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Eto'o : "Avec moi, l'Inter a fait le plus beau deal de l'histoire !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Interrogé par BeIN Sports, Samuel Eto'o, aujourd'hui président de la Fédération camerounaise de football, a évoqué l'été 2009, celui de son transfert chez les Nerazzurri. "Pep Guardiola m'a donné une opportunité dont je serai toujours reconnaissant, celle d'entrer encore plus loin dans l'histoire du football. Il a permis à l'Inter de faire la meilleure affaire de son histoire, avec Zlatan Ibrahimovic pour 90M€ et Samuel dans le deal, était le plus beau deal de l'histoire du football. Quand je suis arrivé à l'Inter, j'ai dit à papa Massimo Moratti: 'Donnez-moi deux ans et je vous donne la Ligue des champions'. J'arrive dans cette merveilleuse famille, avec Marco Materazzi et Javier Zanetti. Autour de moi, donc, j'avais des tueurs. Quand on est entré dans le stade et qu'on regardait nos yeux, ils se disaient: 'Mieux vaut les laisser gagner et retourner dans ma famille. C'était mieux comme ça.'" "José Mourinho est loin de tout ce qu'on dit de lui. Saviez-vous pourquoi nous l'aimions tant ? Parce qu'il a toujours été honnête avec nous. Je me suis toujours senti protégé par lui, même si j'étais sur le banc pendant un mois. Samuel Eto'o sur le banc, c'est incroyable! Puis un jour je lui ai dit: 'José, Samuel ne va pas sur le banc'. Et il a répondu: 'Maintenant, j'ai mon joueur'. C'est là que tout est parti." Voici l'interview: Traduction alex_j via FCInterNews.- 13 commentaires
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En effet, comme nous le révèle la Gazzetta Dello Sport, un séisme a secoué la sélection camerounaise d’André Onana et de Samuel Eto’o : "André Onana a été exclu du groupe de la Coupe du monde pour des raisons disciplinaires." La raison "L'entraîneur Rigobert Song préfère une approche attentiste du football, et n’aime pas les raids d'André avec le ballon au pied, ce qui représente une caractéristique essentielle de son jeu qui a désormais convaincu Simone Inzaghi." "Son envie de prendre des risques, de sortir avec le ballon pour pousser l'équipe vers l'avant, de forcer le un contre un, contrastait avec la plus grande prudence exigée, par lui en premier lieu, mais également, par l'entraîneur. Song l'aurait aimé plus près des poteaux en présentant moins de passes "dangereuses" et en lançant directement vers les attaquants, André, comme il l'a déjà fait dans le passé, a répété que ce n'est pas la façon dont une équipe nationale moderne se doit progresser sur le terrain" "Tous les signes étaient là, en somme, avec une tension qui avait débuté jeudi, lors de l’analyse après match suite à la défaite face à la Suisse. Ce jour-là pourtant, le joueur interiste avait effectué deux super interventions, mais n'avait rien pu faire sur le tir d'Embolo, un tir impalpable, voire même moqueur vu que sur la carte d'identité de l'attaquant suisse, son lieu de naissance est indiqué comme étant Yaoundé, la capitale du Cameroun." "La discussion la plus vive, qui n'a jamais débouché sur un affrontement physique, a eu lieu samedi : A ce moment-là, le désaccord est devenu irrémédiable et Song a voulu affirmer son autorité aux yeux du groupe en décidant d’avoir la main lourde sur l'un des joueurs les plus symboliques de l'équipe nationale et parmi les plus expérimentés sur le plan international" Samuel Eto’o entre deux feux "Au milieu de ce règlement de compte, on retrouve Samuel Eto’o, qui dispose de la double casquette de Président de la Fédération Camerounaise de Football et de très grand sponsor et ami du portier interiste, mais même sa médiation n’a pas été possible, car il y avait le risque d’ôter toute légitimité à l’entraineur associé au manque de volonté du joueur de continuer à se battre dans un climat loin d’être des plus serein…Et il aurait été peu utile de faire s’asseoir André sur le banc pour le reste de la Coupe du Monde : Tous ont convenu qu’une telle décision aurait fait encore plus de bruits." De retour à la Maison Comme le Révèle Sky Sport "suite à la décision du Sélectionneur National, Onana a décidé de quitter le camps de base du Cameroun et donc la Coupe du Monde : Onana quittera le Qatar demain ou mercredi." L'Intox de Rigobert Song en après-match de Cameroun-Serbie "Il est évident que la position du gardien est importante et qu'André Onana est un joueur important, mais nous sommes dans un tournoi difficile et je sais ce que je dois faire, c'est-à-dire veiller à ce que l'équipe passe avant les individus: Le respect et la discipline sont nécessaires. Pour l'instant, je lui ai demandé d'attendre et de voir s'il compte rester avec nous. Je lui ai demandé de respecter les règles et de, peut-être, réintégrer l'équipe." Selon vous, est-ce qu’André est le coupable idéal ou est-ce qu’au contraire, Onana a eu raison de vouloir secouer le coco au risque que cela se retourne contre lui ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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André Onana s’est livré au cours d’une très longue interview dans le cadre de Sport Week le complément hebdomadaire de la Gazzetta Dello Sport : "J’étais à l’Ajax et, il y a déjà une paire d’années, Piero Ausilio venait de contacter pour la première fois mon agent, il lui avait expliqué comment était clairement la situation, sans tourner au tour du pot, quelque chose que j’aime." "Dès cette première minute, je me sentais déjà Nerazzurro avant que la négociation commence, j’ai commencé à me ressentir comme le gardien de l’Inter, jour après jour. Quand un tel club de cet envergure pense à toi, comment peux-tu dire non ? Tu es flatté et heureux. A présent, je suis ici, dans une ville si magnifique avec une Tifoserie incroyable qui commence à m'aimer." Mais avant d’arriver à l’Inter, que signifiez, pour vous, le Fc Internazionale ? "Ce serait trop facile de dire Samuel Eto’o vu le lien que nous avons, mais ce n’est pas nécessaire d’attendre d’endosser le maillot pour connaitre l’Inter, vu les nombreux champions qui sont passé ici, avec de grands gardiens interistes en passant de Toldo qui était le cauchemar de Franck De Boer à Julio Cesar qui est l’un de mes préférés, quand je repense qu’il a été quasiment le premier à avoir connaissance de mon transfert." Pourquoi quasi ? "Tout était prêt, réglé, mais je ne pouvais en parler à personne. Je déjeunais à Barcelone et un ancien joueur de l'Inter, Houssine Kharja, s'est approché de ma table et m'a couvert d’éloges, il a ensuite appelé un ancien équipier par téléphone et j’entends qu’il lui dit : "Julio, je suis avec Onana, tu sais à quel point il est très fort, qui sait, peut-être qu'un jour il sera comme toi à l'Inter !". Il me passe le téléphone et Julio s’est immédiatement montré très gentil, il me dit de continuer ainsi, je le remercie mais je me mords la langue : je ne pouvais pas lui dire que Kharja, sans le savoir, m'avait pris en flagrant délit...." "À partir de ce moment-là, j'ai souvent parlé avec Julio Cesar, en plaisantant sur cette situation : Il m’avait aussi surmotivé avant la rencontre du Nou Camp, en me disant aussi de rester très calme et de profiter de la soirée. Des mots spéciaux, qui sont restés gravé en moi." Etes-vous surpris par le fait d’avoir été, en si peu de temps, titulaire ? "Non, car je sais qui je suis, je sais ce que je vaux et je continue mon parcours de croissance, entrainement après entrainement, je sais qu’en faisant du bon travail, que mon moment allait arriver rapidement. Avant d’arriver, j’avais conscience que j’allais devoir disputer cette place avec un gardien extraordinaire, qui a écrit l’histoire du club, mais qui est aussi et vraiment très différent de moi." Pourriez-vous nous en dire plus sur cette diversité ? "Si quelqu'un me demande "Samir est-il votre modèle ?", je ne peux que lui répondre... "non". C'est précisément en raison de cette diversité entre nous. Mais j'ajouterais aussi que c'est un très grandissime champion car sinon, il ne serait pas resté ici, à ce niveau, pendant 11 ans : Face à Handanovic, je ne peux que lui tirer mon chapeau. Il appartient à une école italienne différente de la mienne : il est très bon et sûr entre les poteaux, alors que je me sens comme un gardien moderne et "proactif". Je suis celui qui prend des risques, qui sort, accepte le un contre un et qui joue beaucoup avec ses pieds. Ce sont simplement des façons différentes d’occuper le poste de gardien, c’un enseignement différent du traditionnel, auquel on s'habitue." "Au début, nous nous regardions bizarrement à l'entraînement et l'un disait à l'autre : "Ne fais pas ça, tu le fais mal". Et l'autre lui répondait : "Non, c’est toi qui tu le fais mal" (il rit, ndlr). Personnellement, je fais face à des nouveaux types d’entraînements que je ne comprenais même pas au début, mais qui peuvent me permettre surtout d’évoluer." Quels sont vos rapports, maintenant que vous êtes parvenu à lui prendre sa place ? "Nous parlons beaucoup plus qu’auparavant, Samir se comporte comme un vrai Capitaine, c’est un Leader reconnu et on le perçoit dans tellement de petite chose, il ne suffit pas de penser qu’à moi, mais à tous les aspects au quotidien de l’équipe. J’apprécie le fait qu’il me donne des conseils, qu’il me félicite pour une belle parade et qu’il me corrige si je me trompe. Et même, il faut se rappeler d’une chose : L’Inter, en tant qu’Institution, est quelque chose de plus important que moi, que lui, ou que quelqu’un d’autre : Nous avons tous le devoir d’honorer et de défendre ce maillot, nous sommes seulement de passage alors que le Club et le Peuple Interiste restera, ces derniers points sont ceux qui comptent vraiment." Est-ce mieux de débuter d’une façon banale ou de débuter face à une super équipe comme le Bayern, comme cela s’est produit pour vous ? "Tu ne peux pas te prononcer avant, car si le Bayern t’en colle 5, c’est le pire des débuts. En 2017, je me suis incliné avec l’Ajax en finale de l’Europa League face à Manchester United, ce n’était pas parce que nous étions inférieur à eux, mais parce que nous en avions eu peur. Le lendemain du match ma mère m’a appelé et m’a dit : "Je ne veux plus que tu aies peur sur un terrain de football, même si tu dois jouer face au Barça et au Real réunis : Si tu perds, ce ne doit plus être parce que tu as tremblé ou baissé le regard, mais parce que ton adversaire aura été supérieur." C'est devenu une règle de vie. En général, je m'entraîne et je vis pour défier de grandes équipes comme le Bayern et au final , ça s'est plutôt bien passé, même si je ne me réjouirai jamais d'une défaite." Ressentez-vous le fait que vous avez changé l’Inter, de par votre présence entre les cages ? "Je peux vous dire que l’équipe s’est habituée à mon style: A présent, si sur un centre je ne sors pas, Skriniar me lance un regard noirs et Dumfries me hurler Onaaaaa !Je leur réponds que je ne peux pas toujours sortir, pas toujours, mais le fait qu’eux sont sur mes talons comme ça me rend fier, cela veut dire qu’ils se fient à moi, qu’ils m’ont compris, qu’ils veulent que je prenne des risques. De plus, j’aime les rencontres où il y a des combats en défense, rien de plus ne peut m’exalter plus qu’une rencontre comme celle que nous avons tous joué au Nou Camp." "Je regardais de loin l’équipe et c’était un spectacle, elle était compacte, rapprochée, unique, elle bougeait comme un seul homme, patiente, même si mes anciens équipiers en catalogne nous ont accusé d’être sur la défensive. Quand on voit Skriniar s'en prendre à un joueur avec une telle hargne, je me prends dans la gueule sa motivation et je me dis : "Quel guerrier !. J'irais toujours au combats avec lui, tout le temps !" Mais tous nos défenseurs, sont si grands, si costauds, ils me font me sentir protégé. Même si je sais que nous encaissons trop de buts jusqu'à présent...". Pour certains, il se dit que vous exagérez à sortir avec une telle imprudence... "Je me bats pour l'équipe, pas pour ce qui se dit à l'extérieur. Si je peux attraper une balle haute, alors je peux relancer l’équipe vers l’avant rapidement. Plus je sors, plus on peut se relancer : Le gardien est le premier créateur de jeu maintenant." Une grande partie du mérite, à Barcelone sur le 2-3 de Robin Gosens, vous en revient… "Non, c'est toute l’Inter, c’est une équipe de très très haute qualité : Nous devons juste être conscients de notre potentiel et nous pourrions nous montrer des plus dangereux en Ligue des Champions, croyez-moi. Ce jour-là, j’ai relancé rapidement car j'ai vu Lautaro faire un mouvement avec sa main, comme un signal, et le reste de son action de jeu a été phénoménale avec une conclusion parfaite de Robin:Cette équipe de l’Inter est composée d’énormément de joueurs technique." Est-ce que Lukaku vous manque ? "Enormément, mais lorsqu’il reviendra, il donnera, comme toujours, son maximum. Et d’un autre côté, le peuple interiste l’adore, mais il l’adore vraiment : Lorsqu’il a commencé à s’échauffer face au Viktoria Plzen au Giuseppe Meazza, j’ai entendu un “ohhhh” incroyable accompagné d’un tremblement de terre sous mes pieds : Je n’avais jamais connu une telle manifestation d’amour, je n’avais jamais vu une Tifoserie aussi passionnée, mais savez-vous qui est vraiment le plus grand champion de l’Inter ?" Nous vous le laissons dire... "Alex Cordaz : C’est la personne la plus positive que j’ai pu rencontrer, c’est un être humain merveilleux, si tu arrives à Appiano triste suite à ta contre-performance, tu le regardes en face-à-face et il parvient à te changer ton humeur : S’il n’est pas là, ça ne le fait pas, il fait la toute la différence du monde, et ce n’est pas valable que pour moi, mais aussi pour tous mes équipiers. Ce n’est pas un fou mais c’est aussi grâce à Cordaz que Barella va plus vite : Je lui répète quotidiennement : Alex, c’est un Honneur pour moi de m’entrainer à tes côtés." Mais s’il y a autant de qualité dans l’équipe, pourquoi êtes-vous aussi en retard en championnat ? "Nous devons rester serein et dans le même temps admettre que nous avons mal démarré : Les choses peuvent changer vite aussi bien dans la vie que dans le Calcio, et nous savons que cette fois-ci nous disputerons deux championnats. Personne ne peut savoir, à la reprise, si le Napoli sera encore comme celui qu’il était jusqu’à présent. Mais, en attendant, nous sommes parvenus à redresser définitivement la tête hors de l’eau et à montrer que nous sommes tous vraiment fort, nous serons présent comme ça en février et ensuite, qui sait…" Qui vous a, hors du terrain, le plus aidé à vous intégrer ? "Je dirais un peu tout le monde: En plus de Rom, je partage une belle amitié avec Calha et Dumfries, qui est un autre joueur sur le terrain qui me plait car il n’abdique jamais, il se donne, il tente de toujours y aller en allant jusqu’au bout. Nous ne faisons pas énormément partie de la vie mondaine, mais je suis fier du groupe que nous sommes parvenu à nous créer: Il y a vraiment un très beau climat dans cette Inter." Comprenez-vous que les Tifosi aient déjà de l’affection pour vous ? "En plus de mes parades sur le terrain, j’apporte de l’énergie, de la folie, mais toujours positivement." Pour finir : Un message pour votre nouvelle Tifoserie ? "Je pourrais me toiler, mais je travaillerai quotidiennement pour être à la hauteur de l‘Inter pour que vous, les Tifosi, soyez fier de moi!." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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En effet, en juin dernier alors même que l’on parlait du retour de Romelu Lukaku, une nouvelle fresque a vu le jour, une dédiée à André Onana Cette œuvre a été réalisée par Graffiti Milano et elle met en scène le gardien Nerazzurro couronné par une légende Nerazzurra, Samuel Eto'o, accompagné de la légende suivante "Le Roi est déjà à Milan". La fresque représente également l'attaquant des Rossoneri Zlatan Ibrahimovic Voici les différents clichés Awesome! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Interviewé pour l'émission du Match of the Day de l'Inter contre Salernitana, Robin Gosens s'est exprimé ainsi. "Beaucoup de personnes ont joué un rôle important dans ma carrière, du directeur sportif de l'époque de Dordrecht qui a toujours cru en moi à Gasperini qui m'a beaucoup fait grandir. Une légende des nerazzurri que j'aurais aimé avoir comme colocataire ? Jurgen Klinsmann, aussi parce que lorsqu'il jouait pour l'Inter, il était une idole en Allemagne et partager une chambre avec lui aurait été très intéressant. Compagnie? Eto'o ou Milito, deux joueurs impressionnants. Joueur à défier ? Brehme, il a super bien joué son rôle, j'aurais aimé le défier aussi pour apprendre de sa façon de jouer." "L'état d'esprit et la discipline sont pour moi deux caractéristiques essentielles, sans lesquelles je ne serais pas ici. S'amuser sur le terrain de foot c'est aussi fondamental, c'est quelque chose qui a fait la différence, je me suis toujours fait plaisir et cette chose est restée, même si maintenant il y a la pression j'ai toujours gardé mon amour pour le foot." "J'ai fait mes débuts professionnels à Dordrecht, une petite ville des Pays-Bas mais très importante pour moi. À Bergame, j'ai progressé et grandi en tant que personne et en tant que joueur, ce fut une expérience intense. Milan est une ville unique, déjà quand j'étais à Bergame je venais souvent la visiter, elle est belle et moderne et maintenant je suis heureux d'être ici." "Je me souviens qu'enfant, j'allais à l'école jusqu'à deux heures. Ensuite, tous les jours de trois heures jusqu'au soir, je jouais avec mes amis sur le terrain de football. C'était un petit terrain pas très beau où nous avons grandi et nous nous sommes toujours amusés. On y était 5 ou 6 heures par jour et on se disait toujours que la meilleure chose au monde serait que l'un de nous devienne un jour footballeur professionnel. C'est un souvenir qui me passionne toujours. J'aime lire et c'est aussi pour cette raison que j'ai écrit un livre dont le titre est 'Cela vaut la peine de rêver', une phrase importante pour moi. Depuis que j'ai commencé à jouer au football, David Alaba a toujours été mon idole. Je l'ai regardé quand il était au Bayern et il m'a toujours impressionné par sa façon de jouer différents rôles sur le terrain." "Je suis un homme très chanceux, entrer au Camp Nou et marquer un but important pour l'équipe est une émotion unique." "Jouer pour l'équipe nationale est incroyable et avoir disputé ce match (un but et deux passes décisives contre le Portugal, ndlr) dans un moment aussi important était merveilleux." Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInternews.
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Samuel Eto’o en 2010, André Onana en 2022
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Quel est le point commun entre Samuel Eto’o et André Onana ? Tous les deux ont passé une partie de leur carrière au Fc Barcelone avant de rejoindre l’Inter Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Ce sera une soirée spéciale pour le gardien camerounais de l'Inter, qui a grandi dans le secteur jeunesse du club catalan. Et une nuit à couper le souffle, c’est ce qui attend André Onana : Le gardien de but camerounais a pourtant déjà vécu des émotions incroyables dans sa carrière, comme la Finale de l'Europa League et une demi-finale de la Ligue des Champions, mais jouer au Nou Camp sera très spécial pour lui." "Car Onana est arrivé à Barcelone à l'âge de 13 ans et il a dormi dans les chambres du Nou Camp et a grandi à la Masia, il rêvait de faire ses débuts en équipe première, mais les choix d’Andoni Zubizarreta étaient alors différents. Toutefois, il était parvenu à hypnotiser le manager de l'Ajax, Marc Overmars, lors d'un match de Youth League. Et à présent, il est parvenu à "voler" la place de Samir Handanovic et il s'apprête à vivre une nouvelle nuit étoilée dans LE stade qui aurait pu être LE sien." Une nouvelle Clean Sheet serait la bienvenue pour le Corriere Dello Sport "Tout dépendra d'Onana et de la confiance qu'il sera capable de transmettre dans les méandres du stade blaugrana. Si les jambes ne trembleront pas, l'atmosphère va apporter une impression de déluge pour l’Inter. En effet, le gardien de but camerounais a déjà montré les qualités nécessaires pour mettre en place une passation de pouvoir avec Handanovic, mais ce soir, c’est littéralement l'Epreuve du Feu." "Mais si faire face à Robert Lewandowski et sa clique fait augmenter le risque d'un faux, André a déjà prouvé au match aller que son Inter pouvait neutraliser tout danger. Et après son baptême victorieux en Reggio Emilia en Serie A, la soirée qui se présente vaut double pour Onana: Car ce soir, Inzaghi devrait composer sa partition avec une défense experte devant lui, et lui devra sorti le bleu de chauffe, comme ce fut le cas la semaine dernière." "Après tout, il n’est pas nécessaire de se lancer dans une course effrénée pour un point, vu que même un match nul vaudrait de l'or" Selon vous, le Salut de l’Inter peut-il passer à nouveau par les exploits d’un international camerounais aimé par les Tifosi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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La Gazzetta dello Sport nous explique pourquoi un beau jeu ne sert à rien pour le match contre le Barça demain. "Inutile de tenter des transformations improbables de dernière minute, d'envisager la conquête du Camp Nou par le beau jeu et la domination. Demain soir à Barcelone, l'Inter fera bien de disputer un match de résistance, de résilience et de relancer, comme au printemps 2010, lorsque l'entraîneur était José Mourinho et sur le terrain ils s'arrachaient pour se qualifier pour la finale à Madrid. Chaque club a son âme, son style, sa philosophie et l'esprit de l'Inter est plus voué au pragmatisme qu'à l'esthétique." Ainsi s'ouvre l'article de La Gazzetta dello Sport concernant le déplacement au Camp Nou qui attendra l'Inter. Les Nerazzurri retrouveront une ambiance de feu et de colère après le match aller. La Gazzetta continue comme suit. "Pour simplifier: le Barça y mettra la tête et le cœur. Les espaces à combler et resserrer ne manqueront pas et dans son vaste champs, le Camp Nou se prête bien aux contres. Il faudra donc attendre la bonne vague et la surfer jusqu'au bout. Une victoire ouvrirait à coup sûr les portes du second tour; un nul laisserait de grandes possibilités (à condition que l'Inter batte Plzen). Inter soit toi-même, sans avoir honte! Un fil conducteur avec l'épopée de 2010 pourrait être André Onana, camerounais comme Samuel Eto'o, l'un des hommes clés de cette soirée d'Avril 2010." "Eto'o s'est totalement immergé dans et pour la cause, au point de se sacrifier avec conviction dans le rôle d'arrière latéral, compte tenu de l'infériorité numérique causée par l'expulsion de Thiago Motta pour un contact avec Busquets. Onana devra garantir et effectuer des interventions ordinaires et ces deux-trois exploits qui sont inévitables dans des nuits comme celle-ci. S'il réussit, ce sera de nouveau le Camp Cameroun comme en 2010." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Confirmé : Milan Skriniar succombe à la tentation
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C’est une révélation définitive de la Gazzetta Dello Sport: Milan Skriniar a dit oui au Paris-Saint-Germain. Et sauf démenti officiel de sa part dans le courant de la journée, il faudra considérer cette information comme officielle! "Milan Skriniar a dit oui au PSG. Le Slovaque lui-même avait d'abord souligné, entre les lignes, une légère déception pour une opération qui n'émanait pas de son désir. Ces derniers jours ont permis d'atténuer la rigidité de Skriniar : le temps, le besoin absolu de l'Inter de gagner de l'argent et aussi (et surtout) la maxi-offre de Paris l'ont fait revenir à des conseils plus doux. En effet, ils l'ont amené à prononcer les deux lettres manquantes : SI." "Milan a dit un oui définitif et est convaincu par le projet (lucratif) du Psg: Skriniar est donc prêt à dire au revoir à l'Inter, mais il faut d'abord trouver un accord entre le club, ce qui n'est toujours pas le cas." Trahi par un ancien "Un coup de fil avec Achraf Hakimi, l’ailier marocain qui courait comme un TGV lors de la dernière année de Conte, mais qui n’est pas parvenu à réitérer cette performance à Paris sous Pochettino, a permis à Milan de dissiper ses derniers doutes. La détermination du nouveau Directeur Sportif, Luis Campos, et un contrat de base de 7,7 millions nets, soit plus du double de ce qu'il gagne actuellement, ne suffisaient pas à Skriniar : Le défenseur central slovaque voulait aussi avoir connaissance des considérations tactiques précises: Hakimi lui-même a répété que le club veut construire un 11 plus équilibré et que cela passe par une défense renforcée et ce n'est pas un hasard si une maxi-offre pour Milan a été définie." Place aux clubs "En début de semaine, une première augmentation considérable est arrivé de la France: l'offre initiale de 50 millions ayant été portée à 60 millions d'euros, mais une nouvelle démonstration de force qatarie devrait bientôt arriver: Attention également car Giuseppe Marotta et Piero Ausilio restent fermes sur la Montagne à gravir de 80 millions d'euros." "Le point de bascule, similaire à celui connu précisément par Hakimi est réaliste, car l’international marocain est allé à Paris pour un total de 68 millions d'euros, primes comprises, il suffirait d'aller un peu plus haut cette fois-ci" Une vente record Sauf démenti officiel du principal intéressé, Milan a donc succombé à la tentation, peu importe la raison, et n’est pas Alessandro Bastoni ou Javier Zanetti qui veut. Financièrement parlant sa vente représenterait dans l’absolu la seconde vente la plus cher de l’histoire du club. En effet, déjà avec 70 millions d’euros et un contrat, bonus compris à hauteur de 9 millions d’euros, Milan Skriniar ne serait devancé que par un certain Romelu Lukaku au niveau des transferts les plus lucratifs de l’Histoire du club. Skriniar, dans ce classement, devancerait: Zlatan Ibrahimovic, vendu au Fc Barcelone en 2009 pour 69,5 millions d’euros (49.5 millions d’euros et Samuel Eto’o), Achraf Hakimi et ses 66,5 millions d’euros en 2021, Mauro Icardi et ses 50 millions d’euros en 2020, Ronaldo, il Fenomeno, pour 45 millions d’euros au Real Madrid en 2002 Sans prise de position officielle pour démentir de la part du principal intéressé: Amour du maillot ou Amour de l’Argent…. Vous avez la réponse ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 51 commentaires
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Paulo, Lautaro, Romelu…. Vers une Révolution tactique ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Antonio Conte va s’en mordre les doigts : Si les transferts de Paulo Dybala et Romelu Lukaku sont confirmés, l’Inter proposera une puissance de feu qui ne sera pas sans rappeler les formidables paires formées par Samuel Eto’o et Diego Milito, ou encore celle composée de Ronaldo, Christian Vieri et un certain Adriano.... Comme le révèle nos confrères de Blastingnews en Italie, Simone Inzaghi se verrait contraint et forcé d’adapter son 3-5-2 vu la présence des trois bombardiers: "L'Inter a décidé de prendre de l’avance sur le Mercato Estival pour ne pas être prise au dépourvue. Le but étant de renfoncer l’effectif afin de lancer l’assaut vers la Seconde Etoile. Les Nerazzurri ont donc pris de l'avance en commençant à mettre en place d'importantes négociations, mais ces dernières semaines, une suggestion importante prend également forme: Celle du retour sensationnel à Milan de Romelu Lukaku, un an après sa vente record à Chelsea pour 115 millions d'euros." Jamais Inzaghi n’a composé avec un tel effectif Et l’Inter d’Inzaghi pourrait s’en retrouver bouleversé avec un changement de modulo : "Ces dernières heures, les chances de voir Romelu Lukaku revenir à l'Inter la saison prochaine augmentent de façon exponentielle: "Un an après son transfert à Chelsea, Big Rom fait maintenant pression pour retourner à Milan car il n'a pas pris ses marques chez les Blues, souvent relégué sur le banc par l'entraîneur Tuchel." L'opération n'est pas facile et la seule façon de la faire aboutir est celle de passer par le biais d’un prêt avec le joueur déjà prêt à diviser son salaire par deux pour être dans les paramètres du club milanais. Conséquence directe: "Simone Inzaghi, l’entraîneur de l’Inter verrait son échiquier tactique totalement remis en question, au point de devoir abandonner son classique 3-5-2. La raison n’est pas uniquement liée au retour de Lukaku, mais surtout par l’arrivée en attaque également de la Joya Paulo Dybala qui est en fin de contrat à la Juve, et qui rejoindrait gratuitement les Nerazzurri, en retrouvant par la même occasion Giuseppe Marotta qui l’avait amené à Turin de Palerme pour une somme de 40 millions d’euros." "Et même avec le départ attendu d’Alexis Sanchez, l’Inter disposerait de trois attaquant de renom : Lukaku, Dybala et Lautaro Martinez. Simone Inzaghi devrait donc passer au 3-4-2-1 ou 3-4-1-2, selon le cohabitation tactique à lier à côté de Lautaro." La suggestion d’Internazionale.fr L'attaque de Simone Inzaghi pourrait donc être composée de Romelu Lukaku au centre, avec Paulo Dybala et Lautaro Martinez libres d'évoluer sur tout le front de l'attaque, avec Mkhitaryan et Çalhanoğlu comme premières alternatives. Barella et Brozovic confirmés au milieu du terrain, avec Gosens et Dumfries sur les ailes. En défense, tout dépend du "sacrifié", s’il s’agit à n’en pas douter de Stefan de Vrij Voici une suggestion d’équipe Suffisante pour revendiquer le Scudetto selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 23 commentaires
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Présent au Giuseppe Meazza, Paulo Dybala y a retrouvé Javier Zanetti à l’occasion de l’Integration Heroes Match et le moins que l’on puisse dire, c’est que le futur de la Joya se colore tout doucement de Bleu Royal La décla d’Il Capitano Dybala ? "Nous sommes amis, je le connais depuis qu’il a 16 ans, c’est un très grand joueur et une très grandissime personne. Nous n’avons pas encore parlé de son futur, il y a un temps pour tout. Piero Ausilio et Dario Baccin feront leur mieux pour renforcer encore notre équipe qui continuera à être compétitive : Ce sont deux grands professionnels, nous avons un bon groupe de travail, la saison a été positive car les promesses à l’aube de celles-ci étaient tout autres : Nous sommes sorti la tête de haute de la Ligue des Champions, nous avons donné tout ce que nous avions, et nous voulons continuer ce parcours de croissance qui passe par le travail de tous." La Joya au Meazza Un regard plus que malicieux! "Je suis content d’être ici, Eto’o est un Grand, je ne pouvais pas refuser." Zanetti? "J’ai parlé avec tout le monde, mais je voudrais que l’on parle plus de l’évènement que de ce qui m’entoure, cet événement est bien plus important." Totti me veut à la Roma ? "C’est un Grand aussi, une idole pour tout ceux qui aime le Calcio, ses paroles d’affections sont très belles et je les garde pour moi. Je suis serein, je pars demain pour retrouver mon équipe nationale, nous avons un beau match à disputer face à l’Italie et nous voulons continuer à gagner." L’Italie ou l’Etranger ? "Demain, je pars pour l’Espagne, pour retrouver mes équipiers et pour y passer de belles vacances en familles." Paris ? "Je ne sais pas, je ne sais pas encore quoi faire, je choisirai le meilleur pour moi." Les Tifosi s’y mettent Présent aussi au Meazza, certains Tifosi ont décidé de passer un petit message à la Joya: "Paulo, nous t'attendons, Amala " Enfin selon le Corriere Della Sera l’offre présentée et acceptée serait la suivante : "Un quadriennal de 6 millions d’euros plus bonus. L’officialisation aura lieu après la rupture des contrat d’Arturo Vidal et d’Alexis Sanchez, le premier ira à Flamengo, le second espère un club espagnol... Les deux chiliens recevront une prime de départ de 4 millions d’euros chacun !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Les Hall Of Famers honorés avant Inter-Salernitana
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, après l’intronisation de Samuel Eto’o, tous les titres honorifique du Hall of Fame de l'Inter pour l’Edition 2021 ont été décernés. Les quatre nouvelles légendes, élues par les Tifosi à travers un système de votes en novembre dernier, seront honorés quelques minutes avant le coup d’envoi du match opposant l’Inter à la Salernitana. Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi, Wesley Sneijder et Samuel Eto'o recevront le trophée du Hall of Fame sur la pelouse du Stade Giuseppe Meazza, sous l’ovation des Tifosi qui ne les ont pas oubliés. Cette soirée verra également un Prix spécial assigné par les Tifosi à Giuseppe Prisco, le Légendaire avocat et Dirigeant du Club élu parmi une liste de présélectionné comprenant entre autre, la Policlinico di Milano, en lice pour ses efforts dans la lutte contre le Covid-19, Claudio Bertazzi, président de l'Inter Club Desenzano del Garda, et Enzo Bernasconi, membre de l'Inter Club Tri Basei Voici l’Album d’Or du Hall Of Fame Edition 2018: Walter Zenga; Javier Zanetti; Lothar Matthäus; Ronaldo. Edition 2019: Francesco Toldo; Giacinto Facchetti; Dejan Stankovic; Giuseppe Meazza. Edition 2020: Julio Cesar; Giuseppe Bergomi; Esteban Cambiasso; Diego Milito. Edition 2021: Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi, Wesley Sneijder, Samuel Eto'o. ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Samuel Eto’o, légende de l’Inter du Triplé s’est livré sur les cinq clés qui débloqueront, quoiqu’il arrive, la double confrontation face à Liverpool: Son interview au Mirror VIDAL-HENDERSON "Dans un soir comme celui-ci, l’expérience compte énormément, aucun des deux n’est le plus jeune ou le plus rapide, mais ils ont tous les deux disputé énormément de parties importantes ces dernières années: Il y aura des moments, lors du match, ou chaque équipe aura besoin de sérénité." DZEKO-VAN DIJK "Même à son âge, Edin reste un des plus grands buteurs d'Italie, il est très fort de la tête et si l’Inter parvient à le servir dans des bonnes conditions, il sera dangereux. Les qualités de Van Dijk sont évidentes, c’est l’un des meilleurs défenseurs du tournoi." CALHANOGLU-THIAGO "Hakan a été une acquisition importante pour l’Inter, il déborde de créativité et d’imagination. Thiago aura un rôle important pour devoir le canaliser. Çalhanoğlu a tant d’impact pour l’Inter, il sera important pour Liverpool de parvenir à le museler." SKRINIAR-MANÉ "Skriniar est l’un des défenseurs parmi les plus expérimentés d’Italie, et il aura besoin de faire usage de toute son expérience pour faire face aux qualités offensives de Liverpool. Mané sera très confiant suite à la Coupe d’Afrique des Nations, il aura faim de titres." LAUTARO-MATIP "Martinez est très brave, il a énormément de qualité et il peut faire la différence pour l’Inter. S’il parvient à les démontrer lors de ces deux matchs, ce sera difficile pour les défenseurs, même pour quelqu’un aussi expérimenté que Matip." Selon vous, quel secteur fera, déjà, la différence ce soir ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Joaquin Correa s’est livré au cours de l’émission "Careers" diffusée par Dazn. Tucu est donc revenu sur les étapes importantes de sa carrière Enfant, étais-tu le plus doué pour jouer au football ? "Je ne sais pas, nous étions tellement, je figurais sans aucun doute parmi ceux qui l’aimait. J’ai toujours joué comme Trequartista, c’est là que j’ai commencé, ensuite je suis allé un peu partout, mais c’est toujours resté mon poste." Tucu "C’est comme ça que l’on me surnomme depuis tout petit, tout est parti de là, de mon passage à Buenos Aires, j’ai été surnommé de la sorte." Juan Sebastian Veron "Ma seconde rencontre était si belle car c’était le dernier jour de Juan à l'Estudiantes. C’était une belle fête et tout le monde l’attendait à la sortie du terrain. C’était plus qu’un grand joueur, il m’a tellement aidé et pas uniquement pour le football. Il a tant enseigné aux garçons, il a été très important pour moi. Lorsque je suis venu à l’Inter, il m’a félicité en disant que j’avais bien choisi, que c’était la bonne équipe pour moi. Je le remercie encore pour tout ce qu’il a fait." La Sampdoria "C’était si beau, j’y ai tant appris. J’ai aussi connu quelques blessures et changé physiquement suite aux entrainements, mais cela m’a apporté tellement de belles choses. J’ai eu comme équipier Eto’o, et tant d’autres joueurs qui m’ont aidé sur et hors du terrain. Je ne savais pas si j’étais prêt mais je voulais venir en Europe à tout prix, et piano piano, j’ai commencé à m’améliorer, c’était une étape importante." Samuel Eto’o "Un joueur de folie qui était arrivée en fin de carrière mais qui m’a tant conseillé, c’était un très grand joueur." Le but raté face à l’Inter "J’étais déjà interiste (il sourit). C’était une mauvaise journée, j’étais seul à Rome et j’étais très mal. Ce sont les choses qui te font grandir, qui peuvent arriver à tout le monde : J’ai continué à travailler." Séville "Faire face au Real Madrid était si beau, nous pratiquions un très beau football et nous avions disputé la Liga jusqu’au bout du bout, c’était si beau. Nous étions tant d’argentins et j’ai beaucoup appris. Je jouais plus sur les ailes, mais je m’y sentais bien, c’était un autre football, plus tactique, plus complexe en tout: J’ai beaucoup appris et j’ai compris énormément comment fonctionnait le football européen." Instinct et préparation "Il y a tellement de préparation, mais je dois mettre en pratique tout ce qui m’a été appris depuis mon enfance, le joueur se fait et commence à jouer par cette voie, c’est cela qui dicte qui tu es." Simone Inzaghi "Lorsque nous avons remporté la Super Coupe en Arabie avec la Lazio, ce fut un merveilleux moment, nous avions déjà remporté la Coupe d’Italie et nous nous battions pour le Scudetto, ensuite nous avons été bloqué par le Lockdown, mais ce sont de merveilleux souvenirs. Tu te donnes tellement pour jouer des finales et battre la Juve avec une telle personnalité était si beau." "Inzaghi me laisse exprimer mon football, il se soucie beaucoup de la défense et il veut que nous, les attaquants, soyons tout le temps sur le ballon : il me demande toujours de viser, j'aime ça car il me laisse être moi-même." La vie à Rome "C’était beau, j’y étais très bien traité, j’y ai vécu trois très belles années que je conserverais toujours dans mon cœur, on m’a toujours fait m’y ressentir comme si j’étais à la maison." La Copa America "C’était grandissime, cela faisant tellement longtemps que l’Argentine ne gagnait plus et l’emporter au Brésil était merveilleux. Nous étions un groupe fort qui se battait pour remporter quelque chose que le pays voulait à tout prix, c’est pour nous, l’une de nos plus grande joie, c’était si important pour nous." Lautaro Martinez "C’est si beau de jouera avec lui, nous avons un excellent rapport, c'est important de s'entendre. Cela nous aide beaucoup de jouer ensemble à l'Inter et en équipe nationale, nous voulons tous les deux gagner." Qui prépare le maté ? "C'est moi qui l'amène toujours : il peut râler, mais c’est la vérité." Le test avec l'Inter "J'étais un enfant qui rêvait de venir à l'Inter mais cela ne s'est pas fait : Puis avec le travail j'ai su me retrouver ici et à présent, je suis un homme expérimenté. La photo avec Zanetti me permet de garder les pieds sur terre parce que j’en rêvais, et maintenant que je suis ici, je l'apprécie davantage." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Thomas N'Kono, Fabrice Olinga et Toni Conceicao se sont livrés sur l’arrivée d’André Onana. Pour tous, choisir l’Inter a été le meilleur choix possible L’interview de Thomas N’Kono à la Gazzetta Dello Sport "Onana a fait les choses correctement, après l’Ajax, le processus de croissance se poursuit dans un championnat bien plus compétitif et exigeant. Il devra s’adapter et s’habituer à jouer d’une façon différente, mais le chemin emprunté est le bon. Je pense qu’il a les qualités et l’expérience suffisante pour s’imposer. Il ne faut pas oublier qu’il a joué plusieurs saisons en Ligue des Champions, en parvenant à y atteindre les demi-finales. Ce genre de chose te permet de faire face et de supporter la pression que demande un certain niveau d’exigence. Pour moi, il a bien choisi et il fera de belles choses." Il avait plusieurs offres, dans plusieurs pays, mais il a opté pour l’Inter et l’Italie… "Je ne sais pas quel projet l’Inter lui a offert, mais je me rappelle que lorsqu'il m'a demandé mon avis lorsqu'il a quitté le Barça pour aller à l'Ajax, je l'ai poussé à aller dans cette direction parce que je pensais que Jasper Cillessen partirait dans quelques années, et c'est ce qui s'est passé. Maintenant, je pense que la même chose va se reproduire." En Serie A, nous n’avons pas une grande tradition de gardiens de but africain... "Oui, mais le Calcio a changé et on joue par l’arrière et beaucoup d'équipes, l'Inter en premier, veulent construire à partir de la défense. Onana est très bon dans ce secteur. A titre personnel, mais également au niveau national, c'est un honneur d'avoir un camerounais dans l'un des grands clubs européens, je suis fier qu'ils l'aient choisi, il arrive dans un grand championnat où il va continuer à grandir." Qu’aimez-vous le plus chez André ? "Sa perception, sa lecture et sa connaissance du jeu. Il n’a rien à envier à personne avec son jeu au pied, c’est un autre aspect sur lequel Handanovic s’est d’ailleurs énormément amélioré avec les années." Où doit-il s’améliorer ? "Je sais comment travaille les préparateurs en Italie et il va améliorer nettement son jeu entre les poteaux et ses interventions aériennes, il dispose encore d’une importante marge de croissance : Chez vous, il deviendra un gardien encore plus complet." Pourquoi y-a-t ’il si peu de gardiens africain en Europe ? "Car ils doivent encore s’améliorer au niveau de l’aspect tactique du jeu. Il faut avoir des caractéristiques innées comme l’explosivité, la rapidité, la force: Il leur manque toujours quelque chose dans le positionnement. S’ils s’améliorent, ils peuvent devenir d’excellents gardiens, comme c’est le cas avec Edouard Mendy à Chelsea, qui l’a démontré." "En ce qui concerne André, c’est évident qu’il a une longueur d'avance car il est en Europe depuis longtemps, il sait comment travailler ici, il n'a pas besoin de s'adapter à quelque chose de nouveau : Il a acquis beaucoup d'expérience au fil des ans. Il a de nombreux arguments pour triompher à l'Inter et en Serie A". Fabrice Olinga à Tmw A quel point, Samuel Eto’o, qui est aujourd’hui le Président de la Fédération de Football Camerounaise, est-il important ? "Eto'o est un point de référence pour tous les joueurs, surtout pour ceux nés au Cameroun et en Afrique plus généralement. J’ai une relation assez spéciale avec lui, il m’a tant appris et je ne cesserais jamais de le remercier." Le gardien des Lions indomptable, votre ami, André Onana, s’est promis à l’Inter, pour la saison 2022-2023...... "Onana est l’un des meilleurs gardien du monde et je suis convaincu qu’il le démontrera aussi à l’Inter. Je suis très heureux que son nouveau défi se trouve en Italie, je sais quelles ont été les difficultés qu’il a dû affronter, au cours de ces neufs derniers mois, où il n'a pas pu monter sur le terrain. Mais la seule chose qui compte maintenant, c’est le présent : L’Inter est vraiment une étape importante pour André : Il est fort et il mérite d’endosser les gants d’une équipe aussi réputée." Toni Conceicao, le Sélectionneur national du Cameroun "Il m’a dit qu’il était très heureux, je lui souhaite tout le meilleur possible et j’espère qu’il parviendra à s’imposer à l’Inter : Il a toutes les capacités pour réussir dans le Calcio : Il est fier et se sent bien. J’espère qu’il parviendra à s’imposer aussi bien dans l’équipe car c’est aussi fondamental que l’aspect individuel : De cette façon, j’aurais un joueur qui aura une très grande confiance en ses moyens lorsqu’il reviendra en équipe nationale." "Je savais qu’il signerait d’un jour à l’autre à l’Inter, la vérité est qu’à présent il a signé et il n’y a rien de plus ajouter. Il est heureux et il continuer à suivre son parcours de croissance professionnelle." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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André Onana, Samir Handanovic : Deux prétendants pour un seul poste
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
L’Inter du ‘futur’ se dessine et avec l’arrivée d’André Onana, l’équipe renforce un secteur prioritaire : En effet, Samir Handanovic n’est pas éternel et le poids de l’âge se fait tout doucement ressentir Analyse de l'article paru dans la Gazzetta Dello Sport Après Samuel Eto’o, un nouveau joueur camerounais va revêtir le maillot de l’Inter, il s’agit d’André Onana, lui qui s’est soumis, hier, à la traditionnelle visite médicale à Milan, lui qui défendra la saison prochaine, la cage Nerazzurra. Il s’agit d’une opération à paramètre zéro et le joueur paraphera un contrat valide jusqu’au 30 juin 2027. L’Inter a donc enrôlé le gardien du futur : 25 ans, international camerounais, et un physique explosif. Lui et les Tifosi Nerazzurri ont un mythe en commun : Samuel Eto'o. Il prendra également la relève d’un poste occupé par Giuliano Sarti, Ivano Bordon, Walter Zenga, Gianluca Pagliuca, Francesco Toldo, Julio Cesar et, enfin, le bon Handa. Onana André Onana est un numéro un d’origine africaine qui a fait ses classes à Barcelone, et s’il ne quittera l’Ajax gratuitement qu’au mois de juin, il a déjà fait connaissance, hier, avec sa nouvelle ville. En tout premier lieu, l’équipe hollandaise a été avisée officiellement par l’Inter, hier, à travers un courriel qui n’a surpris personne, il s’agissait d’une communication nécessaire d’un fait connu de tous, d’une obligation d’informer le club propriétaire d'une négociation d’un joueur en fin de contrat comme le stipule le règlement de la FIFA, afin de procéder à un recrutement au mois de juillet. Dans le même laps de temps, Onana atterrissait à Linate via un vol privé en compagnie de son agent Albert Botines, l'homme qui a été contact continu, lors de cette dernière année, avec Piero Ausilio. Il a été pris en charge par une voiture officielle du club pour la visite habituelle des installations sanitaires de Milan. La première partie des examens ont eu lieu à l’Istituto Humanitas di Rozzano, avant de rejoindre le Coni pour obtenir le certificat d’aptitude sportif (l’idoneità) et pour rencontrer par la suite la Direction Interiste et échanger également avec Simone Inzaghi. La prochaine étape aura lieu le 1er février, ce jour-là, et conformément aux règles établies par la FIFA, le contrat sera signé et déposé, il ne s’agit plus que d’une simple formalité vu les tests réalisé hier. Onana percevra 3 millions d’euros jusqu’au 30 juin 2027, mais plus que l’aspect financier, ll y a eu une confiance constante qui l’a convaincu : L’Inter a été l’équipe qui s’est montrée la plus insistante pour le recruter, en s’activant il y a déjà un an, s’n est suivi l’intérêt de plusieurs clubs de Premier League en commençant par Arsenal. "L’option d’un retour à Barcelone club qui l’a quitté en 2015 pour partir à Amsterdam, n’a jamais été pris en considération malgré quelques déclarations ringardes lâchées tactiquement ces derniers mois." Handanovic Pour sa première année, l’Onana Nerazzurro pourrait être accompagné de l’éternel Handanovic dont le contrat arrive à échéance le 30 juin 2022. Le Capitaine se verra proposer une prolongation d’une année qu’il va soigneusement évaluer et ce même si son agent Fali Ramadani commence déjà à le proposer aux quatre vents : Le Slovène ne semble pas se voir ailleurs et semble métaboliser son nouveau rôle de "tuteur"pour son futur et jeune concurrent. "Toutefois, son nombre de titularisation dans la saison diminuera drastiquement et cela pourrait être bizarre pour lui, qui était un cannibale habitué à laisser des miettes au reste de la compagnie." Mais l’Inter, avec un gardien âgé de 37 ans était quasiment dans l’obligation de se lancer dans une phase de transition : La contribution de Samir pourrait donc s’avérer décisive pour la destinée des Nerazzurri : Avec deux portiers qui peuvent revendiquet le poste de titulaire, il pourrait "adoucir" l’atterrissage du Camerounais à Milan. "Le tout sera respecté suivant un schéma établi par l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta qui a expérimenté cette situation en 2017-2018, lorsqu’il était encore à la Juventus, avec l’arrivée de Wojciech Szczesny qui était à la cour de Buffon, une situation utile qui aura ouvert la voie au joueur polonais après une année à avoir coexisté avec Gigi." Pensez-vous que les performances de Samir pourraient être impactées à la suite de la confirmation de l’arrivée d’André à l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Qui sera le quatrième attaquant à entrer dans l'Inter Hall of Fame? Il y en a 31 parmi lesquels choisir et ils ont chacun de bonnes raisons d'être pris en considération. Nous parlons bien sûr des attaquants en lice pour entrer au Hall of Fame, avec la phase de vote en cours. Ils aspirent à rejoindre le trio de Ronaldo, Giuseppe Meazza et Diego Milito, qui seront toujours des légendes de l'Inter. Les candidats couvrent toutes les époques de l'histoire du club et ont tous laissé une marque indélébile sur l'Inter. Samuel Eto'o pourrait-il suivre Milito? Alors que l'attaquant camerounais n'a joué pour le club que pendant deux saisons, il a inscrit 53 buts en 102 apparitions et a joué un rôle clé dans les matchs cruciaux de la Ligue des champions contre Chelsea et Barcelone en 2010. Cependant, il y a beaucoup plus à choisir! Nous remontons dans le temps pour nous souvenir de certains des joueurs qui ont fait de la ligne d'attaquant de l'Inter l'une des meilleures d'Europe. Cela inclut Adriano l'empereur, qui n'était pas seulement un joueur de classe mondiale, mais était également adoré par les fans qui l'ont toujours soutenu. Ensuite, il y a Christian Vieri, le neuvième meilleur buteur de l'histoire du club avec 123 réalisations à son actif. Son complice depuis de nombreuses années, Alvaro Recoba, qui invoquait régulièrement la magie avec son pied gauche, figure également sur la liste. L'Argentine a deux représentants des équipes de l'Inter qui ont remporté le Scudetto et la Coppa Italia dans les années 2000: Julio Cruz et Hernan Crespo. Alors que Ronaldo était le roi à la fin des années 1990, c'est son partenaire de frappe Ivan Zamorano qui a remporté le premier match de la finale de la Coupe UEFA 100 % italienne à Paris en 1998, contre la Lazio. Marco Branca et Maurizio Ganz ont mené la ligne pour les Nerazzurri avant le duo Sud Américain, avec Ruben Sosa et Dennis Bergkamp lors du succès de la Coupe UEFA en 1994. Plus tard, Jurgen Klinsmann a rejoint l'Inter en tant que champion en titre et a renvoyé le club vers sa première Coupe UEFA en 1991. Il y a certainement une place sur la liste pour Aldo Serena, qui faisait partie de l'équipe du record en 1988-1989. Alessandro Altobelli, le deuxième meilleur buteur du club derrière Meazza, est également en lice, avec sa série de buts entre 1977 et 1988 aidant les Nerazzurri à remporter le Scudetto une fois et la Coppa Italia deux fois. L'attaquant restera dans les mémoires pour son but lors du succès de l'Italie à la Coupe du monde 1982, mais ses 209 buts pour l'Inter lui vaudront-ils une place au HoF ? En remontant plus loin dans le temps, Roberto Boninsegna, Jair da Costa, Istvan Nyers et Benito Lorenzi avaient tous des attributs différents, mais leur sens du but a aidé à définir différentes périodes de l'histoire du club. Aux côtés de Pietro Anastasi, Carlo Muraro, Angelo Domenghini, ces quatre-là ont une chance de gagner une place au HoF. Les 143 buts de Lorenzi avec l'Inter le placent au sixième rang du classement des buteurs de tous les temps, avec Nyers juste derrière lui en septième position après avoir inscrit 133 buts en 182 apparitions pour le club. Le jeu maraudeur de Jair a aidé l'Inter à remporter la Coupe d'Europe pour la deuxième fois, le Brésilien remportant le vainqueur lors de la finale de 1965. Les 173 buts de Boninsegna pour les Nerazzurri entre 1969 et 1976 signifient qu'il occupe le troisième rang des buteurs. Gino Armano, Mauro Bicicli, Renato Cappellini, Leopoldo Conti, Pietro Ferraris II, Umberto Guarnieri et Umberto Visentin III sont quelques-uns des noms qui remontent à plusieurs générations aux débuts du club, mais trois en particulier méritent d'être mentionnés. Luigi Cevenini III était un buteur implacable qui a réussi 158 buts en 190 apparitions, se classant cinquième au classement des buteurs. Ermanno Aebi le rejoint dans le top 10 avec 106 buts en seulement 142 matchs. Enfin, les lunettes d'Annibale Frossi sont entrées dans l'histoire, tout comme ses buts qui ont aidé l'Italie à remporter le succès olympique en 1936. L'attaquant est devenu un entraîneur à succès et un journaliste estimé. Traduction alex_j via le site officiel.
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Le transfert d’Achraf Hakimi au Paris-Saint-Germain pourrait représenter le transfert le plus important du club. L’ailier marocain, qui est arrivé à l’Inter l’été dernier pour 40 millions d’euros plus 5 millions de bonus (mais avec un seul à reverser) a été vendu par l’Inter, après une une seule saison, pour une somme de 60 millions d’euros plus 8 millions de bonus facilement atteignable et 3 millions d’euros de bonus supplémentaire plus difficile à obtenir. Si tout va pour le mieux, la vente d’Hakimi sera la vente la plus lucrative de l’Histoire de l’Inter devant celle de Zlatan Ibrahimovic (69.5 millions d’euros versés par Barcelone à l’été 2009, avec Samuel Eto’o compris), Mauro Icardi (58 millions d’euros toujours versé par Paris) et Ronaldo (45 millions d’euros versés par le Real Madrid). Vu les conditions, s'agit-il d'une Masterclass ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Andrei Radu a salué notre légende Walter Zenga et a admis qu'il aimerait avoir le jeu de pieds de Ronaldo, le vrai. Le Roumain a été invité à choisir son Inter XI de tous les temps dans un long métrage pour Inter TV. "Pour le gardien, c'est un choix difficile, je devrais choisir entre Zenga et Julio Cesar. Je dirai que Zenga pour son record d'apparitions de tous les temps, il était consistent et constant." "Maicon est à l'arrière droit, Cristian Chivu et Marco Materazzi sont au centre et j'aurai Javier Zanetti à gauche. Je les choisis parce qu'ensemble, ils ont été la meilleure défense de l'Inter." "Esteban Cambiasso et Dejan Stankovic sont parfaits pour jouer devant la défense, non seulement parce qu'ils ont remporté le Triplete mais aussi parce qu'ils ont su comment faire les deux côtés du terrain avec brio." "Figo peut jouer à droite, Wesley Sneijder est le 10 et Samuel Eto'o ira à gauche; ils auraient été un trio exceptionnel ensemble." "Je choisirai le Brésilien (R9, ndlr) parce qu'il a remporté le Ballon d'Or." "Je choisirais définitivement voler le talent de Ronaldo, sa nonchalance était vraiment unique. Je pourrais jouer avec ses pieds talentueux, de cette façon je peux dribbler autour d'un attaquant quand ils s'approchent de moi."
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En souvenir de la campagne poétique de Wesley Sneijder à l'Inter
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Certains joueurs sont simplement destinés à être aimés, que ce soit au sommet de leur carrière ou plus tard, lorsque les gens se sont rendu compte qu'ils n'appréciaient pas pleinement ce qu'ils regardaient. Bien sûr, les gens voient ces joueurs et les évaluent très bien, personne ne doute de leurs capacités, mais très peu voient tout à fait à quel point ils sont bons et à quel point ils sont importants pour leur équipe, ou une équipe. Il y en a quelques-uns qui, pour une raison quelconque, ne sont pleinement appréciés que lorsqu'il est tard, voire trop tard. Certains joueurs de classe mondiale sont exclus des conversations pour une raison quelconque, mais celui dont nous allons parler était tout simplement le meilleur joueur du monde, seulement dans une mauvaise génération. En 2010, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo venaient de marquer 80 buts entre eux pour le Barça et le Real, et ils volaient haut, ensemble, au sommet de la hiérarchie footballistique, mais ils n'étaient pas les meilleurs joueurs du monde à l'époque, à cette époque. Malgré les buts et l'adulation, aucun d'eux n'a pu mettre le doigt sur la saison de Wesley Sneijder pour l'Inter. Le Néerlandais était le joueur clé d'une équipe de l'Inter qui a dominé le football italien, et a décroché le Triplete sous Jose Mourinho. Il a été le catalyseur du jeu offensif de l'Inter, menant des joueurs comme Samuel Eto'o, le léthal Diego Milito, Goran Pandev et Dejan Stankovic. L'équipe de Mourinho a joué presque exclusivement sur la contre-attaque, que ce soit dans un 4-2-3-1, un 4-3-1-2 ou même un 4-4-1-1 quand ils avaient besoin de jouer plus bas. Dans l'un des trois systèmes, Sneijder a toujours été le point focal du flanc, étant l'homme qui a amené l'Inter au niveau suivant, offensivement parlant comprenons nous. Sa capacité à choisir une passe courte ou longue était la clé, surtout lors de la rupture, essayant de jouer contre Eto'o ou Pandev sur les flancs, et son partenariat avec Milito a si bien fonctionné. Le meneur de jeu était la star de cette équipe, mais reprenons quelques années en arrière et découvrons comment il s'est retrouvé en tant qu'homme clé de Jose Mourinho pour les Nerazzurri . Sneijder a gravi les échelons à l'Ajax, et dès son plus jeune âge il a impressionné les joueurs et les entraîneurs. Il était clair pour tous de voir que ce jeune enfant avait quelque chose de spécial à son sujet, entrant dans la première équipe avec son camarade jeune diplômé Rafael van der Vaart, et jouant aux côtés de Zlatan Ibrahimovic et du futur coéquipier de l'Inter, Maxwell. Comme c'est le cas avec presque tous les jeunes talentueux de l'Ajax, les grands clubs européens finiront par l'appeler, et cela s'est concrétisé lorsque l'Ajax a vendu Sneijder au Real Madrid pour 27 M€, ce qui faisait de lui le deuxième footballeur néerlandais le plus cher de tous les temps. Los Blancos ont beaucoup fait confiance au joueur, et ses débuts à Madrid n'auraient pas pu être mieux. Quatre buts lors de ses trois premiers matches signifiaient que Sneijder devenait un héro du début de saison pour le Real Madrid, rejoignant les Néerlandais Royston Drenthe et Arjen Robben dans le cadre de trois des quatre plus grosses transactions réalisées par Madrid cet été. Mais malgré sa bonne forme et sa volonté de rester, le nouveau patron Manuel Pellegrini l'a transféré car il ne jouerait tout simplement pas de matches parce que Kaka, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo venaient d'être achetés. Sneijder a admis qu'il ne voulait pas partir, mais ce qui s'est passé ensuite était sans aucun doute la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Mourinho avait été déterminé à l'emmener au Meazza tout au long de l'été 2009, et quand Jose veut un joueur à ce point, vous savez qu'il va faire des merveilles avec lui. Sneijder a rejoint l'Inter pour un montant de 15 M€, ce qui, selon les normes d'aujourd'hui, est l'un des hold-ups du siècle, mais à l'époque, c'était un énorme changement. Le milieu de terrain avait un point à prouver. Il a été lâché sans doute par le plus grand club du monde, mais était sur le point de devenir l'homme principal de l'Inter. C'était sa chance de prouver que les sceptiques avaient tort et d'avoir enfin une équipe construite autour de lui et de ses qualités. Mourinho avait passé la première saison en Italie à essayer de rassembler les pièces d'une équipe qui pourrait sérieusement se battre pour la Ligue des champions. Le milieu de terrain de l'Inter était très solide sur le plan défensif, mais il manquait un lien créatif, quelqu'un qui pouvait transformer la défense en attaque avec une passe. Sneijder était ce joueur. Il avait la capacité de changer la "chance" de cette équipe. La flexibilité de l'Inter a été favorisée par un afflux de nouvelles signatures. Le duo du Genoa Diego Milito, l'un des finisseurs les plus cool d'Europe, et Thiago Motta, qui a ajouté de la profondeur au milieu de terrain. À leurs côtés, le Brésilien Lucio, partenaire Walter Samuel, fut sollicité du Bayern Munich pour seulement 8 M€. Un recrutement intelligent, en quelques sortes. À mi-saison, Pandev a rejoint l'Inter en provenance de la Lazio. Mais le plus gros coup était de faire entrer Eto'o dans l'échange qui a vu Ibrahimovic rejoindre Barcelone. Combinez tout cela avec Sneijder étant effectivement le chef d'orchestre de Mourinho, et vous aviez une équipe qui avait tout ce qu'il fallait pour réussir. Dans la première moitié de la campagne de Serie A 2009-2010, l'Inter n'a perdu que deux fois et dans les deux cas, Sneijder n'était pas présent. La première défaite est survenue face à la Sampdoria lorsque Mourinho a opté pour un 4-2-3-1 avec Esteban Cambiasso et Patrick Vieira au milieu de terrain. L'absence de Sneijder s'est fait sentir dans l'équipe et quand il est revenu pour le prochain match contre l'Udinese, il a enroulé une frappe dans le coin inférieur à la 92e minute pour garder l'Inter en tête du classement alors qu'Octobre se pointait. L'influence du Néerlandais sur le côté s'est poursuivie avec deux passes décisives lors de la victoire 5-0 à l'extérieur contre Genoa, mettant en place à la fois Vieira et Mario Balotelli, et contre Catane à domicile, où son coup franc d'environ 30 mètres s'est avéré être décisif. À la suite de ces deux brillantes performances, il a été victime d'une blessure qui lui a fait manquer six matchs de la fin Octobre à Décembre. Sa blessure signifiait qu'il ne pouvait jouer que deux matchs dans ces trois mois, deux matchs nuls 1-1 contre la Roma et l'Atalanta, et il a aggravé sa blessure avec les Pays-Bas, ce qui lui a de nouveau fait manquer plus de matchs avant l'hiver. Pause. Après la pause, l'Inter et Sneijder ont continué dans la même forme dans laquelle ils étaient, invaincus lors des 11 premiers matchs de 2010, même si cinq d'entre eux étaient des matchs nuls (dont trois 0-0, merci la défense). Cependant, alors qu'ils naviguaient en Serie A, Mourinho et son groupe de frères ont tourné leur attention vers un prix plus important, un prix qui avait échappé à l'Inter pendant 45 ans : la Ligue des champions. L'Inter avait été dotée d'un groupe plutôt facile à l'exception des champions en titre, le FC Barcelone, mais lorsqu'ils ont terminé deuxième du groupe F, ils ont tiré au sort contre l'ancien employeur de Mourinho, Chelsea, ce qui promettait d'être une partie équilibrée et incroyable. Le match aller au Meazza a vu les Nerazzurri sortir avec une victoire 2-1, avec Milito et Esteban Cambiasso sur la feuille. Bien que Sneijder n'ait pas inscrit de but ou fait d'assists, il était toujours crucial pour la performance de l'équipe. Ses passes et ses coups de pied arrêtés ont créé le danger, mais c'est au match retour où son influence s'est vraiment fait sentir. Le magnifique ballon traversant du Néerlandais sur Branislav Ivanovic a permis à Eto'o de faire glisser le ballon devant Petr Cech et de permettre d'affronter en quart de finale contre le CSKA Moscou. Ses performances en Ligue des champions ont conduit beaucoup à le placer parmi les premiers du Ballon d'Or aux côtés de Messi et Ronaldo. Les merveilleuses performances de Sneijder en Serie A alors que les Nerazzurri n'ont perdu que 12 points sur 33 dans la dernière ligne droite de la saison. Milito a terminé en tant que joueur de l'année en Serie A et deuxième du classement Capocannoniere avec 22 buts (sept derrière Antonio Di Natale) et cette équipe Bleue et Noire volait haut, très haut. Le CSKA a été expédié avec deux victoires 1-0 qui n'ont peut-être pas été les plus jolies, mais un but vital à l'extérieur de Sneijder les a envoyés en demi-finale pour affronter Barcelone, une revanche du choc de la phase de groupes. Le Barça a pris les devants grâce à Pedro Rodriguez, mais cela a été aussi bon que cela a été pour eux lorsque Sneijder a intensifié et conduit l'Inter à une victoire 3-1. Il a marqué à peine 10 minutes plus tard pour égaliser avant de relancer complètement le jeu et même construisant le troisième but important, non, capital de Milito. Des performances comme celle-ci ont rendu Sneijder spécial. L'Inter avait le dos au mur pendant une grande partie du match, mais il avait toujours la capacité et la présence d'esprit de créer et de marquer. Après ce match, les gens ont commencé à vraiment croire qu'il avait une chance de remporter le Ballon d'Or, d'autant plus qu'il venait d'orchestrer la défaite de deux de ses rivaux à Xavi et Messi. Alors que l'Inter terminait la Coppa Italia et le Scudetto pour leur cinquième titre consécutif, ils ont jeté leur dévolu sur la Ligue des champions. Un doublé de Milito a rendu la Old Big Ears à notre équipe Bleue et Noire pour la première fois en près d'un demi-siècle, mais alors que l'Argentin a été élu homme du match officiel de l'UEFA, c'est Sneijder qui fut vu homme du match par les fans, ce qui en dit long sur la façon dont les fans l'ont évalué. C'est là que ça devient poétique. Mourinho, qui avait été fortement lié au poste du Real Madrid, venait de remporter son deuxième titre en Ligue des champions avec deux clubs différents, au domicile du club qui le courtisait depuis des mois. C'était un envoi approprié et une introduction emphatique à la vie à Madrid, mais c'était une autre sorte de poésie pour Sneijder car ce jeu symbolisait le chemin parcouru depuis son départ du Real Madrid. Il avait été contraint de quitter le club pour faire de la place à Kaka et envoyé à l'Inter où il avait été autorisé à devenir le joueur de classe mondiale que tout le monde savait qu'il serait. Il était le point focal du chef-d'œuvre de Jose et a montré à quel point il était bon au Santiago Bernabeu, dans l'arrière-cour du Real Madrid. Gagner la Ligue des champions à Madrid signifiait beaucoup pour Sneijder, mais cela lui a également permis de remporter le Ballon d'Or. Nous savons tous que ce que vous gagnez est tout aussi important que votre qualité de jeu, et il n'y avait rien de plus que Sneijder aurait pu faire pour être en pole position. Pourtant, bien qu'il ait guidé les Pays-Bas en finale de la Coupe du monde, en terminant deuxième, il n'a pas remporté le prix, ce prix individuel qu'est le Ballon d'Or. En fait, il n'est même pas arrivé deuxième ou troisième. Il est arrivé quatrième. Même Xavi, qui a terminé troisième, a déclaré qu'il était ridicule que son rival ne soit pas dans les trois premiers. Les performances de Sneijder à la Coupe du monde ont été assez bonnes pour lui gagner ce titre seul: marquant cinq fois, remportant l'Homme du match en quatre matchs et étant nommé deuxième meilleur joueur du tournoi. Qu'aurait-il pu faire de plus? Nous savons tous à quel point il était bon pour l'Inter et pour les Pays-Bas, mais le voir briser le monopole de Messi et Ronaldo aurait été cool à voir. Sneijder restera à jamais dans les mémoires comme l'homme qui aurait dû remporter le Ballon d'Or 2010, mais à ceux qui n'ont pas eu le plaisir de le regarder en direct ou en live, en particulier lors de la saison 2009-2010, allez sur YouTube et retrouvez des "vieux" Inter clips pendant cette saison. Il était magnifique, tout comme toute l'équipe. C'était vraiment dommage que le Néerlandais n'ait pas obtenu la reconnaissance qu'il méritait, mais les fans de football n'oublieront jamais à quel point il était bon à ce moment-là. La saison 2009-2010 était la sienne et il a gouverné l'Italie, l'Europe et le Monde en l'espace de 12 mois. C'était une campagne de classe mondiale d'un joueur de classe mondiale. Cet article est une traduction de "Remembering Wesley Sneijder’s poetic campaign at Inter" écrit par de Tom Scholes et publié sur gentlemanultra.com le 18 Décembre 2017.- 7 commentaires
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Appréciez-vous le Perisic 2.0 ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Titulaire surprise à l’occasion d’Inter-Lazio, Ivan Perisic a discrètement tiré son épingle du jeu en éteignant Lazzari: A tel point que l’international croate a laissé entrevoir une faculté d’adaptation à un poste qui ne semblait pas lui correspondre. Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Disposer de centre de la part du Trequartista était souvent la solution la plus pratique lorsqu'il fallait faire face à une impasse créative. Et cette année, l’Inter y a souvent été confrontée, avec Darmian et Young, tout comme l’année dernière avec D’Ambrosio, Biraghi, soit des ailiers qui avaient du mal à dribbler." "Avec Hakimi et Perisic, Conte dispose à présent d’ailes acérées qui vont jusqu’au bout, soit un trésor: La croissance du rôle de Perisic est sa nouvelle volonté de travailler sans ballon, comme le Eto'o mourinhien , ce qui a enrichi l'Inter." "Le Croate apporte ses talents offensifs sans créer de déséquilibres tactiques et, il ne faut pas l’oublier, il s’agit d’une personnalité qui a disputé la Finale de la dernière Coupe du Monde en tant que titulaire." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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analyse Romelu Lukaku, l’âme d’un Capitaine ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le débat mérite d’être lancé. Comme le révèle la presse transalpine, Antonio Conte avait raison de miser sur Romelu Lukaku, un joueur considéré comme l’un des leaders du vestiaire, si pas LE leader. "L’Inter, plus qu’un leader, a trouvé en Lukaku un potentiel capitaine. Vu comment il se comporte envers un équipier en difficulté, le Totem belge a une nouvelle fois démontré, et depuis le premier jour de son aventure interiste, son engagement. Un engagement qui a été encensé par les tifosi et ses équipiers. Pour Conte, ce n’était pas utile, vu comment il avait insisté pour le recruter : Et il avait raison, étant donné la croissance extraordinaire de Big Rom lors de ces 15 mois." Une épaule sur qui s’appuyer Preuve en est le cas Eriksen, dans l’œil du cyclone, le danois semble se rapprocher d’un départ imminent de l’Inter. Mais pour Big Rom, il est important de lui venir en aide. Interviewé par Kanal 5, voici sa déclaration vis-à-vis du danois "Eriksen a toutes les qualités pour devenir un Fuoriclasse et je veux l’aider. Il y a des joueurs qui ont besoin de plus de temps pour s’adapter au Calcio. J’ai été chanceux de m’y habituer rapidement. Il a encore du travail à faire avec la langue. S’il apprenait l’italien, tout lui serait plus facile. Il pourrait mieux communiquer et contribuer mieux au travail d’équipe." En effet, pour rappel Romelu, qui connait pas moins de six langues avait demandé, dès son premier jour à la Pinetina de lui parler en italien. S’il a pu compter sur l’aide de son frère Jordan, qui était à la Lazio depuis 2016, il a perfectionné, à présent, son italien: A tel point qu’il donne le sentiment d’être déjà en Italie depuis des années." La Machine Lukaku Des records à l’Inter, Lukaku en a déjà fait tomber quelques-uns. Personne comme lui, débutant en Serie A, n’avait inscrit autant de buts lors des dix premières journées. Cette saison, l’Inter a marqué, entre la Serie A et la Ligue des Champions 11 buts depuis le début de saison, Lukaku en a également inscrit 11 à lui seul. Seul l’intouchable Ronaldo lui résiste. Au meilleurs de leurs performances: Milito en avait inscrit 7, Eto’o 5, Vieri 5 et Ibrahimovic 5 La barre des 30 A présent et comme le souligne Sky Sport, Big Rom pourrait de nouveau inscrire son nom dans l'Elite Nerazzurra: Le Diable Rouge a inscrit 28 but en 42 matchs, en cas de doublé lors du prochain match, il passera sous la barre des 30 buts en moins de 50 matchs. Ronaldo, Vieri, Ibra, trois phénomènes... Mais Ronaldo est le seul et l’unique à avoir atteint les 30 buts en 41 matchs…. En cas de doublé face au Torino, Big Rom rejoindra le Roi Vieri à la seconde place. En équipe Nationale, Big Rom est également intouchable et est devenu le Meilleur Buteur de l'histoire de la Belgique, lui qui présente l’éloquente statistique de 57 buts en 89 sélections. Sans oublier le dernier record européen d’atteint Encensé par Martinez Interviewé par TalkSport, Roberto Martinez, le sélectionneur National belge a très bien connu Romelu Lukaku, vu qu’il était son entraîneur à Everton: "Mon rapport avec Romelu a débuté lorsqu’il était encore jeune, il venait d’arriver en prêt à Everton. Nous avons ensuite réalisé un énorme effort financier à tel point qu’il est encore le transfert le plus cher du club actuellement. J’ai pu voir le joueur sous différents angles : Dans les bons moments, mais aussi dans les mauvais. Et j’ai pu constater que Romelu n’avait jamais perdu son exceptionnelle qualité : Marquer des buts." "A présent, on voit une réelle maturité dans son jeu. A Manchester United, il était si désespéré de remporter un titre, il avait pris beaucoup de responsabilité sur ses épaules et il a, à mes yeux, pris beaucoup de coups injustes." "En partant en Italie, il a été plongé dans un nouveau projet et il a pris ses responsabilités, comme ce fut le cas en Angleterre, de façon positive. A présent, c’est un joueur qui est dans le meilleure moment de maturité de sa carrière." Selon vous, vu ses qualités humaines et sportives, Big Rom a-t’il les épaules pour être Le Leader du Vestiaire et, à fortiori, un Capitaine de l’Inter à en devenir ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 13 commentaires
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record Romelu Lukaku explose les stats !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est un fait, depuis son arrivée à l’Inter, Romelu Lukaku est LA révélation de l’Inter, l’Homme qui ne déçoit pas. Si lors de sa première saison, celui-ci faisait preuve de certaines difficultés techniques, tel que le premier contrôle : Travail et Abnégation lui auront permis de corriger le tir. Un joueur épanoui C’est la Statistique marquante de ce début de carrière à l’Inter. Si Lukaku rêvait d’être entraîné par Antonio Conte, une fois réuni, ce duo a directement fait des étincelles: En effet, Il n’aura fallu à Lukaku "que" 56 matchs pour atteindre le palier des 40 buts inscrits. Il est le seul joueur à avoir réaliser une telle performance devant des légendes telles que Ronaldo et Vieri. A titre de comparaison, pourtant habitué au championnat italien, l’ancien capitaine déchu de l’Inter, Mauro Icardi, aura atteint ce pallier en 82 rencontres, soit 26 de plus que le Diable Rouge. Et ce n’est pas tout : Big Rom est loin d’être un diamant brut affiné, il dispose encore d’une belle marge de progression : Antonio Conte l’a défini comme telle et nul doute qu’il lui permettra encore de grandir et de devenir l’un des plus redoutables attaquant du circuit C’est la seconde réflexion de Sport Mediaset, si l’Inter a dominé sa rencontre face au Genoa en proposant une première période caractérisée par 70% de possession de balle, la complicité entre certains joueurs n’est plus à démontrer. Si l’entente avec Lautaro Martinez n’est plus à démontrer, celle avec Nicolò Barella est également à mettre en évidence. Monté au jeu pour remplacer Christian Eriksen, c’est justement le dynamiteur italien qui est l’auteur de la passe décisive du 41 buts inscrit par le numéro 9 belge en 57 rencontres, soit une moyenne de 0,72 buts par rencontre, une statistiques qui le place également devant Vieri, Ronaldo, Icardi, Eto’o, Adriano et Milito. Et dire qu’à présent, Big Rom aura comme fournisseur de centres un certain Achraf Hakimi... Comment considérez-vous l’intégration de Romelu Lukaku en Serie A ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 15 commentaires
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Hakimi se présente : "Je suis Ici pour Conte"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
Ce mercredi 9 septembre était le jour de la présentation à la presse du joueur mercato estival de l’été nerazzurro : Achraf Hakimi. Présenté via une superbe vidéo réalisée plus tôt dans la matinée par Inter Media House, Achraf s’est livré à une interview facebook en compagnie des tifosi, et également à la presse Pourquoi avoir choisi l’Inter ? "Pour la façon dont comment l’entraîneur joue. Son style de jeu est très proche du bien, je pense que ce sera positif pour moi et pour l’équipe. Nous voulons atteindre de très grands objectifs et nous tenterons de remporter le championnat." Que pensez-vous de Conte ? "Il a une grande passion pour le football et il la transmet au stade et aux tifosi. Il vit les matchs et c’est une grande motivation." Serez-vous l’héritier de Maicon ? "Il était impressionnant, j’espère faire mon chemin et être remémoré dans l’Histoire de ce Club." L’expérience en Bundesliga pourrait-elle vous être utile ? "J’ai engrangé de la confiance, de la maturité et de l’expérience. Ce sont des choses utiles pour s’améliorer." Connaissez-vous Milan ? "Non, je n’ai pas encore tout visité. Je suis allé à quelques restaurants et la nourriture y est très bonne et les gens très bons. J’aurai le temps pour la découvrir, je sais déjà que je m’y plairait bien." Le meilleur moment de votre carrière ? "Remporter la Ligue des Champions avec le Real Madrid et être allé au Mondial avec mon équipe nationale." Qui était votre modèle enfant ? "Je l’ai toujours dit : Mon idole est Marcelo. Ses caractéristiques, sa façon d’être, j’ai eu la chance de le connaitre et cela m’a permis de comprendre la personne qu’il est." A quel poste vous trouvez-vous le mieux sur le terrain ? "Je préfère jouer sur les cotés, mais je sais m’adapter à n’importe quel poste où souhaitera me faire jouer l’entraîneur. Je me donnerai à 100% pour aider l’équipe." Y-a-t’il d’autres sports qui vous séduisent ? "Oui, j’aime faire du paddle avec mes amis. J’aime aussi le basket, je suis séduit par ce sport." Quel effet cela vous faisait-il de jouer face à l’Inter au Meazza ? "C’est très beau, à présent je pourrais profiter de l’ambiance et des tifosi sur le terrain." Y-a-t’il un joueur de l’Inter du passé que vous admirez ? "Oui, même s’il n’évolue au même poste. Pour sa vie et son expérience, j’admire énormément Samuel Eto’o." Comment pensez-vous vous insérer dans le 3-5-2 de Conte ? "Je crois que je m’y adapterais assez bien. L’année dernière, le Borussia Dortmund faisait aussi usage de ce dispositif, je pourrais aider l’équipe." Connaissiez-vous déjà quelques joueurs de l’Inter ? "Oui, tous. J’ai suivi de nombreux matchs et je la suivais déjà avant cela, lorsqu’elle a remporté la Champion’s en 2010 au Bernabeu : C’est un club historique, de grands joueurs sont passés par ici." A quoi avez-vous pensé lorsque l’offre de l’Inter est arrivée ? "J’ai pensé que c’était une bonne occasion pour continuer à grandir : Un club historique avec des tifosi qui vivent le football d’une façon particulière. Je ne me suis pas trompé car ici, il y a une très grande ambiance." Quel équipe supportiez-vous enfant ? "J’ai toujours supporté le Real Madrid : J’y ai grandi depuis mes 7 ans et grâce à eux, je suis devenu le joueur que je suis." Aimez-vous la cuisine chinoise ? "Oui, elle me plait énormément : J’en mangerai à nouveau, je veux partir à la recherche des bons restaurants de Milan." Vos objectifs ? "Viser à remporter le Scudetto car cela fait très longtemps qu’il n’est plus remporter. Je peux apporter de la joie aux tifosi et aussi faire mieux que l’année dernière en Ligue des Champions." Quelles sont les différences entre la Bundesliga et la Serie A ? "Pour comme je le perçois, je crois que l’Italie est meilleure tactiquement. Je pense que c’est la plus grande différence." Qui est le plus rapide entre vous et Davies ? "Il est très rapide, mais moi aussi. C’est toujours un très grand plaisir de le voir jouer." Qu’attendez-vous du Derby de Milan ? "L’unique chose que je souhaite est de l’emporter. Je veux en faire aussi profiter les tifosi : Je veux que Milan soit Interiste." Une déclaration aux Tifosi ? "Je suis ici pour donner le meilleur de moi-même. J’espère que nous réaliserons de grandes choses cette année et que nous pourrons célébrer le titre." Son Interview à Sky Sport "Plusieurs équipes me voulaient. Avec ma famille et mon agent, nous avons pensé à ce qui serait la meilleure destination pour que je puisse continuer à grandir. Je crois avoir bien agi en acceptant l’offre de l’Inter. Je suis à disposition de l’entraîneur, c’est un très grand club et je serai bien ici." Dortmund-Inter était une destinée ? "C’était une partie très importante pour nous car nous l’on jouait le passage au tour suivant et nous étions entrain de le perdre. En seconde mi-temps nous nous étions projeté vers l’avant pour chercher à revenir et j’ai au aider l’équipe en inscrivant deux buts. C’est quelque part le destin qui m’a permis d’être ici à présent." Lukaku et Lautaro ? "Qui n’aimerait pas avoir deux attaquants comme eux dans l’équipe ? Pour nous qui sommes des ailiers, nous devons chercher à délivrer des passes décisives à nos attaquants et avoir deux attaquants comme eux est bien plus facile pour parvenir à marquer." Que pensez-vous de l’Inter ? "Elle a disputé la saison dernière une grande saison. J’ai regardé différents matchs et nous avons de grands joueurs. Je pense que cette année, nous pourrons réaliser de grandes choses." L’Inter peut-elle remporter le Scudetto ? "Nous nous battrons pour cela, c’est notre devoir. Nous verrons comment se déroulera la saison : Nous avons l’équipe et le noyau pour savoir l’emporter. Nous allons le disputer." ®Antony Gilles -Internazionale.fr- 5 commentaires
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Dans une interview avec le journal Libero, parue aujourd'hui, l'ancien directeur sportif de l'Inter, Marco Branca, a parlé de différents sujets liés à l'Inter et a commencé par rappeler la victoire de l'Inter en Ligue des Champions lors de la saison 2009/10. "Je m'en souviens parfaitement, il y avait une atmosphère de grande sérénité. Nous avions éliminé Barcelone en demi-finale et venions de gagner la Coppa Italia à Rome contre la Roma et nous avions également remporté le Scudetto. Nous étions prêts à affronter et à surmonter tout imprévu, mentalement nous nous sommes présentés comme des gagnants." L'échange entre Zlatan et Eto'o : "Pour jouer à l'Inter, il faut être heureux à 100% et Zlatan nous a dit qu'il n'avait plus la sérénité nécessaire. C'est un garçon de grand caractère, plein d'esprit, très correct, nous l'avons écouté et avons cherché la solution idéale pour les deux parties. " "Barcelone était une grande attraction pour lui et l'affaire s'est concrétisée très rapidement car nous suivions Eto’o depuis longtemps. Depuis deux ans, nous construisions une relation avec son agent." L'effet Mou sur Eto'o : "C’est grâce à Mourinho que j’ai convaincu Eto’o. Nous avons finalement vendu Ibra pour Eto’o plus 50 M€. Il est dommage que Zlatan se soit mal entendu avec Guardiola à Barcelone et j'en suis désolé." Les spéculations sur Lautaro. "J'ai lu que Lionel Messi l'avait spécifiquement demandé, mais je ne connais pas la situation donc je ne peux pas m'exprimer." Branca a ensuite confirmé que les nerazzurri avaient tenté de faire signer Messi à l'été 2008 : "C'est vrai, nous avons manœuvré discrètement, mais Leo ne voulait pas partir parce qu'il était très reconnaissant envers un club qui l'avait signé alors qu'il était enfant et qui croyait tellement en lui et l'aidait à surmonter ses problèmes de santé." Branca a ensuite révélé que Wesley Sneijder, qui a joué un rôle clé dans le succès de l'Inter, n'avait pas été spécifiquement demandé par Jose Mourinho : "Je savais qu'il était le créateur parfait pour nous compléter. Nous avons finalisé un accord à trois heures du matin le 26 août. Nous l'avons présenté le 28 et il est allé sur le terrain pour le derby le 29. Il a joué un match merveilleux. Était-il sur la liste de souhaits de Mourinho ? Non, parce qu'il ne nous a donné aucune liste, il nous a juste demandé de signer avec Ricardo Carvalho et Deco, avec qui il avait remporté la Coupe UEFA et la Ligue des Champions à Porto. Nous, la direction du club, avons alors décidé pour la signature de Lucio et Sneijder parce que Jose n'avait placé aucun diktat." En conclusion, il a souhaité plein succès au Suning dans leur tentative de ramener l'Inter au sommet : "La chose la plus difficile pour eux est de comprendre comment fonctionne le football italien car ils viennent d'un autre style de vie, mais je leur souhaite, ainsi qu'au club, le meilleur." ®alex_j - internazionale.fr
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Mourinho, larmes et défi, l'histoire de la saison 2009-2010 de l'Inter
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
De toutes les images durables du triomphe de l'Inter en finale de la Ligue des Champions 2010, une se démarque des autres. Voici l'histoire de la fascinante Inter de Mourinho... À l'intérieur du Santiago Bernabeu, une victoire 2-0 sur le Bayern Munich a provoqué des scènes de joie : Diego Milito courant vers les fans les bras tendus. Esteban Cambiasso faisant des tours d'honneur avec le vieux historique de Giacinto Facchetti. Javier Zanetti mettant le trophée en équilibre sur sa tête. À l'extérieur cependant, une histoire différente va se raconter. Les joueurs de l'Inter étant montés dans le bus plus tard dans la soirée, leur manager, José Mourinho, s'est glissé dans sa propre voiture. Et puis il en sauta de nouveau, courant pour embrasser Marco Materazzi. Les deux hommes se sont repliés l'un dans l'autre et ont pleuré. L'Inter venait d'entrer dans l'histoire, devenant la première équipe italienne à remporter un triplé en Serie A, en Coppa Italia et en Ligue des Champions. Et maintenant, nous savions que c'était exactement ça, l'Histoire. Le temps de Mourinho avec le club était terminé, il ne reviendrait pas. Examiner un grand club à travers le prisme d'une saison spécifique peut sembler un exercice arbitraire. Il y a toujours une évolution dans n'importe quelle d'équipe, toujours un report d'une année à l'autre. Pourtant, les vainqueurs du Triplete 2010 se sentent comme une exception, comme un chapitre glorieux dans le livre des records de l'Inter, un chapitre qui a une fin clairement définie, avec Mourinho partant vers le soleil couchant, et des nerazzurri qui ne seront plus couronnés champions nationaux ou européens depuis. Il y a aussi un début évident dans le mercato estival de 2009. L'Inter a recruté une foule de joueurs qui mèneraient au triplé : Milito, Thiago Motta, Samuel Eto’o, Lúcio et Wesley Sneijder. Mourinho est arrivé un an plus tôt, les menant à un titre de Serie A lors de sa première saison, mais c'était une exigence minimale. Le succès national a été facile pour l'Inter suite au scandale du Calciopoli en 2006, qui a vu la Juventus reléguée, et de nouvelles sanctions infligées à Milan, la Fiorentina et la Lazio. Cependant il y avait peu de preuves dans cette première saison de Mourinho qui pouvaient indiquer qu'il mènerait cette équipe au plus haut. L'Inter a terminé derrière le Panathinaikos en phase de groupes de la Ligue des Champions et s'est effondrée en huitième. Il avait demandé au club deux ailiers pour recréer le 4-3-3 qui lui avait si bien servi à Porto et Chelsea, mais Mancini et Ricardo Quaresma, tous les deux, n'ont pas été à la hauteur du montant de leur achat. Quelle part de l'évolution tactique qui a suivi était prévue ? Quelle part est due aux circonstances ? Mourinho était déterminé à faire en sorte que l'Inter presse plus haut sur le terrain, déclarant que son objectif était de monter la ligne défensive de 20 mètres. La signature de Lucio, un défenseur central mobile, était une étape délibérée, mais ailleurs, la politique de transfert de l'Inter semblait être dictée par les opportunités. Les nerazzurri ne souhaitaient pas vendre Zlatan Ibrahimovic, meilleur buteur de la Serie A en 2008-2009, mais Barcelone a fait une offre - 46 millions d'euros plus Samuel Eto’o - qu'ils ne pouvaient pas refuser. Avec Milito en provenance de Gênes, Mourinho avait maintenant deux attaquants prolifiques au lieu d'un, avec de l'argent restant pour un renfort supplémentaire. Sneijder est arrivé le 28 août et est entré directement dans le onze de départ pour aider l'Inter à démolir le Milan 4-0 un jour plus tard. De manière détournée, l'Inter aurait peut-être encore une fois dû remercier Barcelone. Le triplé des catalans en 2009 a incité le Real Madrid à sortir le chéquier et à signer les deux précédents vainqueurs du Ballon d'Or - Cristiano Ronaldo et Kaká - laissant Sneijder et Arjen Robben comme surplus. Des joueurs de classe mondiale étaient arrivés à l'Inter pour une fraction de leur valeur réelle. Ce contexte importait autant que leur talent. Ce sont des joueurs qui sont arrivés avec des écornures sur les épaules, motivés à prouver que leurs anciens employeurs avaient tort. Tactiquement, Mourinho a fait des faux pas. L’Inter a commencé par un 4-3-1-2 centré sur la créativité individuelle de Sneijder. Ce fut un triomphe à la maison et presque un désastre en Europe, où son étroitesse a été exposée à plusieurs reprises. Ils annulèrent leurs trois premiers matchs de groupe de la Ligue des Champions et semblaient la quitter avant cinq minutes d'éclat du néerlandais et une dernière victoire à l'extérieur au Dynamo Kiev. Émotionnellement, Mourinho a compris comment se mettre dans la peau de ses joueurs. Eto’o était tombé en disgrâce à Barcelone en partie parce qu’il n'avait pas suivi l’instruction de Pep Guardiola consistant à céder le centre de l’attaque à Leo Messi. Pourtant, Mourinho a réussi à persuader le Camerounais de faire exactement cela : passer sur l'aile gauche alors que l'Inter s'adaptait à la mi-saison en un 4-2-3-1. Il y avait des douleurs croissantes. Pendant des périodes importantes de sa plus grande saison, l'Inter n'était pas vraiment très bonne. Entre le 16 janvier et le 10 avril, les Nerazzurri ont remporté cinq des 14 matchs de Serie A, la Roma les dépassant pour leur prendre la première place. Pourtant, il y avait un esprit de défi qui a surmonté toutes les lacunes. Mourinho était le bon manager au bon moment pour Sneijder, Eto’o et Goran Pandev, lors d'un mercato d'hiver inspiré, alors libéré de son contrat avec la Lazio. Si ces joueurs arrivaient en se sentant méprisés, alors Mourinho a réaffirmé cette émotion, affirmant que les vainqueurs des quatre derniers titres de Serie A, déjà interistes, luttaient contre les forces nébuleuses des préjugés de l'establishment. Il a dénoncé la « prostitution intellectuelle » dans les médias italiens et mima le geste des menottes aux poignets alors que les commentaires allaient à l'encontre de l'Inter lors d'un match nul contre la Sampdoria. Ses attaques contre les officiels de Serie A étaient si implacables que des rapports ont fait état d'arbitres menaçant de boycotter les matchs de l'Inter. Tout cela était absurde, une distraction transparente, mais ce qui importait, était que ses joueurs acceptent. Sneijder a dit qu'il « tuerait et mourrait » pour Mourinho. Dejan Stankovic a déclaré qu'il « se serait jeté dans le feu » pour lui. Eto’o a parlé de ses actions, remplaçant en tant qu'arrière auxiliaire pendant plus d'une heure après que Thiago Motta ait été expulsé lors du match retour de la demi-finale de la Ligue des champions à Barcelone. L'Inter a eu sa part de chance. L'éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull avait obligé Barcelone à se rendre à Milan en bus pour la première étape de cette manche, où les catalans se sont effondrés pour une défaite disproportionnée 3-1. Pourtant, uniquement se concentrer sur cela serait ignorer ce qui a rendu cette équipe spéciale. L'histoire moderne des nerazzurri a été celle de la sous-performance, de devenir fragile lorsque la pression augmentait. L'Inter était l'équipe qui a perdu le titre de champion lors de la dernière journée de 2002, et qui n'avait jamais menacé de remporter la meilleure compétition de clubs d'Europe pendant les 15 ans de la présidence de Massimo Moratti à ce jour, malgré des dépenses somptueuses pour les transferts. L'Inter de Mourinho a bouleversé les stéréotypes : une équipe qui a livré son meilleur football dans les moments les plus tendus. Même avec un Sneijder expulsé après 26 minutes lors du derby en janvier contre le Milan, alors leurs plus proches rivaux au classement, l'Inter a tout de même gagné 2-0. En avril, juste au moment où les éventements menaçaient de nous sortir de la course au titre, les joueurs se sont retrouvés bloqués à 0-0 après 75 minutes contre une équipe de la Juventus qui s'était cloîtrée dans un bunker défensif composé de Fabio Cannavaro, Giorgio Chiellini et Gigi Buffon. Maicon a pulvérisé ce mur avec l'un des meilleurs buts marqués cette saison. Puis vint le Camp Nou, le carton rouge de Thiago Motta et Sergio Busquets jaillissant entre ses doigts. Combien d'autres équipes auraient pu résister, même avec un avantage de deux buts, pendant 62 minutes face à la meilleure attaque du monde ? Les choses sont devenues un peu tendues vers la fin, mais Julio César n'avait eu à faire qu'un arrêt notable avant que Gerard Piqué ne sorte de l'impasse avec six minutes restantes à jouer. La finale contre le Bayern a été plus simple. Milito a marqué les buts décisifs, tout comme il l'avait fait lors de la finale de la Coppa Italia et de la victoire du Scudetto sur Sienne lors de la dernière journée de la saison de Serie A. Sneijder a fourni sa passe décisive sur le premier match - sa sixième du tournoi, plus que tout autre joueur. Il a ensuite emmené les Pays-Bas en finale de la Coupe du Monde et, d’une manière ou d’une autre, il a terminé quatrième du Ballon d’Or. C'était peut-être un épilogue approprié, une preuve supplémentaire que personne n'a donné à cette équipe et à ces joueurs le respect qu'ils méritaient. Si Mourinho était revenu, il aurait pu l'utiliser pour renforcer cette mentalité nous-contre-le-monde. Au lieu de cela, il n'est même jamais rentrer à Milan pour célébrer. « Je n'avais pas encore signé de contrat avec le Real Madrid » , a-t-il expliqué quelques années plus tard, « mais j'avais déjà décidé. J'avais refusé deux fois auparavant et je ne pouvais pas le faire une troisième fois. Je savais que si je retournais à Milan, je changerait d'avis. » Materazzi n'avait commencé qu'une poignée de matchs cette saison-là, mais il avait un esprit de parenté, un joueur qui a absolument adhéré à l'approche du portugais. Que se sont-ils dit lors de ce moment désarmant et tendre en dehors du Bernabéu, quand ils ont su que l'aventure était finie ? « Je lui ai dit : Tu es une merde » , raconte Materazzi dans une interview à La Repubblica. « Tu pars et tu nous laisses avec [Rafa] Benítez. Je ne te le pardonnerai jamais. » « Je lui ai, finalement, pardonné. » alex_j - internazionale.fr- 11 commentaires
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