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Interviewé sur la Super League Européenne durant le FT Business of Football Summit, Aleksander Ceferin, le Président de l'UEFA, a de nouveau sorti la sulfateuse: "Le projet "Super League" n’est pas aussi intelligent, il ne concerne pas le football, ceux qui le propose vivent encore dans un monde parallèle." "Ce n’est pas du football, mais parlons-en tout de même : Je suis lassé de ce projet non-footballistique. La première fois, il a été lancé en plein milieu de la pandémie, et à présent, c’est durant la guerre, ils vivent dans un monde parallèle. Ici, nous travaillons pour sauver les joueurs de cette situation et eux veulent relancer ce projet. Ils peuvent payer n’importe qui pour dire qu’il s’agit d’un beau projet, mais cela reste une idée vide de tout sens. De plus , un des dirigeants qui est revenu vers nous, m’a appelé pour s’excuser d’y avoir participé." "Pour eux, les supporters sont des consommateurs, pour nous les supporters sont des supporters. Ce qui est intéressant, outre le fait qu’ils critiquent l’UEFA et l’ECA, c’est que l’un d’eux était Président de l’ECA (Et une petite cartouche pour Andrea Agnelli, une ! ),et la semaine précédant le lancement de la Super League, il encensait le système actuel. Vous pouvez disputer cette compétition, il n’y aura aucun véto, mais... si vous voulez jouer leurs compétitions, vous ne pourrez plus disputer les nôtres." Est-ce que la Nouvelle Ligue des Champions est similaire à la Super League ? "Non, c’est un projet totalement différent! Il y a encore des choses à éclaircir, c’est pour cela que la version finale n’est pas encore tombée : Celui qui veut comparer les deux compétitions n’est pas sérieux. Actuellement, nous accueillons 32 équipes en Ligue des Champions et nous en aurons 36, mais il faut encore définir comment attribuer ces quatre places." "Il y aura plus de place pour les championnats moyens et les plus petits. Et je ne comparerais pas la situation de la Super League avec celle de la FIFA, nous parlons à la FIFA tous les jours. La Coupe du Monde tous les deux ans est un projet dont personne ne veut. Nous en avons discuté avec Infantino et nous discutons d'autres options, mais je suis sûr que nous trouverons une solution." L’Ukraine "Ces deux dernières années, le football et l’UEFA ont été confrontés à des situations inimaginable, difficile à croire. En commençant par la pandémie, avec le report des championnats européens et une grosse perte financière pour l’UEFA, mais si nous ne les avions pas reporté, il y aurait eu une perte énorme dans toute l'Europe, de plus de 2 milliards. Pendant la pandémie, il y avait des situations critiques tous les jours, entre les positivités dans les équipes et les supporters qui n'étaient pas autorisés à entrer dans les stades." "En avril 2021, nous avons mis un terme au projet loin d’être intelligent qu’est la Super League, nous avons dû nous occuper des championnats européens dans 11 pays pendant la pandémie. Enfin, il y a eu le projet de la Coupe du monde tous les deux ans et maintenant la guerre en Ukraine, la situation la plus terrible qui puisse arriver, sans que le football soit impliqué. Je ne parviens pas à imaginer qu’est-ce qui pourrait encore nous arriver." "Personne ne s'attendait à ce que la guerre arrive en Europe, surtout à notre époque. Nous faisons des choses que nous ne communiquons pas. J'ai été au téléphone pendant 48 heures avec des joueurs et des entraîneurs pour les aider à sortir d'Ukraine. J'ai parlé à tous les gouvernements mais aucun ne pouvait garantir une certaine sécurité. Nous avons dû le faire avec la Fédération ukrainienne et les Fédérations voisines. Il est difficile d'expliquer à quel point ces conversations étaient difficiles." "Cela va bien plus loin que le football et je suis fier de ce que la famille du football fait, certaines choses que nous faisons ne sont pas publiques mais nous continuons à les faire. Il est difficile de dire ce qui se passera demain, mais cette folie doit prendre fin le plus tôt possible." Dans quelle mesure la Russie peut-elle revenir dans le football européen ? "Pour l'instant, il est impossible de le dire. Notre décision était la seule valide, elle a été prise à l'unanimité par le Comité exécutif, mais il est impossible de dire ce qui se passera demain. Pour l'instant, nous attendons que la paix revienne." Pourquoi Ceferin s’est-il livré sur la Super League ? Selon le "Telegraph", Andrea Agnelli devrait en présenter une nouvelle version dite moins exclusive et "plus démocratique" ce jeudi, soutenu par le Real Madrid et le Fc Barcelone ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'Histoire jugera le CIO et la FIFA pour leur duplicité et hypocrisie !
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Alors que l'invasion russe s'intensifie en Ukraine, The Guardian pointe justement la duplicité de la FIFA et du CIO. Ceci est la traduction intégrale de ''History will judge IOC and Fifa as opportunistic hypocrites over Russia'' de Kerian Pender paru sur le site du Guardian. Il n'aura fallu que huit jours, et une guerre, pour que le Comité international olympique (CIO) réussisse une audacieuse pirouette qui aurait eu sa place sur les pentes des Jeux olympiques d'hiver. Pendant une bonne partie du mois de Février, alors que Pékin accueillait les Jeux de 2022, le CIO a insisté : il n'y a pas de place pour la politique dans le sport. "Vis-à-vis de la population ouïghoure, la position du CIO doit être de donner la neutralité politique", a déclaré le président, Thomas Bach, début février . Pourtant, une semaine seulement après le baissé de rideau sur les Jeux olympiques d'hiver, le CIO a radicalement fait machine arrière. "Afin de protéger l'intégrité des compétitions sportives mondiales et pour la sécurité de tous les participants", a décidé Lundi la commission exécutive du CIO, "les athlètes russes et biélorusses devraient être exclus des compétitions internationales. Le CIO réaffirme l'appel du président du CIO", poursuit le communiqué, pour "Donner une chance à la paix." Tout cela soulève la question suivante : pourquoi les crimes contre le peuple ouïghour et les violations des droits de l'homme en Chine sont-ils acceptables, mais l'envahissement de l'Ukraine ne l'est pas ? Après des JO d'hiver remplis de recours à la neutralité, cette hypocrisie flagrante provoque un certain sentiment de malaise. À travers cette caméra sportive inexplicable, il semble que certaines atrocités soient acceptables, mais la Russie a franchi la ligne en marchant sur Kiev. Le CIO a enfin fait ce qu'il fallait. Compte tenu du conflit en Ukraine, la participation de la Russie à des compétitions sportives internationales serait impensable à l'heure actuelle. La Fifa mérite également un certain crédit pour avoir exclu les équipes russes des compétitions internationales. Le coût humain est regrettable, des athlètes russes ordinaires, dont beaucoup n'ont aucun lien avec le régime du président Vladimir Poutine et ne jouent aucun rôle dans cette folie actuelle. Pourtant, une interdiction sportive de la Russie est la seule ligne de conduite raisonnable alors que les missiles pleuvent sur les civils ukrainiens. Mais qu'est-ce qui a pris tant de temps à ces corps sportifs ? La Russie a envahi la Géorgie en 2008, un an après que le CIO ait attribué les Jeux de 2014 à Sotchi. Curieusement, compte tenu des événements récents, le CIO était muet à l'époque. Six ans plus tard, le jour de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'hiver, l'annexion de la Crimée par la Russie avait commencé. Dans les mois suivants, la Russie envahit l'est de l'Ukraine. Plutôt que de condamner la violence, l'instance dirigeante olympique a décerné des honneurs aux loyalistes de Poutine (qu'ils ont récupérés de manière ridicule Lundi). La Fifa a suivi avec la Coupe du monde, en 2018, malgré l'occupation continue de la Crimée par la Russie, ses séparatistes par procuration à Donetsk et Lougansk et, quelques mois à peine avant le tournoi, une tentative d'assassinat bâclée sur le sol anglais. Le sportwashing a des conséquences, les événements en Ukraine au cours de la semaine dernière l'ont clairement montré. En autorisant l'utilisation de leurs joyaux de la couronne pour redorer l'image de la Russie, le CIO et la Fifa ont été complices des actes aveugles de Poutine au cours de la dernière décennie. Il est sans doute possible que, même si les Jeux olympiques de 2014 ou la Coupe du monde de 2018 avaient été supprimés ou délocalisés, nous en soyons encore là où nous en sommes aujourd'hui. Mais l'inaction du CIO et de la Fifa n'a guère aidé. Alors qu'ils auraient dû agir, les instances dirigeantes manquaient de conviction (et de courage aussi) pour faire des choix cruciaux. Il est maintenant facile pour les deux de s'exprimer; ils ont eu leurs jamborees sportifs financés par le contribuable russe, enrichissant les oligarques russes, et sont rentrés chez eux. Il est prudent de condamner Poutine aujourd'hui, depuis leurs palais suisses, sans rien en jeu. Par leurs dernières actions, le CIO et la Fifa se sont montrés tout simplement opportunistes : neutres quand cela arrange leurs ambitions commerciales, et politiques quand ils ressentent le besoin de s'aligner sur l'opinion mondiale. Avec la Coupe du monde Qatar 2022, le revirement ne devrait pas durer. Le tournoi se poursuivra en utilisant des infrastructures très probablement construites sur le dos du travail forcé, dans une nation classée comme "non libre" par l'organisme de surveillance des droits Freedom House, où les droits des femmes et des Qataris LGBTQI+ sont limités. La Russie n'est peut-être pas là, mais les 6 500 travailleurs migrants morts au Qatar depuis l'attribution de la Coupe du monde non plus. La culpabilité de la Fifa est profonde. Le sport a toujours été politique, remontant aux premières Olympiades de la Grèce antique, lorsque les cités-États se bousculaient, recourant même parfois à la violence, pour influer l'organisation des Jeux. Dire le contraire, comme le font depuis longtemps le CIO, la Fifa et d'autres instances sportives mondiales, montre un mépris délibéré de la réalité, un déni. Pourtant, ils ont persisté dans le mythe, y compris il y a à peine une semaine, lorsque le dernier cirque olympique s'est terminé à Pékin avec à peine un petit cri sur les droits de l'homme. Leur interdiction de la Russie est la bienvenue, bien que cynique. Mais cela ne fait que souligner leur énorme duplicité, leur échec de leadership et le vide moral qui voit la répression brutale du peuple ouïghour, des Tibétains, des Hongkongais comme ne justifiant rien de plus que la "neutralité politique". L'histoire jugera le CIO et la Fifa comme des hypocrites complices, aucun retour en arrière sur la Russie n'arrêtera cela. Traduction alex_j (qui a tout donné) via The Guardian. -
Francetvinfo - Le géant mondial de l'équipement sportif a annoncé mardi avoir pris cette décision en raison de l'invasion de l'Ukraine par la Russie: "Adidas suspend avec effet immédiat son partenariat avec la Fédération russe de football", a déclaré mardi 1er mars un porte-parole de l'entreprise. "La veille, l'UEFA avait rompu son contrat avec le géant russe de l'énergie Gazprom, estimé à 40 millions d'euros par an et qui couvrait la Ligue des Champions, les compétitions internationales organisées par l'instance du football européen ainsi que l'Euro 2024. Le club allemand de Schalke 04 avait fait de même avec le même sponsor. C'est donc un nouveau coup porté au football russe, après la décision de la FIFA d'exclure l'équipe nationale du Mondial 2022, organisé au Qatar en fin d'année." "Les contrats des sponsors et équipementiers sont aussi mis à mal dans d'autres sports : le fabricant de vélos LOOK a décidé de mettre fin à son partenariat, entamé en début d'année, avec l'équipe russe Gazprom-RusVelo, membre de l'UCI Pro Team, deuxième division du cyclisme sur route masculin. Les ruptures de contrats de sponsoring, mais aussi les mesures de bannissement des sportifs russes et d'annulation de compétitions se multiplient dans de nombreux sports depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, jeudi dernier." Le Saviez-vous ? "Les équipes russes et bélarusses ont été exclues des épreuves cyclistes, a annoncé mardi la fédération internationale (UCI), qui a notamment retiré son statut UCI à l'équipe professionnelle Gazprom/RusVelo. Les équipes nationales et/ou sélections nationales russes et bélarusses ne sont pas autorisées à participer, avec effet immédiat, à toutes épreuves du Calendrier International UCI" et le statut d'équipe UCI, indispensable pour participer aux épreuves, a été retiré à six équipes professionnelles dont Gazprom/RusVelo, selon le communiqué de l'organisation." ®Francetvinfo
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FRANCEBLEU - La Russie est exclue du prochain mondial de football, prévu au Qatar en 2022 a appris le service des sports de Radio France ce lundi, au cinquième jour de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Quatre jours après le début de l'invasion russe en Ukraine, l'UEFA et la FIFA se sont mises d'accord ce lundi après-midi pour exclure la Russie du prochain mondial de football prévu au Qatar en 2022, selon les informations du service des sports de Radio France. Une décision exceptionnelle. L'UEFA organise les qualifications européennes à la compétition, alors que la FIFA organise la phase finale de la Coupe du monde. L'équipe de football de Russie devait jouer les barrages qualificatifs pour le mondial 2022 le 24 mars prochain contre la Pologne à Moscou. Dès vendredi, ses adversaires (Pologne, République Tchèque, Suède) avaient tous annoncé leur refus de jouer contre la Russie. Cette exclusion des barrages prive de facto la Russie du mondial 2022. Un communiqué commun des deux instances est attendu en fin de journée. ®FRANCEBLEU
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L'ECA suspend ses membres russes en raison de la guerre en Ukraine
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
L'Association européenne des clubs (ECA) a approuvé les récentes décisions prises par l'UEFA à l'encontre des clubs et partenaires commerciaux russes. L'ECA a aussi décidé de suspendre ses membres russes, en protestation contre la guerre en Ukraine. À l'instar de l'UEFA, qui a suspendu tous les clubs russes de ses compétitions en raison de la guerre en Ukraine, l'Association européenne des clubs (ECA) a également décidé de suspendre tous ses membres russes, avec effet immédiat. L'ECA, présidée par Nasser Al-Khelaïfi, a aussi approuvé la fin du partenariat commercial avec Gazprom, ce mardi lors de sa première réunion en 2022, organisée à Londres. Le conseil d'administration s'est par ailleurs engagé à poursuivre tous les efforts pour fournir le soutien nécessaire aux clubs ukrainiens et leurs joueurs durant cette période difficile. Cette question et toutes les autres, qui ne sont pas liées à cette actualité dramatique, seront abordées lors de la prochaine assemblée générale, programmée les 28 et 29 mars à Vienne, en Autriche. D'après la presse britannique, Aleksander Ceferin, qui dirige l'UEFA depuis 2016, souhaiterait rompre le contrat qui la lie avec le géant de l'énergie russe Gazprom, partenaire officiel de la Ligue des Champions depuis 2012. La grande instance du football euroopéen se serait entretenue avec ses avocats pour accélerer la fin de cette collaboration, qui avait pourtant été prolongée pour trois nouvelles saisons et un montant avoisinant les 40M € en mai dernier. A noter que le club allemand de Schalke 04 a également rompu le contrat avec Gazprom, sponsor du club de Gelsenkirchen depuis 2007. Le bras de fer continue entre la Russie et l'UEFA, qui a déjà délocalisé au Stade de France la prochaine finale de Ligue des Champions, initialement prévue à Saint Petersbourg. Source l'Equipe.- 2 commentaires
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Guerre en Ukraine, la FIFA fait couler le robinet d'eau tiède
alex_j a posté un article dans Nos Dossiers
Alors que l'invasion russe en Ukraine s'intensifie, la FIFA a sorti l'artillerie lourde, son robinet d'eau tiède. La Fifa a décidé que la Russie pouvait poursuivre sa tentative de se qualifier pour la Coupe du monde de cet hiver, malgré le refus de ses adversaires de jouer contre elle. Alors que l'Angleterre est devenue le dernier pays à déclarer qu'elle boycotterait les matches contre la Russie après l'invasion de l'Ukraine, la Fifa a finalement mis fin à des jours de silence sur le sujet pour approuver effectivement le statu quo. Dans le cadre d'une série de "mesures initiales" convenues dimanche par le conseil de la Fifa, les barrages de la Coupe du monde du mois prochain entre la Russie et la Pologne se dérouleront sur terrain neutre et sans spectateurs. La Russie sera également forcée de s'appeler "Union de football de Russie (RFU)" en écho à la punition infligée au pays aux Jeux olympiques. Aucun drapeau russe ne flottera non plus, et l'hymne ne sera pas joué non plus. Dans un communiqué, la Fifa a déclaré qu'elle serait disposée à envisager d'autres mesures, y compris l'expulsion de la Coupe du monde, si "la situation ne s'améliorait pas rapidement". Ils ont déclaré avoir déjà "dialogué" avec la Fédération polonaise, ayant "pris bonne note des positions exprimées via les réseaux sociaux". Mais la proposition de la Fifa a été immédiatement rejetée par les autorités polonaises du football, qui plus tôt ce week-end avaient déclaré leur détermination à boycotter tout match avec la Russie, un sentiment partagé par les joueurs, dont l'attaquant vedette Robert Lewandowski. Les Polonais ont ensuite été rejoints dans un boycott par la Suède et la République tchèque, dont l'un doit rencontrer le vainqueur de cette rencontre lors d'une finale de barrage. Le président de la FA polonaise, Cezary Kulesza, a qualifié la décision de la Fifa d'inacceptable. "Dans la situation de guerre en Ukraine , nous ne nous intéressons pas au jeu des apparences. Notre position reste inchangée : l'équipe nationale polonaise ne jouera PAS contre la Russie lors du match de barrage, quel que soit le nom de l'équipe russe." La FA polonaise a également pris la décision d'écrire officiellement à la Fifa pour rejeter les mesures et demander l'expulsion de la Russie de la Coupe du monde. "L'Association polonaise de football informe qu'en raison de l'agression brutale de la Fédération de Russie contre l'Ukraine et de la guerre qui s'y poursuit, nous ne voyons aucune possibilité de jouer contre l'équipe nationale russe dans les matches de barrage pour la qualification au Mondial du Qatar en 2022 quel que soit le nom de l'équipe composée de footballeurs russes et le lieu du match. Face à l'invasion russe en Ukraine, qui a été condamnée presque partout dans le monde, c'est la seule décision que nous puissions prendre. Une performance lors d'un match contre l'équipe nationale russe serait un acte honteux non seulement pour nos joueurs mais pour l'ensemble de la communauté du football, contraire à la solidarité avec la nation ukrainienne. En tant qu'association de football, nous refusons de participer aux matches de barrage dans lesquels l'équipe nationale russe apparaît. Dans le même temps, nous appelons les autorités de la Fifa à réagir immédiatement aux violences brutales que nous observons quotidiennement sur le territoire de l'Ukraine indépendante. Si la politique de la Fifa en matière de droits de l'homme est plus que de simples mots sur un papier, il est maintenant temps de la mettre en pratique en excluant l'Association russe de football des éliminatoires de la Coupe du monde au Qatar en 2022." Dimanche, l'Angleterre a rejoint ce groupe. Dans une intervention peu avant que la Fifa ne publie ses conditions, la Football Association a déclaré qu'elle ne jouerait aucun match international contre la Russie à aucun niveau "dans un avenir proche". "Par solidarité avec l'Ukraine et pour condamner sans réserve les atrocités commises par les dirigeants russes, la FA peut confirmer que nous n'affronterons la Russie dans aucun match international dans un avenir proche. Cela inclut tout match potentiel à n'importe quel niveau de football senior, groupe d'âge ou para." Plus tôt ce week-end, chacun des éventuels adversaires de la Russie en barrage a confirmé qu'il refuserait de jouerr le match. La Pologne et la Suède ont été rejointes dimanche par la République tchèque qui a déclaré que les officiels et le personnel avaient convenu de ne pas jouer. "Il n'est pas possible de jouer contre l'équipe nationale russe dans la situation actuelle, pas même sur un terrain neutre. Nous voulons tous que la guerre se termine le plus tôt possible." La France a également déclaré qu'elle soutenait l'expulsion de la Russie. Noël Le Graët affirme que "Le monde du sport, et notamment du football, ne peut rester neutre. Je ne m'opposerais certainement pas à l'expulsion de la Russie." Pour l'instant, la Fifa n'a pris aucune mesure concernant les prochains barrages de la Coupe du monde, qui doivent avoir lieu le mois prochain, ni la possibilité que la Russie se qualifie pour le tournoi final lui-même. Dans un communiqué la semaine dernière, l'instance dirigeante mondiale a simplement déclaré qu'elle continuait de "surveiller la situation" et que "des mises à jour... seront communiquées en temps voulu". L'UEFA a pris la décision de priver Saint-Pétersbourg de la finale de la Ligue des champions ce Vendredi et a également déplacé tous les matches impliquant des équipes russes sur des terrains neutres. Une seule équipe de club russe, le Spartak Moscou, reste en compétition européenne cette saison, mais Dimanche, son prochain adversaire, le RB Leipzig, a déclaré qu'il faisait pression pour une plus grande action de la part de l'instance dirigeante. "Le RB Leipzig est actuellement en pourparlers intensifs avec l' UEFA sur la marche à suivre pour les matches à élimination directe de la Ligue Europa contre le Spartak Moscou et s'attend à une décision opportune de l'association", a déclaré le club. Traduction alex_j via The Guardian. -
L'UEFA et la FIFA arrivent trop tard : le sportwashing russe a atteint son objectif
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Nous avons été habilement trompés par Vladimir Poutine. Maintenant, il fait pleuvoir la mort sur l'Ukraine, et le sport a servi son objectif en lui permettant de provoquer ce terrible moment. Mission accomplie. Rassemblez le buffet. Rangez les bibelots. Déchiquetez le manuel des menaçantes plates et creuses approuvées par l'État. Le sport a rempli sa mission ici. Et quoi qu'il choisisse de faire à partir de maintenant, tout ce qui semble vraiment certain, c'est que Vladimir Poutine n'écoutera pas. Il s’en fout ! Merci, Fifa, UEFA , le CIO et nos nombreux partenaires commerciaux, pour votre aide inestimable avec les messages. C'est une enveloppe. Il est difficile de savoir quoi faire de la nouvelle selon laquelle l'UEFA envisage de déplacer la finale de la Ligue des champions de Saint-Pétersbourg , la ville natale de Poutine, en guise de censure pour l'invasion russe de l'Ukraine. C'est bien sûr une étape nécessaire, notamment pour des raisons de sécurité, et au-delà pour l'optique troublée de l'UEFA. Mais la délocalisation d'une finale, alors que les balles volent à Kiev, est aussi une étude dans l'inutilité. À partir de là, l'acte de gestion de la réputation de l'UEFA ne peut avoir de valeur que si nous tous, des instances dirigeantes veules aux idiots utiles des médias (présents), en passant par les consommateurs du monde entier, sommes prêts à apprendre une leçon très dure et très moderne. La seule voix dissidente lors de la réunion du comité spécial de la Fifa vendredi a probablement été Alexander Dyukov, président de la FA russe et président du conseil d'administration de Gazprom, même s'il est peu probable qu'il s'en soucie trop à ce stade avancé. Schalke peut retirer le logo Gazprom de ses maillots. L'UEFA peut reconsidérer son accord de parrainage avec le fournisseur de gaz russe. Mais la journée a déjà avancé. Le sportswashing a eu lieu. Le commerce, la politique et les divertissements sportifs télévisés ont atteint leur but. La Russie de Poutine a gagné en influence, en puissance douce et en légitimité. Le public à domicile a été apaisé. Sotchi et Moscou ont été utilisés pour distribuer des faveurs aux fidèles lieutenants de Poutine. Nous sommes à un stade où retirer la finale de la Ligue des champions, c'est comme compter sur un ordre péremptoire et grave pour dissuader la bande d'hommes masqués à mi-chemin dans les escaliers, coshes à la main. Poutine fait déjà pleuvoir la mort sur le peuple ukrainien. Il ne se soucie pas, à ce stade, exactement où la finale va être jouée. Si le sport peut tirer quelque chose de cette horreur, c'est que nous savons maintenant sans aucun doute que tout cela est réel. Que ceux qui parlent – si ennuyeux : le jeu est lancé ! – sur les dictatures et les droits de l'homme parlent d'un lieu de conséquences réelles. Cet état de complicité commence, bien sûr, au siège suisse totalement éhonté du football. Gianni Infantino a déjà fait sa propre déclaration publique oléagineuse, déplorant la violence en général sans mentionner le mot Russie ou le nom de Vladimir Poutine. "Nous nous sommes réveillés et nous avons été choqués par ce que nous avons vu", a déclaré Infantino, conservant une expression de neutralité sans texture et sans saveur. Un robinet d’eau tiède. L'histoire jugera Infantino à la lumière de toutes ses actions, de sa flagornerie, de sa complicité avec des despotes tachés de sang. Rembobinez trois ans et demi et Infantino était au Kremlin déclarant que le monde était désormais "amoureux" de la Russie, et serrant Poutine contre sa poitrine comme un frère (également présents à cette réunion, dans une tournure étrange, étaient Rio Ferdinand et Peter Schmeichel). Un an plus tard, le président de la Fifa était de retour pour la remise d'une médaille d'État russe. "Vous avez accueilli le monde comme des amis", a déclaré Infantino au même président Poutine qui déploie actuellement la plus grande force terrestre européenne depuis la Seconde Guerre mondiale dans une invasion sanglante et illégale. "Le monde a créé des liens d'amitié avec la Russie qui dureront pour toujours." Infantino s'est peut-être montré un parfait imbécile grotesque et moralement invertébré et décérébré. Mais cette leçon s'étend à presque chacun d'entre nous à un certain niveau : une leçon sur quelque chose de très dur et de très froid, dans un processus qui était initialement obscur dans son aboutissement. Amnesty International a été parmi ceux qui ont introduit l'expression "sportswashing" il y a quatre ans. Un article sur cette page en 2018 sur Abu Dhabi, Manchester City et l'affaire Matthew Hedges utilisait le mot entre guillemets, et prenait le temps d'expliquer d'où il venait. Cela a parfois ressemblé à un programme de propagande diffus et insidieux. Mais il n'y a aucun moyen maintenant de se cacher de la vérité sur où cela peut mener, un processus dans lequel beaucoup d'entre nous sont cooptés dans une certaine mesure. Après la Coupe du monde en Russie, j'ai écrit un livre sur les voyages à travers le pays, toujours au centre de l'émission et des interactions avec les Russes ordinaires, et j'espère qu'il pourrait y avoir quelque chose à ce sujet, une sorte de glasnost à combustion lente. Mais devinez quoi ? Vladimir Poutine est vraiment un dictateur impérialiste meurtrier et la Coupe du monde faisait partie de sa machinerie pour le pouvoir. Le livre ressemble à une sorte de kompromat. Et la Russie a été terriblement efficace à bien des niveaux. Il y a quatre ans, des appels ont été lancés à la Chambre des communes pour un boycott de la Coupe du monde après l’empoisonnement de Salisbury. Mais même alors, il était difficile de voir quel effet tangible cela pourrait avoir alors que l'argent et l'influence russes continuaient de se faufiler dans l'économie, le système juridique et la politique britanniques. Dans son livre Putin's People, Catherine Belton écrit que les centres financiers et politiques de Londres se sont retournés face au cash back russe au milieu des années 2000 lorsque la capitale est devenue connue sous le nom de "Moscou-on-Thames", les années des yachts et des avions, des pairs sur la liste de l'entreprise, la navette "bus scolaire" d'Heathrow ramène à la maison l'ensemble des élève toutes les semaines. "Au milieu des années 2000, Londres avait acquis la réputation de laverie automatique du monde, lavant des centaines de milliards de livres d'argent sale", écrit Belton. "La voie avait été ouverte au KGB pour créer un vaste réseau d'argent noir, bien plus vaste et plus sophistiqué que les réseaux qu'il avait installés pour les opérations secrètes et le trafic d'influence dans la bataille pour l'empire de l'époque soviétique." Un magnat russe aurait déclaré : "À Londres, l'argent gouverne tout. N'importe qui et n'importe quoi peut être acheté. Les Russes sont venus à Londres pour corrompre l'élite politique britannique. Est-ce vrai? Si oui, comment vrai? Le fait que ceux qui sont au pouvoir à Moscou le croient est probablement suffisant pour commencer." Et oui, le sport n'est qu'une petite bière dans ce domaine, avec l'habitude d'exagérer énormément son rôle dans les événements mondiaux. Mais telle est sa valeur de propagande que nous avons tendance à obtenir une place au premier rang, et à l'accepter assez naïvement. J'étais là à la Maison de la Fifa à Zurich en 2010 lorsque Poutine a émergé, un peu surprenant, du fond de la salle de conférence de presse pour répondre aux questions après la candidature réussie de la Russie à la Coupe du monde : un petit homme déambulant, seul sur cette grande scène, haussant les épaules et l'air ennuyé, mais rayonnant d'un pouvoir personnel étrangement convaincant. C'était presque comique, et certainement énervant. Mais il ne peut y avoir aucune fausse innocence d'ici, aucun espoir contre l'espoir, les doigts croisés, pour quelque chose de réel derrière les platitudes. L'Ukraine a demandé l'expulsion des clubs russes des compétitions de l'UEFA et cela devrait se produire immédiatement, non seulement en guise de punition, mais parce que le spectacle est répugnant et insoutenable à l'ombre de la guerre. Et à partir de maintenant, nous sommes prévenus. On sait, sans l'ombre d'un doute, où peut mener cette mise en scène. Nous savons que Vlad ne retournera pas les appels de Gianni, ses messages vocaux anxieux. Ce jeu a suivi son cours. Nous avons déjà été trompés. Traduction alex_j, via The Guardian, "Uefa and Fifa are too late: Russia’s sportswashing has served its purpose" par Barney Ronay. -
Alors que l'invasion russe s'intensifie en Ukraine, la finale de la C1 sera déplacée et la FIFA et l'UEFA doivent prendre des décisions. La finale de la Ligue des champions de cette saison n'aura pas lieu à Saint-Pétersbourg et la pression se focalise sur le football pour qu'il réponde fermement à l'invasion militaire russe alors que la crise en Ukraine s'est intensifiée hier. Une réunion extraordinaire du comité exécutif de l'UEFA aura lieu Vendredi et un nouveau lieu sera normalement choisi pour la finale de la C1. Un deuxième choix difficile suivra peu après : exclure ou non les clubs russes de la compétition. La Fifa s'est également retrouvée sous les projecteurs pour la qualification pour la Coupe du monde et le rôle de la Russie dans les barrages un jour où : Les associations de football de Pologne, de République tchèque et de Suède ont refusé de se rendre en Russie pour les barrages de la Coupe du monde. La FA ukrainienne a appelé à l'expulsion de la Russie de toutes les compétitions de la Fifa et de l'UEFA. Les parlementaires européens ont écrit à l' UEFA pour demander la fin de leur relation avec la société russe Gazprom, alors que le club allemand Schalke a enlevé la société gazière de son maillot. Et le gouvernement britannique a interdit à Aeroflot, une compagnie aérienne russe qui a un accord de parrainage de 40 M£ avec Manchester United, d'opérer dans le pays. Après 48 heures d'examen minutieux des plans de l'UEFA pour une finale à la Gazprom Arena de Saint-Pétersbourg le 28 Mai, l'instance dirigeante a confirmé qu'elle tiendrait une réunion extraordinaire de l'ExCo "pour évaluer la situation et prendre toutes les décisions nécessaires" sur la crise ukrainienne. La décision de déplacer le match de Russie est certaine, mais d'autres questions demeurent. Le Spartak Moscou est qualifié pour le huitièmes de la Ligue Europa dont le tirage doit avoir lieu à ce Vendredi et le Zenit St Petersburg s'est vu refusé par une décision tardive du VAR contre le Real Betis jeudi soir alors qu'ils cherchaient à les atteindre. Plus controversée est la relation de longue date et profondément enracinée de l'UEFA avec Gazprom, dont le parrainage de ses compétitions a été prolongé l'année dernière. L'UEFA a déclaré qu'elle "condamne fermement l'invasion et reste résolue dans sa solidarité avec la communauté du football en Ukraine et se tient prête à tendre la main au peuple ukrainien. Nous traitons cette situation avec le plus grand sérieux et urgence." Le président de la Fifa, Gianni Infantino, a également condamné la Russie "et de tout type de violence pour résoudre les conflits", et appelé à "une cessation rapide des hostilités et à la paix en Ukraine". Infantino, s'exprimant après une réunion du Conseil de la Fifa, n'a pas été en mesure de clarifier une situation de plus en plus compliquée concernant les barrages de la Coupe du monde le mois prochain auxquels la Russie et l'Ukraine doivent participer. La Pologne doit affronter la Russie à Moscou le 24 Mars et a fait part de ses inquiétudes. Après avoir demandé des informations à la Fifa il y a deux jours, la fédération polonaise a déclaré n'avoir reçu aucune réponse et a lancé Jeudi un appel public aux côtés des fédérations suédoise et tchèque, dont les pays doivent jouer à l'extérieur le 29 Mars pour affronter le vainqueur du match. Les trois pays ont déclaré qu'ils ne se rendraient pas en Russie. "L'escalade militaire que nous observons entraîne de graves conséquences et une sécurité considérablement réduite pour nos équipes nationales de football et nos délégations officielles. Par conséquent, nous attendons de la Fifa et de l'UEFA qu'elles réagissent immédiatement et présentent des solutions alternatives concernant les endroits où ces matches de barrage qui approchent pourraient être joués." Infantino a déclaré que "la Fifa continuerait de surveiller la situation et publierait bientôt des mises à jour." La FA ukrainienne devrait disposer d'un temps pour décider de poursuivre ou non sa campagne de qualification. Le pays doit organiser un barrage de Coupe du monde en Écosse le 24 Mars, les vainqueurs se rendant au Pays de Galles ou en Autriche. Si l'Ukraine se retire, l'Écosse pourrait se voir accorder un laissez-passer, bien qu'il soit entendu que l'option la plus probable serait que la Finlande prenne la place de l'Ukraine. Jeudi, la fédération ukrainienne a pressé la Fifa et l'UEFA de retirer la Russie et ses clubs de toute compétition internationale. Alors que la critique de l'invasion était vive à l'extérieur de la Russie, il y avait aussi une dissidence à l'intérieur du pays. Plus particulièrement, sur Instagram, l'international russe Fedor Smolov a publié une image carrée noire avec la légende "Pas de guerre !!!" Les conséquences de l'invasion se sont fait sentir davantage dans le sport. Quelques jours après avoir traité un autre scandale de dopage russe, le CIO a confirmé que la Russie avait enfreint "la trêve olympique" convenue entre les nations qui concourent pendant les Jeux olympiques et paralympiques. Rugby Europe a reporté un match entre la Russie et la Géorgie prévu pour la fin de ce mois, et la Fina, l'instance dirigeante de la natation, et la FIVB en volley-ball ont déclaré qu'elles "surveillaient la situation" avant les championnats du monde en Russie plus tard cette année. Sebastian Vettel a appelé la Formule 1 à abandonner la course prévue cette saison en Russie. Traduction alex_j via The Guardian.
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L’Inter prête à s’envoler pour le Danemark !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, le Docteur Piero Volpi et Giuseppe Marotta ont toujours eu l’intention d’aller au chevet de Christian Eriksen sur place. Toutefois, ceux-ci avaient convenu qu’il ne fallait pas se montrer envahissant et qu’il était mieux de s’y rendre, une fois la situation jugée rassurante. Ce matin, Christian Eriksen s’est montré avec son plus beau sourire via les réseaux sociaux, et ce qu’il y a à retenir, c’est que le joueur va mieux et qu’il reste toujours au Danemark afin de compléter sa série d’examen pour définir la cause de son terrible malaise cardiaque de samedi dernier. L’Inter et l’équipe nationale danoise sont toujours restés en contact, et ce, dès l’instant où Christian s’est senti mal. Le club Nerazzurro, représenté par le Docteur Volpi et son staff, sont d'ailleurs en attente des résultats complets de l’ensemble des examens réalisés et à réaliser par le joueur: Toutes les informations s’avèreront fondamentales pour reconstruire la cause de ce malaise et pour, ensuite, procéder à des évaluations : Il est donc trop prématuré pour l’instant de se projeter sur ce que sera l’avenir du milieu de terrain Nerazzurro Selon Fcinter1908.it, l’Inter est donc prête à rejoindre Christian au Danemark. Elle y sera représenté par le Docteur Volpi et Giuseppe Marotta qui ont attendu que Christian soit sorti d’affaire et autorisé à sortir pour lui rendre visite. La thématique actuelle reste de définir la date de départ, car à cause des restrictions liées au Covid, notre duo ne pourra pas se rendre à l’intérieur de la structure hospitalière qui l’a pris en charge Le saviez-vous ? Big Rom fait aussi parti de l'aventure: En effet, le Diable Rouge a décidé de profiter du calendrier de la compétition pour aller rendre visite à son ami. Comme le révèle Tuttosport, si Christian Eriksen devra continuer à être sous une stricte observation prochainement, sa sortie de l’hôpital va faciliter ses futures visites Partant de ce constat, Romelu Lukaku qui lui avait déjà dédié son premier but face à la Russie en lui hurlant devant la caméra “Chris I Love You”, a commencé à s’informer pour réaliser cette possible visite. Profitant du fait la Belgique jouera justement face au Danemark ce jeudi pour partir à sa rencontre, ce déplacement pourrait aussi comprendre Toby Alderweireld et Jan Vertonghen, ses deux anciens équipiers de Tottenham. Si tout est en voie de définition, il reste évidemment certain que le Staff Médical de l’Inter continuera à collaborer et à être tenu quotidiennement informé de la situation par le Staff Médical danois. Et l’Inter, dans l’attente de pouvoir rejoindre le Danemark, tient aussi à exprimer sa proximité à Eriksen! ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Marcelo Brozovic se livre sur Romelu Lukaku l'adversaire!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
En cette veille de match amical face à l’Arménie, Marcelo Brozovic s’est livré en conférence de presse, accompagné de son sélectionneur national Zlatko Dalić. Le Scudetto "Nous avons finalement remporté le titre! C’est pour cela que je suis très heureux. Avant cela, j’avais perdu deux finales importante comme celle en Russie avec la Croatie face à la France et, l’année dernière, en finale de l’Europa League. Finalement, un titre est arrivé pour moi et j’espère ne pas m’arrêter ici." Antonio Conte "Nous avions un excellent rapport, mais si tu ne te donnais pas à 100% avec lui, tu ne jouais pas. Nous avons énormément travaillé durant ces deux dernières années." Romelu, l’adversaire "Il est très difficile à marquer, il est vraiment très puissant physiquement. Toutefois, nous devrons faire de notre mieux, nous battre et basta. Il y a aussi, selon moi Kevin De Bruyne qui est l’un des meilleurs milieu de terrain au monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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"Je ne voulais pas retourner au Portugal, retourner au pays, dans le club où j'ai été formé, chez moi, ce n'était pas excitant". Interviewé en exclusivité par O Jogo, Joao Mario explique le choix étonnant de rejoindre le Lokomotiv Moscou en Russie plutôt que de retourner au bercail au Sporting Lisbonne. "Ils m'ont présenté le projet quelques jours avant mon choix, le message qu'ils m'ont fait passer m'a vraiment plu, ils m'ont dit que je jouerai beaucoup et quand je pense que c'est une année d'Euro, ça a compté dans ma réflexion. Si vous jetez un coup d’œil, en équipe nationale du Portugal il y a des joueurs qui jouent en Grèce à l'Olympiakos, tout ça pour dire que le sélectionneur fait attention à tous ses joueurs. Je n'ai joué que quelques matches avec l'Inter mais j'ai été quand même convoqué donc si je joue plus cette saison, que ce soit en Russie ou ailleurs, j'aurais d'autant plus d'opportunités. En plus nous jouons la Ligue des Champions". En fin de discussion, Joao Mario explique aussi pourquoi selon lui les choses sont un peu allé de travers avec l'Inter : "C'est un peu difficile d'en parler maintenant. Chaque fois que j'en ai parlé il y a eu un malentendu, pour moi il y a des situations où la séparation est inévitable. Je suis content de voir l'Inter aussi forte, mes coéquipiers me manqueront beaucoup et je leur souhaite vraiment bonne chance pour cette saison. L'entraîneur est très bon, très compétent et avec lui, l'Inter redeviendra grande".
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Luciano Spalletti se dévoile à la Panchina D'Oro
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
A l'occasion de l'évènement dédié à la Panchina d'Oro (un prix décerné au meilleur entraîneur de football de l'année évoluant en Serie A), Luciano Spalletti s'est livré à Coverciano sur son expérience en tant qu'entraîneur, sa vie et ses difficultés en Russie et il a également glissé un dernier tacle sur le match désastreux de l’Inter. "L'expérience que j'ai acquise à l'étranger te permet de voir de l'extérieure ta propre maison, cela t'apporte une connaissance particulière dont tu peux faire usage avec les joueurs qui viennent de l'étranger. Tu sais mettre en avant certaines problématiques que j'ai connue, comme celle de la langue." "Ce qui me fatigue, ce sont mes collègues des catégories inférieures qui se lamentent sur beaucoup de choses, des personnes comme Ancelotti et Capello ont connu les mêmes difficultés au début de leurs parcours. Cela fait partie de ton travail, cela doit être un point de référence, cela doit te faire découvrir quel sera le comportement que tu devras adopter pour emprunter le chemin que tu désires." "Il faut aller rechercher les choses les plus basiques, là où tu es sur d'avoir un bon retour. Tu dois partir de choses simples avant qu'elles puissent prendre du poids par la suite. Lorsque je suis arrivé en Russie, je ne connaissais rien, pas même la langue, les joueurs me semblaient tous d'un même niveau. Déjà là, tu peux te dire que tu dois apporter quelque chose de personnel pour le collectif, et pour moi c'était une qualité fondamentale parce que je recherchais, avant tout, le résultat de l'équipe, qui en Italie est un peu plus difficile à obtenir." "La langue, le froid et les distances étaient problématiques, je n'étais pas habitué à ce que j'allais vivre en Russie. Lors des entraînements, nous faisions une petite réunion dans une salle de gym afin de nous fixer sur les résultats à atteindre avec notre formation. Je devais faire usage d'un traducteur pour bien exprimer mes concepts, il y a des moments où il ne m'était pas possible de garder les yeux ouverts à cause du froid. Malgré tout, grâce à la technologie, il m'était possible d'apporter quelque chose de concret à la formation, j'y consacrais mes soirées et le lendemain, nous savions quels étaient les points que je voulais améliorer." "Ils ont leurs histoires, leurs coutumes, je devais m'y adapter. Une fois nous devions aller en Tchétchénie et on m'a demandé de ne pas aller en stage de préparation. Je suis arrivé là-bas avec notre mentalité et j'ai imposé un code promotionnel pour unibet et mon idée car nous devions jouer une rencontre à trois heures de vol de Saint-Pétersbourg, nous ne pouvions pas tout faire sur une seule journée. Ce genre d'expérience t'apporte des enseignements, par la suite, j'ai compris pourquoi il n'était pas conseillé d'y aller en stage et nous ne l'avons plus refais." "Petit à petit, nous sommes parvenu à créer une relation d'estime et de confiance mutuelle, car j'étais parti pour rester dans la durée, et j'y ai vécu 4-5 ans. Au tout début, c'était même difficile d'aller me chercher à manger car je ne comprenais rien. Mais j'y ai trouvé une volonté aussi tactique, une ouverture totale qui m'a permis de débuter une longue histoire, ce bagage important, je l'ai ramené avec moi et je l'emploie encore." "Selon moi, nous avons fait d'important progrès dans notre façon d'entraîner, lorsque j'ai commencé, je faisais jouer très peu mes gardiens des deux pieds. A présent, avec les défenseurs centraux, ce sont les vrais bâtisseurs de l'équipe. Il reste tout de même certaines zones sur le terrain où cela ne s'applique pas, mais à ce moment-là tu te dois de presser immédiatement ton adversaire." "C'est ce genre de comportement qui a fait défaut hier, celui de ne pas savoir maintenir tout le temps une concentration importante, ce n'est pas facile de demander aux joueurs d'être toujours attentif, car tu perds en créativité. Certains écoutent de la musique, tu peux croire qu'ils prennent les choses avec légèreté, mais ce sont les plus créatifs sur le terrain." "Lorsque j'ai dit que le Barça ne s'échauffait que quelques minutes et que si nous les imitions, nous perdrions, c'est parce le Barça est capable de prendre immédiatement et en peu de temps, les éléments les plus importants nécessaires pour disputer un match." "Nous devons nous habituer à ce double salto, à nous montrer plus léger et à aller au charbon pour ne pas se faire surpasser par notre adversaire. Nous faisons les choses de façon distincte, c'est soit l'une, soit l'autre. Nous devons apprendre à les faire simultanément. Nous devons nous détendre en écoutant de la musique, mais ensuite, tu te dois de monter sur le terrain en étant au maximum de ta concentration." "C'est clair que tu peux être exposer à des risques en jouant haut et en pressant, tu dois faire en sorte de disposer d'une bonne ligne défensive qui joue haut et qui ne laisse que très peu d'espaces, sinon cela te contraint à courir. Cela peut arriver de ne pas jouer sur ton attaquant comme aujourd'hui, mais tu dois en retirer un bénéfice. Si tu ne parviens pas à prendre le meilleur sur ton adversaire, comme cela s'est produit face à l'Atalanta, tu te dois de trouver une autre solution." "A final, si tu perds tout de même la rencontre, si tu as tout donné, tu seras complimenté. ®Antony Gilles - Internazionale.fr-
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