Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'roberto boninsegna'.
13 résultats trouvés
-
Boninsegna : "La Juve n'a jamais existé"
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Interrogé par Notizie.com au lendemain de l'Inter-Juve, Roberto Boninsegna commente la victoire des Nerazzurri. Interrogé par Notizie.com au lendemain de Inter-Juve, Roberto Boninsegna commente la victoire des Nerazzurri face à leurs rivaux de toujours. "Je ne sais pas si c'est plus un mérite de l'Inter ou un démérite de la Juve. La Juve n'a jamais existé. L'Inter, en revanche, a été formidable, le prochain tour est bien mérité. Le match s'est terminé 1-0, mais le résultat aurait pu être plus lourd." L'Inter a du mal en championnat, mais dans les autres compétitions cela est complètement différent. "Enfin j'ai vu un Inter dominant, qui a gardé le match en main du début à la fin. La Juve a vraiment été enrayée". La raison de l'Inter à deux visages tout au long de la saison ? "Je ne pense pas que cela dépende des motivations. Les footballeurs sont des professionnels, quand j'entré sur le terrain, j'ai toujours voulu gagner quelle que soit la compétition. Quand j'étais à l'Inter, à la Juve ou même avec la Squadra je ne pensais jamais à autre chose." Comment évaluer le travail de Simone Inzaghi ? «Il a toujours le pistolet pointé sur sa tête, mais il a su réagir au bon moment avec ses hommes. Le Scudetto perdu l'an dernier, c'est une belle pierre autour du cou, on a donné le championnat au Milan. On a gagné 1-0 dans le derby, puis avec deux remplacements on a perdu des points en 20 minutes. Cette année on est toujours à la limite, l'Inter est malade en Serie A, mais ils ont gagné la Super coupe et s'en sortent très bien en Ligue des Champions et en Coupe d'Italie. Inzaghi doit être félicité pour cela." Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 4 commentaires
-
- 4
-
-
-
- inter-juve
- roberto boninsegna
- (et 10 en plus)
-
Au vu du match entre ses deux anciennes et uniques équipes, l'Inter et la Sampdoria, le nouvel intronisé au Hall of Fame Ivano Bordon parle de lui dans un long entretien accordé à SportWeek, l'encart hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport. Une enquête auprès des fans interisti du monde entier a inclus Bordon dans le Hall of Fame des meilleurs de tous les temps, avec Walter Zenga, Francesco Toldo, Gianluca Pagliuca et Julio Cesar. "Oui, c'est bien. Cela veut dire que j'ai laissé de bons souvenirs, à Milan et à Gênes. Le football a été ma vie. J'ai beaucoup donné, j'ai eu beaucoup et j'ai encore des réflexes." Dix-huit championnats de Serie A avec uniquement l'Inter et la Sampdoria. Seulement deux équipes et un début prédestiné. Dans le derby contre le Milan. "Eh bien, en bref, ce n'était pas un grand début. J'avais dix-neuf ans, je suis entré en deuxième mi-temps à la place de Lido Vieri, mon professeur, avec un 1-0 pour eux. J'en ai pris deux autres, mais ensuite nous avons gagné le Scudetto. Après le derby, Heriberto Herrera a été limogé et Giovanni Invernizzi est arrivé. Je n'ai disputé que neuf matchs mais j'étais sur le terrain à Catane le jour où nous avons dépassé Milan." Heriberto paraguayen. Un entraîneur dont on parle beaucoup. De quel genre était-il ? "Particulier, disons-le. Fanatique des régimes, il contrôlait de manière obsessionnelle la vie des joueurs. Il nous appelait de chez lui le soir, voulait savoir où nous étions, ce que nous faisions. Je partageais l'appartement avec Mauro Bellugi. Heriberto a appelé et a demandé : ‘Tout va bien ? Êtes-vous chez vous ? Pouvez vous me passer Mauro s’il vous plait ?’. J'ai répondu : ‘Monsieur, Mauro est descendu pour sortir les ordures’. Ce n'était pas vrai. Et Heriberto a alors dit : ‘Bon, s'il n'est pas là, une amende’. Puis il s'est opposé aux sénateurs de la Grande Inter, laissant Jair et Bedin hors de l'équipe. Ils l'ont renvoyé et ont promu Invernizzi : nous sommes devenus champions d'Italie." Premier championnat. La seconde avec Eugenio Bersellini. Ils l'appelaient le sergent. Comment c'était ? "J'ai de très bons souvenirs, il m'a donné confiance et grâce à lui j'ai été admis en équipe nationale. Un grand pédagogue, dur, peu de mots, mais clair et honnête. Il ne regardait personne en face. Travail, rapide et même à table, on perd pas de temps et on mange vite. Dix minutes et c'est tout. Mon record est de huit minutes. Il était très rapide, après chaque plat il mangeait une pomme. Mais il nous a appris le sens du groupe et du football. Et de la vie aussi." Est-ce vrai qu'il vous a toujours dit : "Vous les joueurs, vous êtes des privilégiés. Les ouvriers travaillent dur, les agriculteurs travaillent dur..." ? "Oui. Il venait de la région de Parme, du Val di Taro et il nous a parlé de son enfance. Une fois, en plein hiver, nous étions en retraite à Appiano et le chauffage est tombé en panne. Nous lui avons dit : ‘Monsieur, il fait un froid glacial, on va dormir à la maison.’ Il fait une grimace que je ne vous dis pas : ‘Quoi ? Vous êtes des joueurs avec beaucoup d'avantages et de bénéfices. Avez-vous vu le film L'Arbre de sabots? Eh bien, regardez-le et essayez de penser à ce qu'ils diraient ces paysans. Pensez à leurs difficultés et à leurs sacrifices pour nourrir leurs pauvres enfants. Aucune mention de cela, une couverture supplémentaire et bonsoir.’ " Puis Bersellini le retrouve à la Sampdoria… "C'était sympa. C'était une bonne équipe, fun, pleine de gars formidables. Vierchood, Vialli et Mancini. Puis mon vieil ami Scanziani et les étrangers Francis et Souness. On a gagné la Coppa Italia en battant Milan en finale." Samp-Inter au programme ce Lundi. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré la Sampdoria ? "Oui, je me souviens de tout, ou presque. Je suis un collectionneur, même de souvenirs. J'ai conservé des almanachs, des coupures de journaux, des autocollants, des billets. A San Siro dans la saison 1971-72, un jeu fou : 4- 4. Trois buts de Boninsegna puis de Corso. Savez-vous qui a marqué pour la Sampdoria ? Marcello Lippi. Cette année-là, il n'a marqué qu'un seul but, contre moi. Puis il est devenu l'un de mes meilleurs amis." Et la dernière fois que vous avez rencontré l'Inter avec un maillot de la Sampdoria ? "Une chose belle et un peu triste. Belle parce que les équipes de ma vie étaient dans le dernier match de 1985-86, 0-0. Triste parce que c'était ma dernière en Serie A. Incroyable, hein ? Quoi qu'il en soit, c'était un doux au revoir. L'entraîneur de la Sampdoria, c'était justement Bersellini, celui qui m'avait relancé. Sur le banc de l'Inter, il y avait Mario Corso, un coéquipier extraordinaire et aventurier, dont le fameux match contre le Borussia Mönchengladbach." Combien de fois avez-vous raconté l'histoire de la canette touchant Boninsegna, l'Inter perdant 7-1, le match rejoué et... "Et j'arrête un penalty, on fait 0-0 et on se qualifie pour les quarts de finale. En 1971, à Berlin, carrefour de mon histoire footballistique. Là, 35 ans plus tard, j'ai remporté ma deuxième Coupe du monde avec l'équipe nationale. J'étais l'entraîneur des gardiens, le grand Buffon. Quelle joie..." Des satisfactions footballistiques ? "Difficile de choisir. Peut-être quand Italo Allodi m'a appelé à l'Inter." Et sur les terrains ? "Le premier scudetto avec l'Inter, avec Invernizzi. Le deuxième, celui de 1979-80, je me sens plus moi-même. J'étais un joueur régulier et mature. Nous étions huit dans cette équipe qui a grandi dans l'équipe des jeunes : moi, Oriali, Bini, Canuti, Baresi, Ambu, Muraro et Pancheri. Plus Occhipinti qui a disputé le dernier match. Puis les merveilleux moments de la Sampdoria de Mantovani. Les victoires, les triomphes, cinq championnats avec la Juve. Évidemment les deux Coupes du monde. Ou plutôt trois, parce que, j'aime bien me souvenir, j'ai aussi gagné le militaire, au Congo en 1973. Il y avait Oriali, Furino, Graziani, Zecchini, Speggiorin, Bittolo, Ammoniaci. De belles compagnies, partout. Mais j'ai eu de la chance, dans ma longue carrière, j'ai rencontré des gens, j'ai établi des records, j'ai remporté des défis. Dans et hors des buts. Maintenant, je regarde les autres, parfois au stade, souvent à la télévision." Et que voyez-vous ? "Un nouveau football. Tout a changé : la vitesse, les méthodes, les schémas, les règles, les managers, les joueurs. Il y a encore de bons, d'excellents gardiens. Donnarumma est l'avenir de l'équipe nationale. L'Inter a Onana, fort et réactif. Milan a Maignan. L'année dernière, ils ont très bien fait, voyons comment ils se rétablissent. J'aime Meret, je suis Carnesecchi avec intérêt. Ce que j'ai du mal à comprendre, ce sont leurs relance de derrière. Souvent frénétiques et dangereux. J'en ai vu des statistiques vraiment surprenantes : maintenant, dans un match, un gardien touche plus de ballons qu'un milieu de terrain. Un tout autre monde. Et bien…" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
- 3 commentaires
-
- 3
-
-
- ivano bordon
- hall of fame
-
(et 21 en plus)
Étiqueté avec :
- ivano bordon
- hall of fame
- grande inter
- gazzetta dello sport
- walter zenga
- francesco toldo
- gianluca pagliuca
- julio cesar
- milan ac
- heriberto herrera
- jair da costa
- eugenio bersellini
- gianluca vialli
- roberto mancini
- roberto boninsegna
- mario corso
- borussia monchengladbach
- coupe du monde 2006
- gianluigi buffon
- andré onana
- giovanni invernizzi
- marcelo lippi
- gabriele oriali
-
Coppa Italia : Juventus - Inter en demie finale !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les Nerazzurri visent la finale de la Coppa pour une deuxième saison consécutive : le match aller se jouera à Turin et le match retour au Meazza. L'Inter affrontera la Juventus en demi-finale de la Coppa Italia. Les Nerazzurri ont atteint le dernier carré après avoir battu l'Atalanta 1-0 au Meazza grâce à un but de Darmian en seconde période. Les Bianconeri, quant à eux, se sont imposés 1-0 contre la Lazio à Turin (espérons le, de manière honnête, ndlr). La saison dernière, les deux équipes se sont rencontrées en finale, l'Inter remportant le huitième trophée de la Coppa Italia de son histoire grâce à une victoire 4-2 à l'Olimpico. La demi-finale sera un match aller et retour et aura lieu en Avril. L'Inter jouera le match aller à l'extérieur, à Turin, le 4 ou 5 avril. Le match retour se jouera ensuite au Meazza les 25 ou 26 avril. La règle des buts à l'extérieur ne s'appliqueront pas. La finale de la Coppa Italia de cette saison est fixée au 24 mai 2023. L'autre demie finale vera s'affronter la Fiorentina contre Cremonese. Inter - Juventus : les précédents L'Inter et la Juventus se sont rencontrés en Coppa Italia à 34 reprises. Il y a eu 11 victoires Nerazzurra, 15 victoires Bianconeri et 8 matchs nuls. L'Inter a marqué 43 buts contre 52 pour la Juventus. La rencontre la plus récente a été la finale disputée en mai 2022 au Stadio Olimpico de Rome, une confrontation que les Nerazzurri ont remportée 4-2 après prolongation. C'était la troisième rencontre entre les deux équipes en finale de la compétition, la Juventus ayant remporté le trophée en 1959 et 1965. La première confrontation entre l'Inter et la Juventus lors de la Coppa Italia remonte à 1936. La première victoire des Nerazzurri est survenue lors du sixième affrontement, en 1972. Ce jour-là, Mazzola et Boninsegna se sont inscrits sur la feuille de match alors que l'Inter gagnait 3-1. L'Inter et la Juventus s'affronteront en Coppa Italia pour la troisième fois consécutive. Avant la finale de la saison dernière, le Derby d'Italia s'était disputé en demi-finale (défaite 2-1 au Meazza et nul 0-0 à Turin) en 2020-2021. Les équipes se sont également rencontrées lors du tournoi en 2015-2016 : il y a eu une victoire 3-0 chacune avant que les Bianconeri ne l'emportent aux tirs au but. Traduction alex_j via le site officiel.- 5 commentaires
-
- 3
-
-
-
- juventus
- coppa italia
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Une question simple a été posée par certains membres : depuis quand l'Inter a battu le Barça au Camp Nou ? Internazionale.fr vous répond et la majorité des membres n'étaient pas nés ! Dans l’histoire des affrontements entre Barcelone et l'Inter, un match particulier se met en évidence. Le match aller et retour que les deux équipes avaient eu pendant la saison 1969-1970, dans la Coupe des Villes de Foire (Fairs Cup en anglais, ndlr) pour être plus précis. Le Barça se rendit au Giuseppe Meazza avec un but de retard, ayant perdu contre l'Inter au Camp Nou. En effet, Roberto Boninsegna ayant ouvert la marque à la 7e, Mario Bertini doublant la marque à la 32e. C'est à ce jour, le seul match où l'Inter a battu le Barça au Camp Nou. Lors du match retour, au Giuseppe Mezza le 28 Janvier 1970, le match a été suspendu en raison du brouillard et a été entièrement rejoué une semaine plus tard, le 4 Février 1970. À ces deux occasions, l’équipe catalane portait un maillot blanc, un peu comme celui de Mardi dernier avec la croix en moins. Dans les deux matchs rejoués, notre Roberto Boninsegna a marqué ouvrant la voie de l'Inter pour un quart de final. Les hommes de Heriberto Herrera se sont arrêtés en demies contre le RSC Anderlecht, 0-1 et 2-0. Roberto Boninsegna terminera deuxième meilleur buteur de la Coupe des Villes de Foire avec 9 buts. Ironiquement parlant, l'Inter n'a jamais battu le Barça au Camp Nou car la Coupe des Villes de Foire n'a pas été reconnue par l'UEFA, n'étant pas l'organisatrice, même si les spécialistes du football la reconnaissent comme la grande sœur de la Coupe UEFA. Tout Barça – Inter en Europe Coupe des Villes de Foire 05.07.1959, Quarts: FC Barcelone – Inter Milan 4-0 30.09.1959, Quarts: Inter Milan – FC Barcelone 2-4 14.01.1970, Quarts: FC Barcelone – Inter Milan 1-2 04.02.1970, Quarts: Inter Milan – FC Barcelone 1-1 Ligue des champions 18.02.2003, Ligue (3): FC Barcelone – Inter Milan 3-0 26.02.2003, Ligue (4): Inter Milan – FC Barcelone 0-0 16.09.2009, Ligue (1): Inter Milan – FC Barcelone 0-0 24.11.2009, Ligue (5): FC Barcelone – Inter Milan 2-0 20.04.2010, Demi-finale: Inter Milan – FC Barcelone 3-1 28.04.2010, Demi-finale: FC Barcelone – Inter Milan 1-0 24.10.2018, Ligue (3): FC Barcelone – Inter Milan 2-0 06.11.2018, Ligue (4): Inter Milan – FC Barcelone 1-1 02.10.2019, Ligue (2): FC Barcelone – Inter Milan 2-1 10.12.2019, Ligue (6): Inter Milan – FC Barcelone 1-2 04.10.2022, Ligue (3): Inter Milan - FC Barcelone 1-0 Texte alex_j via Wikipédia, dayfr.com et connaissances personnelles.
- 1 commentaire
-
- 2
-
-
- barcelone
- coupe des villes de foires
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Massimo Moratti and Co parlent de Peppino Prisco
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Dans une interview accordée à la Gazzetta, Massimo Moratti, Roberto Boninsegna, Ernesto Pellegrini et Adriano Galliani ont partagé des anecdotes de Peppino Prisco. Extrait. Un homme incroyable. "Entre autres, c'est lui qui m'a poussé à racheter le club. Mais je voudrais souligner la profondeur de l'homme en rappelant une invitation à dîner chez lui. Les images de l'Inter étaient partout, alors que toutes les reconnaissances qu'il avait eues en tant qu'officier des Alpini restaient dans un coin seulement. Un officier capable de revenir de Russie avec un contingent, certes très réduit, de soldats qui lui étaient confiés." "J'ai remarqué que cette médaille de bravoure militaire et ces mentions solennelles devaient être placées bien en vue, mais il a immédiatement déplacé la discussion vers le football. C'est un aspect qui m'a impressionné à l'époque et qui continue de m'impressionner aujourd'hui." Une anecdote de Roberto Boninsegna. "Une fois, nous avions remporté un match très important 1-0 et Peppino se tenait dans le coin, ne célébrant pas avec nous. 'Pourquoi ?' Je lui ai demandé. 'Ce n'est pas le bon jour pour faire la fête. Milan n'a perdu que 4-0'." Une anecdote de Ernesto Pellegrini. "Si je dois choisir un souvenir, j'aime me souvenir de la fois où il est allé chez l'ophtalmologiste pour une visite. Il entra et vit d'abord les chaises Rossoneri à l'entrée et resta debout. Puis, au bout d'un moment, il a demandé au médecin : 'Excusez-moi, mais pourquoi avez-vous les fauteuils Rossoneri ?' 'Je suis une fan de Milan', a-t-elle répondu. Il ne broncha pas et décida de s'asseoir. Puis, au bout d'un moment, il dit de nouveau au médecin : 'Vous savez ce que je dis ? En gros, je les aime : ils sont très confortables pour mon cul.'" Enfin, Adriano Galliani a partagé une citation sur la philosophie de l'Inter. "Inoubliable cette fois à Arcore avec moi et Berlusconi pour se souvenir des origines de l'Inter. 'L'Inter est la démonstration que même si vous êtes né d'origine modeste, vous pouvez devenir grand dans la vie.' Il est élégant et intelligent." Sacré Peppino. Il faudrait répertorier toutes ses anecdotes . Traduction alex_j hilare via sempreinter.- 3 commentaires
-
- 4
-
-
- massimo moratti
- peppino prisco
- (et 4 en plus)
-
Nos légendes Roberto Boninsegna et Evaristo Beccalossi nous donnent leur derby favori
alex_j a posté un article dans Interviews
S'exprimant à la Gazzetta dello Sport, nos deux légendes Roberto Boninsegna et Evaristo Beccalossi ont donné leurs derbys favoris. Roberto Boninsegna : Inter - Milan : 2-0, 1970-1971 Bien qu'il n'ait pas marqué dans ce match, Roberto Boninsegna l'a choisi comme son derby favori. "Mais le match qui avait le plus d'importance pour moi était un derby dans lequel je n'ai pas marqué, ce 2-0 avec lequel nous avons relancé le championnat, anticipant de passer devant le Milan en 1970-71. Cette victoire nous a conduits directement au Scudetto, que nous savions que nous ne pourrions atteindre qu'en gagnant contre le Milan." "Corso, Mazzola, Burgnich et Facchetti ont commencé: 'le prochain nous gagnons, puis nous gagnons ici, ici et ici; ici on égalise, ici on gagne et puis on arrive au derby : si on y gagne, alors on passe devant.' Nous sommes effectivement arrivés au derby à -3, mais le 2-0 a mis la pression sur le Milan. On a gagné le championnat et j'ai gagné le titre de meilleur buteur : que demander de plus ?" Evaristo Beccalossi : Inter - Milan 2-0, 1979-180 "Chaque fois que j'y pense, j'ai des frissons : marquer un doublé dans un derby est la chose la plus incroyable qui puisse arriver à un joueur. L'inter people et la joie dans les yeux de mes coéquipiers. Ce 2-0 en 1979 restera à jamais : c'était la dernière Inter 100% italienne, une équipe merveilleuse qui a remporté un Scudetto inattendu." "Et beaucoup de ces gars avaient grandi dans le secteur des jeunes, donc ils avaient l'Inter dans leurs veines. Ils ont essayé de m'expliquer ce qu'était le derby, mais pour quelqu'un qui vient de l'extérieur ce n'est pas imaginable tant qu'on n'y est pas." "Cela faisait des années que l'Inter n'avait pas gagné de derby, donc après mon doublé, toute la fierté des supporters de l'Inter est sortie : je les ai regardés avec joie et je n'ai rien compris, je voulais juste célébrer avec mon peuple. C'était une journée folle pour moi, pour l'équipe : la prise de conscience a changé et au final on a gagné le Scudetto." Traduction nostalgique alex_j via sempreinter.- 2 commentaires
-
- 5
-
-
- roberto boninsegna
- evaristo beccalossi
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Qui sera le quatrième attaquant à entrer dans l'Inter Hall of Fame? Il y en a 31 parmi lesquels choisir et ils ont chacun de bonnes raisons d'être pris en considération. Nous parlons bien sûr des attaquants en lice pour entrer au Hall of Fame, avec la phase de vote en cours. Ils aspirent à rejoindre le trio de Ronaldo, Giuseppe Meazza et Diego Milito, qui seront toujours des légendes de l'Inter. Les candidats couvrent toutes les époques de l'histoire du club et ont tous laissé une marque indélébile sur l'Inter. Samuel Eto'o pourrait-il suivre Milito? Alors que l'attaquant camerounais n'a joué pour le club que pendant deux saisons, il a inscrit 53 buts en 102 apparitions et a joué un rôle clé dans les matchs cruciaux de la Ligue des champions contre Chelsea et Barcelone en 2010. Cependant, il y a beaucoup plus à choisir! Nous remontons dans le temps pour nous souvenir de certains des joueurs qui ont fait de la ligne d'attaquant de l'Inter l'une des meilleures d'Europe. Cela inclut Adriano l'empereur, qui n'était pas seulement un joueur de classe mondiale, mais était également adoré par les fans qui l'ont toujours soutenu. Ensuite, il y a Christian Vieri, le neuvième meilleur buteur de l'histoire du club avec 123 réalisations à son actif. Son complice depuis de nombreuses années, Alvaro Recoba, qui invoquait régulièrement la magie avec son pied gauche, figure également sur la liste. L'Argentine a deux représentants des équipes de l'Inter qui ont remporté le Scudetto et la Coppa Italia dans les années 2000: Julio Cruz et Hernan Crespo. Alors que Ronaldo était le roi à la fin des années 1990, c'est son partenaire de frappe Ivan Zamorano qui a remporté le premier match de la finale de la Coupe UEFA 100 % italienne à Paris en 1998, contre la Lazio. Marco Branca et Maurizio Ganz ont mené la ligne pour les Nerazzurri avant le duo Sud Américain, avec Ruben Sosa et Dennis Bergkamp lors du succès de la Coupe UEFA en 1994. Plus tard, Jurgen Klinsmann a rejoint l'Inter en tant que champion en titre et a renvoyé le club vers sa première Coupe UEFA en 1991. Il y a certainement une place sur la liste pour Aldo Serena, qui faisait partie de l'équipe du record en 1988-1989. Alessandro Altobelli, le deuxième meilleur buteur du club derrière Meazza, est également en lice, avec sa série de buts entre 1977 et 1988 aidant les Nerazzurri à remporter le Scudetto une fois et la Coppa Italia deux fois. L'attaquant restera dans les mémoires pour son but lors du succès de l'Italie à la Coupe du monde 1982, mais ses 209 buts pour l'Inter lui vaudront-ils une place au HoF ? En remontant plus loin dans le temps, Roberto Boninsegna, Jair da Costa, Istvan Nyers et Benito Lorenzi avaient tous des attributs différents, mais leur sens du but a aidé à définir différentes périodes de l'histoire du club. Aux côtés de Pietro Anastasi, Carlo Muraro, Angelo Domenghini, ces quatre-là ont une chance de gagner une place au HoF. Les 143 buts de Lorenzi avec l'Inter le placent au sixième rang du classement des buteurs de tous les temps, avec Nyers juste derrière lui en septième position après avoir inscrit 133 buts en 182 apparitions pour le club. Le jeu maraudeur de Jair a aidé l'Inter à remporter la Coupe d'Europe pour la deuxième fois, le Brésilien remportant le vainqueur lors de la finale de 1965. Les 173 buts de Boninsegna pour les Nerazzurri entre 1969 et 1976 signifient qu'il occupe le troisième rang des buteurs. Gino Armano, Mauro Bicicli, Renato Cappellini, Leopoldo Conti, Pietro Ferraris II, Umberto Guarnieri et Umberto Visentin III sont quelques-uns des noms qui remontent à plusieurs générations aux débuts du club, mais trois en particulier méritent d'être mentionnés. Luigi Cevenini III était un buteur implacable qui a réussi 158 buts en 190 apparitions, se classant cinquième au classement des buteurs. Ermanno Aebi le rejoint dans le top 10 avec 106 buts en seulement 142 matchs. Enfin, les lunettes d'Annibale Frossi sont entrées dans l'histoire, tout comme ses buts qui ont aidé l'Italie à remporter le succès olympique en 1936. L'attaquant est devenu un entraîneur à succès et un journaliste estimé. Traduction alex_j via le site officiel.
- 11 commentaires
-
- 1
-
-
- ronaldo il fenomeno
- giuseppe meazza
-
(et 19 en plus)
Étiqueté avec :
- ronaldo il fenomeno
- giuseppe meazza
- diego milito
- samuel eto’o
- adriano
- christian vieri
- alvaro recoba
- ivan zamorano
- ruben sosa
- dennis bergkamp
- jurgen klinsmann
- aldo serena
- alessandro altobelli
- jair da costa
- benito lorenzi
- istván nyers
- roberto boninsegna
- luigi cevenini iii
- ermanno aebi
- annibale frossi
- hall of fame
-
Roberto Boninsegna et Fabio Capello: "Edin Dzeko parfait pour remplacer Romelu Lukaku"
alex_j a posté un article dans Interviews
S'exprimant lors d'une interview avec la Gazzetta dello Sport, Roberto Boninsegna et Fabio Capello ont expliqué pourquoi Edin Dzeko est le parfait remplaçant de Lukaku. Roberto Boninsegna. "Ne regardez pas l'âge, mais le joueur. C'est quelqu'un qui engage le défenseur, le fait suer. En gros, il fait tout : il n'y en a pas beaucoup comme lui. Parfois, quand Romelu Lukaku insistait pour chercher Lautaro il était trop altruiste pour être un vrai avant-centre. Je ne vois pas de défaut chez Dzeko, en revanche: il a un peu d'égoïsme sain." Fabio Capello. "Antonio Conte est parti, deux champions sont partis, mais la colonne vertébrale reste de bonne qualité. Dzeko est parfait pour remplacer quelqu'un comme Lukaku. Calhanoglu a des coups importants. Simone Inzaghi peut charger le groupe de quelques mots." "La Juve démarre en pole position après les transferts de l'Inter. Toutes les attentes reposent sur Allegri et je le dis sans passion: il ne sera pas facile de répéter les succès du cycle précédent."- 7 commentaires
-
- 7
-
-
- roberto boninsegna
- fabio capello
- (et 5 en plus)
-
2 Mai 1971, l'Inter remportait son 11e Scudetto
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il y a des réalisations qui restent dans la mémoire pour la joie finale qu'elles procurent, et certaines réalisations qui deviennent encore plus significatives pour le chemin parcouru pour y parvenir. Voici un résumé du 11e Scudetto remporté le 02 Mai 1971, soit 50 ans avant. Il y a 50 ans, l'Inter élevait son onzième Scudetto vers le ciel, au terme d'un retour qui a été remporté match après match. Le parcours pour y arriver ne s'est pas déroulé sans difficultés, et comportait un changement de manager, et l'unité d'une équipe déterminée à ne rien laisser pour arriver directement à son objectif. Le championnat a commencé avec Heriberto Herrera sur la pirogue, et avec deux nuls et trois défaites dans les cinq premiers matchs, celui du derby a conduit à son limogeage et à la mise en place de Giovanni Invernizzi, rejoignant l'équipe première de la Primavera. Lors de son premier match officiel, l'équipe combina un mélange de jeunes joueurs et de grands champions de la grande Inter, de Burgnich à Facchetti, de Jair à Mazzola et Corso, battant le Torino grâce à un doublé de Boninsegna, qui à sa deuxième saison à l'Inter est devenu l'un des les hommes clés du Scudetto grâce à ses 24 buts en 28 matches, le consacrant comme le meilleur buteur du tournoi. Ce jour-là, il a marqué un but sur penalty et une tête suite à une passe décisive de Corso. Après la victoire à ses débuts, la défaite est survenue à Naples le 22 novembre 1970: ce serait la dernière de cette saison. De là, a commencé une série de résultats positifs qui ne se termineraient que 23 jours plus tard, à la fin de la saison. Au milieu des défis clés pour l'équipe, il y avait une nouvelle prise de conscience et une adaptation à la configuration tactique, avec des performances importantes de joueurs tels que Bedin au milieu de terrain ou Bellugi à l'arrière jumelé avec Facchetti, le joueur le plus utilisé avec 30 apparitions en championnat. Parmi les résultats positifs, nous pouvons citer: la victoire 2-0 contre la Juventus (première partie) avec des buts de Corso et Boninsegna, le succès dans le Derby de Milan grâce aux buts de Corso et Mazzola (deuxième partie), la victoire sur Naples, toujours avec un doublé de Boninsegna, mais aussi le match dans lequel nous avons maté Catane où Gabriele Oriali s'est rendu sur le terrain après ses débuts avec la Roma. Un voyage sans imperfections qui s'est terminé le 2 mai 1971 avec un match parfait pour franchir la ligne d'arrivée et conquérir le onzième Scudetto. Un point culminant et un défilé de buts contre Foggia, dont un but fantastique pour ouvrir: la passe de Facchetti, a été brillamment convertie par Boninsegna. Ensuite, Jair est entré, protagoniste avec un doublé, avec Facchetti et Mazzola obtenant les autres buts. Moralité: Histoire, quand tu te répètes.- 3 commentaires
-
- 7
-
-
- heriberto herrera
- giovanni invernizzi
- (et 13 en plus)
-
En espérant qu’il inscrira également le prochain qu’il aura à sa disposition…. Et comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, Romelu Lukaku dispose d’une capacité bien particulière qui lui est propre : Depuis août 2017, à chaque fois qu’il a botté un pénalty, il a toujours marqué. 18 sur 18 "Il fixe des yeux le ballon, tend sa jambe en s’appuyant sur son pied droit, dès qu’il est sur le point de tirer du pied gauche, il observe le portier "comme dans un duel de Western", un léger mouvement de la tête suffi et c’en est terminé. S’il va pour le tirer, le ballon fini toujours quasiment au fond, et s’il est décidé, il est impossible de s’en relever." - Cette belle référence de la Rosea détaille comment le belge exploite à merveille cette punition extrême. Bien objectivement, l’Inter de Conte connait cette caractéristique et en fait usage, lui qui apporte du physique et apporte une certaine patience de la part de son équipe: "Avec de tels joueurs dans la surface, il est possible d’obtenir une faute qui devienne un pénalty. Ensuite, Big Rom devient, et pas uniquement sous cet aspect du jeu, une certitude." Un travail qui porte ses fruits Pour parvenir à tirer un pénalty avec autant de sureté, Lukaku y a travaillé. Comme toujours, il cherche à améliorer quotidiennement tous les aspects de son jeu. Dans le cas ici présent, il y a la façon de le tirer, mais toute la psychologie qui s’y retrouve derrière: "A Appiano Gentile, il botte ces derniers en prenant en ligne de mire Padelli et Radu." "En 2017, Lukaku avait raté son penalty lors d’un match opposant Manchester à Leicester: Dès cet instant, Josè Mourinho lui retirait cette fonction en marquant sa préférence pour Martial ou Pogba. Dès cet instant également, la situation s’est terriblement dégradée jusqu’à son arrivée à l’Inter." "L’année dernière, il partageait cette fonction avec Lautaro. À la suite d’un pénalty manqué face à Bologne, Big Rom est devenu le buteur attiré. Depuis son arrivée à l’Inter, il a inscrit 14 buts sur les 14 pénaltys octroyés : 11 en Serie A, 2 en Ligue Europa et 1 en Coupe d’Italie, face au Milan." Romelu Lukaku est le second meilleur buteur de pénalty inscrit consécutivement. Le Leader incontesté est Roberto Boninsegna qui culmine à 19 pénalty converti consécutivement entre 1970 et 1973. Au niveau européen, et via les Diables Rouges, Romelu Lukaku est le leader incontesté de cette aspect du jeu avec 18 pénaltys inscrit. Il est suivi par Mohamed Salah qui est actuellement à 15 buts inscrit de suite entre Club et équipe nationale. Sa façon de tirer Romelu Lukaku en impose mais Il partage ses pénaltys : "Un peu à gauche, un peu à droite, mais de préférence à ras de terre. La seule fois où il a tiré en force et en hauteur, le ballon est rentré en heurtant la transversale : C’était face au Milan en Coupe d’Italie à la suite de sa rixe avec Zlatan Ibrahimovic. Dans une soirée où il n’avait pas su rester indifférent aux provocations, tirant son pénalty avec toute la puissance qu’il lui était disponible de mettre." C’est un fait Romelu Lukaku se montre de plus en plus décisif à l’Inter et dispose d’une grande marge d’amélioration Pensez-vous qu’il s’agit du choix gagnant d’Antonio Conte ? L’Inter, sans Romelu Lukaku, aurait-elle pu aussi bien dominer la Serie A ? Après Kevin De Bruyne, Josè Mourinho a très mal jugé les capacités enfuient en Romelu. Pensez-vous que le Special One a « une dent » contre les Diables Rouges ? Selon vous, quel est l’entraineur qui exploite au mieux le potentiel de ses troupes : L’italien ou le lusitanien ? Exprimez-vous ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 3 commentaires
-
- 5
-
-
- romelu lukaku
- daniele padelli
- (et 10 en plus)
-
Longue interview accordée par Roberto Boninsegna, ancien milieu de l’Inter, au micro de Tuttosport. Le thème abordé est Romelu Lukaku, l'incroyable meneur de l’équipe entrainée par Antonio Conte. Vous attendiez-vous à ce que le Belge soit aussi décisif avec le maillot de l’Inter ? "Lukaku est aujourd'hui, le meilleur attaquant d'Europe. Il est sans égal. Il marque, joue pour le collectif sans oublier le point de repère qu'il est sur le terrain,capable d'apporter de la profondeur à l'équipe. Personnellement, j'étais déçu à l'époque du départ d'Icardi mais je reconnais qu'actuellement Lukaku réalise des choses extraordinaires." L'Inter à t-elle gagné au change en remplaçant Icardi par Lukaku ? "Je pense que oui. Avec Lautaro, ils forment une bonne paire d'attaque, l'un compensant les faiblesses de l'autre. À mon avis, c’est le meilleur duo d’Europe." Y'a t-il des différences entre les attaquants actuels et ceux de votre temps ? "Aujourd'hui, c'est plus facile de scorer du fait que le marquage individuel n'existe plus. Les défenseurs fonctionnent en zone et ainsi vous n'avez plus le stoppeur et libéro adverse sur votre dos. Sans rien enlever aux qualités de Lukaku, à l'époque il était impossible d'atteindre le but en partant du milieu de terrain. Celui qui avait la responsabilité de vous marquer vous suivait partout, pendant les pauses fraicheur et parfois même jusqu'aux vestiaires. Aujourd'hui un attaquant de par son placement à la possibilité de choisir son vis-à-vis." Auparavant, ils tentaient de l'arrêter en employant la manière forte. "C'est ridicule la manière dont les défenseurs opèrent face à lui, cette façon de l'accompagner sans aller au duel. De cette conduite ils facilitent la vie à Romelu qui n'a plus qu'a tirer et marquer. Ça me fait rire de voir certaines scènes dans lesquelles le défenseur n’a ni le courage, ni la force de l'affronter. Je ne vais pas m'en plaindre puisque cela m'arrange en tant que tifoso de l'Inter." Croyez-vous à une "Lukaku dépendance" ? "Je pense qu'en ce moment l'Inter est supérieure à la Juventus. Les bianconeri ont des problèmes dans leur effectif que les nerazzuri n'ont pas, notamment au milieu de terrain. Concernant votre fameuse dépendance, je crois qu'elle est réciproque et que Romelu bénéficie également du travail de l'équipe." Pensez vous que Lukaku peut prétendre au Ballon d'Or dans le cas ou il remporterait le Scudetto ainsi que l'Euro l'été prochain ? «S’il continue ainsi, il est sur la bonne voie». Le mérite t-il plus que Cristiano ? "Actuellement, oui sans doute. Cristiano subit en ce moment les méformes de son équipe ce qui a une influence directe sur ses performances. Permettez-moi de développer : l'Inter joue avec trois défenseurs centraux et deux pistons de côtés. La Juve quant a elle crée son jeu à partir d'ailiers qui ne devraient pas tenir ce rôle." Pensez vous que l'Inter est au maximum de sa forme ? « Les Nerazzurri ont désormais récupéré certains joueurs qui avaient été mis de côté. Actuellement seuls les meilleurs sont sur le terrain, les autres entrent dans la rotation. C’est très important. Le milieu composé d'Eriksen, Barella et Brozovic est très fort. Il ne faut pas oublier que l’Inter a un effectif supérieur à tout autre club en Italie." @KarimGipuzcoa - Internazionale.fr
- 11 commentaires
-
- 10
-
-
-
- scudetto
- ballon d’or
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Notre ancien attaquant légendaire Roberto Boninsegna a révélé qu'il avait toujours eu une relation d'amour-haine avec le club depuis son enfance. Au cours de son passage chez nous, l'ancien international italien a fait 283 apparitions toutes compétitions confondues dans lesquelles il a marqué 173 buts. Par comparaison, seuls deux joueurs ont marqué plus que Boninsegna, ces joueurs étant Alessandro Altobelli, qui a marqué 209 buts, et Giuseppe Meazza, qui a marqué 253 buts. Cela dit le niveau de Boninsegna. Voici ses déclarations à Radio Nerazzurra dans une interview. "Depuis que j'ai joué pour Sant'Egidio, je ne tenais qu'à l'Inter. J'ai des photos qui peuvent montrer que j'avais le maillot de l'Inter sous mon maillot. J'ai toujours aimé l'Inter depuis mon plus jeune âge, mais l'Inter m'a toujours fait souffrir, même après avoir arrêté de jouer. Ils m'ont promis certaines choses qui ne se sont pas réalisées. En bref, cela a presque toujours été une relation d'amour-haine à certains égards, même lorsque j'étais maltraité." Boninsegna a rejoint l'Inter en 1969 après un passage à Cagliari et a passé sept ans avec l'Inter avant de partir pour la Juventus, dans le cadre d'un échange très controversé avec la légende des Bianconeri Pietro Anastasi (qui a été à la Juve suite à une histoire de compresseurs de frigidaires, ndlr) Boninsegna ne voulait pas rejoindre la Juve et a admis qu'il ne connaissait pas la raison de son transfert. "Ai-je déjà découvert la raison pour laquelle je devais rejoindre la Juventus? Non. Un an, je suis allé voir l'Inter-Cagliari au Meazza, la veille de la mort d'Italo Allodi (qui a travaillé comme directeur pour l'Inter et la Juventus dans les années 60 et 70, ndlr). Je suis allé le saluer et lui ai dit:" "'Vous êtes-vous rendu compte maintenant que le transfert ne dépendait pas de moi?'" "Il a répondu:"Regarde Bobo, ne m'en parle pas."" "J'ai répondu: 'Alors qui était-ce? Qui est responsable de ce transfert?" "Une de ses amies qui était aux côtés d'Allodi m'a dit qu'elle savait qui était responsable de l'accord, mais Allodi l'a menacée et je n'ai donc jamais réussi à découvrir la raison de mon transfert." C'est terrible ces secrets!
-
Les joueurs de l’Inter ont connu une nuit agitée en Allemagne. Eux qui ont été réveillé dès 4h00 du matin par les Ultras du M’Gladbach. En effet, Les supporters du Borussia sont arrivés au pied de l’Hôtel où réside l’équipe de Conte. Ceux-ci en ont profité pour rappeler d’une partie marquée par Boninsegna, il y a 49 ans….Et Coca-Cola…Plusieurs boites vide de la célèbre marque de soda ont été retrouvés près de l’Hôtel. Rappel des faits Le 20 octobre 1971 à Mönchengladbach, le match de Coupe des Clubs Champions entre le Borussia et l'Inter s'est terminé 7-1 pour les Allemands. Mais le Tribunal du Sport européen avait décidé qu'il devait être rejoué. Explications de Boninsegna à la Reppubblica "A 2-1 pour eux, après avoir marqué notre seul but, je suis allé faire une remise en jeu. Les supporters allemands ont commencé à me cracher dessus, et j'ai ensuite ressenti un coup à l'arrière de ma tête et je me suis évanoui au sol." L'enquête sportive a précisé que l'attaquant avait été touché par une canette de Coca Cola lancée depuis les tribunes. Le match revanche s'est joué à Berlin et s'est terminé 0-0. L'Inter était parvenue à se qualifier en l'emportant 4-2 au GIuseppe Meazza au match retour avant de s'incliner en Finale face à l'Ajax Le fait est que vous avez perdu 7-1..... "J'étais dans les vestiaires pour récupérer, mais j'ai appris par mes équipiers qu'en fait ils avaient arrêté de jouer. Ils étaient en colère. On aurait eu droit à l'emporter 0-3 sur tapis vert, comme le reprenait le règlement en cas d’agression sur un joueur. Prisco avait permis de faire rejouer le match, je n'ai jamais su voir ce qu'il s'est passé après ce lancement de canette ." Corso a été expulsé pour avoir donné un coup de pied à l'arbitre dans le cul. Mazzola a, lui, joué un rôle décisif dans la découverte de l'origine de cet incident..... "Peut-être, mais je n'en étais pas un témoin direct. Ce que j'ai vu à la place, c'est le match retour que nous avons gagné, et dans lequel j'ai marqué, et le re-match de Berlin. Fraizzoli m'avait conseillé de ne pas jouer, il a dit que les Allemands avaient déclenché une chasse à l'homme contre moi. Mais je n'ai jamais eu peur de personne,et encore moins quand j'avais raison. " Confirmation de Gianluca Di Marzio "La police de Mönchengladbach a ouvert une enquête ce matin Le seul qui est parti voir ce qu’il se passait et pour se rendre compte des conditions du Car de l’Inter a été Patrizio, l’historique chauffeur du club. Aucun dommage n’a été répertorié sur le moyen de locomotion interiste." "On ressent une bonne tension, celle destinée à faire face à une rencontre que l’on ne peut pas perdre. La rivalité est importante car le Borussia ne s’est pas encore incliné. Sur le terrain, on devrait retrouver une formation similaire à celle e Sassuolo avec Darmian au poste d’Hakimi sur l’ale droite et le retour de Brozovic, la défense est confirmée." Always Inter....Always Coca-Cola ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
- 14 commentaires
-
- 1
-
-
- ligue des champions
- ivanoe fraizzoli
- (et 4 en plus)