Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'sassuolo'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Contact et inscriptions de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers
  • Football

Catégories

  • Gardiens
  • Défenseurs
  • Milieux
  • Attaquants

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Inter Women

Fonctionnalités

Catégories

  • Carte du Monde des Nerazzurri

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Ville


Joueurs

  1. Simone Inzaghi s’est livré à Inter TV suite à la défaite de l’Inter 1-2 face à Sassuolo "Nous avions fait une bonne première période en couvrant bien le terrain, nous aurions dû faire quelque chose en plus en phase offensive, mais leurs défenseurs se sont montré très bons. Ensuite le 1-1 est arrivé et nous avons perdu notre lucidité : Nous ne parvenions plus à tenir la distance et nous avons eu quelques problème." Est-ce un manque de détermination ? "Plus de lucidité, vu ce que nous avions développé, nous aurions dû être meilleurs, nous avons fait face à une équipe de qualité qui est en forme avec de joueurs qui savent très bien partir en contre . Nous parvenions à bien les contenir, il restait une demi-heure après le 1-1 et nous aurions dû faire preuve de plus de lucidité pour garder un match ouverte." Comment réagir ? "Avec du travail et de la lucidité, nous devrons être von pour analyser ce qui n’a pas fonctionner : Retirer ce qu’il y a de positif et comprendre ce que l’on aurait pût faire de mieux" Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné en seconde période ? "Nous avons pris deux buts alors que l’équipe était en place, le premier était un coup dur et le second un Eurogol. J’analyserai bien les dernières 35 minutes de jeu, celles où nous aurions dû être lucide. Nous nous sommes créé des occasions, mais nous aurions dû faire preuve de plus de lucidité." La Salernitana? "Elle fait partie de toutes les équipes pièges que propose le championnat Italien, chez eux, ils sont bon. Nous devrons être bon pour nous préparer à disputer un nouveau match très important pour nous dans 48 heures." Le Saviez-vous ? Massimo Mauro, ancien joueur s’est livré dans l’émission pressing et s’est livré à la déclaration suivante : "Inzaghi est allé sur le banc après le but de Berardi et a dit à son assistant qu'il aurait dû faire ses changements plus tôt : ce but lui a fait peur." Un mal pour un bien ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. A l'occasion de la 28ème édition du Premio Gentleman, Giuseppe Marotta, l'Administrateur délégué Sport de l'Inter a reçu le prix CONI Lombardia Gentleman Awards: "Je tiens à remercier cette structure "invisible", celle qui n'est pas sous les feux de la rampe, comme les joueurs, mais les personnes qui, dans les coulisses, travaillent ensemble pour atteindre le même objectif." "Je crois que l'une des tâches fondamentales d'un Dirigeant dans le monde du football est de coordonner deux types d'équipes, celle qui va sur le terrain, où il y a un leader qui est l'entraîneur, et celle qui est en dehors du terrain, avec un ensemble conduisant à un concept d'équipe." Il Padrino s'est également livré aux journalistes présents "Le derby est toujours une rencontre avec une saveur particulière, ancré dans un championnat tout aussi fascinant. Les deux Tifoserie attendent ce moment, nous espérons donc que ce sera un point positif pour le Calcio et que ce sera un bon match. Nous sommes encore au début du championnat, il est difficile de faire des évaluations, mais nous faisons preuve d'autorité en tant qu'équipe: Nous disposons d'un bloc de joueurs expérimentés, de jeunes joueurs et le travail d'Inzaghi porte ses fruits, je crois que nous pouvons jouer un rôle d'Autorité." "La grille de départs de prétendants au Scudetto est la même que ces dernières années, il y a aussi un fort équilibre cette année et nous ne pouvons pas oublier la Juventus, Naples, la Lazio, la Roma, l'Atalanta qui se sont renforcées et qui figurent dans le groupe de tête de ce championnat." Lautaro ? "Le fait de lui avoir confié le brassard de capitaine signifie aussi lui donner beaucoup de responsabilités et c'est mérité du point de vue de la croissance exponentielle qu'il a montré au cours de ces années où il s'est montré vraiment protagoniste. Il est encore jeune et il pourra démontrer avec des faits qu'il s'améliore de dimanche en dimanche et confirmer sa valeur" Le Mercato a-t-il été compliqué ? "Oui, nous avons dû gérer ce nouveau phénomène du football arabe et cela a perturbé un peu le marché "européen" : Le fait que l'Arabie soit allée chercher des joueurs non pas en fin de carrière mais encore en pleine activité a, d'une part apporté un avantage financier immédiat, mais d'autre part et du point de vue de la concurrence, fait perdre de la qualité aux clubs européens, c'est certainement un fait pertinent qui devra être mesuré et rationalisé à la fin de la saison." Le renouvellement de Dimarco ? "Plus qu'un renouvellement, je dirais une prolongation de contrat. Il est normal que les joueurs manifestent de manière très concrète un sentiment d'appartenance, qui est l'une des valeurs les plus fortes: Il est aussi normal que le club comprenne ce désir, et dès que cela nous sera possible, nous nous mettrons autour de la table pour étudier avec lui sa prolongation." Le doublé de Frattesi avec l'équipe nationale ? "Il y a de la satisfaction de se sentir Italien et le fait est que nous avons vu une équipe qui méritait de l'emporter au Meazza, avec quatre joueurs de l'Inter comme titulaires. Cela montre à quel point l'Inter est aussi en train de créer un noyau dur d'Italiens qui, je crois, est propice à la réalisation de certains objectifs. Nous voulons renforcer cette voie en tant que modèle, et nous en sommes très heureux." Inzaghi ? "Il est en train de prouver qu'il est un très bon entraîneur, son expérience commencée il y a deux ans et demi donne d'excellents résultats, ce qui prouve que l'avenir ne peut être que meilleur." Le recrutement de Frattesi ? "Quand il y a une volonté explicite d'un joueur envers un club, le club a un avantage. Il voulait porter notre maillot et cela a facilité les négociations avec Sassuolo. Nous sommes parvenus à arriver à finaliser le tout avec une apparente facilité, et si le mérite pourrait nous en revenir, il faut surtout souligner le grand désir de Frattesi de rejoindre notre club." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  3. Après plusieurs ventes, l’Inter a réussi à ramener le joueur Lazar Samardzic complétant ainsi le milieu de terrain Nerazzurro que disposera Simone Inzaghi la saison prochaine. Rappelons que le premier match aura lieu le 19 août à domicile face Monza. Samardzic a réalisé une bonne saison, sa deuxième avec le maillot de l’Udinese, en jouant 39 matches entre Serie A et Coupe d’Italie, comptabilisant 5 buts et 4 passes décisives. C’est la deuxième signature majeure au milieu de terrain du club qui a vu le départ de Brozovic et Roberto Gagliardini remplacés par Davide Frattesi qui remplace le croate et, en attendant de passer la visite médicale et de signer son contrat, Samardzic qui viendra remplacer Gagliardini. Comme lors de l’opération Frattesi, l’Inter a de nouveau mis en place sa bonne vieille recette avec l’Udinese, à savoir, un prêt onéreux avec obligation d’achat. Si Samuele Mulattieri est allé à Sassuolo, c’est Giovanni Fabbian qui cette fois-ci fait le chemin inverse en allant au Frioul. Prêté à la Reggina en Serie B la saison dernière il a marqué 8 buts et 1 passe décisive en 36 matches disputés. Selon des informations parues dans la presse italienne, le deal Samardzic a coûté à l'Inter : 20 millions d'euros entre un prêt onéreux et une obligation d’achat, Auxquels il faut ajouter la valorisation du prix de 4 millions de Fabbian. Si ces chiffres se confirmaient, dans quelle mesure l'achat du Serbe affecterait-il le bilan de 23/24 ? S'agissant d'une opération de prêt avec obligation de rachat, comme cela arrive souvent, le club acquéreur comptabilise immédiatement l'opération dans ses comptes à partir du bilan en cours, tandis que le club vendeur attend que le rachat devienne effectif et comptabilise donc la vente à partir du bilan suivant, celui relatif à la saison 2024/25 en l'occurrence. Avec les chiffres rapportés ci-dessus, l'Inter inscrira Samardzic dans le budget 2023/24, en comptant l'opération Fabbian déliée au niveau comptable de celle du Serbe, une commission d'amortissement pour le prix à payer de 4 millions d’euros, vu le contrat de 5 ans que l'ancien de l'Udinese s'apprête à signer (jusqu'au 30 juin 2028). A ce chiffre, il faut ajouter le salaire brut du joueur. Ici, les rumeurs parlent de 1,5 million d'euros par saison plus bonus. Si tel est le cas pour la première saison, profitant de l’abattement fiscal prévu par le Décret Croissance, le salaire brut de Samardzic pèserait dans les caisses des Nerazzurri pour la saison 23/24 au total que 1,965 millions d'euros. Au total donc, le coût que les Nerazzurri devront budgétiser pour la saison 2023/24 s'élèvera à 5,965 millions pour Lazar Samardzic. La vente de Fabbian Pour conclure cette transaction avec l’Udinese, comme mentionné, la vente du milieu de terrain né en 2003, Fabbian, a été importante. Lui allant dans le Frioul il jouera désormais sous les ordres de Sottil. Issu de la primera et revenant d’un prêt concluant en Série B à la Reggina, l’Inter en registre une belle plus-value avec son transfert. En effet, la valeur comptable de Fabbian était pratiquement inscrite au budget pour un résultat proche de zéro. Donc avec le transfert à l’Udinese pour 4 millions, le chiffre peut être intégralement inscrit au bilan Inter 2023/24 comme plus-value nette. Le poids de l'opération pour la première saison ne concernera donc que l'embauche de Samardzic, à partir du moment où la quote-part d'amortissement sera couverte par la plus-value réalisée avec la vente de Fabbian. ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  4. C’est l’analyse de la Gazzetta Dello Sport, l’arrivée de Gianluca Scamacca à l’Inter est de plus en plus proche, lui qui avait été vendu pour 36 millions d’euros plus 6 millions d'euros de bonus par Sassuolo à West Ham, pour le grand plaisir de notre ancien entraineur "Scamacca va être heureux, tout comme le sera objectivement Mancini. Non pas qu'avoir un joueur à l'étranger soit un problème pour un Sélectionneur National, mais qu'il puisse jouer à l'Inter, c'est-à-dire dans l’équipe Candidatissima au Scudetto, qui joue à domicile en Ligue des Champions, avec un système de jeu identifié et un éventuel partenaire offensif (Lautaro) capable de mettre en valeur ses qualités, c'est tout une autre histoire, même pour ceux qui le considèrent encore comme l'un des premiers choix pour le maillot d'avant-centre de l'équipe nationale." "Mais ce n'est pas tout : à l'Inter, Scamacca retrouvera, outre Barella, son "Jumeau" Frattesi, l’autre nouvelle acquisition des Nerazzurri bénie par le Mancio. De plus, il sera possible de reprendre ce trio, ce triangle et le reproposer, de le redessiner aussi chez les Azzurri, même si les coordinations seront légèrement différentes. Car les sensations étaient toujours présentes sur le terrain, et cette fois-ci il sera capable de les reproduire indépendamment du système de jeu et des utilisations individuelles de tout à chacun car l'avantage est qu'en jouant dans le même club, elle sera cultivée tous les jours". Made In Italy, Baby! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Davide Frattesi s’est livré à Dazn quelques jours avant de s’envoler au pays de Captain Tsubasa Comment allez-vous ? "Fatigué, mais bien, je suis arrivé très enthousiaste, tout est si beau ici. Et comme on travaille énormément, tu ressens plus la fatigue lors de la mise au vert, en pleine saison ça va de suite mieux." Tu as souvent marqué contre l’Inter et à la suite de ton dernier but, tu as été complimenté par Marotta. Est-ce ce compliment qui vous a convaincu de rejoindre l’Inter ? "En réalité, il y a un an et demi, lorsque nous étions venu l’emporter avec Sassuolo 0-2 au Giuseppe Meazza, je suis resté marqué par le Stade et les Tifosi. Lorsque j’ai eu vent de l’intérêt concret, j’avais déjà pratiquement fait mon choix." Fait important : Tu vas occuper le poste de Brozovic aussi bien dans le cœur du terrain que dans celui de Barella. Comment cela va-t-il se passer ? "Nous sommes déjà voisins et une bonne amitié, qui est déjà présente, peut grandir. Nous avons tous les deux le même caractère, nous nous trouverons." Qu'est-ce que je veux lui voler ? "Je ne sais pas. Aujourd'hui, c’est toujours le milieu de terrain le plus fort d'Italie, j'espère qu'il va continuer comme ça parce qu'il va nous donner un coup de main incroyable." A quels points sont importantes les déclarations de Dionisi ? "Il m'a dit : "Tu as enfin réussi". Blague à part, je l'ai remercié, ainsi que tout le staff. Ils ont été fondamentaux pour moi, surtout lors de ma première année à Sassuolo car je voulais aller à Spezia en prêt mais ils m'ont dit de rester et tout s’est bien passé, beaucoup de mon mérite leur en revient. Ils m'ont aidé dans les moments difficiles, un autre entraîneur ou un autre staff ne l'aurait peut-être pas fait". Ton premier contact avec Inzaghi... "Je l'avais rencontré en Sardaigne, je mangeais des sushis et il m'a tapoté l’épaule (il rit, ndlr). Nous étions encore en phase de négociation, mais je lui avais répété l'idée de venir ici si l'occasion se présentait, et nous nous sommes revus ici : Nous sommes tous les deux ravis, car il a apporté sa contribution pour me faire arriver ici. Et je sais à quel point l’Inter tenait à me recruter." L’impact de sa grand-mère "Je suis très proche d'elle et elle est très jeune d’esprit malgré ses 80 ans, nous essayons toujours de l'impliquer. De temps en temps, elle m'appelle sur Facetime. En ce moment, elle est en Sardaigne avec mes frères." L'émoticône du tracteur "Ce sont les gars du Vestiaire qui m’en ont affublé je l’ai bien aimé et j'ai commencé à l'utiliser. Je vais aussi le laisser un peu aux autres car je suis en train, peut-être, de leur casser les bonbons." Qui t’a a souhaité la bienvenue ? "Bastoni a été le premier, puis Barella et Darmian. Dès que je suis arrivé, tous les autres l'ont fait. Nous en avions déjà parlé en équipe nationale car nous le savions tous. Tout le monde m'a dit que c'était bien d’être ici et je ne peux que le confirmer." As-tu des rêves ou des attentes ? "Je ne peux pas de dire de quoi j’ai rêvé." Si c’est de Chiara ce n’est pas très seins (ou sain).... ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Très prochainement, il sera rendu publique dans Cronache di Spogliatoio, l’interview intégrale de l’attaquant de West Ham, Gianluca Scamacca. Passé par Sassuolo également, celui-ci est courtisé par l’Inter Nos confrères de Fcinter1908.it ont déjà eu accès à celle-ci et voici les déclarations du principal intéressé : "Pour de nombreuses personnes, je suis un talent inexploité : J’ai conscience que j’ai des qualités qui ne se sont pas encore exprimées, mais je suis sûr à 100% que celui qui me prendra réalisera une affaire. Je pense qu’il me manque juste le fait d’être au bon endroit au bon moment." Quand cela arrivera-t ’il ? "Nous ne le saurons que lorsque je le vivrais." On n’est jamais mieux servi que par soi-même #Solo*** ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. C'est la révélation de Tuttosport: "Les Nerazzurri ont battu la concurrence de tous les grands clubs italiens et ont effectivement conclu l'affaire avec Sassuolo." "Rien à faire pour le Milan, qui a dû déposer les armes hier après-midi car Milan a essayé de s'insérer, en ayant conscience d'être en retard, mais ils ont voulu essayer, car le rendez-vous avec Sassuolo était fixé depuis vendredi dernier." Toutefois, face à un délai de 24 heures pour définir l'opération, étant donné l'accord que Carnevali avait déjà avec l'Inter, et ne voulant pas faire de surenchères, Milan a arrêté: "L'accélération de l'Inter sur Frattesi est intervenue au moment où Brozovic a été officiellement vendu. Au départ, on pensait que l'argent récolté auprès d'Al-Nassr aurait été utilisé sur Lukaku, mais lundi soir l'Inter a encore eu une longue réunion avec Carnevali et a posé les bases de la transaction." Soit le prêt avec obligation de rachat (déclenché par le premier point obtenu par l'Inter en février 2024) fixé à 25 millions plus divers bonus et l'inclusion dans la transaction de l'attaquant Mulattieri, qui a évolué en 22-23 à Frosinone en Serie B (12 buts),qui est valorisé à 6 millions d'euros. Il est bon de savoir que l'Inter aura un pourcentage sur sa revente. "Pour conclure la transaction, qui pourrait rapporter 35 millions à Sassuolo avec des bonus, il fallait toutefois faire un dernier pas, celui de comprendre les intentions du Milan AC après que les deux dirigeants se soient rencontrés . Hier après le déjeuner, la rencontre Milan-Sassuolo a donc eu lieu en présence de Riso, l'agent de Frattesi, mais visiblement ce que l'Inter avait officialisé lundi soir était inatteignable pour les Rossoneri, qui en ont profité pour parler d'autres joueurs avec Carnevali." Et dire qu'on a pas une thune ?! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  9. C'est la révélation, la BOMBE de la soirée : Davide Frattesi va signer à l'Inter ! Tous les voyants sont au vert et son agent, Giuseppe Riso, est arrivé au siège du Club en ce moment même ! Comme nous le révèle la Gazzetta Dello Sport la fumée blanche est de sortie. L'Inter a conclu un accord verbal avec Sassuolo qui portera Davide Frattesi à Milan, en battant ainsi une concurrence féroce. Le milieu de terrain arrivera pour évoluer dans la cour de Simone Inzaghi sous forme de prêt avec une obligation d'achat fixé à 25 millions d'euros et l'insertion d'une contrepartie technique : Samuele Mulattieri, fraîchement promu avec Frosinone, qui rejoindra, lui, les Neroverdi. Coup de l'opération : 33 millions d'euros ! Le duo Ausilio-Marotta a encore frappé. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  10. Ci Siamo : Après le transfert acté et confirmé de Marcelo Brozovic à l’Al-Nassr, le All-In aura lieu aujourd’hui pour Davide Frattesi "Brozovic a accepté l’offre d’Al-Nassr après avoir été longtemps courtisé, ce vendredi aura lieu la visite médicale ce qui débloque maintenant le Mercato en entrée de l’Inter. Il va y avoir l’assaut décisif sur Frattesi, il y a déjà un accord de principe avec Sassuolo pour le joueur : Les 23 millions d’euros de Brozovic plus Mulattieri. L’Inter veut anticiper le Milan et la Roma et une rencontre aura lieu ce vendredi entre Marotta, Carnevali et l’agent du joueur, surtout que l’Inter ne compte pas souffler Musah au Milan." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Homme de ce début de mercato en Italie, Davide Frattesi prends des vacances bien méritée après avoir disputé le Final Four de la Ligue des Nations avec l’Italie. Celui-ci s’est livré au cours d’une très longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il estime être dans "l’été le plus important de sa vie" Davide, contrôlez-vous votre téléphone ces derniers temps ? "Pas vraiment car j’ai demandé à mon agent, Riso, de me prévenir uniquement lorsque tout sera quasiment réglé et je me suis évité une autodestruction : Lui est hermétique, ses collaborateurs en ont peur, sont terroriséset il ne m’a encore rien dit : Heureusement que j’ai ma grand-mère Stefania. Chaque jours elle m’envoie les articles de presse qu’elle s’est chargée de filtrer, c’est fantastique" Que ressentez-vous à la lecture d’un Derby de Mercato entre l’Inter et le Milan pour vous ? Et il y aurait aussi la Juve : Les trois grands clubs historique veulent Frattesi. "C’est une belle sensation, je ne peux le nier, mais je suis aussi un peu anxieux, j’aimerai que la situation s’éclaircisse. Je pense à mon grand-père Carmine qui lisait les journaux, il aimait le football et il aurait été si fier aujourd’hui." Vous comprendrez que je ne vais pas vous demander comment se comporte la Mer à Ibiza…. Est-ce que l’Inter a l’avantage ? "Ahahah... Vous comprendrez que cette fois, je ne peux pas m’exprimer aussi librement que lors d’autres interviews, ce ne serait pas correcte de citer une équipe car les négociations peuvent s’interrompre de façon imprévue. Toutefois, je vais me montrer extrêmement sincère : J’ai déjà choisi mon équipe." "Je suis certain que mon agent trouvera la façon de me satisfaire, dans le cas contraire, je le balancerais à la mère. Je connais et je ressens aussi l’intérêt des autres équipes pour moi." Quel a été le facteur déterminant de votre choix ? "Mon poste : Je suis un Mezzala et je veux exploiter mes caractéristiques, je pense que c’est normal : Vous vous aimez écrire, si l’on vous propose, un jour, de présenter une émission à la télévision, peut-être que vous y penserez, mais vous chercherez tout de même à continuer à écrire. Et ce concept est similaire pour moi." Vous pourriez retrouver Barella à l’Inter qui affectionne être au centre à droite, est-ce que cela pourrait être problématique ? "Absolument pas, je peux partir sur la gauche, et si je dois centrer, je peux frapper avec mon bon pied, il m’arrive de faire des dégâts avec l’autre." N’êtes-vous pas effrayé par la concurrence interne ? "Non, cela me conditionnera bien plus positivement : Si je dois prouver quelque chose, cela me permet de me donner plus." La Ligue des Champions sera disputée par les équipes milanaises et non la Juve, est-ce que cela a impacté votre choix ? "J’y pense, j’aimerai la jouer, mais ce n’est pas la première chose que j’ai en tête, ce qui compte le plus c’est le projet, qu’il s’agisse d’une équipe qui est déjà bâtie pour gagner ou en plein reconstruction : Je resterai motivé de la même façon. Je ressens, à 23 ans, le moment de prendre certaines responsabilités." La vente de Tonali a ouvert, de façon inattendue, un canal avec le Milan qui recherche un grand milieu de terrain, vous faites aussi l’objet d’offres en provenance de l’étranger. Est-ce qu’il y a quelque chose qui pourrait vous renfermer ? "Je peux seulement vous dire ce que j’ai garanti à Giovanni Carnevali: Si des offres irrenonçables arrivent, elles seront écoutées : irrenonçables hein." Le 4-2-3-1 n’est pas idéal vu votre profil… "Sassuolo a évolué de cette façon lors de ma première saison avec des bons résultats grâce à Dionisi. Il n’en reste pas moins qu’à trois au milieu, je peux donner plus." Marchisio vous a publiquement envoyé à la Juve, Carnevali a rencontré la Direction turinoise, vous seriez-vous en concurrence pour ce maillot avec on Milinkovic: Que ressentez-vous . "Marchisio est à part car nous sommes amis : Saviez-vous que nous avions la même peur de l’avion ? Dans l’avion pour Ibiza, j’ai fait un saut dans la cabine de pilotage pour savoir si des turbulences étaient prévues. Et pour Milinkovic, ben c’est l’un des plus grands, il a plus de talent que moi mais si je suis en ballotage avec lui cela veut dire que le travail forte ses fruits : Je travaille comme une bête, j’ai une faim incroyable." Votre ami Scamacca pourrait aller à la Roma, seriez-vous ouvert à l’idée d’couter les sirènes tentatrices de la Capitale ? "Non, j’ai appris à raisonner avec le cerveau, je cherche à être plus bien plus lucide dans mes choix et dans la gestion de mes émotions." Il y a un an, vous vouliez fuir Sassuolo, avez-vous bien fait d’y rester ? "Oui, sans l’ombre d’un doute, j’ai énormément de reconnaissance pour ce club, je le porterai toujours au fond de mon cœur. A présent, je suis prêt à partir : Dionisi a été très important dans ma croissance : Lui et le Club ont compris qui j’étais et m’ont attendu pour me remettre sur les bons rails. Il y a des moments dans la vie qui vous marque le plus et cela s’est produit pour moi l’été dernier." Davide, on sait que vous allez porter le maillot d’un Top Club, mais si vous vous plantez lors d’un match, vous ferez face à une pluie de critique… "Et c’est ce qui est beau, je veux faire de mon mieux de la première à la dernière rencontre." Un maillot rayé de bleu, de blanc ou de rouge ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. A sa sortie de l'Assemblée de la Lega, Giovanni Carnevali, directeur général de Sassuolo, est revenu pour parler de l'avenir de Davide Frattesi. Mercato ? "On commence à y aller. Des négociations ont commencé mais rien de concret." Frattesi "On a parlé au joueur et écouté son souhait de ne pas partir à l'étranger. Donc on va se concentrer sur les clubs italiens et prendre un peu de temps pour analyser. Enfin, nous verrons quelle sera la meilleure solution." Inter en pole ? "Non, pour le moment nous n'avons pas de négociations concrètes. Nous voulons prendre du temps pour analyser." Fabbian ? "C'est un joueur important, mais je pense que l'Inter ne le laissera pas partir." Mulattieri ? "Lui aussi, comme les autres." Traduction alex_j via FCInter1908.
  13. L’Inter est Chaude et pas qu’un peu. Passé l’amertume de la Finale de la Ligue des Champions, notre Bien-Aimée cherche à se donner du plaisir. Et si la situation s’intensifie pour Sergej Milinkovic-Savic, l’Inter a également avancé dans le dossier la menant à Davide Frattesi. Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, une rencontre s’est tenue hier avec comme thématique le milieu de terrain de la Nazionale : La Direction Nerazzurra a proposé de traiter avec comme contrepartie technique deux jeunes joueurs Fabbian et Mulattieri. Et c’est d’ailleurs le second qui est préféré et sur qui toute l’attention se concentre. Reste à présent à procéder à l’établissement de la formule pour parvenir à finaliser l’opération, la valeur de Davide étant de 30 millions d’euros. L’Inter veut envoyer un signal clair à tous ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Nous y sommes! Simone Inzaghi s’est livré à quelques heures de la seconde manche de l’EuroDerby Della Madonnina: "Lors du tirage au sort de la phase de groupe, nous étions un peu déçu, nous n’avions pas été énormément chanceux : Je me suis limité à dire au Staff et aux joueurs que Barcelone et le Bayern Munich n’étaient pas heureux d’avoir tiré l’Inter dans le troisième chapeau : Il y avait tellement de confiance: A présent, nous sommes ici et nous savons que nous avons passé une étape très importante." Pour une meilleure lisibilité, l'interview de Francesco Acerbi est publiée dans un autre article : Qu’attendez-vous du public ? Vous attendez-vous à voir une Inter que va se donner à plus de 100% ? "Je l’avais déjà dit avant Benfica et je suisi répétitif mais demain, nous aurons les Tifosi avec nous, je n’ai aucun doute: Ils ont toujours été proche de nous, même lorsque nous étions en difficulté : Pour nous tous, nous devrons garder la tête froide et avoir le cœur chaud, c’est la seule route à emprunter pour bien interpréter la partie." Comment vont Lautaro et Correa ? "Joaquin a demandé lui-même à sortir, je ne l’aurais pas fait moi car il me séduisait face à Sassuolo, c'était une douleur musculaire: Les sensations sont bonnes et nous évaluerons la situation aujourd’hui. Nous verrons demain s’il sera disponible, mais je n’ai aucune certitude en ce moment : Lautaro traverse une très belle période et il s’entend avec les autres attaquants de la meilleure façon" Etes-vous plus serein maintenant qu’au match aller ? "En tant qu’entraineur, je vis les matchs quasiment de la même façon, demain c’est l’une des rencontres parmi les plus importantes de l’Histoire de l’Inter, nous connaissons tous ce qu’elle représente pour tout le monde, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en sachant que nous disposons d’un avantage mérité, mais nous savons que nous devrons réaliser un mach Da Inter sans chercher à le gérer, nous couvrirons le terrain car Milan, face à nous, a énormément de qualité." Quel est l’état de forme de Lukaku ? A-t-il retrouvé enfin le niveau de son premier biennal ? "Vous le connaissez, vous savez de quoi est capable Romelu : Moi comme entraineur, j’ai cherché à permettre à Lukaku de revenir avec de l’enthousiasme celui de ce dernier mois, qui est celui que j’aurais voulu avoir toute l’année : Lui et Brozovic ont connu des stops imprévus, ils étaient indisponibles pour nous et nous avons soufferts sans eux même si nous avons été très bons pour nous en passer." "Lukaku à énormément travaillé et il est arrivé dans ce dernier mois dans la meilleure des condition possible : Je ne sais pas s’il pourrait être capable d’enchainer trois matchs de suite, mais son physique est incroyable : Nous avons tous vu ce qu’il est capable de nous apporter aussi bien à l’Olimpico qu’a Sassuolo." Comment gérer Milan …et L’arbitre de demain ? "Je ne parle pas beaucoup des arbitres. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué d'une autre manière, je fais référence à la faute de Krunic sur Bastoni qui aurait pu nous donner quelque chose de très important en termes de résultat et de qualification. Mais il n'y a pas de problème." "Beaucoup ont associé la désignation de l'arbitre français avec quatre Français au Milan... mais il n'y a pas de problème, la confiance est maximale. Nous n’allons pas rentrer dans un mode de gestion du match, demain face au Milan, nous aurons besoin de disputer un match Da Inter car il y aura des embuches sur notre route et nous allons essayer de de nous en sortir de la meilleure façon possible". Tactiquement, sans anticiper la rencontre, pourriez-vous envisager de baisser un peu votre centre de gravité ? "Je vous remercie pour vos mots à mon égard. Pour ce type de choix, je lis et j'écoute peu heureusement… mais je sais tout. Ma grande chance, c'est de peu écouter et de lire peu : Je connais mes choix et c’est toujours plus facile après une rencontre. Nous, les entraîneurs, ,nous devons faire des choix tous les jours, parfois on a plus de chance, parfois non : C’est le métier qui nous l'impose." "Je pourrais très bien avoir des choses en tête pour demain, mais on ne sait pas à l'avance comment ça va se passer. Il faudra parfois savoir se montrer agressif comme il faudra parfois savoir défendre tous ensemble. Indépendamment de Leao, Milan a de la qualité et il est en demi-finale, il faut faire très attention." Comment vivez-vous cette situation à titre personnelle ? Vous êtes déjà comparés aux autres entraineurs finalistes italiens.... "Nous sommes à 90', plus des arrêts de jeu, d’atteindre un merveilleux rêve avec ces merveilleux garçons que j'ai la chance d'entraîner. Nous sommes également en Finale de la Coppa Italia. Après coup, on pense tous que nous aurions pu faire mieux: Lors de la trêve, j’ai très bien travaillé avec Lautaro, Dumfries, Lukaku, Brozovic. A présent, nous avons devant nous des matchs rapprochés qui sont tous important et c’est une chance car cela ne nous laisse pas de temps pour cogiter" "Il y a cinq matches de cela, nous étions encore loin d’être en Ligue des Champions, maintenant il ne reste plus qu’à franchir la dernière marche : Nous abordons la rencontre de demain en ayant conscience de notre avantage: Nous sommes très proche d’un rêve et nous aurons besoin de disputer un match vrai: Da Inter." Comment avez-vous fait pour faire en sorte que Çalhanoğlu devienne un maître à jouer, un Regista ? "C'était un choix, une intuition, il nous manquait Brozovic qui est très important pour nous et à ce moment-là, j'ai pensé qu'il pouvait être la solution la plus importante. Il a été très bon à ce poste. Je pense aussi à Darmian qui, en tant que troisième défenseur, réalise de très grandes choses, dans un rôle qu'il n'avait jamais occupé. Il avait toujours joué dans le milieu à cinq, par le passé, voir même dans une défense à quatre : Il est très bon. J'ai des joueurs de grande qualité qui s'adaptent aux situations, je pense aussi à Luis Alberto à la Lazio qui est devenu l'un des meilleurs Mezzala d’Europe". On parle beaucoup de Milan. Avez-vous aussi cette sensation que la qualification ne dépend que de vous ? "Absolument oui, nous savons qui nous allons affronter et nous savons que nous sommes dans une très belle période : Nous sommes prêts à disputer un match de cette importance, nous avons déjà répondu présent face à une équipe très forte qu’était Benfica, nous disposons exactement du même avantage : Ce sera un match, comme celui contre Sassuolo, qui sera composé d’e embûches. Nous devrons être bons pour les surmonter lorsqu’elles se présenterons." Est-ce plus dangereux de se sentir déjà en finale ou de la jouer petit bras ? "Mon équipe est mature et sérieuse, qui sait qu'elle a mérité son avance. Il ne faut plus reculer. Je vous le dis à vous aussi, nous ne devons rien spéculer, nous devons jouer un match Da Inter tous ensemble: Et nous pouvons l'affronter avec beaucoup de confiance. Il ne faut pas vouloir la jouer petit bras: J’ai des joueurs importants, j'ai la chance d'avoir des joueurs qui connaissent la valeur de la rencontre : Nous devrons jouer ce match comme nous l'avons toujours fait lors de nos derniers derbys." Est-ce qu’il s’agira d’un Derby de Spartiates comme l’a déclaré Acerbi ? "J'avais déjà répondu à l'un de ses équipiers que c’était déjà le cas au match aller : C'est très important et nous en avons tous connaissance : Nous sommes ici et nous voulons arriver là où il était très difficile de penser à arriver. Nous connaissons le chemin et la montée que nous avons empruntés pour y parvenir : Nous connaissons les critiques qui, si elles ne sont pas présomptueuses comme c'est souvent le cas, nous aident et nous conseillent, nous avons à quel point la rencontre de demain est importante : Inutile de tourner autour du pot." Comment êtes-vous parvenu à créer cet environnement au sein du Vestiaire ? "C'est, tout d'abord, un travail quotidien, la façon dont l'ensemble d'un groupe travaille. Nous ne sommes pas une équipe composé d’un un nombre de joueurs si élevé, comme d'autres équipes, nous sommes une équipe de 20 joueurs avec des doublures à chaque poste. Zanotti, Carboni et Fontanarosa ont un avenir assuré, mais ces matches seraient compliqués pour eux." "Je m'arrête donc à 20 joueurs, avec quelques blessures jusqu’à récemment, mais après la Coupe du monde, grâce aux garçons, quelque chose s'est créé et maintenant nous sommes en Finale de la Coupe d’Italie et nous avons devant nous cette demi-finale retour. Le calendrier n'est devenu gérable que de cette manière, avec un turnover important de joueurs, avec l’engagement de tous : C'est la seule façon dont je pouvais gérer la situation, en demandant à tout le monde d'apporter une contribution des plus importante." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Egle Patanè, éditorialiste à FCInterNews, a écrit un beau texte concernant le match retour de l'Euroderby. Un, deux, trois, soleil ! La situation n'a jamais autant collé à ce jeu d'enfants. Et pour l'Inter, il faut viser l'étoile puis revenir sur terre et y rester. Là, à la 3e place du classement, et là, en route vers Istanbul même s'il reste encore un laissez-passer à gagner pour la métropole turque, du moins définitivement. Reste là, Inter. Reste là. Au plus fort d'une saison colorée, fluctuante, folle et borderline, faite de hauts et de bas, et enfin, après tant de bas (onze pour être exact), un pic au sommet qui fait presque peur au vu des dix jours à venir. Car telle est la nature de l'Interista, faite de peurs, d'appréhensions et d'angoisses toutes dirigées et concentrées sur elles-mêmes plutôt que de regarder les autres. Oui, il faut bien le dire, on est tous un peu André Onana lors de l'avant-match Milan-Inter de Mercredi dernier quand il a dit qu'il n'avait pas peur du Milan mais de l'Inter. Et avec tant de foi dans les moyens de ce sacré Simone Inzaghi, aujourd'hui à un pas de la revanche après tant de critiques, toute réserve envers l'enthousiasme inconditionnel a raison d'être et ce "+2" à l'aube du retour d'un Euroderby vaut même plus que le rêve du 10 juin et l'angoisse de se prononcer n'est pas sacro-sainte mais plus. Réserves, sacro-saintes (on le répète), mises à part, avouons-le, chuter maintenant serait impardonnable. Pourtant, quel vrai fan de l'Inter, logique mise à part, peut dire qu'il est calme ? Pas même les optimistes les plus téméraires, les plus fous. Alors baissez la tête et pédalez. Le 4-2 contre Sassuolo est thèse et antithèse, preuve et contre-preuve à la fois et nous voilà dans le même dilemme qu'il y a une semaine : tête ou coeur? Raison ou sentiment ? Tout et rien, selon le scénario. Et s'il est vrai que la raison apporte une bouffée de sérénité qui, Dimanche dernier, avait moins de force. L'histoire nous enseigne de ne jamais baisser son armure, même pour souffler, ne jamais baisser sa garde… Frattesi l'a enseigné. Ce n'est pas un hasard si face aux neroverdi, adversaires coriaces par excellence, après un 3-0, la chute de tension a conduit à un sursaut collectif qui a ouvert la voie aux vieux démons que les 71 000 présents au Meazza avaient presque oubliés. Mais heureusement il arrive, lui, le bon géant mis en cause pendant les trois quarts de la saison, où Big Rom, qui après un 3-0 devenu 3-2, a mis les choses au clair. Je suis en charge ici, c'est ma maison. Et ce 4-2 était complet avec une ovation finale. Mais Sassuolo, avec tout le respect que je vous dois, reste le Sassuolo. Et trois points en Serie A ne sont certainement pas comparables à la route d'Istanbul pour "écrire l'histoire" et les deux buts marqués par l'équipe de Dionisi devraient faire réfléchir le onze (plus les remplaçants) qui doit terminer le match. Dans la manche de l'Inter, il y a la bonne carte du double avantage inscrit dans le premier acte mercredi dernier. Cependant, le ballon est rond et le football est imprévisible et étrange. Ainsi, dans l'étrangeté et l'imprévisibilité de l'affaire, l'équipe d'Inzaghi a beaucoup à dire, surtout pour manifester et s'il y a un jour où elle peut le faire, ce jour-là, c'est mardi prochain, c'est demain. Mais qui ose signer aujourd'hui ? Seul le plus fou des interprètes, et n'en déplaise à l'ancien commandant de ce groupe qui a jeté les armes, il y a beaucoup de fous, y compris des génies, et le fait logique qu'eux, les interprètes de cette saison schizophrénique, devront signer l'épilogue. Être ou ne pas être? Être… espérons-le. Alors croyons que le rêve… (au moins le prélude) est faisable mais seulement si avec l'intention de… car s'il est vrai que tout est destin, il est également vrai que "homo faber fortunae suae", (l'homme fabrique sa destinée, ndlr). Alors Interisti, soyez les architectes de votre propre destin. Traduction alex_j via FCInterNews, texte Egle Patanè.
  16. Stéphane Dalmat s’est livré, ce dimanche, suite à la victoire de l’Inter sur Sassuolo https://www.instagram.com/p/CsN0xlrIHVl/ "Bonjour à tous, Encore une victoire et cette période me fait très plaisir, c’est super beau de voir l’Inter remporter toute ses rencontres, je me souviens des très mauvaises périodes où nous étions tous enragés et cela me semble loin, si loin comme période. Il ne faut pas l’oublier bien évidemment, au présent, à maintenant, et au futur. Hier j’ai vu une très belle rencontre très ouverte car Sassuolo n’avait rien à perdre et il a joué son match. Je suis encore content pour Lukaku et oui je vous en parle encore car je vous aviez dit que j’avais énormément confiance en lui : Un joueur comme lui, lorsqu’il est en forme et qu’il a de nouveau confiance en lui : C’est un Très grandissime joueur. Ensuite, les autres joueurs aussi bien au milieu, qu’en défense, sont tous en forme et je pense que l’équipe aujourd’hui, a tout compris qu’elle est en forme en pleine confiance et elle sera prête pour mardi. Et mardi il faut le faire : Aller en Finale et je serai moi aussi au Stade: Cela fait quasiment 20 ans que je n’étais plus venu au Meazza et pour moi c’est un plaisir et j’attends avec impatience dimanche, lundi et mardi j’arrive à Milan et j’espère que nous passerons et que nous fêterons cette qualification pour la Finale. Mais ce ne sera pas facile, je ne vais pas vous dire qu’on va aller sur le terrain et qu’elle est faite, non car Milan est Milan, même s'il a perdu hier contre la Spezia et qu'il n’est pas dans une bonne période: Sur un match tout peut arriver mais je ne le pense pas, je ne pense pas à cette éventualité. Je n’ai pas peur comme j’avais en revanche un peu peur, je vous dis la vérité, lorsque nous avions gagné à Benfica et ensuite perdu à domicile, j’avais une toute petite crainte : Ici, non, je suis confiant, serein, heureux, très fier de venir au Stade en plus et de supporter l’équipe et de revoir ce stade magnifique avec une ambiance extraordinaire: Pour moi c’est un rêve, quelque chose que je tenais à faire et je ne savais pas venir plus tôt, mais j’ai enfin trouvé le temps pour venir et, c’est, en plus, pour voir en plus la plus belle partie de la saison et qui sait ensuite, à Istanbul…Je ne le sais pas encore. Je vous souhaite une très bonne journée, je pense que vous êtes tous fier et que vous attendez le plus vite possible la demi-finale retour de ce mardi Comme je le dis toujours : Eh Oui ! Forza Inter! Ciao !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Après une première mi-temps un peu compliquée où l'Inter s'en était bien sortie en rentrant au vestiaire sur le score de 1-0, les nerazzurri se sont vite mis à l'abri au retour des vestiaires et menaient 3-0 à la 60e. On pensait le match fini mais Sassuolo est revenu à 3-2 en l'espace d'un quart d'heure. On commençait à revoir nos démons surgir mais heureusement pour nous les hommes d'Inzaghi ont réussi de nouveau à faire le break sur contre notamment, grâce à une superbe finition de Lukaku qui s'offre un doublé magnifique. Une victoire tellement importante après les faux pas de la Lazio, l'Atalanta et le Milan ! Il reste 3 matchs dont Naples et l'Atalanta donc rien n'est encore fait, mais c'est une belle option pour la qualification en Champions League (on attend aussi le verdict concernant le retrait de points pour la Juve qui pourrait également nous faciliter la tâche). Rendez-vous mardi pour le retour tant attendu en demi finale de Ligue des Champions, contre le Milan ! Il faudra finir le travail et aller décrocher cette finale de C1 même si ce ne sera pas facile. Bravo les gars de n'avoir rien lâché et d'avoir pris ces 3 points malgré une compo complètement remaniée. FORZAAAAAAA
  18. Romelu Lukaku aux micros de SkySport après son doublé lors du 4-2 contre Sassuolo. Un cadeau d'anniversaire? "Heureux d'avoir gagné un match important, étant donné que Sassuolo nous plombe toujours ici, au Meazza. L'entraîneur nous a expliqué l'importance de ce match. Nous jouons bien et nous devons continue comme ça." Êtes-vous à votre top ? "Pour moi, on peut toujours s'améliorer. On va bien, oui, tout le monde apporte sa contribution mais il faut continuer comme ça. On peut encore gagner deux trophées. On a un match difficile Mardi mais on joue à à la maison et nous nous préparerons." Sept buts et quatre passes décisives : ô combien aimeriez-vous jouer Mardi ? "Autant que n'importe qui. Mais l'Inter est la plus importante et quand l'entraîneur a besoin de moi, je suis là." Super de revoir Big Rom comme ça! Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Daniele Alfieri éditorialiste pour FCInterNews fait une analyse du doublé de Big Rom contre Sassuolo. L'Inter a déjà en tête le deuxième des deux Euroderbys, ou pourquoi pas la finale à Istanbul ? La réponse tombe sur le terrain avec la cinquième victoire d'affilée en championnat, la septième compte tenu également les succès en demi-finale des deux coupes contre la Juventus et le Milan. Un résultat encore plus lourd, étant donné que Sassuolo, bien qu'il n'ait pas grand chose à demander dans ce championnat, n'est pas arrivé au Meazza avec les meilleures intentions envers l'équipe d'Inzaghi. Tout autre, si l'on s'en souvient, l'esprit de l'équipe de Dionisi le 22 Mai dernier au Mapei lors de la dernière journée contre nos cousins. Justement Milan avait évidemment plus d'une pensée pour l'Euroderby, comme en témoigne la deuxième débâcle en quatre jours contre la Spezia, avec le même résultat que Mercredi, 0-2. Le tabou noir et vert de l'Inter a été donc lui aussi déboulonné. Une seule victoire des Nerazzurri lors des matches disputés au Meazza ces sept dernières années, celle du 7 avril 2021, avec un 2-1 et un doublé de la LuLa, mettant une autre brique vers le 19ème Scudetto, celui de Conte. Ce pire, pour Sassuolo, a un nom, un prénom et un surnom : Lautaro Martinez rebaptisé il Toro depuis qu'il a 17 ans (Conte a essayé de l'adoucir en l'appelant Lauti mais avec de mauvais résultats). L'entrée du Diezà la place de Correa, remplacé à la mi-temps pour lui épargner les huées de tout le Meazza, il a provoqué les premières secousses en contaminant ses coéquipiers de sa combativité, puis en mettant définitivement l'arrière-garde verts et noirs dans les cordes, Tressoldi exagérant avec un but contre son camp. Dionisi s'est mis à l'abri en remplaçant le défenseur et Sassuolo (le hasard) est revenu dans le match, alors que l'Inter a peut-être vraiment fait l'erreur de penser déjà à Milan. Brozovic et Lukaku n'y pensent pas tellement sachant qu'ils partiront probablement du banc, donc le Belge a encore le souffle pour sprinter dans la surface de réparation et clôturer le match avec un doublé, le même jour où il avait déjà soufflé la 30e bougie. Le chiffre d'affaires qui gagne ne change pas, pas même Mardi prochain lorsque les as de la coupe Calhanoglu et Dzeko seront de retour. Maintenant, nous pouvons y penser au retour de l'Euroderby. Road to Istanbul! Traduction alex_j via FCInterNews - texte de Daniele Alfieri
  20. Raffaele Caruso, journaliste à FCInterNews, explique pourquoi cet Inter - Sassuolo est une finale. Son analyse est supportée par les statistiques. Plus que Barcelone-Inter, plus que Inter-Viktoria Plzen, plus que Porto-Inter, plus que Inter-Benfica. Plus qu'un derby, plus qu'un derby italien, plus qu'un Euroderby. Cet Inter-Sassuolo est le match le plus important de la saison des Nerazzurri, et ce, pour mille raisons. Gagner aide à gagner. L'Inter nous le rappèle depuis un mois et demi. L'équipe Nerazzurra a pris confiance et pris conscience de ses capacités et a commencé à gagner. Malheur à briser la magie, l'enthousiasme. Inter-Sassuolo se place entre les deux Euroderbys. Un examen de maturité avec l'équipe des Nerazzurri qui devra savoir bien s'isoler et solder les comptes, même en championnat, car cet Inter-Sassuolo est une sorte de finale. Le premier de la saison, après la Super Coupe, en attendant celui de la Coppa Italia et peut-être avec une autre à Istanbul. Et ce surtout après le match nul de la Lazio contre Lecce. L'histoire que l'Inter de Simone Inzaghi essaie d'écrire dit que Sassuolo est aussi une bête noire qui ruine souvent les plans et les fêtes de l'Inter, voir les stats qui suivent. C'est pourquoi, ce soir au Meazza est une finale. Et celui qui prendra le terrain devra y faire face de cette manière. Selon toute vraisemblance, Inzaghi s'appuiera aussi sur ceux qui ont moins joué. Dans une finale les motivations viennent toutes seules. Le Meazza s'occupera du reste. Alors ramenons à la maison la deuxième finale de la saison et continuons à rêver. Les chiffres Sassuolo et l'Inter se sont affrontés 20 fois depuis le 22/09/2013 : 19 fois en Serie A et 1 fois en amical. Sans le match amical, l'Inter a gagné 9 fois et fait 2 nuls; Sassuolo ayant gagné 8 fois. Avec le match amical, l'Inter a gagné 10 fois. Nous voyons donc que Inter - Sassuolo se résume à 9-8 en ne prenant que les matchs de Serie A. Les sites de paris en ligne montrent que l'Inter est favorite : 1,42 sur Stanleybet.it, 1,43 sur 888sport.it, une victoire de Sassuolo se situant entre 6,6 et 7,5. Notons également que Edin Dzeko et Lautaro Martinez sont attendus comme buteurs. Traduction alex_j via FCInterNews texte Raffaele Caruso
  21. Tout fan de football italien, pas seulement des Nerazzurri et des Rossoneri, après avoir regardé Milan-Inter, a encore dans les yeux les images de la demi-finale aller de la Ligue des Champions. Un match absolument sans histoire. Cela aurait dû se terminer plus tôt. Avec des erreurs d'arbitrage décisives en faveur de l'équipe locale. Et les habituelles polémiques italiennes du perdant qui n'accepte pas la supériorité de ses rivaux. L'Inter a compté une dizaine d'occasions de de buts nettes et sans bavure, à tel point qu'il est presque même difficile de toutes les retenir et d'en dresser une liste précise. Milan en a eu deux, Messias et Tonali. Résultat, pas de vrai tir cadré pour il Diablo et une enquête pour escroquerie a été ouverte contre Onana. Ce dernier est accusé de ne pas avoir payé le billet du match et de l'avoir vu d'une position absolument privilégiée. N'importe quel fan de la Beneamata aurait signé pour le 2-0. Tous, sans exception. La vérité, cependant, avec des données en main, est que Lautaro et ses coéquipiers méritent des applaudissements tonitruants pour leur performance de Mercredi. Mais dans l'esprit des gars d'Inzaghi, il faut aussi regretter de ne pas avoir profité de l'avalanche d'opportunités créées. Avec un 5-1 ou un 8-0, au retour, vous auriez également pu aligner la Primavera. Au lieu de cela, Mardi prochain sera à juste titre une autre bataille. Ne donnez jamais Milan pour mort. Et attention à l'épisode qui peut changer le résultat et l'inertie du match. D'un mouvement d'un joueur d'il Diablo, à une erreur monumentale de l'arbitre, vous voyez le coup de poing de Krunic sur Bastoni inexplicablement ignoré par l'équipe arbitrale. Ici, à ce jour, c'est certainement l'un des plus gros oublis de tous les temps par la VAR en Ligue des Champions. Crier au scandale est mal, car tout le monde a tort. Je l'ai déjà écrit et je le répéterai encore et encore. Pour l'éthique, l'éducation et l'honnêteté, tant sur un terrain de football que dans la vraie vie, je ne demanderai jamais à être favorisé par des gaffes délibérées. Et j'espère que dans un monde de gens rusés et malhonnêtes, le message que tout va toujours bien ne passe pas. Mais revenons au terrain qui finalement est ce qui compte le plus. Samedi, l'Inter affrontera un match très difficile contre Sassuolo, qui est une équipe rude. Et cela, juste pour dire, ressemblait au Real quand ils ont humilié Milan au San Siro il y a quelques mois en donnant aux Rossoneri une manita historique. Les Nerazzurri n'ont pas encore atteint la qualification pour la prochaine Ligue des Champions. Battre les neroverdi aiderait vraiment. Ce n'est qu'alors que nous pourrons nous concentrer sur le match retour contre Milan. Si ces 7 minutes évoquées par Pioli, une déclaration étrangement ignorée par de nombreux journalistes qui suivent Milan, se répétaient dans quelques jours, l'Inter serait en finale, puisque ses adversaires n'avaient rien créé. Rien, zéro absolu. Et je défie quiconque de prétendre le contraire. Cependant, puisque Milan fera mieux, car il est pratiquement impossible de faire pire, et cela dit, les Rossoneri ont été favorisés par quelques oublis lors du match aller, la qualification est toujours ouverte. Que le meilleur gagne! Traduction alex_j via FCInterNews, texte de Simone Togna.
  22. La joie du premier tour remporté n'a duré que les 90 minutes du match. A la fin, tout le monde pensait déjà à Sassuolo puis, bien sûr, au match retour. Steven Zhang était également dans la tribune exultant et prêt à récompenser les joueurs avec 2 millions d'euros bruts s'ils atteignent la finale, comme le rapporte la Gazzetta dello Sport. "Le président était visiblement satisfait à la fin du match. En fait il voulait descendre aux vestiaires pour féliciter l'équipe et l'entraîneur. Cependant, il a tenu à faire passer un message d'attention: 'Ce n'est pas fini, les gars. Maintenant, pensons à Sassuolo, puis pensons au match retour'. Cependant, le gel continue avec le patron de Milan, Gerry Cardinale: les deux se sont ignorés dans les tribunes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. L'Inter a remporté le match aller de la demi-finale contre Milan 2-0 et a ouvert la voie pour Istanbul, comme l'a expliqué Lautaro Martinez à Inter TV. Impression générale. "C'est certainement une victoire très importante pour nous. Un excellent résultat, nous avons abordé de la bonne manière. Je suis très content du résultat fait aujourd'hui." À quel point êtes-vous fier de gagner ce match en tant que capitaine ? "C'est certainement merveilleux pour moi et ma famille, pour tout le travail derrière. Avec ou sans le brassard, j'essaie d'aider mes coéquipiers de quelque manière que ce soit. Aujourd'hui, c'était un beau match, un beau derby, maintenant pensons au championnat puis au match retour." Comment commentez-vous le match ? "Je tiens à féliciter tous mes coéquipiers car nous sommes entrés sur le terrain comme nous l'avions préparé, pressant Milan sur leur terrain, les deux buts d'avance au départ nous ont fait gérer le match d'une manière différente même si l'on a baissé l'intensité ensuite. C'est un gros plus, maintenant il faut terminer le travail la semaine prochaine." Devez-vous rester concentré maintenant ? "Certainement oui. Maintenant pensons à Sassuolo qui sera difficile et ensuite pensons au match retour qui sera un match similaire à celui-ci." Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. C'est l'analyse de Sport Mediaset, car si le match contre Benfica représente un tournant crucial pour l'Inter et pour Simone Inzaghi, les Nerazzurri auront quoiqu'il arrive, besoin d'un choc immédiat pour faire face à un calendrier démentiel avec potentiellement 14 matches à disputer en l'espace de 50 jours calendrier! En effet, si Benfica devient la clé de voûte de la saison Nerazzurra, l'Inter affrontera ensuite Empoli, la Juventus en Coppa Italia et la Lazio pour clore un mois d'avril des plus enflammé. Et si le mois de mai débutera par un match à domicile contre Vérone, il s'en suivra le déplacement à la Roma d'un certain José Mourinho suivi de la rencontre face à Sassuolo qui sera à jouer entre les éventuelles demi-finales de la Ligue des Champions! Mieux encore, si Naples parvient à se qualifier tout comme l'Inter, Simone Inzaghi affrontera Luciano Spalletti trois fois en l'espace de 11 jours, en tenant compte du match de championnat du 21 mai. Enfin, si l'Inter est parvenue à prendre le meilleur sur la Juventus en Coupe d'Italie, la Finale aura lieu après ce tryptique face au club du Vésuve, s'en suivra quatre jours plus tard l''Atalanta, et le dernier déplacement de la saison face au Torino! Un calendrier fou de matchs à enjeu pour une équipe qui ne se transcende que devant l'adversité! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...