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Massimo Moratti, ancien président de l'Inter, a commenté le derby italien qui s'est déroulé hier soir sur Radio Anch'io Lo Sport, avec le match nul 1-1 des Nerazzurri sur le terrain de la Juventus : À qui peut-on comparer Lautaro Martinez ? Maintenant, il faut penser à la Ligue des champions : Mais qui Moratti amènerait-il du grand Inter dans cette équipe ? Que pensez-vous de la décision de Naples de rappeler Mazzarri ? Le grand regret de Moratti ? Milan est-il en course pour le Scudetto ? ®Jean Idriss – Internazionale.fr
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L’entrepreneur finlandais, Thomas Zilliacus, a joué carte sur table en se livrant ouvertement sur la chaîne Twitch "La TV Nerazzurra". Direction Italienne Stade Al Thani Les Tifosi Offre Officielle Les Zhang peuvent rester Une négociation qui ne sera pas éclair Scepticisme Champions Propriétaire ou Socio Pourcentage de réussite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Benjamin Pavard, sans attelle dès la semaine prochaine
Zanetti63 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le défenseur de l'Inter, Benjamin Pavard devrait être capable de commencer à s’entraîner sans attelle la semaine prochaine. D'après la Gazzetta dello Sport, via FCInterNews, le défenseur français peut commencer la phase suivante de sa récupération. Le joueur de 27 ans a souffert d'une blessure au genou, suite à une collision avec Ademola Lookman, lors du match de série A contre l'Atalanta. Le fait de pouvoir retirer sa genouillère signifie la guérison de la contusion. Évidemment, Benjamin Pavard ne pourra pas revenir sur le terrain tout de suite mais une fois que l'attelle est retirée, le Nerazzurro sera capable de reprendre l'entraînement individuel. Il devrait être de retour pour les matchs de son équipe dans quelques semaines.Et ce n'est pas trop tôt pour le club car l'absence du joueur a amené un manque en défense, notamment dû au fait de l'absence prolongée de Juan Cuadrado et des doutes sur la condition de Denzel Dumfries. Si le Champion du Monde 2018 manquera les chocs de Série A face à la Juventus et au Napoli, son retour se fait entrevoir. Et Pavard devrait faire son retour dans l'équipe, pour attaquer le calendrier chargé qui suivra Noël. ®Zanetti63 - Internazionale.fr-
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Comme nous en fait part nos confrères de Passione Inter qui relayent un article de la Gazzetta Dello Sport : Notre Club est le meilleur vivier de la Botte ! Notre Primavera actuelle Cela fait des années qu’une partie de la Tifoserie soutient l’insuffisance de l’exploitation du Vivier Nerazzurro. Depuis Mario Balotelli et Davide Santon, à la fin des années 2000, il aura fallu attendre Federico Dimarco et une série importante de prêts, pour voir un "Canterano Nerazzurro" endosser le maillot de l’équipe-première de façon constante et en tant que protagoniste. Et si on élargit l’horizon aux joueurs qui sont passés par la Primavera de l’Inter et qui ont grandi, le Vivier interiste représente actuellement le meilleur de la Botte avec 22 joueurs passés par Interello qui sont toujours en activité dans le championnat italien. La Juve occupe la seconde place avec 21 joueurs, suivi de la Roma avec 20 joueurs. Le Milan, lui est bien distancé avec seulement 13 joueurs. Voici la liste dans le détail de nos petiots ! Cristiano Biraghi (1992, Fiorentina) Federico Bonazzoli (1997, Salernitana) Luca Caldirola (1991, Monza) Mattia Destro (1991, Empoli) Michele Di Gregorio (1997, Monza) Federico Dimarco (1997, Inter) Giulio Donati (1990, Monza) Alfred Duncan (1993, Fiorentina) Franco Carboni (2003, Monza) Valentin Carboni (2005, Monza) Giovanni Fabbian (2003, Bologna) Luca Garritano (1994, Frosinone) Christian Kouamé (1997, Fiorentina) Samuele Mulattieri (2000, Sassuolo) Gaetano Oristanio (2002, Cagliari) Andrea Pinamonti (1999, Sassuolo) Lorenzo Pirola (2002, Salernitana) George Puscas (1996, Genoa) Stefano Turati (2001, Frosinone) Gabriele Zappa (1999, Cagliari) Alessio Zerbin (1999, Napoli) Comme on peut le constater, parmi ces 22 joueurs, il y a des joueurs très prometteurs, dont pour certains, les attentes étaient peut-être trop importantes et qui jouent aujourd'hui dans des équipes niveau inférieur, mais il y a aussi d'autres joueurs qui sont très jeunes. Le Vivier Nerazzurro est un Vivier qui fonctionne car il produit un nombre de joueurs de haut niveau élevé pour la Serie A qui est synonyme de compétition à très haut niveau. Finalement, il ne faut pas oublier les contextes : L’Inter avait parfois besoin de miser sur de jeunes joueurs tandis que dans d'autres cas elle a préféré s'appuyer sur des joueurs plus expérimentés. La Juventus, avec la possibilité d’avoir une équipe B, a changé sa philosophie et lance régulièrement ses jeunes joueurs dans la cour des grands. Et c'est peut-être précisément en passant par une équipe B qu’il sera possible de voir les joueurs du Vivier, non-seulement continuer à jouer en Serie A, mais aussi avec le Maillot de l’Inter. Sans oublier bien sûr Federico Dimarco qui représente le Summum d'Interello ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Kristjan Asllani : "Moi au Milan ?"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Kristjan Asllani s’est livré à Sport Mediaset suite à la qualification de l’Albanie à l’Euro 2024 Comment allez-vous ? Face à Frosinone, vous n’étiez même pas convoqué… Qualifié avec l’Albanie..... Il y a la possibilité de rencontrer l’Italie…. Qu’est-ce qui a changé pour vous, à l’Inter, comparé à l’année dernière ? A l’horizon se profile la Juventus : Comment voyez-vous le match ? Pour l’objectif de la saison : Vous optez pour le Scudetto ou la Ligue des Champions ? Aimeriez-vous devenir un titulaire indiscutable ? Avez-vous eu raison de rester à l’Inter ? Jamais au Milan ? Quels sont vos rapports avec Inzaghi ? La Seconde Etoile est-elle réaliste ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Stefano Turati : "Je ne sais pas si Dimarco voulait tirer mais…"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
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Victoire de l'Inter contre Frosinone et de la Juventus contre Cagliari. A la reprise, les deux équipes s'affronteront au stade. Entre-temps, la pause internationale éloignera plusieurs joueurs d'Inzaghi et d'Allegri. Selon une analyse Corriere della Sera, le dépassement et contre-dépassement. Le championnat se transforme en duel entre Inzaghi et Allegri, spécialistes de la défense à trois. Dans deux dimanches, le derby d'Italie entre la Juventus et l'Inter aura pour enjeu le scudetto. Les autres fondent : Milan, deux points lors de ses cinq derniers matches, s'est égaré après la trêve d'octobre, se faisant rattraper par Naples et Lecce avec une avance de 2-0. Des baisses de tension, un mauvais équilibre, une avalanche de blessures à gérer. Pour Pioli, la pause sera longue et compliquée. Naples est encore plus mal en point et paie le prix de la présomption de De Laurentiis qui, d'un revers de main, a imaginé pouvoir passer de Spalletti à Garcia sans conséquences et se voit aujourd'hui contraint de changer d'entraîneur. La prise de conscience des Nerazzurri face à la concrétisation des Bianconeri. Inzaghi grandit, dans la lecture des matchs et dans la gestion du turnover, et a amélioré une équipe que Marotta et Ausilio ont façonnée sans argent sur le marché. L'Inter, il va sans dire, est favori. Entre la fin de la saison dernière et le début de celle-ci, ils ont remporté 17 des 20 matches de Serie A, dont beaucoup ont été joués de manière spectaculaire. Le dernier, compliqué, contre Frosinone, a été favorisé par l'exploit de Dimarco, une parabole de plus de 56 mètres. Mais la Juventus n'abandonne pas. L'Inter doit surmonter la tendance malsaine à baisser la garde face à des rivaux moins accrédités et s'appuyer, comme elle le fait, sur le talent de ses stars, Lautaro, Calhanoglu, Thuram, tous des joueurs qu'Inzaghi a améliorés. L'Inter a de la force et de la technique. La Juventus, en revanche, a les idées claires : elle connaît ses limites et sait comment les contourner. Max a dit que dans un match sec, la différence de valeur devient plus petite : voyons ce qu'il peut proposer. ®Jean Idriss – Internazionale.fr
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L'analyse de Fcinter1908.it après la victoire des Nerazzurri lors de leur dernier match avant la pause. Plusieurs choses ont changé depuis le 7 octobre. Si vous ne vous souvenez même pas de la date, c'est qu'en un peu plus d'un mois beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. L'Inter est arrivé à la dernière pause avec la grimace de déception de ceux qui ont perdu le haut du tableau au profit de leurs cousins. Milan d'abord, les Nerazzurri ensuite en raison du nul moqueur contre Bologne. Le deuxième des deux faux-pas, après la défaite contre Sassuolo, également celle au Meazza. Un parcours plus que positif, entaché de deux faux pas. Jugés encore plus sévèrement qu'ils n'auraient dû l'être. Tout le monde attendait quelque chose de plus de la part d'Inzaghi et de ses garçons, même s'ils étaient partis du bon pied. Eux-mêmes étaient conscients qu'ils pouvaient faire encore mieux. C'est pratiquement la fin de la période de rodage pour une équipe qui a commencé à libérer toute la puissance de son moteur. Qui n'est rien sans contrôle, recommandait une vieille publicité. C'est en cela que réside le véritable pas en avant des Nerazzurri. Les six victoires entre la Serie A et la Ligue des champions renvoient une équipe encore plus consciente de ses forces et de la nécessité de ne jamais baisser la garde. L'Inter a battu des équipes différentes, dans des situations différentes et parfois opposées. Sans se dénaturer, mais avec la bonne dose d'attention, en évitant les baisses de concentration qu'Inzaghi avait ordonné d'annuler. Le match contre Frosinone, de ce point de vue, a présenté pratiquement les mêmes écueils que celui contre Bologne : le résultat dit encore moins qu'il ne le devrait à quel point l'Inter a changé en un mois. L'attitude, surtout après le premier et le deuxième but, donne la vraie mesure de cette équipe. Patiente, généreuse, travailleuse quand il le faut : un prisme qui renvoie la lumière de n'importe quel point de vue. Les autres sont prévenus. ®Jean Idriss – Internazionale.fr
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C’est un fait: Federico Dimarco doit énormément à Simone Inzaghi, avec lui, le gamin de Porta Romana a réalisé son rêve de s’affirmer sous la vareuse de l’Inter, et personne d’autre n’aurait pu le désirer aussi ardemment Comme le révèle le Corriere Dello Sport: "L’actuel entraineur de l’Inter l’a pris en considération dès ses premiers instants, lui, qui avait connu une saison en back-up d'Ivan Perisic et d'Alessandro Bastoni, est parvenu ensuite à devenir le patron sur son aile à force de courses, en devenant un élément fondamental dans l’organisation du jeu Nerazzurro" "Pour dire toute la vérité, Dimarco n’est pas le seul à avoir bénéficier de l’intuition d’Inzaghi : En ne se limitant qu’à l’Inter, il suffit juste de penser à Çalhanoğlu qui s’est transformé en l’un des Regista parmi les plus fort d’Europe, et à Lautaro qui, "sevré" de Lukaku, est devenu un attaquant de classe mondial. Le prochain sur la liste pourrait être Marcus Thuram qui pourrait devenir un attaquant des plus dangereux." "Et dire que ce rêve semblait à un certains moment s’éloigner de façon irrémédiable, quand en 2019, et rentré de Parme, Antonio Conte ne lui avait pas laissé de place. S’en sont suivi un prêt de six mois à Vérone. Mais ce refus de l’entraineur leccese a toutefois été une chance pour Dimarco qui a rencontré là-bas un autre entraineur fondamental dans son parcours de croissance : Ivan Juric, avec qui sous le maillot Gialloblù, il était devenu un joueur de Serie A et non plus un joueur prometteur." Trahi par Lukaku, Félicité par Roc Nation Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "Celui qui avait servi d’intermédiaire à son arrivée fut Romelu Lukaku, qui, suite à ses hystéries estivales, a également perdu ses historiques agents américains et énormément d’amis italiens. Parmi eux, on retrouve Federico qui était très lié au Belge et qui est l’un de ceux qui a le plus souffert de sa trahison lors de ce mercato : Le fait que Big Rom ait déserté son marge restera une blessure qui le marquera à vie." "Mais à présent, Dimarco vit aussi sous la lumière de la Roc Nation, lui qui est le seul joueur d'un Groupe qui voit en lui la toute-puissance du Made In Italy. Et ce n’est pas un hasard si hier, il a reçu les compliments de Jay-Z en direct de Los Angeles. Sans oublier également le petit message de Steven Zhang, qui le contact régulièrement et qui l’avait personnellement contacté pour son anniversaire, en lui rappelant également l’importance de cette Seconde Etoile bénie." 9 chances sur 1.000 C’est la statistique folle mise en évidence par l’Expected Goal. Et ce "Nove su mille ce la fanno (Neuf sur mille, ça le fera)" chanté par le Giuseppe Meazza s’appuie sur une réelle statistique car il s’agissait de la possibilité de voir le tir solaire de Dimarco battre Stefano Turati, le portier de la Frosinone passé par notre Curva Nord. Le destin s’amuse à l’Inter plus qu’ailleurs : "Face à qui d’autre qu’un collègue qui a fréquenté la même Curva Nord pouvait-il inscrire le but de sa vie ? Face à un joueur qui cherchera peut-être à percer ailleurs, mais qui comme lui à le Nerazzurro dans ses veines ?" "Car ce “0,009” mis en évidence par Expected Goal, soit le refuge de tout match analyst, a été calculé au moment même où Federico a fait partir son missile. Cette statistique détermine également la probabilité qu’un tir devienne un but en prenant en considération différent facteurs tels que l’angle d’attaque, la distance et bien plus. Et en combinant l’ensemble de ceux-ci, il s’avère qu’il n’existe aucun autre but plus inattendu que celui réalisé par Federico dans cette Serie A." Un amour fait pour durer L’Inter et Dimarco veulent se lier à vie, lui qui a un vrai Cœur Nerazzurro, à tel point que l’international Italien est tout proche d’apposer sa signature sur un nouveau contrant valide jusqu’en juin 2028: "Federico a cité toutes les étapes qu’il a franchi pour arriver au sommet, en réalisant un parcours difficile fait de romance, de longue formations pour revenir à la maison." "A présent, avec ses 26 ans à peine accompli, il est prêt à s’installer dans la durée et un nouveau contrat valide jusqu’au terme de la saison 2027-2028 pour un salaire de 4 millions d’euros est enfermé dans un tiroir de la Viale Della Liberazione, un contrat qui être prêt à la signature, ce qui atteste de son statut au sein du Club." "Mais aussi à l’extérieur, car il n’y a que très peu de latéraux gauche de son niveau en Europe et tout le monde l’a remarqué, même de l’autre côté du Globe où la Roc Nation, la célèbre agence fondé par le Roi des Rappeurs et Mari de Beyoncé, Jay-Z, gère son image au sein d’une écurie composé d’étoile de la NBA, MLB, NFL et.... du football." Comment jugez-vous la progression exponentielle de l’enfant du pays ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Pas d'élan étrange, pas de saut, pas d'hésitation dans l'élan. Calhanoglu semble compter les pas", explique La Gazzetta. Quand il se présente dans les onze mètres, on ne parle plus de tentative de transformation, mais de jugement. Hakan Calhanoglu a certes les pieds chauds et beaucoup de qualités, mais son sang est glacé, même s'il parvient à rester cool sur le point de penalty. C'est ainsi que s'ouvre l'article de La Gazzetta dello Sport sur les chiffres des penalties de Calhanoglu. Le milieu, qui est devenu hier le meilleur buteur Turc de l'histoire de la Serie A avec 37 buts, a marqué 11 penalties sur les 11 qu'il a tirés depuis qu'il a rejoint l'Inter. Le premier a été marqué lors du derby contre l'AC Milan, dans son ancien club. Hakan, c'est la beauté de la simplicité : pas de courses bizarres, pas de sauts, pas d'hésitation dans la course d'élan. Calhanoglu semble compter ses pas : une course d'élan courte et une finition presque toujours directe dans le virage. Hier, il a expédié Turati pour le 5e penalty qu'il a transformé dans ce championnat après la Fiorentina, Milan, le Torino et l'Atalanta, alors qu'en Ligue des champions, il avait décidé du match aller contre Salzbourg. Tout semble facile avec lui, même si ce n'est pas le cas pour tout le monde : "Et au moment du remplacement, le Meazza s'est levé pour lui rendre hommage : après tout, avec un tel Calhanoglu, tous les buts semblent possibles". La Gazzetta dello Sport ®Jean Idriss – Internazionale.fr
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Le mois d’octobre a été riche en succès pour les Nerazzurri. L’Inter est passée à la première place du championnat suite à trois victoires et un nul, en commençant par une victoire sur la Salernitana le 30 Septembre. Lautaro Martinez a été la star absolu de ce mois: le capitaine Nerazzurro a inscrit 6 buts, devenant le leader du classement des buteurs. Après ses quatre buts contre la Salernitana, Lautaro a marqué contre Bologne et ensuite à domicile contre le Torino. Des statistiques qui ont permis à El Toro d'obtenir le titre du Joueur du Mois d’Octobre en Série A : “Les débuts de Lautaro Martinez cette saison ont été tout simplement impressionnants. L’attaquant argentin fait maintenant partie des tops joueurs, avec des chiffres extraordinaires et un leadership confirmé par le brassard de capitaine de l’Inter. Les six buts en quatre matchs marqués en Octobre, plusieurs l’ont été grâce à une fine qualité technique, ont mené les Nerazzurri à la première place de Série A et ont positionné Lautaro tout en haut du classement des buteurs. ” La présentation du prix aura lieu avant le match de l’Inter contre Frosinone, ce dimanche 12 novembre 2023 à 20h45 au Giuseppe Meazza. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
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Piero Ausilio : "L'Inter est ma seconde famille"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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L'Inter a affronté l'Atalanta Bergame au stade Gewiss, anciennement connu sous le nom d'Atleti Azzurri d'Italia, lors de la 12e journée de la Serie A italienne. Le match s'est déroulé sous une pluie battante à 18h00. L'Inter jouait en orange tandis que l'Atalanta était vêtue de bleu et noir. Avant ce match, l'Atalanta n'avait subi aucune défaite à domicile et l'Inter n'avait encaissé aucun but à l'extérieur. Du côté de l'Atalanta, Gian Piero Gasperini, l'entraîneur de l'équipe, effectue un seul changement par rapport au dernier match. Le défenseur néerlandais Hans Hateboer cède sa place au défenseur italien Davide Zappacosta. En ce qui concerne les joueurs clés, Gianluca Scamacca est l'homme en forme pour l'Atalanta, avec quatre buts et une passe décisive à son actif depuis le début de la saison. Pour l'Inter Milan, l'attaquant argentin Lautaro Martinez domine le classement des buteurs de la Serie A, ayant marqué onze buts et délivré une passe décisive. Avant ce match, l'Inter Milan est en tête du classement de la Serie A, avec huit victoires, un match nul et une défaite. L'équipe possède également la meilleure attaque de Serie A, avec 25 buts marqués, et la meilleure défense, avec seulement cinq buts encaissés. De leur côté, l'Atalanta Bergame se classe cinquième avec 19 points, affichant la troisième meilleure attaque et la troisième meilleure défense, à égalité avec Bologne. Le match commence avec une grande intensité des deux côtés, malgré les conditions météorologiques difficiles. L'Inter Milan a une légère emprise sur le terrain, tandis que l'Atalanta utilise un marquage individuel et un milieu de terrain compact pour rendre la tâche difficile à ses adversaires. Après 20 minutes de jeu, l'Inter commence à prendre le contrôle du match et à travailler dans la moitié de terrain adverse, cherchant à ouvrir le score. Cependant, l'Atalanta attend le moment opportun pour contre-attaquer. C'est à ce moment-là que l'équipe locale se crée sa première occasion sérieuse de la soirée, avec un centre dégagé par Benjamin Pavard qui est repris d'une volée non cadrée. C'est la première alerte pour Yann Sommer, le gardien de l'Inter, et sa défense. La 32e minute voit un changement forcé pour l'Inter, alors que Darmian remplace Pavard, blessé lors d'un contact avec Ademola Lookman. Le jeu devient plus physique par la suite, avec l'Atalanta multipliant les fautes et écopant d'un carton jaune. À la 36e minute, l'Inter obtient un coup franc, tiré avec force par Dimarco, mais bloqué par le mur de l'Atalanta. La grande action de la première mi-temps se produit à la 40e minute, lorsque Darmian est lancé en profondeur et est fauché par le gardien adverse, obtenant ainsi un penalty pour l'Inter. Calhanoglu se présente et marque son quatrième but de la saison, rejoignant Marcus Thuram au classement des buteurs. L'Inter ne relâche pas la pression et continue à exercer son rythme et à mettre en difficulté l'Atalanta. Calhanoglu tire un puissant coup franc de 20 mètres, forçant le gardien de l'Atalanta à effectuer une parade. En fin de première mi-temps, Barella subit un contact brutal de Berat Djimsiti, et l'arbitre enchaine les coups de sifflet. Malgré ces incidents, les deux équipes terminent la première période sans réduction de leurs effectifs. La pause est suivie du retour des équipes sur le terrain. L'Inter reprend son rythme et retourne au combat, avec Dimarco tentant une frappe lointaine qui frôle les cages adverses. Sur une faute commise sur Mkhitarian, Calhanoglu tire un coup franc à 30 mètres toujours sous la pluie battante. La balle arrive dans la surface mais Lautaro Martinez est en position de hors-jeu lorsqu'il la pousse au fond des filets. L'Atalanta apporte deux changements à la 60e minute, remplaçant Kolasinac par Pasalic et Zappacosta par Hateboer. Malgré cela, l'Inter continue à pousser vers l'avant. Une belle action collective aboutit à une frappe enroulée de Lautaro Martinez à la 58e minute, inscrivant son 12e but de la saison en Serie A. L'Atalanta réduit l'écart à la 60e minute grâce à un but de Scamacca, dans une action qui suscite quelques discussions. Le score est de 2-1 en faveur de l'Inter. L'entraîneur de l'Inter, Simone Inzaghi, procède à des changements en remplaçant Mkhitaryan par Frattesi et Dimarco par Augusto à la 70e minute. L'Atalanta est motivée par cette réduction de l'écart et réussit à se créer d'autres occasions, continuant à mettre la pression sur le but de l'Inter. Cependant, Darmian et Sommer repoussent leurs assauts. Les 15 dernières minutes du temps réglementaire sont tendues, avec l'Atalanta cherchant désespérément à égaliser et l'Inter défendant solidement. Malgré quelques situations dangereuses, l'Inter tient bon. À la 85e minute, Lautaro Martinez cède sa place à Sanchez, tandis qu'Asllani remplace Calhanoglu. Malgré tout, l'Inter reste solide en défense. Côté statistiques l'Atalanta en est à 10 tirs pour 4 cadrés et l'Inter a 9 tirs pour 4 cadrés. Les jaunes continuent de tomber, d'abord pour Dumfries qui retient un Luis Muriel bouillant de fraîcheur en cette fin de match. La possession de balle a changé de camps et est à 55% pour l'Atalanta. Sanchez arrive ensuite à s'ouvrir le chemin du but mais ne cadre pas son tir. 6 minutes d'arrêt de jeu. Pas de nouvelle du côté de Pavard concernant sa blessure potentiel. Toloi va aller lui même vérifier, en empêchant Sanchez de partir au but il prend un second jaune. L'Atalanta terminera à 10 contre 11. On finira sur un centre de Muriel au second poteau, mais dont la tête de Hateboer sera très mal négociée, et sur un centre en retrait de Thuram qui est parvenu à emmener le ballon dans la surface, mais Sanchez pris à contre pied manque de peu de pouvoir frapper cette balle. Sur un dernier corner de l'Atalanta, l'arbitre siffle la fin du match. L'Inter consolide sa place de leader et fait chuter l'Atalanta, invaincu à domicile jusqu'ici. L'Inter a su faire le dos rond, être efficace et repartir avec les 3 points.
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81 minutes de colère, de frustration, pour les nombreuses attaques qui n'ont pas pu se concrétiser en présence d'une équipe de la Roma qui, en plus de placer le bus devant le but de Rui Patricio, n'a pratiquement pas existé, ne pensant qu'à perdre du temps et se défendre. Mais cela ne pouvait pas se terminer ainsi : Marcus Thuram s'en est donc chargé avec une frappe dans la surface pour percer le but des Giallorossi, donnant à l'Inter trois points qui lui permettent de revenir en tête du classement. Mérité et légitime, face à une Roma qui n'a pratiquement pas chatouillé Sommer. INTER-ROMA 1-0 BUTEURS : 81' Thuram INTER : 1 Sommer; 28 Pavard (46' 36 Darmian), 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (85' 6 De Vrij), 23 Barella, 20 Calhanoglu (75' 21 Asllani), 22 Mkhitaryan (75' 16 Frattesi), 32 Dimarco (32' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram, 10 Lautaro Martinez. Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 14 Klaassen, 30 Carlos Augusto, 31 Bisseck, 42 Agoume, 70 Sanchez. Coach : Simone Inzaghi. ROMA : 1 Rui Patricio; 23 Mancini, 14 Llorente, 5 N'Dicka; 43 Kristensen, 4 Cristante, 16 Paredes (89' 17 Azmoun), 52 Bove (84' 22 Aouar), 59 Zalewski (75' 19 Celik); 90 Lukaku, 92 El Shaarawy (84' 11 Belotti). Banc : 63 Boer, 99 Svilar, 2 Karsdorp, 60 Pagano, 61 Pisilli, 64 Cherubini, 67 Joao Gabriel, 68 D'Alessio. Coach : Salvatore Foti. Arbitre : Maresca. Assistants: Peretti, Bresmes, Manganiello, Di Paolo, Dionisi. Spectateurs : 75 573 Avertis : Mancini (R), Pavard (I), N'Dicka (R), Paredes (R), Calhanoglu (I), Bastoni (I), Cristante (R) Corners : 7-1 17h45 - Les équipes rentrent aux vestiaires, dans quelques minutes coup d'envoi au Meazza. 17h48 - Suspendu, José Mourinho a pris place dans la tribune de presse du stade. 17h56 - Les équipes sont dans le tunnel menant au terrain. Echanges de regards entre les deux équipes. 17h58 - Les supporters de la Roma chantent leur refrain 'Roma, Roma, Roma...' 17h58 - Inter et Roma sur le terrain, rugissement ridicule sur le tir de Lukaku. 17h59 - C'est l'heure des salutations entre les équipes, un "high five" froid avec Lautaro pour Lukaku. 18h00 - Lautaro et Mancini devant Maresca pour le tirage au sort. 18h01 - Coup d'envoi de la Roma, Lukaku s'élance et est accueilli par une nouvelle trombe de sifflements : C'EST PARTI ! 3' - Dribble dans la moitié de terrain de l'Inter, puis faute de Thuram qui fait tomber Llorente. 4' - La passe de Mkhitaryan est trop profonde pour Barella qui n'y arrive pas. L'Inter a toujours le ballon. 6' - Barre transversale de Calhanoglu ! Tir soudain du Turc juste à l'extérieur de la surface, alors que Rui Patricio est battu, le ballon touche les montants. 7' - Joueur de la Roma à terre, sauvé sur le terrain. 8' - Zalewski sort après avoir été soigné suite à un coup subi par Thuram et revient peu de temps après. 10' - Action personnelle de Thuram qui cible Mancini puis obtient un corner. 11' - Faible tête de Lautaro sur le centre de Calhanoglu, Rui Patricio se sauve confortablement. 12' - Duel Barella-Bove, faute contre les Nerazzurri. 13' - Carton jaune pour protestation pour Mancini, qui s'est chauffé avec Maresca réclamant une faute de Thuram. L'arbitre le prévient : "La prochaine fois c'est rouge...". 15' - Arrêt de hockeyeur de Rui Patricio, qui bloque avec son pied un tir à bout portant de Thuram. 17' - Dimarco, servi par Mkhitaryan après un superbe numéro, tente une frappe enroulée. Une balle sortie de nulle part. 19' - Lautaro tente de prendre la tête, Llorente l'anticipe en corner. 21' - Barella au sol après un dur combat, Maresca laisse continuer. 24' - Dumfries tente de mettre le ballon au milieu de la surface, N'Dicka l'anticipe. Mkhitaryan tire à distance, au dessus. 25' - Bastoni reste au sol après un défi aérien avec Cristante, le défenseur récupère peu de temps après. 26' - Rui Patricio commence à perdre du temps, Maresca le sermone. 28' - Le milieu de la Roma est extrêmement fermé, il n'y a pas beaucoup d'espaces. 29' - Pavard tente une sorte de reprise dans la surface, le ballon finit à côté. 30' - Incroyable Llorente, deux minutes perdues à remettre une chaussure. 32' - Ballon perdu par Dumfries, remise en jeu pour la Roma. 33' - Pavard tente le coup de pied aérien mais finit par toucher Bove. Maresca sort le jaune. 35' - Affrontement dans la surface Bastoni-Llorente, pour Maresca c'est une faute du joueur de l'Inter. 38' - Dumfries cible Zalewski puis parvient à le mettre au milieu pour Lautaro qui le frappe violemment et l'envoie à côté. 39' - Dumfries se déchaîne, lancé dans son couloir il se concentre et cherche une combinaison qui ne porte pas ses fruits. 44' - Dumfries saute sur Zalewski qui le retient, le Néerlandais ne plonge pas et tente de la mettre au milieu. Les Nerazzurri protestent, Maresca alerte Acerbi. 45' - Trois minutes de temps additionnel. 46' - Belle récupération de Dimarco qui interrompt une manœuvre de la Roma. Ensuite, Mkhitaryan rate complètement la combinaison devant. 48' - Belle feinte de Thuram qui déclenche l'attaque de l'Inter, Barella conclut l'action en l'envoyant au dessus. 48' - Fin de la première mi-temps : 0-0. 19h00 - Darmian a retiré son dossard, il sera le premier changement du match. Pavard sort. 19h05 - L'Inter est sur le terrain depuis un moment, la Roma décide d'attendre... 19h07 - La Roma n'entre sur le terrain qu'à ce moment-là, au milieu des coups de sifflets de San Siro. 19h08 - Premier ballon de la seconde mi-temps pour l'Inter : C'EST REPARTI ! 47' - Thuram s'éloigne entre trois défenseurs, provoquant une faute de N'Dicka qui reçoit un avertissement. 48' - Acerbi tire un coup franc pour Thuram qui l'envoie juste au-dessus. 50' - Encore un jaune, cette fois pour Paredes qui fait tomber Lautaro. 53' - Barella et l'Inter redémarre très vite, Dumfries tente le centre avec Llorente qui anticipe Barella devant Rui Patricio. 55' - Thuram renversé par Paredes à l'entrée de la surface, Maresca dit que ce n'était pas une faute au milieu des manifestations à San Siro. Peu de temps après, un contact sur Paredes est sifflé. 56' - Carton jaune pour Calhanoglu, qui fait tomber Bove. Cette fois, les protestations sont toutes du côté des Giallorossi pour un carton rouge. 58' - La première intervention de Sommer de la soirée est une sortie pour anticiper El Shaarawy. 59' - Tacle de Thuram et tir de Lautaro bien contrôlés par Rui Patricio. 62' - Touché à la tête par un centre de Darmian pleine puissance, Zalewski reste au sol. 64' - Premier vrai danger pour la Roma. El Shaarawy renversé par Bastoni à l'entrée de la surface, coup franc dangereux. 65' - Paredes se charge du coup franc, le ballon est repoussé par le mur. 66' - Sommer réalise un superbe plongeon sur la tête de Cristante et le dégage, l'Inter repart avec Calhanoglu qui tente une frappe déviée par Mancini. Le portier de la Roma était à terre. 68' - Cristante se retrouve également parmi les sanctionnés : averti pour une faute sur Mkhitaryan. 71 ' - Dimarco tente un centre pointu, mais ni Thuram ni Dumfries n'atteignent le ballon. Les chœurs de San Siro s'élèvent bruyamment. 71 ' - Zalewski à nouveau à terre en raison d'un coup de Dumfries. 72' - Affrontement Thuram-Mancini, pour Maresca la faute est française. 74' - Frattesi, Asllani et Carlos Augusto se préparent. 75' - Celik entre en jeu à la place de Zalewski. Côté Inter, Calhanoglu est remplacé par Asllani ; Frattesi remplace Mkhitaryan 77' - Faute de Kristensen sur Dimarco, coup franc pour l'Inter. 78 ' - Dumfries anticipe Lukaku, ovation de San Siro. Ensuite, Lautaro n'atteint pas le centre de Bastoni depuis la droite. 80 '- Thuram efface un joueur, puis tente d'en éviter quatre d'un coup mais perd le ballon. 81' - BUT GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOLLLL POUR L'INTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRR !!! MAAAAAAAAAAAAAAAARCUUUUUUUUUUUUUUSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS THURAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMM !!! LE BUT DE THURAM : Centre de Dimarco lancé de l'arrière, Thuram bat Llorente et de deux pas envoie le ballon sous la barre transversale. Finalement le mur romaniste s'effondre. 83' - Dimarco sort, Carlos Augusto entre sur le terrain. 84' - Pour la Roma, Belotti et Aouar remplacent El Shaarawy et Bove. 85' - Réponse d'Inzaghi, De Vrij remplace Dumfries. 87 ' - Après une faute de Mancini sur Lautaro, Maresca avertit un membre du banc de la Roma. 89' - Carlos Augusto lance une centre pour Thuram, coupé par le Français et le ballon sort. Pour la Roma, Azmoun remplace Paredes. 90' - Une autre barre transversale, cette fois avec Carlos Augusto qui frappe les montants de loin avec un tir puissant. Cinq minutes de temps additionnel. 92 ' - Lautaro gaspille une attaque avec une talonnade dans le vide. 94 ' - La Roma s'essaie avec Cristante à distance, sans crainte. 95' - Centre de Mancini, le ballon sort. 95' - FIN DU MATCH !!! L'INTER BAT LA ROMA 1-0 ET REPREND LA TÊTE DU CLASSEMENT !!!
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Les chiffres parlent d'eux-mêmes : sept clean sheet en dix journées de championnat. Lors du dernier match contre la Roma, l'Inter n'a concédé que deux ballons touchés dans la surface (Cristante les 2 fois). D’où le sentiment de grande sécurité accentué par un gardien, Yann Sommer, qui commet très peu de fautes. Comme le souligne la Gazzetta dello Sport, l'Inter est à toute épreuve : seulement 5 buts encaissés. Un mur. Meilleure défense d'Italie et aussi meilleure attaque : d'où la première place. Par rapport au passé récent, l'équipe d'Inzaghi a donc conservé son danger offensif inchangé, mais a appris à attaquer sans perdre l'équilibre, en lisant également les différents moments du match. Un signe de croissance qui reflète le travail acharné qui a lieu à Appiano, où se situe le Centre Sportif des Nerazzurri. L'Inter a grandi en tant qu'équipe et en tant qu'individus, également grâce aux alternatives "de luxe" dont peut se vanter l'entraîneur de l'Inter, Simone Inzaghi. Il fait bon d'être un supporter de l'Inter ! Quelques statistiques de l'Inter Serie A Plus grand nombre de points en Serie A : 25 - Inter Plus grand nombre de but en Serie A : 11 - Lautaro Martinez Plus grand nombre de passes décisives en Serie A : 5 - Marcus Thuram 4 - Federico Dimarco 4 - Felipe Anderson 4 - Jeremy Toljan Plus grand nombre de but + passe dé. en Serie A : 12 - Lautaro Martinez 9 - Marcus Thuram 9 - Oliver Giroud Plus grand nombre de cage inviolée en Serie A : 7 - Inter 7 - Juventus Meilleure attaque de la Serie A : 25 - Inter Meilleure défense de la Serie A: 5 - Inter
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Retour, une nouvelle fois, sur l'été mouvementé de l'Inter, poignardée dans le dos, par Romelu Lukaku: "Romelu Lukaku est de retour au Giuseppe Meazza, mais cette fois en tant qu'adversaire de l'Inter. Après tous les événements de l'été, l'attaquant belge fait face à son passé et aux Tifosi déçus et en colère". Reconstitution signée La Gazzetta dello Sport Lorsque son double jeu a été découvert et que les dirigeants de l'Inter ont eu la confirmation que Romelu Lukaku négociait depuis un certain temps avec la Juventus (surtout) et l'AC Milan, le téléphone de Big Rom sonnait déjà à toute volée (ou était éteint) depuis quelques jours. Il était introuvable tant pour les dirigeants, qui concluaient son achat par les Blues, que pour ses coéquipiers, qui voulaient le convaincre de ne pas faire... des folies et de rester avec eux pour se venger de la défaite d'Istanbul. Mais cet été, il y a eu un moment (plus d'un moment) où le désormais ex-numéro 90 Nerazzurro a répondu à des appels téléphoniques en provenance de la Viale della Liberazione. Un grand bluff avant de montrer les cartes qu'il avait en main. Nous sommes dans les jours qui suivent la finale de la Ligue des Champions perdue à Istanbul contre City. Sur les réseaux sociaux, l'attaquant de Chelsea remercie les Tifosi, exprime sa déception et promet qu'ils essaieront à nouveau. Ce sont des mots qui ont été donnés en pâture au Net, et ils ne vaudraient peut-être pas grand-chose s'ils n'étaient pas suivis d'effets. Ils ne vaudraient pas grand-chose s'ils n'avaient pas été suivis d'autre chose. De quoi ? De contacts très fréquents avec les hautes sphères de Viale della Liberazione. Des appels téléphoniques et un flot de Whatsapp. Lukaku voulait savoir quel type d'équipe allait voir le jour. Il demandait qui serait le capitaine, quelles idées les dirigeants ont pour renforcer l'équipe, qui partira... Il se renseignait également sur Inzaghi, avec qui il n'a pas eu de bonnes relations, mais il sait qu'après avoir terminé troisième de la Serie A, remporté deux trophées et atteint la finale de la Ligue des Champions, l'entraîneur avait déjà été confirmé publiquement par l'Administrateur-Délégué Marotta. Cela n'a pas été tout rose entre les deux, et Big Rom le répète, mais cela semble être quelque chose qui pouvait être surmonté. En effet, lorsque les dirigeants de l'Inter lui font part de leur volonté de l'acheter et de ne pas le prêter pour une année supplémentaire, il répond qu'il n'a pas l'intention de partir en stage avec Pochettino et qu'il continuera à s'entraîner en Turquie (et non en Sardaigne, comme cela semblait être le cas au début). Nous sommes à la fin du mois de juillet. L'Inter pense que les pierres sont posées pour construire un département offensif de rêve avec Lautaro, Lukaku et Thuram. Zhang fait un gros effort, compte tenu de l'état des comptes des Nerazzurri, pour garder le bombardier qu'Inzaghi veut à tout prix. Mais il se passe quelque chose... Ce quelque chose, ce sont les rumeurs et les indiscrétions sur l'intérêt de la Juventus pour Romelu qui commencent à circuler. Les messages Whatsapp des Nerazzurri adressés au téléphone portable de Big Rom commencent, et c'est à ce moment de l'histoire que les réponses du footballeur s'arrêtent. Avec l'avocat Ledure, cependant, il y a un contact et l'Inter poursuit son chemin : Ils veulent conclure l'affaire et s'envoler pour Londres afin de définir l'accord. Même sans un soutien décisif du joueur, sans une déclaration de sa part qui ferait pencher la balance en faveur du club de la famille Zhang. C'est là, dans la City, que la douche froide arrive. C'est là que le doute rampant de la trahison devient réalité. Mais êtes-vous sur qu'il veut signer chez vous ? Demandent poliment les dirigeants de Chelsea, avec une pointe d'embarras. Les jours précédents, ils ont reçu des appels de l'avocat Ledure, mais surtout des dirigeants du Milan AC et de la Juventus, deux clubs qui ont parlé à Lukaku et à qui l'attaquant n'a pas dit "non". En effet. Entre-temps, le portable de Lukaku continue de sonner, du moins pour les appels des portables de Marotta, Ausilio, Baccin, Lautaro, Dimarco... Il ne répondra plus, jusqu'au vendredi 14 juillet, date à laquelle l'Inter rompt les négociations et le débarque. Les signes de repentance du Belge, lorsqu'il comprend que la route vers Turin est semée d'embûches (en raison des évaluations différentes de sa valeur et de celle de Vlahovic), sont trop tardifs. Cette fois, ce sont les Nerazzurri qui n'aiment plus voir le numéro du Belge ou de son avocat apparaitre sur leurs écrans. C'est la fin d'un amour. Si tant est qu'il y ait eu un "vrai" amour... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Marcus Thuram: "Je marque mais le plus important c'est la victoire"
Zanetti63 a posté un article dans Interviews
Plusieurs Nerazzurri ont été interviewés, au micro DAZN, suite à la victoire de l'Inter sur la Roma (1-0), à commencer par l'unique buteur du match Marcus Thuram : "Comme contre le Benfica ou le Torino, c'est toujours un plaisir de marquer à domicile, devant les supporters. Chaque match à Giuseppe Meazza est spécial, je suis donc très content de marquer ici. J'ai travaillé dur avec mes coéquipiers, je marque et je fais des passes décisives mais le plus important, c'est que l'équipe gagne. Quand l'équipe gagne, je suis content." Et le fait d'être le joueur décisif dans une soirée où les regards étaient tous concentrés sur Romelu Lukaku? “Je ne m'occupe pas de ce genre de choses. Nous voulions les trois points et nous les avons. Donc je suis content." Hakan Calhanoglu : “J'ai joué plusieurs rôles. Ça dépend avec quel système nous jouons. Si nous avions joué à quatre derrière, cela aurait été différent. Avec le 3-5-2, je me sens vraiment à l'aise dans ce rôle de regista. J'ai grandi défensivement. Je n'avais pas ces caractéristiques avant. J'essaie aussi d'être plus agressif dans les duels devant la défense. Je suis un peu plus éloigné du but. Ça me manque d'être dans une position plus avancée où je peux tirer et marquer des buts. Mais maintenant, nous sommes concentrés sur le présent et sur le fait d'accomplir nos objectifs ensemble.” Comment vous trouvez Kristjan Asllani ? : “C'est un bon joueur, il a de la qualité. Il grandit.” Un commentaire sur Romelu Lukaku? : “Je ne veux pas faire de commentaires .” ®Zanetti63 - Internazionale.fr- 2 commentaires
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Statistiques et chiffres de l'Inter après la victoire sur le Torino
Zanetti63 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'Inter a repris le championnat par une victoire à l'extérieur sur le Torino. Une victoire 3-0 qui amène les Nerazzurri à 22 points après les neuf premiers matchs de Série A. Et il y a plusieurs points intéressants après le match contre le Granata: DES ATTAQUANTS RECORDS Aussi bien Marcus Thuram que Lautaro Martinez ont contribué à au moins un but dans sept matchs différents de championnat. L'Inter est la seule équipe des cinq grands championnats européens à avoir deux joueurs qui peuvent se vanter de telles chiffres. Dans l'ensemble, seul Mohamed Salah a un record plus élevé que les deux attaquants Nerazzurri : l'Égyptien a contribué à huit buts différents dans des matchs de Premier League avec Liverpool. IL TORO contre IL TORO Le Torino est, avec Cagliari, l'une des deux équipes contre laquelle Lautaro Martinez a marqué dans au moins cinq matchs différents en Série A : l'Argentin a marqué 5 buts contre le Torino en championnat. CLEAN SHEETS ET MATCHS A L'EXTÉRIEUR Inter a gardé sa cage inviolée dans ses 5 matchs à l'extérieur en Série A pour la première fois depuis 1972. De plus, Yann Sommer est devenu le troisième gardien dans l'ère de la victoire à trois points (depuis 1994/95) à effectuer 6 clean sheets dans ses neuf premières apparitions en Série A après Cristiano Lupatelli et Alisson Becker. DENZEL EN ATTAQUE Denzel Dumfries a contribué à cinq buts (deux buts, trois passes décisives) en championnat cette saison, autant que durant la totalité de la saison passée. Le hollandais a été impliqué dans le but du 1-0 à quatre reprises. CALHA DU POINT DE PENALTY Hakan Çalhanoglu a converti chacune de ses neuf tentatives de penalty en Série A. Le milieu turc a un record en cours de 8 sur 8 toutes compétitions pour les Nerazzurri. ®Zanetti63 - Internazionale.fr- 3 commentaires
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