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  1. Notre Toro copie donc notre Nicolò pour parvenir à se classer parmi les trois joueurs en lice pour le prestigieux prix de joueur de la saison à son poste Auteur de 21 buts cette saison en Serie A, il se disputera le titre avec Rafael Leao (13 buts) mais surtout un Victor Oshimen en feu, lui qui a permis au Napoli de remporter son troisième Scudetto de son histoire en inscrivant la bagatelle de 25 buts! Mérité selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Invité spécial aux micros d' Inter TV. Avant Inter-Milan, le grand Marco Materazzi s'est entretenu avec le diffuseur Nerazzurri. Ses mots. L'Inter à un pas de la finale. "En ce moment, il y a un désir de profiter d'un bon match après un résultat important au match aller. J'espère qu'à la fin, il y aura une bonne fête pour nous. Maintenant, avec le nouveau règlement, chaque match est différent. Nous savons que nous a fait un chemin important. Quand on n'encaisse pas de but en Ligue des champions, c'est beaucoup de choses. Nous, les supporters, étions peut-être un peu sceptiques mais l'équipe nous amène à vivre un rêve. En Ligue des champions, l'équipe a toujours donné le sentiment de jouer contre n'importe qui alors que les matchs les plus difficiles venaient. Tous ceux qui ont joué et même ceux qui étaient sortis ont ramé dans la même direction, je pense à De Vrij qui est venu se battre pour chaque balle. C'était la clé." Une réflexion sur Darmian ? "Il a fait un championnat incroyable, il a apporté une contribution incroyable quand il a joué. Nous ne pensons qu'à Lisbonne, ce qu'il a fait pour nous, il doit être considéré avec beaucoup d'affection." Milan récupère Leao. "Il faut voir comment il aborde le match. Je pense que le Portugais n'a pas encore montré toutes ses qualités en Ligue des champions parce que le talent ne se discute pas objectivement. Ensuite, il faut comprendre quel impact aura le problème musculaire dont il souffre." Acerbi est convaincant. "Le parcours d'Acerbi a été exceptionnel, toujours attentif à chaque match. Quand il a fait une erreur, l'erreur n'avait pas d'importance. De Lautaro Martinez, mais de toute l'équipe, j'attends un match de champion du monde ce soir. Il est très proche d'atteindre cet Olympe de joueurs qui, comme moi, ont gagné la Coupe du monde et la coupe aux grandes oreilles. Nous jouerons pour la victoire au milieu de terrain où je crois que nous sommes plus forts, j'espère que le numéro 23 sera le MVP." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Tout le monde s'exprime sur le retour de l'Euroderby, y compris Antonio Cassano lors de son émission FantAntonio sur 'Bobo TV'. "Il est pratiquement impossible pour que le Milan revienne de deux buts face à l'Inter lors du match retour de l'Euroderby. L'Inter doit jouer à 7, avec les garçons de la Primavera pour être éliminée. Et encore, il y a le risque que Milan ne puisse pas les battre! Avec ou sans Leao, ça ne change rien! Milan est inférieur à l'Inter. Le Portugais n'est pas Kakà ou Ronaldinho, je ne le vois pas ce niveau. Pour moi, seule une catastrophe doit arriver pour que l'Inter sorte. Après le match aller, la performance du mois dernier et les deux buts d'avance, à mon avis, il n'y a plus aucune chance pour les Rossoneri. Alors peut-être que pour la énième fois je me tromperai dans ma prédiction..." Sacré Cassano... Est-il fou ? Est-il génie ? Seul Dieu le sait Traduction alex_j via FCInterNews
  4. Marco Materazzi et Goran Pandev s'expriment sur le retour de l'Euroderby aux micros de Sky Sport. Marco Materazzi A propos de Goran Pandev. "On s'entendait très bien avec Goran, on avait la fraterie tzigane avec Chivu, Stankovic, on était comme des frères. On s'aimait. Cette année (2010, ndlr), il est est arrivé en Janvier et a fait la différence. Ce n'est pas donné à tout le monde." L'Inter peut perdre ? "Oui. C'est vrai. Quand tu joues sans plus rien à perdre, tu es plus calme comme eux maintenant. Voyons comment ça se passe. On joue à domicile, il va falloir commencer fort. Nous devons les mettre sous pression immédiatement." Avez-vous bien dormi avant le Camp Nou ? "Non avant le Camp Nou mais avant le match aller oui. On savait qu'aller là-bas pour défendre la victoire 3-1 n'était pas facile, il y avait le but à l'extérieur. Puis Thiago Motta a été expulsé et l'obstacle semblait insurmontable. Mais nous voulions vraiment cette finale et nous l'avons atteinte." L'Inter n'aura pas à gérer. "En tant que fan, c'est la seule peur, si vous le maintenez à 0-0, une étincelle ou un but audacieux suffit pour relancer le match. Je pense que les garçons montrent qu'ils sont en excellente condition physique et ils essaieront d'en faire une formalité. Quand on joue 7 matchs de Ligue des Champions sans encaisser de but, ça veut dire qu'on a fait quelque chose. Ils voudront prouver qu'ils méritent la finale." Une comparaison avec votre Inter ? "Je n'aime jamais faire de comparaisons. Je préfère la mienne, mais j'aimerais que celle-ci gagne à nouveau, surtout parce que cette année ce serait vraiment inattendu. Ils peuvent nous faire rêver, je l'espère. Ce serait merveilleux comme fan, nous serions les premiers Italiens après tant d'années." Goran Pandev Ses souvenirs du derby. "Je me souviens quand je venais d'arriver de la Lazio en Janvier, on avait gagné 2-0 avec un but sur coup franc. Nous étions dix parce que Sneijder a été expulsé. Ce sont toujours des matches passionnants." Aimé partout ? "J'ai essayé, là où j'étais, de donner le meilleur de moi-même. Parfois tu réussis et parfois non. J'ai toujours tout donné sur le terrain. Materazzi m'a tellement donné. Il était comme un père, il m'a aussi donné des coups mais pour moi c'était fondamental." Un conseil aux joueurs ? "Dans les deux soirées avant Barcelone, je n'ai pas dormi. Mais après 5 minutes, dès que le match commence, tout semblait normal. Il y a beaucoup de gens expérimentés à l'Inter, physiquement ils vont bien, mais il va falloir oublier le match aller. Je pense qu'ils peuvent passer le tour, ils ont aussi récupéré des joueurs sur le banc, ils marquent tous des buts et en encaissent peu. On sait que Leao est de retour mais ils le connaissent bien et je pense ils joueront un grand match. Cette Inter est forte mais la nôtre a certainement eu des gens comme Eto'o qui a gagné des matchs tout seul. Ce sont deux Inters très différentes." Inzaghi ? "Il a beaucoup changé, nous avons passé cinq ans ensemble à la Lazio. Il a montré qu'il savait souffrir, il a eu des difficultés mais s'il atteint la finale de la Ligue des champions, il aura fait une grande chose. J'espère qu'il pourra le gagner car un club comme l'Inter le mérite." Comment jugez-vous la saison de l'Inter ? "L'Inter a deux grands directeurs sportifs à Marotta et Ausilio, je sais ce qu'ils peuvent faire. À mon avis, cette saison pour l'Inter est positive si au final ils terminent à la deuxième place, vont en finale de la Ligue des champions et remportent la Coupe d'Italie. Ils ont quatre grands attaquants, à mon avis. Vous ne pouvez pas vous planter maintenant parce que tout le monde va bien. Correa a eu quelques problèmes mais ce sont les attaquants qui font la différence." Traduction alex_j via FCInterNews
  5. Nous y sommes! Simone Inzaghi s’est livré à quelques heures de la seconde manche de l’EuroDerby Della Madonnina: "Lors du tirage au sort de la phase de groupe, nous étions un peu déçu, nous n’avions pas été énormément chanceux : Je me suis limité à dire au Staff et aux joueurs que Barcelone et le Bayern Munich n’étaient pas heureux d’avoir tiré l’Inter dans le troisième chapeau : Il y avait tellement de confiance: A présent, nous sommes ici et nous savons que nous avons passé une étape très importante." Pour une meilleure lisibilité, l'interview de Francesco Acerbi est publiée dans un autre article : Qu’attendez-vous du public ? Vous attendez-vous à voir une Inter que va se donner à plus de 100% ? "Je l’avais déjà dit avant Benfica et je suisi répétitif mais demain, nous aurons les Tifosi avec nous, je n’ai aucun doute: Ils ont toujours été proche de nous, même lorsque nous étions en difficulté : Pour nous tous, nous devrons garder la tête froide et avoir le cœur chaud, c’est la seule route à emprunter pour bien interpréter la partie." Comment vont Lautaro et Correa ? "Joaquin a demandé lui-même à sortir, je ne l’aurais pas fait moi car il me séduisait face à Sassuolo, c'était une douleur musculaire: Les sensations sont bonnes et nous évaluerons la situation aujourd’hui. Nous verrons demain s’il sera disponible, mais je n’ai aucune certitude en ce moment : Lautaro traverse une très belle période et il s’entend avec les autres attaquants de la meilleure façon" Etes-vous plus serein maintenant qu’au match aller ? "En tant qu’entraineur, je vis les matchs quasiment de la même façon, demain c’est l’une des rencontres parmi les plus importantes de l’Histoire de l’Inter, nous connaissons tous ce qu’elle représente pour tout le monde, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en sachant que nous disposons d’un avantage mérité, mais nous savons que nous devrons réaliser un mach Da Inter sans chercher à le gérer, nous couvrirons le terrain car Milan, face à nous, a énormément de qualité." Quel est l’état de forme de Lukaku ? A-t-il retrouvé enfin le niveau de son premier biennal ? "Vous le connaissez, vous savez de quoi est capable Romelu : Moi comme entraineur, j’ai cherché à permettre à Lukaku de revenir avec de l’enthousiasme celui de ce dernier mois, qui est celui que j’aurais voulu avoir toute l’année : Lui et Brozovic ont connu des stops imprévus, ils étaient indisponibles pour nous et nous avons soufferts sans eux même si nous avons été très bons pour nous en passer." "Lukaku à énormément travaillé et il est arrivé dans ce dernier mois dans la meilleure des condition possible : Je ne sais pas s’il pourrait être capable d’enchainer trois matchs de suite, mais son physique est incroyable : Nous avons tous vu ce qu’il est capable de nous apporter aussi bien à l’Olimpico qu’a Sassuolo." Comment gérer Milan …et L’arbitre de demain ? "Je ne parle pas beaucoup des arbitres. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué d'une autre manière, je fais référence à la faute de Krunic sur Bastoni qui aurait pu nous donner quelque chose de très important en termes de résultat et de qualification. Mais il n'y a pas de problème." "Beaucoup ont associé la désignation de l'arbitre français avec quatre Français au Milan... mais il n'y a pas de problème, la confiance est maximale. Nous n’allons pas rentrer dans un mode de gestion du match, demain face au Milan, nous aurons besoin de disputer un match Da Inter car il y aura des embuches sur notre route et nous allons essayer de de nous en sortir de la meilleure façon possible". Tactiquement, sans anticiper la rencontre, pourriez-vous envisager de baisser un peu votre centre de gravité ? "Je vous remercie pour vos mots à mon égard. Pour ce type de choix, je lis et j'écoute peu heureusement… mais je sais tout. Ma grande chance, c'est de peu écouter et de lire peu : Je connais mes choix et c’est toujours plus facile après une rencontre. Nous, les entraîneurs, ,nous devons faire des choix tous les jours, parfois on a plus de chance, parfois non : C’est le métier qui nous l'impose." "Je pourrais très bien avoir des choses en tête pour demain, mais on ne sait pas à l'avance comment ça va se passer. Il faudra parfois savoir se montrer agressif comme il faudra parfois savoir défendre tous ensemble. Indépendamment de Leao, Milan a de la qualité et il est en demi-finale, il faut faire très attention." Comment vivez-vous cette situation à titre personnelle ? Vous êtes déjà comparés aux autres entraineurs finalistes italiens.... "Nous sommes à 90', plus des arrêts de jeu, d’atteindre un merveilleux rêve avec ces merveilleux garçons que j'ai la chance d'entraîner. Nous sommes également en Finale de la Coppa Italia. Après coup, on pense tous que nous aurions pu faire mieux: Lors de la trêve, j’ai très bien travaillé avec Lautaro, Dumfries, Lukaku, Brozovic. A présent, nous avons devant nous des matchs rapprochés qui sont tous important et c’est une chance car cela ne nous laisse pas de temps pour cogiter" "Il y a cinq matches de cela, nous étions encore loin d’être en Ligue des Champions, maintenant il ne reste plus qu’à franchir la dernière marche : Nous abordons la rencontre de demain en ayant conscience de notre avantage: Nous sommes très proche d’un rêve et nous aurons besoin de disputer un match vrai: Da Inter." Comment avez-vous fait pour faire en sorte que Çalhanoğlu devienne un maître à jouer, un Regista ? "C'était un choix, une intuition, il nous manquait Brozovic qui est très important pour nous et à ce moment-là, j'ai pensé qu'il pouvait être la solution la plus importante. Il a été très bon à ce poste. Je pense aussi à Darmian qui, en tant que troisième défenseur, réalise de très grandes choses, dans un rôle qu'il n'avait jamais occupé. Il avait toujours joué dans le milieu à cinq, par le passé, voir même dans une défense à quatre : Il est très bon. J'ai des joueurs de grande qualité qui s'adaptent aux situations, je pense aussi à Luis Alberto à la Lazio qui est devenu l'un des meilleurs Mezzala d’Europe". On parle beaucoup de Milan. Avez-vous aussi cette sensation que la qualification ne dépend que de vous ? "Absolument oui, nous savons qui nous allons affronter et nous savons que nous sommes dans une très belle période : Nous sommes prêts à disputer un match de cette importance, nous avons déjà répondu présent face à une équipe très forte qu’était Benfica, nous disposons exactement du même avantage : Ce sera un match, comme celui contre Sassuolo, qui sera composé d’e embûches. Nous devrons être bons pour les surmonter lorsqu’elles se présenterons." Est-ce plus dangereux de se sentir déjà en finale ou de la jouer petit bras ? "Mon équipe est mature et sérieuse, qui sait qu'elle a mérité son avance. Il ne faut plus reculer. Je vous le dis à vous aussi, nous ne devons rien spéculer, nous devons jouer un match Da Inter tous ensemble: Et nous pouvons l'affronter avec beaucoup de confiance. Il ne faut pas vouloir la jouer petit bras: J’ai des joueurs importants, j'ai la chance d'avoir des joueurs qui connaissent la valeur de la rencontre : Nous devrons jouer ce match comme nous l'avons toujours fait lors de nos derniers derbys." Est-ce qu’il s’agira d’un Derby de Spartiates comme l’a déclaré Acerbi ? "J'avais déjà répondu à l'un de ses équipiers que c’était déjà le cas au match aller : C'est très important et nous en avons tous connaissance : Nous sommes ici et nous voulons arriver là où il était très difficile de penser à arriver. Nous connaissons le chemin et la montée que nous avons empruntés pour y parvenir : Nous connaissons les critiques qui, si elles ne sont pas présomptueuses comme c'est souvent le cas, nous aident et nous conseillent, nous avons à quel point la rencontre de demain est importante : Inutile de tourner autour du pot." Comment êtes-vous parvenu à créer cet environnement au sein du Vestiaire ? "C'est, tout d'abord, un travail quotidien, la façon dont l'ensemble d'un groupe travaille. Nous ne sommes pas une équipe composé d’un un nombre de joueurs si élevé, comme d'autres équipes, nous sommes une équipe de 20 joueurs avec des doublures à chaque poste. Zanotti, Carboni et Fontanarosa ont un avenir assuré, mais ces matches seraient compliqués pour eux." "Je m'arrête donc à 20 joueurs, avec quelques blessures jusqu’à récemment, mais après la Coupe du monde, grâce aux garçons, quelque chose s'est créé et maintenant nous sommes en Finale de la Coupe d’Italie et nous avons devant nous cette demi-finale retour. Le calendrier n'est devenu gérable que de cette manière, avec un turnover important de joueurs, avec l’engagement de tous : C'est la seule façon dont je pouvais gérer la situation, en demandant à tout le monde d'apporter une contribution des plus importante." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Francesco Acerbi parle lors de la conférence de presse rituelle à la veille du retour de l'Euroderby. Voici ses déclarations, celui qui est désormais devenu un pilier essentiel de l'équipe. La même approche vue avec Benfica sera-t-elle nécessaire ? "En plus, c'est une demi-finale contre un Milan qui voudra renverser la vapeur. Cela dépend de nous, de notre approche et de notre détermination. Milan voudra faire quelque chose d'extraordinaire mais nous serons prêts." Êtes-vous prêt pour ce genre de défi ? "Oui, parce que c'est un match merveilleux à jouer et cela donne la bonne adrénaline et le stress d'affronter Milan lors d'un retour en Ligue des champions. Ce sera plus difficile mais nous voulons faire quelque chose qui était impensable en début de saison." Comment vivre un match incroyable même pour l'histoire d'un footballeur ? "Ce sont des angoisses, des pensées positives et négatives. Il faut être positif, avoir confiance en soi et dans le groupe. Nous affrontons une équipe solide mais nous aussi, avec enthousiasme et attention à vouloir jouer le jeu. Si nous pensons déjà que nous sommes même à 1% de passer, nous ferons une énorme erreur. Mais nous ne sommes pas comme ça, ce sera un match encore plus difficile mais nous ferons tout pour passer." Qu'est-ce qui a changé en défense ? "Si vous ne vous entraidez pas avec toute l'équipe, vous perdez. Toute l'équipe a changé de braquet et voici les résultats. Mais sans la cohésion de chacun, vous ne gagnerez pas." Y a-t-il des similitudes entre l'Inter Milan et l'Italie championne d'Europe ? "Ce sont deux compétitions différentes, un groupe extraordinaire s'est immédiatement formé là-bas. Aujourd'hui, nous devons faire quelque chose d'encore mieux qu'au match aller." Comment ne pas être trop sûr à 2-0 ? "On n'est pas sûr du tout, on a été très calmes mais sans trop d'acclamations à la fin car il y a une remontée. On n'a rien fait, ce serait une erreur de penser qu'on a des chances de passer plus élevés que Milan. Nous savons que nous pouvons faire quelque chose d'important. Nous devons avoir un équilibre, avoir la bonne approche. Ce n'est pas facile d'apaiser la tension à la veille." Vous avez joué à tous les matchs, quel est votre secret ? "Je me repose bien, j'essaie toujours de me tenir prêt. J'essaie toujours de récupérer mon énergie physique pour toujours penser au prochain match. Ensuite, c'est à l'entraîneur de décider s'il me laisse jouer mais mon approche doit toujours être élevée." Beaucoup d'Italiens sur le terrain, est-ce bon signe ? "Oui, les Italiens sont en déficit en ce moment donc c'est toujours agréable d'avoir beaucoup d'Italiens sur le terrain. Ensuite, le reste ne me concerne pas." Comment la prise de conscience d'accepter cela a-t-elle été créée ? "Vous êtes à l'Inter, vous savez toujours que n'importe quel joueur peut venir à votre place. Il y a toujours un temps libre parce que vous avez des coéquipiers aussi bons que vous et il est donc normal que vous vous reposiez. Ensuite, tout le monde doit être conscient qu'il peut aider. Savoir que tu as des coéquipiers qui peuvent faire aussi bien que toi est un signe de maturité." Vous avez eu une expérience à Milan qui ne s'est pas déroulée comme prévu. "C'était un passage de ma vie que je devais faire, j'étais un peu con. J'ai eu cette maladie qui m'a fait reprendre mes esprits sinon je n'aurais plus joué. Mais il n'y a pas de revanche, je m'intéresse à demain." Combien l'Inter vous a-t-elle donné pour venir de la Lazio ? "Ce sont des choses du passé. Je suis honnête, je dois remercier l'entraîneur, car sans lui je ne serais pas là. Il me connaît mais je le répète, j'essaie toujours de faire de mon mieux pour moi et pour mes coéquipiers. Cependant, j'ai des objectifs et tant que je jouerai au football, je passerai toujours mon chemin si ça ne va pas. Je sais ce que je veux et je sais ce que je ferai, grâce à l'entraîneur et aux coéquipiers qui m'ont donné un coup de main pour arriver ici. Ensuite, c'est au joueur de décider." 17 matchs en deux mois peuvent-ils vous pousser à être le professionnel que vous étiez ? "Si on ne passe pas demain c'est une catastrophe, une saison de merde. Ou plutôt : un match suffit pour transformer une belle saison, entre guillemets, en une je ne dis pas faillite mais où tu dis que tu as perdu après avoir gagné 2-0... Tout dépend de demain. C'est une très bonne saison jusqu'à présent, alors nous verrons comment ça se passe." Qu'est-ce qui change au niveau tactique avec Leao ? Et la confrontation avec les supporters va-t-elle choquer ? "Nous verrons. Ils viennent d'une période pas aussi merveilleuse que celle que nous avons connue. Demain sera un test de fierté, nous devons nous attendre au meilleur de Milan. Leao est leur meilleur joueur, le plus décisif. Nous l'arrêterons avec le équipe entière." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. L'Inter racontée par notre Beppe Marotta fraîchement nommé Chevalier de la République italienne. Il est la star de l'espace "Je vous parle de l'Inter" dans le cadre de la "Milan Football Week" qui se déroule actuellement au cinéma Anteo de Milan. Voici son histoireracontée aux journalistes de la Gazzetta dello Sport. Le titre de chevalier "Immense satisfaction mais ces titres vont généralement à ceux qui sont plus âgés. J'ai 47 ans de carrière, je pense que l'heure du repos arrive." Comment allez-vous après le 0-2 de l'Euroderby ? "Généralement bien car on est à mi-parcours. On a un avantage mais il faut bien lire l'instant et être humble, motivé, convaincu qu'on peut le faire et réaliser quelque chose d'important. Mais il ne faut pas se complaire dans ce résultat, l'expérience m'apprend qu'il y a des cas où ça peut tourner." Partagez-vous les réflexions d'Ancelotti sur la pression générée par ce challenge ? "C'est l'entraîneur italien le plus titré de tous les temps, pour moi c'est LE entraîneur. Mais quand vous êtes sur le point de vivre un tel acte d'une compétition importante à ce moment de la saison, votre cœur bat plus vite. Ce soir, il y a un match que nous ne sous-estimerons pas mais l'esprit est à Mardi." Y a-t-il des regrets de ne pas avoir marqué le troisième but ? "Le plus important est la performance qui a convaincu tout le monde. Ce sont les meilleures conditions pour affronter un excellent adversaire au match retour. Ensuite, le 2-0 est différent du 3-0 mais ensuite le poteau de Tonali est également arrivé. Personne n'aurait jamais imaginé le 2-0." Quels seraient les mérites d'Inzaghi en cas de finale ? "Beaucoup, comme dans le cas négatif, l'entraîneur est visé par les critiques. Ensuite, il faut aussi parler des acteurs hors des projecteurs, comme les magasiniers. A l'Inter, il y a une grande culture qui est celle de toujours donner le maximum. L'expression maximale est Inzaghi qui a su surmonter des moments de forte pression et peut-être de critiques exagérées mais ceux qui vivent dans le sport doivent vivre avec cette réalité." Pourquoi une performance aussi poussive en championnat ? "C'est une saison atypique, avec une Coupe du monde à mi-parcours. Nous étudions d'un point de vue performance car je peux témoigner que les acteurs directs de l'événement ont montré qu'ils sont conditionnés tout au long de la saison. Sans préjudice du fait que Napoli méritait le Scudetto, nous devons réfléchir à l'importance de la relation esprit-corps. Ce sont des aspects qui doivent être pris en compte dans le monde du sport aujourd'hui; l'esprit, le mental est un aspect fondamental pour obtenir résultats." En fin de saison, les performances très positives en Ligue des Champions vont-elles peser ou le Championnat sera-t-il encore décevant ? "A ce jour, le bilan ne peut être que positif : être dans trois compétitions, dont deux où nous sommes protagonistes, vous donne une note de sept, si nous avions été plus avancés en championnat, cela aurait été 9-10. Le bilan de l'entraîneur doit devenir l'évaluation de nous-mêmes : quand nous avons perdu des points avec des équipes inférieures, avec tout le respect que je leurs dois, quelque chose n'a pas fonctionné et ce n'est pas juste de tout facturer à l'entraîneur. Les responsabilités doivent être partagées avec la direction et le club. Inzaghi va bien, il s'est remis de ce mauvais moment. A ce moment-là, c'était juste pour moi de mettre la pression parce que nous sommes l'Inter et nous devons toujours l'être." Inzaghi sait donc ce qu'il doit évaluer "Oui, alors à côté de lui, il y a des gens comme Zanetti et Ausilio avec qui discuter et analyser et qui parviennent à lui transmettre des préoccupations qu'il transformera ensuite en stimuli importants." La finale avec l'Inter comme revanche après celles perdues contre la Juve ? "Je suis très satisfait des résultats obtenus dans ma carrière. Gagner la Ligue des champions serait un rêve." Si vous devez identifier le point de basculement, quel est-il ? "Peut-être quand nous avons battu Porto en Ligue des champions. C'est là que nous avons trouvé la motivation pour changer de cap. Je pense que l'équipe est composée de bons professionnels et donc tout était plus facile et plus mérité. Nous avons gagné à juste titre contre des équipes fortes. Ce soir un un rendez-vous délicat arrive mais il faut faire en sorte que ces raisons soient trouvées car l'adversaire est très insidieux." Le retour de Leao est-il à craindre ? "C'est juste de donner du crédit à l'entraîneur et aux joueurs. Ensuite, quand l'adversaire manque de joueurs importants, vous risquez d'avoir un avantage mais la force d'une équipe est dans son ensemble. Je respecte Leao mais les autres sont bons aussi." Skriniar a-t-il regretté son choix ? "J'aimerais en parler après la saison. Cela aurait certainement pu être mieux résolu mais je veux en parler plus tard pour protéger le club. S'il peut récupérer pour la finale, alors l'entraîneur décidera. La valeur n'est pas discutée mais il ne s'est pas entraîné depuis deux mois, donc il est en difficulté sur le plan compétitif. L'entraîneur décidera de toute façon." Mais vous reprochez-vous quelque chose en tant que société ? "Je le répète, j'ai envie d'en parler en fin de saison. Il y a encore beaucoup d'amertume." Vous sentez-vous responsable des rêves des fans ? "Il y a aussi certaines émotions à vivre l'Inter. Le sport est beau en général, j'ai de la chance. Ensuite, je prends la responsabilité quand les supporters vous font confiance et je la transmets aux joueurs et aux managers. Le sens des responsabilités est fort et là ça donne motivation. Alors le football est imprévisible." De quels derbies êtes-vous le plus proche ? "Mon premier derby a eu lieu en 1970-1971, le jour de l'anniversaire de mon frère, c'était début mars et c'était Milan-Inter. L'Inter a remporté le Scudetto alors qu'elle avait six points de retard à ce moment-là, Invernizzi prenant le relais de Heriberto Herrera. L'Inter a gagné 2- 0 avec des buts de Mazzola et Corso, avec son coup franc feuille morte. C'était excitant, puis ça a coïncidé avec le Scudetto des Nerazzurri." En 2003, vous imaginiez-vous poursuivre cette carrière ? "Non mais les ambitions d'être un professionnel incluent toujours la vision et l'ambition de pouvoir grandir. Il va sans dire que lorsque j'étais à la Sampdoria, je voulais arriver dans un grand club, j'en ai traversé deux et ça a été une grande chance. La Sampdoria a été un âge d'or avec lequel j'ai sauté le pas, j'ai vécu ce derby de la Ligue des champions 2003 en tant que spectateur." Quel est le derby qui vous a le plus marqué en Italie parmi ceux que vous avez vécus ? "Ils sont tous différents et c'est un spot pour la ville. Celui de Gênes est plus romantique. Il y a beaucoup de motos là-bas et donc on peut trouver deux fiancés, l'un Genoa et l'autre Sampdoria. À Milan, il y a cette majesté du San Siro et les émotions chorégraphiques sont inoubliables; voir 80 à 85 000 spectateurs porter les couleurs vous excite, encore plus en Ligue des Champions." Est-il possible de faire une grande équipe avec peu de ressources comme vous l'avez fait ? "Je suis le directeur du domaine sportif et à l'Inter, nous avons créé une équipe au sein de l'équipe. Le mérite revient à Ausilio, Baccin, Zanetti qui ont construit cette équipe. Quand vous faites ce travail, il y a toujours une activité de scoutisme derrière. Le football est souvent perçu comme un phénomène improvisé, il faut plutôt des compétences pour faire mieux que dans d'autres clubs. Ce modèle est le fruit du travail de personnes compétentes qui ont agi avec un propriétaire fort qui nous a soutenus. Il faut aussi tenir compte des salaires et de la coût du travail mais nous avons remporté des victoires comme le Scudetto et la Coupe d'Italie. Maintenant nous terminons cette saison mais nous sommes toujours heureux." L'Inter avait cinq titulaires italiens dans le derby, quelle est l'importance du noyau italien ? "Fondamental. Tout comme Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich, des clubs qui gagnent parce qu'ils ont un noyau dur de joueurs qui représentent la nation. Les Italiens comprennent ce que signifie aller jouer avec l'Inter, c'est fondamental." Lautaro s'est très bien intégré à l'Inter, sera-t-il le futur capitaine ? "Il progresse, il a 25 ans aujourd'hui. A cet âge, être capitaine, c'est quelque chose de fort. C'est un très bon joueur mais aussi un homme qui a des valeurs, les prémisses sont là." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Interviewé par la Gazzetta Dello Sport, Massimo Moratti s’est livré sur l’EuroDerby du début du millénaire et suri celui qui se disputera ce soir, avec en ligne de mire, la Finale de la Ligue des Champions Président, Moratti, c’est reparti pour un tour... "Et oui, ça recommence même si tout a changé depuis cette demi-finale de 2003, à l’époque j’avais un poste à responsabilité. A présent, je suis juste l’un des millions des tifosi qui souffre pour cette rencontre, cela fait des semaines que j’y pense. Je sais que j’ai pris de l’âge et le fait de ne plus être de l’intérieur me permet de faire descendre la pression. Aujourd’hui, le plaisir l'emporte sur le devoir, mais elle reste comme à l’époque, une belle partie unique : Aucune autre ville ne peut se féliciter d’un spectacle de ce niveau." Qu’est-ce qui vous vient en tête 20 ans après... "Une torture, mon flash-back que je n’oublierai jamais, le face à face entre Kallon et Abbiati à la fin de match retour, si on dit que ça reste un très grand arrêt, je continue à penser qu’il aurait dû la mettre au fond." Même le Triplé ne vous a pas permis de combler cette amertume de l’EuroDerby de 2003 ? "Cette défaite en 2003 nous a été utile pour nous mener vers cette ascension vers la gloire, c’était l’étape d’un parcours, mais c’est vraiment très triste d’avoir été sorti ce soir-là, d’autant plus que nous n’avions jamais été battu : Aujourd’hui, dans une telle situation, nous serions allé en prolongation. Ce soir, le destin nous donne l’occasion unique de prendre une Vendetta Sportive et je pense qu’aucune des deux équipes ne s’y attendait vraiment." Que faudra-t ’il pour mener à bien cette Vendetta ? "Je crois que cela va énormément dépendre du match aller, car au match retour il y aura inévitablement un peu plus d’anxiété, nous nous connaissons bien. Au match aller, tu auras un peu plus de liberté pour jouer au ballon et pour trouver, qui sait, les bons espaces." A l’époque vous aviez dû faire sans Christian Vieri et avec un Hernan Crespo qui n’était pas au mieux : Ce soir, Milan pourrait évoluer sans sa star… "Les absences ont pesé en 2003, c’est évident qu’il s’agira d’un préjudice important pour le Milan si Leao est absent. Dans une rencontre d’un tel niveau, avec toute la charge émotionnelle qui y incombe, les compteurs seront remis à zéro dès le coup d’envoi." Qui peut être le Stratége de l’Inter ce soir ? "Je vote pour Barella qui est en train de devenir un vrai symbole : Il crée une identité avec les Tifosi et c’est pour moi le moteur de l’équipe. J’aime aussi le comportement d’Onana, il a fallu du courage pour l’aligner au début, mais il n’a peur de rien et par-dessus tout, il est vraiment très bon. Je pense aussi à Lautaro qui a le pied chaud en ce moment, heureusement pour nous d’ailleurs." Qui aimeriez-vous voir aligner en duo avec le Toro ? "Lukaku est dans une croissance intense en ce moment, c’est visible aux yeux de tous: C'est aussi une bonne chose car il nous a énormément manqué dans les moments les plus délicats. Je pense toutefois que la paire la plus fiable, du moins au début, reste toujours Dzeko-Lautaro." Dites-nous la vérité : Vous l’auriez remercié Inzaghi, lorsqu’il était en sérieuse difficulté en championnat… "Peut-être, mais j'apprécie la façon dont il a réussi à se maintenir à flot sans se noyer. Il est resté lucide, malgré les nombreuses critiques, et j'en fais partie. Il a montré qu'il était bon et qu’il avait le caractère pour rester dans un environnement comme celui de l’Inter." Si jamais, iriez-vous également à Istanbul ? "Ben j’aimerais bien, mais évitons d’en parler en ce moment : Nous avons deux solides rencontres qui nous attendent, deux soirées de pure passion." Vous sembliez détendu lors de votre diner avec vos amis milanites Gherardo Colombo et Renato Pozzetto, vous avez d’ailleurs chanté également La vita l’è bela”. "La vie est toujours belle et savoir s’amuser au-delà de la rivalité montre à quel point l’amitié et la civilisation milaniste est plus forte que tout : Mais nous ne pousserons plus la chansonnette jusqu’à mardi prochain." Mohammed, si tu nous lis, Massimo a toujours le seum! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport : "Si rien n'est encore écrit noir sur blanc, l'orientation de base penche vers le négatif sur l'hypothèse de le voir titulaire, une situation surprenante que Stefano Pioli, en personne, n'avait pas exclu à la veille du match." "Pour l'instant, dans le monde des Rossoneri, personne n'est trop ouvert à la prédiction mais il se dit que c’est la ligne du NON qui prédomine et ce pour éviter de prendre des risques bien plus importants en vue du match retour et surtout en championnat, où il y a une quatrième place vitale à conquérir." "En effet, même en cas de rétablissement, l'hypothèse de le voir titulairser est à exclure: Ce qui est certain, c'est que ce matin, le Portugais a quitté Milanello pour rejoindre ses coéquipiers en stage à l'hôtel près de San Siro. La ligne qui semble prévaloir, cependant, est celle du non. Surtout pour ne pas risquer d'aggraver la situation en vue du match retour." Christian Vieri en 2003, Rafael Leao en 2023...Cheh! (ou plutôt SPIAZE) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. En effet, à quelques heures de l’EuroDerby Milan-Inter, Filippo Inzaghi s’est livré sur son fraternel C'est toujours bons de ressortir les vieux dossiers "Il est bien meilleur que moi en tant qu’entraineur, je l’aime beaucoup, il n’a pas vécu une année facile même s’il est en demi-finale de la Ligue des Champions, en finale de la Coupe d’Italie et qu’il a remporté la Super Coupe d’Italie : Ce n’est pas facile de supporter les pressions qu’imposent de tels niveaux." "Je lui ai dit de profiter de la demi-finale, c’est un objectif importantissime qu’il s’est mérité : Il aurait pu être l’Alex Ferguson de la Lazio, il aurait pu y passer sa vie d’entraineur là-bas mais il s’est remis en question et a rejoint un grand club qui venait de remporter le Scudetto et de vendre ses meilleurs joueurs: Il s’en sort très bien et va de l’avant, c’est une personnalité qui ne hausse que très peu la voix, ce qui n’est pas apprécié aussi bien en Italie qu’en Europe, je le félicite !" La demi-finale ? "Les deux miennes ont été les plus moches de l’Histoire, c’étaient des parties particulières, jouées sur le fil du rasoir, c’étaient des matchs très intenses et certains d’entre-nous avaient les jambes qui tremblaient : L’absence de Leao serait une perte importante pour le Milan car c’est un joueur fondamental." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Stéphane Dalmat, protagoniste de l'EuroDerby en demi-finale il y a vingt ans, a parlé à Radio Nerazzurri de ses souvenirs de ces moments tout commentant les conditions actuelles des deux équipes. Revenons à cette demi-finale en 2003. Quelle déception pour l'élimination avec deux nuls. L'Inter méritait plus que Milan de passer selon vous ? "En 2003, Milan avait une équipe très forte mais nous avions Bobo Vieri blessé, Crespo qui jouait sur une jambe, Recoba qui n'allait pas bien et, en plus, nous n'étions pas en forme à 100 %. Sortir en demi-finale sans perdre, avec deux matchs nuls, juste pour une question de malchance, c'était une grosse déception." Vous souvenez-vous de l'ambiance de l'époque ? Cuper vous a-t-il dit quelque chose de particulier avant la demi-finale ? "Quand vous avez autant de champions dans notre équipe, ce n'est pas facile de trouver les mots justes. Nous avions tous gagné quelque chose dans le passé. Cuper nous a donné quelques indications sur Milan mais nous les connaissions déjà. Dans nos têtes, nous savions que nous devions gagner les deux matchs pour aller en finale." Milan et l'Inter ont de grands attaquants. Si vous pouviez en choisir deux entre Lautaro, Lukaku, Leao et Giroud, qui prendriez-vous ? "Je prendrais Lukaku et Lautaro. Même si j'aime beaucoup Leao car ,parmi ces 4 joueurs, il est le seul qui puisse faire la différence à lui tout seul. Il est rapide, capable de frapper avec vitesse et de passer en dribble C'est sa différence avec les autres." Inzaghi ne sait toujours pas qui mettre au milieu de terrain, avec trois joueurs pour deux maillots : Brozovic, Calhanoglu et Mkhitaryan. Qui aimeriez-vous voir sur le terrain demain ? "Brozovic, Barella, Mkhitaryan. Calha out parce même s'ils sont tous très forts, le fondamental c'est Brozovic. Après il y a Barella qui fait une saison extraordinaire. Mhki est au mieux de sa forme. Je suis désolé pour Calhanoglu mais quand vous avez un trident comme ça, quelqu'un doit se rester en retrait." Peut-être que Leao n'est pas là : plutôt un avantage pour l'Inter ou un inconvénient pour Milan ? "Les deux, un avantage pour l'Inter car sans Leao la défense a moins de travail à faire, alors que le Milan sans Leao c'est une arme offensive en moins. Mais à mon avis c'est mieux pour l'Inter." L'Inter a perdu 11 matchs en championnat mais est en demi-finale de la Ligue des champions et en finale de la Coupe d'Italie. Pour vous, Inzaghi restera-t-il entraîneur de l'Inter l'année prochaine ou changeriez-vous ? "Je pense qu'il y aura un changement sur le banc. Quand tu perds 11 matchs et que tu es entraîneur de l'Inter, c'est difficile. Il se sauve parce qu'il fera la finale de la Coppa Italia. Alors voyons ce qui se passera s'il y va parce que nous allons jouer contre une grande équipe. Ensuite, cela dépend de l'argent, s'ils peuvent engager un entraîneur très expérimenté. Sinon, Inzaghi restera encore un an." Pour terminer : y a-t-il un joueur de l'Inter aujourd'hui dans lequel vous vous reconnaissez ? "Non, personne. J'étais Joystick, j'avais un jeu unique qui n'existe pas à l'Inter pour le moment. Un joueur comme ça serait-il nécessaire ? Oui, il serait excellent pour passer, apportant une supériorité numérique en attaque, pour servir les attaquants, à Lukaku et Lautaro. Même si Brozovic et Barella le font bien mais il faudrait plus de vitesse. J'adorerais." Pouvez-vous nommer un jeune talent français qui, selon vous, pourrait être utile à l'Inter ? "Oui, j'avais de grands espoirs pour Tanguy Ndombele quand il était à Lyon. Il aurait pu être un profil, mais à Tottenham, il s'est un peu perdu. Je vois bien Seko Fofana de Lens mais il a 28 ans et coûte cher. Il fait une saison incroyable." Traduction alex_j via FCInter1908.
  12. Après avoir remporté sa quatrième victoire consécutive en championnat à Rome, le moment est venu pour l'Inter de se remettre à écouter la musique de la Ligue des champions. Demain soir, le match aller de l'Euroderby se déroulera au Meazza, chez les Rossoneri. Un rendez-vous historique sur lequel des milliers de projecteurs seront braqués et les yeux du monde seront fixés. Comme prévu, Simone Inzaghi est la star de la conférence de presse d'avant-match au Suning Training Center. Buvez ses paroles. L'Inter arrive dans des meilleures conditions physiques et mentales. Est-ce le meilleur moment pour jouer ce match ? "La qualification pour les demi-finales de la Ligue des Champions, la finale de la Coupe d'Italie et les derniers résultats nous ont permis de préparer au mieux les matches. Demain c'est le derby, on connaît tous l'importance qu'il a et nous voulons y faire face de la meilleure façon possible." Comment vont Lautaro et Correa ? "J'étais attaquant, nous avons eu un moment où ils ne pouvaient pas marquer et maintenant ils le font. J'étais calme même avant. Le problème, c'est quand vous ne pouvez pas avoir d'occasions, nous en avons eu. Maintenant, tout le monde a marqué , ils doivent continuer comme ça, eux et l'équipe." Dans quel état d'esprit l'équipe arrive-t-elle ? "Eh bien, il faudra de la tête et du cœur. Je n'ai aucun doute sur le cœur. Il faudra savoir bien l'utiliser avec la tête. Il y aura des pièges et des imprévus. Nous jouerons sur 180 minutes." Comment cela changera-t-il si Leao est là ou non? "Nous connaissons les qualités du joueur et qu'il soit ou non là n'affectera pas notre plan de match. Nous avons rencontré Milan à plusieurs reprises. Ce n'est pas seulement une équipe de construction, ils ont aussi d'excellents dribbles. Nous devons être bons à toutes les étapes." Puisque Brozovic est là, y a-t-il une possibilité que Calhanoglu soit absent ? "Il y a beaucoup de matchs en peu de temps, demain on aura un déplacement mais je suis serein car les gars savent que je dois choisir et s'ils ne jouent pas dès le début ils seront très utiles plus tard, comme c'était aussi le cas avec la Juventus et Benfica." Vous sentez-vous les favoris ? "Les matchs sont des histoires à part. On ne se cache pas, on veut tous jouer ensemble. Ce sera un pas énorme qu'il faudra franchir avec détermination et agressivité." Où et comment l'Inter a-t-elle perdu le premier et où a-t-elle remporté les deux autres derbies cette année ? "Dans ces sept matchs, nous avons gagné et perdu, joué en demi-finale et en finale. Nous devrons être très concentrés car il y a toujours eu des événements inattendus comme celui-ci. Nous avons été bons pour rester soudés et couvrir le terrain." Est-ce le match le plus important de votre carrière ? "Certainement. On a vécu beaucoup de finales. C'est le derby et on sait ce que ça représente, même pour moi. Je suis assez serein parce que j'ai vu les gars concentrés. Ça se jouera dans 180 minutes." Avant le match aller contre Porto, vous disiez que la Ligue des champions pouvait être gagnée. Qu'avez-vous vu à ce moment-là ? "Après avoir passé le groupe contre Barcelone et le Bayern, le groupe a acquis une grande conscience. Nous savons que tous les matches sont très difficiles. Porto et Benfica ont été des obstacles très difficiles à surmonter. Maintenant, il y a un autre obstacle encore plus important pour atteindre la finale." Quelles sont les différences entre les derbies de Rome et de Milan ? "Ils sont profondément vécus. Ils ont dit qu'il n'y avait pas de comparaison entre Rome et Milan, je dois dire qu'en réalité c'est aussi très ressenti ici." Lukaku a recommencé à marquer. Quelle est l'importance de cette amélioration ? "Il est très important, c'est pourquoi nous l'avons pris. La blessure l'a emporté pendant près de quatre mois. Maintenant, il nous aide comme le font les autres. Il est une arme supplémentaire pour nous. Tout aussi important a été le retour de Brozovic." Que vous êtes-vous dit pour que l'envie de jouer l'emporte sur la peur ? "Il ne doit y avoir aucune peur. Il doit y avoir un grand désir. Nous devons rester ensemble, avec nos fans, comme nous l'avons fait au cours de ce voyage. Nous et le club avons fait un blocus pour vivre ces soirées de la meilleure façon possible. Nous espérons qu'ils pourront nous offrir la finale qui en août était un rêve et maintenant nous sommes à 180 minutes." Le bilan serait-il encore positif si vous deviez sortir en demi-finale, vu le championnat perdu avec autant de points de retard ? "Vous avez raté quelque chose sur ce qui s'est passé ces derniers mois... On connaît évidemment l'importance de ce derby." Est-ce une Inter similaire à celle de Riyad ? "A l'époque, Lukaku et Brozovic étaient avec nous. En même temps, nous n'avons pas Skriniar et Gosens. Mais nous y sommes arrivés avec une grande envie et nous avons fait un grand match. Nous devrons être bons à répéter ce match." En un mois, le monde a changé. Que pensez-vous de ces moments ? "Nous savons que nous avons perdu des points sanglants en championnat. Nous nous sommes dit qu'il fallait se boucher les oreilles et pédaler. Nous savons que nous avons atteint une autre finale et maintenant une demi-finale. Il y a un énorme obstacle qui est Milan. En Serie A, le classement a été modifié mais il nous reste quatre matchs et nous avons beaucoup à faire." Traduction alex_j via FCInterNews
  13. Rafael Leao peut-il récupérer pour le match aller de l'Euroderby ce Mercredi ? Le portail Numero Diez a consulté le Dr Danilo Casali, expert en prévention des blessures musculaires dans le sport, pour avoir des éclaircissements sur le problème du joueur du Milan. Explications! Qu'elle est cette blessure ? "En regardant les images du match, le problème est survenu après son action intense commencée au milieu de terrain qui s'est terminée par sa chute après le tacle du gardien adverse sur le ballon. Mais malgré la même chute, il ne semble pas que la cuisse droite ait été victime de contractions qui pourraient placer cette blessure dans la case des traumatismes. La blessure de Leao devrait donc relever des blessures indirectes, dans lesquelles le muscle souffre de la somme des contraintes liées à l'activité. Plus précisément, les muscles adducteurs jouent un rôle important dans les coups de pied plats mais surtout dans la stabilisation des hanches et du bassin dans toutes les situations de jeu et un athlète très rapide et technique fait des demandes extrêmes sur cette fonction stabilisatrice." Mais quels sont les délais de récupération ? "L'élongation musculaire pour le long adducteur qui a touché Leao est un traumatisme de taille moyenne, comparable à une foulure, mais moins grave qu'une déchirure musculaire dans laquelle les cellules de la fibre musculaire sont fortement endommagées. Le calcul précis des temps de récupération est une responsabilité du médecin qui a posé le diagnostic, en possession de tous les éléments pour évaluer le timing et les besoins réels après les tests nécessaires. A titre indicatif et traduisant en jours le même diagnostic diffusé par la presse, il pouvait être absent même 20 jours mais tout dépendra de l'évolution de l'image suivie quotidiennement par échographie. Si après les premières images post-traumatiques l'évolution dans les jours suivants atténue le problème, ce temps pourrait également être considérablement réduit." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport suite à la confirmation de l’état de santé de Leao à deux jours du tant attendu EuroDerby Della Madonnina, le joueur est victime d’une élongation du muscle long de l’adducteur de la cuisse droite. Si l’état de santé du joueur sera réévalué quotidiennement, une décision ferme et définitive devra être prise impérativement mardi, voir même mercredi, avec un gros point d’interrogation. Depuis hier, il est évident que le Milan est appelé à opter pour un choix délicat car une élongation de ce type implique la lésion de certaines fibres musculaires et une récupération qui n'est pas immédiate. De plus, avec ce type d’élongation, il est très difficile de revenir sur le terrain en à peine quatre jours, et ce temps de récupération n'est possible que si la blessure est la moins grave possible : La solution la plus logique consisterait à conserver Leao au repos et à ne pas le lancer face à la Spezia, avec l’objectif de l’aligner sur le terrain pour le match retour au Meazza et, déjà hier, à l’intérieur même des bureaux du Milan, plus d’une personne était résigné à cette hypothèse. Risque à calculer L’alternative est de prendre le risque de forcer son retour pour mercredi soir, avec la possibilité de perdre Rafael Leao pour une période plus longue en cas de rechute : Si cela ne tenait qu’à Leao seul, il le prendrait très certainement car il n’a pas ressenti de douleurs et il va continuer ses séances de thérapies avec le but de réduire l’œdème dont il est victime : Toutefois, à ce jour, sa guérison est des plus improbables. Aligneriez vous un joueur qui n’est pas au Top de sa forme pour un tel match, avec le risque de le perdre jusqu’à la fin de saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. L'équipe de Pioli a plus d'imagination et de technique au milieu du terrain et plus de vitesse dans les contres, l'Inter répond avec une structure globale plus solide et un physique supérieur. La route est encore longue avant le double Derby de la Ligue des Champions qui décidera qui jouera la finale, mais à l'Inter et au Milan, impossible de ne pas y penser. L'équipe d'Inzaghi et de Pioli doit se concentrer sur le championnat, mais l'objectif est d'arriver en forme pour la double confrontation européenne. "Si Milan a plus de joueurs techniques et plus de vitesse, l'Inter répond avec une structure globale plus solide et un physique supérieur. Milan a des solutions à résoudre, l'Inter a une puissance athlétique qui vous permet de conquérir le ring tout en dirigeant avec une grande intensité le milieu de terrain, tout comme les attaquants qui pressent et travaillent beaucoup plus sans ballon que Leao et Giroud. Dans un double défi qui se jouera sur les nerfs, avoir des muscles et de la force pour intimider athlétiquement, n'est pas un détail. Dans des Derby bloqués, comme ceux de 2003, avec tant de difficulté à trouver le but, avoir à disposition des joueurs de grande taille dans la surface pour les coups de pied arrêtés est une ressource qui vaut de l'or". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  16. Auteur du but libérateur du Milan an Napoli, Olivier Giroud a défié l’Inter: "C’était spécial pour moi, j’étais frustré suite à ce pénalty raté, cela faisait des années que je n’en avais plus raté un, mais c’était important de rester dans le match, je n’ai pas abdiqué et je m’attendais à avoir une autre possibilité." "Leao a tout fait et j’ a i marqué pour les Tifosi, nous avons démontré un bel état d’esprit collectif et à présent on peut rêver: Gagner la Ligue des Champions serait spécial mais il reste des équipes extrêmement forte, nous allons faire la fête tous ensemble dans le vestiaire puis récupérer pour le championnat : Nous pouvons espérer, rêver, mais cela reste toujours difficile : il faut faire preuve de sérénité." Donnez-vous rendez-vous à l’Inter ? "Milano on Fire : Pourquoi pas, ce serait une belle demi-finale, mais Benfica n’a pas dit son dernier mot." Il n’y a plus qu’à…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. On a demandé au joueur qui il aimerait affronter au prochain tour entre Leao et Mario Rui! " Pas seulement les attaquants ou en phase offensive. L'Inter a beaucoup de qualités. Toute équipe qui atteint les quarts de finale de la Ligue des champions peut être très dangereuse". Goncalo Ramos , l'attaquant du Benfica, prochain rival des Nerazzurri, s'est confié à Skysport et s'est concentré sur les caractéristiques de la formation d' Inzaghi, "Nous devrons être attentifs et préparés à les affronter de la meilleure façon possible. Ai-je parlé à Leao ou à Mario Rui ? Je n'ai aucune préférence sur qui affronter dans une éventuelle demi-finale, nous devons d'abord jouer contre l'Inter et alors nous verrons", a ajouté le joueur qui a ensuite parlé avec son coach Schimdt . Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  18. Romelu Lukaku a reçu la solidarité du monde entier. Sportif et autre. A commencer par de nombreux joueurs de Milan. Mais rien de la Juve! Romelu Lukaku a reçu la solidarité du monde entier. Sportif et autrement. A commencer par de nombreux joueurs. De Leao à Bennacer jusqu'à Maignan, grande solidarité du monde Rossoneri pour l'avant-centre belge, victime d'ignobles insultes racistes tout au long du dernier match Juventus-Inter. Solidarité aussi des stars mondiales du calibre de Mbappè, Vinicius, Drogba. Mais, comme le rappelle la Gazzetta dello Sport, "personne de la Juve ne lui a parlé directement, du moins jusqu'à hier soir". "Ainsi que des messages publics et privés du monde entier - du président de la Fifa Gianni Infantino au Français Mbappé, en passant par le ministre des Sports Abodi et le Rossoneri Leao - l'Inter s'est occupé de chouchouter le Belge. Les dirigeants et l'entraîneur étaient près de lui, dans les heures qui ont suivi l'épisode puis aussi hier matin à Appiano ", souligne la Rosea. VERGOGNA!! HONTEUX Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  19. L'attaquant de l'AC Milan prend également position après ce qui est arrivé au Belge à l'Allianz Stadium Le résultat du champ s'estompa en arrière-plan. Le tête-à-tête Juve-Inter a été emporté par la polémique suscitée par les chants racistes subis à l'Allianz Stadium par Lukaku qui a inscrit le penalty égalisateur des Nerazzurri. Dans l'immédiat après-match, il n'y a pas eu trop de réactions à ce qui s'est passé. Seul Roc Nation , qui veille aux intérêts de Romelu, avait évoqué des chants racistes scandaleux subis par le joueur. En revanche, la tourmente avait éclaté sur les réseaux sociaux immédiatement après le match. Les images des chants dénigrants contre l'agresseur ont été immédiatement filmées et les institutions ont été priées de prendre des mesures. Dans les heures qui ont suivi, beaucoup ont pris position contre les chants racistes. De nombreux joueurs se sont alignés aux côtés du joueur de l'Inter. Rafael Leao, attaquant de l'AC Milan, l'a fait aussi. Dans une histoire sur Instagram, le joueur portugais a écrit: "Ibra a subi des chants racistes lors du match contre la Roma. Après avoir marqué, il a applaudi et a ensuite été sanctionné par l'arbitre avec un carton jaune alors qu'il avait déjà été insulté par tous les fans des Giallorossi. "Enfin rien n'a été fait, aucune sanction, aucune disqualification. Hier, Lukaku a reçu des chants racistes et encore une fois après avoir marqué un but, il a célébré et qui a été pénalisé ? Le joueur. Malheureusement, ce genre de chants continue de ternir le sport que nous aimons tant. Racism Out ". Il serait plus que grand temps que la LEGA se réveille pour infliger d'énorme sanction afin d'éradiquer ces parasites! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  20. Après la défaite concédée lors du derby della Madonnina, Simone Inzaghi et la défense intériste est sous le feu des médias italiens. Extraits. On commence par un article du Corriere della Sera publié aujourd'hui stipulant que l'Inter avait beaucoup à faire lors de la défaite 3-2 contre les Rossoneri. Une chose est que le Milan a clairement le gardien de but nettement meilleur puisque Mike Maignan a effectué un certain nombre de superbes arrêts tout au long du match, arrêts de classe qui n'ont pas pu être reproduits à l'autre bout par Samir Handanovic. Il y a aussi des questions qui doivent être posées à Simone Inzaghi en ce qui concerne les sélections qu'il a faites pour le match et aussi pour le moment de ses changements en seconde période qui n'ont pas eu le plein effet qu'il aurait voulu, avec seulement Edin Dzeko et Federico Dimarco faisant, un peu, la différence. Ensuite, l'analyse de FCInter1908 a évoqué le fait qu'Inzaghi a une fois de plus montré qu'il n'avait peut-être pas l'esprit tactique et calme qui est nécessaire dans les grands matchs comme celui du derby. Le XI de départ n'a pas semblé fonctionner car Joaquin Correa n'a pas pu affecter le match. Les changements d'Edin Dzeko et de Federico Dimarco ont brièvement amélioré l'équipe, mais les autres changements semblent arriver bien trop tard car le Milan menait déjà 3-1. Avant de marquer le premier but, il était clair que les Rossoneri étaient l'équipe qui avait le dessus et l'entraîneur a peut-être raté sa chance de renverser la vapeur avant le Milan prenne le large. On poursuit avec l'Interista qui se focalise sur la défense. En effet, elle semble être très perméable cette saison puisqu'elle a encaissé huit buts en seulement cinq matchs. Seul Cremonese en a concédé plus lors de ses cinq premiers matches. C'est l'un des principaux domaines à blâmer pour la défaite, mais Simone Inzaghi a également reçu beaucoup de critiques pour les changements qu'il a apportés et qui sont arrivés trop tard dans le match. Simone Inzaghi a obtenu 5,5 sur 10 par Tuttosport et TMW, 5/10 par La Gazzetta dello Sport et L'Interista, puis le Corriere dello Sport lui a donné 4,5. Stefan de Vrij a été critiqué pour son attitude dans ce match et en particulier pour le faible marquage sur Rafael Leao pour les deux buts de l'attaquant portugais. Pour cette raison, il a obtenu des notes très faibles de la presse italienne. La Gazzetta dello Sport, TMW et L'Interista lui ont donné 4,5 sur 10, tandis que le Corriere dello Sport et Tuttosport lui ont donné 4/10. Denzel Dumfries a été critiqué pour les moments où il a semblé perdre sa concentration défensivement, ce qui a coûté à l'Inter à plusieurs reprises. Il a également été critiqué pour ne pas avoir livré de bons centres dans la surface, ce qui est une marque de fabrique de son jeu dans un bon jour. Il était autorisé pour ne pas trop marquer Rafael Leao, mais cela a ensuite déséquilibré l'Inter et a donné au Milan un moyen d'exploiter cette faille. Il a reçu une note de 5/10 de La Gazzetta dello Sport, Tuttosport et L'Interista. Il a obtenu 5,5 du Corriere dello Sport et TMW. Traduction alex_j via Sempreinter.
  21. En effet, dernièrement, l’Inter a perdu son imprévisibilité et est en manque d’inspiration en phase de but. A tel point que, selon la Gazzetta Dello Sport, Simone Inzaghi pourrait créer la surprise ce soir: Une tactique déjà essayée en début de saison! "Une solution serait de recourir au 3-5-1-1 de la Lazio. Dzeko a des caractéristiques opposées à Immobile, mais Inzaghi peut déplacer Çalhanoğlu en deuxième pointe, comme il l'a fait avec Luis Alberto, en insérant Vidal au milieu de terrain pour tenter le "coup d’état" dans ce secteur." "Qui sait si Inzaghi y pensera. Dans ce dispositif, l’un des milieux de terrain de l'Inter pourrait aider la défense qui ferait face à des trois contre trois trop risqué : Leao (en vitesse) contre Skriniar, Giroud sur De Vrij et Messias (venant de loin) contre Bastoni pourraient poser des problèmes" Selon vous, faut-il tenter cette nouvelle approche ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Nous avons le plaisir de vous proposer une analyse condensée de plusieurs journaux qui font état d’une situation inédite et Historique, en Serie A Une première pour la Repubblica "2 points pour les trois premières équipes, tel est le maigre butin conquis lors de la 26ème journée de championnat récolté par le Milan, l’Inter et le Napoli: Nous sommes très loin d’assister à un rendement de premiers de classe. Pour la première fois depuis la saison 2010/2011, saison où Massimiliano Allegri était sur le banc du Milan Ac, aucun entraîneur en cours n’a jamais remporté le Scudetto." "Entre Stefano Pioli, Simone Inzaghi et Luciano Spalletti, le seul à être parvenu à réaliser une saison Da Scudetto en terme de points, c’est bel et bien le dernier…sans y parvenir : Lors de la saison 2016/2017, sa Roma composée entre autre d’Alisson et Salah était parvenu à récolter 87 points, pour se retrouver derrière la Juve. La meilleure saison de Simone Inzaghi remonte à la saison 2019/2020, avec 78 points au compteur. Stefano Pioli en a engrangé un de plus la saison dernière, en terminant à la seconde place, à 12 points de l’Inter. Lorsque l’on regarde la parcours global des trois entraîneurs en Serie A, Stefano Pioli propose une moyenne de 1,50 points par match, contre 1,73 pour Spalletti et 1,85 pour Simone Inzaghi. "Le gagnant sera celui qui, par rapport à son propre rythme historique, sera capable d'accélérer vers la ligne d'arrivée. Tous les trois dirigent des équipes qui, en théorie, le permettraient. Et tout dépendra en grande partie de la motivation. Beaucoup de choses peuvent également dépendre du calendrier. Milan et Naples devront se rencontrer au Maradona le 6 mars. Des cinq premiers au classement, les Rossoneri devront faire face à l’Atalanta à San Siro et aux Azzurri à l’extérieur. L’Inter, elle, est attendue par la Juventus à Turin." "Ce championnat a démontré jusqu’à maintenant que n’importe qui peut perdre ou gagner face à n’importe qui…Une équipe parviendra-t ’elle à passer l’accélérateur ?" Gardiens, mode d’emploi Comme l’écrit le quotidien Liberi, le Scudetto passera également par les prestations des portiers des trois équipes, portiers pour qui cette 26ème journée de championnat a été catastrophique "La glorieuse 26ème journée a ravivé le feu des "petits" aux dépens des "grands" qui les ont abordé, peut-être, d’une façon trop présomptueuses, ce qui a eu comme conséquence un rebattement des cartes et la mise à nu de la variable du "Gardien de but". La journée qui s’est à peine terminée à mis en évidence une série de Fails à en tomber par terre." "Mike Maignan a fait rire les supporters milanais en décidant de s’envoler à Salerne, ce qui a ouvert la porte au retourné acrobatique de Bonazzoli lors de l’égalisation. La panthère française de 26 ans s'est vu attribuer le surnom de SuperMike: Il peut tout de même être aussi spectaculaire qu'efficace entre les poteaux, comme le prouve sa passe décisive à destination de Leao face à la Sampdoria. Toutefois, il présente encore de sérieuses lacunes dans son jeu aérien." "Pour Handanovic, âgé de 37 ans, à plusieurs reprises durant ses dernières années, il a fait s’égosiller les tifosi de l'Inter pour son inexplicable capacité à tenir le coup. Nous devrions dire sa capacité à rester figé sur place plutôt, certains l’on rebaptisé Poseman, en lui attribuant même le superpouvoir de dévier les ballons avec un regard laser. Il ne serait jamais arrivé à temps de toute façon, et il n’y est d’ailleurs pas parvenu dimanche dernier face à Sassuolo, lorsque le tir de pestiféré de Raspadori lui est passé sous les jambes, ouvrant la voie à l'effondrement de l'Inter, qui rêvait de reprendre seul la tête du classement." "Le moment magique des gardiens "Da Scudetto" a trouvé son épilogue lorsque Ospina a été surpris par le tir de Pereiro sur l’ouverture du score de Cagliari. Par la suite, le gardien colombien de Naples a sauvé les siens à trois reprises, mais sa situation présente un sentiment similaire d’incertitude que celui dont est atteint Samir Handanovic : Quelle est le vrai visage des deux gardiens ?" Pour Tancredi Palmeri, intervenu sur TuttoMercatoWeb, les trois grands se tirent vers le bas "L’Inter, le Milan et Naples se sont tirés mutuellement vers le bas. Chacun a un problème qui lui pèse : L'Inter souffre d'un déclin physiologique à la suite d’un premier tour joué à 1000 à l’heure, le Milan a un problème de mentalité dû à son manque d'habitude de jouer pour des titres et le Napoli a un problème de construction du jeu, vu qu'il souffre peu mais reste souvent bloqué dans la création: Ce sont trois problèmes qui peuvent être résolus, mais Milan a peut-être maintenant développé des anticorps, car les cadeaux faits contre la Spezia et la Salernitana pourraient être les derniers..." Enfin pour le Corriere Della Sera, il s'agira d'un Scudetto remporté au ralenti "Un Scudetto au ralenti: Cela fait dix ans que la première équipe du classement, après 26 matches, n'a pas récolté aussi peu de points. Même à cette époque, le Milan était en tête avec 54, mais la Juve, deuxième avec 52, a fini par remporter le premier de ses neuf championnats consécutifs. Cette saison est historique à certains égards. Celle-ci, au moins, est passionnante : Trois équipes en l'espace de deux points." "Pour retrouver un championnat tout aussi embrouillé, il faut revenir vingt ans en arrière, et à la saison 2001-2002. Nous gardons volontiers cette "incertitude" qui rime toutefois avec modestie par rapport au reste de l'Europe qui compte, car personne ne semble vouloir s'échapper. Une sorte de surplace, rappelant les années d'or du cyclisme sur piste." "Au début de l'année 2022, aucun des prétendants au titre n'a réalisé ou n'est sur le point de réaliser un tour d'honneur. Naples a marqué 15 points en 7 matchs, un de plus que l'AC Milan (14 points), et 7 de plus que l'Inter (8 points) qui, quelques minutes avant la fin du derby, semblait inatteignable et qui s'interroge maintenant sur une crise soudaine mais dangereuse". Assistons-nous vraiment à la saison la plus éclatée de l’Histoire du Calcio ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Ce samedi soir, à Giuseppe Meazza, deux des plus grandes entités du football européen, l'Inter et le Milan, s'affrontaient dans le cadre de la 24ème journée de Série A. L'enjeu était énorme pour les deux formations. Pour les hommes de Simone Inzaghi, il y avait la possibilité de s'échapper en tête de la Série A, en prenant 7 points d'avance sur son adversaire du jour. Les Rossoneri quant à eux avaient une formidable opportunité de récoller à 1 petit point de son rival Nerazzurri. Et c'est bien l'équipe de Stefano Pioli qui raffle la mise au cours d'un fantastique Derby della Madonnina. Retour sur un match qui laissera de gros regrets à l'Inter. L'Inter de Simone Inzaghi est fidèle à elle-même. Elle prend les commandes du jeu dès la première minute. De son côté, le Milan presse haut les Nerazzurri, avec notamment un "marquage à la culotte" de Franck Kessié sur Marcelo Brozović, le cerveau du milieu de terrain de l'Inter. Le début de match est plutôt haché, les contacts sont rugueux, autoritaires. Le jeu de l'Inter se passe en grande partie sur le côté du Néerlandais Denzel Dumfries, qui rencontrait un sacré client, en la personne de Theo Hernandez. Au milieu de terrain, la bataille tactico-physique fait rage : Marcelo Brozović, Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu d'un côté, et Ismaël Bennacer, Sandro Tonali et Franck Kessié de l'autre. L'on sent de grandes qualités techniques des deux équipes. Cela se confirme quelques minutes plus tard. Çalhanoğlu décale Ivan Perisić dans l'intervalle, qui centre fort en première intention au second poteau. Tout là bas, Dumfries mange Theo Hernandez et envoie une tête placée dans le tier inférieur des cages de Mike Maignan. Le stade exulte, mais bien malheureusement, Perisić est signalé hors-jeu au départ de l'action. C'est la première grosse alerte pour le Milan. Dans la foulée, à la onzième minute, c'est Brozović qui tente sa chance de loin. Sa frappe est déviée par Pierre Kalulu puis miraculeusement stoppée par Maignan. Les vagues déferlent, notamment du côté droit, où Dumfries domine Theo Hernandez. Le piston Interiste réalise très certainement son meilleur match sous les couleurs Nerazzurri. Barella déclenche lui aussi, de l'extérieur du droit. Sa tentative passe à côté du poteau droit de Maignan. Sur l'action suivante, Dumfries parvient à se retrouver seul en face à face avec Maignan. Mais le portier français remporte encore une fois son duel. Encore après, Edin Džeko contraint Kalulu à mettre sa tête pour sauver la maison Milanaise, sur une remise de la tête de Lautaro Martínez. Les occasions défilent, mais le but lui ne vient pas. Le Milan est noyé par l'Inter. Au milieu de terrain, le trio Nerazzurri prend l'ascendant sur celui des Rossoneri. Brozović se joue de Kessié, tandis que Barella et Çalhanoğlu se baladent à ses côtés. Devant, le duo Džeko-Lautaro domine la charnière Romagnoli-Kalulu. Derrière, l'Inter musèle parfaitement les attaquants Milanais, en particulier leur côté gauche Rafael Leão-Theo Hernandez. L'Inter maîtrise son match et son adversaire. La première frayeur pour l'équipe d'Inzaghi vient d'une frappe lourde de Tonali. Samir Handanović s'employe pour détourner la tentative du milieu Italien. Dans la foulée, une frappe de Leão est déviée de justesse par Perisić, qui voit le ballon filer à quelques centimètres du but d'Handanović. Le couperet tombe à la trente-huitième minute. Çalhanoğlu botte un énième corner dans la boite, et Perisić, qui vient de sauver une balle décisive, reprend le ballon de volée. Sa reprise ras de terre ne laisse aucune chance à Mike Maignan, enfin battu. Le Turc égalise Sergej Milinković-Savić au nombre de passe décisive en haut du tableau des passeurs de la Série A. La domination Interiste est récompensée. Les Rossoneri s'agacent, Theo Hernandez commet une vilaine faute sur Barella. Il s'en sort très bien, sans avertissement. La mi-temps arrive, mais Brozović en décide autrement. Le Croate envoie sur orbite Çalhanoğlu, mais une superbe sortie de Maignan coupe l'action et prive les Nerazzurri d'une balle de break. Dernière chaleure pour les coéquipiers de Tonali, les deux équipes rentrent au vestiaires sur ce score de un à zéro pour l'Inter. Tactiquement, Simone Inzaghi mate son adversaire du jour en bloquant tout ce qui fait ses forces. L'on parlerai presque d'une leçon de football. Au retour des vestiaires, Alexis Saelemaekers, totalement inexistant, cède sa place à Junior Messias. Le match redémarre là où il s'était arrêté : un bon enchaînement de passe se termine dans les pieds de Çalhanoğlu, qui est repris in-extremis par un énorme retour de Bennacer. Le match se poursuit de la sorte, avec tout de même un peu moins de rythme. Mais tout va changer à la cinquante-huitième minute. Pioli sort Kessié et fait rentrer Brahim Díaz. Le petit Espagnol, de part son petit gabarit et son agilité, perturbe énormément la défense Nerazzurri. Partant de là, le Milan ressort progressivement la tête de l'eau. Tonali s'essaie sur coup-franc, sans succès, puis Leão, qui voit sa frappe terminée dans les travées de Meazza. Le deuxième tournant du match vient à la soixante-dixième minute. Simone Inzaghi décide de sortir Perisić et Lautaro, pour faire entrer Alexis Sánchez et Federico Dimarco. Le match contre le Napoli, la semaine prochaine, est déjà dans les têtes. Mais ces changements sont le début de la fin pour l'Inter. Olivier Giroud égalise à un quart d'heure du terme, sur une passe contrée de Díaz. Les Nerazzurri perdent le contrôle du match, notamment à cause de la sortie de Perisić, qui fût un des meilleurs sur la pelouse. Dimarco ne parvient pas à réaliser la moitié du quart de ce que faisait le Croate. Le match va virer au cauchemar trois minutes plus tard, quand Giroud malmène Stefan De Vrij puis place une frappe puissante dans la petit filet droit d'un Samir Handanović pas exempt de tout reproche. Le Milan prend les devants et mène deux buts à un. La désillusion est totale. Une Inter qui avait pourtant tant dominée les débats se retrouve menée à dix minutes du terme. Inzaghi abandonne presque le match en sortant Brozović, sous le coup d'une suspension. L'Inter sort de sa rencontre et se tend, à l'image de Milan Škriniar. Les quelques coups de pied arrêtés sont mal négociés par Dimarco, décidément pas dans un bon jour. Le match va s'achever sur une faute dangereuse de Theo Hernandez sur Dumfries, qui va écopé d'un carton rouge. Il sera suspendu pour la réception de la Sampdoria. L'arbitre Marco Guida siffle la fin d'un Derby qui nourrira de gros regrets du côté des Nerazzurri, qui voient leur voisin se rapprocher à un petit point d'eux. À noter que l'Inter a toujours un match en retard, qui sera à joué contre Bologne. Toujours est-il que les hommes de Simone Inzaghi doivent vite se remettre la tête à l'endroit, car la semaine prochaine, ils iront au stade Diego Armando Maradona pour y défier le Napoli, qui a lui aussi la possibilité de revenir à 1 point en cas de victoire face à Venise. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Milan Buteur(s): 38' Perisić (I), 75' 78' Giroud (M) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (82' 36 Darmian); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (82' 8 Vecino), 20 Çalhanoğlu (73' 22 Vidal), 14 Perisić (70' 32 Dimarco); 10 Martínez (70' 7 Sánchez), 9 Džeko Banc: 7 Sánchez, 36 Darmian, 8 Vecino, 22 Vidal, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 97 Radu, 32 Dimarco, 41 Curatolo, 5 Gagliardini Entraîneur: Simone Inzaghi Milan (4-2-3-1): 16 Maignan; 2 Calabria, 20 Kalulu, 13 Romagnoli, 19 Hernandez; 8 Tonali, 4 Bennacer (80' 33 Krunić); 56 Saelemaekers (45' 30 Messias), 79 Kessié (58' 10 Díaz), 17 Leão; 9 Giroud Banc: 10 Díaz, 41 Bakayoko, 25 Florenzi, 27 Maldini, 33 Krunić, 23 Tomori, 30 Messias, 22 Lazetić, 46 Gabbia, 7 Castillejo, 83 Mirante, 1 Tătăruşanu Entraîneur: Stefano Pioli Arbitre: Marco Guida VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 21' Romagnoli (M), 60' Çalhanoğlu (I), 72' Díaz (M), 76' Bennacer (M), 84' Škriniar (I), 90+1' Krunić (M) Expulsé(s): 90+5' Hernandez (M) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  24. Le Derby de Milan se tiendra le 5 février prochain, celui-ci coïncidera avec le trentième anniversaire de Stefan De Vrij, le défenseur de l’Inter. Né en 1992, il fera face pour l’occasion au duo composé de Zlatan Ibrahimovic et Rafael Leao. Toutefois le joueur dispose d’une "arme" secrète Révélation de la Gazzetta Dello Sport Stefan De Vrij paie une société privée aux Pays-Bas pour analyser ses mouvements au cours d’un match afin de comprendre et de corriger ses éventuelles erreurs. Son analyste personnalisé porte le doux nom de Loran Vrielink, il le suit depuis 2017. Professeur de Gymnastique et fondateur de la start-up Tactalyse, il offre des leçons de tactiques privées aux footballeurs professionnels. Le travail réalisé par Vrielink se concilie avec celui des analystes de l’Inter et est considéré comme une valeur ajoutée précieuse pour réduire au minimum le risque d’erreur. La façon de travailler de Vrielink se base sur un constat très simple : Les équipes de football sont plus enclines à regarder la situation dans son ensemble que dans les détails, un aspect sur lequel il a décidé de se concentrer. La recherche de la perfection de De Vrij l’a également conduit à explorer la Programmation Neuro-Linguistique, ou PNL, une discipline qui sous-tend le travail de nombreux entraîneurs spécialisés dans l'accompagnement des athlètes. Cela lui a permis de retrouver son équilibre. De plus, trois heures avant chaque match, le défenseur suit des exercices visant à améliorer sa concentration par la respiration, grâce à une application développée par Wim Hof, sportif de l’extrême néerlandais devenu gourou de la méditation. Pensez-vous réellement que cela puisse apporter un bénéfice au joueur ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. L'Inter pouvait réaliser le coup parfait contre son rival à San Siro, dans le cadre de la 12ème journée de Série A. Les Nerazzuri, n'ayant pas su prendre le meilleur sur leur voisin milanais, devront, hélas, se contenter du point du match nul. Retour sur un match fort en intensité, en émotions, et qui nourrira des regrets pour les deux équipes. Le match débuté, les plans de jeu des deux équipes sont très vite identifiés. L'Inter joue en bloc bas/médian. Le Milan, quant à lui, montre de l'ambition dès la première minute en monopolisant le ballon, et en mettant une grande pression sur la surface Interiste. À peine le rouage Rossoneri huilé qu'un grain de sable vient déjà le perturber. Kessié récupère et est directement pris d'assaut par Džeko et Çalhanoglu. Le milieu Ivoirien commet l'irréparable et se fait avoir par le pressing du Turc. Il concède un penalty. Et comme un symbole, c'est bien l'ancien du Milan AC qui se charge de celui-ci. Hakan reste froid et vient ouvrir le score, malgré les huées de la Curva Sud. Ce pénalty conforte le Milan dans son plan de jeu. Il assiège les 16 derniers mètres de l'Inter. Leao allume les premières mèches à la 14' et 16', sans succès. Ensuite, Barella offre un coup franc à Sandro Tonali. Ce dernier, qui futun temps promis à la Beneamata, et comme un coup de poignard, offre l'égalisation au Milan, par le biais d'une superbe passe décisive à Stefan De Vrij. Le Néerlandais trompe son propre gardien. 1-1. Milan et San Siro exultent. Mais de son côté, Hakan Çalhanoglu semble boosté par l'accueil de ses anciens supporters. Le Turc réalise un gros début de match, généreux dans la dépense d'énergie, et créatif à la passe, malgré la bronca qui lui est réservée. À la 23', Lautaro Martinez défie Simon Kjaer côté droit. Le Danois remporte le duel. Le match s'intensifie. Vient ensuite la 25'. Fodé Ballo-Touré se fait feinter par Matteo Darmian, lancé en profondeur. Il vient alors concéder le deuxième pénalty de la rencontre. Cette fois-ci, c'est Lautaro qui prend ses responsabilités. Mais c'est bien le Roumain Ciprian Tatarusanu qui s'impose face à l'Argentin, laissant le tableau d'affichage inchangé. La physionomie du match reste la même. Les milanais ont la possession, mais une possession presque stérile. Les Nerazzuri quadrillent à la perfection le terrain et ne laissent que peu d'espaces à exploiter. Le seul à faire des différences se nomme Rafael Leao. Malgré une prise à deux systématique, le Portugais s'en sort souvent. Une frappe lourde de sa part à la 37' provoque un léger frisson. L'absence de Théo Hernandez se ressent côté Rossoneri, Ballo-Touré n'apportant pas le tiers du quart de ce qu'apporte l'ancien du Real Madrid. Lors des 5 dernières minutes de la première période, l'Inter augmente d'un cran le pressing. Bastoni dédouble avec Perisić. Il parvient à s'échapper côté gauche et à adresser un exellent centre en retrait pour Nicolò Barella. La frappe du natif de Cagliari est stoppée sur la ligne par Ballo-Touré. Dans la minute qui suit, c'est Lautaro Martinez qui tente sa chance, à la suite d'une combinaison avec Džeko et Darmian. Sa frappe rase le poteau droit de Tatarusanu. Daniele Doveri siffle la fin de ces 45 premières minutes à San Siro. L'Inter et le Milan partage l'enjeu : 1 but partout. Les deux équipes reviennent sur la pelouse au centre du volcan San Siro. Pierre Kalulu est entré à la place de Ballo-Touré. L'Inter maintient sa bonne forme des cinqs minutes précédentes. C'est au tour des Nerazzuri de mettre la pression sur la surface des Milanais. Les occasions s'enchaînent, dont une reprise d'un Çalhanoglu qui passe tout près du poteau droit de Tatarusanu, personne n'étant parvenu à couper cette balle. Les minutes s'égrainent, le score ne bouge pas. Les premiers changements arrivent à la 59', et les sorties de Leao et Diaz, pour Saelemaekers et Rebić. Le Croate fait mal à Darmian dès son entrée en jeu (littéralement). Nouveau coup de gaz de son compatriote Ivan Perisić à la 66', encore une fois sans succès. Sur l'action suivante, Barella effectue un très bon retour défensif, mais se blesse à la cuisse. Aucun risque n'est pris. Il cède sa place à Arturo Vidal. 68' : Zlatan tente d'enrouler un de ses premiers ballons exploitables. Il ne fait pas assez tourner son ballon, ce qui n'inquiète pas Samir Handanović. Tonali sort pour Bennacer à la 69'. Un des tournants de ce bouillant derby est la double frappe de Vidal, stoppées par Kalulu. Ces deux frappes seront les derniers dangers sur les buts Rossoneri. Darmian et Džeko sortent, visiblement à bout, au profit de Denzel Dumfries et Joaquín Correa. Malgré toute la bonne volonté de Simone Inzaghi, ses changements semblent déséquilibrer l'équipe. À l'approche du derniers quart d'heure, le Milan ressort peu à peu la tête de l'eau. Zlatan teste Samir Handanović sur coup franc. Le Slovéne sort la puissante frappe du Suédois. Le ballon fuse à gauche et à droite de la surface Interiste. Le danger semble pouvoir venir de n'importe où. La tension atteint son paroxysme lors de la 89'. Alexis Saelemaekers s'échappe au milieu de terrain. Il prend sa chance à ras de terre et manque de surprendre Samir Handanović de quelques centimètres, sa frappe venant s'écraser sur le poteau. Kessié suit, reprend en une touche et manque le cadre, à nouveau de quelques centimètres. Daniele Doveri siffle la fin de la rencontre au bout de 3 longues et irrespirables minutes de temps additionnel. L'Inter et le Milan partagent les points au terme d'un derby bouillant. Les Nerazzuri affronteront le Napoli, leader de Série A à égalité de points avec le Milan, le dimanche 21 novembre à 18:00, pour tenter de se rapprocher de la première place. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Milan 1-1 Inter Buteur(s): 11' Çalhanoglu (I), 17' De Vrij csc (M) Milan (4-2-3-1) : 1 Tatarusanu; 2 Calabria, 24 Kjaer, 23 Tomori, 5 Ballo-Touré (45' 20 Kalulu); 8 Tonali (71' 4 Bennacer), 79 Kessié; 10 Diaz (58' Saelemaekers), 33 Krunić (84' 41 Bakayoko), 17 Leao (59' Rebić); 11 Ibrahimović Banc : 64 Pellegri, 83 Mirante, 9 Giroud, 27 Maldini, 14 Conti, 25 Florenzi, 46 Gabbia Entraîneur : Stefano Pioli Inter (3-5-2) : 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (84' 32 Dimarco); 36 Darmian (76' 2 Dumfries), 23 Barella (68' 22 Vidal), 77 Brozović, 20 Çalhanoglu, 14 Perisić; 9 Džeko (76' 19 Correa), 10 Martinez (84' 7 Sánchez) Banc : 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 33 D'Ambrosio, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 97 Radu, 12 Sensi Entraîneur : Simone Inzaghi Arbitre : Daniele Doveri Averti(s): 26' Ballo-Touré (M) Expulsé(s): / ®Aurios-Inter - Internazionale.fr
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