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  1. En marge de la présentation de la nouvelle édition du Campus Vicente Del Bosque, Luis Figo s'est exprimé sur la Ligue des Champions L'ancien joueur a eu son mot à dire sur la Ligue des champions : « En Ligue des champions, il faut toujours compter sur le Real Madrid, mes favoris sont Manchester City et le Bayern Munich. L'inter a des matchs compliquées et je les mets plus derrière les autres », a déclaré l'ancien joueur des Nerazzurri. L'équipe de Simone Inzaghi affrontera Benfica en quart de finale, une équipe à ne pas sous-estimer. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  2. L'entraîneur actuel de Fatih Karagumruk et ancien milieu de terrain légendaire de l'AC Milan, de la Juventus et de l'Inter, Andrea Pirlo, s'attend à une demi-finale égale et imprévisible de la Ligue des champions entre l'Inter et Benfica. S'adressant au journal milanais Gazzetta dello Sport dans une interview publiée dans l'édition d'aujourd'hui, via FCInterNews , le joueur de 43 ans a donné sa prédiction avant l'affrontement des Nerazzurri contre les leaders de la ligue portugaise avec les huit dernières équipes du top européen. Alors que l'Inter peut ressentir un certain soulagement d'avoir raté Manchester City, le Bayern Munich et le Real Madrid lors du prochain tour de la Ligue des champions, ils ne sous-estimeront guère l'ampleur du défi auquel ils vont être confrontés. L'équipe du Benfica de Roger Schmidt vole non seulement en haut du classement national portugais, mais elle a déjà éliminé la Juventus de la phase de groupes de la Ligue des champions cette saison en plus d'obtenir deux matchs nuls mérités contre le Paris Saint-Germain. Interrogé sur le match nul, Pirlo a déclaré que "l'équipe portugaise est la surprise de la saison". "Ils ne peuvent pas être sous-estimés", a-t-il poursuivi, "Schmidt les a fait jouer un style de football intense et dynamique." "Cependant, sous Simone Inzaghi, l'Inter est une équipe de premier plan, et ils peuvent battre n'importe qui", a ajouté Pirlo. Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  3. Les propos du journaliste : "Le scénario voit Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter" S'adressant aux micros de TMW Radio, Fabio Santini , journaliste, a ainsi évoqué un possible retour d' Antonio Conte à l'Inter : « Conte gagne 15 millions nets par an à Tottenham. Je vois Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter : l'Inter n'a pas d'argent, ils ne peuvent pas supporter un entraîneur aussi fort avec une présidence aussi faible. Je n'exclurais donc pas les Romains, s'ils décident de réduire son salaire, ou une année sabbatique en bonus. Telle est la situation, voyons maintenant ce qui va se passer. Il a le profil adapté à une reconstruction. Si l'Inter voulait se reconstruire, il serait idéal. Je le vois bien à Rome pour ça. Reviendrait-il vraiment à l'Inter ? Oui, il y a déjà eu des contacts il y a quelque temps mais l'Inter n'y arrive pas." Antonio prépare t-il son retour en Série A? Traduction Lindt Via Fc Inter1908
  4. Ainsi, l'ancien joueur de l'Inter et du Réal... Christian Panucci a commenté en studio à Mediaset le passage de l'Inter au tour suivant de la Ligue des champions. L'Inter atteint les quarts de finale de la Ligue des champions. C'est ainsi que l'ancien joueur Christian Panucci a commenté à Mediaset en studio le résultat obtenu par les Nerazzurri face à Porto : « L'Inter a très bien défendu, ils ont aussi eu un peu de chance au final, mais sur les deux matches ils ont mérité le passage en quart de finales. L'Inter a une grande expérience, quand il faut souffrir c'est bien, il y a une grande satisfaction pour les quarts de finale, mais les difficultés en championnat restent ». Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
  5. En effet, Simone Inzaghi doit avoir les oreilles qui sifflent, car s'il ne se montre pas à la hauteur des espérances placées en lui, il pourrait purement et simplement prendre la porte. Deux successeurs sont déjà désignés, deux personnalités d'ailleurs très bien connue de Romelu Lukaku! Antonio Conte Soit le retour de l'Homme du 19ème Scudetto, de l'Homme qui fait de Romelu Lukaku, le meilleur joueur de la saison du Tricolore et pour le Times: "Antonio Conte est de retour en fonction après avoir séjourné en Italie durant trois semaines suite à l'ablation de la vésicule biliaire, et cette pause a également renforcé son désir de rentrer chez lui à la fin de la saison" "Et si l'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus se concentre évidemment sur le terrain, avec la rencontre face à l'Ac Milan à portée de main qui pourrait lui permettre de se qualifier, une élimination européenne de Tottenham verrait les chances de voir Conte et le club se séparer en fin de saison, à l'expiration de son contrat, augmenter." "Si les Spurs ont la possibilité de lui prolonger son contrat d'un an, l'entraineur a déclaré qu'il ne resterait la saison prochaine que s'il était heureux, et il est prévu qu'il retourne en Italie cet été. Et bien plus qu'une ambition légitime, c'est peut-être l'envie de rentrer au pays qui fera la différence. Conte vit à l'Hôtel depuis qu'il est arrivé à Londres et il a souvent fait part d'un manque familiale, une famille qu'il tente toujours de joindre dès que possible." Mais où entrainer la saison prochaine ? "L'Inter qu'il a emmené au Scudetto en 2021 s'est renseignée de manière informelle, il pourrait y avoir un intérêt de la Roma si José Mourinho part alors qu'il lui reste un an de contrat, comme cela a été évoqué en Italie. L'Ac Milan s'était intéressé à Conte en 2017, mais il risque d'être trop exigeant pour eux même s'ils se séparent de Stefano Pioli, actuellement sous pression suite à sa défaite 2-1 face à la Fiorentina et une cinquième place en Serie A. Si la Juventus aurait aimé recruter Conte, elle est plongée dans un scandale financier qui rend tout retour improbable". Thomas Tuchel Soit le pire choix possible pour Romelu Lukaku! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "L'allemand a étonné l'Europe du Football en remportant la Ligue des Champions avec Chelsea en 2020-21, mais le nouveau propriétaire des Blues l'a remercié en septembre dernier." "Après avoir pris quelques mois de repos, il est maintenant prêt à se lancer à nouveau dans la bataille. Et avec Mauricio Pochettino (qui le devance), il est le candidat le plus sérieux pour reprendre le banc du Real Madrid, même si Raul et Arbeloa sont également en lice, si jamais Carlo Ancelotti accepte l'offre de la Fédération Brésilienne de Football ou si Florentino Perez choisit, en fonction d'un manque de résultat, de se séparer de l'entraîneur italien à un an de la fin de son contrat ." "Tuchel a un profil international qui en impose, lui qui a déjà coaché le Borussia Dortmund, le Paris-Saint-Germain et les Blues de Chelsea. La fin de son aventure à Londres l'a amèrement déçu et il a en lui un grand désir de revanche. A Paris, certains regrettent de l'avoir limogé trop vite, tandis qu'en Angleterre, de nombreuses rumeurs font état d'une cour de la part de Tottenham si Antonio Conte ne prolonge pas l'aventure, sans oublier West Ham. "Tuchel a également ses admirateurs en Italie aussi : L'Inter le tient en très haute considération et si la fin de saison d'Inzaghi n'est pas à la hauteur des attentes, il pourrait faire partie du "Casting" de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio. Mais attention à la Roma qui, si elle ne retient pas Mourinho, pourrait miser sur un entraîneur avec une carrière dans un grand club" Selon vous, Inzaghi sera-t'il limogé en fin de saison ? Si oui, qui de Conte ou de Tuchel recruter si cela s'avère possible ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  6. C'est une révélation de la Repubblica: José Mourinho pourrait faire son retour à Milan, toujours du côté Nerazzurro! En effet, sa relation avec son Directeur Sportif, Tiago Pinto, est celle de deux personnes qui,: "Sur de nombreux sujets ont des visions opposées, mais qui doivent coexister et le faire dans l'intérêt commun." " "A la fin de la saison, je parlerai" - Telles sont les paroles de José Mourinho à l'issue du match face à Vérone qui ont fait grand bruit et il est clair que n'importe qui penserait immédiatement à un départ de la Roma, compte tenu aussi des rapports qui ne sont pas vraiment idylliques avec Tiago Pinto" "Et cette situation le rend très attractif sur le marché: Ces dernières heures, il a d'ailleurs surgie la suggestion milanaise d'un possible retour à l'Inter, mais il reste toutefois de comprendre les plans à venir du Club Nerazzurro. D'autres rumeurs font état de l'intérêt du Real Madrid et du Paris-Saint-Germain, mais celles-ci sont basées sur l'estime que portent Florentino Perez et le Directeur Sportif parisien Luis Campos au portugais, eux qui sont bien plus proche personnellement de lui, alors qu'à Rome, la relation glaciale avec les Friedkin continue de se cristalliser". Seriez-vous pour un retour de notre Historique et Légendaire entraîneur ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  7. Simone Inzaghi s’est présenté à la conférence de presse de l’avant-match d'Inter-Porto valide pour les huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions en présence de Francesco Acerbi : Pour une meilleure lecture, les deux interviews ont été découplées Que devra proposer l’équipe, sur le terrain, demain ? "Nous connaissons l’importance que représente ces huitièmes de finale, il me vient en tête les deux rencontres face au Real et face à Liverpool, ou celle face au Bayern et face à Barcelone cette année : Ce sont des rencontres internationale très engagées, dans ce type de rendez-vous c’est le mental qui compte : Nous devrons surmonter les difficultés en équipe." Que pensez-vous de Conceiçao? "Je reverrais Sergio avec beaucoup de plaisir, il a été un excellent compagnon d’équipe avec qui je partage des victoires à la Lazio : C’est un excellent entraîneur qui réalise de très grande choses : Il propose un football technique et physique: Porto est très fort et il vient d’enchainer dix victoires de suite, il est composé de joueur de qualité, même s’ils ont, comme nous ou comme dans chaque équipes, des joueurs incertains mais indépendamment de qui jouera, Sergio s’est montré très brave pour y apporter une véritable organisation d’équipe." La qualification se décidera-t ’elle ici ou à Porto ? "Il y a 180 minutes, nous serons devant notre public et nous voudrons réaliser une très grande rencontre et je tiens à voir une rencontre composée de course et de détermination face à un adversaire qui a toujours réussi à faire de belles choses face aux équipes italiennes, j’espère que l’on intervertira la tendance." Que conseil donneriez-vous à Conceiçao s’il voulait s’envoler pour l’Italie ? "Qu'il fera lui le bon choix, Il entraine les Champions du Portugal et il sait ce qu’il y a de mieux pour lui, je le reverrai avec beaucoup de plaisir." Que vous a enseigné vos deux confrontations lors du précédent huitième de finale ? "Un huitième est diffèrent d’une rencontre de qualification, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en ayant conscience de la difficulté qui se présentera à nous: C’est un adversaire qui est habitué à ce type de match et qui fera face à une Inter en condition, qui va bien et qui voudra jouer au mieux sa chance." Avez-vous déjà décidé du duo d’attaque ? "J’ai des doutes mais qui ne concerne pas seulement le duo, je dois quotidiennement choisir et chercher à faire de mon mieux pour le bien de l’Inter." Y-a-t ’il une équipe favorite ? "Je ne sais pas, je sais que nous ferons face à une équipe joue souvent les huitièmes ou les quarts, qui a énormément de qualité et un attaquant qui est le meilleur donneur d’assist de la compétition : Il faudra faire preuve d’une attention maximale." Vous avez souvent tenu la dragée haute dans les grands rendez-vous, mais vous n’avez su prendre le meilleur que sur Barcelone : Qu’a retenu l’équipe de ces expériences ? "L’Inter ne parvenait plus à rejoindre les huitièmes de finale depuis onze ans et il y a aussi de l’amertume pour notre match aller face à Liverpool : Certaines rencontres bien précises te font grandir et nous aborderons la rencontre de demain avec confiance, en étant dans de bonnes conditions et en ayant conscience qu’il faudra réaliser un très grand match." Arriver en quarts de finale pourrait-il être, d’une certaine façon, la conclusion de ce biennale à l’Inter ? "Il ne faut pas mettre de conclusion, nous disputerons ce huitième avec confiance car nous y avons gagné le droit de le disputer d’une façon incroyable : Nous chercherons à jouer notre chance lorsque cela se présentera, tout comme Porto." Quelles sont les difficultés à venir dans ce type de match ? "Porto vient parfois te chercher haut et d’autres fois il se montre attentiste, il faut disposer d’une stratégie et comprendre quand il faudra prendre des risques et quand il faudra se montrer prudent." Que faudra-t-il faire demain en particulier ? "Demain, le mental sera important et il fera la différence sur les 180 minutes : Il y aura des moments de difficultés et nous devrons y faire face en équipe car Porto évolue en équipe et ne se perd pas sur le terrain: Il faudra réaliser un grand travail d'équipe." Quel est le saut de qualité nécessaire ? "Il faut continuellement faire preuve d’amélioration, c’est un travail qui a lieu dans le temps et nous cherchons quotidiennement à nous améliorer : Les garçons se sont toujours montrés volontaires et j’en retire une grande satisfaction. Il y a aussi de l'ambition, ce qui est quelque chose d’important." Vous manque-t-il un joueur capable de passer l’Homme ? "C'est un profil qui nous manque, mais nous y travaillons". Comment vont Lukaku et Brozovic ? "Ils vont très bien, ils sont en train de récupérer. Brozo a été longtemps absent, à part l'intermède de la Coupe du Monde. Maintenant, il augmente son temps de jeu. Lukaku, lui, a repris plus tôt et il fait beaucoup d'efforts. Ensuite, pour eux comme pour les autres, je ferai les meilleurs choix pour l’Inter: Ceux qui ne débuteront pas le match dès les premières secondes seront utile au cours de la rencontre car ce sont les dernières minutes qui sont les plus importantes dans ce type de match étant donné que les équipes s'étirent et libèrent des espaces." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. C’est une information en provenance de la Gazzetta Dello Sport, : A la Viale Della Liberazione, et sans rapport avec un éventuel échange avec Marcelo Brozovic, on commence à entrevoir l’arrivée de l’Ivorien, lui qui est très proche d'un Hakan Çalhanoğlu qui aimerait bien le revoir à la Pinetina. "A Appiano, Franck Kessié peut être considéré comme une chemise ou un jean : Il n’est jamais passé de mode et Franck pourrait être considéré à un vêtement que l'Inter voulait déjà porter l'été dernier, avec des Nerazzurri qui ont même cherché à lui faire une place dans l’armoire, lors des derniers jours d’un mercato hivernal en hypotension." 'Le mois de juillet à venir pourrait être le bon moment pour le recruter : Le Club de Steven Zhang s’attelle déjà pour offrir à Simone Inzaghi un milieu de terrain new-look : Intemporel Kessié est du gout de de l'entraîneur et des dirigeants de l'Inter. Et cette semaine et si les contacts avaient été interrompu au derniers jour du Mercato, ceux-ci ont repris : Les téléphones sonnent à nouveau, non pas une mais deux fois : d'un côté l'agent du joueur mécontent des rares minutes de Franck chez les Blaugrana et de l'autre, les dirigeants de l'Inter, intrigués par l'opportunité qui pourrait réapparaître en cours de route." "Les étoiles, en effet, s'alignent et les conditions se réunissent pour une nouvelle aventure milanaise de l'Ivoirien : Le désir de se rencontrer est mutuel et est de longue date, mais la nouveauté des dernières conversations est que l'arrivée de Kessié chez les Nerazzurri serait sans rapport avec un échange pure et simple de Brozovic : En janvier, une double plus-value, authentique et importante, aurait pris forme pour les deux clubs, également pour des raisons techniques : Brozovic est un Regista moderne et total qui pourrait s’avérer utile parmi les dribbleurs de Barcelone, tandis que Kessié apporterait le physique dont Simone a besoin dans un secteur en manque de poids et de centimètres." "La transaction pourrait toutefois prendre une autre tournure, même si l'Inter écoutera avec grand intérêt toute offre estivale pour le Croate, l'un des "sacrifiables" sur l'autel des comptes. Tout cela, sous réserve des performances de Kessié dans les mois à venir. Car Franck s’imaginait une autre vie en Catalogne lorsqu'il y a signé à gratuitement en provenance de l’Ac Milan, mais chez les Blaugrana, il n'y a pas de place pour frapper à la porte des titulaires, du moins tant que Busquets y règnera au milieu." Et ces derniers temps, l'Ivoirien est au moins devenu moins important qu'aux premiers jours et il commence à profiter des rares occasions qui lui sont offertes comme dimanche dernier, au Nou Camp, entré au jeu, il délivrait une passe décisive pour Jordi Alba contre Séville, avec en bonus une victoire qui permettait d’éloigner le Real Madrid du sommet. A la veille du match face à Villareal, Xavi avait eu aussi des mots doux pour l'ancien du Diavolo : "Franck est un joueur très fort physiquement, qui peut être important pour les prochains matchs. Il gagne beaucoup de duels, il sait comment entrer dans la surface, j'ai toute confiance en lui..."." Mais malgré cette éclaircie, Kessié veut un autre environnement : Il se souvient de l'époque où, à l'ac Milan, on l'appelait "Président" et où, avec cet air présidentiel, il dominait au milieu du terrain jusqu'à la conquête du Scudetto: Et cette situation, il aimerait la répéter bientôt à l'Inter, un club qu'il a toujours suivi avec intérêt et curiosité et il a dernièrement pu constater que le passage d’un joueur leader des Rossoneri à celui de joueur de référence des Nerazzurri n'est plus aussi compliqué qu'auparavant : Çalhanoğlu, son grand ami de l'époque de Milanello, a certes connu quelques turbulences, mais il est désormais devenu une idole incontestée de la Curva Nord." "Et le Turc est le principal sponsor de son atterrissage à la Pinetina : Franck avait l'habitude de demander à Hakan quand il devait se décider avec qui signer gratuitement. Et à présent, si l’Inter pouvait être une réelle possibilité. Sa curiosité pour le monde Nerazzurro n’a changé et les messages à son ami continuent égalemen: Après six mois en Liga, l'Ivoirien a compris que le championnat italien est celui qui lui était le plus adapté pour mettre en avant ses caractéristiques." Le Projet "La Direction Nerazzurra observe d’un coin de l’œil l’environnement de Kessié, elle qui devra procéder à une cession douloureuse avant et après le 30 juin : L'Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta et le Directeur-Sportif Piero Ausilio tenteront de maximiser le départ de Denzel Dumfries en termes de millions d'euros et devront très probablement mettre une autre pièce de l’argenterie en vitrine. Malgré cela, le pouvoir d'achat sera minime et c’est la raison pour laquelle les Nerazzurri aimeraient proposer au Catalan un prêt, au bon moment, conditionné d’un rachat la saison suivante car arrivé gratuitement, le prix final du milieu de terrain âgé de 26 ans, ne devrait pas dépasser les 30 millions d’euros." "Et si le contrat de Kessié avec Barcelone est encore long, puisqu'il expire en juin 2026, dans des cas comme celui-ci, seule la volonté du joueur peut impacter sur la suite des événements. C'est aussi pour cette raison que l'agent George Atangana a commencé à tisser la toile des mois à l'avance, tandis que Simone Inzaghi pense déjà à la place à lui donner dans un milieu de terrain de qualité : Il pourrait y remplacer tout le monde au milieu, y compris Brozo. En supposant que le Croate soit toujours à sa place dans l'Inter à venir." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
  11. AFP-LESOIR.BE - C'est l'information de la journée Super League: l’UEFA remporte une bataille judiciaire devant la Cour de justice européenne: En effet, La Cour de justice européenne a estimé que l’instance européenne a tout à fait le droit de sanctionner les clubs qui participent au projet de Super League. "L’avocat général de la Cour de justice européenne a estimé jeudi que l’UEFA était dans son droit lorsqu’elle a menacé de sanctionner les clubs à l’initiative du projet de Super League qui avait failli faire imploser le foot européen en 2021 : Les règles de la FIFA et de l’UEFA soumettant toute nouvelle compétition à une autorisation préalable sont compatibles avec le droit de la concurrence de l’Union", a estimé l’avocat général Athanasios Rantos. Si la décision de la CJUE n’est pas attendue avant début 2023, les conclusions de l’avocat général sont fréquemment suivies par les juges. Dans un tweet, l’UEFA dit saluer "chaleureusement des conclusions sans équivoque rendues aujourd’hui recommandant une décision de la CJUE en faveur de notre mission essentielle de diriger le football européen, de protéger son système pyramidal et de développer le football en Europe". La question posée à la CJUE est de savoir si l’UEFA, qui régule le foot européen tout en organisant la Ligue des Champions, l’Europa League et la Conference League, abuse de sa position dominante en voulant sanctionner les clubs mutins à l’initiative de ce tournoi privé et semi-fermé. Derrière cette question, apparemment technique, se joue non seulement l’avenir du football de clubs sur le Vieux Continent, mais plus largement la possibilité pour les instances sportives de protéger leurs compétitions, bien au-delà du ballon rond. Le specte de la Super League toujours bien là Pour l’avocat général Athanasios Rantos, l’UEFA était pleinement dans son droit: "Les règles de la concurrence de l’Union n’interdisent pas à la FIFA, à l’UEFA, à leurs fédérations membres ou à leurs ligues nationales de proférer des menaces de sanctions à l’encontre des clubs affiliés auxdites fédérations lorsque ces derniers participent à un projet de création d’une nouvelle compétition qui risquerait de porter atteinte aux objectifs légitimes poursuivis par ces fédérations dont ils sont membres" a-t-il encore estimé. Ce projet de Super League, une compétition privée lancée par douze grands clubs européens, avait été dévoilé en fanfare en avril 2021. Mais face à la fureur de nombreux supporters et à la menace de mesures politiques, l’affaire avait capoté en 48 heures. Neuf des douze clubs mutins, notamment les puissants clubs anglais, ont fait amende honorable, mais le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin continuent d’entretenir la flamme. Mais le spectre d’un tournoi privé a resurgi mi-octobre avec le lancement d’une structure baptisée A22 Sports Management, qui assure vouloir ouvrir "un dialogue" sur l’avenir du football européen de clubs en rencontrant chacun de ses acteurs. ®AFP-LESOIR.BE
  12. En effet, c’est l’information qui circule sur le net et qui aurait été dévoilée par Sky Sport Italia Voici ce que nous révèle le site football-italia.net dans un article des plus complet "L'Inter pourrait faire partie des clubs prêts à s'offrir Eden Hazard, mais seulement si l'international belge accepte une baisse de salaire par rapport à son salaire actuel au Real Madrid. Le joueur de 31 ans peut jouer en tant qu'ailier ou dans un rôle de trequartista central plus profond derrière l'attaquant. Son contrat actuel court jusqu'en juin 2024 et ne sera pas renouvelé, mais le Real Madrid pourrait potentiellement le libérer juste pour ne pas devoir payer ce salaire brut de 15 millions d'euros par saison." "Selon le journaliste de Sky Sport Italia Marco Barzaghi, l'Inter est à la recherche de quelqu'un ayant les caractéristiques de Hazard, mais ne serait pas prêt à couvrir son salaire actuel : L'international belge devrait accepter une grosse réduction de salaire pour que cela se réalise, en échange d'un temps de jeu régulier et de la possibilité de retrouver une partie de sa forme perdue." Selon les-transferts.com : "Alors qu’il vient de prendre sa retraite internationale, le joueur belge devrait être tenté par un départ en Italie. Néanmoins pour cela, il devra faire d’énorme sacrifices financiers. Les Intéristes ne peuvent pas assurer la totalité de ses émoluments. Un prêt assorti d’une option d’achat et une prise en charge d’une partie du salaire des Madrilènes seraient à l’étude." Pensez-vous réellement l’Inter capable de s’offrir en prêt Eden ? Car si l’ancien Diable Rouge pourrait être tenté par le Challenge Italien, il pourrait également être très tenté par un contrat très lucratif en MLS…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Dans un article paru aujourd'hui, Calcio e Finanza nous livre les mots échangés lors d'une réunion des huiles essentielles de la Juve qui s'est tenue le 24 Avril 2020. Nous sommes le 24 Avril 2020, l'Italie est en confinement au milieu de la pandémie. Même pour le top management de la Juventus, qui se réunit pour évoquer la situation financière dans le contexte du Covid, ce sont des moments délicats comme en témoigne le résumé de la rencontre qu'Ampolo joint dans un message envoyé à Pavel Nedved, Fabio Paratici, Federico Cherubini et Stefano Bertola. D'intérêt, notent les enquêteurs, les considérations attribuées dans le procès-verbal au président du conseil d'administration. Voici le texte complet des notes. "En nous réunissant aujourd'hui, nous avons pris conscience du moment économique difficile. On a vécu au dessus de nos moyens pour devenir numéro 1. Gros risques pris. Puis vint le Covid 19. Jusqu'au 30 Juin nous avons sécurisé les salaires du club. Malgré une perte comptable de 220 M€." "Nous devons restructurer notre production, c'est-à-dire les joueurs. Nous devons en prendre note et agir. Prenons 10-15 jours pour travailler chacun de son côté. Amenez la machine au niveau de durabilité pour vivre sans opérations extraordinaires. Opérations chanceuses : au cap pré Covid et accord joueurs." Agnelli aurait également exprimé des considérations sur d'autres clubs. "Le Barça, la Juve et le PSG sont les clubs les plus en difficulté en ce moment. Le Real et le Bayern sont les seules entreprises saines en ce moment." Il termine par une réflexion sur la prise de conscience de Giorgio Chiellini qui "sait que si nous ne jouons pas avant le 21 Mars, ils devront renoncer aux salaires." Incroyable de telles révélations... les bras nous en tombent! Traduction alex_j via Cacio e Finanza.
  14. André Onana s’est livré au cours d’une très longue interview dans le cadre de Sport Week le complément hebdomadaire de la Gazzetta Dello Sport : "J’étais à l’Ajax et, il y a déjà une paire d’années, Piero Ausilio venait de contacter pour la première fois mon agent, il lui avait expliqué comment était clairement la situation, sans tourner au tour du pot, quelque chose que j’aime." "Dès cette première minute, je me sentais déjà Nerazzurro avant que la négociation commence, j’ai commencé à me ressentir comme le gardien de l’Inter, jour après jour. Quand un tel club de cet envergure pense à toi, comment peux-tu dire non ? Tu es flatté et heureux. A présent, je suis ici, dans une ville si magnifique avec une Tifoserie incroyable qui commence à m'aimer." Mais avant d’arriver à l’Inter, que signifiez, pour vous, le Fc Internazionale ? "Ce serait trop facile de dire Samuel Eto’o vu le lien que nous avons, mais ce n’est pas nécessaire d’attendre d’endosser le maillot pour connaitre l’Inter, vu les nombreux champions qui sont passé ici, avec de grands gardiens interistes en passant de Toldo qui était le cauchemar de Franck De Boer à Julio Cesar qui est l’un de mes préférés, quand je repense qu’il a été quasiment le premier à avoir connaissance de mon transfert." Pourquoi quasi ? "Tout était prêt, réglé, mais je ne pouvais en parler à personne. Je déjeunais à Barcelone et un ancien joueur de l'Inter, Houssine Kharja, s'est approché de ma table et m'a couvert d’éloges, il a ensuite appelé un ancien équipier par téléphone et j’entends qu’il lui dit : "Julio, je suis avec Onana, tu sais à quel point il est très fort, qui sait, peut-être qu'un jour il sera comme toi à l'Inter !". Il me passe le téléphone et Julio s’est immédiatement montré très gentil, il me dit de continuer ainsi, je le remercie mais je me mords la langue : je ne pouvais pas lui dire que Kharja, sans le savoir, m'avait pris en flagrant délit...." "À partir de ce moment-là, j'ai souvent parlé avec Julio Cesar, en plaisantant sur cette situation : Il m’avait aussi surmotivé avant la rencontre du Nou Camp, en me disant aussi de rester très calme et de profiter de la soirée. Des mots spéciaux, qui sont restés gravé en moi." Etes-vous surpris par le fait d’avoir été, en si peu de temps, titulaire ? "Non, car je sais qui je suis, je sais ce que je vaux et je continue mon parcours de croissance, entrainement après entrainement, je sais qu’en faisant du bon travail, que mon moment allait arriver rapidement. Avant d’arriver, j’avais conscience que j’allais devoir disputer cette place avec un gardien extraordinaire, qui a écrit l’histoire du club, mais qui est aussi et vraiment très différent de moi." Pourriez-vous nous en dire plus sur cette diversité ? "Si quelqu'un me demande "Samir est-il votre modèle ?", je ne peux que lui répondre... "non". C'est précisément en raison de cette diversité entre nous. Mais j'ajouterais aussi que c'est un très grandissime champion car sinon, il ne serait pas resté ici, à ce niveau, pendant 11 ans : Face à Handanovic, je ne peux que lui tirer mon chapeau. Il appartient à une école italienne différente de la mienne : il est très bon et sûr entre les poteaux, alors que je me sens comme un gardien moderne et "proactif". Je suis celui qui prend des risques, qui sort, accepte le un contre un et qui joue beaucoup avec ses pieds. Ce sont simplement des façons différentes d’occuper le poste de gardien, c’un enseignement différent du traditionnel, auquel on s'habitue." "Au début, nous nous regardions bizarrement à l'entraînement et l'un disait à l'autre : "Ne fais pas ça, tu le fais mal". Et l'autre lui répondait : "Non, c’est toi qui tu le fais mal" (il rit, ndlr). Personnellement, je fais face à des nouveaux types d’entraînements que je ne comprenais même pas au début, mais qui peuvent me permettre surtout d’évoluer." Quels sont vos rapports, maintenant que vous êtes parvenu à lui prendre sa place ? "Nous parlons beaucoup plus qu’auparavant, Samir se comporte comme un vrai Capitaine, c’est un Leader reconnu et on le perçoit dans tellement de petite chose, il ne suffit pas de penser qu’à moi, mais à tous les aspects au quotidien de l’équipe. J’apprécie le fait qu’il me donne des conseils, qu’il me félicite pour une belle parade et qu’il me corrige si je me trompe. Et même, il faut se rappeler d’une chose : L’Inter, en tant qu’Institution, est quelque chose de plus important que moi, que lui, ou que quelqu’un d’autre : Nous avons tous le devoir d’honorer et de défendre ce maillot, nous sommes seulement de passage alors que le Club et le Peuple Interiste restera, ces derniers points sont ceux qui comptent vraiment." Est-ce mieux de débuter d’une façon banale ou de débuter face à une super équipe comme le Bayern, comme cela s’est produit pour vous ? "Tu ne peux pas te prononcer avant, car si le Bayern t’en colle 5, c’est le pire des débuts. En 2017, je me suis incliné avec l’Ajax en finale de l’Europa League face à Manchester United, ce n’était pas parce que nous étions inférieur à eux, mais parce que nous en avions eu peur. Le lendemain du match ma mère m’a appelé et m’a dit : "Je ne veux plus que tu aies peur sur un terrain de football, même si tu dois jouer face au Barça et au Real réunis : Si tu perds, ce ne doit plus être parce que tu as tremblé ou baissé le regard, mais parce que ton adversaire aura été supérieur." C'est devenu une règle de vie. En général, je m'entraîne et je vis pour défier de grandes équipes comme le Bayern et au final , ça s'est plutôt bien passé, même si je ne me réjouirai jamais d'une défaite." Ressentez-vous le fait que vous avez changé l’Inter, de par votre présence entre les cages ? "Je peux vous dire que l’équipe s’est habituée à mon style: A présent, si sur un centre je ne sors pas, Skriniar me lance un regard noirs et Dumfries me hurler Onaaaaa !Je leur réponds que je ne peux pas toujours sortir, pas toujours, mais le fait qu’eux sont sur mes talons comme ça me rend fier, cela veut dire qu’ils se fient à moi, qu’ils m’ont compris, qu’ils veulent que je prenne des risques. De plus, j’aime les rencontres où il y a des combats en défense, rien de plus ne peut m’exalter plus qu’une rencontre comme celle que nous avons tous joué au Nou Camp." "Je regardais de loin l’équipe et c’était un spectacle, elle était compacte, rapprochée, unique, elle bougeait comme un seul homme, patiente, même si mes anciens équipiers en catalogne nous ont accusé d’être sur la défensive. Quand on voit Skriniar s'en prendre à un joueur avec une telle hargne, je me prends dans la gueule sa motivation et je me dis : "Quel guerrier !. J'irais toujours au combats avec lui, tout le temps !" Mais tous nos défenseurs, sont si grands, si costauds, ils me font me sentir protégé. Même si je sais que nous encaissons trop de buts jusqu'à présent...". Pour certains, il se dit que vous exagérez à sortir avec une telle imprudence... "Je me bats pour l'équipe, pas pour ce qui se dit à l'extérieur. Si je peux attraper une balle haute, alors je peux relancer l’équipe vers l’avant rapidement. Plus je sors, plus on peut se relancer : Le gardien est le premier créateur de jeu maintenant." Une grande partie du mérite, à Barcelone sur le 2-3 de Robin Gosens, vous en revient… "Non, c'est toute l’Inter, c’est une équipe de très très haute qualité : Nous devons juste être conscients de notre potentiel et nous pourrions nous montrer des plus dangereux en Ligue des Champions, croyez-moi. Ce jour-là, j’ai relancé rapidement car j'ai vu Lautaro faire un mouvement avec sa main, comme un signal, et le reste de son action de jeu a été phénoménale avec une conclusion parfaite de Robin:Cette équipe de l’Inter est composée d’énormément de joueurs technique." Est-ce que Lukaku vous manque ? "Enormément, mais lorsqu’il reviendra, il donnera, comme toujours, son maximum. Et d’un autre côté, le peuple interiste l’adore, mais il l’adore vraiment : Lorsqu’il a commencé à s’échauffer face au Viktoria Plzen au Giuseppe Meazza, j’ai entendu un “ohhhh” incroyable accompagné d’un tremblement de terre sous mes pieds : Je n’avais jamais connu une telle manifestation d’amour, je n’avais jamais vu une Tifoserie aussi passionnée, mais savez-vous qui est vraiment le plus grand champion de l’Inter ?" Nous vous le laissons dire... "Alex Cordaz : C’est la personne la plus positive que j’ai pu rencontrer, c’est un être humain merveilleux, si tu arrives à Appiano triste suite à ta contre-performance, tu le regardes en face-à-face et il parvient à te changer ton humeur : S’il n’est pas là, ça ne le fait pas, il fait la toute la différence du monde, et ce n’est pas valable que pour moi, mais aussi pour tous mes équipiers. Ce n’est pas un fou mais c’est aussi grâce à Cordaz que Barella va plus vite : Je lui répète quotidiennement : Alex, c’est un Honneur pour moi de m’entrainer à tes côtés." Mais s’il y a autant de qualité dans l’équipe, pourquoi êtes-vous aussi en retard en championnat ? "Nous devons rester serein et dans le même temps admettre que nous avons mal démarré : Les choses peuvent changer vite aussi bien dans la vie que dans le Calcio, et nous savons que cette fois-ci nous disputerons deux championnats. Personne ne peut savoir, à la reprise, si le Napoli sera encore comme celui qu’il était jusqu’à présent. Mais, en attendant, nous sommes parvenus à redresser définitivement la tête hors de l’eau et à montrer que nous sommes tous vraiment fort, nous serons présent comme ça en février et ensuite, qui sait…" Qui vous a, hors du terrain, le plus aidé à vous intégrer ? "Je dirais un peu tout le monde: En plus de Rom, je partage une belle amitié avec Calha et Dumfries, qui est un autre joueur sur le terrain qui me plait car il n’abdique jamais, il se donne, il tente de toujours y aller en allant jusqu’au bout. Nous ne faisons pas énormément partie de la vie mondaine, mais je suis fier du groupe que nous sommes parvenu à nous créer: Il y a vraiment un très beau climat dans cette Inter." Comprenez-vous que les Tifosi aient déjà de l’affection pour vous ? "En plus de mes parades sur le terrain, j’apporte de l’énergie, de la folie, mais toujours positivement." Pour finir : Un message pour votre nouvelle Tifoserie ? "Je pourrais me toiler, mais je travaillerai quotidiennement pour être à la hauteur de l‘Inter pour que vous, les Tifosi, soyez fier de moi!." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Tuttosport nous livre une statistique impitoyablement intéressante concernant les performances à domicile et à l'extérieur de l'Inter d'Inzaghi. Atalanta-Inter devrait être l'occasion pour l'équipe d'Inzaghi de se relancer pour les matches à l'extérieur où les Nerazzurri ont perdu face à la Lazio, la Juventus, l'Udinese et le Milan. Voici l'analyse de Tuttosport. "L'Inter d'Inzaghi est un rouleau compresseur chez elle. Depuis qu'Inzaghi a repris les rênes de l'équipe, donc à partir de l'été 2021, l'Inter a joué 26 matchs à domicile en championnat et a enchaîné 20 victoires, 3 nuls et 3 défaites pour une moyenne de 2,42 points par match (67 buts marqués contre 20 encaissés). Seuls le PSG et Manchester City, en Europe, ont fait mieux au cours de cette même période (Août 2021 / Novembre 2022). L'écart avec les équipes italiennes est également très net: Milan a une moyenne de 2,23, Napoli de 2,12, la Juventus et la Fiorentina de 2 (toutes les autres sont à moins de 2 points)." "En revanche, à l'extérieur l'Inter d'Inzaghi a récolté quatre défaites et seulement trois victoires en sept matchs, contre Lecce, Sassuolo et la Fiorentina, pour une moyenne de 1,29 de points par match de seulement. Elle est loin des équipes en tête de ce classement, à savoir PSG à 2,75, Naples à 2,71, Real et Barcelone à 2,57, mais également des autres équipes italiennes, Lazio, Atalanta, Roma, Milan et Juventus, toutes au-dessus de 1,30. En ne prenant en compte que les équipes qui ont participé à la Ligue des champions, seuls quatre ont jusqu'à présent réalisé une pire performance à l'extérieur que de l'Inter, à savoir Séville(1,14), Bayer Leverkusen (1), Leipzig (0,86) et de manière incroyable Liverpool (0,83)." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
  17. S'exprimant en conférence de presse, Xavi est revenu sur les matches disputés contre l'Inter et le Real Madrid. "Nous avons joué avec nos idées. Au Bernabéu et aussi contre l'Inter, nous avons joué comme nous le voulions. Nous voulons être des protagonistes, plus près de la zone, avec une défense avancée. Parfois vous réussissez et parfois vous ne réussissez pas. En insistant, vous pouvez continuer à réussir." "Nous essayons de bien nous entraîner pour obtenir des résultats. On a les idées claires et les joueurs se sentent à l'aise." "Je me suis beaucoup plaint le soir d'Inter-Barcelone et ça n'a pas aidé. En fin de compte, c'est le jugement de l'arbitre et nous devons penser qu'il est honnête. Je pense toujours qu'en fin de saison, les erreurs et les avantages se compensent, se rééquilibrent. Voyons si la situation se rééquilibre." Traduction alex_j via FCInter1908.
  18. Tomas Roncero, journaliste et fan du Real, raille Barcelone et évalue très sérieusement les chances de qualification pour les huitièmes de la Ligue des champions après la défaite et le nul contre l'Inter. Tomas Roncero a commenté la victoire du Clasico contre Barcelone, florilège. "Je n'ai pas célébré de manière aussi euphorique car nous devons regarder les faits. Les faits sont que Barcelone a une grande histoire mais la dure réalité, c'est qu'il s'agit désormais d'une équipe de Ligue Europa." "La qualification possible ? Oui, bien sûr, Lourdes est là pour ça! Je leurs paierai un voyage à Lourdes si l'Inter ne bat pas le prestigieux Vitkoria Plzen. Bien sûr, il y existe une possibilité et cette possibilité s'appelle un miracle. Mais c'est Barcelone lui-même qui s'est dit résigné, c'est le scénario le plus réaliste. Je n'ai pas tellement célébré la victoire contre Barcelone parce que nous ne sommes pas le Barcelone qui a gagné 0-4 l'an dernier et célébré cela comme un trophée. Je fête la Ligue des champions, je ne bats pas un club d'Europa League." Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. C’est un Simone Inzaghi heureux, mais conscient d’être passé à côté d’un exploit Historique, qui s’est livré à la presse, suite à l'excellente performance Nerazzurra en Catalogne! En conférence de presse Un exploit ? "Il y a de l’amertume vu ce que nous avons proposé : Avec la victoire, nous aurions clos le discours de la qualification avec deux journées encore à disputer, cela aurait été importantissime vu le calendrier : Nous avons fait deux rencontres pleine de course, d’intensité et de détermination face à Barcelone." Cette victoire peut-elle sonner la révolte ? "Nous avons réalisé un grand match, nous voulions l’emporter et entrer dans l’Histoire car, en Ligue des Champions, l’Inter ne s’est jamais imposée ici: Cela aurait été un exploit qu’en cas de victoire, à présent, il nous rester la dernière marche, mais avant tout, nous aurons deux matchs de championnat à disputer de la meilleure des façons. La saison peut être relancée mais il nous manque la dernière étape à franchir." "Nous nous devons d’offrir, avec cette qualification, de la satisfaction à nos tifosi, comme nous l’avons fait l’année dernière, après onze années de disette. Ce serait la seconde année de suite, j’espère que nous franchirons ce petit pas devant nos tifosi." Barcelone avait beaucoup de problèmes... "C’est une très grande équipe avec un grand entraineur. Leur problème, c’est qu’ils ont trouvé une Inter à la hauteur de son Histoire et qui a réalisé techniquement une grande prestation positive. Nous avons fait circuler le ballon de la meilleure des façons, nous sommes parvenus à nous créer tellement d’occasions, la latte de Dzeko aurait pu nous débloquer bien plus tôt." Votre mérite en revient au fait d’avoir joué à visage découvert…. "Nous jouons toujours à visage découvert, j’avais pensé à n’aligner qu’un seul des deux attaquants et j’aurais pu faire montrer quelqu’un, mais j’aurai envoyé un mauvais signal à l’équipe : Dzeko et Lautaro ont été très bon pour jouer avec leurs équipiers et réaliser un excellent match, ils sont parvenus à limiter leurs adversaires en évoluant en groupe et en compacité." Est-ce une représailles ? "Je n’ai aucune raison d’avoir des représailles avec quelqu’un : Ici, en en Espagne, ils apprécieront car ils savent que Barcelone n’avait réalisé qu’un seul partage en championnat et ne s’était incliné en Ligue des Champions que face au Bayern : A présent, ils se souviendront pour très longtemps de l’Inter. Il nous reste une étape à franchir." Les rencontre disputées l’année dernière face au Grands d’Europe ont-elles aidé l’Inter ? "L’année dernière, nous avions rencontré le Real Madrid et Liverpool qui ont été de grands adversaires, face à Barcelone, nous avions deux rencontres très rapprochée et nous avons réalisé deux bons matchs qui nous ont permis de nous placer dans une très bonne position." A Amazon Prime "Je dois féliciter les garçons, ils ont réalisé un très grand match face à un adversaire d’une valeur absolue : Nous avons tant créés, souffert, et en gagnant ce match nous aurions mis un terme à la phase de groupe. A présent, nous avons deux matchs de championnats et Plzen devant nos Tifosi, j’espère leur offrir cette satisfaction." "Je savais que nous allions devoir faire preuve de courage et l’équipe n’a jamais renoncé à jouer, en première période nous nous sommes parlés après le but, je leur ai dit de rester serein et de jouer car je savais que nous étions capables de nous créer des occasions importantes. Lautaro et Dzeko ont tant donné, ils ont réalisé une excellente rencontre et nous avons une grande chance de nous qualifier dans le groupe le plus difficile de la Ligue des Champions devant nos Tifosi." Le Meazza ? "Je m’attends à ce qu’il soit plein, je n’ai aucun doute: Cela fait 15 mois que je suis ici et notre Stade nous a toujours accompagné et ce sera toujours le cas contre Plzen, mais avant tout, nous devons penser à la Salernitana et à la Fiorentina". Simone à Inter TV "Je suis très satisfait, j’ai félicité les garçons, ils ont réalisé un grand match face à un adversaire très très fort, il nous reste une dernière étape à franchir face au Viktoria, devant nos Tifosi et dans notre Stade." "C’est normal que l’on ressente une grande satisfaction vu ce que nous sommes parvenus à faire face à Barcelone, en tant qu’entraineur cela te donne beaucoup de fierté. Vu ce que nous avions créé, nous aurions pu aussi en finir avec la phase de groupe, je savais quel type de match nous allions devoir proposer, nous nous sommes montrés agressif, déterminé, courageux, tu dois faire preuve d’un grand courage lorsque tu viens ici." Simone à Sky Sport "C’est un partage de point important, mais vu le déroulement de la rencontre, il y a un peu d’amertume, nous avons réalisé un grand match, je suis satisfait, mais pas complètement, il nous reste une d dernière étape à franchir qui peut avoir lieu face à Plzen, mais nous devons disputer deux matchs de championnat important auparavant." Avez-vous été marqué positivement par l’équipe ? "Absolument pas, cette équipe sait faire des choses importantes et je n’ai pas besoin de vous rappeler ce que nous savons tous : Nous avons joué contre une très grande équipe de qualité, nous méritions d’être devant, c’était une belle soirée, mais elle n’était pas optimale, avec un 3-4 nous aurions pu en terminer avec cette phase de groupe avec deux journées encore a disputer, là on aurait pu parler d’exploit, nous sommes bien placés, mais il reste une ultime marche." Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? "De la satisfaction, mais l’année dernière nous étions également parvenu à atteindre les huitièmes après tant d’années…Nous sommes habitué à présent et que ce soit face au Bayer ou face au Barça, nous nous devions de réaliser un exploit." Lukaku sera-t ’il disponible dimanche ? "Il y a de l’espoir aussi bien pour lui que pour Correa, moins pour Brozovic qui travaille tout de même très bien. Je me souhaite qu’ils reviennent car ce sont trois joueurs importants." Jouer l’offensive au Nou Camp, personne ne l’a vu venir en Catalogne ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. En effet, 12 ans après avoir été terrassé par l’Inter, le Fc Barcelone joue de nouveau gros face aux Nerazzurri. Car en 2010 et sous la houlette de José Mourinho, l’Inter prenait le meilleur sur un très jeune, mais déjà multititré, Josep Guardiola! Une histoire différente pour la Gazzetta Dello Sport "C’était une demi-finale de Ligue des Champions, ici la phase de groupe et il y a trop de différences au niveau des entraineurs : En 2010, Guardiola alors âgé de 39ans avait déjà en poche une Ligue des Champions, une Coupe du Monde des Club, une Super Coupe d’Europe, 2 Liga et un peu de monnaie. Mou, âgé de 47 ans avait une Ligue des Champions, une Coupe de l’Uefa, 6 titres nationaux et de la monnaie, c’était un Duel de géant. A présent, le duel proposé par Xavi et Inzaghi fait office de poids plume : L’espagnol âgé de 42 ans peut se targuer d’avoir un titre de champion du Qatar et l’italien cinq Coupe d’Italie, dont il a d’ailleurs dernièrement parlé." Se remémorer le passé "Il y a une affinité qui lie la rencontre de ce soir, et celle d’il y a 12 ans car deux résultats sur trois sont bons pour l’Inter et l’ambiance qui sera proposée aujourd’hui sera tout aussi volcanique, après les polémiques de la rencontre du Giuseppe Meazza." "L’Inter d'Inzaghi devra imiter celle de Mourinho car, à son échelle, il devra dans son propre style essayer le tout pour le tout, fort d’une excellente manche aller: Il présentera une équipe de l’Inter surmotivée et bien plus organisée dans les moments critiques. Il devra, ce soir, à nouveau donner du courage et apporter de la sérénité à ses joueurs dans un sulfureux Nou Camp, et plus que tout, il devra imiter le Mou dans une gestion lucide et glaciale de la rencontre." Un plan de jeu clair comme de l’eau de roche "Il faudra priver Barcelone d’oxygène en étouffant Pedri et Gavi comme ce fut le cas à Milan, mais sans renoncer à l’idée de marquer un but, car survivre au Nou Camp est bien différent de survivre au Giuseppe Meazza. Est-ce que nous verrons Dzeko derrière le ballon dès le début du match, avec un Roberto Gagliardini aligné, ou retrouveras-t ’on Miki derrière Lautaro ? Ce choix donnera déjà une information sur le déroulement de la rencontre." Xavi en plein doute : "Défendre à 3 ou à 4 ? Que faire d’Ansu Fatu ? En 2010, Piqué avait marqué, et il a besoin que quelqu’un fasse de même que lui avec Lewandoski pour retrouver le sourire et non pour être sorti comme Guardiola dans une faillite de la tant attendue Remuntada…. Il pourrait faire mieux que lui sur ce point." "Sa glorieuse carrière lui apporte énormément de crédit, mais il sait que les deux prochaines étapes qui se présentent à lui , soit l’Inter et le Real Madrid influenceront quoiqu’il arrive l’humeur des catalan car quoiqu’il arrive, pour Inzaghi et Xavi, il s’agit du match à ne pas perdre et un seul sortira du Nou Camp un peu plus "Special" Selon vous, le fait que Barcelone doive jouer le Real en Liga peut-il l’impacter psychologiquement face à l'Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Florentino Perez continue sa bataille pour la Super League pro. Devant les membres de l'Assemblée des membres du Real Madrid, le mécène des Blancos a réitéré la nécessité de réaliser cette révolution pour le monde du football : "Ce n'est qu'en protégeant le football en tant que sport mondial que nous pourrons protéger tous les membres de la famille du football, des clubs les plus titrés aux plus modestes. Le football est clairement en train de perdre la bataille mondiale du divertissement contre d'autres sports et d'autres plateformes, et tout cela alors qu'il est le seul sport mondial. Un avantage dont nous ne savons pas comment profiter. Le diagnostic est une évidence : nous avons besoin d'une gestion professionnelle, moderne et transparente, qui tienne compte des enjeux globaux du monde d'aujourd'hui et qu'il ne s'appuie pas sur d'anciennes structures conçues au siècle dernier." Perez insiste en citant l'exemple du tennis : "Rafael Nadal et Roger Federer ont joué 40 fois, Nadal et Novak Djokovic 59, est-ce ennuyeux ? Non ! Cela a donné du pouvoir au tennis et à tous les joueurs parce que le tennis en ressort plus fort. Contre Liverpool, en 67 ans, nous n'avons joué que neuf fois et contre Chelsea quatre. A quoi bon priver les supporters du monde entier de ces matches ? Ce n'est qu'en promouvant le football en tant que sport mondial que nous pouvons protéger tous les clubs. Il est donc essentiel d'offrir des matches de la plus haute qualité et d'intérêt." Il continue avec : "Nous n'avons jamais été contre un format spécifique mais l'UEFA ne veut pas discuter des formats et des abus des règles du fair-play financier de certains clubs que nous connaissons tous." Il lance une attaque virulente contre le président de l'UEFA et du PSG, Al-Khelaifi. Sur son nouveau format de Ligue des champions, Perez affirme que "cela va accélérer le déclin du football. La perte d'abonnés aux chaînes payantes a diminué de 40 % et la solution est... d'augmenter les prix. Le nouveau modèle ne servira qu'à aliéner davantage les supporters et à accélérer le déclin du football." "La justice européenne remet déjà en cause le monopole de l'UEFA sur le football. La Super League ne serait pas une compétition fermée car elle aurait 25% de ses sièges ouverts." Le président de l'ECA a récemment (Al-Khelaifi, ndlr) déclaré que le Real Madrid avait peur de l'ECA. "Il reste à rappeler au président de l'ECA qui est le Real Madrid. La compétition est dans notre ADN et le club a la responsabilité de protéger le football dans son ensemble et qu'il s'agit de ne pas accepter les menaces, d'où qu'elles viennent. La Super League est toujours dans une procédure judiciaire et devrait être résolue dans une décision qui marquera le football européen. Quand elle sera prononcée, nous travaillerons tous ensemble pour inverser la situation dans laquelle est le football. Elle doit être le fruit d'un débat sans pression mais les clubs doivent être libres. L'engagement du Real pour le football ne fait aucun doute." Traduction alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
  22. C’est la révélation de Tuttosport, "l’ennemi-juré" s’est présenté à Milan pour y rencontrer Steven Zhang: "Une visite de courtoisie ? Bien sûr. Quelque chose de plus ? Très probablement..... Le fait est qu'Andrea Agnelli, le Président de la Juventus, s'est présenté hier à la Casa Inter, pour discuter avec son homologue Steven Zhang, et cette rencontre a fait sensation auprès des initiés...." Une réunion de courtoise, vraiment ? "Entre les deux Numéros Un, il y a non seulement une grande estime professionnelle mais aussi une amitié sincère. Une sorte d'empathie aidée par la proximité générationnelle, mais il y a aussi bien plus que cela: Ils proposent une vision similaire dans la gestion des clubs, surtout dans la recherche de nouveaux actifs à travers lesquels, ils pourraient essayer d'atteindre des secteurs peu fréquentés, ce qui pourrait représenter des plateformes de revenus potentiels à exploiter et à mettre en œuvre." "Si l'on ne sait pas ce qu'ils se sont dit, il est évident que la conversation, précisément en raison du type de relation qui existe entre les deux, était à 360 degrés et sans zones interdites. Il est d'ailleurs envisageable que le numéro des Bianconeri ait également mis à jour Steven Zhang sur la situation liée aux possibles développements découlant du litige avec l'Uefa suite au lancement de la Super League qui a vue l'Inter se rétracter, comme toute une série d'autres membres, exception faite du Real Madrid, de Barcelone ainsi que de la Juventus elle-même." "La rencontre d'hier entre Agnelli et Zhang a également été l'occasion de discuter de la nécessité de mieux protéger un "Spectacle" essentiellement payé par les clubs, mais avec des clubs qui n'ont aucun pouvoir pour déterminer le périmètre des différentes compétitons: La saison actuelle, brisée en deux à cause de la Coupe du monde, en est la preuve la plus concrète". Sont-ils allés jusqu'à proposer un échange d'entraîneur ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Alessandro Antonello s'exprime pour la revue MilanoParigiCapitali 2022 où il évoque le nouveau stade, les droits télé et le football italien. Sur le projet de stade. "En Italie, nous devons investir dans les infrastructures pour améliorer notre système de football. Il y a des projets en cours qui, s'ils sont terminés, nous mèneront à 1 milliard et 900 millions d'euros. Malheureusement, l'âge moyen des stades italiens se situe entre 60 et 70 ans, il est donc indispensable de rénover les infrastructures." "L'Inter et le Milan ont présenté un plan il y a trois ans. Aujourd'hui nous avons resoumis le dossier de faisabilité à la Municipalité de Milan avec une réduction des volumes pour donner suite aux indications données par l'administration. Pas uniquement un projet de stade mais également un centre d'attraction polyvalent dont la ville de Milan doit bénéficier. Ce sera un projet éco-durable, avec les technologies les plus avancées qui pourront être mises à notre disposition. En l'absence d'infrastructures et de nouveaux stades, il est difficile pour l'Inter, le Milan et le football italien en général de revenir au très haut niveau. Le stade peut garantir des revenus supplémentaires grâce à des services additionnels qui conduiraient le club à investir davantage dans l'effectif après. Il y aura un débat public, après quoi le Conseil rendra son avis. Nous espérons procéder à la rédaction du projet exécutif avant de commencer les travaux." Sur le thème des droits TV. "Dans la Lega, il y a une équipe de travail qui a commencé pour aborder le problème de manière stratégique. La Premier League doit être un modèle de référence. Cependant, le paradigme pour nous devrait être le Liga espagnole qui, ces dernières années, a connu une croissance exponentielle. Ils ont une gouvernance très forte et un produit télévisuel avec le Real et Barcelone à sa tête. La Lega doit développer les marchés internationaux car, aujourd'hui, nous avons un écart énorme avec la Premier League. Le développement technologique est également nécessaire, le produit Lega doit évoluer en fonction des besoins et des envies de nos fans." De nouveaux modèles à développer. "Il est inutile d'essayer de développer des modèles commerciaux qui ne placent pas les fans au centre car ce sont eux qui soutiennent l'industrie du football. La Ligue pose les bases pour combler ce vide : un hub a déjà été ouvert aux Etats-Unis, un autre va s'ouvrir au Moyen-Orient et la volonté est de mieux couvrir le marché asiatique avec une présence territoriale. Aujourd'hui nous réfléchissons, si le prochain appel n'aboutit pas, à nous tourner vers une création et distribution de la chaîne de télévision de la Ligue. C'est essentiel car la Serie A est toujours reconnue comme une marque attractive et les investisseurs étrangers le prouvent. Il faut recréer la valeur du début des années 2000 avec un modèle attractif. Il faut éviter que l'écart que crée la Premier League amène les joueurs à vouloir jouer exclusivement là-bas." Concernant le projet, Le Corriere della Sera donne des détails concernant le projet en lui-même et le montant de l'investissement. Selon le rapport modifiée remis à la municipalité, une surprise arrive à la page 98 où l'on parle de démolitions, la démolition complète est prévue et non plus le maintien d'une partie. Ainsi pas de vestiges ni de re-fonctionnalisation. Contrairement à la proposition précédente, aucun vestige de l'actuel Meazza fera l'objet d'une conservation et d'une re-fonctionnalisation. Cette solution de conception réduit considérablement l'impact sur le repère urbain en garantissant un état d'équilibre approprié entre les bâtiments nouveaux et existants. Le dossier mis à jour arrive à Rome pour le début du débat public. A côté de la mise à jour "provisoire" du plan économique et financier, il sera présenté définitivement à un stade ultérieur de la procédure administrative, s'ajoute la mise à jour des travaux du secteur polyvalent qui, avec l'indice volumétrique fixé à 0,35, (les équipes voulaient 0,51) tombe à 98 321 mètres carrés de surface brute (contre 145 000 auparavant). Une réduction que les clubs ont acceptée à contrecœur. L'investissement ne change pas, 1,2 milliard d'euros. En effet, les équipes estiment une augmentation des revenus de 120,4 M€, dont 80 du stade et 40 du secteur polyvalent. Hors jours de match, les revenus supplémentaires, par rapport à la situation actuelle, s'élèvent à 80 M€ pour les deux équipes. Cependant, un avertissement demeure. Nous ne pouvons pas exclure que d'autres effets « exogènes » sur l'évolution des coûts ou sur la demande peuvent modifier la donne en exigeant des mesures compensatoires visant à rééquilibrer la pérennité du projet. Voici donc ce que le Milan et l'Inter devraient réaliser dans le secteur polyvalent. Des trois tours présentées dans les schémas directeurs précédents, il n'en reste qu'une qui abritera le siège opérationnel des deux clubs. Il s'agira d'un immeuble à double tour pour bureaux de 17 étages, de 87 mètres de haut, d'un centre de conférence de 4 mille mètres carrés, de 12 mètres de haut, d'un centre commercial de 68 mille mètres carrés sur trois niveaux donnant sur la Via Dessiè. Sur le toit du centre commercial seront créés à la fois un espace de divertissement de 9 000 mètres carrés, à la fois le Musée des Sports de 2 700 mètres carrés et le Centre d'Activités Sportives de 1 300 mètres carrés. La zone actuellement occupée par San Siro est reconfigurée en quartier sportif avec la création d'un espace vert (plus de 50 000 mètres carrés), équipé d'espaces ludiques et sportifs. Pour la construction de l'ensemble des ouvrages (nouveau stade et secteur) 80 mois de travaux sont prévus. Les équipes font l'hypothèse d'un démarrage des travaux au 1er janvier 2024 afin de garantir l'ouverture à la circulation du passage souterrain du Patroclus pour les JO d'hiver 2026. Pour ce faire, les clubs indiquent la conclusion du processus d'autorisation d'ici 2023. La fin des travaux est prévue pour le 31 juillet 2030. Traduction alex_j via FCInter1908.
  24. La "vraie" Inter a semblé disparaître lors de la défaite face au Bayern Munich, selon les médias italiens. Dans un Tweet, Fabio Ravezzani a nommé Thiago Motta comme une option possible pour remplacer Simone Inzaghi. La performance des Nerazzurri contre les champions d'Allemagne a fait l'objet de critiques dans le Corriere della Sera qui suggère que l'équipe n'a pas montré ce dont elle est capable car elle a été surclassée toute la soirée. L'Inter a semblé être agressive et s'imposer parfois face au Bayern. Mais elle n'a eu que des succès très limités, tandis que les Bavarois semblaient très à l'aise pour trouver des chemins pour éventrer les Nerazzurri tout en restant en sécurité et bien gardés à l'arrière. Cette performance du Bayern était ce qu'on attendait d'eux, mais de la part de l'Inter, notamment au Meazza devant leurs supporters, ce fut une déception. Les Nerazzurri ont montré dans le passé sous Simone Inzaghi que même face à l'opposition la plus redoutable, ils sont capables de se défendre, le Real et Liverpool, mais contre les champions d'Allemagne, ils ressemblaient à une autre équipe, une équipe fantomatique. Tweetant après la défaite 2-0 des Nerazzurri face au Bayern Munich, Fabio Ravezzani a donné son avis sur la situation de Simone Inzaghi et a nommé Thiago Motta comme une option possible pour prendre sa place. "L'Inter est une équipe ennuyeuse avec un entraîneur qui a perdu ses repères et s'est disputé avec plus d'un joueur. Peut-être qu'ils doivent agir avant qu'il ne soit trop tard. La solution la plus raisonnable (en termes de tactique et de salaire) pourrait être Thiago Motta." Traduction alex_j via Sempreinter.
  25. Interrogé par La Gazzetta dello Sport, l'ancien attaquant de l'Inter Diego Milito s'est exprimé sur le match face au Bayern qui s'est soldé par un doublé fantastique en finale 2010, l'Inter et Lautaro Martinez. Un match dur ? "Dur? Oui, difficile. Mais quelle chance l'Inter a eu." Dans quel sens "chance" ? "Qu'un grand match soit la meilleure chose qui puisse être pour oublier le derby." Vous avez perdu trois derbies contre Milan. Et deux fois sur trois, elle a également été battue lors du match suivant. "Vrai. Je me souviens de 2011, KO en championnat puis en Ligue des champions contre Schalke, en une semaine on a jeté à la fenêtre et le championnat et l'Europe. Mais je crois qu'Inzaghi et les joueurs ne sont que dans une période compliquée. Ce soir ils ont l'opportunité de tout laisser derrière eux." Rembobinons la bande : Inter-Bayern, c'est ton match : 2010, deux buts et champions. "C'est un match qui restera en moi pour toujours. Je me souviens de tout, de chaque émotion, du cri des fans." Dis la vérité : ils avaient été étudiés en vidéo, les défenseurs du Bayern. "Bien sûr, oui, je connaissais bien leurs faiblesses. Et puis j'ai eu de la chance : au Bayern il y avait Demichelis, mon coéquipier en équipe nationale. Très fort, mais je savais tout de lui…" Qu'est-ce que Mou t'a dit avant ce match ? "Il a parlé directement, nous rassurant. Voulez-vous savoir pourquoi nous avons gagné ce soir-là ? Parce que pour nous, la Ligue des champions n'était pas une obsession, mais un rêve. Un tableau à compléter, après la Coupe d'Italie et le Scudetto. C'était une opportunité à saisir pour beaucoup d'entre nous. Mais on avait déjà compris qu'on arriverait au bout après le second tour." Quels objets gardes-tu de cette nuit ? "Quelle question... tout, je garde tout avec moi. Chez moi j'ai un vrai musée : à l'intérieur il y a le maillot, les chaussures portées, la balle de ce match. Malheur à qui les touche." Qu'est-ce qui ne va pas avec l'Inter maintenant ? "J'ai une grande confiance en l'Inter, c'est une superbe équipe avec un bon entraîneur. Je suis donc optimiste pour la saison. La solidité défensive doit certainement être retrouvée, sur les derniers matchs il y a eu un affaiblissement. C'est le bon défi pour le prouver. L'examen est très difficile, mais aussi stimulant. Gommer la déception du derby est obligatoire. Le match contre Milan a apporté quelques doutes. Mais tout n'était pas mauvais dans cette soirée. Perdre est douloureux, ne pas se racheter le serait encore plus." Elle s'est retrouvée au milieu du mercato avec Skriniar cet été. Peut-on lire ainsi les difficultés du défenseur ? "Je ne crois pas. J'ai le sentiment que Milan est très content d'être à l'Inter. C'est une baisse de forme. Bientôt il redeviendra la référence dans la ligne défensive." Bientôt signifie ce soir? "Ces matches se décident dans les zones. Si l'homme clé m’est demandé, je réponds par deux noms : Skriniar et Lautaro." Ton Lautaro... "J'ai un faible pour lui, il s'améliore d'année en année, maintenant il a aussi pris de l'expérience. L'Inter est en sécurité avec lui." Inzaghi dit qu'il faudra 10 points pour passer. Où les obtenir ? "L'Inter doit essayer de gagner les trois matchs à domicile. Mais réfléchir à long terme est fausx. La Champions n’est pas comme ça. C'est le match. Et les défis avec le Real Madrid et Liverpool ont montré qu'Inzaghi et son équipe peuvent jouer sur un pied d'égalité avec tout le monde. Dans le football, les invincibles n'existent pas. Ça se joue au Meazza, l'histoire de l'Inter demande une mentalité de gagnant. Passer le cap est un objectif, pas une entreprise impossible." Traduction alex_j via FCInter1908.
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