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  1. Le Corriere Dello Sport défini Nicolò Barella comme "un joueur qui a de la force et du cran, mais aussi beaucoup de qualité, ce qui fait de lui l’un des nouveaux leaders de l'Inter." "Il a commencé la nouvelle saison avec la même attitude traînante et si certains malveillants prétendent qu'il a profité du départ de Brozovic... Il fait certainement partie des Nerazzurri qui ont le moins apprécié le comportement de Lukaku lorsqu'il a cessé de répondre aux appels téléphoniques et aux messages de ses coéquipiers. Il a été également l'un des premiers à "classer le second volte-face de Big Rom. Même si lorsque l’on a un tempérament de feu, il est difficile d'éteindre complètement l'incendie." Contrairement à Lukaku, Nicolò "a encore beaucoup de temps devant lui pour se satisfaire et, probablement, pour grandir encore. Tout porte à croire qu'il continuera à le faire à l'Inter. Et pas seulement en raison du contrat qui expire en 2026, mais parce que le Club Nerazzurro le considère comme un pilier de l'équipe, l'un des éléments dont il ne faut pas se priver même face à des offres riches, voire très riches." "L'été dernier, plusieurs offres sont arrivées. La plus directe est venue de Newcastle, qui a trouvé porte close à la fois à la Viale Della Liberazione et par Barella lui-même. Comprenant qu'il n'y avait pas de marge, les Magpies se sont rapidement tournés, avec succès, vers Tonali. Même Klopp a pensé à lui, pour renforcer à tout prix le milieu de terrain de Liverpool, mais toute discussion a été étouffée dans l'œuf." Et quand on lui parle du Ballon d'Or, voici sa déclaration: "Je remercie mes coéquipiers pour ma candidature au Ballon d'Or. Si je figure dans cette liste, je le dois à l'entraineur, à mes équipiers et à toute l'Inter." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  2. Homme de ce début de mercato en Italie, Davide Frattesi prends des vacances bien méritée après avoir disputé le Final Four de la Ligue des Nations avec l’Italie. Celui-ci s’est livré au cours d’une très longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il estime être dans "l’été le plus important de sa vie" Davide, contrôlez-vous votre téléphone ces derniers temps ? "Pas vraiment car j’ai demandé à mon agent, Riso, de me prévenir uniquement lorsque tout sera quasiment réglé et je me suis évité une autodestruction : Lui est hermétique, ses collaborateurs en ont peur, sont terroriséset il ne m’a encore rien dit : Heureusement que j’ai ma grand-mère Stefania. Chaque jours elle m’envoie les articles de presse qu’elle s’est chargée de filtrer, c’est fantastique" Que ressentez-vous à la lecture d’un Derby de Mercato entre l’Inter et le Milan pour vous ? Et il y aurait aussi la Juve : Les trois grands clubs historique veulent Frattesi. "C’est une belle sensation, je ne peux le nier, mais je suis aussi un peu anxieux, j’aimerai que la situation s’éclaircisse. Je pense à mon grand-père Carmine qui lisait les journaux, il aimait le football et il aurait été si fier aujourd’hui." Vous comprendrez que je ne vais pas vous demander comment se comporte la Mer à Ibiza…. Est-ce que l’Inter a l’avantage ? "Ahahah... Vous comprendrez que cette fois, je ne peux pas m’exprimer aussi librement que lors d’autres interviews, ce ne serait pas correcte de citer une équipe car les négociations peuvent s’interrompre de façon imprévue. Toutefois, je vais me montrer extrêmement sincère : J’ai déjà choisi mon équipe." "Je suis certain que mon agent trouvera la façon de me satisfaire, dans le cas contraire, je le balancerais à la mère. Je connais et je ressens aussi l’intérêt des autres équipes pour moi." Quel a été le facteur déterminant de votre choix ? "Mon poste : Je suis un Mezzala et je veux exploiter mes caractéristiques, je pense que c’est normal : Vous vous aimez écrire, si l’on vous propose, un jour, de présenter une émission à la télévision, peut-être que vous y penserez, mais vous chercherez tout de même à continuer à écrire. Et ce concept est similaire pour moi." Vous pourriez retrouver Barella à l’Inter qui affectionne être au centre à droite, est-ce que cela pourrait être problématique ? "Absolument pas, je peux partir sur la gauche, et si je dois centrer, je peux frapper avec mon bon pied, il m’arrive de faire des dégâts avec l’autre." N’êtes-vous pas effrayé par la concurrence interne ? "Non, cela me conditionnera bien plus positivement : Si je dois prouver quelque chose, cela me permet de me donner plus." La Ligue des Champions sera disputée par les équipes milanaises et non la Juve, est-ce que cela a impacté votre choix ? "J’y pense, j’aimerai la jouer, mais ce n’est pas la première chose que j’ai en tête, ce qui compte le plus c’est le projet, qu’il s’agisse d’une équipe qui est déjà bâtie pour gagner ou en plein reconstruction : Je resterai motivé de la même façon. Je ressens, à 23 ans, le moment de prendre certaines responsabilités." La vente de Tonali a ouvert, de façon inattendue, un canal avec le Milan qui recherche un grand milieu de terrain, vous faites aussi l’objet d’offres en provenance de l’étranger. Est-ce qu’il y a quelque chose qui pourrait vous renfermer ? "Je peux seulement vous dire ce que j’ai garanti à Giovanni Carnevali: Si des offres irrenonçables arrivent, elles seront écoutées : irrenonçables hein." Le 4-2-3-1 n’est pas idéal vu votre profil… "Sassuolo a évolué de cette façon lors de ma première saison avec des bons résultats grâce à Dionisi. Il n’en reste pas moins qu’à trois au milieu, je peux donner plus." Marchisio vous a publiquement envoyé à la Juve, Carnevali a rencontré la Direction turinoise, vous seriez-vous en concurrence pour ce maillot avec on Milinkovic: Que ressentez-vous . "Marchisio est à part car nous sommes amis : Saviez-vous que nous avions la même peur de l’avion ? Dans l’avion pour Ibiza, j’ai fait un saut dans la cabine de pilotage pour savoir si des turbulences étaient prévues. Et pour Milinkovic, ben c’est l’un des plus grands, il a plus de talent que moi mais si je suis en ballotage avec lui cela veut dire que le travail forte ses fruits : Je travaille comme une bête, j’ai une faim incroyable." Votre ami Scamacca pourrait aller à la Roma, seriez-vous ouvert à l’idée d’couter les sirènes tentatrices de la Capitale ? "Non, j’ai appris à raisonner avec le cerveau, je cherche à être plus bien plus lucide dans mes choix et dans la gestion de mes émotions." Il y a un an, vous vouliez fuir Sassuolo, avez-vous bien fait d’y rester ? "Oui, sans l’ombre d’un doute, j’ai énormément de reconnaissance pour ce club, je le porterai toujours au fond de mon cœur. A présent, je suis prêt à partir : Dionisi a été très important dans ma croissance : Lui et le Club ont compris qui j’étais et m’ont attendu pour me remettre sur les bons rails. Il y a des moments dans la vie qui vous marque le plus et cela s’est produit pour moi l’été dernier." Davide, on sait que vous allez porter le maillot d’un Top Club, mais si vous vous plantez lors d’un match, vous ferez face à une pluie de critique… "Et c’est ce qui est beau, je veux faire de mon mieux de la première à la dernière rencontre." Un maillot rayé de bleu, de blanc ou de rouge ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. C'est l'information de la journée signée du Libero : Après le sondage culoté effectué par les Rossoneri sur notre Diable Rouge, la Direction Nerazzurra a décidé de revenir à la charge pour Marcus Thuram, cible prioritaire de l'Ac Milan en attaque "Le derby est lancé sur le Mercato entre l'Inter et le Milan est lancé. Non seulement Davide Frattesi est dans le viseur des deux clubs, mais les négociations sur le marché de l'attaque se chevauchent. Milan sonde Lukaku et l'Inter s'intéresse de nouveau à Marcus Thuram." Si les Nerazzurri s'intéressent depuis des semaines à l'Azzurro de 23 ans, ces dernières heures, le Milan, qui devra remplacer Sandro Tonali, est entré dans la danse. Et si le prix était auparavant fixé à 35 millions d'euros, avec l'irruption du Diavolo, Sassuolo a fait monter le prix de vente à 40 millions d'euros. "Et si les Rossoneri s'emparent de Frattesi, les Nerazzurri répondront de la même façon pour Marcus Thuram (25 ans), agent libre après son départ du au Borussia Mönchengladbach. Milan a offert 5 millions d'euros par saison au Français, mais le joueur n'a pas encore accepté la proposition et l'Inter est prête à en profiter. Le Français représenterait d'ailleurs l'alternative parfaite à Lukaku, dont l'avenir est tout tracé". En parlant de Thuram, celui-ci a d'ailleurs annoncé qu'il annoncera sa décision dans les prochaines 24h00 après le retour en force des Nerazzurri! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  4. La pression de Chelsea sur Romelu Lukaku pour qu'il accepte une offre de l'Arabie ou, de façon surprenante, de l'Ac Milan, qui est prêt à s'emparer du Belge après la vente de Tonali à Newcastle, se fait de plus en plus insistante. Du côté de la péninsule arabique, il y a aussi Koulibaly, qui insiste auprès de son ami Romelu pour le convaincre de le rejoindre à Al Hilal. Mais l'attaquant belge ne veut que l'Inter et il est prêt à le répéter : "Il est en contact permanent avec Roc Nation car il sait que nous sommes arrivé à un moment clé pour décider de son avenir professionnel". Son désir de rester à l'Inter n'a pas changé et il l'a déjà exprimé aux dirigeants de Chelsea, même lorsqu'on lui a proposé d'aller jouer en Arabie Saoudite. Comme le confirme également la Gazzetta Dello Sport, il est d'ailleurs prêt à le répéter lui-même à Boehly s'il en a l'occasion. Les excellentes relations entre le propriétaire des Blues et Roc Nation l'y aideront peut-être car le numéro 90 des Nerazzurri estime qu'à son âge (30 ans) il est trop tôt pour émigrer en Arabie et il veut encore gagner et être un protagoniste en Europe....avec le maillot de l'Inter. D'un autre côté, il y a l'insertion du Milan dans le dossier qui au lieu d'un prêt comme le propose l'Inter, offre aux Blues la possibilité d'acheter le joueur, ce qui complique la vie lors des négociations: Sur le plan émotionnel, Lukaku est extrêmement lié à l'Inter et il ne serait pas du tout facile pour lui de porter le maillot du rival de la ville. Il resterait dans la ville qu'il aime, mais ce serait probablement plus ... "inconfortable." En Arabie, là-bas, ils n'ont pas perdu l'espoir de le convaincre et Chelsea l'espère aussi. Les émissaires de la Saudi Pro League ont installé leur quartier général à Londres, au luxueux Haytt Regency Hotel, à Portman Square, un hôtel à 1. 000 euros la nuit qui a déjà accueilli Barack Obama: "De là, ils tirent les ficelles des transferts et achètent des renforts pour les quatre formations contrôlées par Pif, le fonds souverain saoudien qui possède aussi Newcastle : Al Ahli, Al Ittihad, Al Hilal et Al Nassr. Ils ont déjà convaincu Neves, Ziyech et Kante et ils sont à deux doigts de Koulibaly et Mendy. Ils ne s'arrêteront pas en si bon chemin." Lukaku, lui, tient bon pour l'instant et ne veut que l'Inter ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  5. Davide Frattesi et Romelu Lukaku ne sont ni Sandro Tonali, ni Milan Skriniar, les deux premiers ayant donné leur parole d’Homme à Giuseppe Marotta Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "Pour les hommes d’Honneurs, la parole vaut bien plus que milles contrats. Oui ce sont des paroles et rien n’est écrit, mais cela permet à l’Inter de se sentir pleinement, encore, en course pour Davide Frattesi. Pour Rom, il suffit de se souvenir la façon dont il s’est comporté il y a douze mois pour comprendre à quel point il est lié au monde Nerazzurro et à quel point il y voit son avenir." Sur base de ces deux promesses, celle de Lukaku et de Frattesi, on pourrait être sûr qu’ils seront sans aucun doute des joueurs de l’Inter, "mais il y a encore tant de facteur en jeu et l’Inter ne peut pas se sentir encore à l’abri de très mauvaise surprise", en ce sens que Giuseppe Marotta, l’Administrateur-Délégué "n’entend pas (et ne peut pas) participer à une surenchère." La situation est d’autant plus différente pour Romelu "Il est extrêmement lié aux Tifosi avec lesquels il se sent encore coupable d’être parti à l’improviste il y a deux ans. Il est extrêmement lié à Steven Zhang, c’est avec lui qu’il avait anticipé l’extraordinaire parcours en Ligue des Champions de l’Inter. C’est aussi avec les Tifosi que Lukaku était descendu dans la rue pour célébrer le Scudetto 2021 avec le Maillot Nerazzurro." C’est aussi lui qui a continué à envoyer des messages d’amour, lors de cette saison, au moment les plus difficiles de la saison et même après Istanbul : "Nous reviendrons nous battre avec l'espoir d'atteindre ce moment où l'histoire sera écrite". Et Davide semble ne pas vouloir décevoir notre Padrino Marotta a également trouvé un accord avec le joueur, pour un contrat de cinq ans et deux millions d’euros par saison. Tout est réglé, en somme. Mais pour arriver à la fumée blanche finale, il manque encore un transfert (une vente) pour boucler l'affaire: "Et l'Inter s'empresse actuellement de valider cette dernière case" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Ces derniers jours, une offre de Newcastle est arrivée à l’Inter pour Nicolò Barella à hauteur de 58 millions d’euros. Cette offre est très loin de la valeur estimée par le club : 80 millions de livre sterling soit 93 millions d’euros! Selon l’Independent Newcastle sort les muscles en disant "Ne pas vouloir offrir plus que 50 millions de livre sterling vu la situation économique du club italien." Cette stratégie n’est pas payante étant donné que l’Inter n’a nullement l’intention de baisser la valeur du Champion d’Europe et finaliste de la Ligue des Champions." Réaction de Steven Zhang Cartouche milanaise Si Liverpool et en particulier Jurgen Klopp tiennent en admiration Nicolò, les Reds sont effrayés par le prix, raison pour laquelle "ils se dirigent vers Khephren Thuram de Nice qui est une solution plus abordable" "Newcastle semble avoir déposé les armes et est disposé à regarder ailleurs. Les nom de Tonali et Conor Gallagher de Chelsea étant considérés comme des alternatives au milieu Nerazzurro." Prenez Sandro ! Il excelle dans les remises d’un second ballon en jeu ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. En effet, au cours de l’interview d'avant-match, un journaliste, le même qui avait interrogé Simone Inzaghi sur la désignation arbitrale de la rencontre, a tenu à tourner la situation à son avantage Selon le journaliste Simone Inzaghi aurait tenu des propos irrévérencieux sur la situation relative au fait que l’arbitre soit français et que le Milan dispose de joueurs français en insistant : "Ce sont les mots d’Inzaghi." Toutefois, il s’agit d’un pure mensonge au point même que même l'attaché de presse du Milan a corrigé l'imprudent journaliste : "Inzaghi a dit quelque chose de différent, alors passons à autre chose", en faisant référence à Inzaghi. Suivi d’un Stefano Pioli auteur d’un "Pas de commentaire" et d’un Sandro Tonali invitant à trouver un arbitre sans nationalité En fait, Inzaghi a dit quelque chose de complètement différent : "Je ne parle pas beaucoup des arbitres, même si parfois je ne peux pas me retenir. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué différemment, je parle de la faute de Krunic sur Bastoni, qui aurait donné un résultat différent et très important. Cela n'a pas été le cas et il n'y a pas de problème avec cela. J'ai beaucoup d'amis et de connaissances dans le football qui, lorsqu'ils ont vu la désignation d'un arbitre français avec les quatre joueurs français de l'équipe de Milan se sont interloqués... mais il n'y a pas de problème, j'ai la plus grande confiance". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Et ce vieil adage s’applique pour l’Inter qui n’est plus "qu’à" 90 minutes de la Finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes. 7ème Clean Sheets ! Encore une fois l’équipe de Simone Inzaghi n’a pas encaissé de but en Ligue des Champions, ces 7 matchs sans buts encaissés sont un record dans l’Histoire du Club, un mérite qui revient encore plus à la ligne défensive Nerazzurra et à André Onana. Dans cette édition, cette série de 7 matchs sans buts encaissés est la meilleure statistique de l’ensemble des participants, à égalité avec le Bayern de Munich. A Quand remonte la dernière défaite des Nerazzurri en phase à élimination directe ? A domicile, face à Liverpool lors de la manche aller des huitième de finale de la Ligue des Champions, ce n’est donc pas un hasard si le Milan n’a su réaliser que deux tirs cadrés. Neufs ont été non-cadrés dont le poteau de Sandro Tonali en seconde période. Francesco Acerbi s’est battu, Matteo Darmian est toujours resté très attentif comme à son habitude et Alessandro Bastoni dégage cette aura de confiance, celle qui te pousse à ne pas se perdre, mais à se montrer efficace, preuve en est ses slaloms dans le camps de l’adversaire. Stat avant le Derby Della Madonnina! Il y a également l’entrée magistrale de Stefan De Vrij depuis le banc de touche de cette épopée que représente ce Derby Européen. Le milieu de terrain qui avait connu un début de printemps apathique est devenu intraitable et constant pour une moyenne de 100 minutes par matchs, lui qui est le filtre indispensable pour le trio défensif. Série positive Mieux encore, lors des six derniers matchs, l'Inter n'a encaissé qu'un seul but face à la Lazio, qui n'aurait pas existé sans l'erreur d'Acerbi qui a ouvert un boulevard à Felipe Anderson : Cinq matchs sans buts encaissés sur six qui se répartissent entre la Serie A, la Coppa Italia et la Ligue des Champions : Une situation qui n'était plus arrivé depuis août 2020 et le Post-Confinement avec Antonio Conte sur le banc entre le final de la saison en Serie A et la Finale de l’Europa League face à Séville. Pour les Tifosi, il faut remonter 40 ans en arrière pour revoir une situation similaire face à l’Ac Milan. Il faut remonter à 1980 pour voir l’Inter ne pas encaisser le moindre but lors de trois derby de suite. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. C’est une anecdote dévoilé par le Corriere Dello Sport qui dresse un comparatif entre Edin Dzeko et un très célèbre Héros du Triplé: "L'âge ne compte pas pour Edin Dzeko : on l'a vu il y a deux jours, lorsqu'il a rendu folle la défense du Milan AC en offrant à l'Inter sa septième Supercoupe d'Italie de son Histoire." "Auteur d’une performance magistrale, la célébration de l'attaquant bosniaque a déclenché d'importantes comparaisons : Surtout, celle avec Diego Milito en finale de la Ligue des Champions 2010." "Ce dribble avec lequel il a mis à terre Tonali, en fait, était typique du répertoire d' "Il Principe", preuve en est le but du 2-0 face au Bayern Munich avec comme victime de Daniel Van Buyten." "Ensuite, l’argentin a couru exulter vers le drapeau, en se pliant à genoux….une célébration également réalisée par Edin Dzeko avant de recevoir les félicitations de ses équipiers." Question piège: Lequel des deux buts est le plus beau ? ®Antony Gilles – Internaionale.fr
  10. Le derby della Madonnina s’est soldé par notre deuxième défaite de la saison. L’Inter eût un blackout pendant une demie heure et le Milan en profita. Récit de cette triste soirée. Comme rapporté par le journal l’Equipe, pour répondre à la crise énergétique du pays, la Serie A va limiter à quatre heures l'utilisation des projecteurs dans les stades les jours de match. Comme le gouvernement français, le Championnat italien s'apprête à réduire sa consommation d'énergie dans les stades dans le but de répondre à la crise énergétique que traverse le pays. La Serie A a annoncé dans un communiqué publié vendredi mettre en vigueur une nouvelle règle pour limiter à quatre heures l'éclairage dans les stades italiens. Cette règle devrait permettre de réduire l'utilisation des projecteurs d'environ 25 %, pour faire face à la hausse drastique des prix de l'électricité. Lors des matches commençant entre 12 h 30 et 18 h, heure locale, les lumières ne seront allumées qu'une heure avant le coup d'envoi, contre 90 minutes auparavant. Les lumières s'allumeront encore 90 minutes avant le coup d'envoi pour les matches de la soirée. Voulant montrer l’exemple, notre Inter a été encore plus loin en coupant le jus pendant 30 minutes, soit 33% du temps du match. Si elle a effectué une économie d’énergie de 33%, elle a malheureusement laissé filer 3 points cruciaux dans la course au titre. Hé oui, l'Inter a perdu son derby della Madonnina, les Rossoneri étant sortis vainqueurs 3-2 grâce à un doublé de Leao et un but de Giroud. Un âpre combat en seconde période n'a pas suffi aux Nerazzurri qui ont pris les devants grâce à Brozovic avant de concéder 3 buts de suite. L’entrée de Dzeko, qui en a marqué un, a fait, un peu, la différence pour l'Inter, puis s'est rapproché de Lautaro et Calhanoglu dont les efforts ont été arrêtés par Maignan, qui a empêché les hommes d'Inzaghi d'en marquer un troisième. Ce n'était que la cinquième journée, mais la tension, les attentes et le désir d'encourager, de crier et de jouer étaient tous là, comme c'est toujours le cas avec le derby milanais. L'ambiance du stade, les chorégraphies, les regards des supporters et des joueurs avant le coup d'envoi : rien de tout cela n'a manqué. Les premiers échanges ont été tendus et le premier tir cadré a eu lieu à la 17e minute alors que Leao testait Handanovic. Cela avait été une vraie bataille jusque-là, avec les milieux de terrain se faisant face et Dumfries et Hernandez s'affrontant et récoltant des cartons jaunes. Les Nerazzurri essayaient de déplacer le ballon au sol pour avancer et avoir des occasions. À la 21e minute, l'Inter a pris les devants avec un mouvement brillamment travaillé, coupant complètement la défense milanaise. Le ballon a été joué vers Lautaro qui l'a protégé avec brio avant de trouver Correa. L'Argentin l'a ensuite transmis à Brozovic qui n'a commis aucune erreur en passant Maignan. Le but, cependant, a donné vie à Milan. Le match a radicalement changé alors que les Rossoneri contrôlaient le reste de la mi-temps. Avec Giroud en tête, les hôtes ont pressé l'Inter et causé toutes sortes de problèmes aux visiteurs. Les hommes d'Inzaghi avaient du mal avec leur jeu de construction, perdaient trop de balles et avaient du mal à gérer les courses des Rossoneri. L'égalisation est arrivée de cette manière alors que Tonali a intercepté une passe lâche de l'Inter au milieu et a passé à Leao, qui a fait le reste. 1-1. L'Inter n'a pas réussi à trouver une réponse alors que Milan mettait la pression. D'autres erreurs de passe ont donné des chances à Tonali et Hernandez. Aucun autre but n'est arrivé avant la pause, mais la seconde mi-temps a commencé comme la première s'était terminée. Le sang-froid faisait défaut pour l'Inter alors qu'ils luttaient pour bien construire. Ensuite, les Rossoneri ont frappé deux fois en l'espace de six minutes. Tout d'abord, Leao a récupéré le ballon pour Giroud qui a marqué du pied gauche (54e); puis, à l'heure de jeu, Leao a pu dribbler Bastoni et De Vrij, totalement fantomatique, et marquer le troisième but du Milan. C'était un énorme double coup mais un score juste à ce moment-là : 3-1. Cependant, l'Inter a alors retrouvé son courage et sa détermination et a commencé à menacer. Inzaghi a envoyé Dzeko et le Bosniaque a eu un impact immédiat, interceptant le centre de Darmian et réduisant le score. C'est un final qui a redynamisé les fans des Nerazzurri et qui a inquiété Milan. Pendant les 15 minutes suivantes, l'Inter a assiégé le but des Rossoneri. Lautaro a tiré dessus avec son gauche avant d'être repoussé par Maignan, qui a pu repousser sa tête. Il semblait qu'un but égaliseur se profilait à l'horizon : Dzeko a forcé Maignan à un autre arrêt, tandis que le gardien français a ensuite effectué un arrêt de haut vol pour écarter la fusée de Calhanoglu. C'était à la 77e minute, l'Inter ayant du mal à vraiment menacer le but des Rossoneri par la suite. Le match a tourné court pour les Nerazzurri, qui ont goûté à la défaite lors de la cinquième journée. Ce blackout d’une demie heure a couté très cher à l’Inter, 3 points. Il faudra resserrer cette défense pour le match contre le Bayern et qu’Inzaghi trouve une solution pérenne pour la lute au Scudetto. En effet, si nous perdons des points contre les grosses équipes, les espoirs de titre vont vite s’estomper. Si économiser de l’énergie pour éviter le gaspillage est une solution de bon sens, lors d’un derby, il n’y aucune économie à faire car un derby est un match qu’on gagne, pas qu'on joue. La Serie A va faire économiser 25% d’énergie pour le "bien" de la planète, l’Inter a économisé 33% pour rien. Feuille de match : MILAN 3-2 INTER Buteurs : 21' Brozovic (I), 28' Leao (M), 54' Giroud (M), 60' Leao (M), 67' Dzeko (I) MILAN (4-2-3-1) : 16 Maignan ; 2 Calabre (24 Kjaer 84'), 20 Kalulu, 23 Tomori, 19 Hernandez ; 8 Tonali (32 Pobega 84'), 4 Bennacer ; 30 Messias (, 56 Saelemaekers 73'), 90 De Ketelaere (10 Diaz 63'), 17 Leao ; 9 Giroud (27 Origines 73'). Remplaçants : 1 Tatarusanu, 83 Mirante, 5 Ballo Touré, 7 Adli, 14 Bakayoko, 21 Dest, 28 Thiaw, 40 Vranckx, 46 Gabbia. Entraîneur : Stefano Pioli. INTER (3-5-2) : 1 Handanovic ; 37 Skriniar, 6 De Vrij (33 D'Ambrosio 84'), 95 Bastoni (32 Dimarco 63') ; 2 Dumfries, 23 Barella (22 Mkhitaryan 63'), 77 Brozovic, 20 Calhanoglu, 36 Darmian (8 Gosens 84') ; 10 Lautaro, 11 Correa (9 Dzeko 63'). Remplaçants : 21 Cordaz, 24 Onana, 5 Gagliardini, 12 Bellanova, 14 Asllani, 15 Acerbi, 45 Carboni. Entraîneur : Simone Inzaghi. Averti : Dumfries (I), Hernandez (M), Giroud (M), De Ketelaere (M), Tonali (M) Temps additionnel : 1' - 5' Note : Simone Inzaghi averti (I) Arbitre : Chiffi. Assistants : Meli, Peretti. Quatrième arbitre : Marcenaro. VAR : Di Paulo. Assistant VAR : Paganessi. Traduction alex_j via le site officiel et l'Equipe.
  11. Milan - Le verdict est tombé : les banderoles et les insultes adressées à l'Inter et à ses joueurs lors de la célébration du Scudetto ont coûté cher à l'AC Milan. Suite à l'accord conclu par les parties, quatre joueurs des Rossoneri, à savoir Theo Hernandez, Rade Krunic, Mike Maignan et Sandro Tonali ont été sanctionnés pour avoir violé l'article 4, paragraphe 1, du Code de justice sportive pour leur comportement lors des célébrations du 19ème Scudetto des Rossoneri. Krunic a été sanctionné d'une amende de 5 000 €, et Theo Hernandez, Maignan et Tonali d'une amende de 4 000 €. L'AC Milan a également été sanctionné pour responsabilité stricte avec une amende de 12 000 €. De quoi les priver des vacances d'été! ©Internazionale.fr, via FCinternews.it- Traduction Oxyred
  12. Ce samedi soir, à Giuseppe Meazza, deux des plus grandes entités du football européen, l'Inter et le Milan, s'affrontaient dans le cadre de la 24ème journée de Série A. L'enjeu était énorme pour les deux formations. Pour les hommes de Simone Inzaghi, il y avait la possibilité de s'échapper en tête de la Série A, en prenant 7 points d'avance sur son adversaire du jour. Les Rossoneri quant à eux avaient une formidable opportunité de récoller à 1 petit point de son rival Nerazzurri. Et c'est bien l'équipe de Stefano Pioli qui raffle la mise au cours d'un fantastique Derby della Madonnina. Retour sur un match qui laissera de gros regrets à l'Inter. L'Inter de Simone Inzaghi est fidèle à elle-même. Elle prend les commandes du jeu dès la première minute. De son côté, le Milan presse haut les Nerazzurri, avec notamment un "marquage à la culotte" de Franck Kessié sur Marcelo Brozović, le cerveau du milieu de terrain de l'Inter. Le début de match est plutôt haché, les contacts sont rugueux, autoritaires. Le jeu de l'Inter se passe en grande partie sur le côté du Néerlandais Denzel Dumfries, qui rencontrait un sacré client, en la personne de Theo Hernandez. Au milieu de terrain, la bataille tactico-physique fait rage : Marcelo Brozović, Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu d'un côté, et Ismaël Bennacer, Sandro Tonali et Franck Kessié de l'autre. L'on sent de grandes qualités techniques des deux équipes. Cela se confirme quelques minutes plus tard. Çalhanoğlu décale Ivan Perisić dans l'intervalle, qui centre fort en première intention au second poteau. Tout là bas, Dumfries mange Theo Hernandez et envoie une tête placée dans le tier inférieur des cages de Mike Maignan. Le stade exulte, mais bien malheureusement, Perisić est signalé hors-jeu au départ de l'action. C'est la première grosse alerte pour le Milan. Dans la foulée, à la onzième minute, c'est Brozović qui tente sa chance de loin. Sa frappe est déviée par Pierre Kalulu puis miraculeusement stoppée par Maignan. Les vagues déferlent, notamment du côté droit, où Dumfries domine Theo Hernandez. Le piston Interiste réalise très certainement son meilleur match sous les couleurs Nerazzurri. Barella déclenche lui aussi, de l'extérieur du droit. Sa tentative passe à côté du poteau droit de Maignan. Sur l'action suivante, Dumfries parvient à se retrouver seul en face à face avec Maignan. Mais le portier français remporte encore une fois son duel. Encore après, Edin Džeko contraint Kalulu à mettre sa tête pour sauver la maison Milanaise, sur une remise de la tête de Lautaro Martínez. Les occasions défilent, mais le but lui ne vient pas. Le Milan est noyé par l'Inter. Au milieu de terrain, le trio Nerazzurri prend l'ascendant sur celui des Rossoneri. Brozović se joue de Kessié, tandis que Barella et Çalhanoğlu se baladent à ses côtés. Devant, le duo Džeko-Lautaro domine la charnière Romagnoli-Kalulu. Derrière, l'Inter musèle parfaitement les attaquants Milanais, en particulier leur côté gauche Rafael Leão-Theo Hernandez. L'Inter maîtrise son match et son adversaire. La première frayeur pour l'équipe d'Inzaghi vient d'une frappe lourde de Tonali. Samir Handanović s'employe pour détourner la tentative du milieu Italien. Dans la foulée, une frappe de Leão est déviée de justesse par Perisić, qui voit le ballon filer à quelques centimètres du but d'Handanović. Le couperet tombe à la trente-huitième minute. Çalhanoğlu botte un énième corner dans la boite, et Perisić, qui vient de sauver une balle décisive, reprend le ballon de volée. Sa reprise ras de terre ne laisse aucune chance à Mike Maignan, enfin battu. Le Turc égalise Sergej Milinković-Savić au nombre de passe décisive en haut du tableau des passeurs de la Série A. La domination Interiste est récompensée. Les Rossoneri s'agacent, Theo Hernandez commet une vilaine faute sur Barella. Il s'en sort très bien, sans avertissement. La mi-temps arrive, mais Brozović en décide autrement. Le Croate envoie sur orbite Çalhanoğlu, mais une superbe sortie de Maignan coupe l'action et prive les Nerazzurri d'une balle de break. Dernière chaleure pour les coéquipiers de Tonali, les deux équipes rentrent au vestiaires sur ce score de un à zéro pour l'Inter. Tactiquement, Simone Inzaghi mate son adversaire du jour en bloquant tout ce qui fait ses forces. L'on parlerai presque d'une leçon de football. Au retour des vestiaires, Alexis Saelemaekers, totalement inexistant, cède sa place à Junior Messias. Le match redémarre là où il s'était arrêté : un bon enchaînement de passe se termine dans les pieds de Çalhanoğlu, qui est repris in-extremis par un énorme retour de Bennacer. Le match se poursuit de la sorte, avec tout de même un peu moins de rythme. Mais tout va changer à la cinquante-huitième minute. Pioli sort Kessié et fait rentrer Brahim Díaz. Le petit Espagnol, de part son petit gabarit et son agilité, perturbe énormément la défense Nerazzurri. Partant de là, le Milan ressort progressivement la tête de l'eau. Tonali s'essaie sur coup-franc, sans succès, puis Leão, qui voit sa frappe terminée dans les travées de Meazza. Le deuxième tournant du match vient à la soixante-dixième minute. Simone Inzaghi décide de sortir Perisić et Lautaro, pour faire entrer Alexis Sánchez et Federico Dimarco. Le match contre le Napoli, la semaine prochaine, est déjà dans les têtes. Mais ces changements sont le début de la fin pour l'Inter. Olivier Giroud égalise à un quart d'heure du terme, sur une passe contrée de Díaz. Les Nerazzurri perdent le contrôle du match, notamment à cause de la sortie de Perisić, qui fût un des meilleurs sur la pelouse. Dimarco ne parvient pas à réaliser la moitié du quart de ce que faisait le Croate. Le match va virer au cauchemar trois minutes plus tard, quand Giroud malmène Stefan De Vrij puis place une frappe puissante dans la petit filet droit d'un Samir Handanović pas exempt de tout reproche. Le Milan prend les devants et mène deux buts à un. La désillusion est totale. Une Inter qui avait pourtant tant dominée les débats se retrouve menée à dix minutes du terme. Inzaghi abandonne presque le match en sortant Brozović, sous le coup d'une suspension. L'Inter sort de sa rencontre et se tend, à l'image de Milan Škriniar. Les quelques coups de pied arrêtés sont mal négociés par Dimarco, décidément pas dans un bon jour. Le match va s'achever sur une faute dangereuse de Theo Hernandez sur Dumfries, qui va écopé d'un carton rouge. Il sera suspendu pour la réception de la Sampdoria. L'arbitre Marco Guida siffle la fin d'un Derby qui nourrira de gros regrets du côté des Nerazzurri, qui voient leur voisin se rapprocher à un petit point d'eux. À noter que l'Inter a toujours un match en retard, qui sera à joué contre Bologne. Toujours est-il que les hommes de Simone Inzaghi doivent vite se remettre la tête à l'endroit, car la semaine prochaine, ils iront au stade Diego Armando Maradona pour y défier le Napoli, qui a lui aussi la possibilité de revenir à 1 point en cas de victoire face à Venise. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Milan Buteur(s): 38' Perisić (I), 75' 78' Giroud (M) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (82' 36 Darmian); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (82' 8 Vecino), 20 Çalhanoğlu (73' 22 Vidal), 14 Perisić (70' 32 Dimarco); 10 Martínez (70' 7 Sánchez), 9 Džeko Banc: 7 Sánchez, 36 Darmian, 8 Vecino, 22 Vidal, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 97 Radu, 32 Dimarco, 41 Curatolo, 5 Gagliardini Entraîneur: Simone Inzaghi Milan (4-2-3-1): 16 Maignan; 2 Calabria, 20 Kalulu, 13 Romagnoli, 19 Hernandez; 8 Tonali, 4 Bennacer (80' 33 Krunić); 56 Saelemaekers (45' 30 Messias), 79 Kessié (58' 10 Díaz), 17 Leão; 9 Giroud Banc: 10 Díaz, 41 Bakayoko, 25 Florenzi, 27 Maldini, 33 Krunić, 23 Tomori, 30 Messias, 22 Lazetić, 46 Gabbia, 7 Castillejo, 83 Mirante, 1 Tătăruşanu Entraîneur: Stefano Pioli Arbitre: Marco Guida VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 21' Romagnoli (M), 60' Çalhanoğlu (I), 72' Díaz (M), 76' Bennacer (M), 84' Škriniar (I), 90+1' Krunić (M) Expulsé(s): 90+5' Hernandez (M) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  13. L'Inter pouvait réaliser le coup parfait contre son rival à San Siro, dans le cadre de la 12ème journée de Série A. Les Nerazzuri, n'ayant pas su prendre le meilleur sur leur voisin milanais, devront, hélas, se contenter du point du match nul. Retour sur un match fort en intensité, en émotions, et qui nourrira des regrets pour les deux équipes. Le match débuté, les plans de jeu des deux équipes sont très vite identifiés. L'Inter joue en bloc bas/médian. Le Milan, quant à lui, montre de l'ambition dès la première minute en monopolisant le ballon, et en mettant une grande pression sur la surface Interiste. À peine le rouage Rossoneri huilé qu'un grain de sable vient déjà le perturber. Kessié récupère et est directement pris d'assaut par Džeko et Çalhanoglu. Le milieu Ivoirien commet l'irréparable et se fait avoir par le pressing du Turc. Il concède un penalty. Et comme un symbole, c'est bien l'ancien du Milan AC qui se charge de celui-ci. Hakan reste froid et vient ouvrir le score, malgré les huées de la Curva Sud. Ce pénalty conforte le Milan dans son plan de jeu. Il assiège les 16 derniers mètres de l'Inter. Leao allume les premières mèches à la 14' et 16', sans succès. Ensuite, Barella offre un coup franc à Sandro Tonali. Ce dernier, qui futun temps promis à la Beneamata, et comme un coup de poignard, offre l'égalisation au Milan, par le biais d'une superbe passe décisive à Stefan De Vrij. Le Néerlandais trompe son propre gardien. 1-1. Milan et San Siro exultent. Mais de son côté, Hakan Çalhanoglu semble boosté par l'accueil de ses anciens supporters. Le Turc réalise un gros début de match, généreux dans la dépense d'énergie, et créatif à la passe, malgré la bronca qui lui est réservée. À la 23', Lautaro Martinez défie Simon Kjaer côté droit. Le Danois remporte le duel. Le match s'intensifie. Vient ensuite la 25'. Fodé Ballo-Touré se fait feinter par Matteo Darmian, lancé en profondeur. Il vient alors concéder le deuxième pénalty de la rencontre. Cette fois-ci, c'est Lautaro qui prend ses responsabilités. Mais c'est bien le Roumain Ciprian Tatarusanu qui s'impose face à l'Argentin, laissant le tableau d'affichage inchangé. La physionomie du match reste la même. Les milanais ont la possession, mais une possession presque stérile. Les Nerazzuri quadrillent à la perfection le terrain et ne laissent que peu d'espaces à exploiter. Le seul à faire des différences se nomme Rafael Leao. Malgré une prise à deux systématique, le Portugais s'en sort souvent. Une frappe lourde de sa part à la 37' provoque un léger frisson. L'absence de Théo Hernandez se ressent côté Rossoneri, Ballo-Touré n'apportant pas le tiers du quart de ce qu'apporte l'ancien du Real Madrid. Lors des 5 dernières minutes de la première période, l'Inter augmente d'un cran le pressing. Bastoni dédouble avec Perisić. Il parvient à s'échapper côté gauche et à adresser un exellent centre en retrait pour Nicolò Barella. La frappe du natif de Cagliari est stoppée sur la ligne par Ballo-Touré. Dans la minute qui suit, c'est Lautaro Martinez qui tente sa chance, à la suite d'une combinaison avec Džeko et Darmian. Sa frappe rase le poteau droit de Tatarusanu. Daniele Doveri siffle la fin de ces 45 premières minutes à San Siro. L'Inter et le Milan partage l'enjeu : 1 but partout. Les deux équipes reviennent sur la pelouse au centre du volcan San Siro. Pierre Kalulu est entré à la place de Ballo-Touré. L'Inter maintient sa bonne forme des cinqs minutes précédentes. C'est au tour des Nerazzuri de mettre la pression sur la surface des Milanais. Les occasions s'enchaînent, dont une reprise d'un Çalhanoglu qui passe tout près du poteau droit de Tatarusanu, personne n'étant parvenu à couper cette balle. Les minutes s'égrainent, le score ne bouge pas. Les premiers changements arrivent à la 59', et les sorties de Leao et Diaz, pour Saelemaekers et Rebić. Le Croate fait mal à Darmian dès son entrée en jeu (littéralement). Nouveau coup de gaz de son compatriote Ivan Perisić à la 66', encore une fois sans succès. Sur l'action suivante, Barella effectue un très bon retour défensif, mais se blesse à la cuisse. Aucun risque n'est pris. Il cède sa place à Arturo Vidal. 68' : Zlatan tente d'enrouler un de ses premiers ballons exploitables. Il ne fait pas assez tourner son ballon, ce qui n'inquiète pas Samir Handanović. Tonali sort pour Bennacer à la 69'. Un des tournants de ce bouillant derby est la double frappe de Vidal, stoppées par Kalulu. Ces deux frappes seront les derniers dangers sur les buts Rossoneri. Darmian et Džeko sortent, visiblement à bout, au profit de Denzel Dumfries et Joaquín Correa. Malgré toute la bonne volonté de Simone Inzaghi, ses changements semblent déséquilibrer l'équipe. À l'approche du derniers quart d'heure, le Milan ressort peu à peu la tête de l'eau. Zlatan teste Samir Handanović sur coup franc. Le Slovéne sort la puissante frappe du Suédois. Le ballon fuse à gauche et à droite de la surface Interiste. Le danger semble pouvoir venir de n'importe où. La tension atteint son paroxysme lors de la 89'. Alexis Saelemaekers s'échappe au milieu de terrain. Il prend sa chance à ras de terre et manque de surprendre Samir Handanović de quelques centimètres, sa frappe venant s'écraser sur le poteau. Kessié suit, reprend en une touche et manque le cadre, à nouveau de quelques centimètres. Daniele Doveri siffle la fin de la rencontre au bout de 3 longues et irrespirables minutes de temps additionnel. L'Inter et le Milan partagent les points au terme d'un derby bouillant. Les Nerazzuri affronteront le Napoli, leader de Série A à égalité de points avec le Milan, le dimanche 21 novembre à 18:00, pour tenter de se rapprocher de la première place. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Milan 1-1 Inter Buteur(s): 11' Çalhanoglu (I), 17' De Vrij csc (M) Milan (4-2-3-1) : 1 Tatarusanu; 2 Calabria, 24 Kjaer, 23 Tomori, 5 Ballo-Touré (45' 20 Kalulu); 8 Tonali (71' 4 Bennacer), 79 Kessié; 10 Diaz (58' Saelemaekers), 33 Krunić (84' 41 Bakayoko), 17 Leao (59' Rebić); 11 Ibrahimović Banc : 64 Pellegri, 83 Mirante, 9 Giroud, 27 Maldini, 14 Conti, 25 Florenzi, 46 Gabbia Entraîneur : Stefano Pioli Inter (3-5-2) : 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (84' 32 Dimarco); 36 Darmian (76' 2 Dumfries), 23 Barella (68' 22 Vidal), 77 Brozović, 20 Çalhanoglu, 14 Perisić; 9 Džeko (76' 19 Correa), 10 Martinez (84' 7 Sánchez) Banc : 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 33 D'Ambrosio, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 97 Radu, 12 Sensi Entraîneur : Simone Inzaghi Arbitre : Daniele Doveri Averti(s): 26' Ballo-Touré (M) Expulsé(s): / ®Aurios-Inter - Internazionale.fr
  14. “Protagonistes sur le terrain et toujours plus symboles de l’Inter et du Milan: Nicolò Barella et Sandro Tonali se positionnent pour devenir les visages des deux équipes milanaises.” – telle est la déclaration de la Gazzetta Dello Sport qui salive déjà à l’idée d’une nouvelle rivalité historique. "Il nous revient en tête des Derbys antiques, avec l’arbitre Concetto Lo Bello sortant du tunnel du Meazza , moustachu, vêtu de noire avec son, col blanc, entre Sandro Mazzola et Gianni Rivera, escorté par deux policiers en par-dessus. Deux capitaines légendaires, deux héros d’épopées milanaises. Dans ce temps-là, c’était l’époque des extincteurs "Meteor"." "Barella et Tonali présentent des caractéristiques techniques et des caractères différents, c’est évident, mais ils pourraient devenir les Mazzola et Rivera des Derbys qui verront ces jeunes talents devenir des leaders, des capitaines sur le terrain, des radicalisés dans leur foi. : Enfants, aussi bien Nicolò que Sandro, supportaient déjà les équipes dont, aujourd’hui, ils défendent les couleurs." Pensez-vous que l’on assiste au retour des Capitaines à l’ancienne ? Selon vous, est-ce que Nicolò et Sandro ont ce qu’il faut pour devenir les nouveaux visages des deux géants de Milan ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Interviewé par Calciomercato.com, Mario Sconcerti s’est livre sur la lutte au Scudetto qui voit actuellement les écuries milanaises défier le club du Vésuve. Pour le journaliste italien, la Juventus est déjà hors-course "Le Milan a tout pour remporter le Scudetto, mais il n’est pas le seul. L’Inter est une équipe mieux préparée, elle a des joueurs capable de te faire remporter un match, même lorsque l’équipe ralentie. Je ne crois pas à une remontée de la Juve, et pas parce que ce n’est pas possible, mais par ce que l’Inter et le Milan me semblent plus complet : Tonali et Barella sont les meilleurs joueurs, en ce moment, du championnat." "Personne, parmi le Milan, l’Inter et le Napoli, ne dispose d’énormément de réserves au milieu du terrain, et ils ont tous les trois des entraîneurs qui n’ont jamais remporté le Scudetto, mais je crois que cette fois-ci, ils vont parvenir à le faire." Un dur retour à la réalité du côté turinois…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. C’est un fait, Sandro Tonali qui avait été courtisé depuis de nombreux mois à l’Inter, a fini par rejoindre le Milan Rossonero, son club de cœur. Mais pour quel motif ? Massimo Cellino avait promis à son joyau de le libérer cet été, outre l’Inter, l’Ac Milan s’était dernièrement inséré dans les transactions en proposant une offre légèrement supérieure à celle interiste. De son côté, Sandro Tonali et Giuseppe Bozzo (son agent) avaient promis de ne pas rompre le pacte mis en place, un pacte qui voyait Sandro rejoindre le Milan Nerazzurro. Toutefois, dans le contexte actuel, l’Inter de Beppe Marotta se devait de vendre certains de ses indésirables afin de libérer une place physique et également financière pour le milieu de terrain de la Rondinelle. A cette fin, Giuseppe Marotta avait demandé une prolongation de l’accord établi jusqu’au 10 septembre pour débroussailler l’entre-jeu. Cette fois-ci, Cellino a décidé de ne plus offrir de nouveau délai à l’Inter et a accepté l’offre milanaise soit 38 millions d’euros bonus compris contre celle de 35 millions d’euros. Sandro Tonali, rassuré par Paolo Maldini sur le projet du Milan, a décidé d’accepter cette offre, une décision loin d’être douloureuse étant donné que le milieu de terrain est tifoso depuis sa plus tendre enfance du Milan. Vidal, Kanté et ... La réalité pourrait également être tout autre. En effet, selon les dernières informations en notre possession, Antonio Conte aurait demandé à avoir des joueurs déjà apte. En conséquence, il semble "facile" de comprendre qu’il est bien plus intéressant de conserver presque 40 millions d’euros pour recruter un joueur du calibre de N’Golo Kanté, plutôt que de miser sur une jeune promesse italienne. Concernant Arturo Vidal, un Derby d’Italie semble se profiler, reste à savoir s’il préférera rejoindre la Juventus ou l’Inter de Conte. Il ne faut pas oublier qu’il serait possible d’ajouter Tanguy Ndombele dans le cadre d’un éventuel échange avec Tottenham et l’insertion de Milan Skriniar ou de Marcelo Brozovic. Cautionnez-vous et validez-vous cette interruption des négociations ? Est-ce plus intéressant de recruter Kanté que Tonali ? Exprimez-vous ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  17. Piero Ausilio s’est entretenu avec Gianlunca Di Marzio dans le cadre de la cérémonie d’ouverture du mercato estival 2020. Ère Conte II "Plus qu’un pacte, une idée commune d'une façon de travailler à pris forme. C’était important d’échanger, c’était une réunion très fructueuse. Une stratégie convenant à tous a été mise en avant. Elle est partagée par tous, par l’entraîneur et par le Club. Nous devions définir cette vision commune et la mettre en avant. Tout ce que nous faisons et tout ce que nous ferons sera totalement partagé en accord avec l’entraîneur." L’Inter semble ne pas pouvoir réaliser certaines dépenses. Que dire sur ce qui entoure Messi ? "J’avais déjà dit la vérité en déclarant qu’il n’y avait rien. Je ne sais même pas d’où certaines pensées peuvent trouver leur origines. Lorsque l’on parle de Messi, je pense qu’aucun Directeur Sportif ou Président au Monde, ne voudrait ne pas l’avoir. Mais ensuite, il y a la réalité et c’est très différent. Notre idée est que nous sommes et que nous devons être très attentifs et très prudent dans tout ce que nous définissons." "On parle de joueurs et de négociations, je lis des noms difficiles à atteindre quotidiennement, mais nous savons comment nous devons agir. Nous devrons faire face aux ventes. Et c’est sur cette base et sur la palette découlant du Fair-Play-Financier que nous comptons financer les recrutements. Nous avons toujours été clair, suite à cette réunion, nous sommes tous ressorti plus uni, même dans un contexte difficile actuellement. En sachant qu’il s’agira d’un mercato difficile car les opportunités seront très rares. A l’heure actuelle, nous ne pouvons absolument pas nous lancer dans des investissements très onéreux comme cela est sorti dernièrement dans les médias." Est-ce inexact de dire que le Suning ne veut pas investir ? Etant donné l’on parle d’une période de difficulté globale... "Il me semble qu’il n’y a pas ce type d’agissement au niveau international. Nous connaissons nos possibilités et nous avons confiance en nos capacités, nous n’avons pas à le répéter quotidiennement. Nous avons des idées pour améliorer cette équipe et je sais quelles sont les difficultés de vendre des joueurs transférables. Avant de faire face à certaines situations, nous devons clairement analyser quelles seront nos possibilités et quelles seront nos limites." Que s’est-il passé avec Tonali ? "Des choses inexactes ont été dites sur Tonali, je ne peux pas vous dire avoir un joueur entre les mains si je n’ai pas débuté une négociation avec son club d’appartenance. Tonali est un joueur séduisant et qui me plaisait, il n’est pas devenu moins bon car il est à présent au Milan. " "L’Inter n’était simplement pas capable de réaliser un investissement de ce type, ce n’était pas une priorité, j’estime que nous devons chercher à améliorer l’équipe à travers des possibilités qui ne nous ont pas permis en ce moment de consentir à un tel investissements." "Son nom n’était pas pris en considération, je le répète car nous n’avions jamais commencer à discuter. Nous avons tellement de joueurs à ce poste, nous devons dégraisser et ensuite nous nous pencherons sur les éventuelles arrivées." Nainggolan ? "Nainggolan est un joueur de l’Inter, il a encore deux ans de contrat. Il s’est présenté aujourd’hui normalement au Raduno. Il fait ce que doit faire un professionnel, à savoir se mettre à la disposition de son propre club et de l’entraîneur. Nous allons l'évaluer attentivement et la possibilité qu’il reste n’est pas à exclure. Nous parlons d’un excellent footballeur qui peut s’améliorer sur beaucoup de choses, et je ne me réfère pas au terrain, mais au respect des règles comportementales qui doivent être égales et respectées par tous. Il aura sa chance, à lui de la saisir et de démontrer qu’il souhaite jouir de cette opportunité." Vidal ? "Ce n’est pas l’un de nos joueurs, Nainggolan oui. Je peux dire de lui que c’est un autre joueur qui plait à tous ceux qui aiment le football, mais nous verrons. Il a un contrat avec Barcelone, il faut que rester aussi attentif à cette situation." Kolarov? "Oui, je peux vous le confirmer, nous sommes dans une négociation avec la Roma et le joueur, quand les choses se réalisent d’une façon clair et transparente comme c’est le cas ici, je peux le confirmer. Je ne peux pas vous confirmer que c’est déjà un joueur de l’Inter, car il y encore beaucoup de choses à mettre en place. C’est un travail et en fin de négociations, les choses se terminent soit en bien soit en mal. Mais je veux vous confirmer qu’il y a une négociation." Lautaro Martinez, fait-il reparti d’une transaction avec le Barça ou sera-t-il au centre du projet ? "Rien n’est reparti : faire usage du terme reprendre voudrait dire que quelque chose s’est déjà produit par le passé. Il y a eu quelque chose, mais ce n’était jamais une négociation. Et il a été considéré comme hors du mercato depuis la fin de sa clause libératoire, une clause qui n’a d’ailleurs pas été exercée." Ausilio n’a-t-il jamais été mis sur le mercato ? "Non, je n’ai jamais eu l’intention de partir ailleurs, j’ai prolongé mon contrat il y a six mois. Un lien très fort m’uni avec l’Inter, le Club et toute l’Inter. J’ai lu pas mal d’analyses erronées sur mon rapport avec le staff, avec l’entraîneur, avec le club. Ici, à l’Inter, j’échange avec tout le monde, j’échange continuellement avec mon entraineur, j’ai un rapport cordial similaire à celui que j’ai eu avec tous les entraîneurs." "On joue sur beaucoup de choses qui auraient été dites publiquement, mais nous avons tout éclairci, nous nous sommes dit ce que nous avions à nous dire. Parler de pacte est excessif, mais nous avons échangé et nous avons défini une vision unique pour le bien de l’Inter." Est-ce juste de dire que Lukaku est le seul joueur intransférable ? "Je n’aime pas parler de la sorte, je sais qu’il y a des joueurs qui pourraient être plus ou moins mis sur le mercato pour diverses raisons. Ce que je peux vous dire c’est que nous avons le devoir de regarder les opportunités en entrées et en sorties. Et si l’on parle d’un joueur tel que Lukaku, je vous dirai qu'il est intransférable." Quel type de Mercato va être conduit et pourquoi miser sur des joueurs expérimentés ? Est-ce pour gagner immédiatement ? "Je veux avant tout éclaircir un point sur l’entraîneur. Il n’y a pas eu besoin d’ éclaircissements avec Conte. C’est normal que nous traversions des moments d’échanges, il y a une vision unique sur le mercato et sur le projet qui est partagé par toutes les composantes du club, nous sommes tous uni." "En ce qui concerne le mercato, c’est un processus infini dans lequel il n’y a pas de ligne de départ ni de ligne d’arrivée. Je veux quoiqu’il arrive éclaircir ce dont nous sommes capables de faire. Il y a des opportunités que nous pourrons saisir et d’autre pas. La première chose sera de vendre des joueurs et de sauter sur les opportunités qui seront disponibles, et en phase avec le marché." Pourquoi ne pas avoir acté l’opération Tonali ? Vidal est-il aussi proche des Nerazzurri ? Les conditions semblent bonnes... "En ce qui concerne Tonali, je veux éclaircir la situation, nous n’avons jamais entamé de négociation. Je ne nie pas que nous l’observions depuis quelques temps car il était séduisant. Je souhaite qu’il puisse devenir un excellent joueur pour la Nazionale. Mais je le répète tout de même, nous n’avons pas négocié puisque, à ce jour, nous ne pouvons pas nous permettre ce genre d’opération." Y a-t-il des possibilités de voir Messi à l’Inter ? "Je vais me limiter à vous dire que voir Messi à l’Inter est impossible, il n’y a jamais rien eu le concernant, il n’y a jamais eu de négociation de n’importe quel type. Et je veux être très clair une bonne fois pour toute : l’Inter ne peut absolument pas se permettre des situations de ce type, les paramètres économiques sont inaccessibles. J’espère que c’est la dernière fois que l’on parlera de cette transaction qui n’a jamais existé." Que pouvez-vous dire sur Milan Skriniar ? Un joueur si important, sur lequel un investissement important a été consenti, et qui pourrait partir... "Skriniar est un joueur pour lequel nous avons consenti au juste investissement. Il est avec nous depuis trois saisons et il a fait de très belle choses. Il a moins joué ces derniers temps, mais nous continuerons à miser sur lui, il n’y a aucune négociation sur le défenseur." Pouvons-nous exclure un éventuel départ de Lautaro Martinez ? "J’exclu la possibilité de le voir loin de l’Inter, il y a eu la possibilité d’exercer une clause libératoire valide jusqu’au 7 juillet, mais il n’y a rien eu. Le joueur restera donc avec nous." Brozovic peut-il lui partir ? Il a connu une année compliquée hors du terrain... "Brozovic a compris qu’il s’est troué sur certains engagements au cours de la saison. Chaque situation est gérée au sein du club, il fait partie des joueurs sur lesquels nous misons. Quoiqu’il en soit nous devons être attentif à ce qu’il se passe à l’extérieur. Si une offre qui pourrait contenter le joueur vient à arriver, nous la prendrions en considération, cela ne dépend pas uniquement de nous, mais aussi de la volonté du joueur." Perisic et Nainggolan ? "Ils ont réalisés tous les deux une bonne saison et ils sont sous contrat avec l’Inter. Nous verrons comment ils s'intégreront à l’équipe, nous leur donnerons la possibilité de s’entraîner et d’abattre leur carte. Avec Conte, nous sommes en accord parfait sur le fait de laisser une chance aux joueurs, nous verrons ce qu’il se passera durant les prochains jours." Dzeko est-il un profil qui peut intéresser l’Inter ? Padelli par contre... "Non, et je vais me livrer sur Padelli : il fera partie du noyau Nerazzurro également la saison prochaine." Chiesa reste-t-il un profil encore sous observation ? Qu’en est-il de Dalbert et Biraghi ? "Il n’y a rien pour Chiesa, si ce n’est une estime pour le garçon. Il faut être réaliste sur les possibilités que notre mercato nous autorise, je dois être honnête avec les tifosi. Biraghi et Dalbert sont retournés dans leurs clubs respectifs et je pense que la situation n’évoluera pas." Pourriez-vous vous exprimer sur le vice-Lukaku ? "C’est pratiquement impossible de trouver un vice-Lukaku. Nous avons 4 attaquants Perisic compris, 5 avec Esposito, je considère notre rempart offensif au complet." Un mot sur Kanté ? "Il s’agit d’une opération impossible pour l’Inter." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. Depuis quelques jours règne un chaos indescriptible autour de Sandro Tonali. Les dernières informations viennent de l'AC Milan, convaincu d'habiller le joueur en rossonero, et aussi bien amusé de s'immiscer dans une négociation avec Brescia alors que l'agent Beppe Bozzo ainsi que Tonali lui-même, semblent avoir un accord depuis des semaines avec l'Inter (contrat de cinq ans à 2.5M€ + bonus). Dans cette affaire, Massimo Cellino le président de Brescia joue le rôle principal et tente légitimement de tirer le meilleur parti d'une vente désormais budgétisée notamment après la relégation en Serie B. Voici la situation actuelle du côté de l'Inter. Beppe Marotta sait qu'il y a un accord entre le joueur et le club, il se concentre donc sur d'autres dossiers. En particulier sur le secteur de Tonali, le milieu de terrain, en plein embouteillage avec les retours de prêts de Perisic, de Joao Mario et de Nainggolan. Dans ce contexte, après la tentative ratée de la Juventus via Pirlo, c'est aujourd'hui l'AC Milan qui tente le coup en augmentant l'offre. Cette pression n'est bénéfique qu'à Cellino, car il pourrait forcer l'Inter a accélérer certains dossiers. Mais le principal allié de Marotta reste Bozzo, qui veut rester fidèle à l'accord. Au cours des dernières heures il a reçu l'assurance de la direction, qui n'a demandé qu'à être patient et attendre une sortie d'un milieu de terrain. Un allié de taille qui permet au club une certaine sérénité. Un pacte qui rassure et qui permet aussi de ne pas se précipiter malgré tout. Une situation qui rappelle l'affaire David Suazo, alors à Cagliari présidé à l'époque par... Massimo Cellino. ®gladis32 - internazionale.fr
  19. C’est une information du Corriere Dello Sport, immédiatement après la Ligue Europa, l’Inter se lancera dans le recrutement de Sandro Tonali, laissé en "stand-by". Après Achraf Hakimi et Alexis Sanchez, le milieu de terrain italien devrait être la troisième recrue Nerazzurra. Cela vaut bien plus qu’une promesse : Tonali a choisi l’Inter et a demandé à Bozzo, son agent, de définir la transaction avec Marotta. Tonali est en vacances, mais sa vision est déjà établie clairement au niveau priorité et projection. Il suit avec intérêt l’épopée de l’Inter en Europa League et attend avec impatience le retour à la négociation avec Brescia afin de boucler la boucle. Sur les autres courtisans : L’Inter n’est pas préoccupée, sauf coup de scène, quant à une insertion du Milan, de la Juve ou du Paris-Saint-Germain. Tonali a exprimé sa préférence : il veut travailler avec Conte, il s’imagine avec la vareuse Nerazzurra et il est convaincu que Milan peut représenter la solution idéale pour le saut de qualité. Contrat déjà préparé Un contrat quinquennal valide jusqu’en juin 2025 et un salaire de 3,5 millions d’euros (bonus compris) attend le milieu de terrain de 20 ans, auteur de 35 matchs, d’un but et de 7 passes décisives pour sa première expérience en Serie A. L’offre qui sera soumise à Cellino est la suivante : un prêt payant de 10 millions d’euros couplé à une obligation d’achat de 25 millions d’euros à débourser en juin 2021. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. L'Inter semble avoir gagné une bataille mais pas la guerre sur le dossier Tonali. Avec l'arrivée d'Andrea Pirlo au poste d'entraineur de la Juventus, grand fan du joyau de Brescia, tout peut changer. Car en dépit d'un dialogue fructueux avec Tonali et son entourage, notamment son agent Beppe Bozzo, aucune offre concrète de l'Inter n'est arrivée sur le bureau du président de Brescia, Massimo Cellino. Selon la Gazzetta dello Sport, Cellino tient toujours les discussions avec la Juventus et Fabio Paratici, en embuscade. L'AC Milan a jeté un coup d’œil aux négociations, mais sa proposition de 25M€ n'a pas fait la différence. C'est pourquoi la Juventus peut toujours être considérée comme en lice pour Sandro Tonali, même s'il est très clair qu'ils doivent d'abord vendre pour acheter. Tout laisse à penser que malgré l'avantage acquis par les nerazzurri sur Tonali, tout reste à jouer. ®gladis32 - internazionale.fr
  21. C’est une information en provenance de la section de Brescia du Corriere della Sera, Sandro Tonali est attendu ce lundi à Milan, la tentative du Milan Ac sur le fil a finalement échoué. Selon le quotidien, le coût du transfert est défini à 35 millions d’euros. Beppe Marotta et Massimo Cellino sont entrain de finaliser les derniers détails Il s’agira d’un transfert à la Barella : un prêt payant de 10 millions d’euros avec obligation d’achat à l’été 2021. Ce lundi 3 août 2020, Sandro qui avait donné sa parole à l’Inter, est attendu au Quartier Général du club. L'Inter et le joueur sont déjà tombés d’accord sur le contrat qui devra être paraphé et qui a été validé par Beppe Bozzo, l’agent de Tonali : Un contrat de 4 ans à 2,5 millions d’euros par saison. "La tentative du Milan Ac a été infructueuse étant donné que les deux parties étaient déjà en phase trop avancées." Vous validez ? Bien sûr que vous validez... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Suning aime se montrer énigmatique. Preuve en est sa nouvelle campagne d'avant-match qui verra l'Inter affronter, ce soir, le Napoli. Après la présence de Sandro Tonali Place à présent à l'Ombre de Lionel Messi sur la façade du Duomo Faut-il interpréter cela comme une marque d'ambition de la part du propriétaire de l'Inter ou s'agit-il du sens de l'humour asiatique ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  23. Marotta et Ausilio continuent de travailler particulièrement sur deux dossiers, Emerson Palmieri et Sandro Tonali. Nos dirigeants ont reçu l'accord des joueurs et il reste à négocier avec leurs clubs respectifs. Selon Tuttosport, la demande de Cellino de 50M€ pour son bijou évoluant à Brescia peut être négociée plus facilement, avec le système du prêt avec obligation d'achat, comme pour Barella. C'est par contre beaucoup plus compliqué du côté de Londres. Chelsea reste ferme avec un tarif de 30M€ pour Emerson. Ce n'est pas tellement que le club londonien compte sur le joueur (Lampard ne l'a utilisé qu'une seule fois depuis la reprise, en FA Cup) mais parce que Marina Granovskaia, directrice générale de Chelsea, n'a toujours guère envie de vendre son joueur à Antonio Conte. Pour rappel, les relations entre les deux parties se sont définitivement rompues l'été dernier, quand Conte a décidé de poursuivre Chelsea judiciairement (l'italien a gagné le procès, et Chelsea a dû de nouveau lui verser des indemnités, ndlr). L'Inter a l'intention de ne pas dépasser le montant 20+5M€. A moins que d'autres joueurs rentrent dans la danse, comme Giroud, voir Kanté, ce qui changerait totalement la donne. ®gladis32 - internazionale.fr
  24. L’Inter traverse un moment d’analyse profonde : Antonio Conte a dressé un bilan des plus sombres sur une partie du noyau actuel qui, en lisant entre les lignes, n’est pas à la hauteur des ambitions. Antonio Conte a clairement fait comprendre qu’en fin de saison, il sera important de définir les objectifs de la saison à venir. Avec lui, en cas de renfort de choix, ou peut-être "sans lui", s’il ne serait pas contenté. Comme nous le réfère Gianluca Di Marzio, ces derniers jours, des rumeurs ont fait état d’un renvoi à la fin de la saison, mais selon le spécialiste du Mercato italien, l’Inter ne veut absolument pas changer d’entraîneur et entend aller de l’avant et satisfaire Antonio Conte. Il reste à présent à prendre connaissance de ses évaluations techniques et à procéder à des adaptations à travers le mercato estival afin de renforcer le noyau. Des réunions entre les deux parties seront organisées avec de faire coïncider les objectifs de ventes et d’arrivée pour le futur. Pour le Suning, l’Inter doit être composée des meilleurs jeunes joueurs, mais il ne faut pas oublier qu’il leur faudra un certain temps pour grandir. L’objectif est de les combiner à des joueurs déjà prêts et qui en imposent pour parvenir à décrocher la victoire. Comme le souligne Di Marzio, il faut tout de même aller jusqu’au bout de la saison actuelle, chose qu'entend faire le natif de Lecce : "En fin de saison, je ferai part de mes considérations au Club, si j’ai quelque chose à dire, je le dirai. J’ai besoin de bien analyser les choses, ce qui compte au final, c’est le résultat "- Antonio Conte après le 2-2 au Bentegodi face à l’Hellas Vérone. Suning secoué, mais Suning approuve Si le Suning n’a que très peu apprécié les dernières sorties d’Antonio Conte, force est de constater que tous sont d’accord avec l’entraîneur sur le fait qu’il faut renouer avec la victoire dans un laps de temps très court. Comme le rappelle la Gazzetta Dello Sport, Steven Zhang, poussé par les intentions du Suning, a commencé a en parler. De fait, pour la prochaine campagne de recrutement, Giuseppe Marotta est prié d’agir de la façon suivante : Recruter des joueurs de première catégorie, du Top Mondial, déjà prêts, conquérants, des joueurs capables de donner du caractère et de la personnalité à l’équipe Recruter aussi des jeunes joueurs prometteurs qui pourront offrir un futur radieux au club : en ce sens, Sandro Tonali et Marash Kumbulla continuent à être au sommet de la liste d’investissements. Révolution du noyau Antonio Conte veut et exige même une révolution du noyau : L’entraîneur demande des recrutements de joueurs de niveau mondial pour les différents secteurs de son équipe. Beppe Marotta pourrait donc changer de stratégie concernant les joueurs sur le départ. Si le nom de Lautaro Martinez reste très chaud, l’assaut du Fc Barcelone semblant très proche, Antonio Conte souhaiterait lui offrir une seconde chance et le conserver un an de plus à un poste de titulaire indiscutable, un poste que les Blaugrana ne pourrait lui garantir. Si Lautaro reste, deux joueurs pourraient tout de même financer le mercato à venir : Marcelo Brozovic et Milan Skriniar qui étaient jusqu’à présent considérés comme intransférables, piliers même de l’Inter du futur. A présent, ils pourraient devenir les sacrifiés de cette révolution. Ensemble, les deux joueurs permettraient à l’Inter de récolter un peu plus de 100 millions d’euros, pratiquement la valeur de Lautaro Martinez. Une somme importante qui pourrait permettre de satisfaire Conte. Brozovic dans le viseur Marcelo est actuellement au cœur d’une polémique, lui qui s’est vu retirer son permis de conduire après un test d'alcoolémie au volant de sa Rolls Royce. Brozovic va être sanctionné par le club suite à ce comportement même s'il s’est présenté de façon régulière à Appiano. Mais selon la Gazzetta Dello Sport, l’Inter semble prête à tourner la page : "Malgré une première partie de saison positive, Brozovic n’a pas complètement convaincu ni l’entraîneur, ni le club. Sa croissance ces deux dernières saisons ne s’est pas poursuivie et certaines limites, certains comportement caractériel intempestifs sont revenus, en particulier dans les instants difficiles. Brozo qui frappe dans le ballon et qui étend ses bras en fin de première période… Une scène déjà connue dans d’autres moments difficiles." "Devenu Epic auprès des tifosi après quelques incompréhensions entre eux, il a proposé sur les réseaux sociaux sa célèbre pose avec sa main sur le menton et à inventé la position du crocodile, mais il éprouve toujours des difficultés à devenir le leader positif du groupe, en brillant aussi par une répulsions aux interviews et aux conférences de presse." "Des détails à prendre en considération quant au profil du milieu du terrain du futur rêvé par Conte. A présent, il semble que l’Inter soit ouverte à écouter les éventuelles offres pour le numéro 77 qui avait un grand nombre de courtisans après le Mondial 2018." The Beats blessé Parmi les joueurs qui ont le plus souffert au changement de modulo, on retrouve Milan Skriniar. Véritable mur dans la défense à 4 de Spalletti, il est devenu une passoire dans la ligne de défense d’Antonio Conte. Et selon Tuttosport, Milan pourrait retrouver une vieille connaissance : "En France par exemple, des rumeurs de mercato font état qu’il serait dans la ligne de mire du Paris-Saint-Germain qui, depuis avoir systémisé son attaque avec un autre Nerazzurro, pourrait cette fois-ci renforcer sa défense." Selon l’Independent, il y aurai aussi un Derby du Mercato en Premier League avec les deux équipes de Manchester. L’Inter qui considérait Skriniar comme intransférable a fixé le prix. Si celui-ci était l’été dernier de 80 millions d’euros, le Covid est passé par là et le club pourrait envisager un départ pour toute offre supérieur à 60 millions d’euros. En alternatives, l’Inter visera Kumbulla, Armando Izzo du Torino sans oublier Jan Vertonghen qui est en fin de contrat avec Tottenham. Le retour de l’enfant prodige ? Niccolo Zaniolo de retour à l’Inter ? Selon Sport Mediaset, Beppe Marotta serait passé à l’offensive pour s’offrir les services du jeune italien en offrant à nouveau Radja Nainggolan toujours apprécié dans la Capitale. Du côté de la Roma, Pallotta exigerait un transfert exclusivement en cash d’au moins 70 millions d’euros sans contre partie-technique. Le retour de René Une taupe est-elle présente à l’Inter ? Steven Zhang a été informé des erreurs qui se sont produites tout au long de cette saison 2019-2020. Et celles-ci ne sont pas à attribuer à Antonio Conte. Steven a été conseillé et a été informé de la bonne ligne de conduire à suivre pour le mercato 2020/2021, preuve en est le recrutement de Achraf Hakimi. De même, Steven a été informé que Conte demande des joueurs sur comme Vertonghen, Vidal et Dzeko pour ne citer qu’eux. Mais si Steven Zhang a reçu ce message contenant des informations sensibles dans sa boite mail perso, ce message est également arrivé "par erreur" dans l’une des boites mails de la Viale Della Liberazione. Et le fait qu’il y ait eu une certaine délation n’a pas apporté à l’équipe toute la sérénité dont elle avait besoin, d’où la présence de certaines tensions. En effet, certains joueurs auraient compris que peu importe leurs prestations, leur destin à l'Inter serait déjà acté... Ce qui pourrait expliquer certaines "méformes" visible sur le terrain... Validez-vous cette refonte totale des cadres de l'équipe ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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