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Nom : Lukaku Bolingoli Prénom : Romelu Menama Poste : Avant-centre Date de naissance : 13/05/1993 Lieu de naissance : Anvers Pays : Belgique Taille : 191 cm Poids : 94 Kg Numéro de maillot : 9 Au club depuis : 08 août 2019 Position sur le terrain Biographie Romelu Lukaku, né le 13 mai 1993 à Anvers, est un footballeur international belge qui évoluait au poste d'attaquant à Manchester United. Né à Anvers de parents belgo-congolais, Romelu Lukaku découvre le football au Rupel Boom où il s'affilie à six ans, puis dans le club de Wintam (P-B) à la suite du déménagement de ses parents. En 2004, il est repéré par les recruteurs du Lierse SK, qui le font venir au club. Auteur de 130 buts en deux saisons chez les jeunes, il devient la cible du RSC Anderlecht, qu'il rejoint en 2006, avec son frère Jordan Lukaku. Il marque 121 buts en 87 matchs de championnat chez les jeunes. Après avoir commencé des études de baccalauréat en informatique à l'École Industrielle et Commerciale d'Ecaussinnes, Romelu Lukaku préfère y mettre un terme et se consacre totalement au football. Carrière en Clubs RSC Anderlecht Lukaku fait ses débuts en Jupiler Pro League à 16 ans et 11 jours, le 24 mai 2009, lors d'un match opposant Anderlecht au Standard de Liège. Il entre à la 69e minute de jeu en remplacement du défenseur hondurien Víctor Bernárdez, alors que le score (1-0) offre le titre de champion de Belgique aux Liégeois. Il se fait remarquer par sa puissance malgré son jeune âge. En 2009-2010, il est intégré à temps partiel à l'équipe première et non totalement à cause de sa scolarité. Il profite de la blessure de Tom De Sutter et de Nicolás Frutos pour obtenir du temps de jeu. Lors de son quatrième match avec Anderlecht, il marque son premier but contre Zulte Waregem. Il devient le plus jeune joueur à évoluer en Ligue des champions, à 16 ans, contre l'Olympique lyonnais au cours du tour des barrages. Lors du premier match d'Anderlecht en 2009 en Ligue Europa au Dinamo Zagreb, le 17 septembre 2009, il entre en jeu à la 86e minute et deux minutes plus tard, après un déboulé de plus de 45 mètres, il effectue une passe décisive à Jonathan Legear. Une semaine plus tard, Lukaku est titulaire pour la première fois face à La Gantoise en championnat. Il inscrit par ailleurs son second but en championnat quatre jours plus tard en déplacement à Mouscron. Le 27 septembre 2009, il inscrit son troisième but en championnat et son premier au Parc Astrid. Le 16 décembre 2009, il offre la première place du groupe à son club en marquant un doublé à la 13e et 22e minute face à l'Ajax Amsterdam, marquant ainsi ses deux premiers buts en Ligue Europa. Le 20 décembre 2009, il est élu Espoir sportif belge de l'année lors du gala du sport belge. Le 29 janvier 2010, il réalise son premier doublé en championnat sur le terrain du Germinal Beerschot où son équipe s'impose sur le score sans appel de 0-5. Il devient ainsi à ce moment-là le meilleur buteur du championnat belge, et continue de marquer par la suite. Le 25 février 2010, il trompe le gardien basque après seulement trois minutes de jeu face à l'Athletic Bilbao (16e de finale de la Ligue Europa). Son centre à la 29e minute provoque ensuite un but contre son camp. Son club se qualifie pour le tour suivant en battant l'équipe espagnole par 4 buts à 0. En huitième de finale de la Ligue Europa, il marque le premier but face à Hambourg SV (victoire 4-3 pour Anderlecht). Le 18 avril 2010, il devient champion de Belgique avec le RSC Anderlecht et meilleur buteur du championnat, alors qu'il n'a encore que seize ans. En mai 2010, à la suite de cette saison pleine, Lukaku signe une prolongation de contrat jusque 2015 avec le Sporting. Durant le marché des transferts estival de 2010, le jeune belge suscite déjà l'intérêt de ténors européens, son club refuse d'ailleurs une offre de quinze millions d'euros du Chelsea FC et une offre de vingt millions d'euros provenant de Tottenham Hotspur. Durant le mois d'août, le quotidien espagnol Marca dévoile également l'intérêt du Real Madrid et de son entraîneur Josè Mourinho. Interrogé à ce sujet, Mourinho déclare qu'à la suite d'une discussion avec les parents du joueur le dossier est clos, et postposé à l'été suivant. En effet, Roger Lukaku, le père du joueur, souhaite que son fils termine ses études secondaires à Bruxelles avant d'envisager un départ à l'étranger. À la suite de cette discussion, Mourinho s'exprime publiquement : "Lukaku a des parents intelligents (...) Son père a dit qu'il devait rester à Anderlecht afin de terminer ses études. Je trouve ça fantastique ! Où trouve-t-on encore de tels parents ? Trop de jeunes joueurs et leurs parents pensent seulement à l'argent. Il devrait y avoir plus de parents comme ceux de Lukaku." Le 10 janvier 2011, la presse anglaise relance les rumeurs d'un transfert pour la somme de vingt-quatre millions d'euros en direction du Liverpool FC. Mais Romelu Lukaku répète qu'il ne souhaite pas quitter Bruxelles avant la fin de ses études. Le club ne souhaite plus commenter les informations. Le 19 janvier 2011, il finit 2e au soulier d'or juste derrière son coéquipier anderlechtois, Mbark Boussoufa. Chelsea FC Il signe pour cinq saisons à Chelsea le 18 août 2011. Prêt à West Bromwich Le 10 août 2012, Lukaku est prêté jusqu'à la fin de la saison à West Bromwich Albion. Lors de son premier match pour lequel il rentre en cours de jeu, il marque le troisième but des siens contre Liverpool. Le 22 septembre 2012, il inscrit l'unique but du match qui oppose son club à Reading. Lors du dernier match de la saison, Lukaku — entré au jeu en seconde mi-temps — inscrit un triplé contre Manchester United lors d'un match spectaculaire (5-5) pour le dernier match d'Alex Ferguson à la tête de Manchester United. Par la même occasion, Lukaku porte son total de but sur la saison à dix-sept buts, ce qui est un record pour un joueur de West Bromwich. Après une très bonne saison à West Brom, Lukaku retourne à Chelsea pour tenter de percer et de devenir titulaire indiscutable. Auteur d'une très bonne pré saison durant laquelle il termine meilleur buteur du club, il affiche clairement son ambition de devenir l'attaquant numéro un à Chelsea. Prêt à Everton De retour à Chelsea, il dispute la préparation avec le club mais, barré par l'Espagnol Fernando Torres, le Sénégalais Demba Ba et le Camerounais Samuel Eto'o arrivé à la fin du mois d'août, il n'est plus que le quatrième choix de son entraîneur Josè Mourinho pour le poste d'attaquant de pointe. Le 2 septembre 2013, juste avant la fin du marché des transferts estival, Romelu Lukaku est de nouveau prêté pour un an, cette fois à Everton, où il retrouve son compatriote Kevin Mirallas. Le 21 septembre 2013, lors de la cinquième journée du championnat d'Angleterre de football 2013-2014, Lukaku entre en jeu à la mi-temps contre West Ham United. Il inscrit alors lors de son premier match le but qui donne la victoire aux siens (2-3) à la 85e minute. Il est titularisé pour la première fois à l'occasion de la sixième journée de championnat et s'offre un doublé et une passe décisive qui permettent à son club de dominer Newcastle sur le score de trois buts à deux. Le 5 octobre 2013, Lukaku ouvre le score contre Manchester City mais Everton s'incline sur le score de 3-1. Il inscrit un doublé et est élu "homme du match" contre Liverpool le 23 novembre suivant. Il est l'un des meilleurs buteurs du championnat anglais en 2013 avec quinze buts inscrits.Il prend part à trente-trois matchs toutes compétitions confondues (seize buts) avant de réintégrer l'effectif des Blues. Everton FC Le 30 juillet 2014, Lukaku s'engage pour cinq saisons avec l'Everton FC. Le 19 février 2015, il marque son premier triplé sous le maillot d'Everton lors du seizième de finale aller de Ligue Europa face aux Young Boys Berne (1-4). Lors du match retour à Goodison Park, il inscrit un doublé, marquant ainsi cinq buts en deux confrontations. Lukaku termine co-meilleur buteur de la Ligue Europa cette saison avec huit réalisations, et ce malgré l'élimination des Toffees dès les huitièmes de finale. La saison suivante, l'attaquant belge inscrit vingt-cinq buts, dont dix-huit en Premier League. Il termine ainsi quatrième au classement des buteurs, derrière Vardy, Agüero et Kane. Le 5 mars 2017, Lukaku devient le meilleur buteur de l'histoire d'Everton en Premier League en réduisant le score face à Tottenham Hotspur (score final 3-2 pour les Spurs). Le 18 mars suivant, il inscrit un doublé face à Hull City et devient le premier joueur d'Everton à atteindre les vingt buts sur une saison de Premier League. Le même jour, l'attaquant belge devient le quatrième joueur à dépasser les 80 buts en Premier League avant 24 ans, après Michael Owen, Robbie Fowler et Wayne Rooney. Le Belge conclut la saison 2016-2017 à vingt-cinq buts en Premier League et termine deuxième au classement des buteurs derrière Harry Kane (vingt-neuf buts). Manchester United Le 10 juillet 2017, Romelu Lukaku s'engage pour cinq ans avec Manchester United. Le 8 août suivant, le Belge joue son premier match sous le maillot des Red Devils lors de la Supercoupe de l'UEFA face au Real Madrid. Il inscrit l'unique but des Anglais qui s'inclinent 2-1 à Skopje. Cinq jours plus tard, il fait ses débuts en Premier League sous le maillot des Red Devils face à West Ham United et se fait remarquer en inscrivant un doublé. Le 12 septembre 2017, Lukaku dispute sa première rencontre de Ligue des champions avec MU lors de la première journée de la phase de groupes face au FC Bâle. Il se distingue en inscrivant le second but des siens et Manchester United s'impose 3-0. L'attaquant belge inscrit vingt-sept buts en cinquante-et-un matchs toutes compétitions confondues lors de sa première saison sous le maillot du club mancunien, qui termine vice-champion d'Angleterre et qui échoue en finale de la Coupe d'Angleterre. Entre fin février et début mars 2019, Lukaku marque un doublé lors de trois matchs consécutifs : le 27 février face à Crystal Palace en Premier League (1-3), le 2 mars contre Southampton (victoire 3-2), puis le 6 mars à l'occasion du huitième de finale retour de la Ligue des champions face au Paris Saint-Germain (1-3). Internazionale Milano Il rejoint l'Inter le 8 août 2019 suite à l'accord obtenue entre les deux écuries sur base d'un transfert estimé à 75 millions d'euros. Joueur désiré par Antonio Conte, il est amené à devenir la pièce maîtresse de l'Inter du Suning Equipe Nationale Romelu Lukaku est appelé pour la première fois avec les Diables Rouges en mars 2010, alors qu'il n'a que seize ans. Le 3 mars 2010, Dick Advocaat lui fait jouer ses premières minutes à 16 ans et 294 jours lors d'un match amical face à la Croatie au stade Roi Baudouin (0-1). En novembre 2010, il inscrit un doublé avec la sélection belge pour une victoire 2 à 0 en Russie. Le 15 août 2012, après une longue période sans le moindre but en équipe nationale, il marque le troisième but de la Belgique face aux Pays-Bas en match amical. Le 11 octobre 2013, Lukaku joue son premier match comme titulaire lors de la phase de qualification pour la Coupe du monde 2014 et inscrit un doublé face à la Croatie à Zagreb. La Belgique remporte le match 1-2, ce qui lui permet de se qualifier pour la Coupe du monde 2014. Le 26 mai 2014, il inscrit son premier triplé avec l'équipe nationale face au Luxembourg lors d'un match amical de préparation à la Coupe du monde 2014. Cependant, le match ainsi que ces trois buts ont été annulés à la suite d'une décision de la FIFA, le sélectionneur belge Marc Wilmots ayant procédé à un remplacement surnuméraire (sept remplacements ont été effectués chez les Diables rouges pour un maximum de six remplacements autorisés en match amical). Il participe à la Coupe du monde 2014. Il est titularisé lors des deux premiers matchs face à l'Algérie et la Russie mais déçoit face à ces équipes qui optent pour un jeu très défensif, ce qui permet au jeune Divock Origi de s'illustrer et de prendre sa place de titulaire. Lukaku sauve cependant son mondial lors de son entrée au jeu durant la prolongation du huitième de finale face aux États-Unis en délivrant une passe décisive à Kevin De Bruyne et en inscrivant le second but synonyme de victoire. Les Diables Rouges sont éliminés au stade des quarts de finale par l'Argentine (1-0). En juin 2016, il fait partie des joueurs belges qui participent à l'Euro 2016. Il se distingue en inscrivant un doublé lors du second match des Belges face à l'Irlande (3-0). Le 14 novembre 2017, Lukaku inscrit l'unique but du match contre le Japon (1-0). Les médias s'empressent alors de faire de lui le meilleur buteur de l'histoire de sa sélection avec 31 réalisations, oubliant au passage l'annulation de son triplé face au Luxembourg en 2014 par la FIFA, chose que l'organisation internationale rappelle dès le lendemain. Romelu Lukaku comptabilise donc 28 buts en équipe nationale à la fin de l'année 2017. Le 7 juin 2018, il inscrit son 31e but avec la sélection belge face à l'Égypte et devient officiellement le meilleur buteur de celle-ci. En 2018, Lukaku fait partie des vingt-trois joueurs sélectionnés par Roberto Martínez pour participer à la Coupe du monde en Russie. Auteur de deux buts contre le Panama (3-0) puis face à la Tunisie (5-2), Lukaku devient le premier joueur à inscrire deux doublés consécutifs en Coupe du monde depuis Diego Maradona en 1986. L'attaquant belge conclut son Mondial avec quatre buts en six matchs, terminant ainsi troisième meilleur buteur du tournoi. La Belgique est éliminée en demi-finale face à l'équipe de France (1-0) mais termine troisième à la suite de sa victoire contre l'Angleterre lors de la petite finale (2-0). Le saviez-vous ? Il est le fils de l'ancien footballeur professionnel Roger Lukaku. Il a un frère, Jordan Lukaku, également international belge, qui évolue à la Lazio Rome. De religion catholique, Romelu Lukaku est très croyant : il lit des passages de la Bible plusieurs fois par jour et a déjà été en pèlerinage à Lourdes. Il est également polyglotte et parle six langues : tout d'abord ses deux langues maternelles qui sont le français et le néerlandais (lui qui est né à Anvers, dans la région flamande de Belgique), ainsi que le lingala (langue parlée en République démocratique du Congo, dont ses parents sont originaires), l'espagnol, l'anglais, et le portugais. Son père est à l'origine de la création du club congolais de l'Association sportive Rojolu. Le nom du club provient des initiales de Romelu, Jordan et Lukaku. Palmarès: RSC Anderlecht Champion de Belgique en 2010 Manchester United Vice-champion d'Angleterre en 2018 Finaliste de la Coupe d'Angleterre en 2018 Belgique Médaille de bronze à la Coupe du monde en 2018. Parcours: En Club: Rsc Anderlecht (2008-2012) Chelsea (2011-2014) West Bromwich Albion Fc (2012-2013 - prêt) Everton Fc (2013-2014 - prêt) Everton Fc (2014-2017) Manchester United (2017-2019) Internazionale FC : Depuis le 08 août 2019 En équipe nationale 2009: Belgique U-18 2009: Belgique Espoirs 2010 : Belgique Distinctions personnelles Recordman du nombre de buts inscrits avec la sélection belge Espoir belge de l'année en 2009 Meilleur buteur du championnat de Belgique en 2010 (15 buts) Espoir masculin de la Communauté française en 2010 Soulier d'ébène belge en 2011 Co-meilleur buteur de la Ligue Europa en 2015 (8 buts) Meilleur buteur d'Everton en Coupe d'Europe (8 buts) Joueur du mois de Premier League en mars 2017 Membre de l'équipe-type de Premier League en 2017. ©Wikipedia Fiche complète du joueur
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C’est un fait: Federico Dimarco doit énormément à Simone Inzaghi, avec lui, le gamin de Porta Romana a réalisé son rêve de s’affirmer sous la vareuse de l’Inter, et personne d’autre n’aurait pu le désirer aussi ardemment Comme le révèle le Corriere Dello Sport: "L’actuel entraineur de l’Inter l’a pris en considération dès ses premiers instants, lui, qui avait connu une saison en back-up d'Ivan Perisic et d'Alessandro Bastoni, est parvenu ensuite à devenir le patron sur son aile à force de courses, en devenant un élément fondamental dans l’organisation du jeu Nerazzurro" "Pour dire toute la vérité, Dimarco n’est pas le seul à avoir bénéficier de l’intuition d’Inzaghi : En ne se limitant qu’à l’Inter, il suffit juste de penser à Çalhanoğlu qui s’est transformé en l’un des Regista parmi les plus fort d’Europe, et à Lautaro qui, "sevré" de Lukaku, est devenu un attaquant de classe mondial. Le prochain sur la liste pourrait être Marcus Thuram qui pourrait devenir un attaquant des plus dangereux." "Et dire que ce rêve semblait à un certains moment s’éloigner de façon irrémédiable, quand en 2019, et rentré de Parme, Antonio Conte ne lui avait pas laissé de place. S’en sont suivi un prêt de six mois à Vérone. Mais ce refus de l’entraineur leccese a toutefois été une chance pour Dimarco qui a rencontré là-bas un autre entraineur fondamental dans son parcours de croissance : Ivan Juric, avec qui sous le maillot Gialloblù, il était devenu un joueur de Serie A et non plus un joueur prometteur." Trahi par Lukaku, Félicité par Roc Nation Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "Celui qui avait servi d’intermédiaire à son arrivée fut Romelu Lukaku, qui, suite à ses hystéries estivales, a également perdu ses historiques agents américains et énormément d’amis italiens. Parmi eux, on retrouve Federico qui était très lié au Belge et qui est l’un de ceux qui a le plus souffert de sa trahison lors de ce mercato : Le fait que Big Rom ait déserté son marge restera une blessure qui le marquera à vie." "Mais à présent, Dimarco vit aussi sous la lumière de la Roc Nation, lui qui est le seul joueur d'un Groupe qui voit en lui la toute-puissance du Made In Italy. Et ce n’est pas un hasard si hier, il a reçu les compliments de Jay-Z en direct de Los Angeles. Sans oublier également le petit message de Steven Zhang, qui le contact régulièrement et qui l’avait personnellement contacté pour son anniversaire, en lui rappelant également l’importance de cette Seconde Etoile bénie." 9 chances sur 1.000 C’est la statistique folle mise en évidence par l’Expected Goal. Et ce "Nove su mille ce la fanno (Neuf sur mille, ça le fera)" chanté par le Giuseppe Meazza s’appuie sur une réelle statistique car il s’agissait de la possibilité de voir le tir solaire de Dimarco battre Stefano Turati, le portier de la Frosinone passé par notre Curva Nord. Le destin s’amuse à l’Inter plus qu’ailleurs : "Face à qui d’autre qu’un collègue qui a fréquenté la même Curva Nord pouvait-il inscrire le but de sa vie ? Face à un joueur qui cherchera peut-être à percer ailleurs, mais qui comme lui à le Nerazzurro dans ses veines ?" "Car ce “0,009” mis en évidence par Expected Goal, soit le refuge de tout match analyst, a été calculé au moment même où Federico a fait partir son missile. Cette statistique détermine également la probabilité qu’un tir devienne un but en prenant en considération différent facteurs tels que l’angle d’attaque, la distance et bien plus. Et en combinant l’ensemble de ceux-ci, il s’avère qu’il n’existe aucun autre but plus inattendu que celui réalisé par Federico dans cette Serie A." Un amour fait pour durer L’Inter et Dimarco veulent se lier à vie, lui qui a un vrai Cœur Nerazzurro, à tel point que l’international Italien est tout proche d’apposer sa signature sur un nouveau contrant valide jusqu’en juin 2028: "Federico a cité toutes les étapes qu’il a franchi pour arriver au sommet, en réalisant un parcours difficile fait de romance, de longue formations pour revenir à la maison." "A présent, avec ses 26 ans à peine accompli, il est prêt à s’installer dans la durée et un nouveau contrat valide jusqu’au terme de la saison 2027-2028 pour un salaire de 4 millions d’euros est enfermé dans un tiroir de la Viale Della Liberazione, un contrat qui être prêt à la signature, ce qui atteste de son statut au sein du Club." "Mais aussi à l’extérieur, car il n’y a que très peu de latéraux gauche de son niveau en Europe et tout le monde l’a remarqué, même de l’autre côté du Globe où la Roc Nation, la célèbre agence fondé par le Roi des Rappeurs et Mari de Beyoncé, Jay-Z, gère son image au sein d’une écurie composé d’étoile de la NBA, MLB, NFL et.... du football." Comment jugez-vous la progression exponentielle de l’enfant du pays ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'ancien attaquant légendaire de l'Inter Milan, Christian Vieri, estime que l'actuel joueur des Nerazzurri, Marcus Thuram, présente de grandes similitudes avec Samuel Eto'o. Vieri a parlé au sujet du français, Marcus Thuram, sur sa chaîne Twitch, via FCInterNews, félicitant également les Nerazzurri pour l'avoir obtenu gratuitement. Thuram est un joueur de l'Inter que depuis quelques mois. Mais ce jeune homme de 26 ans a déjà conquis les supporters. Thuram a eu plus d’impact que tous, même les prédictions les plus optimistes. Déjà, l'ancien du Borussia Mönchengladbach en est à cinq buts cette saison. De plus, Thuram a pris l'habitude d'apparaître avec des objectifs très importants. Ses buts contre Benfica, Milan et la Rome en témoignent. Et au-delà des buts, il y a la question du style de jeu de Thuram. L'international français ressemble à un attaquant très complet sous le maillot de l'Inter. Et pour Vieri, il y a un parallèle avec un certain joueur qui avait déjà réalisé des performances exceptionnelles pour les Nerazzurri, ainsi que pour Barcelone. Vieri compare Marcus Thuram à Samuel Eto'o. "Je savais que Thuram était bon, mais j'avais entendu dire qu'il n'avait pas marqué beaucoup de buts. Je suis allé le voir en direct, parce qu'on ne voit rien à la télévision. Quand Vous le voyez en direct, Il joue avec ses coéquipiers. Il est bon techniquement, et il marque des buts. Les directeurs du club méritent un grand respect pour avoir réussi a le signer", a déclaré Vieri. En ce qui concerne la comparaison avec Eto'o, Vieri a déclaré : " Je n'aime pas toujours les comparaisons, chacun a ses propres caractéristiques. Mais il est à ce niveau-là. Il joue pour Lautaro. C'était également la même chose avec Lukaku. Quand les deux joueurs d'attaque se cherchent, ils s'épanouissent. Les buts sont toujours marqués. Bien sûr, s'ils avaient gardé aussi Lukaku, ils auraient pu faire des choses spectaculaires." Êtes-vous d'accord avec Bobo ? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Piero Ausilio : "L'Inter est ma seconde famille"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Retour, une nouvelle fois, sur l'été mouvementé de l'Inter, poignardée dans le dos, par Romelu Lukaku: "Romelu Lukaku est de retour au Giuseppe Meazza, mais cette fois en tant qu'adversaire de l'Inter. Après tous les événements de l'été, l'attaquant belge fait face à son passé et aux Tifosi déçus et en colère". Reconstitution signée La Gazzetta dello Sport Lorsque son double jeu a été découvert et que les dirigeants de l'Inter ont eu la confirmation que Romelu Lukaku négociait depuis un certain temps avec la Juventus (surtout) et l'AC Milan, le téléphone de Big Rom sonnait déjà à toute volée (ou était éteint) depuis quelques jours. Il était introuvable tant pour les dirigeants, qui concluaient son achat par les Blues, que pour ses coéquipiers, qui voulaient le convaincre de ne pas faire... des folies et de rester avec eux pour se venger de la défaite d'Istanbul. Mais cet été, il y a eu un moment (plus d'un moment) où le désormais ex-numéro 90 Nerazzurro a répondu à des appels téléphoniques en provenance de la Viale della Liberazione. Un grand bluff avant de montrer les cartes qu'il avait en main. Nous sommes dans les jours qui suivent la finale de la Ligue des Champions perdue à Istanbul contre City. Sur les réseaux sociaux, l'attaquant de Chelsea remercie les Tifosi, exprime sa déception et promet qu'ils essaieront à nouveau. Ce sont des mots qui ont été donnés en pâture au Net, et ils ne vaudraient peut-être pas grand-chose s'ils n'étaient pas suivis d'effets. Ils ne vaudraient pas grand-chose s'ils n'avaient pas été suivis d'autre chose. De quoi ? De contacts très fréquents avec les hautes sphères de Viale della Liberazione. Des appels téléphoniques et un flot de Whatsapp. Lukaku voulait savoir quel type d'équipe allait voir le jour. Il demandait qui serait le capitaine, quelles idées les dirigeants ont pour renforcer l'équipe, qui partira... Il se renseignait également sur Inzaghi, avec qui il n'a pas eu de bonnes relations, mais il sait qu'après avoir terminé troisième de la Serie A, remporté deux trophées et atteint la finale de la Ligue des Champions, l'entraîneur avait déjà été confirmé publiquement par l'Administrateur-Délégué Marotta. Cela n'a pas été tout rose entre les deux, et Big Rom le répète, mais cela semble être quelque chose qui pouvait être surmonté. En effet, lorsque les dirigeants de l'Inter lui font part de leur volonté de l'acheter et de ne pas le prêter pour une année supplémentaire, il répond qu'il n'a pas l'intention de partir en stage avec Pochettino et qu'il continuera à s'entraîner en Turquie (et non en Sardaigne, comme cela semblait être le cas au début). Nous sommes à la fin du mois de juillet. L'Inter pense que les pierres sont posées pour construire un département offensif de rêve avec Lautaro, Lukaku et Thuram. Zhang fait un gros effort, compte tenu de l'état des comptes des Nerazzurri, pour garder le bombardier qu'Inzaghi veut à tout prix. Mais il se passe quelque chose... Ce quelque chose, ce sont les rumeurs et les indiscrétions sur l'intérêt de la Juventus pour Romelu qui commencent à circuler. Les messages Whatsapp des Nerazzurri adressés au téléphone portable de Big Rom commencent, et c'est à ce moment de l'histoire que les réponses du footballeur s'arrêtent. Avec l'avocat Ledure, cependant, il y a un contact et l'Inter poursuit son chemin : Ils veulent conclure l'affaire et s'envoler pour Londres afin de définir l'accord. Même sans un soutien décisif du joueur, sans une déclaration de sa part qui ferait pencher la balance en faveur du club de la famille Zhang. C'est là, dans la City, que la douche froide arrive. C'est là que le doute rampant de la trahison devient réalité. Mais êtes-vous sur qu'il veut signer chez vous ? Demandent poliment les dirigeants de Chelsea, avec une pointe d'embarras. Les jours précédents, ils ont reçu des appels de l'avocat Ledure, mais surtout des dirigeants du Milan AC et de la Juventus, deux clubs qui ont parlé à Lukaku et à qui l'attaquant n'a pas dit "non". En effet. Entre-temps, le portable de Lukaku continue de sonner, du moins pour les appels des portables de Marotta, Ausilio, Baccin, Lautaro, Dimarco... Il ne répondra plus, jusqu'au vendredi 14 juillet, date à laquelle l'Inter rompt les négociations et le débarque. Les signes de repentance du Belge, lorsqu'il comprend que la route vers Turin est semée d'embûches (en raison des évaluations différentes de sa valeur et de celle de Vlahovic), sont trop tardifs. Cette fois, ce sont les Nerazzurri qui n'aiment plus voir le numéro du Belge ou de son avocat apparaitre sur leurs écrans. C'est la fin d'un amour. Si tant est qu'il y ait eu un "vrai" amour... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Marcus Thuram: "Je marque mais le plus important c'est la victoire"
Zanetti63 a posté un article dans Interviews
Plusieurs Nerazzurri ont été interviewés, au micro DAZN, suite à la victoire de l'Inter sur la Roma (1-0), à commencer par l'unique buteur du match Marcus Thuram : "Comme contre le Benfica ou le Torino, c'est toujours un plaisir de marquer à domicile, devant les supporters. Chaque match à Giuseppe Meazza est spécial, je suis donc très content de marquer ici. J'ai travaillé dur avec mes coéquipiers, je marque et je fais des passes décisives mais le plus important, c'est que l'équipe gagne. Quand l'équipe gagne, je suis content." Et le fait d'être le joueur décisif dans une soirée où les regards étaient tous concentrés sur Romelu Lukaku? “Je ne m'occupe pas de ce genre de choses. Nous voulions les trois points et nous les avons. Donc je suis content." Hakan Calhanoglu : “J'ai joué plusieurs rôles. Ça dépend avec quel système nous jouons. Si nous avions joué à quatre derrière, cela aurait été différent. Avec le 3-5-2, je me sens vraiment à l'aise dans ce rôle de regista. J'ai grandi défensivement. Je n'avais pas ces caractéristiques avant. J'essaie aussi d'être plus agressif dans les duels devant la défense. Je suis un peu plus éloigné du but. Ça me manque d'être dans une position plus avancée où je peux tirer et marquer des buts. Mais maintenant, nous sommes concentrés sur le présent et sur le fait d'accomplir nos objectifs ensemble.” Comment vous trouvez Kristjan Asllani ? : “C'est un bon joueur, il a de la qualité. Il grandit.” Un commentaire sur Romelu Lukaku? : “Je ne veux pas faire de commentaires .” ®Zanetti63 - Internazionale.fr- 2 commentaires
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José Mourinho, légendaire entraineur de l’Inter en 2010, s’est livré à Sky dans le cadre de la rencontre opposant sa Roma au Slavia Praga en Europa League. Mais notre Special One n’a en rien oublié sa Beneamata qu'il voit Championne en fin de saison! "El Shaarawy peut avoir sa chance pour jouer en attaque : Nous ne sommes pas l’Inter et nous ne sommes pas capable de faire un turnover de 5 joueurs. Je dois faire face à des blessures importantes et à des joueurs qui ne peuvent pas jouer en Coupe d’Europe : Nous sommes en difficulté. J’aurais, demain, 5 bambins sur le banc, je ne peux pas faire trop de turnover." "C’est une bêtise de croire que j’ai cherché à me faire expulser pour éviter Inter-Roma : Je suis l’entraineur de la Roma et j’ai envie d’être sur le banc. Je suis très triste lorsque je n’y suis pas, la seule chose que je n’aime pas est d’être absent du banc de mon équipe : Il n’y a pas d’autre motif." Cette exclusion était-elle ou pas mérité ? "Là, il s’agit d’un autre argument, j’ai vu d’autres entraineurs faire le même geste. J'ai vu d’autres entraineurs faire pire que moi, mais c’est toujours la même histoire avec moi. J’ai durant toute la saison tenu un comportement très correct et je me retrouve expulsé pour ce geste, je le répète : Si c’est comme ça pour moi, ça doit l’être pour tous." L’Inter et Lukaku "L’Inter est extrêmement forte, elle devrait remporter le championnat avec 20 points d’avance. Je chercherais à faire en sorte que l’on soit à son niveau, mais nous sommes moins nombreux, nous devrons faire avec nos propres forces, mais avant toute chose, il y a la rencontre de demain." Lukaku ? "Il va jouer, c’est une partie très difficile pour nous et importante, Lukaku est important pour nous, encore plus en l’absence de Dybala et Pellegrini. Il jouera demain. Je ne voyais pas Lukaku si important à Milan. Car ce qu'il a fait : Le Scudetto et et les trophées qu'il a remportés, 200 joueurs dans l'Histoire de l'Inter l'ont fait. Je ne pensais pas qu'il était aussi important pour eux." "Passer de l'Inter à la Roma pour aider son entraîneur est un drame.... Mais Çalhanoğlu du Milan à l'Inter est une merveille.... Cannavaro de l'Inter à la Juve pas de problème, Vieri de l'Inter à Milan pas de problème." "L'attente que réserve Milan à Lukaku est devenue une chose effrayante. Je ne l'imaginait pas aussi important dans l’Histoire d’un club comme l’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Place à la réception du Traitre Lukaku
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La Gazzetta Dello Sport s’est livré sur la prochaine affiche de la dixième journée de championnat qui verra l’Inter recevoir la Roma de son José Mourinho, suspendu, mais surtout du Traitre N°1 dans le Monde Nerazzurro : Romelu Lukaku "La rupture aux yeux du public a mûri le vendredi 14 juillet, le jour où l'Inter avait trouvé un accord avec Chelsea pour acquérir l'avant-centre anversois : 35 millions plus 5 millions de bonus grâce à la médiation de Roc Nation avec Boehly, le propriétaire des Blues. Toutefois, le Management Londonien avait soufflé poliment à l’oreille de Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin la phrase suivante "Vous êtes sûrs qu'il veut venir chez vous ?"." En effet, le président Steven Zhang et ses hommes avaient remarqué que l'attaquant ne s'était jamais "investi" lui-même ou par l'intermédiaire de son agent, l'avocat Ledure, pour favoriser le succès de la négociation: "Aucune déclaration publique, silence total sur les réseaux sociaux après le message qui a suivi la Finale d'Istanbul. Ils ont reçu ses vidéos alors qu'il s'entraînait en vacances, mais aucune déclaration d'amour à la cause Nerazzurra, aucune poussée pour parvenir à finaliser une opération qui était certainement en train de se faire et qui n'était certainement pas bon marché pour les finances de l’Inter." C'est pourquoi, avant même la "suggestion" de Chelsea qui avait connaissance, à ce moment-là, des demandes d’informations de la Juventus et l'AC Milan, eux qui avaient été approchés par Ledure, à la Viale Della Liberazione, tous avaient déjà dressé les antennes et perçu que quelque chose n'allait pas dans la bonne direction. Mais personne n'aurait jamais pu imaginer ce qu'ils ont découvert par la suite: "L'accord avec les Blues a ainsi permis de mettre à jour le double jeu de l'attaquant et de lui fermer définitivement les portes de la Pinetina. A défaut d'être trouvé par téléphone, Lukaku a dû faire tomber le masque et a dû confirmer ses discussions fréquentes avec la Juventus mais aussi le Milan. C'est aussi et précisément à ce moment-là que le Président Zhang et ses Managers ont immédiatement rompu toute relation avec l'attaquant." Le Vestiaire lui a claqué définitivement la porte Quand, par la suite, l'attaquant a fait part de son désir de revenir, les joueurs de la Pinetina n'ont pas donné la moindre ouverture à la Direction. Car L'affaire Inter-Romelu Lukaku n'est plus à démontrer, le Belge ayant tourné le dos à l’Inter l’été dernier, pour la seconde fois, alors que les Nerazzurri avaient trouvé un accord avec Chelsea pour son achat: "Le téléphone était éteint ou sonnait sans réponse. Et surtout, il n'y a jamais eu de rappel: Le traitement réservé aux dirigeants a été le même que celui réservé au "frère" Lautaro et à d'autres coéquipiers." "Quelqu'un s'était déjà questionné lorsque le Belge ne s'était pas rendu au mariage de son ami Dimarco (le 24 juin), mais de là à imaginer la fin de l'histoire... A partir de la mi-juillet, le Vestiaire lui a donc tourné brutalement le dos. Et lorsque l'attaquant a laissé filtrer qu'il voulait revenir, les joueurs de la Pinetina n'ont pas laissé la moindre ouverture à la Direction, bien au contraire. Les nouveaux Leaders du Vestiaire : Lautaro, Barella, Bastoni et Dimarco, ont sanctionné le fait que la rupture n'était en aucun cas réparable". Est-ce que l'un des Nôtres acceptera de lui serrer la main ? Photo: Rtlinfo.be ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 9 commentaires
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La Thula, meilleur duo d’attaque en Europe!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, à quelques jours de la réception de la Roma, la ThuLa présente des statistiques digne de l’ancien duo offensif Nerazzurro Révélation du Corriere Dello Sport "L’impact de Marcus Thuram à l’Inter est dévastant dans le sens positif : 7 buts et 4 passes décisives en 11 matchs, avec Lautaro, il forme le meilleur duo d’attaque en Europe! Si ces 11 matchs ne sont clairement pas suffisant pour établir que le duo Lautaro-Thuram est supérieur à celui formé par le Toro avec Lukaku ou Dzeko, la différence se fera avant tout avec les titres en fin d’année, mais la voie empruntée semble déjà être la bonne." "L’entente entre les deux, déjà visible, grandi match après match : Ils se cherchent, montre du plaisir à jouer ensemble et une situation a été emblématique lorsque le joueur français, en seconde mi-temps et alors que le score était déjà de 2-0, a tenté de tirer au but au lieu de servir Lautaro au cœur de la surface de réparation. Même s’il venait juste de réclamer le ballon, c’est bel et bien l’argentin qui est venu réconforter son équipier en l’aidant à se remettre en selle. "Et dire qu’avant le début de la saison, il y avait de nombreux doutes et des interrogations au tour du rempart offensif interiste : Le duo formé par le Toro et Thuram propose des statistique du Top en considérant les buts et les passes décisives : Au total, il y a 22 buts avec Lautaro en guise de bombardier incontesté avec 12 buts et le français particulièrement inspiré pour lancer au but ses équipiers." La différence ? Thuram pense en équipe, Lukaku pense à sa petite personne ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Giuseppe Marotta s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il n’élude aucune question : "J’ai remporté mon premier Scudetto à Turin, avec Conte, lors de la saison sans engagement européen." Juventus "L’expérience me dit que pouvoir planifier une saison juste avec un championnat et la Coupe d’Italie représente un avantage. C’est pour cette raison que je vous dis que la Juve est favorite pour le Scudetto." Mais pourquoi donc, vous Dirigeants et Joueurs, vous vous livrez énormément sur la Seconde Etoile ? "Je dis Non à l’excès de prudence et d’humilité : Si tu es à l’Inter, tu te dois d’être ambitieux, de placer la barre très haut. Nous nous devons d’y croire : Dire "Nous sommes les Meilleurs" est différent car ce serait un signe d’arrogance." Pourquoi l’Inter devrait remporter ce Scudetto ? Donnez-nous une raison... "Parce que nous nous sentons fort et que nous avons une grande considération en nos propres moyens, considération qui est le fruit de la saison dernière en Coupe d’Europe. Je sais aussi à quel point les Tifosi tiennent à ce Scudetto qui coïncide avec la Seconde Etoile." Votre avis sur le début de saison ? "C’était l’année la plus importante en termes de renouvellement du noyau avec 12 nouvelles arrivées de joueurs. Et malgré tout, nous avons très bien débuté." Il y a tout de même Sassuolo et Bologne… "Ce sont des circonstances défavorables : C’est évident qu’il y a aussi eu des erreurs de commises, mais je ne crois pas qu’il s’agisse d’un relâchement depuis le 5-1 du Derby. Nous devons, au contraire, nous entraîner et combattre les baisses d’attention et la fatigue mentale." Torino, Salzbourg et la Roma, l’Inter est prête ? "Elle se doit de l’être, avec Ausilio, nous avons composé un noyau capable de répondre à ce type de sollicitations." Est-ce votre Inter la plus complète ? "Sûrement oui, et aussi la plus homogène car nous avons des garanties à tous les postes." En attaque aussi ? "Si l’on se fie aux statistiques, le rempart a fonctionné de fort belle manière : Il n’y a pas eu un seul match où nous sommes resté à sec. Je dirais même que nous avons pris des buts évitables : Le Scudetto se remporte avec celui qui a la meilleure défense." Votre première Inter, en 2018-2019, proposait plus ou moins la même masse salariale que l’équipe actuelle : 116 millions d’euros. Cette fois-ci vous êtes en courses pour le Scudetto : Qu’est-ce que cela veut dire ? "Il a fallu raisonner de cette façon : Redimensionner les couts était un des objectifs, mais la Compétitivité n’a jamais été revue à la baisse. Je dirais mieux : Les joueurs importants, par la force des choses, sont accompagnés d'une masse salariale importante. Et plus que la réduction des couts, je m’intéresse à la façon dont valoriser aux maximum nos ressources. Si tu es dans un grand club, un club qui veut gagner, il ne te sera jamais possible de descendre sous un certain niveau en termes de masse salariale." Pour quelle raison prolonger le contrat de Lautaro ? "Il est juste que le Club soit attentif à la situation de ses joueurs. D’une part tu défends ton patrimoine et d’autre part, tu renforces ce sentiment d’appartenance. Lautaro n’est pas Skriniar : Il a manifesté sa volonté pour prolonger, une volonté qui correspond à la nôtre, et cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin et que notre union peut continuer sur le long terme." "Avoir des joueurs fidèles est une valeur ajoutée : S’il n’a pas un sentiment d’appartenance, un joueur ne comprendre jamais ce que veut dire disputer ou rempoter un Derby. Le Top, pour un club, est d’avoir un joueur qui renonce à partir dans des clubs plus importants pour rester lié à son club." Est-ce le joueur le plus important de notre Championnat ? Baggio a-t ’il raison ? "Oui, je ne vois personne d’autre en ce moment comme lui." Lukaku est-il un regret, une désillusion ou seulement un adversaire ? "C’est le passé! Lukaku est le passé : Il n’y a plus personne au sein du club qui pense encore à lui, Personne et je dis bien personne. Ensuite en tant qu’Homme de football, il y a des dynamiques à prendre en considération, ce n’est pas comme si c’était la première fois que cela m’arrivait." Vous êtes sur ? Vous avez un exemple similaire ? "Celui d’un joueur qui a fait semblant de vouloir prolonger et qui, en réalité, se voyait déjà ailleurs." Skriniar donc… "J’ai ressenti un très fort sentiment de désillusion car lorsqu‘un joueur ne prolonge pas, il ne va pas à l’encontre de sa classe dirigeante ou de son président, mais il va justement à l’encontre de l’Histoire et de la Valeur du Club : Il a fait du tort à l’Inter et non à quelqu’un. Il aurait pu prolonger, nous lui avions proposer tant de solution du genre comme celle de fixer une clause libératoire qui répondait aussi bien à ses exigences qu’à celles de l’Inter : Mais il a toujours dit non." Pour quelle raison l’Inter, à un moment l’été dernier, a déplacé le budget prévu pour l’attaque sur la défense ? "Car nous avons eu, dans le même temps, l’opportunité de recruter un profil de joueur important pour notre présent et pour le futur : Pavard représente une valeur patrimoniale très importante indépendamment de son rôle." Est-ce vrai que Thuram vous rappelle son père ? "Par l’Humilité, le Courage et la persévérance : Marcus a les même valeurs que Lilian, des valeurs qui sont à la base de son succès personnel." Croyez-vous-en une autre nouvelle Finale de la Ligue des Champions ? "Oui, j’y crois, car à la différence du Scudetto où c’est toujours le plus fort qui le gagne, la Ligue des Champions est un peu comme le Milan-Sanremo cycliste : Les circonstances favorables comptent." Votre avis sur Inzaghi ? "Son bilan est très positif, le Club est très content de lui: Il est arrivé à l’Inter avec une seule expérience professionnelle à son actif, à la Lazio : Il est jeune comparé à la moyenne des entraineurs de notre championnat, il peut encore se renforcer. Il est différent des autres entraîneurs que j’ai connu par le passé et c’est juste de de le définir de la sorte : Il est pour un football ouvert, spectaculaire qui diverti : Nous, nous sommes aussi l’Inter, le Spectacle doit se conjuguer avec les victoires, autrement bien jouer ne servirait à rien." Serez-vous actif sur le mercato hivernal ? On parle de Taremi comme objectif ? "Je ne crois pas. Toutefois, nous sommes l’Inter, et nous devons tours rester attentif à chaque situation et je tiens à dire une chose : Avant, les joueurs étaient réticent à accepter de rejoindre l’Inter, à présent, ils sont nombreux ceux qui veulent venir, et l’été dernier nous avons dû dire non à pas mal de personnes. Thuram, Sommer et Pavard avaient le choix : Cela veut dire que l’Inter est considéré comme crédible." A quel point a-t ‘il été difficile de clôturer le mercato estival dans le respect de l’équilibre des entrées et des sorties ? "L’Inter est aujourd’hui un modèle de soutenabilité. C’est inadmissible qu’une propriété doive continuellement injecter des fonds. Zhang l’a fait pour une somme avoisinant les 900 millions d’euros. Nous comme Managers avons un avantage, celui d’avoir la possibilité de travailler en toute sérénité et ce mérite à Zhang se doit d’être reconnu. Il n’y a plus un club actuellement qui peut se permettre de se passer du Player Trading. Un joueur important doit être vendu par an et le Tifoso a dû s’en faire une raison. Et bien plus que perdre un joueur, il faut se préoccuper de s’assurer une vie péréenne à l’équipe, en lui garantissant un présent et un futur." Où se situera l’Inter lors de la prochaine trêve hivernale à la mi-novembre ? "Je ne le sais pas, mais c’est bien mieux actuellement d’être dans la position du chasseur que du lièvre, tactiquement, c’est quelque chose que je préfère." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Notre Administrateur-Délégué Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Trento à l’occasion du "Festival Dello Sport", organisé par la Gazzetta Dello Sport: "Devenir une Bandiera de l'Inter comme Dirigeant ? Je suis Honoré d'être à l'Inter, ensuite il y a tellement de facteurs qui ne dépendent pas que de moi." "Nous traversons une période positive qui est la continuité d’un cycle débuté il y a quelques années et, aujourd’hui, il y a une meilleure conscience en nos propres moyens." "Nous pouvons jouer un rôle de protagoniste, un rôle qui fait partie de notre Histoire, de l’Adn et du Palmarès du Club. Nous n'avons connu qu'un incident de parcours et , cela arrive dans chaque discipline sportive. Je me dois de dire que les prestations réalisées dernièrement ont été très positives, qui font de nous les protagonistes de la saison." La vraie Inter ? "Elle est souvent associée au slogan "Pazza Inter" qui est dans l’ADN du Club aussi par ces situations sur courant alternatif. Au-delà de cet aspect, dans une saison riche d’engagements en club et en équipe nationale, il est également normal d’un point de vue agonistique et physiologique que nous connaissons des baisses de tension et de fatigues, celles-ci doivent être gérée de la meilleure des façons. C’est ici que le Staff technique entre en action et que de nouvelles figures émergent car un sport comme le football est constamment à la recherche d’innovation." La Seconde Etoile ? "C’est une déclaration d’amour explicite, je crois qu’elle trouve son origine par-dessus tout dans les faits : Être ambitieux dans le sport est une vertu, Il faut toujours placer la barre très haut et ce n’est pas un défaut, mais une source de motivation pour faire que toutes les composantes du club, sur et hors du terrain, abonde vers le même objectif. L’ambition ne doit pas être confondue avec l’arrogance qui est un défaut : L’ambition te porte à être traitée d’antipathique, mais je crois justement aussi bien en la rivalité qu’en la compétitivité, et c’est normal qu’une personne comme moi qui gère un club, se doit de transmettre ce concept." Lukaku ? "Il ne sera certainement pas effrayé par l’accueil que va lui réserver le Meazza, il fait partie du passé. Lorsque tu vis des émotions, positives ou négatives, et lorsque tu vis dans un rapport de confiance, cela peut conduire ensuite non seulement à de la méfiance, mais aussi à de la déception. Cela fait aussi partie de la composante humaine et du sport, dans ce qu’il y a de plus spécifique dans un sport riche, où l’argent fait fois et où il ne s’agit pas d’une vertu mais d’un défaut. En ce qui me regarde et en ce qui regarde l’Inter, il fait partie d’un passé récent dans lequel je ne veux pas entrer, je regarde le présent et l’avenir." Ses déclarations "Je ne le vois pas capable de dire beaucoup de choses et il reste libre de le faire bien sûr. Lukaku peut bien sûr dire ce qu'il veut mais nous l'avons toujours respecté... et puis l'argent fait la différence dans le football." Est-ce que le fait qu’il soit sur le banc à Istanbul a joué ? "Je ne pense pas car une décision aussi importante que celle d’accepter une proposition de l’Inter ne peut pas dépendre uniquement dépendre d’un instant, mais bien d’une relation vécue durant plusieurs années et il y avait un grand rapport de confiance, de respect et de reconnaissance envers lui. Je ne vois absolument pas comment nous aurions pu créer une controverse, c’est une polémique, un débat stérile dans lequel nous ne tenons pas à nous engouffrer." Un appel aux Tifosi en vue du retour de Lukaku ? "J’ai entendu parler de ces 50.000 sifflets, et je considère cela comme une situation qui se doit d’être bien gérée, nous devons avoir la capacité de vivre dans le présent dans une période où nous devons unir nos forces. Le fait même que les supporters peuvent se laisser aller à ce type de chose pourrait créer une distraction dans un moment du match où il est important de soutenir les nôtres. Toutefois, et à juste titre, nos Tifosi ont le droit de manifester et de critiquer d’une façon démocratique et civilisé ce qu’il se passe sur le terrain de jeu, c’est un choix libre qui se doit être accepté." Le football d’aujourd’hui "Le phénomène du football arabe a amené des grands avantages économiques aux clubs européens, mais les évaluations devront être faite au moins après deux saisons. Ils ont offert des bouffées d’oxygènes à énormément de club. Toutefois, d’un point de vue qualitatif, nos championnat risque de se retrouver appauvri, même au niveau des droits télés." "Milan représente le Derby de la Ville et il a une saveur particulière. La Juventus est le club avec lequel nous disputons le Derby d’Italia, c’est un autre club tout autant historique et important. Tout dépend de la période, mais remporter un Derby peut te donner ce petit quelque chose en plus." Dans ce championnat ? "Avant tout, il faut gagner contre la Juventus." Roberto Mancini "Il me reste encore un peu d’amertume, je n’aurais jamais imaginé qu’il allait nous abandonner, je pensais qu’il allait continuer son parcours avec la Nazionale. Dans le même temps, j’accueille avec fierté et satisfaction le choix de Spalletti : Je l’ai vu très motivé et impliqué avec des sentiments nationalistes. J’ai connaissance des termes de son contrat et ce n’est certainement pas un contrat qui te change la vie, il a d’ailleurs gagné bien plus d’argent en Club : Il a pris cette décision en la considérant comme une mission." Soutenabilité "Face à la Pandémie, nous avons dû nous adapter à un concept mal utilisé jusqu’à présent qui est la soutenabilité : L’équation "Qui dépense le plus l’emporte n’existe pas dans le sport", mais il est tout de même exact qu’il faut un budget pour construire une équipe compétitive. C’est une chose d’épargner de l’argent et de ne pas le gaspiller, mais c’en est une autre de devoir chercher à réduire drastiquement les coûts car tu te retrouverais face à des difficultés pour constituer ton équipe, car il faut prendre en compte aussi bien la compétitivité en Italie, mais également à l’étranger." La Juventus et l’appel de Steven Zhang "Avec la Juventus, il s’est terminé un cycle, c’est un fait physiologique. Après mon annonce faite lors de l’après-match face au Napoli, j’ai reçu, le matin suivant un message de Steven Zhang. Et comme je ne l’avais pas enregistré, je pensais que c’était une connerie. J’ai donc appelé Urbano Cairo car je savais qu’ils étaient amis et il m’a confirmé qu’il s’agissait bien du numéro de Zhang." "Dès lors, nous avions fixée une rencontre et j’acceptais l’offre immédiatement : En tant qu’Homme de Football, j’ai accepté une proposition qui pourrait être considérée comme une forme de revanche : Celle de revenir sur le terrain immédiatement." Istanbul "La plus grande partie de nos garçons, si ce n’est Tous, disputaient pour la première fois la Finale de la Ligue des Champions et je pense qu’il s’agit d’une expérience importante pour comprendre ce que veut dire s’améliorer et, éventuellement, comprendre comment disputer une autre finale." "L'Inter actuelle est la fille d’Istanbul et d’un processus de croissance de tout le Club : Il ne faut pas oublier que 12 joueurs sont arrivés durant l’été. Cela signifie que nous disposons d’un plus grand respect comparé à notre passé récent en termes d’amalgame : Nous avons créé une solide fondation d’Italiens et je peux dire avec fierté qu’il y en a 6 en Nazionale. Pour moi, cela signifie que l’on créé les conditions pour être compétitif et facilité la compréhension des nouveaux arrivants sur ce que représente l’Inter et sur ce que signifie jouer en Italie." Est-ce qu’un retour d’Onana est envisageable ? "Je ne parviens pas encore à percevoir le futur, mais le football est fait d’un tout. Et il y a aussi des joueurs qui reviennent en apportant des fois des résultats positif et d’autres fois des résultats négatifs. Nous ne savons pas le prédire, mais c’était très certainement une expérience aussi bien importante pour lui comme pour nous, sans oublier le fait que nous avons clôturé notre rapport avec une opération économiquement importante." Marcus Thuram "Au final, la décision revient toujours au joueur et ici même Thuram a été le principal protagoniste de son arrivée à l’Inter, c’est son choix, malgré le fait qu’il avait reçu d’autres offres . Il a évidemment étudié quel pourrait être le meilleur club pour la suite de sa carrière et il est évident que le rôle de son père a exercé une influence : Nous sommes redevenu, l’Inter appétissante et je dois dire qu’aujourd’hui encore j’ai reçu énormément de proposition de joueurs qui veulent jouer chez nous : Cela veut dire que l’Inter est entrain de redevenir l’Inter d’autre fois." Davide Frattesi? "L’avantage que je puisse représenter moi est celui d’avoir un bon rapport avec l’Administrateur-Délégué de Sassuolo. Les indications pour ce joueur sont arrivée de l’Aire technique, nous bossons tous ensemble, moi, Ausilio, Baccin, l’entraineur, afin que chacun puisse apporter à notre cause ses propres talents : Le joueur a aussi été protagoniste dans le fait d’accepter cette destination. Même notre propriétaire, lorsque l’on a présenté cet investissement important, nous a donné le feu vert et nous sommes parvenus à mettre sur pied une opération importantes : Toutes les composantes sont importantes, même les épouses et les fiancées." Scamacca? "Nous avions débuté une négociation avec le club et aussi avec lui, et il y avait initialement une disponibilité de la part du joueur, qui a ensuite préféré emprunter une voie différente. C’est un choix qui se doit d’être respect et nous avons fait un pas de côté. Il n’y avait aucune compétition avec l’Atalanta pour propose plus, nous nous sommes justement retiré." Le Calcio Scommesse ? "Je ne tiens pas à m’exprimer sur une situation au cours d’une enquête. Je crois que parier est un vice antique de l’être humain et qu’il doit être vu comme tel et qu’il se doit d’être combattu d’un point de vue éthique. Les joueurs professionnels font partie d’une catégorie à part : Ils peuvent soudainement devenir riche et le temps qu’ils consacre à leur activité compétitive n’est pas aussi excessive, ils disposent donc d’énormément de temps libre." "Le problème est qu’il vaut savoir combler ces périodes avec des activités positives et il y a souvent un manque de valeurs, ils sont jeunes et ils doivent être aidé pour grandir. Je me dois de faire un Mea-Culpa au nom de la classe dirigeantes car les Institutions, les Clubs, les associations syndicales, nous avons tous, sans exceptions manqués et manquons encore à l’appel." "J’ai assisté, au tout début de ma carrière au scandale du Calcio Scommesse et les choses se répètent ici en 2023 : Cela veut dire que la matrice de prévention et d’acculturation fait défaut. Nous ne parvenons pas à faire ce qu’il faut et ces garçons tombent dans ce type de situations qui ne leur apporte bien, car ils vivent dans un monde doré." Mauro Icardi ou Romelu Lukaku? "Vu comment les choses se sont passées, c’est mieux Icardi." Allegri ou Conte ? "Le dénominateur commun est qu’ils sont tous les deux des gagneurs, ce qui est une caractéristique importante que se doit d’avoir un entraineur. Il y a les gagnants et ceux qui échouent : Chaque entraineur présente un profil différent et ils le savent eux même : Eux savent gagner et ils savent comment transmettre cette mentalité de gagnant, j’ai connu de belles expériences avec les deux." "Avec Conte c’est encore une plus belle expérience car nous sommes parvenu à gagner aussi avec l’Inter, ce qui est quelque chose d’extraordinaire : Ce sont deux grands professionnels qui m’ont offerts de très grandes émotions." Lautaro peut-il prétendre à un possible Ballon d’Or ? "Oui, absolument, je crois qu’il a toutes les qualités pour réaliser une excellente carrière qui coïncidera très régulièrement avec les nominations à des prix prestigieux : Je lui souhaite d’en avoir le plus possible. C’est un parcours assez long, mais il y a surtout le fait qu’il s’identifie aujourd’hui au rôle qu’il a à l’Inter, il s’agit de tout un ensemble de valeur qui sont favorable à sa croissance professionnelle." Son futur ? "Le club est attentif à toutes ses indications que je viens de citer. Aux côtés de Lautaro, il y a tout un ensemble de joueurs qui méritent également une attention particulière de notre part et, avec le Directeur Sportif Piero Ausilio, nous travaillons en ce sens avec un objectif : Toujours garder bien en vue quels sont les objectifs à atteindre. Les aspects contractuelles sont selon moi marginal comparé à l’engagement que nous nous attendons tous de la part des joueurs du noyau." Auriez-vous signé pour occuper la position actuel aussi bien en Ligue des Champions qu’en Championnat ? "Je suis satisfait car, au-delà des statistiques, j’analyse les prestations qui ont été proposées et celle-ci ne peuvent être que positives, également pour ce que devrait être notre futur. Je dois dire qu’il faut aussi absolument reconnaitre le mérite de notre entraineur qui a su faire fusionner un nouveau groupe et à en faire ressortir un modèle positif." Scudetto ou Ligue des Champions ? "Je vote pour le championnat. Le championnat est une course par étapes, le meilleur gagne toujours. En Ligue des Champions, il y a aussi des circonstances heureuses, le meilleur ne gagne pas toujours. Nous sommes très compétitifs pour le Scudetto, les valeurs qui ont émergé et les valeurs objectives le disent. En réalité, c'est plus difficile en Ligue des Champions.” Est-ce que vous vous retrouvez encore dans ce football ? "Les symptômes d’intelligence s’adaptent au temps. Nous sommes face à un monde totalement différent, il y a des innovations qui sont devenu réalités comme les algorithmes et l’intelligence artificiel. C’est aux managers à savoir s’adapter à l’époque actuelle." Quelle l’opération de Mercato qui aurait pu être la plus importante "Celle de Bellingham qui est un joueur vraiment très fort et qui représente le présent et le futur. Mon regret a été également de ne pas avoir recruté Haaland à la Juventus, on me l’avait proposé lorsqu’il était encore à Molde, mais c’est la vie." Où sera l’Inter dans un mois ? "Il est mieux, paradoxalement, d’être dans le rôle du chasseur que de celui du lièvre, et de devenir celui du lièvre à la fin car il l’emportera toujours. Mis à part cela, il faudra savoir gérer les moments de fatigue liés à la compression des rendez-vous qui s’enchaine. Je retiens que nous disposons d’un noyau compétitif, tel qu’il permettra à Inzaghi de le gérer de la meilleure des façons possible." Pourquoi allumer Lukaku et encenser Icardi Nos confères de la Gazzetta Dello Sport ont tenu à analyser la situation : La pensée de l’Administrateur-Déléguée est la même que celle de tous les autres Managers de la Viale Della Liberazione, car si le traumatisme de la rupture avec Big Rom est encore tout frais, la situation est différente entre l’argentin et le belge. Icardi avait manifesté son amour pour l’Inter jusqu’au bout, il a commis la faute de ne pas savoir dissocié le Vestiaire des déclarations de son épouse et agent Wanda Nara, ce qui lui a posé des problèmes avec ses équipiers, mais il a cherché une façon pour arranger les choses. Et cela, même lorsqu’il avait été écarté du noyau et que le numéro 9 lui a été retiré pour finir sur les épaules de Lukaku, même lorsqu’il avait fini par devoir s’entrainer tout seul. La situation est totalement différente pour le Belge qui, même s’il était fortement désiré par la Direction et Inzaghi, ne s’est jamais exposé avec Chelsea pour rester à l’Inter et, lorsque l’intervention de Roc Nation avait permis de favoriser l’accord entre les deux clubs, il s’était éclipsé, en ne répondant plus au téléphone également à ses équipiers, il a donc fait comprendre à tous qu’il avait tourné le dos au Monde Interiste ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Piero Ausilio cartouche le Milan (et Romelu)!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Soit le combo parfait ! Auréolé hier soir du trophée Speciale Spiga d’Oro 2023, notre Directeur Sportif s’est livré aux micros d’Il Pertini Radio: "C’est ici, à Cinisello que je suis né et que j’ai grandi, avec mes parents et mon frère. C’est aussi ici que j’ai rencontré la femme avec laquelle j’ai partagé tellement d’années et qui m’a donné deux formidables enfants." Piero da Cinisello ? "Piero me suffit, mais à présent et depuis la blague des Iene, je suis bien plus reconnu et charrié pour cela que pour tout le travail que j’ai réalisé. C’était divertissant, instinctif, de répondre de cette façon à ce moment-là, je ne sais même pas comment c’est sorti, j’ai vu que c’est même devenu un même." Le prix ? "Je le trouve encore plus spécial : Le ballon rond a caractérisé toute ma vie entre celle de joueur et de dirigeant, j’en suis déjà à 40 ans dans le monde du football." Le début de la saison ? "Il est positif, ce n’était pas facile car toutes les saisons débutent difficilement. La vraie difficulté a été de commencer en ayant changé 12 joueurs, les risques sont présent lorsque tu en change autant et nous aussi perdu des gars comme Handanovic et D’Ambrosio. Les nouveaux se sont aussi bien adaptés à notre réalité , avec quelques embuches, mais cela fait partie du parcours." Qui choisir entre Thuram et Lukaku ? "Ma réponse est encore plus simple en respect à celle de Marotta : Thuram absolument car c’est un garçon qui a voulu l’Inter, il l’avait déjà choisi au moins autant que nous l’avions déjà choisi. Il y a deux ans, l’opération aurait dû avoir lieu avec lui mais il s’était blessé à quelques jours de la signature. Mais nous ne l’avons jamais oublié et lui, bien évidemment, ne nous a jamais oublié Nous, même lorsque d’autres clubs nient, à présent, avoir traité avec lui : Il a choisi l’Inter comme l’Inter l’a choisi lui." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport qui est revenu sur la conférence de presse du Diable Rouge : "Il ne manquait qu’une une page, pour que tout soit encore plus compliqué et elle est arrivée directement de Belgique, où Romelu Lukaku est en stage avec son équipe nationale pour préparer le match contre l'Autriche à Vienne. Et le géant de la Roma est revenu sur l'été le plus chaud de sa vie. Celui où il s'est promis d'abord à l'Inter, puis à la Juventus, pour finalement atterrir à la Roma. Une triangulation qui en a laissé plus d'un pantois, à commencer par les clubs concernés". Quelle serait donc la version de Big Rom ? Lukaku a laissé entendre qu'à la fin de la saison dernière, il avait déjà mûri l'idée de quitter l'Inter, notamment en raison du voile d'amertume que certains choix d'Inzaghi avaient fait naître en lui. Puis il y a eu les longues négociations avec la Juve, la proposition d'Al Hilal "Un grand club, dans les années à venir et le championnat arabe sera l'un des plus grands. Mais j'ai fait un choix personnel, j'ai préféré rester en Europe et signer avec Roma". Mais la voici plus en détail lors de son échange avec Sporza.be : "Ils ont écrit que j'allais dans un certain club. Quelle connerie !" C'est quoi la plus grosse connerie que j'ai lue ? "Que j'allais soi-disant aller dans un certain club, mais ça n'avait aucun sens. La plupart des gens me connaissent et vous savez que je n'aime pas tourner autour du pot. Je parlerai en temps voulu, et j'attendrai le bon moment. Mais si je racontais vraiment comment s'est passé l'été dernier, tout le monde serait choqué. On a écrit tellement de conneries sur moi. À certains moments, j'ai vraiment cru que j'allais exploser, il y a cinq ans, je l'aurais probablement fait. Maintenant, je me concentre sur ce que je fais de mieux : jouer au football". Il est également revenu sur la Finale de la Ligue des Champions Les occasions de but manquées en finale de la Ligue des champions contre Manchester City ? "Les premiers jours, je me suis senti un peu mal à l'aise, mais je ne pensais pas à ce qui s'était passé les jours précédents. J'en parlerai plus tard. Quand je parlerai de l'approche de la Finale de la Ligue des Champions, vous comprendrez pourquoi je n'étais pas là dans ma tête." L’Inter "réagit" Selon nos confrères de Fcinter1908.it, la réaction de l'Inter a été un mélange d'indifférence (Romelu qui ?) et d'irritation. Il n'y a eu pas de révélations fracassantes car Big Rom n'explique rien, et s'il voulait le faire, il faudrait qu'il trouve une bonne excuse pour se mettre du bon côté. De toute façon, le moment choisi est également déroutant : pourquoi maintenant ? A cela s'ajoute une phrase qui est le coup de pouce classique : "Les occasions de but manquées lors de la finale de la Ligue des champions contre Manchester City ? Les premiers jours, je me suis senti un peu mal à l'aise, mais je ne pensais pas à ce qui s'était passé les jours précédents. J'en parlerai plus tard". Il semble inutile de reporter le rendez-vous de clarification à un lendemain indéterminé. Ici, Big Rom nous dit déjà explicitement qu'il avait la tête ailleurs lors d'une finale de la Ligue des champions. Pour un footballeur professionnel, c'est un aveu assez grave. Après ces déclarations, Big Rom s'est retranché dans le silence. Et de tous les choix faits par le joueur, c'est certainement le meilleur. L'Inter n'a pas apprécié les propos de Romelu Lukaku lors de sa conférence de presse au camp d'entraînement belge. Comme le rapporte La Gazzetta Dello Sport, en effet, le club Nerazzurro a laissé filtrer sa vérité sur ce qui s'est passé ces derniers mois avec l'attaquant qui, tout en professant son amour pour le club, avait des contacts avec l'AC Milan et la Juventus: "Il y avait des contacts déjà des avec le Milan avant les demi-finales de la Ligue des Champions. Et la Juve... " car Lukaku - l'Inter l'a compris plus tard discutait avec au moins deux autres clubs bien avant la finale de la Ligue des champions. Avec quels clubs ? Avec la Juventus, bien sûr, parce qu'elle tient Massimiliano Allegri en haute estime. Et aussi avec le Milan, même les rivaux de l'Inter pour lesquels il a lui-même (non, Romelu) professé son "amour" Probablement même avant les deux demi-finales avec Milan. Reconstitution des faits Les propos tenus par Romelu Lukaku lors de la conférence de presse d'hier ont fait et font encore couler beaucoup d'encre et les Tifosi de l'Inter n'ont pas apprécié une phrase en particulier, celle concernant la finale d'Istanbul : "Les premiers jours, je me suis senti un peu mal à l'aise, mais je n'avais pas en tête ce qui s'était passé les jours précédents. J'en parlerai plus tard" Mais que s'est-il vraiment passé ces jours-là ? La Gazzetta Dello Sport le reconstitue : "Dans la semaine qui précède la finale, Lukaku est convaincu qu'il sera titulaire. Et, à vrai dire, certains coéquipiers, dirigeants et de nombreux supporters pensent la même chose. Au lieu de cela, Inzaghi opte pour Dzeko, l'homme qui a contribué à passer la phase de groupes et à se hisser en finale, lui qui était toujours titulaire à partir des huitièmes de finale." "Et on sentait déjà quelque chose à l'entraînement, et même Romelu : Il n'y a pas de certitude. Toutefois, l’attaquant belge ne demande pas à Inzaghi de discuter : il travaille et se donne à fond, mais il n'y a pas de face-à-face avec l'entraîneur ou son staff avant la finale. Entre les deux, il y a une clarification après la réunion technique, quelques heures avant la finale, lorsque Simone annonce la composition de l'équipe (à côté de Lautaro, il y a de la place pour Dzeko)." "L'entraîneur explique la raison de ce choix, de nature technique, au natif d’Anvers, qui est naturellement très contrarié et ne le prend pas bien. Entré en jeu à la 55e minute de la seconde mi-temps, il aura trouvé le temps de "parer" involontairement un tir de Dimarco qui aurait permis à l'Inter d'égaliser. Mais ça, c'est une autre histoire..." "Car oui Lukaku s'attendait à être la référence , lui qui était remis de sa double blessure à la cuisse gauche, n'acceptait pas de partager son temps de jeu avec Edin Dzeko, un attaquant qui compte près de 350 buts chez les professionnels, 150 en Serie A, plus 65 en équipe nationale : bref, pas le dernier arrivé.... Mentalement, Romelu a souffert de ne plus être la Prima Donna, comme lors des deux années interiste qu’il a connu avec Antonio Conte où il avait fait un tabac (64 buts)." "La saison dernière, grâce aux blessures et aux choix d'Inzaghi, il est redevenu celui des expériences peu satisfaisantes à Chelsea et Manchester. Et après son post d'amour aux supporters de l'Inter suite à l'élimination contre City, il a éteint son téléphone, sauf pour réapparaître avec une explication partielle de ce qui s'est passé en Belgique, près de quatre mois plus tard". "Car Les jours passent. Les équipiers se marient. Par exemple Dimarco, son grand ami. Et nous sommes le 24 juin, étrangement Lukaku est absent du mariage, sans l’avoir ne communiqué ni au marié ni aux autres compagnons : Le tout aurait été difficile, peut-être, à expliquer. Certains commencent à comprendre, ce qu’il se passe au sein même de l'Inter. Mais personne ne veut y croire jusqu'au bout, malgré les mouvements un peu suspects de l'avocat Sébastien Ledure. Et l’Inter continue à négocier, n'accordant même pas immédiatement le maillot numéro 9 à Thuram, parce qu'ils sont encore convaincus qu'ils parviendront au recrutement définitif du Belge." "Mais Lukaku est déjà "parti" Pas Romelu, qui curieusement, depuis la Turquie où il était en vacances, a envoyé aux dirigeants des vidéos de ses entraînements sur la plage. Mais Lukaku en revanche au téléphone n'a pas répondu, quand le directeur sportif Piero Ausilio et ses coéquipiers, Lautaro surtout, ont essayé de l'appeler. "Mais de tout cela, c'est de l'histoire connue." Nous sommes en octobre à attendre le 29 soit le jour de son Retour au Giuseppe Meazza pour assister au retour de Romelu et de Lukaku : Les deux ensemble car il sera très curieux de voir ce qu’il se passera et pas seulement pour les sifflets des supporters. Car il ne faut pas oublier que Lukaku a essayé d'envoyer des signaux indirects à l'Inter. L'idée, étant qu’une une fois la fracture consommée, était-il possible qu’il existe une marge de négociation quant à un retour ? C'était d'ailleurs l'époque où l'Inter avait pris Thuram mais pas encore Arnautovic, et où le secteur offensif n'était donc pas encore au complet. Mais Lukaku a trouvé face à lui un mur : Aucune ouverture : Ni de la part du président Zhang, qui avait pourtant dit oui à l'investissement pur et simple. Ni de la part des dirigeants, qui se sentaient menés en bateau à un moment délicat de la campagne d'achat/vente" ni même de la part du Vestiaire. La plus grosse preuve de fermeté est venue du Vestiaire Et même s’il n’y a encore rien eu d'officiel, pour l'amour du ciel, il n'en fallait pas plus pour que les dirigeants mesurent l'état d'esprit de Lautaro et de ses coéquipiers. Et il a tout de suite été clair qu'au-delà des difficultés environnementales, il serait compliqué de réintégrer dans une équipe un joueur qui, pour la deuxième fois en deux ans, avait trahi. De plus, il n'aurait pas été facile à gérer pour Inzaghi, qui avait laissé filtrer urbi et orbi son mécontentement à l'égard de l'entraîneur car l’amour n'a certainement jamais éclaté entre Lukaku et Inzaghi. A vrai dire, plus de la part du Belge que de l'entraîneur, qui avait pourtant placé Big Rom en tête de ses désirs sur le marché lors de la planification pour 2023-24 alors que le belge se plaignait déjà de lui au début de l’année 2023. Et La non-participation de l'Inter à la finale de la Ligue des champions à Istanbul contre Manchester City n'a été que la goutte d'eau qui a fait déborder un vase déjà bien rempli. Romelu Lukaku et l'Inter Milan, une histoire qui finit mal. Pour la Rosea Notre Curva Nord ne fait pas semblant "Infame dégoutant, ce que tu as à dire ne nous intéresse pas, tes justifications ne nous intéresse pas, nous ne voulons même pas entendre le son de ta voix. Si tu as des couilles (nous en doutons) viens au Meazza : Milan t’attend !" Suivi de Fabrizio Biasin "L'Inter d'Istanbul avait un plan :Résister aux coups portés par l'équipe la plus forte du monde et, en cas de « résistance », tenter de la frapper en deuxième partie du match. Un plan qui avait du sens et qui fonctionnait même. A la 57e minute à 0-0 Inzaghi lance Lukaku : "Vas-y, maintenant c'est ton tour". On lui a donné l'opportunité d'être le Héros de la Finale, il ne l'a pas saisie. Manquer des buts est la chose la plus normale au monde, cela arrive aussi à de grands attaquants comme lui, mais n'inventons pas des choses qui n'existent pas. Ps. Ci-dessous le message de Lukaku trois jours après la finale : "Nous nous battrons à nouveau". Mais bien sûr.... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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C'est l'information qui circulait hier dans les travées du Meazza: La Curva Nord se prépare à très très bien accueillir Romelu Lukaku Comme le révèle nos confrères de Inter Xtra et FedeNerazzurra, un dépliant a été présenté Le jour du retour du "Malvenu" se rapproche, Soyons-Prêt! "Le 29 octobre doit être entouré de en rouge pour nous rappeler tout le dégoût que nous ressentons envers celui qui nous ont tourné le dos de la manière la plus indigne. Ce personnage s'est révélé être un petit homme car avant de devenir un Champion il faut être un Homme et savoir respecter sa parole. Nous t'avions défendu épée à la main et vous nous avez récompensé en nous tournant le dos." "Avant le match contre la Roma, la Curva Nord distribuera 50.000 sifflets à utiliser à chaque touche de balle de celui qui a trahi notre maillot. Montrons à tous comment mérite d'être traité celui qui s'est montré indigne de porter nos couleurs." Si ce n'était que les sifflets.... Pensez-vous qu'on se dirigera également vers une série de match à huis-clos ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Lautaro Martinez: le Leader de l’Inter prêt à dominer la Serie A ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, "Le Capitaine de l'Inter a pris un excellent départ et entraîne son équipe dans son sillage, c’est pour cette raison que le Staff de l’Inter veut le gérer de la meilleur des façons." "Leader et Protagoniste absolu du grand début de saison de l'Inter, Lautaro a commencé la saison à son meilleur niveau avec 9 buts en 7 matches, mais ce n’est pas tout : Il est également la force motrice de l'équipe d'Inzaghi. Quand il est là, on le sent, et quand il n'est pas là, il manque comme un vrai leader. Il a démarré en trombe comme il ne l'avait jamais fait en cinq ans à l'Inter." "Et il y a une explication, technique et psychologique. Lautaro est désormais la Référence, comme jamais auparavant. Il ne joue pas pour ses coéquipiers, mais ce sont ses coéquipiers qui jouent (aussi) pour lui. Il n'y a pas de Lukaku pour aider mais il y a un Thuram qui ne demande qu’à éclore. La performance à Salerne n'est que le dernier exemple en date. Neuf buts en sept matches de championnat représentent un signal pour la Serie A." "C’est aussi un message clair et net pour l'Inter : Suivez-moi et vous irez au Paradis. Et ce paradis des attaquants a été atteint par Immobile et Higuain auteurs de 36 buts dans un même tournoi, et personne n'a jamais fait mieux qu'eux. Lautaro voyage actuellement à une moyenne encore plus élevée et il est logique de penser qu'il est peu probable qu'il continue à ce rythme de croisière. Car le Toro a un problème à résoudre, dans cette course spéciale : Celles liées à ses périodes d'abstinence qui se produisent ponctuellement au cours de ses saisons, et que l'Argentin s'est proposé de résoudre également par une croissance mentale." "Du soutien et de l’aide, il en retrouve en la personne qu’est Simone Inzaghi. Car c'est justement avec Simone sur le banc qu'Immobile a égalé le record d'Higuain : Cela veut dire quelque chose, doit signifier quelque chose : comme dire, par exemple, que le développement offensif des équipes d'Inzaghi garantit, en moyenne, qu'un attaquant a une excellente chance de marquer à chaque." "C'est bien pour Lautaro, c'est bien pour l'Inter qui n'existe pas sans son Toro et le match à Salerne le prouve : Lautaro n'avait pas manqué un match sur toute la saison depuis un an et demi, toute compétition confondues, il avait disputé 74 des 74 derniers matches de l'Inter, sa dernière absence remontant au 9 avril 2022, pour cause de suspension ! Le moteur tourne à plein régime. Mais cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas le préserver: Cette rencontre, samedi, a montré le paradoxe dans lequel vit l'Inter. car Lautaro a besoin de repos et en même temps, l’Inter ne peut pas ne pas le faire jouer." Comment sortir de cette situation ? "Avec une gestion des minutes que le staff technique a décidé de soigner dans le détail. Lautaro sera épargné dans le plus grand nombre possible de parties du match : parfois en fin de match avec un résultat déjà acquis, d'autres fois - comme à Salerne en sortant du banc de touche en cours de match." Et l’Inter peut également se vanter que son pari visant à aligner Thuram-Lautaro a matché : Lautaro domine le classement des meilleurs buteurs, tandis que Marcus domine le classement des meilleurs passeurs ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Simone Inzaghi s’est livré en conférence d’avant-match opposant l’Inter à Benfica dans le cadre de la seconde journée de la Ligue des Champions : "Ce sera une rencontre engagée face à une équipe qui joue en très haute intensité. Ella a remporté toute ses rencontres de championnat, saut une, elle a remporté la Super Coupe. Nous la connaissons même si elle a changé 3-4 joueurs car ses principes de jeux sont resté les mêmes. Elle s’est incliné face à Salzbourg en évoluant à dix, mais en ayant eu toute même de très nombreuses occasions, elle aurait mérité un autre résultat." Cuadrado est-il disponible ? "Oui, il s’est entrainé aujourd’hui, il a eu une sérieuse tendinite, nous n’avons pas su y faire grand-chose et il s’est remis. Je dois encore l’évaluer afin de savoir s’il peut jouer immédiatement, mais il est convoqué : C’est un joueur importantissime sur qui je compte énormément pour les prochaines rencontres." Quel mérite vous reconnaissez-vous dans la croissance de Lautaro ? "Je peux dire que comme joueur, nous le connaissons tous: Il était fantastique lors de mes deux premières années avec lui, et cette année, il a encore mieux démarré. A la différence du joueur que l’on connait, je parle de l’Homme : Il s’engage toujours en donnant un maximum et un très grandissime sentiment d’appartenance. Lors de certaines phases déterminantes, il fait la différence." A nouveau Benfica... "C’est une très grande équipe qui a un nouveau gardien, ses milieux sont différents, il y a l’attaque qui a changé avec Di Maria. Ils ont changé quelques joueurs mais ont conservé leur même principe de jeu, ils proposeront une rencontre très intense car c’est une excellent équipe." Des nouvelles de Frattesi et Sensi ? "Il n’y aura personne demain: Sensi fait face à un problème et je pense le revoir après la trêve. J’évalue Frattesi afin de voir s’il sera disponible pour Bologne, nous avons décidé, avec mon staff, de ne prendre aucun risque demain." Pensez-vous affronter un Benfica plus agressif ? "Il faudrait le demander à Schmidt, il a perdu son premier match d’une façon inattendue et imméritée : Salzbourg sait courir, ils ont tant de jeunes. Ce sera un groupe équilibré car dans le quatrième chapeau on retrouve la Real Sociedad qui, avec Newcastle, était l’équipe à éviter. Nous les avons affronté et nous voyons à quels points ils sont forts. La meilleure chose à l'Inter, c'est la façon dont les garçons s'entraînent depuis le 13 juillet. Ils essaient tous de me mettre en difficulté pendant l'entraînement. Il y a un si grand nombre de matchs rapprochés que tu récupères et tu t'entraînes en jouant." Benfica veut se venger ? Cela arrive lorsque tu te souviens de la victoire de l'Inter. Ils ont gagné le Clasico avec Porto, nous avons gagné un match important à Salerne, deux excellentes équipes arrivent. Nous avons plus changé qu'eux, mais il y a une grande confiance dans la capacité de jouer un excellent match." Êtes-vous d'accord avec Sacchi sur les individualités ? "Nous avons des points de vue différents, chacun peut se faire sa propre opinion sur le football. Je suis satisfait de mon parcours, en deux ans et demi nous avons fait de bonnes choses. Nous promettons à nos Tifosi de toujours tout donner sur le terrain, en espérant qu'ils soient aussi nombreux que ces dernières années." Quels sont les points à améliorer ? "A Salerne, nous avons bien abordé le match en en première période, nous avons bien joué pendant 20 minutes, en créant beaucoup de choses. N'ayant pas trouvé le but, dans les 20 dernières minutes, nous avons dû défendre davantage en tant qu'équipe. En deuxième mi-temps, nous sommes revenus sur le terrain comme nous l'avions commencé, en créant beaucoup et en ne risquant presque rien. Je suis satisfait, nous devons aller de l'avant. Nous revenions d'une défaite face à Sassuolo." Il n'y aura pas ce soir de mise au vert, c'est poru évacuer la tension ? "Absolument. Nous avons eu trois matches en 72 heures. Nous nous sommes bien entraînés ce matin, nous nous verrons demain matin au petit déjeuner et nous ferons une séance de finition." Que pensez-vous des propos de Sarri sur l'excès de matches ? Et des joueurs qui sont montés à Salerne ? "Il est indéniable que nous jouons beaucoup de matchs mais c'était déjà le cas l'année dernière. Nous devons nous adapter, la seule défense que nous avons, nous les entraîneurs, c'est la rotation pour éviter les blessures. Il faut savoir bien utiliser tous les joueurs à disposition et j'essaye d'alterner. Il reste deux matches avant la trêve, mais nombreux sont ceux qui iront jouer en équipe nationale." A Salerne, Lautaro a démontré être le Leader : Les départs d'Edin Dzeko et de Romelu Lukaku y sont-ils pour quelque chose ? "L'avenir nous le dira, Lautaro a connu deux grandes années et cette année a commencé encore mieux. Avec ses coéquipiers, il va essayer de faire une grande saison, il va exploiter les ballons qu'il recevra de ses coéquipiers, il joue dans une très bonne équipe et nous nous entraînons tous les jours pour donner de très bons ballons à tous nos attaquants." Est-ce spécial pour vous d'affronter Rui Costa ? "Il a été l'équipier de mon frère au Milan et Filippo m'a parlé de lui en bien. Même en tant qu'adversaire, c'était un plaisir de parler football avec lui." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Notre Administrateur-Général Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Radio Anch'Io Sport sur les performances de sa créature, véritable Colosse en ce début de saison La blessure de Marko Arnautovic "J’en suis vraiment désolé, car il s’intégrait bien. Je crois énormément en la capacité d’adaptation des joueurs et je suis convaincu qu’Inzaghi parviendra à trouver la bonne solution. Je suis confiant, nous irons de l’avant avec cet organigramme." Signeriez-vous pour disputer une Serie A à sens unique en sortant de la Ligue des Champions en quart de finale ? "La vie est faite de rêves et de réalité. La réalité est que nous sommes à la poursuite du Scudetto qui signifie la Seconde Etoile, mais les compétitions européennes doivent être observées avec un grand optimisme. L’année dernière, c’était un rêve qui a failli devenir réalité. Nous sommes obligé de participer aux compétitions en donnant le meilleur de nous-même et en voulant y atteindre le maximum." Vous attendiez-vous à un début aussi brutal en Ligue des Champions ? "Il faut reconnaitre que la Real Sociedad n’est pas une équipe dite "Tampon" mais est une équipe très solide, surtout à domicile: Elle s’est montrée très agressive et était très technique. Nous avons fait face à un adversaire qui nous a donné du fil à retordre et Inzaghi avait aussi mis un léger turnover en faisant évoluer des joueurs qui n’avaient jamais jouer ensemble: Nous en avons donc payé le prix mais il faut retenir, en positif, notre réaction en seconde période et le fait que nous ayons pu ressortir de là en ayant fait un résultat, c’est cet aspect-là qu’il faut valoriser sur notre match à l’extérieur." De qui avez-vous le plus peur pour la Seconde Etoile ? "Les statistiques, pour le Scudetto, nous enseigne qu’il est souvent l’apanage des mêmes équipes: En plus de l'Inter, je compte donc le Milan, la Juve, Naples et l’Atalanta, la Roma et la Lazio. Je dirais que le vainqueur figure parmi ces équipes, j'ai également remarqué de très grandes améliorations à la Fiorentina, mais je me limiterai à ces équipes." Le renouvellement d’Inzaghi ? "Nous sommes dans une phase intermédiaire qui est conditionnée par le Calendrier. L’année dernière, nous étions au même stade, huitième avec six points de moins. Je dois dire qu’au-delà de ces chiffres, il y a eu une prise de conscience en ses propres moyens et nous l’avons tous constaté à Istanbul: Il a la certitude de pouvoir être protagoniste et fort, de trouver de la continuité dans les résultats. A Udine, nous avions disputé, au niveau de l’impact, une prestation négative, mais nous en avons retiré des leçons et nous les avons surmonté. Inzaghi a toujours été très bon et aujourd’hui, c’est son équipe, elle lui appartient, c’est lui le Leader et les joueurs suivent ses indications." Lukaku ? "J’en suis resté marqué car nous avions instauré un chaleureux rapport d’affection avec lui, mais nous avons été bon pour trouver les alternatives. En conséquence, il fait partie du passé et le monde est fait ainsi, de faits totalement étrange en termes de relation, même au sein du football. Il faut s’adapter à ce qu’il s’est passé et ne plus s’y attarder. L’Inter existe depuis plus de cent ans et elle va de l’avant avec continuité dans la recherche de protagoniste, peu importe les entraineurs, dirigeants et joueurs." Dimarco a été le protagoniste de la journée hier, un point sur son renouvellement ? "Je suis très heureux pour lui car c’est l’un des rares qui représente à ce point ce grand sentiment d’appartenance au club. Nous sommes très fier de lui. D’un point de vue technique, tactique et agonistique, il est en constante progression et je pense qu’il est encore capable de s‘améliorer. Je devrais voir avec notre Directeur Sportif Piero Ausilio, mais nous souhaitons tous les deux parler de prolongation de contrat plutôt qu’un renouvellement car les deux parties partagent tellement de valeurs similaire : Mon respect est maximal envers Federico." Et le renouvellement de Mkhitaryan? "J’évalue un peut toute les situations, mais ce n’est pas encore le moment pour approfondir cette thématique, nous le ferons au bon moment avec un maximum de respect en partant de ce concept : Si le joueur veut rester, tout devient plus facile pour nous pour procéder à un certain type d’évaluation." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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OFFICIEL: La Roc Nation dégage Romelu Lukaku
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La Roc Nation a une Parole et de l'Honneur, soit tout l'inverse du Diable Rouge et celle-ci a conservé sa ligne de conduire en se séparant officiellement de Romelu Lukaku suite à son comportement lors du mercato estival 2023 L'agence, qui est l'une des plus importantes au Monde, avait été particulièrement active lors de la négociation qui avait ramené Lukaku à l'Inter, mais après les vicissitudes de cet été, elle a décidé de ne plus s'occuper de la gestion de l'image du joueur: Lukaku ne figure plus parmi les joueurs représentés par Roc Nation, qui a préféré ne pas commenter cette séparation. Nous ne pouvons que remercier le comportement de la Roc Nation car c'était elle qui, grâce à sa relation de travail avec Todd Boehly, avait su convaincre Chelsea de prêter Lukaku à l'Inter, un an seulement, après un transfert record de 115 millions d'euros. Il s'agit déjà de la troisième fracture pour Lukaku, qui s'était déjà séparé de Mino Raiola puis de Federico Pastorello. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 9 commentaires
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Scudetto: Une lutte entre Nerazzurri et Bianconeri comme en 2002
Jean Idriss a posté un article dans Serie A
Les Nerazzurri et les Bianconeri sont candidats pour jouer un rôle de premier plan jusqu'à la fin de ce championnat En analysant ces premières journées de championnat, on n'exclut pas la possibilité d'un face-à-face entre l'Inter et la Juventus pour le Scudetto, question : Qu'est-ce que Thuram et Vlahovic ont en commun ? Les buts et les performances qui, samedi soir, ont permis à leurs équipes de se hisser à la première et à la deuxième place du classement. Mais ils ont également un autre point commun : l'héritage, réel dans un cas et virtuel dans l'autre, de Romelu Lukaku. Comme nous l'avons vu au cours de ces quatre premiers jours, l'Inter et la Juventus n'ont pas eu tort de choisir le fils de Lilian comme remplaçant du Belge et de confirmer le Serbe après la vaine tentative d'échange avec Chelsea entre les deux attaquants. Pour éviter les malentendus, il vaut mieux préciser que l'ex-Borussia était déjà arrivé à la Pinetina avant l'affaire Lukaku et que Dusan aurait quitté la Juve, pour faire de la place à Lukaku, surtout pour une question économique : pour Allegri, dans le cas du transfert de l'ancien joueur violet, Romelu aurait été le remplaçant idéal. Mais c'est ce qui s'est passé et cela a bien fonctionné pour les deux". Qui sait, avec Lukaku à la place de Thuram ou de Vlahovic, peut-être que l'Inter et la Juventus seraient également en haut du tableau, mais la réalité est qu'aujourd'hui ces deux-là sont déjà cruciaux dans une course qui promet d'être à feu et à sang. Une course vieille de plusieurs années. Pour trouver la dernière fois que les Nerazzurri et les Bianconeri se sont disputés le Scudetto jusqu'à la dernière journée, il faut remonter à l'inoubliable (pour les deux équipes...) 5 mai 2002, lorsque la Juve s'impose à Udine et dépasse l'Inter, battu à l'Olimpico par la Lazio. C'était la Juventus de Del Piero et Nedved et l'Inter de Ronaldo et Vieri. D'autres fois. Au cours des deux décennies suivantes, ils se sont parfois rapprochés, comme en 2019-20 avec la Juventus première avec 83 points et l'Inter deuxième avec 82, mais les Bianconeri avaient remporté le Scudetto deux jours avant, alors que les Nerazzurri étaient à -7. Il n'y avait pas eu de véritable challenge. L'Inter vole, premier avec le plein de points, la Juve presque, les autres prennent leurs premiers coups. Comme la Lazio qui a déjà perdu trois fois (trop), Naples qui a déjà cinq points de retard sur le leader (trop) et Milan qui a pris cinq buts dans son premier choc direct (trop aussi). L'Inter et la Juventus semblent les plus solides, les plus concentrés, avec une double différence qui favorise Inzaghi dans un cas et Allegri dans l'autre. Le point en faveur de Simone est la richesse de son effectif, le meilleur et surtout le plus complet de la Serie A. Le point en faveur de Max est le calendrier qui, malgré lui, lui a enlevé la Ligue des Champions et les autres coupes et lui permet de se concentrer et d'entraîner l'équipe sur un seul engagement hebdomadaire, à l'exception de la Coppa Italia. ®Jean Idriss - Internazionale.fr -
Inter : settlement agreement respecté et un bon bilan !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Moment particulièrement heureux pour l'Inter aussi bien sur le terrain que sur le plan financier. La Gazzetta dello Sport propose une première projection de ce que sera le budget du club pour la saison 2022-2023. La Rosea annonce qu'en Juillet l'UEFA a donné une bonne nouvelle aux Nerazzurri. En effet, elle a considéré que la direction avait respecté le settlement agreement signé il y a plus d'un an. En vue du Conseil d'administration et de l'assemblée générale prévue fin Octobre, on annonce que le passif du club Nerazzurri pour cette saison se situera autour de 80-85 millions d'Euros. Une grande part doit être attribuée aux recettes perçues de l'UEFA grâce à la finale de la Ligue des champions, une centaine de millions. À cela, il faut ajouter les 80 millions nets avec la billetterie et le nouveau record italien pour un seul match, avec une recette de plus de 12 millions bruts lors du match retour du derby de la Ligue des Champions contre Milan. Sans les couacs du désormais ancien sponsor de maillot DigitalBits, la situation aurait été encore meilleure. Cependant, la tendance Nerazzurri est encourageante parce qu'elle s'est aussi poursuivie lors du dernier mercato estival. La masse salariale a été réduite de 10 à 12% grâce aux départs de Romelu Lukaku (11 millions bruts), Edin Dzeko (12) et Marcelo Brozovic (12,5 millions). L'Inter a également atteint l'objectif fixé sur les plus-values grâce à l'arrivée d'André Onana (52,5 millions plus les bonus) et Brozovic (18 millions après que sa dépense ait été entièrement amortie). Le bilan entre opérations entrantes et sortantes est sensiblement en équilibre. Ces données suggèrent que les enjeux fixés dans le settlement agreement seront également respectés en 2023-2024, également grâce à la bonne contribution des revenus des sponsors. Et en parlant de nouveaux sponsors, avant le derby contre Milan, pourrait arriver l'annonce de la marque du dos du maillot. Traduction alex_j via FCInterNews.- 3 commentaires
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La Curva Nord pardonne à Cuadrado et allume Lukaku
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Comme le confirme la Gazzetta Dello Sport: "La Curva Nord a enfin enterré la hache de guerre contre Juan Cuadrado." "L'arrivée du Colombien à Milan n'avait pas suscité l'enthousiasme des meilleures recrutement mais pour une raison en particulier car aucune considération technique n'avait été prise en considération par les Tifosi, qui ne pouvaient s'empêcher de penser à son passé à la Juventus et à toutes ces fois où Cuadrado avait été l'ennemi numéro un. Mais depuis son arrivée, quelques semaines se sont écoulées et les parties se sont rapprochées ces derniers jours autour d’un pacte." La paix est faite, au nom de l'Inter "Parce qu'après tout, il ne servait à rien de poursuivre une situation tendue dictée par les événements du passé et l'opération de "réhabilitation" de Juan Cuadrado dans le monde Nerazzurro a connu un tournant la semaine dernière, avec la rencontre tant attendue entre le Colombien et les représentants de la Curva Nord. Un sommet déjà annoncé le jour même de l'achat de Cuadrado, qui avait pris de court les supporters et avait totalement fait se déplacer le noyau dur de la Curva Nord." "Le jour de l'annonce officielle de son achat, en effet, les Interistes s'étaient rassemblés devant le siège du club pour dire non à l'achat de Cuadrado. Et à la fin de la soirée, une solution de transition avait été trouvée : Organiser une réunion entre les parties pour mettre toutes les cartes sur la table et clarifier. C'est dit, c'est fait." "Et, après les sifflets suite à son entrée sur le terrain lors des deux premiers matches à domicile de la saison, à partir du Derby Della Madonnina, Juan Cuadrado aura lui aussi son chœur et la poussée de son public. Comme tous ses autres coéquipiers" Ce qui ne sera par contre pas le cas de Romelu Lukaku qui aura vu la Curva Nord se déplacer jusqu’à Rome pour lui adresser un message des plus sympathique Si l’on nous avait dit cela en fin de saison dernière, personne ne l’aurait cru ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 4 commentaires
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Lothar Matthäus : "Une belle Inter qui peut faire de belles choses !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Notre légende Lothar Matthäus croit fermement au potentiel de cette nouvelle Inter et, à la Gazzetta dello Sport, il précise ses idées. Matthäus, cette belle Inter est-elle née des cendres d'Istanbul ? "Quelques erreurs en moins devant le but et désormais la Ligue des Champions serait à l'Inter. Il existe désormais une toute nouvelle équipe, plus fraîche, plus jeune et imprévisible qui peut répéter les mêmes résultats. Cependant, ce ne sera pas facile." Marcus Thuram va-t-il s'améliorer devant le but ? "A Mönchengladbach, il a bien sûr marqué. Vous l'avez déjà vu, il a tout, un physique et une technique de vitesse, et il est prêt à exploser dans une équipe de haut niveau. Mais pour moi, ce n'est pas un 9 traditionnel, plutôt un avant-centre. Marcus aime s'espacer, ne lui demander pas le travail de Lukaku dans la surface." D'ailleurs, surpris par la trahison estivale de Romelu ? "Dans le football, rien ne me surprend. Pour moi, Lukaku était et reste l'un des meilleurs attaquants du monde. Je l'aurais bien vu au Bayern aussi. Inzaghi avait une vision différente et le mettait toujours sur le banc. Le club a cependant fait des choix précis, en suivant la philosophie de l'entraîneur et en pensant à l'avenir, c'est pourquoi il est inutile de ressasser le passé." Sommer après Onana, l'Inter a-t-elle perdu ? "Il ne sera pas parmi les meilleurs au monde, mais vous pouvez parier sur Sommer. Sur le terrain, toujours concentré et avec son style, mais aussi en dehors, dans les vestiaires. Il est silencieux et calme. Disons qu'il est différent du Walter Zenga de mon époque..." Pavard, cependant, voulait avant tout l’Inter. "Les anciens managers, Salihamidzic et Kahn, lui ont promis de le laisser partir, puis tout a changé au Bayern, même l'entraîneur, et ils ont voulu le garder. D'où les problèmes dans les négociations mais ensuite, a force de volonté, Benji a gagné. Je le connais bien, c'est un joueur super professionnel. Au Bayern, il était dans une équipe forte mais il ne voulait plus être latéral comme avec Tuchel. Il se sent comme un défenseur central et l'Inter a fait bonne impression avec lui au centre." Le derby approche, par rapport aux demi-finales de Ligue des champions, le Milan a-t-il réduit l'écart ? "Milan a également fonctionné intelligemment sur le mercato et a très bien démarré. Ce sera un excellent derby, mais j'espère que l'écart restera et que l'Inter sera toujours devant... même de peu, même d'un but, un 1-0 subi. Sans la domination qu'ils avaient en Ligue des Champions, cela a suffi pour maintenir la suprématie dans la ville. Ensuite, pour le Scudetto, le défi est encore très long et tout peut arriver sur la durée." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Nicolò Barella n’est pas Romelu Lukaku
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le Corriere Dello Sport défini Nicolò Barella comme "un joueur qui a de la force et du cran, mais aussi beaucoup de qualité, ce qui fait de lui l’un des nouveaux leaders de l'Inter." "Il a commencé la nouvelle saison avec la même attitude traînante et si certains malveillants prétendent qu'il a profité du départ de Brozovic... Il fait certainement partie des Nerazzurri qui ont le moins apprécié le comportement de Lukaku lorsqu'il a cessé de répondre aux appels téléphoniques et aux messages de ses coéquipiers. Il a été également l'un des premiers à "classer le second volte-face de Big Rom. Même si lorsque l’on a un tempérament de feu, il est difficile d'éteindre complètement l'incendie." Contrairement à Lukaku, Nicolò "a encore beaucoup de temps devant lui pour se satisfaire et, probablement, pour grandir encore. Tout porte à croire qu'il continuera à le faire à l'Inter. Et pas seulement en raison du contrat qui expire en 2026, mais parce que le Club Nerazzurro le considère comme un pilier de l'équipe, l'un des éléments dont il ne faut pas se priver même face à des offres riches, voire très riches." "L'été dernier, plusieurs offres sont arrivées. La plus directe est venue de Newcastle, qui a trouvé porte close à la fois à la Viale Della Liberazione et par Barella lui-même. Comprenant qu'il n'y avait pas de marge, les Magpies se sont rapidement tournés, avec succès, vers Tonali. Même Klopp a pensé à lui, pour renforcer à tout prix le milieu de terrain de Liverpool, mais toute discussion a été étouffée dans l'œuf." Et quand on lui parle du Ballon d'Or, voici sa déclaration: "Je remercie mes coéquipiers pour ma candidature au Ballon d'Or. Si je figure dans cette liste, je le dois à l'entraineur, à mes équipiers et à toute l'Inter." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 3 commentaires
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Arrigo Sacchi : L’Inter est la Favorite au Scudetto
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Ancien entraineur de la Squadra Azzurra, Arrigo Sacchi s’est livré à la Gazzetta Dello Sport: Quelle est l’équipe favorite pour le Scudetto ? "L’Inter est la favorite, même s’il n’y a eu que trois journées de Serie A. Pour ce qu’elle a montré, je la considère favorite. Elle dispose toujours d’une excellente base même si elle a perdue des éléments importants tel que Brozovic et Lukaku, elle les a remplacé par des joueurs intéressant comme Thuram et Frattesi." Qu’est-ce qui la rend supérieure aux autres ? "C’est l’équipe qui a le talent et l’expérience, elle l’a déjà prouvé l’année dernière en arrivant en Finale de la Ligue des Champions, il y a cette continuité de jeu : L’Inter, par sa mentalité, est une équipe italienne, si elle parvient à s’européaniser, elle pourra aller encore plus loin." Qui en est son adversaire la plus crédible dans la lutte au Scudetto ? "Le Napoli est le rival le plus accrédité en vertu du Scudetto remporté : Le noyau à disposition de Rudi Garcia est de tout premier ordre. Il faudra garder un œil sur le Milan de Pioli qui grandi et qui dispose d’élément fonctionnel aux idées de l’entraineur. La Juve a l’avantage de ne pas jouer de Coupe d’Europe et, sur le long terme, cela pourrait se révéler important." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Walter Sabatini détruit Romelu Lukaku et encence l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Intervenu sur TVPlay, Walter Sabatini, est revenue sur la trahison de Romelu Lukaku vis-à-vis de l’Inter "Ce qu’a fait Lukaku est immonde, les dirigeants doivent avoir des principes éthiques, tout comme les joueurs. C’était une équipe qui lui avait donné sa confiance, qui l’avait rendu heureux sous la gestion de Conte et qui l’avait protégé lorsqu’il jouait mal : L’Inter avait toujours eu un comportement louable à son égard. Sa tentative de fuite m’a scandalisé, c’est une question d’éthique." Le Scudetto? "L’Inter est en ce moment l’équipe la plus forte, elle dispose d’une profondeur de noyau impressionnant . En ce moment, tout ce que fait Lautaro devient de l’Or." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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