaisétéenSerieB !" Même si Pordenone est une équipe qui semble fort bien sympathique, l’Inter de Spalletti devra faire le Job, elle qui compte soulever au moins un trophée cette saison. ®Antony Gilles - Internazionale.fr