Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'scudetto'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
    • Questions
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Contact et inscriptions de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers
  • Football

Catégories

  • Gardiens
  • Défenseurs
  • Milieux
  • Attaquants

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Inter Women
  • Dates clés

Fonctionnalités

Catégories

  • Carte du Monde des Nerazzurri

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Ville


Joueurs

  1. Le match s'est terminé par un nul entre la Juve et l'Inter, 1-1. Après le but de Vlahovic, Lautaro Martinez a répliqué. 13 buts en 13 matchs pour le capitaine de l'Inter, de plus en plus le bombardier et le meneur de l'équipe. Un but important car il permet à la Juve de rester derrière et aux Nerazzurri de garder la tête du classement. C'était le Toro contre la Juve, ce qui est toujours une bonne chose si le noir et le blanc sont les couleurs que vous aimez le moins. Pour Lautaro, c'est comme ça. Il a réglé des comptes en un seul match. Il a réglé celui de l'Inter, parce que vous savez quelle musique cela aurait été de commencer la semaine avec la Juventus la dépassant. Mais non. Le voilà, le soir des étoiles qu'il cherchait contre un adversaire qui, au moins en championnat, semblait un tabou inexplicable : un seul but, inutile, il y a quatre ans maintenant. Tout cela avant hier. Avant un geste qui devrait être montré dans les écoles de football, le chapitre de l'avant-centre, sous le titre "comment attaquer le premier poteau et anticiper le défenseur", spécifiquement Gatti. Nous en sommes à 13 buts en 13 matches, 27 sur l'année civile : seuls Milito et Vieri, deux joueurs qui dans l'histoire de l'Inter ont fait quelque chose, ont réussi à faire mieux, avec 28 buts. Parce que ce Lautaro est un jugement et une garantie. C'est un capitaine qui calme Barella quand le milieu de terrain s'agite un peu trop. Qui réprimande Dumfries quand le Néerlandais, avec ses mouvements décousus, finit par lui marcher sur les pieds, compliquant les plans. Qui va voir l'arbitre pour clarifier quelques situations qu'il n'avait pas appréciées. Lautaro honore le brassard et voyage à une moyenne record : continuer ainsi, dépasser Higuain et Immobile à 36 buts n'est pas un mirage mais un véritable objectif. L'Inter, c'est lui, lui c'est l'Inter. Le club a donc raison de vouloir régler la question du renouvellement du contrat le plus rapidement possible. Les propos de l'administrateur délégué Beppe Marotta, avant le match, n'ont fait que confirmer une route désormais ouverte. Il sera signé jusqu'en 2028, à la satisfaction de tous. La satisfaction est celle d'un joueur qui se sent désormais un symbole de l'Inter. Et qui a mis le Scudetto en tête, au point de transférer son désir à l'ensemble du groupe. Le match nul ne l'a pas satisfait, en fin de match - quand le rythme a baissé - il a incité ses coéquipiers à accélérer, à élever le centre de gravité, à courir après une victoire qui aurait été synonyme d'évasion. Mais son objectif a un poids spécifique qui sera peut-être apprécié à moyen et long terme. Car l'Inter est sortie de Turin avec une conviction renouvelée. La deuxième étoile est dans sa ligne de mire, il n'y a pas eu de dépassements hier soir et quand on ne peut pas s'étirer, on peut bien fermer les portes des autres, en gardant la position. ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  2. Massimo Moratti, ancien président de l'Inter, a commenté le derby italien qui s'est déroulé hier soir sur Radio Anch'io Lo Sport, avec le match nul 1-1 des Nerazzurri sur le terrain de la Juventus : À qui peut-on comparer Lautaro Martinez ? Maintenant, il faut penser à la Ligue des champions : Mais qui Moratti amènerait-il du grand Inter dans cette équipe ? Que pensez-vous de la décision de Naples de rappeler Mazzarri ? Le grand regret de Moratti ? Milan est-il en course pour le Scudetto ? ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  3. Au micro de Tuttosport, Miralem Pjanic, ancien milieu de terrain de la Juventus, s'est exprimé avant le derby d'Italie de dimanche. Que pensez-vous de la position des Bianconeri au classement ? Allegri, cependant, dit qu'il regarde l'avantage sur la cinquième place du classement : pensez-vous que c'est vrai ? D'ailleurs, après un départ canon, Chiesa et Vlahovic ont ralenti : le derby italien et le défi avec Lautaro et Thuram peuvent-ils les débloquer ? A quel match vous attendez-vous et quel sera le poids du résultat ? Son plus beau derby d'Italie ? Est-ce qu'on parle encore en Italie du deuxième avertissement que vous auriez dû recevoir ? ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  4. Urbano Cairo répond sur le présent et l'avenir d'Alessandro Buongiorno, qui a également été approché par l'Inter Milan. Voici les propos du président du Torino en marge du DLA Piper Sport Forum, rapportés par TMW. Buongiorno ? Combien vaut Buongiorno aujourd'hui ? L'Inter serait intéressé. Comment le voyez-vous dans le futur ? Est-ce une coïncidence que le Torino se soit redressé avec le retour de Buongiorno ? Le Scudetto est-il un enjeu entre la Juventus et l'Inter ? ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  5. L’entrepreneur finlandais, Thomas Zilliacus, a joué carte sur table en se livrant ouvertement sur la chaîne Twitch "La TV Nerazzurra". Direction Italienne Stade Al Thani Les Tifosi Offre Officielle Les Zhang peuvent rester Une négociation qui ne sera pas éclair Scepticisme Champions Propriétaire ou Socio Pourcentage de réussite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. L'Inter Milan est plus durable financièrement que la Juventus en dépit d'un manque de soutien de son propriétaire, Suning. Les deux géants de la Serie A vont livrer bataille à l'Allianz Stadium dimanche, dans une confrontation directe dans la lutte pour le Scudetto. Mais en dehors de ce duel sportif, La Gazzetta dello Sport a jeté un œil aux bilans des deux clubs. D'après les déclarations financières, ils récupèrent progressivement tous les deux et essaient de limiter leurs pertes dans l'ère de l'après-Covid. Lors des trois dernières années financières, l'Inter a réussi à réduire les déficits de -246 millions euros à -140 millions et plus récemment -85 millions. D'un autre côté, la Juventus a limité ses pertes de -237 millions d'euros à -90 millions d'euros. Néanmoins, les Nerazzurri sont toujours à la recherche d'un projet plus durable financièrement. Comme l'explique la source, l'Inter va bénéficier de gains en capital, de nouveaux sponsors et diverses économies. Au contraire, sans compétition européenne la Juventus va perdre environ 90 millions d'euros. L'article révèle que l'équipe de la Juve coûte 401 millions d'euros aux caisses du club. C'est considérablement plus élevé que l'équipe de l'Inter qui coûte 287 millions d'euros. La Beneamata a aussi réduit l'écart avec son grand rival: l'Inter a gagné 386 millions la saison passée, la Juve 437 millions. Cependant, la source note que la Juventus a été capable de compter sur ses propriétaires qui ont investi 700 millions d'euros en augmentation de capital lors des dernières saisons. Par contre, le propriétaire de l'Inter, Suning, n'a jamais soutenu le club financièrement. Le futur de la Compagnie chinoise dépend du prêt avec Oaktree, qui a une date limite en Mai 2024. Suning devra rembourser le prêt ou le refinancer. Sinon, Suning pourrait perdre leur mainmise sur le club. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  7. Kristjan Asllani s’est livré à Sport Mediaset suite à la qualification de l’Albanie à l’Euro 2024 Comment allez-vous ? Face à Frosinone, vous n’étiez même pas convoqué… Qualifié avec l’Albanie..... Il y a la possibilité de rencontrer l’Italie…. Qu’est-ce qui a changé pour vous, à l’Inter, comparé à l’année dernière ? A l’horizon se profile la Juventus : Comment voyez-vous le match ? Pour l’objectif de la saison : Vous optez pour le Scudetto ou la Ligue des Champions ? Aimeriez-vous devenir un titulaire indiscutable ? Avez-vous eu raison de rester à l’Inter ? Jamais au Milan ? Quels sont vos rapports avec Inzaghi ? La Seconde Etoile est-elle réaliste ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. C’est l’information de Calciomercato.com : "Lorsqu’Alexis Sanchez quittera l’Inter en fin de saison, il sera utile de disposer d’un nouvel attaquant. Ce ne sera pas Joaquin Correa qui reviendra de son prêt à Marseille et qui sera de nouveau placé sur le Mercato. Piero Ausilio et Dario Baccin sont donc déjà au travail pour saisir les occasions qui se présenteront sur le Mercato avec un œil attentif aux paramètres zéro, comme cela a déjà eu lieu par le passé." "L’attaquant iranien a déjà été accosté par les Nerazzurri l’été dernier et était quasiment une acquisition du Milan: A la fin de l’été dernier, Piero Ausilio a laissé ouvert le fascicule du jouer et établi des contacts avec lui en essayant de comprendre sa disponibilité pour une éventuelle arrivée sur l’autre rive de Milan car le joueur ne restera pas à Porto à la fin de son contrat. Marko Arnautovic, blessé jusqu’à présent, et Alexis Sanchez n’ont pas été en mesure de présenter un impact important." "Dès lors, et dès le mois de janvier, les dirigeants interistes pourraient anticiper une manœuvre afin de renforcer immédiatement le noyau de Simone Inzaghi qui est en pleine lutte pour le Scudetto. C’est également la raison pour laquelle le nom de Taremi est de retour dans l’actualité même s’il n’y pas eu de pas concret allant dans ce sens. L’Inter pourra se permettre d’établir un discours clair et franc avec Porto à la condition de parvenir à un accord total avec le joueur iranien d’ici au mois de janvier, ce qui n’est pas encore le cas pour l’instant." "Mais si Taremi et l’Inter parviennent à un accord, Piero Ausilio ira au Portugal pour revenir avec l’attaquant. Taremi participant à la Coupe d’Asie des Nations, son arrivée en Italie serait attendue pour début février et un accord pourrait être conclu pour une somme avoisinant les 5 à 6 millions d’euros: Que la Direction interiste songe à un plan, pour convaincre les Portugais, est à présent une question ouverte." Est-ce une bonne idée d’investir dès janvier sur le joueur, qui sera gratuit au mois de juin, selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. En effet, lorsque le tableau d’affichage a marqué le temps supplémentaire de la seconde mi-temps, la Curva Nord s’est laissé aller à un chant "Stiamo arrivando… stiamo arrivando…" que l’on peut traduire par "On arrive…On arrive" Ce message, clair comme de l’eau de roche, est destiné à un destinataire tout aussi clairement visible : La Juventus au Stadium de Turin. Comme nous le révèle la Gazzetta Dello Sport: "A la reprise, il y aura à nouveau un Derby d’Italie auréolé de l’ombre du Scudetto. Et l’Inter s’est offerte, face à Frosinone, son huitième match de championnat sans encaisser de but, une série record qui égale celle d’Antonio Conte qui avait récolté 31 points récoltés en 12 journées. Dans l’ère des championnats à 3 points, c’est la seconde fois où l’Inter est parvenue à atteindre le palier des 30 points après 12 rencontres disputées." "A présent, Simone Inzaghi n’a plus qu’un seul objectif à atteindre, le plus grand : Car s’il est vrai que LA Mission de l’Inter cette saison est de remporté le Scudetto de la Seconde Etoile, il est tout aussi vrai qu’il ne lui manque que ce dernier pour entrer dans le Club des entraineurs gagneurs." "Et Favorite ou pas: "Questa Inter è Da Seconda Stella" (Cette Inter est de Seconde Etoile)." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Victoire de l'Inter contre Frosinone et de la Juventus contre Cagliari. A la reprise, les deux équipes s'affronteront au stade. Entre-temps, la pause internationale éloignera plusieurs joueurs d'Inzaghi et d'Allegri. Selon une analyse Corriere della Sera, le dépassement et contre-dépassement. Le championnat se transforme en duel entre Inzaghi et Allegri, spécialistes de la défense à trois. Dans deux dimanches, le derby d'Italie entre la Juventus et l'Inter aura pour enjeu le scudetto. Les autres fondent : Milan, deux points lors de ses cinq derniers matches, s'est égaré après la trêve d'octobre, se faisant rattraper par Naples et Lecce avec une avance de 2-0. Des baisses de tension, un mauvais équilibre, une avalanche de blessures à gérer. Pour Pioli, la pause sera longue et compliquée. Naples est encore plus mal en point et paie le prix de la présomption de De Laurentiis qui, d'un revers de main, a imaginé pouvoir passer de Spalletti à Garcia sans conséquences et se voit aujourd'hui contraint de changer d'entraîneur. La prise de conscience des Nerazzurri face à la concrétisation des Bianconeri. Inzaghi grandit, dans la lecture des matchs et dans la gestion du turnover, et a amélioré une équipe que Marotta et Ausilio ont façonnée sans argent sur le marché. L'Inter, il va sans dire, est favori. Entre la fin de la saison dernière et le début de celle-ci, ils ont remporté 17 des 20 matches de Serie A, dont beaucoup ont été joués de manière spectaculaire. Le dernier, compliqué, contre Frosinone, a été favorisé par l'exploit de Dimarco, une parabole de plus de 56 mètres. Mais la Juventus n'abandonne pas. L'Inter doit surmonter la tendance malsaine à baisser la garde face à des rivaux moins accrédités et s'appuyer, comme elle le fait, sur le talent de ses stars, Lautaro, Calhanoglu, Thuram, tous des joueurs qu'Inzaghi a améliorés. L'Inter a de la force et de la technique. La Juventus, en revanche, a les idées claires : elle connaît ses limites et sait comment les contourner. Max a dit que dans un match sec, la différence de valeur devient plus petite : voyons ce qu'il peut proposer. ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  11. Grâce à l’excellent travail réalisé par Giuseppe Marotta et Piero Ausilio, l’Inter peut se vanter de disposer de deux lignes défensives qui pourraient être titularisées dans n’importe quel Club de la Botte. Révélation de la Gazzetta Dello Sport Simone Inzaghi, l’entraineur de l’Inter se trouvé déjà confronté à une petite urgence, mais il sait déjà sur quels hommes il pourra compter vu les blessures et forfaits de Benjamin Pavard et d’Alessandro Bastoni. La défense est pratiquement connue pour Turin : Inzaghi a les hommes sur qui compter et les titulaires se nomment Matteo Darmian, Stefan De Vrij et Francesco Acerbi qui, sera contraint de se décaler au poste de centre-gauche. Bisseck représente la seule alternative valide à disposition pour ce poste et c’est justement l’aspect qui préoccupe le plus Inzaghi car il fera face à série de trois matchs à l’extérieur à gérer. Et il est acté qu’il ne sera pas possible de procéder au système de rotation si cher à l’entraineur Nerazzurro: Bisseck aura son maillot de titulaire à Lisbonne, c’est déjà acquis, mais les autres choix se réduisent inévitablement. Prenez Darmian, le numéro 36 sera contrait de jouer de façon stable en défense. Cela signifie qu’il faudra aussi prendre con compte la condition physique approximative de Juan Cuadrado tandis que Denzel Dumfries sera appelé à faire de l’extraordinaire. C'est aussi positif pour Inzaghi que De Vrij soit revenu à son plus haut niveau: L'hollandais est de fait considérer comme une excellente "acquisition" car, l’été dernier, son départ était quasiment acté, il était en fin de contrat et son temps de jeu avec Inzaghi était tout autre que constant. Après sa prolongation, cette saison met en évide une croissance totale et une disponibilité n’a jamais fait défaut : Son rendement sur le terrain est similaire à celui de l’année du Scudetto sous Antonio Conte. De plus, De Vrij a également démontré qu’il était capable de couvrir le rôle de centre-latéral, un poste qui n’était certainement pas le meilleur possible vu ses caractéristiques. Inzaghi dispose donc de ressources pour se présenter à Turin avec une défense de haut niveau, car au net des Hommes qu’il a à sa disposition, il ne peut se féliciter que de disposer d’un rempart global aussi équilibré Faudra juste éviter toute nouvelle blessure en défense ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. José Mourinho, légendaire entraineur de l’Inter en 2010, s’est livré à Sky dans le cadre de la rencontre opposant sa Roma au Slavia Praga en Europa League. Mais notre Special One n’a en rien oublié sa Beneamata qu'il voit Championne en fin de saison! "El Shaarawy peut avoir sa chance pour jouer en attaque : Nous ne sommes pas l’Inter et nous ne sommes pas capable de faire un turnover de 5 joueurs. Je dois faire face à des blessures importantes et à des joueurs qui ne peuvent pas jouer en Coupe d’Europe : Nous sommes en difficulté. J’aurais, demain, 5 bambins sur le banc, je ne peux pas faire trop de turnover." "C’est une bêtise de croire que j’ai cherché à me faire expulser pour éviter Inter-Roma : Je suis l’entraineur de la Roma et j’ai envie d’être sur le banc. Je suis très triste lorsque je n’y suis pas, la seule chose que je n’aime pas est d’être absent du banc de mon équipe : Il n’y a pas d’autre motif." Cette exclusion était-elle ou pas mérité ? "Là, il s’agit d’un autre argument, j’ai vu d’autres entraineurs faire le même geste. J'ai vu d’autres entraineurs faire pire que moi, mais c’est toujours la même histoire avec moi. J’ai durant toute la saison tenu un comportement très correct et je me retrouve expulsé pour ce geste, je le répète : Si c’est comme ça pour moi, ça doit l’être pour tous." L’Inter et Lukaku "L’Inter est extrêmement forte, elle devrait remporter le championnat avec 20 points d’avance. Je chercherais à faire en sorte que l’on soit à son niveau, mais nous sommes moins nombreux, nous devrons faire avec nos propres forces, mais avant toute chose, il y a la rencontre de demain." Lukaku ? "Il va jouer, c’est une partie très difficile pour nous et importante, Lukaku est important pour nous, encore plus en l’absence de Dybala et Pellegrini. Il jouera demain. Je ne voyais pas Lukaku si important à Milan. Car ce qu'il a fait : Le Scudetto et et les trophées qu'il a remportés, 200 joueurs dans l'Histoire de l'Inter l'ont fait. Je ne pensais pas qu'il était aussi important pour eux." "Passer de l'Inter à la Roma pour aider son entraîneur est un drame.... Mais Çalhanoğlu du Milan à l'Inter est une merveille.... Cannavaro de l'Inter à la Juve pas de problème, Vieri de l'Inter à Milan pas de problème." "L'attente que réserve Milan à Lukaku est devenue une chose effrayante. Je ne l'imaginait pas aussi important dans l’Histoire d’un club comme l’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Roberto Gagliardini évoque son début de saison après ses adieux à l'Inter et à Monza. Voici l'interview du milieu de terrain au Corriere dello Sport avant le match contre la Roma au Stadio Olimpico : "Nous allons bien, mais cela n'a pas de sens d'y penser maintenant : huit jours, c'est peu. Il nous a fallu 110 ans pour accéder à la Serie A, nous ne pouvons pas prendre 24 mois pour revenir en B." Gagliardini, la Roma a récemment retrouvé son rythme de croisière : coefficient de difficulté ? "Elle reste l'une des meilleures équipes de notre championnat, une grande équipe qui saura certainement moduler ses ambitions. Et puis il y a Mourinho, qui a apporté des résultats importants à un collectif de grande individualité. A Rome, nous allons jouer un grand match". Il y a un mois, le match nul au Stadio Olimpico agrémenté d'un but de Gagliardini : ce match a-t-il définitivement débloqué Monza ? "On a fait un très bon match contre la Lazio, qui a des ambitions en Ligue des champions : on a réussi à imposer notre jeu et on méritait plus. Ensuite, les victoires sont toujours libératrices, donc aborder la trêve en ayant battu Sassuolo et Salernitana aide beaucoup. Deux matches qui nous ont donné de l'élan et de la fluidité, ce qui nous permet aujourd'hui de jouer avec un peu plus de sérénité. Mais ce sera difficile à Rome. En tant qu'ancien coéquipier, comment avez-vous perçu ce bras de fer sur le marché ? "Je le connais bien et, à titre personnel, j'éprouve de la gratitude pour Lukaku. En ce qui concerne la façon dont l'Inter et lui se sont quittés, je dis que ce sont des choses qui arrivent dans le football. Romelu a toujours fait la différence partout : c'est un champion et il doit être respecté en tant que tel. Il a été l'un des architectes de l'équipe avec laquelle nous avons gagné le Scudetto, disputé deux finales européennes et remporté d'autres coupes. Pour dimanche, je dirais que nous devrons essayer de le contenir, car Lukaku a de nombreuses façons de faire mal. Et puis il y a les huit points supplémentaires sur la zone de relégation : un bel avantage pour Monza. "Il faudra savoir s'en prémunir, notamment parce que le niveau du championnat est plus élevé. Cette année, on se sauve en marquant entre 38 et 42 points. Il faudra donc montrer des signes de continuité dès Rome". Gagliardini a-t-il tout pour se sentir le leader de cette équipe de Monza, qui prend un nouveau départ après l'Inter ? "En réalité, le secret est toujours ce groupe qui a été compétitif au fil du temps. Peut-être que lorsque Monza est arrivé en Serie A, quelqu'un a pu se sentir impressionné. Depuis mon arrivée, j'ai trouvé une grande solidité, que nous traduisons sur le terrain. J'ai terminé un cycle à l'Inter, j'étais conscient du choix que j'avais fait. J'ai tout de suite senti l'empreinte donnée par Berlusconi et Galliani : tout le monde peut le voir ici. Sur le terrain, Monza a montré qu'il pouvait se tailler un grand rôle, en réalisant une première année incroyable". Les tricolores avec Conte, avant cela le parcours de Gagliardini avec Pioli et Spalletti qui ont remporté les deux derniers championnats : Palladino est-il proche de certains sommets ? "C'est un entraîneur du Scudetto, certainement un entraîneur de premier plan en raison de ses méthodologies et de son organisation : je le vois dans quelques années capable de jouer une finale européenne. C'est le premier championnat dans lequel il a entraîné depuis le début. J'aime sa façon de prendre le groupe en main. D'ailleurs, jetons un coup d'œil par la fenêtre : les garçons du secteur des jeunes s'entraînent. "Je pense immédiatement à Palladino, qui a commencé à entraîner de cette manière et qui a obtenu de grands résultats. C'est un maître du football et il vous fait vous sentir bien. Il a encore beaucoup d'expérience, un avenir important et de grands principes. Ce n'est pas un hasard s'il a obtenu ces résultats". Monza les veut surtout comme ça, jeunes et italiens : est-ce la stratégie gagnante ? Un choix qui nous mène loin : je crois que c'est un message à transmettre à notre championnat. L'empreinte italienne voulue par le club devrait plaire au football italien, surtout en cette période". ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  15. Giuseppe Marotta s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il n’élude aucune question : "J’ai remporté mon premier Scudetto à Turin, avec Conte, lors de la saison sans engagement européen." Juventus "L’expérience me dit que pouvoir planifier une saison juste avec un championnat et la Coupe d’Italie représente un avantage. C’est pour cette raison que je vous dis que la Juve est favorite pour le Scudetto." Mais pourquoi donc, vous Dirigeants et Joueurs, vous vous livrez énormément sur la Seconde Etoile ? "Je dis Non à l’excès de prudence et d’humilité : Si tu es à l’Inter, tu te dois d’être ambitieux, de placer la barre très haut. Nous nous devons d’y croire : Dire "Nous sommes les Meilleurs" est différent car ce serait un signe d’arrogance." Pourquoi l’Inter devrait remporter ce Scudetto ? Donnez-nous une raison... "Parce que nous nous sentons fort et que nous avons une grande considération en nos propres moyens, considération qui est le fruit de la saison dernière en Coupe d’Europe. Je sais aussi à quel point les Tifosi tiennent à ce Scudetto qui coïncide avec la Seconde Etoile." Votre avis sur le début de saison ? "C’était l’année la plus importante en termes de renouvellement du noyau avec 12 nouvelles arrivées de joueurs. Et malgré tout, nous avons très bien débuté." Il y a tout de même Sassuolo et Bologne… "Ce sont des circonstances défavorables : C’est évident qu’il y a aussi eu des erreurs de commises, mais je ne crois pas qu’il s’agisse d’un relâchement depuis le 5-1 du Derby. Nous devons, au contraire, nous entraîner et combattre les baisses d’attention et la fatigue mentale." Torino, Salzbourg et la Roma, l’Inter est prête ? "Elle se doit de l’être, avec Ausilio, nous avons composé un noyau capable de répondre à ce type de sollicitations." Est-ce votre Inter la plus complète ? "Sûrement oui, et aussi la plus homogène car nous avons des garanties à tous les postes." En attaque aussi ? "Si l’on se fie aux statistiques, le rempart a fonctionné de fort belle manière : Il n’y a pas eu un seul match où nous sommes resté à sec. Je dirais même que nous avons pris des buts évitables : Le Scudetto se remporte avec celui qui a la meilleure défense." Votre première Inter, en 2018-2019, proposait plus ou moins la même masse salariale que l’équipe actuelle : 116 millions d’euros. Cette fois-ci vous êtes en courses pour le Scudetto : Qu’est-ce que cela veut dire ? "Il a fallu raisonner de cette façon : Redimensionner les couts était un des objectifs, mais la Compétitivité n’a jamais été revue à la baisse. Je dirais mieux : Les joueurs importants, par la force des choses, sont accompagnés d'une masse salariale importante. Et plus que la réduction des couts, je m’intéresse à la façon dont valoriser aux maximum nos ressources. Si tu es dans un grand club, un club qui veut gagner, il ne te sera jamais possible de descendre sous un certain niveau en termes de masse salariale." Pour quelle raison prolonger le contrat de Lautaro ? "Il est juste que le Club soit attentif à la situation de ses joueurs. D’une part tu défends ton patrimoine et d’autre part, tu renforces ce sentiment d’appartenance. Lautaro n’est pas Skriniar : Il a manifesté sa volonté pour prolonger, une volonté qui correspond à la nôtre, et cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin et que notre union peut continuer sur le long terme." "Avoir des joueurs fidèles est une valeur ajoutée : S’il n’a pas un sentiment d’appartenance, un joueur ne comprendre jamais ce que veut dire disputer ou rempoter un Derby. Le Top, pour un club, est d’avoir un joueur qui renonce à partir dans des clubs plus importants pour rester lié à son club." Est-ce le joueur le plus important de notre Championnat ? Baggio a-t ’il raison ? "Oui, je ne vois personne d’autre en ce moment comme lui." Lukaku est-il un regret, une désillusion ou seulement un adversaire ? "C’est le passé! Lukaku est le passé : Il n’y a plus personne au sein du club qui pense encore à lui, Personne et je dis bien personne. Ensuite en tant qu’Homme de football, il y a des dynamiques à prendre en considération, ce n’est pas comme si c’était la première fois que cela m’arrivait." Vous êtes sur ? Vous avez un exemple similaire ? "Celui d’un joueur qui a fait semblant de vouloir prolonger et qui, en réalité, se voyait déjà ailleurs." Skriniar donc… "J’ai ressenti un très fort sentiment de désillusion car lorsqu‘un joueur ne prolonge pas, il ne va pas à l’encontre de sa classe dirigeante ou de son président, mais il va justement à l’encontre de l’Histoire et de la Valeur du Club : Il a fait du tort à l’Inter et non à quelqu’un. Il aurait pu prolonger, nous lui avions proposer tant de solution du genre comme celle de fixer une clause libératoire qui répondait aussi bien à ses exigences qu’à celles de l’Inter : Mais il a toujours dit non." Pour quelle raison l’Inter, à un moment l’été dernier, a déplacé le budget prévu pour l’attaque sur la défense ? "Car nous avons eu, dans le même temps, l’opportunité de recruter un profil de joueur important pour notre présent et pour le futur : Pavard représente une valeur patrimoniale très importante indépendamment de son rôle." Est-ce vrai que Thuram vous rappelle son père ? "Par l’Humilité, le Courage et la persévérance : Marcus a les même valeurs que Lilian, des valeurs qui sont à la base de son succès personnel." Croyez-vous-en une autre nouvelle Finale de la Ligue des Champions ? "Oui, j’y crois, car à la différence du Scudetto où c’est toujours le plus fort qui le gagne, la Ligue des Champions est un peu comme le Milan-Sanremo cycliste : Les circonstances favorables comptent." Votre avis sur Inzaghi ? "Son bilan est très positif, le Club est très content de lui: Il est arrivé à l’Inter avec une seule expérience professionnelle à son actif, à la Lazio : Il est jeune comparé à la moyenne des entraineurs de notre championnat, il peut encore se renforcer. Il est différent des autres entraîneurs que j’ai connu par le passé et c’est juste de de le définir de la sorte : Il est pour un football ouvert, spectaculaire qui diverti : Nous, nous sommes aussi l’Inter, le Spectacle doit se conjuguer avec les victoires, autrement bien jouer ne servirait à rien." Serez-vous actif sur le mercato hivernal ? On parle de Taremi comme objectif ? "Je ne crois pas. Toutefois, nous sommes l’Inter, et nous devons tours rester attentif à chaque situation et je tiens à dire une chose : Avant, les joueurs étaient réticent à accepter de rejoindre l’Inter, à présent, ils sont nombreux ceux qui veulent venir, et l’été dernier nous avons dû dire non à pas mal de personnes. Thuram, Sommer et Pavard avaient le choix : Cela veut dire que l’Inter est considéré comme crédible." A quel point a-t ‘il été difficile de clôturer le mercato estival dans le respect de l’équilibre des entrées et des sorties ? "L’Inter est aujourd’hui un modèle de soutenabilité. C’est inadmissible qu’une propriété doive continuellement injecter des fonds. Zhang l’a fait pour une somme avoisinant les 900 millions d’euros. Nous comme Managers avons un avantage, celui d’avoir la possibilité de travailler en toute sérénité et ce mérite à Zhang se doit d’être reconnu. Il n’y a plus un club actuellement qui peut se permettre de se passer du Player Trading. Un joueur important doit être vendu par an et le Tifoso a dû s’en faire une raison. Et bien plus que perdre un joueur, il faut se préoccuper de s’assurer une vie péréenne à l’équipe, en lui garantissant un présent et un futur." Où se situera l’Inter lors de la prochaine trêve hivernale à la mi-novembre ? "Je ne le sais pas, mais c’est bien mieux actuellement d’être dans la position du chasseur que du lièvre, tactiquement, c’est quelque chose que je préfère." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Présent à l’occasion de la présentation du livre de Fabrizio Biasin , "Odio il calcio", Giuseppe Marotta s’est livré sur sa vie professionnelle et sur l’avenir de son aventure Nerazzurra : "Je me rappelle mon époque à Como, on parlait énormément du Sida et j’étais Directeur Sportif : Ils m’avaient dressé une banderole avec de l’ allitération." Mon diner avec Conte à Trento ? "Mais non, c’était un repas où nous étions une quinzaine de personnes! Aujourd’hui c’est devenu dangereux de blaguer ou d’être ironique, il faut être attentif envers la personne à qui l’on s’adresse et à la façon dont on s’exprime. J’aime le football, la passion se confond avec l’adrénaline d’aller sur le terrain samedi à Turin ou mardi contre Salzbourg sans savoir ce qu’il va se passer. Si je devais devenir un agent ou faire autre chose, j'en perdrais mon enthousiasme." Etes-vous devenu plus autoritaire que par le passé ? "Cela vaut dans la vie d’une façon générale. Arrivé à un certain âge, vous commencez à avoir une certaine expérience derrière vous. Elle vous apporte les bonnes choses comme les merdes que vous avez connu, les défaites que vous avez subi. Dans la vie, il faut savoir comprendre que l’on s’est planté et aujourd’hui, j’ai les connaissances nécessaire pour faire face à toutes les situations, pour savoir également faire face aux situations négatives." L’importance d’avoir une équipe B "Les secondes équipes sont pour moi un instrument indispensable dans le parcours des croissances des jeunes. Passer de la Primavera à l’équipe-première est une transition difficile, il serait utile de disposer d’une phase intermédiaire qui pourrait être l’U-23. Je fais mon mea-culpa également au club que je dirige car nous n’avons pas les installations nécessaire pour entraineur les U-23." Le Viola Park ? "C’est une structure unique en Europe, je tire mon chapeau à Commisso pour ce qu’il est parvenu à faire." Messi a-t’il un jour été dans les pensées de l’Inter ? "C’est arrivé à un moment oui..., mais avant mon arrivée." Qui est votre Messi ? "C’est Lautaro actuellement." Est-ce le joueur le plus fort que vous ayez eu ? "Je ne sais pas, il est difficile de définir la catégorie des plus forts : Lautaro était un jeu talent qui est devenu un Champion, il joue dimanche après dimanche en s’améliorant jour après jour, c’est une personne dont on entendra parler." Etes-vous serein sur la permanence de Lautaro ? "Oui, c’est un oui absolu! C’est évident que je ne vais pas vous faire d’annonce, nous sommes déjà en surexposition médiatique." Êtes-vous encore furieux par les choses que l’on peut lire dans les journaux ? "Non, car si vous répliquez à toutes les choses négatives qui en ressortent, et qui par chance ne sont que très peu nombreuse, la caisse de résonnance médiatique est encore plus importante. La catégorie des journalistes a aussi évolué, il y a peut-être moins de sélection aujourd’hui et les nouvelles doivent savoir sortir immédiatement de nos jours pour obtenir un maximum de lecture : C’est comme cela que des fake news sortes, cela fait partie d’un monde qui a évolué." Il suffit juste de voir la perception sur l’Inter d’une trêve internationale à une autre..... "Une différence de deux points te fait passer de phénomène à tout autre chose, mais cela fait partie du marché journalistique. Je pense au panorama télévisuel, l’autre jour il y avait Conte sur la Rai 2 et Corona sur la Rai 3. Ce sont deux sujets intéressant pour les passionnés de football, mais qui ne savait évidemment pas être suivi simultanément." Que pensez-vous du Scandale lié au Calcio Scommesse ? "J’assiste à un énième scandale, il me rappelle le Totonero des années 80." Qu’est-ce que le Pari ? "Pour moi c’est un vice, quelque chose de négatif, qui est à présent médiatisé comme une affaire d’État. Cela fait partie de la société, il nous faut savoir partager avec les jeunes, pour les soutenir dans leur processus de croissance. Ce sont des personnes qui peuvent changer d’un jour à l’autre en devant riche et célèbre. Et avec l’argent facile, ils peuvent se laisser aller à d’autres choses." Vous avez connu différentes générations de joueurs. A quels points les joueurs actuels ont changé ? "A présent, il y a des instruments avec lesquelles ils peuvent se divertir et faire des conneries. Les éléments de tentations, auparavant, étaient nettement moins nombreux. Aujourd’hui le téléphone est à toute les sauces : Il est source de satisfaction, de danger, d’adrénaline. Il y a des aspects positifs et d’autres facteurs de risques. C’est donc normal qu’il puisse y avoir une certaine fragilité de la part des joueurs, qui pour diverses raisons se laisser aller à la légèreté. La faute revient aux Dirigeants, mais aussi aux institutions sportives tel que les Clubs de football, aux agents et aux associations syndicales : Nous avons tous fait trop peu pour détourner ces tentations des garçons." Etudiez-vous un joueur sous cet aspect avant de le recruter ? "C’est difficile, mais il serait utile de faire un test d’entrée. Dans n’importe quel boite, vous avez un entretien d’embauche, mais pas dans le football. Ce n’est qu’après avoir recruté un joueur que vous prenez conscience de certains aspects négatifs qui pourraient représenter un problème. Imaginez un joueur suspendu pour des années : Cela représente un dommage économique pour le Club, qui en réalité n’a pas de grandes responsabilité. C’est une situation à étudier sous tellement d’angles de vue." L’Inter est-elle votre dernière équipe de votre carrière ? "Oui, Tout à fait oui, j’aimerais bien tenter l’aventure dans la Politique Sportive par la suite." Objectif Scudetto ? "Clairement : Décrocher la Seconde Etoile serait quelque chose d’historique à coudre sur le torse." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Lors d'un entretien avec La Gazzetta dello Sport, l'entraîneur de l'Atalanta, Gian Piero Gasperini, a également parlé de la lutte pour le Scudetto : Le derby est-il la bonne solution ou le classement actuel ? "L'Inter, même s'il a perdu Dzeko et Lukaku, a deux vitesses de plus qu'avant, grâce à la force laissée par la finale de la Ligue des champions. Mais Milan, après le derby, a été exceptionnel. Milan est très fort.’’ Juve ? "Forte, mais avec un peu moins de certitudes. Naples a des problèmes et va perdre Osimhen pour la Coupe d'Afrique des Nations, mais c'est toujours l'équipe qui a gagné le championnat. Je vois les Milanais et Naples devant. La Roma, si Dybala et Lukaku sont bien, jouera avec les premiers. La Lazio, après une année extraordinaire, a une performance plus normale.’’ ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  18. Benjamin Pavard s’est livré à une longue interview à DAZN : Champion du Monde 2018, celui-ci s’est livré sur son arrivée dans la Botte et le Volcanique Giuseppe Meazza Serie A "C’est un championnat que je suis depuis très longtemps, j’ai énormément d’amis qui jouent en Italie. Pour moi c’est un football qui est fort tactiquement, j’ai énormément à apprendre ici et je suis impatient de faire partie de ce grand club : L’Inter. Je joue au football pour gagner des titres, c’est ma raison de jouer et c’est ce qui me plait : A la fin de ma carrière, je serai fier de regarder dans ma vitrine tous les titres remportés : J’espère qu’il y en aura encore tellement car je suis une personne qui a faim de victoire. J’aimerais gagner de très nombreux titres avec l’Inter aussi et, en fin de saison, célébrer le Scudetto et mettre cette seconde étoile sur le maillot." Son arrivée en Italie "J’étais en Allemagne depuis sept années, le moment était arrivé pour un nouveau défi et l’Inter s’est présentée. C’est un grand Club Historique , une grande Histoire écrite par des Légendes comme Javier Zanetti qui travaille encoure aujourd’hui pour le club et envers qui j’ai le plus grand respect. Pour moi, il s’agissait d’une question de choix et de nouveau défi et l’Inter s’est présentée avec les mêmes ambitions : celle de gagner le plus de titre possible. J’espère pouvoir célébrer, en fin de saison, le plus de victoires possible, en compagnie de nos merveilleux Tifosi." Poste de prédilection "Ma position préférée est celle de central dans la défense à trois, c’est là que je me sens le plus à mon avantage." Le fait d’avoir été Latéral droit ? "Vous savez tous que je peux occuper cette position, mais ce n’est pas celle qui m’avantage le plus. Je suis à l’Inter pour m’exprimer au poste que je préfère et où je peux apporter ma contribution, mon expérience." Coupe du Monde 2018 "Lorsque tu vis ce type d’émotions, comme celle de remporter un Mondial, ce qui est le plus beau et le plus important des titres dans l’absolu, tu veux toujours en profiter avec tes supporters." Mon but face à l’Argentine ? "C’est un moment magique, unique pour moi, pour l’équipe et pour toute la France, c’est un instant qui restera gravé dans la mémoire des français et la mienne car c’était un très grand but dans un match important. D’un autre côté, et je ne m’en cache pas, je me dois de continuer à regarder de l’avant, je préfère penser au présent et à l’avenir, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis." Un jour vous avez déclaré : Je n’ai pas le talent de Messi, mais je suis fort mentalement : L’aspect mental est fondamental pour un joueur "Oui, absolument, pour un joueur de haut niveau c’est comme ça : Je ne suis pas un génie du football comme Messi, mais je suis un garçon qui a toujours bossé. Personne ne m’a jamais rien donné, tout ce que j’ai, je l’ai gagné par mon travail. Je n’ai jamais abdiqué, même lorsque je traversais des périodes difficiles. Je tiens ça de mon père qui a une grande force mentale et qui me la transmise." "Pour moi c’était important de l’avoir aussi bien dans les bons moments que dans les plus compliqués, c’est la Clé pour réussir une grande carrière dans le football." Un match à annuler "C’est difficile à dire. Je dirais la défaite face à Manchester City lors de la dernière Ligue des Champions." Le plus beau Stade "Celui de l’Inter : Le Giuseppe Meazza." Idole d’enfance "Sergio Ramos, j’aime son style de jeu et sa Grinta, c’est un exemple pour moi." Les sacrifices "Ce n’est pas un sacrifice, mais c’est un privilège d’être un joueur de haut niveau d’apporter de la joie aux supporters qui viennent dans le Stade. C’est vrai qu’il arrive que je rate des anniversaires, Noël, le Nouvel-An en Famille ou avec les amis. C’est compliqué, mais je n’ai pas à me plaindre car je fais le plus beau métier du monde." L’attaquant le plus dur à marquer "Je dois y penser… Je dirais Eden Hazard." Plat préféré "Les frites du Nord et de la Belgique." Quel équipier écoute la pire des musiques ? "Marcus Thuram, il écoute de tout, mais ce n’est pas Top. Ce que j’écoute n’est pas mal : Les années 80, 90, le Reggaeton." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Stéphane Dalmat s’'est livré via son compte Instagram officiel suite à la victoire de l’Inter sur le terrain d’Empoli https://www.instagram.com/p/Cxm53qEox3D/ "Bonjour à tous, J’espère que vous allez bien. Hier c’était une belle victoire, tranquille, nous aurions pu inscrire un peu plus de buts, mais finalement le plus important reste les trois points. Nous avons vu les autres équipes, qui sont candidates aussi au Scudetto, perdre ou faire match nul et nous, nous sommes bien, nous prenons tous les points. Je pense que l’équipe a pris conscience de ce qu’elle a foiré l’année dernière. Après un match de Ligue des Champions c’est toujours difficile, très difficile de jouer à l’extérieur, qui plus est face à une petite équipe mais nous avons fait une belle prestation. La seule chose que nous aurions pu faire, c’est d’inscrire plus de but, on aurait pu faire 3 ou 4-0. Pour le moment, nous sommes bien, nous avons gagné un match que nous aurions pu perdre l'année passée. On voit à présent que l’équipe a retenu les leçons de la saison passée. On en a terminé avec une belle semaine : Le 5-1 sur le Milan, le partage à la Real Sociedad et enfin la victoire très importante sur notre chemin pour le Scudetto. Je n’ai rien de plus à ajouter, nous sommes tous content : Félicitations à l’équipe, félicitation à tout le monde. On se reverra pour la prochaine partie pour le Championnat et ensuite pour la seconde journée de la Ligue des Champions. Félicitations à l’équipe, vous avez fait du très bon travail : Je vous souhaite une très belle journée à tous et comme je vous le dis toujours : Forza Inter! Ciao" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Notre Administrateur-Général Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Radio Anch'Io Sport sur les performances de sa créature, véritable Colosse en ce début de saison La blessure de Marko Arnautovic "J’en suis vraiment désolé, car il s’intégrait bien. Je crois énormément en la capacité d’adaptation des joueurs et je suis convaincu qu’Inzaghi parviendra à trouver la bonne solution. Je suis confiant, nous irons de l’avant avec cet organigramme." Signeriez-vous pour disputer une Serie A à sens unique en sortant de la Ligue des Champions en quart de finale ? "La vie est faite de rêves et de réalité. La réalité est que nous sommes à la poursuite du Scudetto qui signifie la Seconde Etoile, mais les compétitions européennes doivent être observées avec un grand optimisme. L’année dernière, c’était un rêve qui a failli devenir réalité. Nous sommes obligé de participer aux compétitions en donnant le meilleur de nous-même et en voulant y atteindre le maximum." Vous attendiez-vous à un début aussi brutal en Ligue des Champions ? "Il faut reconnaitre que la Real Sociedad n’est pas une équipe dite "Tampon" mais est une équipe très solide, surtout à domicile: Elle s’est montrée très agressive et était très technique. Nous avons fait face à un adversaire qui nous a donné du fil à retordre et Inzaghi avait aussi mis un léger turnover en faisant évoluer des joueurs qui n’avaient jamais jouer ensemble: Nous en avons donc payé le prix mais il faut retenir, en positif, notre réaction en seconde période et le fait que nous ayons pu ressortir de là en ayant fait un résultat, c’est cet aspect-là qu’il faut valoriser sur notre match à l’extérieur." De qui avez-vous le plus peur pour la Seconde Etoile ? "Les statistiques, pour le Scudetto, nous enseigne qu’il est souvent l’apanage des mêmes équipes: En plus de l'Inter, je compte donc le Milan, la Juve, Naples et l’Atalanta, la Roma et la Lazio. Je dirais que le vainqueur figure parmi ces équipes, j'ai également remarqué de très grandes améliorations à la Fiorentina, mais je me limiterai à ces équipes." Le renouvellement d’Inzaghi ? "Nous sommes dans une phase intermédiaire qui est conditionnée par le Calendrier. L’année dernière, nous étions au même stade, huitième avec six points de moins. Je dois dire qu’au-delà de ces chiffres, il y a eu une prise de conscience en ses propres moyens et nous l’avons tous constaté à Istanbul: Il a la certitude de pouvoir être protagoniste et fort, de trouver de la continuité dans les résultats. A Udine, nous avions disputé, au niveau de l’impact, une prestation négative, mais nous en avons retiré des leçons et nous les avons surmonté. Inzaghi a toujours été très bon et aujourd’hui, c’est son équipe, elle lui appartient, c’est lui le Leader et les joueurs suivent ses indications." Lukaku ? "J’en suis resté marqué car nous avions instauré un chaleureux rapport d’affection avec lui, mais nous avons été bon pour trouver les alternatives. En conséquence, il fait partie du passé et le monde est fait ainsi, de faits totalement étrange en termes de relation, même au sein du football. Il faut s’adapter à ce qu’il s’est passé et ne plus s’y attarder. L’Inter existe depuis plus de cent ans et elle va de l’avant avec continuité dans la recherche de protagoniste, peu importe les entraineurs, dirigeants et joueurs." Dimarco a été le protagoniste de la journée hier, un point sur son renouvellement ? "Je suis très heureux pour lui car c’est l’un des rares qui représente à ce point ce grand sentiment d’appartenance au club. Nous sommes très fier de lui. D’un point de vue technique, tactique et agonistique, il est en constante progression et je pense qu’il est encore capable de s‘améliorer. Je devrais voir avec notre Directeur Sportif Piero Ausilio, mais nous souhaitons tous les deux parler de prolongation de contrat plutôt qu’un renouvellement car les deux parties partagent tellement de valeurs similaire : Mon respect est maximal envers Federico." Et le renouvellement de Mkhitaryan? "J’évalue un peut toute les situations, mais ce n’est pas encore le moment pour approfondir cette thématique, nous le ferons au bon moment avec un maximum de respect en partant de ce concept : Si le joueur veut rester, tout devient plus facile pour nous pour procéder à un certain type d’évaluation." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Les Nerazzurri et les Bianconeri sont candidats pour jouer un rôle de premier plan jusqu'à la fin de ce championnat En analysant ces premières journées de championnat, on n'exclut pas la possibilité d'un face-à-face entre l'Inter et la Juventus pour le Scudetto, question : Qu'est-ce que Thuram et Vlahovic ont en commun ? Les buts et les performances qui, samedi soir, ont permis à leurs équipes de se hisser à la première et à la deuxième place du classement. Mais ils ont également un autre point commun : l'héritage, réel dans un cas et virtuel dans l'autre, de Romelu Lukaku. Comme nous l'avons vu au cours de ces quatre premiers jours, l'Inter et la Juventus n'ont pas eu tort de choisir le fils de Lilian comme remplaçant du Belge et de confirmer le Serbe après la vaine tentative d'échange avec Chelsea entre les deux attaquants. Pour éviter les malentendus, il vaut mieux préciser que l'ex-Borussia était déjà arrivé à la Pinetina avant l'affaire Lukaku et que Dusan aurait quitté la Juve, pour faire de la place à Lukaku, surtout pour une question économique : pour Allegri, dans le cas du transfert de l'ancien joueur violet, Romelu aurait été le remplaçant idéal. Mais c'est ce qui s'est passé et cela a bien fonctionné pour les deux". Qui sait, avec Lukaku à la place de Thuram ou de Vlahovic, peut-être que l'Inter et la Juventus seraient également en haut du tableau, mais la réalité est qu'aujourd'hui ces deux-là sont déjà cruciaux dans une course qui promet d'être à feu et à sang. Une course vieille de plusieurs années. Pour trouver la dernière fois que les Nerazzurri et les Bianconeri se sont disputés le Scudetto jusqu'à la dernière journée, il faut remonter à l'inoubliable (pour les deux équipes...) 5 mai 2002, lorsque la Juve s'impose à Udine et dépasse l'Inter, battu à l'Olimpico par la Lazio. C'était la Juventus de Del Piero et Nedved et l'Inter de Ronaldo et Vieri. D'autres fois. Au cours des deux décennies suivantes, ils se sont parfois rapprochés, comme en 2019-20 avec la Juventus première avec 83 points et l'Inter deuxième avec 82, mais les Bianconeri avaient remporté le Scudetto deux jours avant, alors que les Nerazzurri étaient à -7. Il n'y avait pas eu de véritable challenge. L'Inter vole, premier avec le plein de points, la Juve presque, les autres prennent leurs premiers coups. Comme la Lazio qui a déjà perdu trois fois (trop), Naples qui a déjà cinq points de retard sur le leader (trop) et Milan qui a pris cinq buts dans son premier choc direct (trop aussi). L'Inter et la Juventus semblent les plus solides, les plus concentrés, avec une double différence qui favorise Inzaghi dans un cas et Allegri dans l'autre. Le point en faveur de Simone est la richesse de son effectif, le meilleur et surtout le plus complet de la Serie A. Le point en faveur de Max est le calendrier qui, malgré lui, lui a enlevé la Ligue des Champions et les autres coupes et lui permet de se concentrer et d'entraîner l'équipe sur un seul engagement hebdomadaire, à l'exception de la Coppa Italia. ®Jean Idriss - Internazionale.fr
  22. Via son compte officiel Instagram, notre Stéphane Dalmat Nerazzurro, s’est livré sur la raclée infligée au club Rossonero https://www.instagram.com/p/CxSVdd7oe1x/ "Bonjour à tous, Je ne sais pas comment l’exprimer, mais hier j’ai pris un de ses plaisirs polala, c’était si beau : Une victoire 5-1 contre le Milan. C'était une partie parfaite, je suis extrêmement content de Thuram qui a prouvé qu’il était un grand joueur et il fera encore mieux j’en suis sûr. Et je vous l’aviez dit: Il avait besoin et il a encore besoin de confiance pour s’adapter au championnat italien. Hier, j’ai vu une équipe qui a joué extrêmement bien. Le Milan a fait tourner le ballon, mais il ne savait rien faire de plus car, cette année l’Inter a un jeu, comme je vous l’aviez déjà dit il y a quelque jours, très vertical. Je pense qu’elle dans la continuité de la fin de la saison dernière et elle des joueurs comme Mkhitaryan, Barella qui vont toujours de l’avant. Et c'est quelque chose qu'elle n’avait pas l’année dernière: Des joueurs qui prennent le ballon, vont au un contre un, qui passent l’homme et qui tracent tout droit. A présent, il y a aussi un attaquant comme Thuram qui provoque , comme cela s’est vu sur le premier et sur le second but: Car il a provoqué son adversaire, c’est quelque chose qui nous manquait aussi l’année dernière. Cette année nous avons une défense qui est très forte: Hier, nos défenseurs ont été extraordinaire , il faut savoir que l’on a encore Pavard, encore De Vrij. Nous avons un noyau cette année qui fait que si un joueur sort, celui qui rentre fera tout aussi bien. Frattesi a fait une rentée extraordinaire, Arnautovic c’est quelque chose d’autre que Correa: On voit qu’il a de l’élégance, qu’il peut venir en aide à l’équipe, sans oublier Sanchez qui est sur le retour et qui reviendra à son niveau. Je pense que l’équipe de cette année est bien plus forte que celle de l’année passée mais le Football est comme ça : Aujourd’hui je suis très heureux, aujourd’hui je suis encore à célébrer cette partie. Mais après, il y aura la rencontre face à la Real Sociedad dans une autre compétition et tous les joueurs, lorsque tu remportes un match, savent qu'ils doivent se focaliser sur le match qui suit car la saison est difficile, longue. Mais après avoir vu une telle rencontre, tu peux te dire que l’Inter peut réaliser une très grande saison. L’année passée, nous l’avions mal débutée, mais en la terminant bien. J’espère juste que cette saison, ce ne sera pas l’inverse. Mais avec le noyau dont on dispose et l’expérience acquise l’année dernière, je suis sur qu'il s'agira d'une année où l'on aura la possibilité de gagner le Scudetto car l’Inter est l’équipe la plus forte du championnat et, qui sait ensuite pour la Ligue des Champions, tout dépendra des tirages au sort, des détails. Je tiens vraiment à féliciter l’équipe, les Tifosi qui ont mis une ambiance extraordinaire et compliments à tous les joueurs. Je vous souhaite une très belle journée et comme je vous le dis toujours : FORZA INTER Ciao!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Au lendemain d’une gifle Historique, Notre Curva Nord a enfoncé le clou vis-à-vis d’une Curva Sud qui se montrait des plus présomptueuses. Car oui, l'histoire récente du Derby est passionnée : Après le Scudetto disputé en 2022 et la Demi-Finale de Ligue des Champions, la rivalité est devenue très chaude, voire extrêmement bouillante Place au Florilège proposée dans la Cité Milanaise "Nous la tête haute, vous la tête basse" "5-1: Un été à attendre pour ensuite se faire Humilier " Sans oublier la petite cartouche par rapport au Tifo présenté par la Curva Sud au coup d’envoi "Nous allons au Cirque, vous au Tilt (ou Bingo), cinq de suite" "Retournez dans les égouts" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. Arrivé à l'Inter en remplacement d'André Onana, Yann Sommer a du temps devant lui pour convaincre les Tifosi de la justesse de son choix. Dans une longue interview accordée à la Gazzetta Dello Sport, le gardien helvétique s'est livré sur les raisons de son arrivée chez la Bien-Aimée : "Car l'Inter, c'est... l'Inter. Elle signifie Tradition, Force et Excellence. Quand j'ai choisi les Nerazzurri, j'ai analysé toute la situation : L'entraîneur, l'entraîneur des gardiens, le style de jeu, le stade, les supporters, la vie dans la ville pour ma famille et j'ai compris que c'était l'endroit idéal pour moi." Aviez-vous peur que le transfert capote ? "Je n'ai jamais eu peur de ne pas venir, j'ai toujours été calme pendant les négociations. Je ne sais pas comment les choses se sont passées entre les deux clubs, mais je savais que je voulais l'Inter et j'étais confiant." Votre avis sur les gardiens du passé ? "De Julio Cesar à Francesco Toldo, en passant par Samir Handanovic et André Onana. A l'Inter, il y a toujours eu des gardiens forts et courageux et je veux aussi être à la hauteur. Avec Handanovic et Onana, je n'ai jamais échangé, ce sont deux gardiens avec des caractéristiques différentes, chacun d'entre nous a son propre style. En plus d'être gardien de but, j'aime jouer depuis l'arrière et être fondamental pour surmonter la ligne d'attaque de l'adversaire." Le Derby au Meazza "Le derby, c'est vraiment sérieux. Le Meazza un stade que j'aime déjà, excitant, bruyant, amusant, et beaucoup m'ont dit qu'il était unique. Les Derby sont tous spéciaux, mais celui-ci est unique vu la profondeur des deux équipes et pour sa profondeur de l'Italie. J'ai hâte de le jouer, ce sera un match passionnant, que tout le monde attend. Mais c'est une confrontation spéciale, unique qui arrive très tôt. Nous avons une longue saison devant nous et tout peut arriver. Il y a aussi d'autres rivaux pour le Scudetto, et comme je suis encore nouveau en Italie : je ne peux pas encore faire de prédictions et de classement". Thuram et Pavard ? "Marcus a un potentiel de classe mondiale et j'espère qu'il fera son chemin jusqu'ici. Il a un physique exceptionnel, de la technique et surtout de l'intelligence. Qu'il attaque en un contre un, qu'il joue en combinaison avec Lautaro ou qu'il s'arrête dans la surface, il est reste dangereux pour l'adversaire. La mentalité que lui a transmise son père est également importante, c'est aussi un bon garçon en dehors du terrain, toujours souriant et positif." "Benjamin est arrivé dans une équipe qui dispose déjà d'une grande défense, il est très complet, il sait lire les situations, il marque avec le ballon car il "voit" le but. Au Bayern, il occupait un poste plus latéral et maintenant il jouera dans un poste plus central dans un dispositif différent: Et c'est toujours bien d'avoir des joueurs capables de jouer dans autant de poste. S'il a choisi l'Inter, c'est parce que c'est un grand club." "La défense de l'Inter me donne un sentiment de sécurité. De Bastoni à Darmian, ils se déplacent tous comme un seul homme, ils sont compacts et savent trouver leur position. Leur langage corporel est également impressionnant. C'est un bel avantage pour un gardien de but, alors bien sûr, des tirs au but vont m'arriver et quand ce sera le cas, je vais devoir faire mon travail." Que craignez-vous du Milan ? "Tous les attaquants sont forts. Maintenant, je les étudie en détail, comme Leao, j'ai l'habitude de me préparer avec l'entraîneur via des vidéos pour essayer de lire toutes leurs occasions sur le terrain." Pensez-vous que ce qu'il s'est passé en Ligue des Champions la saison dernière peut se reproduire ? "La Ligue des champions est une compétition difficile pour tout le monde, elle est unique. Il faut réunir tous les éléments pour aller au bout : Il y a les petits détails, la forme du moment et même un peu de chance. L'année dernière, l'Inter a joué exceptionnellement bien et méritait d'aller la finale. Pourquoi ne pas répéter cette performance ?" Aimeriez-vous gagner avec autant de souffrance que vous l'avez fait l'année dernière en Bundesliga ? Est-ce que c'est plus beau ainsi ? "Tous les sportifs vivent pour ces sentiments que procure la victoire, qu'elle soit "tranquille" ou "mouvementée". La saison, au Bayern a été complexe et pleine de défis à surmonter , nous avions changé beaucoup de choses, de la Direction à l'entraîneur, et c'est ce qui nous a amené à vivre ce choc en in de saison." Pavard, comme vous, voulait absolument rejoindre l'Inter cet été... "Je dirais que c'est un bon signe, non ? Et cela ne m'a pas surpris. J'aurais peut-être pu être surpris avant de venir ici, mais maintenant que j'y suis, tout est clair : C'est vraiment un grand club". Au fait, est-ce que cette photo vous dit quelque chose ? (nous montrons l'image de Jorginho après l'un des deux penalties manqués contre lui) ? "Il rit. Tout le monde s'en moque de ces matches, et je jouais avec la Suisse ! J'en ai aussi paré un à Mbappé à l'Euro, dans un autre moment de grande pression pour nous deux! Un penalty est une question de sensations, de moments où il faut prendre la décision, c'est un défi mental et technique". Où avez-vous appris à jouer si bien de la guitare ? "À l'âge de 18 ans, j'ai suivi un cours avec un professeur, parce que j'avais besoin d'une autre passion, de faire quelque chose à la maison pour me déconnecter du monde et me détendre. Ma guitare est encore en Allemagne, mais elle arrivera bientôt à Milan, même si, avec deux enfants en bas âge, j'ai moins de temps qu'avant". Qui écoutez-vous en particulier ? "J'aime John Mayer et surtout Bruce Springsteen. Je n'ai pas encore réussi à assister à l'un de ses concerts. Cette année, à Zurich, il y a joué pendant trois heures : c'était incroyable. S'il vient au Meazza, je serai là". Vous avez aussi une autre grande passion: La cuisine ? "Il y a quelques années, j'ai même tenu un blog, mais mon intérêt était de montrer ce que mange un sportif de haut niveau. J'aime bien manger, goûter à tout, et disons que je suis dans le bon pays". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. A l'occasion de la 28ème édition du Premio Gentleman, Giuseppe Marotta, l'Administrateur délégué Sport de l'Inter a reçu le prix CONI Lombardia Gentleman Awards: "Je tiens à remercier cette structure "invisible", celle qui n'est pas sous les feux de la rampe, comme les joueurs, mais les personnes qui, dans les coulisses, travaillent ensemble pour atteindre le même objectif." "Je crois que l'une des tâches fondamentales d'un Dirigeant dans le monde du football est de coordonner deux types d'équipes, celle qui va sur le terrain, où il y a un leader qui est l'entraîneur, et celle qui est en dehors du terrain, avec un ensemble conduisant à un concept d'équipe." Il Padrino s'est également livré aux journalistes présents "Le derby est toujours une rencontre avec une saveur particulière, ancré dans un championnat tout aussi fascinant. Les deux Tifoserie attendent ce moment, nous espérons donc que ce sera un point positif pour le Calcio et que ce sera un bon match. Nous sommes encore au début du championnat, il est difficile de faire des évaluations, mais nous faisons preuve d'autorité en tant qu'équipe: Nous disposons d'un bloc de joueurs expérimentés, de jeunes joueurs et le travail d'Inzaghi porte ses fruits, je crois que nous pouvons jouer un rôle d'Autorité." "La grille de départs de prétendants au Scudetto est la même que ces dernières années, il y a aussi un fort équilibre cette année et nous ne pouvons pas oublier la Juventus, Naples, la Lazio, la Roma, l'Atalanta qui se sont renforcées et qui figurent dans le groupe de tête de ce championnat." Lautaro ? "Le fait de lui avoir confié le brassard de capitaine signifie aussi lui donner beaucoup de responsabilités et c'est mérité du point de vue de la croissance exponentielle qu'il a montré au cours de ces années où il s'est montré vraiment protagoniste. Il est encore jeune et il pourra démontrer avec des faits qu'il s'améliore de dimanche en dimanche et confirmer sa valeur" Le Mercato a-t-il été compliqué ? "Oui, nous avons dû gérer ce nouveau phénomène du football arabe et cela a perturbé un peu le marché "européen" : Le fait que l'Arabie soit allée chercher des joueurs non pas en fin de carrière mais encore en pleine activité a, d'une part apporté un avantage financier immédiat, mais d'autre part et du point de vue de la concurrence, fait perdre de la qualité aux clubs européens, c'est certainement un fait pertinent qui devra être mesuré et rationalisé à la fin de la saison." Le renouvellement de Dimarco ? "Plus qu'un renouvellement, je dirais une prolongation de contrat. Il est normal que les joueurs manifestent de manière très concrète un sentiment d'appartenance, qui est l'une des valeurs les plus fortes: Il est aussi normal que le club comprenne ce désir, et dès que cela nous sera possible, nous nous mettrons autour de la table pour étudier avec lui sa prolongation." Le doublé de Frattesi avec l'équipe nationale ? "Il y a de la satisfaction de se sentir Italien et le fait est que nous avons vu une équipe qui méritait de l'emporter au Meazza, avec quatre joueurs de l'Inter comme titulaires. Cela montre à quel point l'Inter est aussi en train de créer un noyau dur d'Italiens qui, je crois, est propice à la réalisation de certains objectifs. Nous voulons renforcer cette voie en tant que modèle, et nous en sommes très heureux." Inzaghi ? "Il est en train de prouver qu'il est un très bon entraîneur, son expérience commencée il y a deux ans et demi donne d'excellents résultats, ce qui prouve que l'avenir ne peut être que meilleur." Le recrutement de Frattesi ? "Quand il y a une volonté explicite d'un joueur envers un club, le club a un avantage. Il voulait porter notre maillot et cela a facilité les négociations avec Sassuolo. Nous sommes parvenus à arriver à finaliser le tout avec une apparente facilité, et si le mérite pourrait nous en revenir, il faut surtout souligner le grand désir de Frattesi de rejoindre notre club." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...