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  1. Simone Inzaghi et Lautaro Martinez se sont présentés à la traditionnelle conférence d’avant-match, dans le cadre de la première journée de cette Ligue des Champions 2023/2024, auréolé du titre de Vice-Champion d’Europe : Pour une meilleure lisibilité, les deux interviews sont scindées dans deux articles différents Quel a été le moment clé et quels sont les risques liées à ce type d’euphorie ? "Les mots de Guardiola font plaisir, nous savons tous comment s’est déroulé la Finale d’Istanbul et c’était un honneur de la disputer, un détail aurait pu en changer son issue. Nous avons remporté quelque chose de spécial ce soir-là, car l’étreinte des Tifosi était similaire à celles des victoires. Cette soirée est un si beau souvenir. Nous reprenons cette année face à une équipe forte, dans un environnement chaud. La Real Sociedad est avec Newcastle, l’équipe que j’aurais préféré éviter, mais nous la jouerons comme nous l’avions fait l’année passée. Nous voulons essayer de réitérer le parcours réalisé la saison passée." Que change pour vous le forfait de Çalhanoğlu? Avez-vous déjà pris une décision ? "C’est une absence importante, vous savez ce qu’il représente pour nous. Il nous manquera Cuadrado aussi, tout comme ceux qui ne sont pas dans la liste. Avec tant de matchs rapprochés, nous avons laissé les autres années des choses derrières nous, mais nous avons Asllani pour occuper ce poste et c’est un joueur important. Beaucoup d’équipes nous l’avaient demandé, mais nous l’avons gardé car je tiens énormément à lui." Asllani partira donc avec le maillot de titulaire ? "Oui, absolument. Il a joué de nombreuses partie comme titulaire, il est prêt à jouer. Demain, je prendrais, avec mon staff, mes décisions comme je l’ai toujours fait." Qu’avez-vous fait ces derniers jours ? "J’ai revisionné notre dernier match, les choses ou nous avons été bons et celle où nous aurions pût faire mieux. C’était une belle soirée pour nous, pour nos Tifosi, mais cela fait partie du passé. Ce qui compte, c’est le match de demain et ce sera une rencontre tout aussi intense contre la Real Sociedad." L’Inter est différente de l’année passée, est-ce que tout cela découle du parcours réalisé l’année dernière ? "Sans doute, mais pas seulement même si ce que nous avons réalisé l’année passée est quelque chose de spéciale. Notre derrière accolade avec les Tifosi n’était pas la plus facile, c’était une belle aventure, surtout en se souvenant des difficultés que nous avons du surmonter en phase de Groupe : Les garçons savent qu’en travaillant tous ensemble, il est possible de faire de très belles chose, comme nous l’avons déjà fait ces dernières années." Quel type d’équipe est la Real Sociedad ? "C’est une équipe très organisé avec un entraineur en place depuis de très nombreuses années ici, comme de nombreux joueurs : C’est une équipe organisée, je les ai vu contre la Roma. Ils ont changé de dispositif face au Real Madrid, mais elle a de très nombreux joueurs de qualité : Nous devrons réaliser un match important : Da Inter." Est-ce le moment pour titulariser immédiatement Frattesi et pour les débuts de Pavard ? "Mes propres joueurs ne le savent pas encore, je préfère en discuter avec eux en premier. Ils se sont tous bien entrainer, j’ai une idée en tête, mais j’attends demain pour la communiquer à mes garçons." A quel type de match faut-il s’attendre demain ? Un match nul pourrait-il vous convenir ? "On ne peut pas anticiper le résultat, ce sera une rencontre difficile car la Real Sociedad est une équipe solide, avec d’excellents joueurs qui ont de l’endurance, de la force et de la technique : Nous devrons nous montrer brave, nous entraider et défende ensemble pour ensuite, attaquer en équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Lorsqu'il s'agit de données statistiques liées au monde du football, "Opta" est une véritable institution désormais reconnue dans le monde entier. Ces derniers jours, le fournisseur de données analytiques s'est amusé à enflammer le web et les réseaux sociaux avec des pronostiques sur les cinq plus grands championnats. Le verdict concernant la Serie A est sans équivoque : l'Inter est en en tête avec 43,6 % de chances de victoire finale. Cependant, il faut remarquer que le championnat italien est de loin le plus équilibré parmi les cinq championnats européens. En Angleterre, on voit Manchester City sur une route tracée vers le titre avec 90% de chances de l'emporter, plus encore que le Bayern Munich avec 69% et le PSG 57%, tandis qu'en Espagne, le Real Madrid a 50% de chances de devenir champion. Certes, pour atteindre ces pourcentages, la tendance récente des championnats respectifs a eu un impact. Avec une Serie A qui a vu quatre formations différentes remporter le Scudetto au cours des quatre dernières saisons (Juventus, Inter, Milan et Naples ). Le lifting de qualité réalisé par la direction cet été et surtout la campagne européenne de l'an dernier ont permis à l'Inter de se hisser en tête du classement des favoris pour le titre, statistiques et algorithmes à la clé. Si les chiffres parlent en premier, au final, c'est toujours le terrain qui parle en dernier et ce, pour le meilleur ou pour le pire. Ce qui est certain, cependant, c'est que l'Inter Milan continue de travailler pour la deuxième étoile. Les chiffres parlent d'eux-mêmes mais ne font que suggérer un scénario possible : la vérité du terrain viendra un dimanche après l'autre. Cependant, les données analytiques les plus précises disponibles dans le panorama sportif ont donné leur confirmation. Du côté des bookmakers, à ce jour, l'Inter démarre devant tout le monde. Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. La conférence de presse lançant la saison 2023-2024 s’est tenu ce mercredi 12 juillet soir à 18h00. Celle-ci a vu Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se livrer ouvertement sur l’objectif de la saison : Le Scudetto de la Seconde Etoile Giuseppe Marotta : Des joueurs qui aiment l’Inter Le Calcio "Il s’est passé environ un mois depuis la fin de la saison écoulée qui a vu le Calcio se montrer à nouveau protagoniste avec 3 finales européennes et 5 demi-finalistes. Nous sommes revenus à un poste de grande crédibilité, mais l’écart des recettes des droits télés ne fait que croitre.Une négociation est en cours avec les diffuseurs, je crois en une issue positive." "II y a aussi d’autres difficultés bureaucratiques: L’Italie éclaire l'avant-scène dans l’établissement des codes pour les bâtiments, pour rendre difficile la constructions des stades et pour faire preuve de carence au niveau des structures pour les jeunes. Un autre aspect important à considérer est les capitaux de l’Arabie Saoudite qui peuvent ébranler la nature du football, aussi l’Italien. D’un autre côté, cela vous donne aussi l’opportunité de percevoir des recettes à réinvestir. Mon espoir est qu’Abodi puisse être accompagné dans le processus de réforme du mouvement footballistique italien." Les mérites d’Inzaghi "La saison dernière a été contradictoire, en plus de la Finale d’Istanbul, nous avons aussi remporté deux trophées et le mérite en revient à l’entraineur qui a fait face à des critiques assez sévère, elle a été influencée aussi par la trêve forcée pour la Coupe du Monde. Nous nous sommes bien repris lors de sa phase finale et nous sommes parvenu à conquérir méritoirement une place en Ligue des Champions." "Tout cela est un motif de fierté : Être vice-champion d’Europe est également un autre motif de fierté : L’année qui débute devra être stimulante pour faire de belles choses." Le Mercato "Dans une campagne de recrutement, notre très bravissimme Directeur Sportif Piero Ausilio travaille en étroite collaboration avec Baccin et Inzaghi, dans le respect de la ligne de conduite dictée par la Propriété. Ces dernières années, la Direction a su démontrer que, même sans procéder à de grands investissements, qu’il était possible de parvenir à composer des équipes importantes." "Il reste encore 40 jours d’ici à son terme et il y a encore tant à faire : Ce qui est certain, c’est que nous chercherons à construire une équipe compétitive, avec des connotations aussi différentes comparées à celle du passé avec des jeunes joueurs qui pourront aussi apporter leur contribution à l’équipe nationale." Love Inter "L’Inter sera compétitive, c’est ce que nous voulons : Nous sommes vraiment une belle équipe directionnelle qui aime l’Inter : Je tiens à remercier nos Tifosi qui nous ont toujours accompagné. Le remerciement le plus important doit être fait à la Propriété qui, même dans les difficultés, ne nous a jamais laissé sans ressources afin que notre travail puisse être finalisé. Je remercie aussi Antonello qui est en charge des activités sportives du Club : J’espère que la saison à venir nous régalera de satisfaction." Simone Inzaghi : Nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile Avec quel état d’esprit reprenez-vous ? "Il y a tant d’envie, nous avons vécu une longue saison : 57 matchs, une saison longue et intense composé d’enthousiasme différents car fait de victoire et de titre : Il y a eu des périodes difficiles et l’ensemble du Monde Interiste a été bon pour se compacter et pour en ressortir une saison riche de satisfaction. Je reprends avec l’envie de parvenir à une saison également pleine de satisfaction." Objectif Scudetto ? "Clairement oui, mon idée et l’Adn de l’Inter est la Victoire, c’est le grand objectif, cela ne me convient pas d’y participer avec l’étiquette de favori : Nous sommes l’Inter et nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile, nous y mettrons toutes nos forces. Il y aura de nombreuses équipes en course, mais nous nous y efforcerons." Vous en êtes à votre troisième année… "C’est un motif de grande fierté, je remercie le club et les joueurs qui m’ont aidé au cours de ces deux années, nous avions tant de défis important devant nous, notre parcours en coupe a été presque parfait car nous nous sommes inclinés face à Liverpool et face à City. En championnat, nous sommes arrivé à la troisième place, nous nous devons de faire mieux." Que signifierait le retour de Lukaku à Milan ? Un commentaire sur le Mercato ? "Je suis en parfaite syntonie avec cette Direction qui a toujours été à mes côtés, avec le Président, il y a également cette grandissime harmonie. Nous sommes au travail, il s’agit d’un mercato difficile mais j’estime que nous l’opérons de la meilleure des façons possible : Nous connaissons tous Frattesi et Thuram et Bisseck vient à peine d’en finir avec l’Euro U-21." "Lukaku est un joueur d’une autre équipe et nous savons ce qu’il représente et ce qu’il nous a apporté lors du finale de la saison : Je me suis battu pour le faire revenir la saison dernière, nous aimerions le faire à nouveau cette année, il appartient à un autre club et nous verrons ce que nous pouvons faire." Très prochainement, vous partiez en Tournée, quand est-ce que votre équipe sera au grand complet ? "Cela aurait été un rêve : Il reste 50 jours d’ici à la fin du mercato et j’ai conscience que cela changera encore énormément. Il y a de l’espérance et elle est importantissime en cette première phase de travail, mais le mercato reste imprévisible : Un mercato ouvert ne nous aide pas, nous les entraineurs, mais nous en avons l’habitude." Pouvez-vous déclarer que l’Inter joue la Ligue des Champions pour la gagner ? "Nous avons démontré qu’il n’y avait pas un si grand écart avec City, nous avons joué à armes égales mais nous nous sommes inclinés : Nous avons tenu tête à l’équipe la plus forte d’Europe. Lors de ces deux dernières années, nous avons énormément travaillé, nous avons connu un long parcours. Nous connaissons l’Histoire des dix dernières années qu’a connu l’Inter et lors de ces deux dernières saisons, nous nous sommes améliorés. Nous savons que cela sera difficile de nous reconfirmer en Ligue des Champions, mais il y a de l’espoir et de l’envie." Le départ de Brozovic peut-il poser un problème ? "Je ferai un discours général pour tous ceux qui ne sont plus là : Ils ont écrit l’Histoire de l’Inter, d’Handanovic à Bellanova, ils ont toujours fait de très belles choses. Avec la Direction, nous avons choisi de rajeunir l’équipe : Nous avons perdu des joueurs importantissimes mais d’autres arriveront. Notre espoir à tous est que les nouveaux arrivants feront tout aussi bien." Le Turnover s’est avéré efficace l’année dernière, repartirez-vous sur les mêmes base l’année prochaine ? "Clairement, cette année, nous savons qu’il n’y aura plus la trêve pour la Coupe du Monde et qu'il n’y aura qu’une seule journée en milieu de semaine, mais nous aurons les Coupes. J’aurai besoin de tous les joueurs. J’ai eu besoin de tout le monde de début avril jusqu’à Istanbul, je me souhaite que tous pourront répondre présent." Vous débutez la saison en étant en fin de contrat… "Le club connait ma pensée : Ce qui prime pour moi c’est le terrain, j’ai exprimé le fond de ma pensée au Club et au Président : Je suis très serein." Lautaro sera-t ’il le Capitaine ? "Je dois encore en parler avec l’équipe." Le calendrier est bon, à quel point est-ce important de bien débuter ? "Il sera fondamental de mieux démarrer que la saison dernière, j’ai regardé le calendrier, mais sans plus, les deux derniers mois que nous avions connu aurait dû être les plus difficile et sans notre défaite face au Napoli, nous aurions récolté le maximum de point. Le début de la saison semble assez soft mais toutes les rencontres du championnat réservent des surprises." Est-ce qu’il y a une auto-estime supérieure comparée à la saison écoulée ? "Oui, il y a tellement plus de confiance en soi comparé à la saison précédente. Mais même là, le parcours de l’année précédente en Ligue des Champions, nous avait apporté de l’auto-estime car nous avions affronté le Real Madrid et Liverpool qui se sont ensuite rencontré en Finale et nous avions joué les deux à armes égales." Que perdrait l’Inter avec le départ d’Onana ? "Nous parlons d’Onana qui est un joueur de l’Inter et il sera convoqué demain au stage de présaison. Le mercato est imprévisible et nous savons tous que toutes les équipes italiennes doivent vendre, en premier, avant d’acheter. C’est risqué mais je suis serein : La propriété et le Club m’ont assuré que l’Inter sera compétitive. Nous en avions déjà discuté lors de notre réunion d’avant-mercato." "L’important est que l’Inter soit compétitive comme lors de ces deux dernières années, nous avons connu des problèmes Post-Covid, mais nous avons réalisé des mercato intelligents et nous avons vu à quel point ils étaient positifs." ESPN vous a nommé dans le Top 10 au niveau Mondial : Quel effet cela vous a-t ’il fait ? "Cela m’a fait énormément plaisir, j’espère pouvoir grignoter d’autres places dans le futur." Avez-vous envie de régler vos comptes ? "Non, je n’ai rien à redire: Je pense au terrain, au travail et je chercher à travailler du mieux possible pour mon Club. Chaque entraineur a son propre parcours, sa propre histoire, je me sens bien ici avec le Club, avec les Tifosi, je cherche sur cette voie." Croyez-vous encore en Correa ? "Oui, les joueurs que j’entraine sont les meilleurs du monde et je pense que c’est le cas pour chaque entraineur : Correa est un excellent joueur, il n’a pas répondu présent comme on aurait pu s’y attendre, mais j’ai une confiance maximale en lui : Il est capable de faire mieux et bien plus, je l’ai entrainé et je connais ses qualités." Qui selon vous peut vous défier dans la Course au Scudetto ? "Il y a tellement d’envie de reprendre la compétition, c’est difficile d’établir un classement, le Napoli a réalisé un parcours extraordinaire, mais nous voulons être compétitif, notre désir est de remporter la Seconde étoile, les Tifosi en rêve depuis des années et j’espère pouvoir leur offrir cette satisfaction." A choisir : Remporter le Scudetto ou jouer une nouvelle Finale de Ligue des Champions ? "C’est une demande difficile. Même si l’année dernière nous n’avons pas remporté le Scudetto, c’était une saison incroyable, composée de nuits incroyable vécues avec les Tifosi. Après Istanbul, j’ai embrassé tous les joueurs, c’était comme-ci nous l’avions emporté nous." Auriez-vous aimé entrainer Milinkovic-Savic? "Je ne m’exprimerai pas sur les choix personnels, je l’ai entrainé à la Lazio et il a de très grandes qualités, une habilité technique, de la force physique et c’est un très grandissime joueur, il a choisi de partir en Arabie et il aura aussi le temps de revenir en Europe." Quelle Inter est en train de naitre et qu’attendez-vous du Mercato ? "Nous avons conscience qu’il y a des cases à combler, nous sommes en parfaite harmonie, nous composerons une équipe de 20 joueurs plus 3 gardiens, avec 3-4 jeunes fixes avec nous. Il nous manque encore un milieu et Çalhanoğlu et Asllani seront nos deux PlayMaker, nous devrons être bons et nous améliorer. Avec Bastoni, Acerbi, De Vrij, Bisseck et Darmian, il nous manque encore un homme dans ce secteur." Avec le départ d’Onana, les gardiens qui arriveront devront-ils présenter les mêmes habilités techniques ? "Le gardien devra être bon techniquement, nous verrons si nous pourrons en trouver plus d'un. Ces deux dernières années, d'abord avec Samir, puis avec Onana, nous avons eu des gardiens avec de très bons dribbles. Ce sera à nouveau le cas" Avez-vous l’intention de lancer quelque jeunes de la Primavera ? "Carboni sera avec nous, il fera la mise au vert avec nous: Il a déjà fait ses débuts et a énormément muri. Zanotti a aussi joué l’année dernière et il est maintenant parti en prêt. Il y aura d’autres jeunes qui seront ajoutés: A eux de prouver qu’ils méritent d’être à l’Inter." Avez-vous vu le match de Ligue des Nations avec Barella et Frattesi aux poste de Mezz’ala ? Thuram est-il un premier ou un second attaquant ? "Frattesi et Barella peuvent tranquillement jouer ensemble : Barella a, de temps en temps, déjà été Mezzala gauche: Ce sont deux joueurs très forts. Thuram est un joueur important, il a une très bonne structure physique, il a réalisé trois excellente saisons au Borussia. Il joue pour l’Equipe de France, c’est un joueur d’une valeur absolue." Gosens peut-il être un joueur important pour l’Inter ? Absolument oui, il a bien fini la saison, il a alterné avec Dimarco et s'en est très bien sorti. De là à dire ce que le Mercato peut nous apporter, je ne sais pas, mais je compte énormément sur tout le monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Selon la presse britannique, le Croate a rejoint Manchester City pour 25 millions de livres , soit une somme proche de 29 millions d'euros, plus 5 millions d'euros de bonus. Ce transfert permet également, aux clubs où Kovacic a joué lors de ses premières saisons en tant que professionnel, d'encaisser des fonds via le système de contribution de solidarité. La contribution est équivalente à 5% du prix convenu par les deux clubs pour le transfert selon les taux établis et prend notamment en compte le nombre d'années calculée (proportionnellement s’ii s’agit de moins d'une année) pendant lesquelles le joueur a été enregistré pour le(s) club(s) en question au cours des saisons entre son douzième et vingt-troisième anniversaire. En conséquence, la contribution de solidarité a été répartie comme suit Dinamo Zagreb : 580 mille euros Inter Milan : 435 mille euros Real Madrid : 290 mille euros LASK : 145 000 euros Toujours ça de pris ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. En effet, le nouveau format de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA va garantir des revenus importants à ses participants et l’Inter pourrait y décrocher un billet ! Explications de la Gazzetta Dello Sport A partir de 2025, une nouvelle version de la Coupe du Monde des Clubs accueillera bien plus d’équipes. Le tournoi durera un mois et les revenus seront garantis et important pour tous. Par les équipes qui peuvent y participer, on retrouve l’Inter à qui il ne manque que très peu de chose pour se retrouver parmi les 32 participants. "L’Inter devrait y aller franco pour ne pas parvenir à se qualifier à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2025, et ne pas y accéder serait un énorme gâchis : S’il n’y a pas encore de chiffres officiels, à Zurich, on travaille depuis des années sur le projet lancé par Infantino et Boban (lorsqu’il travaillait à la FIFA)." Le montant total des primes de la première édition devrait avoisiner 2,5 milliards d’euros dont 2 milliards se verront réparti entre les 32 finalistes, le reste étant employé pour les dépenses et à la solidarité: Son Champion pourrait encaisser une somme proche de 100 millions d’euros, comme pour une Ligue des Champions, mais sur un mois de temps, et une belle participation dans le tournoi pourrait garantir une cinquantaine de millions d’euros. En plus de l’Inter, on pourrait retrouver un autre italien parmi la Juve, le Milan et le Napoli pour se disputer le précieux sésame prestigieux et pour le bilan financier. Il s’agira d’un tournoi quadriennal, qui débutera aux Etats-Unis entre les mois de juin et juillet 2025 avec une formule de 8 groupes de 4 équipes. Les deux premiers se qualifieront pour les quarts de finale et s’en suivra la phase a élimination directe jusqu’à la Finale. L’Europe y envoie 12 équipes : Les quatre vainqueurs de la Ligue des Champions des éditions 2021, 2022, 2023 et 2023, ainsi que les 8 meilleurs équipes au classement UEFA sur cette même période. Chelsea, le Real et Manchester City, tous champions, sont sur d’y participer. Via le Classement UEFA, le Bayern est également de la partie (avec 84 points). Le Paris-Saint-Germain et l’Inter sont les premiers clubs à pouvoir se qualifier avec respectivement 66 et 60 points: "Pour y parvenir, il faudra réaliser une bonne édition lors de la prochaine Ligue des Champions, en ce sens qu'accéder aux huitièmes de finale leur garantira arithmétiquement de s’y qualifier." Avec le Champions de l'Edition 2024, nous arriverons à 7 équipes et cinq devront encore se qualifier. En ce moment le classement est le suivant : Benfica 49 points, Juve 47 points, Porto 45 points, Borussia 44 points, Barcelone 42 points. Un Championnat ne peut y qualifier plus de deux équipes, à moins d'avoir plusieurs équipes (jusqu'à un maximum de 3 ou 4 vainqueur des éditions des Ligue des Champions:. Liverpool a un coefficient proche de celui du Bayern mais, Chelsea et City étant déjà qualifiés, il se retrouve éliminé. La prochaine Ligue des champions changera également la donne car le Milan et ses 35 points et le Napoli et ses 29 points peuvent dépasser les Bianconeri et se battre pour l'autre place italienne théoriquement disponible, mais ils devront se méfier de Leipzig (39 points), de Séville (36 points) et de Salzbourg (30 points). La mission est en revanche hautement difficile pour la Lazio, qui ne compte que 21 points car le vainqueur de la Ligue des Champions remportera un maximum de 38 points. Elle est là la Super League ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. A travers sa dernière vidéo sur Instagram, Stéphane Dalmat a réglé ses comptes avec Antonio Cassano et sur les buzz de ce dernier.... https://www.instagram.com/reel/Ctt6WtbIVwr/?utm_source=ig_web_copy_link&igshid=MzRlODBiNWFlZA== "Antonio Cassano, Je te respecte beaucoup, tu as été un bon joueur, tu es allé jouer à la Roma, au Real Madrid (un peu) et ensuite tu es revenu en Italie et tu as joué avec la Nazionale et tu avais un talent très très impressionnant. J’ai même joué une fois contre toi lorsque tu étais à Bari, tu étais très jeune. A présent, je t’écoute lorsque tu postes sur Instagram, et je dois dire que tu fais beaucoup de buzz sur beaucoup de choses, tu critiques de très nombreux joueurs qui sont pour moi bien plus fort, qui ont prouvé, qui ont gagné des choses, bien plus importantes que toi. Je le répète, tu es un très grand joueur, un très très bon joueur et tu aurais pu faire bien plus. J’écoute les personnes qui disent différentes choses comme toi, lorsque tu parles sur Bobo TV, je sais que tu es un ami de Bobo (ndlr: Christian Vieri), je t’écoute, mais là non, ça ne le fait pas car tu te permets de critiquer des joueurs qui ont fait bien plus que toi, ce n’est plus possible. On ne se connait pas, on a jamais eu de rapports ensemble, mais je ne sais pas, aujourd’hui, il m’est arrivé un déclic, j’étais sur mon téléphone à écouter une connerie que tu as dit. Et excuse moi pour mon italien, mais je ne suis pas sur que tu parles aussi bien le français que moi je parle l’Italien. Si tu veux me prouver que tu parles aussi bien le français que moi je parle l’italien, envoi moi un message et fais moi voir que tu parles le français comme moi je parle l'italien mais arrête s’il te plait : Reste à ta place. Je le répète encore, oui tu as été un grandissime joueur et j’ai pris de plaisir à te voir jouer quelque fois, mais pas toujours, car tu pouvais faire des choses extraordinaires comme de très mauvaises choses, mais stop, arrête, arrête de critiquer des gens bien plus fort que toi. C’est le seul message que je voulais faire passer car je ne suis pas une personne qui critique les autres comme ça, là ça m’a un peu énervé de te voir te comporter comme ça, sur de très nombreuses personnes. Arrête avec ta carrière, même si tu as eu une belle carrière, à présent tu ne la fais plus que par des buzz à parler, à parler, à critiquer, à les briser sur les autres. C’est la seule chose que j’avais à te dire, je l’ai dit, si ça ne te plait pas, je m’en bats les couilles mais je te le dis : Je te souhaite une bonne journée, une belle soirée, je n’en sais rien Ciao !" Emballé c’est pesé ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Federico Dimarco a réalisé une saison de rêve, en faisant oublier Ivan Perisic sur l’aile gauche Selon l’Independent "la grande saison de Federico Dimarco n’est pas passé inaperçue à l’étranger et la Direction de l’Inter, qui a fait signer une prolongation à Federico jusq’au 30 juin 2026 il y a déjà un an et demi, n’ aucune intention de le laisser partir." Ce haut rendement a rebattu les cartes pour la Gazzetta Dello Sport: Gosens est très proche de retourner en Bundesliga, pour le remplacer à ce poste, le joueur qui a les préférences se nomme Carlos Augusto de Monza. Non Si Tocca A FEDE! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Simone Inzaghi peut être très fier de sa performance! L'International Federation of Football History & Statistics, mieux connue sous l'acronyme IFFHS, a établi le classement des 20 meilleurs clubs d'Europe et du Monde pour la période allant du 1er juin 2022 au 31 mai 2023. Dans le classement établi par l'organisme reconnu et autorisé par la FIFA qui s'occupe des statistiques et des archives du football, l'Inter s'est brillament mise en valeur: Les Nerazzurri occupent la quatrième place en Europe (et la cinquième dans le monde) avec 249 points. Le Real Madrid est en tête (331), suivi de Manchester City (279) et de Benfica (257). Parmi les autres Italiens, Naples occupe la septième place, la Fiorentina la neuvième, la Roma la douzième, la Juventus est seizième et Milan dix-septième. Le tout avec 12 cartouches dans le derche en Serie A! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  10. "Standing tall" est un slogan qui a été beaucoup abusé et galvaudé ces dernières années. Il a également été utilisé à l'occasion de finales déséquilibrées ou de parcours européens terminant sans succès d'équipes italiennes qui se sont présentées sur la ligne de départ de la Champions et avaient été désignées parmi les "favorites" pour la victoire finale. Toute référence est purement fortuite. Seule certitude, l'Inter sortira véritablement "la tête haute" du stade olympique Atatürk d'Istanbul. La déception restera avec nous pendant des semaines, peut-être des mois, peut-être des années. On ne le sait pas encore. Le fait que l'on ait caressé l'idée de pouvoir soulever la Coupe aux grandes oreilles pour la quatrième fois de notre histoire face au City de Pep Guardiola doit être une source de grand plaisir, de grande fierté. Cela doit être avant tout à cause de la façon dont cette nomination s'est faite et du nombre de choses irrespectueuses qui ont été dites à notre égard. Pour la planète entière, il ne devait pas y avoir de match à Istanbul. Qu'a dû penser le chanteur et fan de City Gallagher, qui voulait à tout prix nous affronter en finale, durant les 90 minutes de la finale ? Qu'a dû penser de l'ex-joueur Bale qui a prédit un sec 5-0 pour City à quelques heures du match ? Et tous les insiders italiens qui pendant toute une saison ont tenu des propos plus que moyens envers Simone Inzaghi ? Comme par magie, d'un coup, le monde entier découvre l'Inter de Simone Inzaghi. Le même qui a gagné à Liverpool l'année dernière et qui dans les 180 minutes a donné du fil à retordre à cette équipe qui a ensuite joué contre le Real Madrid. Le même capable de remporter 4 derbies de la saison contre le Milan Champion d'Italie. Le même capable d'éliminer le Barcelone de Xavi en phase de groupes, qui quelques mois plus tard a remporté la Liga contre ce Real Madrid que tout le monde a indiqué comme le grand favori pour remporter la Ligue des champions, comme City, uniquement pour une question d'ADN. Heureusement, les prédictions et l'ADN tant vanté ne vont pas sur le terrain, mais les idées oui. Il y a de l'abnégation au travail. Vient la préparation. Voilà l'étude. "Vous avez retrouvé Porto, Benfica et Milan dès le deuxième tour" est une thèse qui ne tient pas et ne tiendra jamais. Une équipe "chanceuse" dans le tirage au sort ne joue pas de manière égale contre une équipe extraterrestre, les forçant à changer leur nom de Manchester à Bristol City pendant 90 minutes. Une équipe qui s'y trouvait Samedi est sortie du stade olympique d'Atatürk avec un fracas historique. Au football, il n'y a qu'un seul vainqueur à la fin, mais l'Inter gagne toujours. Pour l'Inter, gagner n'est pas la seule chose qui compte, cela ne l'a jamais été. Mais avoir fait repenser au monde entier qui pensait que nous étions perdus est une source de grande fierté. La certitude d'avoir été grand n'est pas affectée par les mesquineries. Au final, les épisodes décident et c'est comme ça que ça s'est passé Samedi. C'est du sport, c'est du foot. Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve mais nous le vivrons comme ça. Arrivederci Inter. Georges Courteline a écrit "Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet". Une phrase que Gallagher et comparses auraient dû connaître avant de l'ouvrir. Mais quand on est un imbécile... Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. A la fin du match Simone Inzaghi se présente en conférence de presse pour analyser la finale perdue face à City. Voici ses propos recueillis. La tête haute mais avec des regrets ? "C'est vrai qu'il y en a, la défaite est la pire des choses dans le sport, les gars ont été déçus mais ils doivent être fiers du match qu'ils ont joué. On ne méritait pas de perdre, on a joué contre un super adversaire mais face à eux ils ont trouvé une grande Inter qui a fait une belle finale." Que pouvez-vous dire aux fans de l'Inter ? "Ils sont comme mes garçons, ils sont à câliner un par un, ils sont incroyables, nous avons passé de bons moments. Même dans les moments durs ils ont toujours été là et cela aurait été merveilleux pour nous de partager ce trophée avec eux contre l'équipe la plus forte du monde. Nous l'avons joué avec nos armes, il y a de la déception mais comme je l'ai dit hier, je n'aurais changé aucun joueur avec une autre personne dans le monde et maintenant le monde entier a vu pourquoi." Votre frère s'est demandé avant le match si vous alliez dormir. Mais allez-vous dormir ce soir ? "C'est le football, nous nous éloignons de ces déceptions. Une finale de Ligue des champions jouée comme ça, je me demande encore pourquoi dans ces 25 dernières minutes, le ballon n'est pas entré. Peut-être que tout était écrit, nous n'avons pas pu changer quelque chose mais il faut qu'ils aient la tête très haute, ils ont fait un parcours incroyable. City le méritait mais ils ont affronté une super Inter qui les a mis dans les cordes dans la dernière demi-heure. On le méritait mais j'ai félicité Pep. Ils s'approchaient de plus en plus du but, mais je les aurais volontiers fait patienter un peu plus longtemps." Liverpool vous a peut-être conduit à cette finale. Mais cette finale, pourra-t-elle nous amener au bout ? "C'est un long périple mais je le pense absolument. Nous avons montré que nous pouvions le jouer de la meilleure façon possible. Nous n'avions pas atteint les huitièmes de finale depuis très longtemps, l'année dernière, nous avons trouvé Liverpool et j'aurais volontiers rejoué le match retour. J'avais déjà perçu que cette équipe aurait pu faire plus sans penser aux 12 dernières années. L'équipe a grandi, acquis de la mentalité, de l'expérience, nous allons réessayer avec autant de fierté que nous l'avons fait cette année et l'année dernière. Nous avions rencontré le Real Madrid et Liverpool qui ont disputé la finale et en 4 matches ils ne nous ont pas laminés." Est-ce que tout s'est passé comme prévu ou est-ce que quelque chose d'inattendu s'est produit ? Que pensez-vous du but manqué de Lukaku ? "Lukaku, Dimarco, Gosens, on a eu beaucoup d'occasions. C'était le plan de match, je dois revoir la première mi-temps mais peut-être qu'on aurait pu faire encore mieux. En seconde mi-temps, dans une finale à fort enjeu, on a développé le jeu très bien mais ça me rend fier d'avoir affronté Manchester City comme ça. Onana a fait un arrêt sur Foden et rien d'autre, c'est une grande satisfaction." Le monde entier a vu de quoi Inzaghi est capable maintenant, vous êtes un entraîneur de niveau international maintenant. "Le temps nous le dira. Je suis fier des progrès réalisés par ces garçons et de la façon dont ils ont joué le match contre City. Le monde entier a dit que City le méritait, j'ai dit aux garçons que ce serait un match très équilibré. Tout s'est décidé sur un épisode, il fallait être bon et chanceux pour le trouver, mais c'est comme ça. Il y a beaucoup de déception mais j'ai embrassé tous les gars et j'aurais aimé le faire aussi avec les nombreux fans qui nous ont donné quelque chose en plus. Des émotions uniques. Nous avons disputé de nombreuses finales cette année, et cela peut nous habituer à jouer à des matchs comme celui-ci, et ce soir nous l'avons vu." Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Aujourd'hui est une journée dédiée aux médias au Suning Training Center à Appiano Gentile. Le premier à performer est Simone Inzaghi, protagoniste de la conférence de presse qui anticipe celle d'avant-match à Istanbul. Suivez ses paroles. À quel moment avez-vous réalisé que vous iriez en finale ? "Ce fut un long périple qui a commencé le jour du tirage au sort. Un jour pas très chanceux où nous avons croisé le Bayern et Barcelone. En parlant avec le staff et l'équipe, nous nous sommes dit que nous pouvions faire un bon parcours. Maintenant nous sommes en finale mais je pense que tout a commencé l'année dernière. Dans mon esprit et dans celui des gars, les quatre matchs contre le Real et Liverpool, alors finalistes, sont restés dans nos pensées." Quelle émotion ressent-on en arrivant ici ? "Hier, j'y ai plus pensé parce qu'on s'était vu avec mon staff mais on a beaucoup travaillé sur City. On a commencé après la victoire contre le Milan. Le lendemain soir, puis après le Torino, j'ai commencé à réfléchir davantage à ce que nous devrions faire lors du match de Samedi." Quelles sont les chances de gain ? "Je ne suis pas très doué pour les pourcentages. Nous affrontons l'équipe la plus forte du monde qui a remporté la Premier League cinq fois en six ans. Nous devrons être très prudents et jouer en équipe car nous savons que nous affrontons les meilleurs. Une équipe fantastique, un entraîneur qui a marqué une époque. Dans le football moderne, il y a un avant et un après Guardiola. Ce sera un match très important." Est-ce le match le plus important de votre carrière ? "Nous avons des joueurs qui ont joué en demi-finale mais pas en finale. Cela porte ses fruits pour un périple long et délicat. Mais au cours des trois derniers mois, j'ai eu des rotations plus profondes avec tous les joueurs et nous avons fait du bon travail." Quels souvenirs gardez-vous de vos matchs face à Guardiola ? "Les deux équipes auront les meilleurs joueurs, Lautaro est l'un d'entre eux pour l'Inter. J'ai rencontré Guardiola en tant que joueur et j'ai une curieuse anecdote. Lors de ma lune de miel après mon mariage à New York, il y avait une personne assise à la table, en 2019. C'était lui." City a-t-il plus de pression avec le Triplé comme objectif ? Le Real Madrid était-il meilleur ? "Ce sont deux grandes équipes qui ont dominé l'Europe ces dernières années. Nous avons un grand respect pour les deux. City a remporté deux titres mais nous aussi. Nous connaissons les joueurs et l'entraîneur qu'ils ont, mais l'Inter mérite d'être à Istanbul comme eux." Que vous a apporté Real-City ? "Il y a tellement d'admiration pour Guardiola et City. J'ai senti que City atteindrait la finale parce que le match aller avait été un match équilibré. L'année dernière le Real a marqué deux fois dans le temps additionnel mais cette année j'ai dit à ma fille et ma femme qu'ils allaient gagner." Le doute Lukaku-Dzeko existe. Avez-vous déjà décidé? "Non, ni là-bas ni dans les autres départements. Pour le moment, j'ai la possibilité de choisir. Dans la première partie, je n'avais pas la même possibilité d'alterner. Les joueurs importants ne se trahissent pas. Il reste encore quatre séances, un coach peut avoir des idées mais souvent tu arrives le soir et tu penses à une chose, puis le matin tu réveilles tes muscles et tu changes tes idées. Tu portes tes doutes jusqu'au bout." Quelle ambiance attendez-vous à Istanbul ? "Un stade avec beaucoup de monde, avec des supporters de City et de l'Inter ainsi que des supporters turcs répartis entre Calhanoglu et Gundogan. Nous finirons le stade, ils me disent que le terrain est en excellent état." Que vous a apporté la finale de la FA Cup ? "Plus vous voyez City, plus vous comprenez leurs résultats. Ils ont de la technique, du physique, ils sont complets, ils font de belles possessions et attaques. Une équipe avec très peu de points faibles. Ils trouveront une Inter qui a fait ses preuves avec le parcours qu'on a fait. Nous devrons leur enlever un peu de possession couvrant chaque centimètre carré du terrain. Ils sont vraiment forts." Pour City, la Ligue des champions est une obsession, vous êtes l'outsider. Cela peut-il être un avantage ? "Nous verrons, c'est difficile à prévoir. C'est un match très important pour les deux, le dernier acte de la compétition la plus importante. City le suit depuis des années, nous avons fait de grands progrès. Nous avons traversé de nombreux défis, le dernier étant le derby. Nous essaierons de faire un grand match en sachant ce que nous trouverons devant nous." Quelles sont les qualités de l'Inter cette saison ? "Dans les matchs importants, malgré le manque de certains hommes dû à des défections importantes, les gars ont sorti des ressources qu'on pensait tous ne pas avoir. On s'est très bien débrouillés dans des matchs très difficiles, présentés comme dernier recours, même si nous savions que nous devions jouer comme une grande Inter. Ils étaient très bons dans ce domaine." À quel point sera-t-il important de commencer fort ? "Fondamental, on l'a vu. C'est un aspect très important. On sait que City démarre très fort et on est très attentifs et concentrés à cet égard. Il va falloir être très bons." Si Guardiola est le meilleur au monde, êtes-vous celui qui a le plus survécu ? De quoi avez-vous peur? "Rien, on parle de football. Guardiola est le plus fort de tous, il a marqué une époque. On ne craint rien, on a beaucoup de respect. Mais nous sommes fiers de jouer cette finale car nous l'avons voulue de toutes nos forces cette année. Ce sera la dernière des cinquante-sept matchs et ceux qui nous ont amenés ici sont les cinquante-six précédents, où même certaines défaites dont on a beaucoup parlé nous ont permis d'être ici." Quelles armes de plus l'Inter peut-elle avoir que Manchester United ? "Je ne sais pas, United est parmi les plus forts de notre panorama. Nous respectons City mais l'United a fait une bonne finale." Est-ce une motivation supplémentaire pour arrêter City qui peut faire le triplé ? "La motivation est très importante dans le football, le groupe l'a toujours eu sinon nous ne serions pas arrivés ici." Vous êtes surnommé « King of Cups ». Quel est le secret ? "Je suis content de cette réputation. J'ai eu la chance d'avoir de bonnes équipes à l'Inter et à la Lazio. Dans les matches décisifs, nous avons toujours joué de grands matches, en défendant et en attaquant de la meilleure façon possible. Nous devrons le faire encore Samedi." Serait-ce une victoire encore plus importante qu'en 2010 ? "Je n'irais pas jusque là. Un exploit a été réalisé et nous essaierons de le concrétiser Samedi. Le Bayern et City sont des équipes différentes, ce seraient deux entreprises." Combien espérez-vous pouvoir renverser les prédictions ? "Ils parlent de la prédiction depuis que City a battu le Real, mais nous savons tous que tous ensemble que ce n'est pas de l'arithmétique, le football est beau pour cela. Il y a de nombreux épisodes et moments dans un match dans lesquels nous devons contrôler, surtout en finale et même contre des équipes contre City. Il y aura de l'équilibre et les épisodes feront la différence." Haaland peut-il changer votre attitude? "Le match sera fait de moments, c'est normal qu'on doive être bon pour prendre un peu de possession à City parce qu'il excelle dans cet art et qu'il a toujours eu plus de possession. Ce n'est pas facile parce qu'ils mettent la pression. Nous savons qu'il y aura des moments où nous devrons souffrir tous ensemble et d'autres où nous serons plus offensifs." Serait-ce une erreur de jouer trop haut contre City ? "Vous verrez la stratégie Samedi. Bien sûr, il faut autoriser une certaine possession. Il faudra être bon pour leur enlever les certitudes, ils jouent ensemble depuis de nombreuses années avec le même entraîneur et chaque année ils s'améliorent avec le marché des transferts. Nous les affronterons avec nos propres armes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à Tyc Sport sur Lautaro Martinez, Lionel Messi et la Finale à venir face à Manchester City Lauti "Lautaro Martinez a une mentalité impressionnante, il inspire le respect sur et hors du terrain, il est heureux à l’Inter, je suis serein." Messi "Le Fair-Play-Financier complique les choses. A présent, l’Inter fait les choses bien: Elle porte en avant un projet économique et sportif en adéquation avec ce qu’elle peut dépenser et acquérir et qui ne le voudrait pas de Messi ? Mais nous ne sommes pas dans la capacité de l’embaucher, tout le monde le veut, mais peu savent le rémunérer et c’est juste que cela soit ainsi pour ce qu’il représente et ce qu’il faut : Nous parlons d’un Champion du Monde en titre et il ne peut pas faire partie de notre projet actuellement." Valentin Carboni "C’est un garçon très intelligent, il vient d’une famille de footballeurs et depuis qu’il nous a rejoint, il n’a jamais cessé de s’améliorer. Cette année il a d’ailleurs conservé une présence fixe en équipe première. C’est un joueur qui a la capacité de faire la différence à n’importe quel moment de la partie. Il pourra réaliser un très beau Mondial U-20 et il a un futur important face à lui, le fait qu’il puisse devenir protagoniste lors de ce Mondial l’aidera énormément pour le futur." Je l’ai laissé rejoindre l’Argentine car je crois qu’il a besoin de temps de jeu : C’est une Coupe du Monde et il y a aussi ce besoin de respecter la Seleccion : J’ai échangé avec Mascherano et cela s’est fait de cette façon : Nous en sommes fier, nous le voyons heureux, c’est aussi important pour la Nazionale et j’espère qu’il pourra aller jusqu’en Finale. Valentin fait partie de l’Inter et s’il ne parvient pas à se qualifier pour la Finale avec l’Argentine, même si j’espère qu’il y parviendra, il sera surement de retour avec nous, pour être à disposition pour la Finale de la Ligue des Champions." Le Real Madrid "Je suis serein pour Lautaro car il est fier et je ressens sa fierté lorsque je le vois avec nous : Je ne suis pas inquiet en sachant ce qu’il représente pour nous et comment il se sent à l’Inter : J’ n’ai également jamais eu écho d’une possibilité de voir le Real avoir envie de Lautaro. La chose qui compte est sa mentalité de gagnant, il est prêt à faire face et à surmonter chaque difficultés. Avant la Coupe du Monde, il avait du mal car il avait disputé toutes les rencontres. A son retour à Milan, il est revenu jouer avec humilité et grandeur." City "Tout le monde pense que City est l’équipe favorite, mais l’Inter a toutes les cartes en main pour y parvenir. City est une équipe à respecter, mais si nous sommes parvenus à accéder à la Finale, c’est par nos mérites et tout peut arriver dans une rencontre sec, nous chercherons à annihiler leur puissance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. En effet, le prestigieux magazine Forbes a dévoilé sa liste des clubs les plus riches du Globe. Si, bien sûr, la Premier League domine ce classement, il y a lieu de se pencher sur la belle performance Nerazzurra, malgré un contexte d'auto-financement ! Le Real Madrid est le club le plus cher du monde, lui qui a connu une croissance de 19% pour culminer à une valeur de 6 milliards de dollars. Et si tous les Grands Clubs prennent de la valeur, la seule qui a connue une décroissance se nomme la Juventus pour ne pas changer, elle qui paye au prix fort ses affaires internes pour quitter le Top 10 et un bond négatif de 12%. La bonne nouvelle italienne revient à la ville Milanaise qui voit le Milan pointer à la 14ème place immédiatement suivi de l'Inter, 16ème, pour une croissance positive de 3%. Le classement des 30 clubs de foot les plus chers au monde en 2023 selon Forbes : 1. Real Madrid : 6,07 milliards de dollars 2. Manchester United : 6 Mrds $ 3. FC Barcelone : 5,51 Mrds $ 4. Liverpool : 5,29 Mrds $ 5. Manchester City : 4,99 Mrds $ 6. Bayern Munich : 4,86 Mrds $ 7. PSG : 4,21 Mrds $ 8. Chelsea : 3,21 Mrds $ 9. Tottenham : 2,8 Mrds $ 10. Arsenal : 2,26 Mrds $ 11. Juventus : 2,16 Mrds $ 12. Borussia Dortmund : 1,93 Mrds $ 13. Atletico Madrid : 1,54 Mrds $ 14. AC Milan : 1,4 Mrds $ 15. West Ham : 1,08 Mrd $ 16. Inter : 1,03 Mrd $ 17. Los Angeles FC : 1 Mrd $ 18. Los Angeles Galaxy : 925 M$ 19. Atlanta United : 850 M$ 20. Crystal Palace : 806 M$ 21. New York City : 800 M$ 22. Newcastle : 794 M$ 23. Leicester : 781 M$ 24. Aston Villa : 756 M$ 25. Everton : 744 M$ 26. Olympique Lyonnais : 734 M$ 27. Roma : 724 M$ 28. DC United : 700 M$ 29. Toronto FC : 690 M$ 30 Austin FC : 680 M$ A noter également la belle 27ème place de la Roma avec une croissance de 11% pour une valeur totale de 724 millions de dollars. Le bon le plus impressionnant est à mettre à l'actif de Newcastle avec une croissance de 51% pour déjà pointer à la 22ème position pour une valeur de 794 millions de dollars. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  15. En effet, si l'Inter se concentre sur la fin de saison et sur l'acte finale de celle-ci en Ligue des Champions, notre Direction pense aussi à de quoi sera composée l'équipe la saison prochaine, avec un oeil tout particulier pour les joueurs en fin de contrat Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les Nerazzurri ont frappé à la porte de Nacho Fernandez, le défenseur central du Real Madrid qui voit son contrat prendre fin au 30 juin prochain et dont son renouvellement est très loin d'être acquis. Si l'approbation chez les Nerazzurri est totale, malgré son âge avancé de 33 ans, preuve en est Francesco Acerbi qui est la confirmation que la carte d'identité n'est pas une source d'influence, mais bien plutôt une opportunité d'une renaissance. De plus, à la Viale della Liberazione, on ne cache plus sur le fait que les joueurs en fin de contrat du Vieux continent peuvent se transformer en opportunité à saisir. Et dans l'armoire à trophée de Nacho, on retrouve 5 Ligue des Champions, 5 Coupes du Monde des Clubs et 3 championnat nationaux. Celui-ci a déjà occupé tous les postes défensif dans un rempart qui sera définitivement privé de Milan Skriniar. L'Inter a d'ailleurs déjà échangé avec ses agents afin de savoir s'il serait possible de le recruter gratuitement en échange d'un triennal malgré une concurrence qui sera des plus féroces. Concernant Benjamin Pavard, si le joueur présente un profil "proche" de celui de Milan Skriniar, le coût de son transfert est des plus décourageant: 20 millions d'euros et un salaire important à prévoir: Une arrivée qui est donc loin d'arriver au meilleur moment de l'Histoire récente des Nerazzurri ®Antony Gilles - Internazionale.fr Source: Gazzetta Dello Sport
  16. C'est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: Si la Fédération Italienne a de nouveau raté l'occasion de redorer son blason dans le cadre des dossiers entourant la Juventus, l'UEFA d'Aleksander Ceferin compte sortir la sulfateuse: Après la négociation d'hier qui a permis à la Juve d'éviter d'autres points de pénalité, la décision de l'Uefa est attendue, elle qui pourrait exclure la Juventus des coupes européennes pour une saison. La décision sera rendue à la mi-juin. Car si cet accord financier a "réglé" la situation italienne, donnant effectivement à la Juve une place dans les prochaines coupes d'Europe, soit l'Europa soit la Conference League,il n'est pas encore certain que les portes de l'Europe soient ouvertes. En effet, le club fait l'objet d'une enquête pour violation du Fair-Play-Financier et l'éventail des sanctions est large, allant d'une "simple" amende à l'exclusion des Coupes d'Europe. La Juve fait l'objet d'une enquête sur le Fair-Play-Financier depuis le 1er décembre, afin de déterminer si elle a violé les règles et l'accord conclu avec Nyon en septembre: L'accord sur les salaires n'affecte d'ailleurs pas l'enquête de l'Uefa, même s'il s'agit en quelque sorte d'un aveu. Car les enquêtes de l'Uefa sont indépendantes et la situation actuelle est telle que Nyon ne peut plus se permettre un long délai : A la fin du mois d'août, les phases préliminaires de la Conférence seront jouées et il y a des tirages au sort qui s'en suivra. Il faut donc prendre une décision pour savoir si la Juve pourra y être inscrite ou si le huitième de la Serie A prendra le relais L'organe de contrôle de l'Uefa devrait se prononcer d'ici la mi-juin et la procédure sera la suivante: Elle sera suivie d'un appel et, au troisième degré de l'intevention Tas avec fast track pour obtenir une réponse rapide. Le -10 du premier jugement et cet arrangement financier signifient qu'il y a eu une certaine violation. La sanction dépend à présent de deux facteurs : L'ampleur de l'infraction et l'éventuelle malveillance. La Juve a conclu un accord avec l'Uefa pour ne payer que 3,5 millions d'euros au lieu de 23 millions d'euros comme l'avant fait le Paris-Saint-Germain. Et si ce "règlement" aide les équipes vertueuses, il peut devenir un cauchemar pour celles qui n'atteignent pas leurs objectifs ou qui ont fourni des informations frauduleuses sans lesquelles elles n'auraient pas bénéficié de conditions aussi favorables. De plus, un comportement anti-sportif peut-aussi être une cause d'exclusion Car au discours juridique au sens strict s'ajoutera la question politique de la Super League. En juin prochain, il n'y aura pas encore d'arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne. Et si les juges ne se prononcent pas d'ici juillet, nous en reparlerons à partir de la fin du mois d'août. Mais si la Cour confirme l'avis de l'Avocat-Général Rantos, tout le monde pourra organiser une Super League qui sera toutefois incompatible avec la Ligue des Champions: Dans un tel cas, ce ne serait alors pas l'UEFA qui exclurait la Juve, le Real et le Barça des Coupes d'Europe mais bel et bien l'Union Européenne. S'il pourrait s'agir d'un jour sombre pour le Football, la solution la plus simple pour la Juve serait de renoncer à la Super League, et il n'est pas dit que l'Uefa augmentera les sanctions parce que la Juve est un rebelle. Mais on peut supposer qu'elle aidera plutôt un club "fils prodigue" de toutes les manières possibles. Il appartient maintenant aux Bianconeri de choisir leur stratégie. Pour l'instant, c'est la voie de l'intransigeance qui prévaut, dans l'espoir présumé que les juges de l'UE renverseront l'avis de l'Avocat Général. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  17. Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League. Comment jugez-vous la saison actuelle de l’Inter ? "C’est une saison un peu contrastée, l’Inter a très bien réussi dans tout ce qui est match de Coupe, un peu comme Inzaghi sait le faire. C’est plutôt un entraineur de Coupes, sans être péjoratif, c’est un entraineur qui, sur des évènements ponctuels, parvient à faire la différence. La preuve , l’année dernière il a gagné la Coupe d'Italie, il est en finale aujourd’hui, il est en finale de la Champion’s League, il a remporté la Super Coupe." "Au contraire de Conte qui est un entraineur bâtisseur sur le long terme et qui est plutôt prêt pour acquérir des titres sur le long terme comme l'est un championnat, je pense qu'Inzaghi est un peu un entraineur qui est capable de briller sur des compétitions où c’est quitte ou double. Il l’a fait avec la Lazio aussi à l’époque. C’est vraiment devenu un spécialiste des Coupes, et ce n’est pas par hasard. Quand tu en gagnes une, deux, on peut se dire que c’est le hasard qui a fait que... mais ici il le fait depuis quelques saisons, pour moi, c’est ce qui caractérise la saison de l’Inter avec Inzaghi, paradoxalement avec celles sous Antonio Conte." "Maintenant c’est une saison en dents de scie même si cela va mieux ces dernières semaines, car l'Inter a des joueurs comme Lukaku, notamment, qui reviennent bien qui pèsent à nouveau. Mais c’est vrai qu’ils ont connu beaucoup de soucis avec des résultats très inégaux et je pense à la défaite à domicile face à Monza 0-1." "Je me suis dis 'On est en préparation pour la Ligue des Champions' mais voilà, l’Inter joue avec son bonheur et ils auront la rencontre à Turin et le match face à l’Atalanta qui restent à disputer pour se qualifier en Ligue des Champions. Il y aura City aussi, mais ce n’est pas normal d’avoir attendu si longtemps pour assurer la place en Ligue des Champions car, cette année, il y avait la place pour l’acquérir beaucoup plus tôt même si Naples a survolé la compétition." "Honnêtement, au vue des oppositions qu’ils ont eu à l'Inter, vu le noyau qu’ils ont, je trouve que c’est quand même tardif. Je peux l’expliquer aussi par le fait qu’il y a un noyau " vieux" et il n’y a rien à faire quand on veut aborder plusieurs compétitions, il faut le préserver. Toute proportions gardées, l’Inter a un peu le même problème que le Real : un noyau vieillissant. Ce sont des équipes qui sont capables d’avoir un objectif majeur, mais pas trois ou quatre dans une saison, c’est difficile." "Lorsque l’on regarde la saison du Real, elle a fait un peu une saison similaire en termes de prix remportés au niveau des Coupes, il y a une saison en Liga complétement manquée, gâchée pour un club comme le Real. L’Inter, toute proportions gardées j’insiste un peu, vit une saison similaire au niveau des résultats et je l’explique par ça : prenez la moyenne d’âge." "Ce sont des supers joueurs, vous vous rendez comptes aussi qu’avec ces mecs-là, si vous ne les faites pas tourner, vous les blessez. Ici on arrive en fin de saison, on voit que Mkhitaryan s’est fait mal en demi-finale retour, Dzeko qui va jouer ce soir a aussi eu quelques bobos. Tout le long de cette saison a été jalonnées par des petits bobos que les joueurs importants, les cadres ont eu parce qu’à un certain âge, jouer au très haut niveau toutes les compétitions, tout le temps, ce n’est plus possible et je pense qu’Inzaghi l’a très bien compris, aussi dans sa rotation car il n’avait pas trop le choix." Pensez-vous que la Coupe du Monde a eu un impact ? Qu’elle a faussé un peu les tournois ? "Oui, la Coupe du Monde a eu sa part d’influence sur toutes les équipes. Surtout au retour de Coupe du Monde pour la plupart des équipes où il y a eu beaucoup d’engagés. Oui, il y a pu y avoir un impact, forcément pour les Italiens, non, pour l’Inter je ne le sais pas, mais ils n'étaient pas tous concernés par la Coupe du Monde, pas du tout même. Toutefois, par l'entracte qu'elle a provoqué, oui." Et des matchs tous les trois jours… "Le problème a été l’accélération de match et là évidemment dans un calendrier qui est déjà surchargé... faut savoir ce qu’on veut, car même si les dirigeants pensent construire des noyaux très larges, pléthoriques pour aborder toutes les compétitions, les aborder toutes avec le même niveau de performances est impossible car on ne sait pas disposer de deux équipes de même niveau dans son noyau, en tout cas l’Inter n’a pas ça, ça lui couterait beaucoup trop cher." Malheureusement nous n’avons pas le propriétaire qui va avec pour l’instant… c’est assez compliqué… "Mais City est capable d’avoir ça , ils ont deux équipes, une pour la Premier League quasiment et une pour la Champion’s League mais c’est la seule équipe, c’est une exception." En parlant justement de City, pensez-vous que ce club a un point faible ? Ou est-ce que la Finale est déjà perdue d’avance pour l’Inter ? "Perdue d’avance non, même si c’est vrai que cette année City écrase tout, ils sont terriblement efficaces, ils ont un peu revu leur système avec la présence d’Haaland aussi, parce qu’ils sont capables, à présent, de varier aussi leur manière de marquer, ils peuvent partir de beaucoup plus bas, ils n’ont plus besoin d’une construction élaborée, très élaborée comme Guardiola les aiment lorsqu’il joue avec un faux neuf." "ici, ils ont vraiment dans des situations avec Haaland et une manière de marquer qui est différente. C’est évidemment un gros avantage pour Guardiola même s’il doit laisser tomber un petit peu et parfois ses préceptes et ses principes. Je dirais plutôt s’en éloigner un tout petit peu et les varier un tout petit peu, mais c’est le gros avantage de City. C’est vrai que j’ai aussi vu des matchs où Haaland était bien bloqué comme face à Rudiger lors du match aller au Real, ceci dit, le gros soucis avec cette équipe, c’est qu’elle est capable de marquer de manière très différente et d’être dans un mouvement perpétuel. C’est une équipe qui est très difficile à jouer techniquement." "Elle a des faiblesses et pour moi ce sont les situations de contre-attaques car elles portent beaucoup de joueurs vers l’avant. Une fois qu’Haaland manque d’efficacité, c’est un soucis aussi pour cette équipe, car il est vraiment très important. Ils ont tout de même des difficultés parfois à pouvoir, sur la longueur d’un match, contenir les contre-attaques des adversaires. Ce n’est pas une équipe qui n’a aucune faiblesse, c'est une équipe qui peut aussi à un moment donné s’agacer, par exemple, de la roublardise de l’adversaire, du fait que le rythme soit faible dans le match." Ce qui est un peu la force des clubs italiens… "Oui et c’est quelque chose qui pourrait très vite les agacer, car ils sont parfois impatient et il ne faut pas oublier non plus la plus grande faiblesse de City cette année est qu’ils doivent la gagner : Guardiola a beau relativiser dire oui… Toujours un peu avec son dogme caractéristique, il doit la gagner ! Cela fait presque 10 ans qu’il est là, ils ont investi beaucoup d’argent dans le club pour y parvenir." "Je crois qu’ils la veulent à tout prix et c’est l’occasion où jamais. Ils se sont plantés, il y a deux ans, face à Chelsea, City n'a plus trop le droit à se planter à nouveau. Pour moi, c’est ce côté impatient, ce côté obligation à devoir aller la chercher qui peut jouer pour l’Inter, car l’Inter va être l’outsider de Luxe." "Quelque soit le résultat de l’Inter, elle n’a rien à perdre et tout le monde dira que c’est déjà formidable d’avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, c’est déjà le cas maintenant et je pense que c’est un grand avantage pour l’Inter de ne pas être "Obligé de" alors que pour City oui, car si City la perd, vu la force en présence, vu leur noyau vu toutes ce qui entoure ce titre en Ligue des Champions, ce sera de nouveau un camouflet pour Guardiola et ce sera de nouveau une Finale de perdue." "Il ne faut pas minimiser aussi l’aspect psychologique de cette rencontre qui aura beaucoup d’influence, parce que c’est vrai que l’Inter est un peu une équipe d’emmerdeurs." C'est un peu le cas aussi… Il y a une cohésion d’équipe chez nous, car si l'on se base que sur le plan individuel,on ne fait pas le poids : Est-ce que le 3-5-2 est une bonne idée face à City ? "Je pense que l’Inter est très dépendante de ce que va produire comme foot et comme prestation son trio au milieu de terrain car, pour moi, c’est le poumon de l’équipe: Pas seulement parce que ce sont de très bons joueurs, mais aussi parce qu’ils abattent un travail exceptionnel. Que ce soit Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Barella c’est vraiment incroyable ce qu’ils sont capable de faire surtout dans les contre-efforts défensif et là ils sont vraiment redoutable." "Quand je vois comment ils se sont mis minable dans le Derby sur les deux matchs et les prestations encore qu’ils ont eu, je me dis que ça peut vraiment embêter le milieu de terrain de city. De Bruyne n’aimera pas avoir ce type d’opposition, pas du tout même, il n'aimera pas ce type de marquage et d’une manière générale tous les joueurs de City n’aimeront pas." "Je pense que derrière, Acerbi a prouvé aussi que ce ne sera pas un problème pour lui de jouer contre Haaland: L'Inter ne va pas non plus ouvrir le jeu avec 50 mètres dans son dos, ils vont rester organisé et pour moi l’Inter a des atouts à faire valoir. Je ne vois pas l’Inter s’écrouler contre City, je ne vois pas ça, je vois une équipe qui est vraiment capable de les emmerder." Passons à Lukaku, la Serie A est-elle le mieux pour lui ? Ou est-ce mieux qu’il retourne à Chelsea ? "Je pense que sa saison a été marquée en plusieurs temps, son premier temps est évidemment son retour de la Coupe du Monde, fragilisé moralement, fragilisé physiquement et je connais un tout petit peu Romelu et son caractère, il a voulu forcer les choses et aller plus vite au niveau de son retour et il s'est passéce qu'il s’est passé. Maintenant, il est en forme , il joue, il veut reprendre sa place de titulaire." "Il ne faut pas oublier non plus qu’il joue dans un club qui possède deux paires d’attaquants, et l'on oublie trop souvent de le dire mais pour un Club comme l’Inter: 4 attaquants de ce niveau-là, c’est tout de même rare, c’est très rare : Il faut bien se rendre compte qu'il s'agit de Correa, Dzeko, Lautaro qui est un super joueur et Romelu : Vous imaginez quand même ! " "Vous êtes là, vous commencez le match avec Dzeko et à un moment donné vous faites monter Romelu pour les vingt dernières minutes avec Correa, ou un autre si Correa est déjà titulaire, mais vous voyez ce que je veux dire en termes de possibilités: C’est énorme ce qu’Inzaghi a à sa disposition , il ne faut pas le négliger non plus, ce sont quatre attaquants de grandes qualités." "Maintenant en ce qui concerne Romelu en tant que tel, il a voulu refaire sa place, peut-être un peu trop vite et il est parti de blessure en blessure et de rechute en rechute et ça, ça a été son grand soucis parce que la pression aidant, le fait aussi que sa Coupe du Monde soit manquée, le match contre la Croatie qui lui reste dans la tête : Tout a joué beaucoup contre lui et il l’a dit récemment, que cela lui a pesé énormément car si vous n’êtes pas bien dans votre tête, le reste ne sait pas suivre, même au niveau de la prise en charge d'une blessure." "Et une compétition exigeante comme l’est la Serie A a fait aussi qu’il s’est reblessé, qu’il n’a jamais été prêt. Maintenant il commence à l’être, ici, il enchaine les matchs et surtout les bouts de matchs et je sais, à ce niveau-là qu’Inzaghi est beaucoup critiqué mais je trouve qu’il les a bien gérer : Il a bien géré la rotation et l’intégration de Romelu pour ne pas qu’il aille trop loin d’une part et pour qu’il se sente bien physiquement d’autre part." "On l’a vu ces derniers temps, il marque au meilleur moment pour lui car c’est maintenant le Money Time, c’est maintenant ici que tout ce décide et c’est surtout maintenant que les contrats sont revus : Il y a quelques semaines l’Inter avait dit non, Romelu on n’en veut plus: Aujourd’hui, ils ont changé de fusil d’épaule et c’est d’ailleurs la même chose à l’égard d’Inzaghi Je pense qu’il y a vraiment une progression dans sa saison qui est bonne avec la possibilité , aujourd’hui, de rester à l’Inter et surtout d’apporter un plus sportivement à l’équipe." "Maintenant, pour sa situation avec Chelsea, je pense que l’Inter a de l’argent, mais l’Inter est en dette et doit faire attention. Oui, elle est en auto-financement…. "Je le sais, je pense qu’ils vont être tributaire un peu de ce que Chelsea va exiger : L’Inter est une équipe spécialiste pour faire des prêts , je crois que c’est Marotta qui en est le Directeur comme c’était le cas du temps de la Juve." Tout à fait, avec Piero Ausilio… "Marotta est un adepte de ce genre de manœuvre , vous me direz si je me trompe mais je suis quasiment certain qu’à l’époque de la Juve, c’est lui qui va rechercher Pirlo car plus personne n’y croit." Oui, il a fait la même chose avec Pogba…. "C’est un très grand spécialiste, il s’est parfois trompé, je ne dis pas qu’il a toujours tout réussi, mais il a quand même bien plus réussi que raté au niveau de ses prêts et de certains fin de contrat qu’il a été chercher." Oui, c’est lui qui a reconstruit l’équipe de l’Inter à son arrivée et on voit la différence avec la Juve à l’heure actuelle…C’est sa plus grosse perte... "Tout à fait, la Juve a beaucoup perdu avec son départ et l’Inter a beaucoup gagné, je sais qu’on ne parle pas beaucoup de lui mais c’est un Dirigeant Sportif qui a été l’architecte de l’Inter." Il est le plus respecté, encore plus que Steven Zhang…. "Cela ne m’étonne pas je crois vraiment que sa présence a été la clé du succès de l’Inter et pour revenir sur le prêt, sur la continuité de Romelu à l’Inter le problème sera à Chelsea : Qu’est-ce qu’ils vont vouloir, qu’est-ce que le nouveau propriétaire va vouloir : Accepteront-ils encore un prêt ou alors vont-ils vouloir le vendre définitivement sachant que Romelu n’a peut être pas envie de retourner à Chelsea." "Cela pourrait dépendre du nouvel entraineur de Chelsea , peut être qu’il aura une bonne connexion avec Lukaku, Dieu seul le sait : Je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le savoir: Je pense qu’aujourd’hui vu la manière avec laquelle joue Lukaku, et son amour pour l’Inter et pour la Serie A, qu’il a envie de se faire pardonner quelque chose vu la façon dont il est parti." Oui, il était fort aimé, on a vécu son départ comme une trahison, pour certains ils sont encore rancuniers "Je sais, en Italie, ils ont la rancune tenace et il y en a encore beaucoup qui lui en veulent d’être parti car certains disent "Oui mais l’Inter avait des problèmes financiers et c’est pour ça qu’il est parti" mais je pense que ce n’était pas que pour ça, cette raison-là n’est pas vraie, c’est du Pippo." A l’Inter, lorsque Conte est parti, s’il avait dit à ce moment-là: Je veux quitter le club aussi, je demande à être transféré il n’y aurait eu aucun soucis", mais lui avait fait une interview une semaine avant son départ pour dire : "Ne vous inquiétez pas Conte est parti et je reste", c’est pour cela que la pilule n’est pas passée... "Je pense que Romelu a commis à la fois une erreur de communication, mais aussi une erreur de choix car on s’est ce qu’il est advenu de sa saison à Chelsea. Donc aujourd’hui, il se fait petit, il se met minable car il sait aussi ce qu’il doit à l’Inter et c’est pour ça qu’il a à tout prix voulu y revenir." "C’est aussi pour cela qu’aujourd’hui il est en forme et c’est pour cela qu'à chaque fois qu’il marque un but, il le fait avec beaucoup de respect et aussi avec une certaine forme de redevance si vous voyez ce que je veux dire, on le sent dans sa communication avec les supporters, il est toujours en train de les mettre en avant : Il marque toujours beaucoup de sollicitude à leur égard." Il est très communicatif… "C’est normal et il doit se rattraper et il est authentique car je le connais un peu, les critiques des supporters l’ont touchés, l’ont blessés , surtout lorsqu’ils l’ont traité de Traitre, mais voilà…" Face à la Salernitana c’était d’ailleurs l’un des seuls joueurs à aller voir les supporters lorsque l’on s’est inclinés sur leur terrain, il les "a porté", s’est excusé et ça lui permet de revenir aussi dans les bonnes grâces des Tifosi... "Tout à fait et il n’était pas obligé de le faire, il y a d’autres joueurs qui ne se seraient pas comportés comme cela et je pense que ça compte beaucoup pour lui : Il aime l’Inter et je pense que l’Inter l’aimera de nouveau et que tout se passera bien pour lui." "Vous savez l’Inter a perdu un peu son lustre d’antan: On n’était plus habituée à la voir dans les compétitions européenne comme elle le faisait à l’époque de Mourinho mais quand on voit cette équipe aujourd’hui, elle n’est pas là par hasard , elle n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard." Dernière question : votre prono pour ce soir, pour la Finale de la Coupe... "Je trouve que la Fiorentina est une superbe équipe, on voit le boulot d’Italiano. Je l'’ai suivi aussi avec la Conference League, c’est une super équipe de foot, elle joue très bien au foot, elle a un gros problème : Elle se crée plus d’occasions qu’elle ne marque de buts mais elle s’en crée vraiment beaucoup, énormément grâce à un football léché et elle pourrait être un bon adversaire pour l’Inter." "Elle est un peu similaire à City, ça pourrait être une mini-répétition de ce qu’il pourrait se passer face à City, sans exagérer bien sûr et c’est une Finale . Je pense qu’on va assister à un beau match et cette année, j’ai rarement vu des mauvais matchs de sa part, c’est une équipe agréable à voir , mais j’aurais un petit penchant pour l’Inter, un petit." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. En effet, l’arbitre polonais a été désigné pour diriger la Finale tant attendue qui se déroulera le 10 juin prochain à Istanbul: Il s’agira de sa première finale dans la plus prestigieuse des Coupes d’Europe par Club, lui qui en avait été le quatrième arbitre en 2018 Cette saison, il a dirigé huit parties à débuter par les phases préliminaires jusqu’à la demi-finale retour entre Manchester City et le Real Madrid. Il a également dirigé la Finale de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Il est d’ailleurs le second arbitre de l’Histoire à arbitrer successivement la Ligue des Champions et la Coupe du Monde. Et cette anecdote peut faire sourire les Tifosi de l’Inter car le seul et unique précédent remonte à l’année 2010, un certain 22 mai avec l’anglais Howard Webb qui dirigeait un certain Bayern-Inter Et une anecdote peut en cacher une autre : José Mourinho a été titré à l’Inter à l’âge de 47 ans avec M comme Madrid….Simone Inzaghi pourrait être titré à l’âge de 47 ans avec un I comme Istanbul ! De bon augure les amis ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Giuseppe Marotta s’est livré à Radio Anch'io Sport sur Rai Radio 1 sur la fin de saison à venir et la situation entourant actuellement l’Inter Citizen "Dans le sport, il y a le besoin de jouer chaque compétition jusqu’au bout : Nous avons un très grand respect et de la crainte pour ce grand Colosse qu’est Manchester City : Un colosse en terme financier et un monstre de puissance technique. Mais nous sommes préparés à faire face à un adversaire plus fort que nous, nous irons sur le terrain en mettant des valeurs qui, dans le sport, sont encore bien plus importantes: Comme la motivation, l’attachement au maillot et une très grande organisation footballistique." Inter-Atalanta "Nous sommes conditionnés par la volonté du Diffuseur et cette compression de matchs rapprochés mets en péril l’intégrité physique de nos joueurs : En tant que Lega, nous nous devons de tirer le meilleur parti de cette ressource fondamentale qu'est la vente des droits télés, et les Diffuseurs ont pour mission de planifier et de mettre en place des calendriers en tenant compte des audiences les plus importantes : Mais Il faudrait parvenir à trouver un juste milieu, en tenant compte également des risques compétitifs qu’encourent les différents clubs" David contre Goliath Manchester City est-il plus fort que le Fc Barcelone ou le Real Madrid que vous aviez affronté lorsque vous étiez à la Juve ? "Lorsque j’étais à la Juve, nous avions fait face à ce qui était l’expression du football le plus redoutable : Actuellement, City est une grande puissance footballistique, non seulement du point de vue de son chiffre d'affaires, qui avoisine les 800 millions d'euros: Il dispose donc d'un pouvoir d'achat considérable qui lui permet d'acheter des joueurs de très grande qualité : A mon avis, il possède les meilleurs joueurs d'Europe, un effectif de très grande valeur. Et tout cela nous donne une très grande surmotivation." Est-ce que la Finale de la Ligue des Champions peut distraire l’Inter du Rush Final en championnat et de la Finale de la Coupe d’Italie ? "C’est le risque sportif : Lorsque tu sais que tu dois faire face à des rendez-vous d’importances différentes, c’est tout à fait normal que ta concentration se dirige vers le rendez-vous le plus important. Il revient aux capacités de l’entraineur, du Club et de l’équipe de parvenir à trouver la juste motivation pour faire face à tous ces engagements étape après étape : La rencontre de mercredi est importante car c’est la Coupe d’Italie. Et c'est un titre de grand prestige et nous ferons face à un adversaire de haute valeur qu’est la Fiorentina." Mercato Frattesi et Scalvini sont-il des noms Da Inter? "Nous parlons de deux jeunes très très intéressants, mais il y en a aussi d’autres. Hier, nous avons assisté à une belle prestation de nos ’U-20 face au Brésil : Ils sont tous les deux suivis par de très nombreux clubs, il n’y a pas que l’Inter qui a ses yeux fixés dessus. Ensuite, à partir de la vision, nous devons passer à la négociation, mais pour l'instant, nous n’y sommes pas encore." Big Rom "Il aime énormément le maillot qu’il porte, il se trouve très bien à l’Inter et il veut rester avec nous : Comme vous le savez, le joueur est en prêt jusqu’au 30 juin, ensuite il rentrera à Chelsea et nous ne savons pas encore ce qu’il se passera du point de vue technique avec ce club : En ce moment, nous sommes à la fenêtre." Simone Inzaghi "On ne peut pas évaluer la prestation d’une saison sur un simple match, même si c’est la Finale d’Istanbul : Arriver en Finale est une question de très grand prestige aussi pour les entraineurs et donc pour Simone Inzaghi qui se l’est amplement mérité. L’évaluation que nous avons faite de lui est extrêmement positive." "Et ce même s’il y a eu une période où les choses n’allaient pas bien, avec un débat plus fort et plus direct au sein même du Club, mais avec des critiques toujours propositive : Inzaghi a démontré d’être à la hauteur de son rôle et le Club lui a reconnu qu’il a été capable de remettre le club sur les bons rails." Main Sponsor Vu l’attente d’un sponsor, est-ce qu’un symbole d’une œuvre de bienfaisance pourrait apparaitre sur le maillot à Istanbul ? "Non, en réalité, la branche Corporate du Club négocie avec différentes sociétés et elle parraine des activités, mais il s’agit de négociations dont je ne sais pas très bien si elles seront finalisée d’ici au 10 juin." Implosion Napolitaine "J’ai la chance de connaitre aussi bien Spalletti que De Laurentiis, j’espère pour le bien du Calcio qu’ils pourront continuer à travailler ensemble car ce sont deux valeurs ajoutées de notre Calcio : Le fait de les voir se séparer me génère un peu d’amertume : Ils ont réalisé une très grandissime emprise qui a été le fruit de grandes compétences et de professionnalisme." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Julio Cesar, présent dans les studios Prime Video, a eu son mot à dire sur la finale à Istanbul qui opposera Manchester City à l'Inter. Que dites vous à l'Inter et à Onana en vue d'Istanbul ? "De bien préparer le match! Il faudra qu'Onana soit bon comme Courtois ce soir qui malgré le résultat a fait de beaux arrêts. Mais je dis aussi que c'est un match sec et que tout peut y arriver. Dans le football, c'est toujours comme ça. C'est normal que l'équipe la plus forte ait toujours plus de pression." Un Madrid qui avait plus de pression ? "À mon avis, 50 et 50. Mais revoir l'Inter en finale est merveilleux. Revoir les images de la finale de 2010 me fait pleurer, je suis toujours ému. Inzaghi et les garçons ont eu un merveilleux parcours et ils la méritent." Avons-nous besoin d'un Onana comme Julio Cesar et d'un Lautaro comme Milito ? "Oui, je pense que oui. Un Onana plus Courtois parce que ce qu'il a fait ce soir n'était pas arrivé depuis longtemps." Sur Dzeko : "Je suis curieux. Dans une finale de Ligue des champions, si tu es contre ton ancienne équipe, que fais-tu ? Tu applaudis ou pas ?" Plus facile qu'avec Lautaro, Lukaku jouera-t-il plus que Dzeko en finale ? "Cela pourrait être. Peut-être plus Lukaku pour son physique et pour sa contre-attaque. Nous savons que City essaiera toujours de faire face avec le ballon dans les pieds et Inzaghi les préparera comme ça ou peut-être pas parce que par superstition ils essaieront de ne pas changer ce qui a fonctionné jusqu'à maintenant." Sur Inzaghi : "Je pense que travailler avec la critique n'est pas facile. Mais il l'a fait et il a atteint un match très important, à savoir la finale de la Ligue des Champions." Sur Lautaro : "Il a gagné la Coupe du monde et maintenant il risque aussi de gagner la Ligue des champions. C'est arrivé à peu de joueurs jusqu'à présent. Il a traversé une période où il ne pouvait pas marquer, mais maintenant il arrive avec une certaine confiance." Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Simone Inzaghi a rejoint les micros de Sport Mediaset après le coup de sifflet final de l'Euroderby. Vos impressions ? "Dans les prochains jours on va se rendre compte. Pour nous c'était un rêve mais on y a toujours cru. Un parcours extraordinaire, gagner un derby en demi-finale de cette façon apporte de la satisfaction." Qu'est-ce qui vous a le plus plu dans votre équipe ? "Tout. Ils ont été très bons, nous avons eu quatre derbies depuis janvier et nous les avons gagnés, même s'ils sont champions d'Italie et qu'ils ont de la qualité. Je suis content pour les garçons." Maintenant, les Nerazzurri vous demanderont de gagner la Ligue des champions. Envie de faire une promesse ? "Promesse non. J'aurais dit que nous aurions fait un effort fou dans toutes les compétitions, à partir du 1er Avril nous avons atteint le 16 Mai en jouant tous les trois jours mais nous avons eu deux finales et redressé le championnat. Bravo aux garçons." Real Madrid ou Manchester City ? "Ce sont deux des meilleures équipes d'Europe, le match aller a été équilibré. Je suis content pour nous, je regarderai le match avec intérêt demain." Les cailloux sont-ils dans la chaussure droite ou dans la chaussure gauche ? "Dans aucune des deux. Je sais qui a toujours été là et qui n'était pas là en cas de besoin. Je sais tout ce qui s'est passé ces derniers mois mais j'ai un excellent personnel et de grands joueurs. C'est juste que nous tous travaillons ensemble, profitons de ces soirées. Nous sommes l'Inter et nous voulons aller de l'avant, également en championnat." Votre relation avec l'Inter s'est-elle renforcée dans votre souffrance ? "Je suis fier d'être ici. Je sais ce qui est arrivé à l'Inter quand j'ai été appelé et ce qu'on m'a demandé, à savoir aller en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Cette année, nous nous sommes surpassés mais personne ne nous a rien donné, maintenant la finale s'est réalisée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Romelu Lukaku s'est entretenu hier avec CBS après le succès contre Milan lors du match retour de l'Euroderby. Impression générale. "Ce fut une saison très difficile pour nous, mais à la fin nous avons tous tout donné et le mois dernier nous avons remis les choses en place en championnat et atteint la finale des coupes. Être présent dans le dernier acte des Champions La ligue est quelque chose de vraiment important pour nous." Une saison noire qui se termine bien ? "Maintenant, l'équipe est presque complète et l'entraîneur peut utiliser tout l'effectif, aussi parce que celui qui joue donne tout. Sur le plan personnel, je peux dire que je vais très bien maintenant mais j'ai beaucoup souffert. Des mois très difficiles plus tard, la blessure, aussi parce que sa gravité n'était pas immédiatement claire. Ensuite, je suis allé au Qatar mais je n'étais pas en forme et plus tard, j'ai dû m'arrêter à nouveau. J'ai travaillé dur pour revenir en forme et maintenant nous voulons finir de la meilleure façon possible cette saison." Henry lui demande un avis sur Simone Inzaghi. "L'entraîneur a beaucoup de mérites pour ce que nous avons réalisé. Il y a deux ans, nous avons remporté le Scudetto en profitant principalement de la reprise, alors que l'année dernière, l'Inter a fait un peu de contre-attaque et un peu de possession de balle. Cette saison, nous avons commencé par essayer avec une pression très élevée mais nous avons encaissé trop de buts et cela nous avait coûté plusieurs points. De ce fait, Inzaghi est revenu et les résultats sont évidents. Maintenant, nous avons un centre de gravité plus bas pour ensuite attaquer rapidement, et ça a été le tournant." Qui en finale à Istanbul ? "Je pense que ce n'est pas important, City et le Real sont deux grandes équipes. Guardiola a un plan tactique différent pour chaque match et cela met les adversaires anglais en difficulté. Ancelotti peut compter sur deux ailiers offensifs de grande qualité tels que Vinicius et Rodrygo ainsi que sur de nombreux joueurs de classe mondiale et d'autres tels que Valverde qui le deviennent." Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. Après avoir embrassé Esteban Cambiasso sur la touche, notre vice-président et légende de l'Inter Javier Zanetti a fait part de sa joie aux micros de Sky Sport. Une grande joie! "Grande émotion, le groupe méritait de disputer une finale de Ligue des champions après 13 ans. On attend les adversaires de demain mais ce que ce groupe a fait est très important. Qui est-ce que je supporte ? Difficile, j'aimerais éviter le Real Madrid car la compétition semble faite pour eux. Mais le plus important est d'y arriver; c'était un chemin difficile, un derby en demi-finale n'est pas facile, j'ai dû sortir vaincu en 2003. Je suis très heureux pour Lautaro, il grandit avec nous chaque année. C'est une référence pour l'équipe, nous le gardons proche car il est trop important." Êtes-vous sûr de le tenir ? "Oui pour l'instant, alors nous verrons; profitons de la victoire. Mais il est heureux ici, il a trouvé sa maison. Il est heureux à Milan et j'espère qu'il le sera encore longtemps." Vous souvenez-vous du tirage au sort du groupe ? "Bien sûr, c'était difficile. Nous avons fait quelque chose d'incroyable. Le plus grand compliment va à l'équipe et à l'entraîneur, qui ont su réagir dans les moments difficiles. Il a peu parlé et s'est montré digne en finale." Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
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