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  1. A l’occasion de l’Inter Media Day, André Onana s’est livré à la presse : "Ecoutez, j’ai travaillé toute ma vie pour jouer une Finale de ce niveau et nous irons ce samedi là-bas pour défendre l’Inter : J’y laisserai ma vie" Avez-vous peur ? "Zéro niveau de peur, je peux vous garantir une seule chose et c’est que nous n’aurons pas peur : Cette équipe donnera tout pour remporter cette Finale. Nous allons affronter la meilleur équipe du monde à l’heure actuelle et l’Inter a toute ses chances : Je suis très confiant sur le fait que nous ferons les choses bien pour l’emporter." Ce sera une rencontre entre gardiens vu Ederson : Etes-vous dans le Top 5 des gardiens ? "Je ne regarde pas où je suis situé, je sais ce que je vaux et la chose la plus importante est de l’emporter : Je suis dans la meilleure équipe et elle a le meilleur gardien, mais nous devrons le démontrer samedi, nous serons présent pour défendre l’Inter. Ce sera difficile, mais je suis convaincu que nous serons bien préparé." Qu’est-ce qui a changé pour vous au cours des 12 derniers mois ? Est-ce un rêve ? "Oui et la vie est ainsi, tu vis de très beaux moments et des moins bons et tu dois savoir les affronter. Au début de saison, nous avons été mis en difficulté et à présent nous sommes en Finale de la Ligue des Champions : Je l’ai toujours dit au Vestiaire : Les Finales ne se jouent pas, elles se gagnent : Dans l’Histoire, on se souvient du vainqueur et nous irons à Istanbul pour gagner." Quel est votre apport avec Handanovic ? "Très bons, c’est une Légende du club qui a tellement fait ici et c’est un Honneur pour moi de m’entraîner avec lui." Cordaz, Lukaku, Bastoni, Barella... est-ce la Force du Groupe ? "Oui, et nous saurons souffrir : Ce sera la rencontre la plus difficile de ces cinq derrière années et nous allons très bien nous préparer." Quelle parade a fait Cordaz…. "C’est un grandissime portier. Je suis très content de la façon dont nous préparons cette rencontre avec énormément de calme, de sérénité, de tranquillité, ce sera une rencontre très difficile, mais les Finales ne se jouent pas, elles se gagnent et nous irons à Istanbul pour gagner." "Nous allons démontrer que nous sommes l’Inter et nous allons faire ressortir le meilleur d’entre-nous samedi : Nous irons là-bas pour mourir. Lors de notre premier matchs face au Bayern, j’avais dit à Dumfries que nous allions remporter la Ligue des Champions et il m’avait dit que c’était impossible. J’y ai cru dès les premières secondes et ce sera une contre difficile, mais je me fie à ma valeur et à la valeur de mon équipe : Nous irons à Istanbul sans peur." "J’ai parlé avec Samuel Eto'o, avec Javier Zanetti, avec tout le monde et la chose la plus importante est de l’emporter. C’est très important pour le club. Face à la meilleure équipe du monde , Nous aurons nos opportunités et si nous les concrétisons, nous pourrons rentrer avec la Coupe. Je suis très fier, très calme, nous allons bien jouer, en étant serein car nous n’avons rien à perdre." "Je ne sais pas si nous pourrons l’emporter, mais je peux vous dire que nous allons tout tenter, que nous serons fier de nous, nous donnerons tous avec l’espoir de célébrer cette victoire qui serait la plus grande pour nous tous." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  2. A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Depuis sa création en 1908, l'Inter a remporté de nombreux titres, ce qui en fait l'un des clubs les plus titrés du football italien et européen. Le club a remporté 19 Scudetti, 8 Coupes d'Italie, 7 Supercoupes d'Italie, 3 Champions League, 3 Coupes de l'UEFA et 2 Coupes intercontinentales. Depuis 2020, l'Inter Milan est devenu aussi l'un des premiers clubs de football à émettre des fan token pour ses supporters. Inter fan tokens sont des jetons numériques qui permettent aux fans du club d'interagir avec l'équipe, de participer à des sondages et des votes, de gagner des récompenses exclusives avec des légendes, et même d'influencer certaines décisions du club. Ces nombreux titres ont été remportés grâce à de nombreux joueurs talentueux qui ont porté le maillot nerazzurro. Les joueurs mentionnés dans cet article ont tous contribué à l'histoire et au succès du club, en marquant des buts importants, en défendant avec acharnement ou en étant des leaders incontestables sur le terrain. Ils ont écrit leur nom dans l'histoire de l'Inter et ont marqué les esprits des supporters du club. Giuseppe Meazza, la légende absolue de l'Inter Giuseppe Meazza est considéré comme le plus grand joueur de l'histoire de l'Inter et l'une des plus grandes légendes du football italien. Né en 1910, Meazza a commencé sa carrière à l'Inter à l'âge de 17 ans en 1927, et y a joué pendant plus de 10 ans. Au cours de cette période, Meazza a remporté deux Scudetti en 1930 et 1938, et a inscrit un total de 284 buts en 408 matchs sous le maillot nerazzurro. Il a été le meilleur buteur de l'Inter pendant sept saisons consécutives, de 1930 à 1936, et a remporté deux Ballons d'Or en 1934 et 1935. Au-delà de ses performances exceptionnelles sur le terrain, Meazza était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour son humilité, sa générosité et sa loyauté envers l'Inter. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'une des plus grandes légendes du club et du football italien. Sandro Mazzola, la légende du football italien Sandro Mazzola est le fils de Valentino Mazzola, lui-même une légende du football italien. Sandro a passé toute sa carrière professionnelle à l'Inter, de 1960 à 1977, et a marqué l'histoire du club avec ses performances exceptionnelles. Mazzola a remporté quatre titres de champion d'Italie et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60, ce qui en fait l'un des joueurs les plus titrés de l'histoire du club. Il a également remporté l'Euro 1968 avec l'équipe nationale italienne, où il a marqué deux buts en finale contre la Yougoslavie. Au cours de sa carrière, Mazzola a marqué 116 buts en 417 matchs avec l'Inter. Il était un joueur polyvalent et technique, capable de jouer à différents postes sur le terrain. Mazzola était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour sa modestie, sa gentillesse et son dévouement envers l'Inter. Il est toujours considéré comme l'un des plus grands joueurs de l'histoire du club et reste une figure emblématique pour les supporters de l'Inter. Au-delà de sa carrière de joueur, Mazzola a également travaillé comme entraîneur et a été président de l'Inter Milan de 1996 à 2004. Sa contribution au succès de l'Inter reste inestimable et son nom restera à jamais gravé dans l'histoire du club. Javier Zanetti, l'Argentin qui a tout gagné Javier Zanetti est l'un des joueurs les plus emblématiques de l'histoire de l'Inter. Né en Argentine en 1973, Zanetti a rejoint l'Inter Milan en 1995 en provenance du Club Atlético Banfield. Il a rapidement été considéré comme l'un des meilleurs joueurs du club grâce à son talent, sa ténacité et sa loyauté. Zanetti a joué plus de 600 matchs avec l'Inter au cours de sa carrière de 19 ans au sein du club. Il a remporté cinq titres de champion d'Italie, quatre Coupes d'Italie, une Ligue des champions et une Coupe du monde avec l'Argentine en 1998. Il a également été nommé capitaine de l'Inter en 1999, un rôle qu'il a occupé pendant plus de 15 ans. En 2014, après 19 saisons passées à l'Inter, Zanetti a pris sa retraite de joueur et est devenu vice-président du club. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'un des plus grands symboles du club. Zanetti est également respecté et admiré dans le monde entier pour son leadership, son humilité et sa longévité exceptionnelle dans le monde du football. Ronaldo, le Brésilien qui a marqué l'histoire Ronaldo Luís Nazário de Lima, plus connu sous le nom de Ronaldo, est l'un des joueurs les plus talentueux et charismatiques de l'histoire du football. En 1997, il a été transféré de Barcelone à l'Inter Milan pour un montant record de 28 millions de dollars. Son arrivée à l'Inter a suscité un grand enthousiasme chez les supporters du club, qui attendaient avec impatience de voir ce que ce joueur exceptionnel pouvait apporter. Au cours de sa première saison avec l'Inter, Ronaldo a remporté la Coupe de l'UEFA en marquant le but de la victoire en finale contre la Lazio. Il a également inscrit 25 buts en 32 matchs de Serie A, ce qui en fait le meilleur buteur du championnat cette saison-là. Malheureusement, les blessures ont souvent perturbé la carrière de Ronaldo à l'Inter. Il a subi une blessure au genou en novembre 1999 qui l'a éloigné des terrains pendant plusieurs mois, puis a subi une deuxième blessure en avril 2000, qui l'a empêché de jouer la finale de la Ligue des champions contre le Real Madrid. Malgré ces blessures, Ronaldo a laissé une forte impression à l'Inter Milan. Au total, il a marqué 49 buts en 68 matchs avec le club, et a été l'un des joueurs les plus électrisants et les plus redoutés de sa génération. Sa technique et sa vitesse sur le terrain ont laissé des souvenirs indélébiles aux supporters de l'Inter et aux fans de football du monde entier. Les autres légendes de l'Inter Armando Picchi a remporté deux Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Walter Zenga est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire de l'Inter. Lothar Matthäus a remporté le Scudetto en 1989 avec le club et a été élu meilleur joueur de la Coupe du monde 1990. Giacinto Facchetti a remporté quatre Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Iván Zamorano, quant à lui, a marqué 41 buts en 130 matchs avec l'Inter et a remporté la Coupe UEFA en 1998. Enfin, Dejan Stanković a remporté cinq Scudetti, quatre Coupes d'Italie et la Ligue des champions en 2010 avec l'Inter. Au fil des années, l'Inter a également accueilli de nombreux autres joueurs de talent qui ont contribué au succès du club, tels que Giuseppe Bergomi, Alessandro Altobelli, Nicola Berti, Esteban Cambiasso, Samuel Eto'o, Maicon ou encore Diego Milito. Tous ces joueurs ont permis à l'Inter de s'imposer comme l'un des clubs les plus titrés d'Italie et d'Europe, et ont contribué à sa renommée à travers le monde.
  4. Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. En deux jours, deux joueurs interistes ont tiré leur révérence. Raffaele Caruso de FcInterNews a écrit une lettre ouverte à Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Voici la traduction. Quelques heures plus tard Goran Pandev, puis Andrea Ranocchia ont annoncé jeudi leurs adieux du football sur les réseaux sociaux. Un double "salut" qui a ravi tous les fans de ce sport, en particulier les fans de l'Inter. Parce qu'il n'est pas nécessaire de marquer 500 buts pour rester dans l'histoire d'un club aussi prestigieux que les Nerazzurri. Humilité, professionnalisme et amour du maillot sont les trois valeurs qui vous rendent éternel et vous permettent de gagner le respect et l'admiration de vos fans. Pandev est un produit de la cantera Nerazzurri. Après avoir vécu plusieurs expériences en Italie, dont la plus illustre à la Lazio, il revient à l'Inter dans la saison des saisons, celle du Triplete. Et il a été un grand protagoniste malgré son arrivée cette saison en Janvier. Goran a été immédiatement utilisé par Mourinho, notamment grâce à l'absence de Samuel Eto'o en Coupe d'Afrique des Nations. Et le Macédonien a tout de suite répondu présent : le 6 Janvier, il fait ses débuts en championnat face au Chievo et est immédiatement décisif, il inscrit son premier but sous le maillot de l'Inter, quelques jours plus tard face à Bari ouvrant le chemin du retour de 2-0 à 2-2 et a répliqué le 24 Janvier dans le derby contre Milan avec un coup franc, marquant le deuxième but. Tout le monde n'a pas ce truc. Il faut avoir la classe pour pouvoir le faire, mais surtout l'humilité pour s'intégrer dans un groupe avec autant de champions. Mourinho se classe lui aussi en finale de la Ligue des champions contre le Bayern Munich, il sera l'un des protagonistes de la course finale vers le Triplete. Et comment oublier le but du 2-3 marqué quelques mois plus tard contre les Bavarois, toujours en Ligue des champions, lors du match retour des huitièmes de finale : il le définira lui-même comme le but le plus important de sa carrière. Comment oublier cette exultation. Et ce jour-là, Andrea Ranocchia était également sur le terrain, dans l'un des matchs les plus emblématiques de son histoire de plus de 10 ans avec le maillot Nerazzurri. L'arrêt sur la ligne de but, avec un poteau. Ses débuts à l'Inter rappellent beaucoup ceux de Pandev. Arrivé à l'Inter lors de la saison en cours à l'hiver 2010-2011, il s'est d'emblée imposé parmi les titulaires aux yeux de l'entraîneur Leonardo , remportant alors son premier titre en fin de saison, la Coppa Italia, remportée contre Palerme. Confirmé plus tard par les entraîneurs suivants, dans la première moitié des années 2010, Ranocchia fait partie des rares jalons de l'équipe interiste : lors de la pré-saison 2014-2015, l'investiture en tant qu'héritier de Zanetti en tant que nouveau capitaine de l'Inter, semble être le prélude à une belle histoire. De manière inattendue, cependant, sa carrière prend une tournure inverse : Andrea ne parvient pas à s'imposer comme le leader du groupe des Nerazzurri et se fait retirer le brassard au profit d'Icardi. Il est ainsi devenu l'un des plus critiqués et ciblés par le public Nerazzurri. Mais jamais un mot déplacé, jamais une interview provocatrice. Ranocchia continue de travailler en silence, s'investissant toujours dans l'entraînement. Pour se retrouver il décide aussi de changer d'air, tentant d'abord l'expérience du prêt à la Sampdoria puis à Hull City. Le premier tournant est intervenu en 2017 avec l'arrivée sur le banc de l'Inter de Luciano Spalletti. La vidéo dans laquelle il défend Ranocchia en retraite des critiques d'un fan des Nerazzurri, elle certifie immédiatement l'importance et la gratitude de l'entraîneur Certaldo envers lui. Ce n'est pas un titulaire, mais il redevient un élément très important pour les rotations en défense et surtout un homme du vestiaire. Un double rôle qui devient encore plus évident avec l'arrivée de Conte à Milan, l'entraîneur qui l'avait lancé au début de sa carrière dans les expériences d'Arezzo et de Bari. Et grâce à lui, Ranocchia remporte son premier Scudetto avec l'Inter après 10 ans. Un championnat qui est venu après tant de chutes, tant de sacrifices, tant de larmes, qui témoigne pourtant de la grandeur d'un vrai homme et joueur, d'un professionnel exemplaire et d'un joueur de l'Inter comme peu d'autres. Nous ne pouvons que remercier Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Merci de faire partie de notre histoire et de comprendre l'importance de cet maillot. Pour l'avoir honoré. Merci les gars, ce fut un honneur et un beau voyage. Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. En effet, il y a 13 ans aujourd'hui, le 26 juillet 2009, l'Inter a conclu l'échange Ibrahimović-Eto'o avec le Barcelone. Un jour qui aura marqué à jamais l’Histoire de l’Inter Ce transfert historique l’est à plus d’un titre, non seulement pour la somme en jeu : 69 millions d’euros (Samuel Eto’o inclus), mais également pour les séquelles qu'elle a entraînées jusqu'en mai de l'année suivante. Si après cette transaction voulue et poussée par le géant suédois, chez les Tifosi régnait un mélange de tristesse et de désespoir de perdre le joueur qui, à l'époque, était probablement l’un des meilleurs du Monde, mais surtout le meilleur en Serie A, au fil des mois, cependant, les émotions se sont inversées : Eto'o non seulement n’a pas fait regretter aux Tifosi le départ d'Ibra, mais il est devenu surtout l'un des leaders de l’Inter du Triplé. Une épopée qui aura d'ailleurs vu un vieux contentieux se régler précisément lors de la double demi-finale historique contre le Barcelone d'Ibra. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. "Paulo Dybala et l’Inter se sont dit leur premier oui." Telle est la révélation de la Gazzetta Dello Sport qui s’est livrée sur la réunion qui s’est tenu entre l’agent du joueur, Jorge Antun, et Giuseppe Marotta qui ont convenu la base d’un accord Place aux chiffres Un salaire de base de 6 millions d’euros net par saison plus des bonus pour atteindre 7 millions, dont la moitié sont facile à atteindre. Il y a encore une marge de négociation sur la durée du contrat : il s’agira soit d’un quadriennal, soit d’un triennal avec option. A confirmer, bien qu'ici les démentis soient de rigueur, le fait que le joueur puisse bénéficier d'un bonus à la signature, comme c'est fondamentalement le cas pour tous les grands joueurs qui expirent. Bientôt la signature Il ne s’agissait pas du passage à l’acte hier, mais il ne manque plus grand-chose, soit le passage nécessaire de voir Antun parler directement avec Dybala pour lui expliquer, dans les moindres détails, ce qu’il s’est passé hier. Les deux parties se sont fixées un nouveau rendez-vous dans quelques jours, il n’y en aura pas énormément, peut-être une semaine car faire perdurer n’est dans l’intérêt de personne Ce n’est pas dans l’intérêt de la Joya qui s’est engagé à 100% dans le projet Nerazzurro car dans le cas contraire, il ne se serait même pas mis à table pour écouter cette proposition. Ce n'est pas non plus dans l'idée du club de faire traîner les choses en longueur. Chaud patate Durant ce sommet, l'entourage du joueur n'a jamais fait référence aux propositions d'autres clubs : une attitude constructive qui a été appréciée par l'Inter. Mais au début de la réunion, les chiffres demandés par Antun n'ont pas plu aux dirigeants des Nerazzurri, des chiffres qu'Antun lui-même connaissait depuis des semaines alors que l'offre de l'Inter à Dybala ne datait pas d'hier. Des "grands" mots ont également fusé à un certain moment de la réunion : certains ont même craint que la table ne saute. Mais la diplomatie l'a emporté. Et cette montée de tension s'est vite transformée en descente, aidée par le travail de tous les participants. A tel point qu'au final, les deux parties concernées, soit l'entourage de Dybala et l'Inter, ont fait part d'un "grand optimisme" sur la définition de la négociation". Selon le Corriere Della Sera, le club a également tout mis en œuvre pour que Paulo se sente aimé et au centre du projet technique : Simone Inzaghi s'est présenté durant quelques instants à cette réunion, tout comme Javier Zanetti, qui avait déjà "choyé" la Joya lors du match de charité organisé par Samuel Eto'o et à l'occasion d'Italie-Argentine. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Grâce à sa victoire 4-2 sur la Juventus au Stadio Olimpico de Rome, l'Inter a remporté la Coppa Italia pour la huitième fois de son histoire. Les Nerazzurri ont atteint la finale de la compétition à 14 reprises et ce triomphe porte à 42 le nombre de trophées remportés par le club depuis sa fondation en 1908. Seules la Juventus (14) et la Roma (9) ont remporté la Coppa Italia plus souvent que l'Inter, la Lazio (7) occupant la quatrième place du classement. Après avoir perdu contre la Juventus en finale de la Coppa Italia en 1959 et 1965, l'Inter a maintenant battu les Bianconeri dans deux finales consécutives, après la Super Coupe d'Italie en janvier à San Siro, avec une prolongation nécessaire pour déterminer le vainqueur. Le dernier triomphe de l'Inter en Coupe d'Italie remonte à 2011, lorsque l'équipe de Leonardo avait battu Palermo 3-1 grâce à deux buts de Samuel Eto'o et un autre de Diego Milito. Un certain Andrea Ranocchia était dans le onze de départ ce jour-là, tandis que le défenseur était également dans le groupe à l'Olimpico où il a célébré son deuxième succès en Coppa Italia, 11 ans après son premier. Les finales de l'Inter en Coppa Italia 1939 | Ambrosiana Inter 2-1 Novara 1959 | Inter 1-4 Juventus 1965 | Juventus 1-0 Inter 1977 | Milan 2-0 Inter 1978 | Inter 2-1 Naples 1982 | Inter 2-1 Torino, en aller-retour 2000 | Lazio 2-1 Inter, en aller-retour 2005 | Roma 0-3 Inter, en deux manches 2006 | Roma 2-4 Inter, en deux manches 2007 | Roma 7-4 Inter, en deux manches 2008 | Roma 2-1 Inter 2010 | Inter 1-0 Roma 2011 | Inter 3-1 Palerme 2022 | Juventus 2-4 Inter Palmarès de l'Inter 19 Scudetti 8 Coupes d’Italie 3 Ligues des Champions 2 Coupes Intercontinentales 1 Coupe du Monde des Clubs 3 Coupes de l'UEFA 6 Super Coupes d'Italie Statistiques de la finale à Rome L'Inter est la première équipe à avoir marqué deux fois en prolongation lors d'une finale de Coppa Italia depuis Vicenza, qui avait réussi à le faire contre Napoli en 1997. L'Inter est le premier club à avoir transformé deux penaltys dans une finale de Coppa Italia (hors séances de tirs au but) depuis la Sampdoria contre Ancona en 1994. Les Nerazzurri ont joué les prolongations dans une finale de Coppa Italia pour la première fois dans l'histoire du club, tandis que les Bianconeri ont connu leur quatrième prolongation au cours de leurs sept dernières finales de coupe. L'Inter est devenu la troisième équipe à battre la Juventus trois fois en une seule saison, toutes compétitions confondues, après la Fiorentina en 1940/41 et la Lazio en 1942/43. Ivan Perisic est le quatrième joueur de l'Inter à avoir inscrit un doublé en finale de la Coppa Italia, après Adriano (2005 contre la Roma), Hernan Crespo (2007 contre la Roma) et Samuel Eto'o (2011 contre Palermo). Le but de Nicolo Barella six minutes après le début du match est le but le plus rapide dans une finale de Coppa Italia depuis le but de Stefan Radu pour la Lazio contre la Juventus le 20 mai 2015 à la 4ème minute. Barella est le premier Italien à marquer pour l'Inter dans une finale de Coppa Italia depuis Alessandro Altobelli qui avait marqué lors du match retour de la finale 1981/82 contre le Torino. Barella a inscrit le deuxième but de l'Inter dans les six premières minutes d'une finale de Coppa Italia, imitant ainsi les exploits d'Esteban Cambiasso contre la Roma, 16 ans plus tôt, le 11 mai 2006. La frappe de Barella était le premier but en dehors de la surface dans une finale de Coppa Italia depuis Douglas Costa et son but contre l'AC Milan en 2018. Hakan Calhanoglu est le premier joueur à transformer un penalty dans une finale de Coppa Italia depuis Edinson Cavani contre la Juventus en 2012. ®Internazionale.fr via inter.it - Traduction Oxyred
  9. En effet, après l’intronisation de Samuel Eto’o, tous les titres honorifique du Hall of Fame de l'Inter pour l’Edition 2021 ont été décernés. Les quatre nouvelles légendes, élues par les Tifosi à travers un système de votes en novembre dernier, seront honorés quelques minutes avant le coup d’envoi du match opposant l’Inter à la Salernitana. Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi, Wesley Sneijder et Samuel Eto'o recevront le trophée du Hall of Fame sur la pelouse du Stade Giuseppe Meazza, sous l’ovation des Tifosi qui ne les ont pas oubliés. Cette soirée verra également un Prix spécial assigné par les Tifosi à Giuseppe Prisco, le Légendaire avocat et Dirigeant du Club élu parmi une liste de présélectionné comprenant entre autre, la Policlinico di Milano, en lice pour ses efforts dans la lutte contre le Covid-19, Claudio Bertazzi, président de l'Inter Club Desenzano del Garda, et Enzo Bernasconi, membre de l'Inter Club Tri Basei Voici l’Album d’Or du Hall Of Fame Edition 2018: Walter Zenga; Javier Zanetti; Lothar Matthäus; Ronaldo. Edition 2019: Francesco Toldo; Giacinto Facchetti; Dejan Stankovic; Giuseppe Meazza. Edition 2020: Julio Cesar; Giuseppe Bergomi; Esteban Cambiasso; Diego Milito. Edition 2021: Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi, Wesley Sneijder, Samuel Eto'o. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Samuel Eto'o a été intronisé au Hall of Fame de l'Inter. L'attaquant camerounais, né à Nkon le 10 mars 1981, est le quatrième attaquant à rejoindre l'illustre club. Il entre aux côtés de Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi et Wesley Sneijder dans la quatrième édition du Hof. Eto'o est la dernière superstar des buteurs à entrer dans l'histoire de l'Inter, suivant les traces de Ronaldo, Giuseppe Meazza et Diego Milito. Le Camerounais a joué un rôle crucial dans l'incroyable série de succès du club entre 2009 et 2011. Le passage de l'édition 2020 à celle de 2021 rappelle particulièrement la façon dont Milito et Eto'o ont échangé des passes en route vers la gloire du Triplé en 2010. La magie de cette glorieuse équipe est bien vivante et active plus d'une décennie plus tard, comme le montre par les fans choisissant un troisième joueur de cette époque pour être intronisé au HOF de l'Inter. Après avoir rejoint le club à l'été 2009, Eto'o s'est annoncé avec un but en Supercoupe d'Italie contre la Lazio en Chine qui s'est finalement révélé sans valeur. C'était le premier de ses 53 buts en 102 apparitions, au cours desquelles l'équipe a accumulé un nombre impressionnant de six trophées. En 2009-2010, Eto'o a lancé la campagne aux côtés de Milito, propulsant l'Inter vers la gloire en Serie A, mais c'est en Ligue des champions qu'il a fait la plus grande marque. L'attaquant a frappé contre le Rubin Kazan pour propulser les Nerazzurri dans les huitièmes de finale où ils ont affronté une solide équipe de Chelsea. Eto'o a marqué le seul but du match lors du match retour à Stamford Bridge alors que l'Inter progressait. Jose Mourinho a déplacé le Camerounais vers l'aile gauche, où il a trouvé plus d'espace et a donné à l'équipe un meilleur équilibre. On se souviendra toujours de sa performances contre les anciens coéquipiers de Barcelone au Camp Nou, ainsi que de la glorieuse finale contre le Bayern Munich à Madrid dans laquelle Milito a marqué les buts cruciaux, mais pas sans qu'Eto'o ne cause des ravages tout au long. Eto'o a remporté le Scudetto, la Coppa Italia et la Ligue des champions avec le club avant de marquer un doublé lors d'un succès en Super Coupe d'Italie. Ce n'était pas la fin, cependant, puisque l'Inter a atteint le sommet du monde grâce à son but entre ceux de Goran Pandev et Jonathan Biabiany contre Mazembe. Sa danse joyeuse avec quelques sacs en plastique a atteint tous les coins du globe Nerazzurri. Il était encore temps pour un autre succès en Coppa Italia en 2011 avant son départ. Le lien de Samuel avec les Nerazzurri est incroyablement fort et la marque qu'il a laissée sur le club ne sera jamais oubliée. Sa classe, sa puissance, sa force et son charisme ont assuré au numéro 9 une place spéciale dans le cœur de chaque fan de l'Inter, ainsi qu'une place méritée au Hall of Fame de l'Inter. Traduction alex_j via le site officiel.
  11. Le légendaire ancien milieu de terrain de l'Inter, Wesley Sneijder, est fier d'avoir été intronisé au Hall of Fame des Nerazzurri. Dans un entretien accordé au site officiel du club, le héros du triplé s'est exprimé sur le fait d'avoir été choisi par les fans pour être intronisé dans le Hall of Fame de cette année. Sneijder n'a passé que trois saisons et demie sous le maillot de l'Inter, mais il a laissé sa marque en jouant un rôle clé sur la voie d'un triplé européen historique lors de la saison 2009-10, sa première campagne avec le club. Le néerlandais est devenu l'une des figures emblématiques de l'une des plus grandes périodes de succès de l'histoire du club, et a été choisi pour rejoindre le Hall of Fame aux côtés de Marco Materazzi et Gianluca Pagliuca. Sneijder est très fier d'avoir gagné cette place dans le Hall of Fame, et fier de son temps passé avec les Nerazzurri. Voici l'article : MILAN - Wesley Sneijder est désormais membre du Hall of Fame de l'Inter. Le milieu de terrain néerlandais, né le 9 juin à Utrecht, est le troisième ancien joueur des Nerazzurri à être intronisé au Hall of Fame en 2021, après Gianluca Pagliuca et Marco Materazzi. Sneijder est le quatrième milieu de terrain à recevoir cette prestigieuse reconnaissance et se trouve en compagnie de Lothar Matthäus, Dejan Stankovic et Esteban Cambiasso. Après l'annonce du vainqueur dans la catégorie des milieux de terrain, la prochaine étape consistera à annoncer quel attaquant entrera au Hall of Fame en mars. Le vote pour l'entrée au panthéon des Nerazzurri a eu lieu en novembre dernier et quatre lauréats ont été annoncés chaque mois depuis lors. On peut dire que Wesley Sneijder a fait ses preuves en tant que joueur de l'Inter. Arrivé à Milan le 28 août 2009, le Néerlandais est entré sur le terrain le lendemain lors d'une victoire 4-0 contre le rival de l'Inter, enchantant les supporters dès son premier contact. C'est le début d'une saison exceptionnelle au cours de laquelle Sneijder joue un rôle clé dans le triplé des Nerazzurri, en marquant à huit reprises en 2009/10. Ses contributions ont été essentielles dans la campagne de l'Inter en Ligue des champions ; il a marqué contre le CSKA et le FC Barcelone en Ligue des champions et a offert des passes décisives à Samuel Eto'o à Chelsea en huitième de finale et à Diego Milito en finale à Madrid contre le Bayern Munich. Le Néerlandais n'a pas seulement connu une année exceptionnelle en club, il est sorti de la Coupe du monde 2010 en tant que meilleur buteur et avec une médaille de finaliste. Au total, Sneijder a représenté l'Inter pendant trois saisons et demie, faisant 116 apparitions et marquant 22 buts. Il entretenait une relation particulière avec les tifosi de San Siro, qui s'extasient encore aujourd'hui sur ses performances. "J'aimerais remercier tous les tifosi de l'Inter de m'avoir choisi pour le Hall of Fame de l'Inter", a-t-il déclaré, "c'est un grand honneur pour moi et je leur en suis vraiment reconnaissant." "Je n'oublierai jamais ce que j'ai vécu avec les Nerazzurri", a-t-il poursuivi, "cette période est une partie importante de ma vie. L'Inter est comme une famille pour moi et je suis honoré d'en faire partie." Il a rappelé qu'"en 2010, nous avons réécrit l'histoire en remportant le triplé : J'ai hâte de retourner à San Siro pour pouvoir revivre ces sensations incroyables que le stade vous procure." "Cela me manque d'être à Milan, dans notre stade, avec nos supporters", a-t-il poursuivi. "J'espère pouvoir célébrer cette reconnaissance que vous m'avez accordée avec vous tous. Forza Inter, pour toujours !" ®Oxyred – Internazionale.fr via Inter.it
  12. La Gazzetta Dello Sport a dressé le portrait d’André Onana, l’international camerounais qui est amené à occuper le poste ô combien légendaire de gardien de but de l’Inter C’est un fait les Hommes du mercato de l’Inter, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio, ont misé sur André Onana pour défendre la cage interiste à l’avenir. Il s’agit-là d’un excellent coup aussi bien économique que technique, vu l’expérience internationale du camerounais. Il s’agit-là d’un effet de porte coulissante dans le Calcio pour Onans (son surnom) qui se présente avec 5 ans de retard. En effet, à ce moment-là, son transfert avait capoté à cause de sa couleur de peau, soit un terme absurde du troisième millénaire, mais tristement actuel comme le confirme le cas Koulibaly à Florence. Non au Racisme En février 2020, André s’était livré dans un reportage pour le quotidien NRC sur le racisme dans le monde du ballon en révélant: “Il y a trois ans, suite à la défaite de l’Ajax en finale de l’Europa League contre Manchester United, j’avais parlé avec un club italien sur un possible transfert. Je ne citerai pas le club et la négociation se passait bien, jusqu’au moment où le Directeur Sportif de ce club a appelé mon agent: "Nous pensons qu’Onana est un grand gardien, mais nous ne pourrons, hélas, pas le prendre: Un gardien de but noir causerait trop de problèmes avec nos propres tifosi."." L’Ombre d’Eto'o L’Histoire d’Onana est celle de la typique histoire de surmonter la pauvreté grâce au football. Né le 02 avril 1996 dans le village de Nkol Ngok, au cœur du Cameroun, Onana aimait enfant se retrouver entre les poteaux. A 11 ans, il était remarqué par un observateur de la Samuel Eto’o Academy, où il restera durant trois ans. En 2010, année où le footballeur camerounais le plus célèbre et le plus victorieux triomphera avec l’Inter du Triplé, Onana est acheté par le Fc Barcelone. Il s’agit du classique grand saut, en présence de sa maman Adèle, et de son papa François qui le soutient, mais qui ne l’accompagne pas en Catalogne: André passe par toutes les classes de la Masia en étant apprécié surtout pour ses réflexes félins, malgré son mètre quatre-vingt-dix. Sa réactivité entre les buts et ses sorties basses font qu'il présente des similarités à un gardien du Calcio a 5. Franck De Boer En 2015, l’Ajax décide de l’arracher à la concurrence en le transférant à Amsterdam et en l’intégrant aux Jong Ajax de la Eerste Divisie. Onana devient immédiatement titulaire et la saison suivante, il profite de la révolution interne au seins des Lanciers : De Boer quitte l’Ajax après six ans pour rejoindre justement l’Inter. Milik, l’attaquant qui avait propulsé l’équipe vers un titre qui lui a échappé lors des dernières 90' de jeu, partait au Napoli. Le dernier grand départ était celui de Cillessen à destination de Barcelone. Bosz décide d’accorder sa confiance au jeune portier de la Primavera : Onana. Et si lors des trois premiers journées, il commet des erreurs, il tient dur avant d’éclore définitivement. Il parvient même à écarter l’expérimenté Krul, recruté comme garantie, mais qui reste toujours condamné au banc." Suspension Avec l’Ajax, Onana totalise 204 présences, il a remporté deux fois le championnat, deux fois la Coupe des Pays-Bas et une Super Coupe des Pays-Bas. Il totalise également 36 présences en Ligue des Champions, 17 en Ligue Europa et 18 sélections internationale avec le Cameroun : Il est également le joueur indiscutable en équipe nationale…jusqu’au moment où il fait l’objet d’une suspension en date du 3 novembre 2020! Ce jour-là, des traces de Furosémide, un diurétique sont retrouvées dans ses urines au cours d’un contrôle surprise. L’Ajax avait confirmé qu’Onana se sentait mal et qu’il avait absorbé, par erreur, des produits pharmaceutique destinés à son épouse. Le Club avait aussi affirmé que le Lasimac n’améliore pas les prestations d’un sportif : Une défense qui n’a pas été écouté ni par l’Uefa, ni par le Tas, qui a rejeté l’appel de la suspension, la Fifa la réduisant tout de même de 12 à 9 mois. La Famille A présent, rien ne dit qu’Onana reprendra son poste au sein de l’Ajax vu justement l’actualité du mercato : La semaine dernière, le Directeur Sportif, Marc Overmars admettait qu’André n’allait pas prolonger son contrat qui arrive à expiration en juin prochain, en se résignant à le perdre gratuitement et en misant pour la saison sur Pasveer et Stekelenburg, l'ancien de la Roma. La route pour Milan est toute tracée, il la suivra en présence de sa très belle épouse Melanie Kamayou, Top Modèle et ancienne Miss. Le 23 février 2021, de leur union est né une fille: Mélina. Peu d’informations circule sur sa vie privée: On sait d’Onana qu’il aime voyager et comme tant d’équipes, qu’il doit passer des longues heures dans les mises au vert. Il aime visionner des films et c’est un expert des jeux vidéo ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  13. Hakan Çalhanoğlu s’est livré à Cbs Sport, à Dazn et à Inter.it sur les raisons qui l’ont poussé à rejoindre la Beneamata, au lieu de renouveler chez le Diavolo Son interview à Cbs Sport "La Grande différence à l’Inter, c'est l’attention portée par Piero Ausilio et par l’entraîneur: Ils m’ont appelé une série de fois, ils m’ont fait me sentir vraiment important et c’est pour cette raison que j’ai rapidement décidé de venir, ici, à l’Inter. Le premier appel d’Inzaghi a été très important pour moi, pour me convaincre de venir ici. Son attention envers moi a été très importante : Je crois en lui, en ce qu’il a fait à la Lazio ces dernières années, et je crois qu’il en ce qu’il fera à l’Inter pour cette année, pour aider l’équipe à grandir toujours plus." "Piero m’a appelé tellement de fois, il m’a dit vraiment des choses importantes pour me convaincre et je me suis dit : "Oui, je dois y aller vu les objectifs présentés." : Je voulais rester en Italie, je connais la langue, l’Inter vise de grands objectifs, elle a une bonne équipe de qualité, elle joue pour gagner quelque chose, c’est pour cela que j’ai pris rapidement ma décision." "Je pense que ce sera exquis de délivrer des passes décisives à Romelu Lukaku et à Lautaro Martinez, ce sera beau. Je suis impatient de joueur avec Romelu et Lautaro, ce sont des joueurs vraiment très fort que l’on a devant. Et s'il faudra du temps pour se comprendre, eux se connaissent, mais ils devront apprendre à connaitre aussi mes mouvements tout comme je devrai bien connaitre les leurs, je suis impatient de joueur avec eux et de leur délivrer des assists." Eriksen ? "Je l’attends ici à l’Inter les bras grand ouverts, c’est un très grand joueur avec de très grande qualité : Je le respecte beaucoup et je suis impatient de le revoir ici." Son interview à Dazn "Nous voulons remporter à nouveau ce Scudetto, et je l’espère aussi avec moi, j’ai envie d’aider mes équipiers. Le transfert s’est passé très rapidement grâce à Piero Ausilio qui m’a appelé à de plusieurs reprises, il l’a fait aussi avec mon agent. Mister Inzaghi m’a aussi appelé à plusieurs reprises. Lorsque l’on t’appelle et qu’il s’agit d’une grande équipe déjà forte qui te veut, tu as ensuite une très grande envie d'y aller, et cela s’est passé vite, très vite. En premier lieu, mon agent m’a appelé et me dit : "Regarde Piero veut te parler", j’ai répondu "ça me va", ensuite tout est allé assez vite." Vous passez du Milan à l’Inter..... "Les tifosi font du bruit et c’est normal, pour un joueur qui fait ça, c’est normal, mais je ne suis pas le premier et je ne serai pas le dernier. Tant de joueurs sont passé du Milan à l’Inter et vice-versa, c’est pour cela que je ne serai ni le premier, ni le dernier. Je veux seulement aller de l’avant, vers l’avenir, en conservant un grand respect pour le Milan. J’y ai réalisé tant de choses durant 4 années, je les ai tous respectés. Ceux qui me connaissent savent tout. Ici, je me sens prêt pour une nouvelle aventure à l’Inter et je dois aller de l’avant." Vous sembliez très complice avec Ibra, vous a-t ’il dit quelque chose ? "J’étais à l’Euro et lui en vacances, il avait son problème au genou et il pensait à cela, et moi à l’Euro. Nous n’avons pas parlé de ce transfert, peut-être que dans quelques jours, nous en parlerons, mais pour l’instant, il n’y a rien." Pioli a-t ‘il tenté de vous retenir ? "Pioli était le seul homme qui me voulait avec envie au Milan : J’ai parlé tant de fois avec lui, et lui avec moi, il a respecté ma décision et je lui souhaite le meilleur." Quel sera votre rôle dans le 3-5-2 ? "C’est un système de jeu qui me plait. Luis Alberto jouait avec Inzaghi dans un poste où nous sommes similaire. J’aime l’attention portée par l’entraîneur, comment il me parle, comment nous échangeons, j’espère que l’on se divertira dans ce championnat." Pourriez-vous revoir votre ambition ? "On ne te donne pas le maillot sans sacrifice et sans souffrance. J’ai entendu ce que voulait l’entraîneur, il faudra un peu de temps, mais nous verrons par la suite." Vous étiez le leader en Europe pour les occasions créées et le premier pour les passes décisives lors des deux dernières saisons de Serie A..... "Je dois remercier Pioli car il a réalisé du bon boulot avec moi: Il m’a laissé jouer dans mon rôle, comme j’en avais l’envie, un rôle pour lequel j’ai créé tant d’occasions et délivré tant de passes décisives. Je veux vraiment lui dire merci. Tu peux avoir avec évidence un talent, mais sans travail, tu ne parviens pas à réaliser ces choses-là." Avez-vous envoyé cette statistique à Lukaku et Lautaro ? "J’attends qu’ils reviennent, je suis impatient de jouer avec eux et de leur donner des passes décisives, de créer des occasions pour eux. Je veux me divertir, mais avant tout je dois connaitre les façons de jouer, eux devront connaitre mes mouvements et moi les leurs. J’espère que l’on se divertira." Comment avez-vous vécu ce qu’a traversé Eriksen ? "J’ai le plus grand respect pour Eriksen, c’est un joueur qui me plait beaucoup, nous avons le même rôle. Je l’attends à bras ouvert, il mérite tant de chose : C’est un exemple, un garçon sympathique, je l’ai connu via Kjaer, je lui ai demandé immédiatement ce qu’il s’était passé, j’espère le revoir au plus vite." Vous avez choisi le numéro 20, en référence au numéro de Recoba ? "Je l’ai lu sur les journaux, mais je ne l’ai pas choisi pour cette raison. J’ai toujours eu le numéro 10, mais ici, il appartient à Lautaro Martinez : J’ai donc fait 10+10, 20 !" Vous avez croisé la Nazionale de près..... "J’avais déjà dit à mes équipiers, en Turquie, qu’elle était très forte, qu’elle cherchait à créer du jeu, qu'elle dispose d’un système fort avec Mancini. C’était ma favorite pour le titre et je la félicite encore car elle le mérite. J’ai écrit à Donnarumma. Après mon arrivé à l’Inter, Bastoni m’a écrit pour me dire ‘Bienvenue dans notre Famille", j’ai aussi parlé avec Bonucci, Chiellini, et Gigio." Son interview à Inter.it Pourquoi avoir choisi l’Inter ? "Choisir l’Inter est un choix facile, tout s’est passé très rapidement grâce au Directeur Ausilio et à Mister Inzaghi." As-tu déjà lié des amitiés avec vos nouveaux équipiers ? Oui, j’ai déjà lié des liens d’amitié avec Radu, Kolarov, Nainggolan, Sensi, avec quasiment tout le monde. J’apprends à connaitre mes nouveaux équipiers." Quel numéro vas-tu prendre ? "J’ai choisi le 20. J’ai toujours utilisé le 10, donc 10+10 égale 20, le numéro que je porterai." Pourrions-nous te prendre au Fantacalcio ? "Oui, absolument ! Car cette année, je vais tenter de délivrer énormément de passes décisives à Romelu et à Lautaro." Que préférez-vous entre les passes décisives et marquer des buts ? "J’aime beaucoup faire des passes décisives, car c’est gratifiant d’aider mes équipiers." Quel sont tes 5 joueurs préféré de l’Histoire de l’Inter ? "Zanetti, Ronaldo, Adriano, Eto'o et Sneijder" Penalty ou coup-franc ? "Je préfère les coups francs, je cherche toujours à marquer." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Marco Materazzi a plaisanté en disant que l'entraîneur entrant Simone Inzaghi nous doit toujours le Scudetto de 2002 dans une longue interview avec 7 Corriere sur Instagram, rapportée par FCInterNews.it , où il évoque les joueurs avec lesquels il aurait aimés jouer, la Coupe du Monde 2006 et le Triplete. Simone Inzaghi nous doit un Scudetto. "Tout le monde est sceptique à l'égard de Simone, mais en attendant, il nous doit le Scudetto du 5 Mai 2002. L'Inter a l'opportunité de rester au top, Simone a si bien fait que son travail est resté caché, mais il est l'un des meilleurs jeunes entraîneurs italiens, maintenant il doit faire le saut." Sur les joueurs avec lesquels il aurait aimés jouer. "L'Inter a eu la malchance de ne pas gagner ce qu'elle méritait, comme pour le Scudetto de 1998. Ils avaient Ronaldo, le plus fort de l'histoire, et nous aurions dû gagner encore plus avec lui. Je mourais d'envie d'avoir son maillot quand je lui ai fait face, de le retrouver. Lui faire face comme un autre joueur était une émotion incroyable. J'ai joué avec tous les meilleurs, mais Ronnie était le meilleur. Je regrette de ne pas avoir pu le convaincre de rester après 2002, mais il était fatigué. Quand il a quitté la Pinetina, il a dit qu'il resterait s'ils se débarrassaient de l'entraîneur Hector Cuper. Il serait également revenu chez nous l'année où il est allé à Milan, en 2007. J'aurais aimé jouer avec Lothar Matthaus et Karl Heinz Rummenigge, je me serais très bien entendu avec eux parce qu'ils ont du caractère. Nicola Berti aussi parce que c'est un fou comme moi, un vrai mec qui dit ce qu'il pense sans filtre. Nous sommes comme ça." Jose Mourinho et Antonio Conte. "Les mariages ont toujours besoin de deux personnes, logique. Mais je sais pertinemment qu'il serait revenu il y a deux ans. Ensuite, ils ont choisi Antonio Conte, qui en tant qu'ancien joueur de la Juventus a beaucoup fait pour l'Inter et doit être remercié pour cela. Quand il a dit: 'J'ai compris ce que voulait dire Inter', c'était le plus significatif. Il a créé un groupe solide. Je disais déjà en Décembre que l'Inter dépasserait le Milan et beaucoup se moquaient de moi, alors que j'avais raison parce que l'Inter a l'équipe la plus forte." Sur samuel Eto'o et Romelu Lukaku. "Eto'o est mon petit frère, je dois le remercier pour la vie car il nous a apporté le Triplete. Il savait le faire, il nous a permis de nous battre sur tous les fronts en termes de mentalité et cela a fait la différence. Lukaku est comme Vieri maintenant. Mais pas quand il est arrivé. Je ne pensais pas qu'il pouvait être le nouveau Vieri. Au lieu de cela, il s'est avéré être un leader et un buteur, il a fait de grands progrès grâce à Conte." A propos de Zlatan Ibrahimovic. "Quand il était à l'Inter, la relation était bonne, mais il a changé de cap. Sur le terrain, les choses se passent. Il pourrait éviter d'aller sur les réseaux sociaux pour évoquer le passé car cela n'a aucun sens. Il aurait pu l'éviter, je le respecte en tant que joueur et je le remercie pour ce qu'il m'a fait gagner quand il était avec nous et quand il est parti. Je le félicite car il fait la différence à 40 ans, chapeau à lui." A propos de Roberto Mancini. "Nous nous sommes disputés à plusieurs reprises, heureusement, nous étions toujours séparés et nous ne nous sommes jamais venus aux mains. Il a fallu très peu pour entrer dans ses grâces en remportant la Coupe du monde en 2006." Sur deux joueurs de l'AS Rome. "J'aurais aimé voir Francesco Totti à l'Inter, malheureusement cela n'est pas arrivé. C'était impossible. La même chose avec Daniele De Rossi. J'ai résisté à un transfert au Milan et je remercie ceux qui m'ont permis de rester, en l'occurrence Giacinto Facchetti. J'aurais laissé plus de fierté que de trahir le club, mais je ne pouvais pas dire non à Giacino et finalement rien ne s'est passé." La Coupe du monde 2006. "J'ai eu la chance de disputer la Coupe du monde grâce à la blessure d'Alessandro Nesta. Je préfère me souvenir de mes deux buts plutôt que du coup de tête de Zidane, qui nous a permis de gagner. Au final, c'était important de marquer des buts et surtout de marquer les penalties malgré la pression. Je félicite Zidane en tant que joueur et en tant qu'entraîneur, il s'est avéré être un numéro un." La victoire en Ligue des champions en 2010 comme un couronnement. "Javier Zanetti était tellement fiable que vous pouviez compter sur lui à chaque match. Il était toujours là dans les moments difficile, en tant que capitaine. Vous avez hâte d'embrasser la Ligue des champions, mais avant le match, vous ne devez pas toucher le trophée. Vous devriez l'enseigner dans les écoles de football." "Le Triplete était le couronnement d'un rêve de carrière car après la Coupe du monde, il ne me manquait que la Ligue des champions. Quand j'ai vu les différents titres dans les salons de Paolo Maldini et Lionel Messi, j'ai regardé ma femme et lui ai dit que je la voulais."
  15. Romelu Lukaku est le protagoniste du Match Day Program d’Inter-Roma. Et Big Rom s’est une nouvelle fois illustré en déclarant son amour pour les couleurs Nerazzurre : "Lorsque je suis sur le terrain du Meazza, je me rends compte d’avoir concrétisé un de mes rêves depuis toujours. J’ai toujours voulu jouer avec le maillot de l’Inter. Le revêtir est d’une fierté incroyable, gagner est quelque chose de grandiose : Io Sono Interista!" Mon plus beau but ? "Celui du 3-0 au Milan, il résume toute mes caractéristiques : la course, la puissance, la précision. Il avait une signification importante pour moi et pour notre championnat. Cette équipe a gagné car elle s’est fortifiée via un état d’esprit de groupe exceptionnel. Nous nous sommes transmis aussi cette soif de victoire." Mon rapport avec Conte ? "Je savais depuis le début qu’il s’agirait d’une relation particulière. A l'été 2019, je lui avais écrit "J'arrive". Sur le terrain, je me bats pour l’équipe. Hors du terrain, j’aime la musique, les personnes vraies, je vie pour ma famille et j’aime rendre les autres heureux. La joie des interiste est aussi la mienne." L’attaquant révèle aussi son top 5 Nerazzurro Dans les buts Julio César : "Extraordinaire avec de la technique et du charisme." En défense Maicon : "Puissant, rapide, technique, il y en a peu comme lui." Adriano : "Je connais par cœur tous ses buts." Ronaldo : "Le football était la destinée d’Il Fenomeno." Eto'o : "Sa détermination et sa classe sont un exemple." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. La victoire épique de l'Inter sur Barcelone en demi-finale de la Ligue des champions 2010 a été assurée par un coup de maître de Jose Mourinho, a révélé Ernesto Paolillo dans une interview accordée à nicoloschira.com. "Je me souviendrai toujours de la leçon que Mourinho m'a donnée pendant que nous nous rendions à Barcelone pour le match retour." "Je viens du monde de la finance et j'essayais d'en apprendre le plus possible sur le football, alors quand nous parlions la veille du match, il m'a demandé: - Qui pensez-vous que je choisirai pour marquer Messi demain? J'ai répondu en disant Javier Zanetti, suivi d'une série d'autres suggestions que Mourinho a cassées une par une, m'expliquant pourquoi il avait besoin de ces joueurs dans d'autres zones du terrain. À un certain moment, après avoir essayé presque tous les noms, j'ai demandé la réponse à son énigme et il a dit: - Souvenez-vous de la raison pour laquelle Eto'o est venu nous rejoindre l'été dernier. - Eto'o était furieux contre Messi parce que Messi gagnait plus que lui à Barcelone." "C'est pourquoi Eto'o le marquera, car personne ne pouvait avoir autant de motivation qu'Eto'o pour marquer Messi. Mourinho a été fidèle à sa parole et cela s'est avéré être l'une des clés de ce succès, demandant à Eto'o un énorme sacrifice sur l'aile."
  17. L'attaquant camerounais, 102 apparitions et 53 buts avec l'Inter entre 2009 et 2011, fête aujourd'hui ses 40 ans. Deux saisons auront été suffisantes pour lui faire une place dans le coeur des tifosi et inscrire son nom dans l'histoire du club. Samuel Eto'o est arrivé à l'Inter durant l'été 2009 avec un but précis, aider l'équipe à franchir un palier. Son CV parle pour lui, son leadership, technique et moral, fait le reste. Il Re Leone. Il n'a pas tardé à montrer sa patte, marquant à son premier match malgré une défaite en Supercoppa. L'histoire d'amour décolle tout de suite et les buts deviennent capitaux, fondamentaux dans la chevauchée de 2009/2010. Un en particulier, contre Chelsea à Londres dans un genre de match qui, durant des années, a représenté un obstacle pour les nerazzurri. La consacration en Europe de l'équipe de Mourinho est passée par cette échappée de Samuel, contrôle dans la course et finition de l'extérieur du pied pour battre le gardien adverse. Une célébration dédiée au peuple intériste qui a senti dès le début une certaine connexion avec le champion camerounais. Sur le toit du monde en Décembre 2010 avec encore un de ses buts, il célèbrera avec ses fameux sacs en plastique et une embrassade avec son grand ami Materazzi. Tanti auguri campione! ®Samus – Internazionale.fr
  18. S'adressant à Sportitalia plus tôt cette semaine, Paolillo pense qu'Ibrahimovic retrouvera sa condition physique optimale, mais a admis que son échange avec Eto'o fut un moment crucial pour le succès historique en 2010. "Si vous me posez des questions sur Ibra, je ne peux pas ne pas dire qu'il est un grand joueur et athlète. Mais si vous me demandez comment nous avons réussi à tout gagner cette saison, je vous dirais que c'est parce que nous l'avons échangé contre Samuel Eto'o." Comment pouvons nous être plus d'accord?
  19. De joueur indésirable à Monsieur Plus avec en exemple à suivre Samuel Eto’o. Tel pourrait être la trame de la nouvelle aventure d’Ivan Perisic de retour du Bayern de Munich. En effet, selon Tuttosport et code ladbrokes, Ivan le Terrible aurait montré des signaux positifs, à tel point qu’il serait judicieux pour Conte de profiter des qualités techniques et physiques du croate qui est capable d’assurer toute une aile: "C’est ce qu’Antonio Conte étudie dans son laboratoire d’Appiano Gentile depuis une dizaine de jour, il pourrait s’aligner sur ce que demandait Josè Mourinho à Eto’o lors de l’hiver 2009." Monsieur Plus ? "Perisic a des capacités physiques extraordinaires qui peuvent lui permettre d’assurer le rôle d’ailier "Tutta Fascia" (sur tout le flanc). Si Perisic a su digérer le non-rachat du Bayern, il pourrait se caler en juste plier pour occuper ce poste. Dans un tel cas, l’Inter et Conte auraient un renfort supplémentaire. Si Perisic s’adapte à la perfection, il pourrait aussi revêtir un maillot de titulaire pour des matchs bien définis." "Sinon il pourrait aussi s’avérer être une arme supplémentaire en cours de match, aussi bien pour un poste de latéral "Tutta Fascia" que pour celui de Mezz’Ala dans un 3-4-2-1 offensif." Changement de plan "Pour l’heure, aucune offre concrète n’a été déposée sur la table : Leipzig ayant juste réalisé un timide sondage, tout comme d’autres clubs allemand. Actuellement, Perisic dispose d’un contrat courant jusqu’à l’été 2022 pour un salaire de 4 millions d’euros plus bonus." Selon vous, Perisic peut-il être la surprise de ce mercato ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. Interviewé par Radio Catalunya, Samuel Eto’o auteur d’un double Triplé historique consécutif sous le maillot du Fc Barcelone et de l’Inter, s’est livré sur le futur de Lautaro Martinez Luis Suarez "J’adore Suarez, c’est l’un des meilleurs du monde à son poste." Lautaro ? "Le Barça doit toujours se renforcer, mais tu ne peux pas faire descendre dans la hiérarchie un Général comme Suarez : C’est un Général à son poste et il ne peut être comparé à personne." "Lautaro est bon à l’Inter et se met en évidence, mais les personnes ont tendance à oublier que Luis a écrit l’Histoire récente du Barça mais aussi du football. Il doit être reconnu pour cela. Cela ne vous empêche pas de recruter un autre joueur pour apporter plus de compétition au sein du groupe, étant donné que Barcelone a toujours de nombreux joueurs, mais j’exige du respect pour ceux qui ont écrit l’Histoire." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. L’entraîneur de l’Olympique de Marseille, André Villas-Boas s’est livré sur l’arrivée de Romelu Lukaku à l’Inter. L’ancien assistant de Josè Mourinho l’avait connu à Chelsea. "Le premier jour que je l’ai rencontré, je l’avais surnommé le Fils de Drogba, ils étaient similaires : A 17 ans, c’était un monstre qui pesait 110 kilos et qui disposait d’une puissance incroyable. Entrainement après entrainement, il a grandi, il est allé à Everton avant de rejoindre United. Il est devenu un grand attaquant." "C’est un joueur incroyable dans sa rapidité à aller dans l’espace, même si en Italie il sera confronté à ce problème. Il a aussi une technique incroyable et il est très bon dans le jeu aérien. Je ne sais pas comment il jouera avec Conte, mais il est celui qui lui permettra d’exprimer et d’exploiter toute ses capacité. J’espère que tout ira bien pour lui, c’est une belle personne qui est humble." Le saviez-vous ? Samuel Eto’o, légende du Triplé, a souhaité la bienvenue à sa façon à Big Rom via Instagram: "Bienvenue à l’Inter Romelu, plus qu’une équipe, tu es arrivé dans une Famille. Il n’y a aucun doute que tu continueras à briller. Bonne chance pour cette nouvelle aventure qui j’espère sera comble de bugt. Rends-nous fier Frattelino !" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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