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L'expert du marché des transferts de Sky Sport Italia, Gianluca Di Marzio, estime qu'il est peu probable que l'entraîneur de Brighton, Roberto De Zerbi ou Antonio Conte, rejoigne l'Inter. S'exprimant en direct sur les ondes, comme le rapporte FCInterNews , l'expert en transfert de Sky a expliqué que les restrictions financières des Nerazzurri ainsi que les motivations respectives des deux entraîneurs rendraient peu probable que l'un ou l'autre remplace Simone Inzaghi la saison prochaine. Alors qu'Inzaghi n'a pas encore été limogé par l'Inter, il semble de plus en plus probable que les Nerazzurri changeront d'entraîneur au cours de l'été à chaque mauvais résultat sous l'ancien patron de la Lazio. L'actuel Brighton et l'ancien entraîneur de Sassuolo et du Shakhtar Donetsk, De Zerbi, seraient en pole position pour remplacer le joueur de 46 ans. Pendant ce temps, ramener Conte serait le rendez-vous «de rêve» pour les Nerazzurri, maintenant que le joueur de 53 ans n'est plus en charge de Tottenham en Premier League. Dans ces deux cas, cependant, Di Marzio a versé de l'eau froide. Pour l'expert en transfert de Sky, il existe des facteurs clairs qui empêcheraient soit un coup ambitieux pour De Zerbi de Brighton, soit d'essayer de ramener Conte 24 mois après son départ du club. À propos de l'avenir d'Inzaghi, il a souligné que: "C'est objectivement difficile de le voir rester, mais étant donné qu'il y a encore des objectifs importants à défendre dans la saison, il pourrait à peu près s'accrocher." "Les dix défaites en championnat lui pèsent lourdement, et il sera essentiel pour l'Inter de terminer dans le top quatre." "Lorsque ces signes de problèmes commencent à apparaître, il est inévitable que vous commenciez à lire les noms des remplaçants possibles", a poursuivi Di Marzio. "Ce n'est pas à cause de mauvais journalistes, c'est vrai que le club regarde vraiment autour". "Mais en ce qui concerne les noms que j'ai lus, ce serait difficile à voir". "De Zerbi veut rester à Brighton, puis il a une clause libératoire." "En attendant, Conte serait une nomination coûteuse, et il est déjà parti en raison de l'incapacité du club à faire des signatures", a noté Di Marzio. "Il y aura beaucoup de temps pour attendre et voir ce qui se passe jusqu'au banc des Nerazzurri". La liste ce rétrécit! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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L'entraîneur de Brighton et Hove Albion, Roberto De Zerbi, est le favori du PDG de l'Inter, Beppe Marotta, pour remplacer Simone Inzaghi la saison prochaine. Ceci selon le média italien Gazzetta.it , qui rapporte que l'entraineur actuel de Brighton, âgé de 43 ans, est l'homme que les Nerazzurri poursuivront cet été. La fin de l'aventure avec le coach italien est devenue plus que probable! Inzaghi n'est pas encore parti de l'Inter, même si la défaite de samedi soir contre la Fiorentina en Serie A est très proche d'être la goutte d'eau. Si l'entraîneur ne parvient pas à renverser la vapeur lors des trois prochains matches des Nerazzurri, comme le rapporte la Gazzetta, il pourrait bien être limogé entre les deux matches du quart de finale de la Ligue des champions contre Benfica, afin de provoquer une réaction et tenter de sauver la saison. Cependant, même si Inzaghi doit rester jusqu'à la fin de la saison, le fait que l'équipe ait maintenant perdu dix matches dans les différentes compétition rend très, très probable que l'ancien entraineur de la Lazio soit limogé pendant l'été. Selon la Gazzetta, l'entraîneur de Brighton, De Zerbi, serait l'homme que l'Inter voudrait voir arriver. L'ancien colach de Sassuolo, Benevento et Shakhtar Donetsk est également suivi par Tottenham Hotspur, qui le considère comme l'une des principales alternatives à l'ancien entraineur du Bayern Munich et du RB Leipzig Julian Nagelsmann et Thomas Frank de Brentford. Cependant, les Nerazzurri seraient prêts à suivre l'entraineur de 43 ans, car il est considéré comme le meilleur candidat pour remplacer Inzaghi par le PDG Marotta. Il faudrait payer une clause libératoire dans le contrat de De Zerbi avec Brighton pour s'assurer les services de l'entraîneur italien, et ce ne serait pas tout à fait simple pour l'Inter compte tenu de sa situation financière. Cependant, les Nerazzurri seraient prêts à bouger pour lui. Pendant ce temps, en arrière-plan se trouvent l'ancien entraîneur des Spurs Antonio Conte et l'actuel entraineur de l'Atletico Madrid Diego Simeone, dont le contrat avec les Colchoneros pourrait être résilié cet été. Selon vous De Zerbi, futur entraineur de l'Inter? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Serie A, l'Inter s'impose dans la douleur contre Naples!
Aurios-Inter a posté un article dans Serie A
C'était avec une grande pression que l'Inter abordait cette rencontre. Il y avait une opportunité en or de revenir sur le duo de tête pour l'Inter, mais également une énorme occasion pour le Napoli de s'envoler en tête de la Série A. Et ce sont bien les Nerazzuri qui remportent ce duel au sommet. Retour sur un match riche en buts et en rebondissements. Le Napoli entame la rencontre avec un pressing haut sur les Nerazzuri. Les deux équipes montrent de grandes qualités dès le début de la rencontre. La première occasion est pour Lautaro Martinez, qui reprend de la tête un bon centre d'Ivan Perisić à la septième minute. Celle-ci passera légèrement au-dessus des filets d'Ospina. En ce début de rencontre, on sent l'Inter supérieure aux Napolitains dans la création, avec la frappe de Matteo Darmian, à la dix-septième minute, qui vient passer à côté du poteau gauche. Mais tous ces jugements sont balayés dès la minute suivante. Lorenzo Insigne s'échappe côté gauche, fixe la défense Interiste, puis décale Piotr Zielinski, alors seul. Le Polonais ne se fait pas prier et envoie une frappe en première intention quasiment dans la lucarne de Samir Handanović. Reprise puissante, 1-0 pour Naples. L'Inter n'attend pas pour réagir. À la vingt-troisième minute, Alessandro Bastoni se projette et centre pour Darmian, qui trouve en retrait Nicolò Barella. Le milieu Italien frappe de volée. Mais Kalidou Koulibaly stoppe irrégulièrement la tentative de Barella du bras. Penalty indiscutable. Cette fois ci, c'est Hakan Çalhanoglu qui s'en charge. L'ancien du Milan place remarquablement son penalty à ras du poteau. Contre pied et égalisation, 1-1. L'on entre dans un temps fort des Nerazzuri. Les défenseurs Napolitains ont un peu de mal à retrouver leur esprit. Mais à la trente-cinquième minute, Hirving Lozano foudroie Perisić pour ensuite centrer pour Victor Osimhen. Le Nigérian reprend de la tête mais manque le cadre. Dans les occasions, c'est un match plutôt équilibré, avec des situations de part et d'autre. Les joueurs de Spaletti jouent à la ba-balle devant leur surface et perdent le ballon au profit de Barella. Ce dernier arme sa reprise et sollicite Ospina qui réalise l'arrêt. Corner à suivre. L'on joue la quarante quatrième minute. Çalhanoglu botte son corner au premier poteau, Perisić reprend de la tête et vient piéger Ospina au premier poteau. La montre de monsieur Paolo Valeri a sonné : l'Inter prend l'avantage juste avant la mi-temps. 2-1. Aucun changement à la pause pour les deux équipes, on repart avec les mêmes vingt deux acteurs. Osimhen progresse dans la surface mais perd son duel à l'épaule avec Andrea Ranocchia, le remplaçant de Stefan De Vrij, blessé. L'attaquant Azzuro réclame le pénalty, mais ne l'obtient évidemment pas. Vient un moment décisif. Le Nigérian Victor Osimhen et le Slovaque Milan Škriniar se percutent violemment lors d'un duel aérien. Si Škriniar se relève rapidement, il n'en est pas de même pour Osimhen. Ce dernier est totalement sonné (multiples fractures) par ce choc et doit laisser sa place à Andrea Petagna à la cinquante-quatrième minute. Osimhen alors contraint de sortir, c'est Lozano qui prend les rênes de l'attaque du Napoli. Le Mexicain fait mal à Perisić sur son côté droit, le trimballant à gauche et à droite. Malgré cela, l'Inter reste très sereine à la relance, avec de très belles ressorties de balles. Sur l'une d'entre elles, Joaquín Correa prend le ballon de ses vingt-cinq mètres et remonte tout le terrain. Il sert Lautaro Martínez à l'entrée de la surface. La connexion Argentine fait mouche. Lautaro croise parfaitement sa frappe et trompe Ospina pour inscrire le but du break. 3-1 pour l'Inter. À la suite de ce but, le passeur Correa cède sa place à Edin Džeko, tandis que Çalhanoglu sort pour Arturo Vidal. Les Napolitains ont pris un coup sur la tête avec ce troisième but. De leur côté, les Nerazzuri gèrent impeccablement leur rencontre. Ils continuent d'attaquer malgré les deux buts d'avance. Ce troisième maillot semble porter bonheur. Soixante quinzième minute : côté Napoli, Insigne et Lozano sortent pour Dries Mertens et Eljif Elmas. Côté Inter, il y a la sortie de Lautaro pour Gagliardini et Barella pour Dimarco. Perisić passe alors en pointe avec Džeko. Alors que la rencontre bascule dans sa phase finale, Mertens relance le suspens d'une frappe absolument sublime, à la suite d'une stupide perte de balle de Džeko. Le Belge n'en demandait pas tant. Réduction de l'écart, 3-2. La fin de rencontre devient alors un calvaire pour tout supporter de l'Inter. Mertens loupe la balle du 3-3 à la quatre-vingt-quatrième minute. Le jeu de l'Inter se résume alors à la recherche de gain de temps. Perisić sort pour le jeune Martin Satriano. Les dernières minutes deviennent insoutenables, irrespirables. Džeko est averti pour gain de temps. Le quatrième arbitre annonce huit interminables minutes de temps additionnel. Sur un centre de Di Lorenzo, Mario Rui reprend le ballon d'une tête piquée. Handanović réalise alors un miracle pour sauver ce but. Le ballon vient flotter devant la ligne de but avant de sortir en corner, après avoir tapé la barre transversale. La pression est à son paroxysme. Et il reste plus de sept minutes à jouer. La fin de match ressemble à celle contre le Milan avant la trêve. Les sorties de Barella et Çalhanoglu déstabilisent le milieu de terrain Nerazzuro. Ce dernier n'arrive plus à garder le ballon. L'Inter prend alors irrémédiablement la pression. Quatre-vingt-dix-septième minute. Zambo Anguissa fait le ménage, récupère le ballon côté droit et centre à l'opposé pour Mertens. Celui qui avait redonné espoir au Napoli, et alors qu'il est seul au second poteau, manque la balle de match et envoie le ballon dans les travées d'un Giussepe Meazza à bout de souffle. Paolo Valeri siffle la fin de ce match bouillant. L'Inter fait tomber le Napoli, pour la première fois de la saison, 3-2 après avoir énormément souffert dans le dernier quart d'heure. Mais le devoir est accompli. L'inter sort une grosse performance en sortie de trêve internationale et se rapproche de la première place, après la défaite du Milan à Florence 4-3. Rendez-vous mercredi soir, 18:45, pour la réception décisive du Shakhtar Donetsk pour la qualification en huitième de finale de la ligue des champions. L'Inter se déplacera ensuite à Venise, samedi à 20:45, pour y défier Venezia. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 3-2 Napoli Buteur(s): 17' Zielinski (N), 25' Çalhanoglu s.p (I), 44' Perisić (I), 61' Lautaro (I), 78' Mertens (N) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 13 Ranocchia, 95 Bastoni; 36 Darmian, 23 Barella (75' 32 Dimarco), 77 Brozović, 20 Çalhanoglu (62' 22 Vidal), 14 Perisić (88' 48 Satriano); 19 Correa (62' 9 Džeko), 10 Lautaro (75' 5 Gagliardini) Banc: 12 Sensi, 21 Cordaz, 8 Vecino, 2 Dumfries, 33 D'Ambrosio, 97 Radu, 11 Kolarov Entraîneur: Simone Inzaghi Napoli (4-2-3-1): 25 Ospina; 22 Di Lorenzo, 13 Rrahmani, 26 Koulibaly, 6 Rui; 99 Zambo Anguissa, 8 Ruiz; 11 Lozano (75' 7 Elmas), 20 Zielinski, 24 Insigne (75' 14 Mertens) , 9 Osimhen (55' 37 Petagna) Banc: 12 Marfella, 31 Ghoulam, 1 Meret, 2 Malcuit, 5 Jesus, 68 Lobotka Entraîneur: Luciano Spaletti Arbitre: Paolo Valeri VAR: ? Averti(s): 10' Osimhen (N), 24' Koulibaly (N), 35' Rrahmani (N), 41' Çalhanoglu (I), 72' Vidal (I), 84' Handanović (I), 90+2' Džeko (I) Expulsé(s): / Ps : veuillez bien m'excusez de l'absence d'image, le copier coller bug. ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter- 15 commentaires
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Nicolò Barella primé Lenovo Player du mois de septembre
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L’Inter l’a dévoilé sur son site officiel, Nicolò Barella est le Lenovo Player of the Month du mois de septembre: "C’est un mois de septembre exceptionnel pour le footballeur Nerazzurro qui, en six matchs, collectionne 1 but et trois passes décisives." "Le septembre de Barella a débuté par la passe décisive pour Lautaro Martinez lors de Sampdoria-Inter 2-2. Face à Bologne, il a été l’auteur d’un but à la volée, le premier de sa saison. Il a ensuite délivré deux passes décisives: Pour Darmian lors de Fiorentina-Inter et pour Lautaro lors d’Inter-Atalanta. Il a conclu ce mois avec une barre transversale retentissante à Kiev, face au Shakhtar Donestk en Ligue des Champions." "Barella a disputé 7 matchs en qualité de titulaire pour 596 minutes jouées. C’est un départ spectaculaire et de très haute volée. Son apport n’est pas seulement offensif, mais également défensif: 92% de tacles réussi et 55% de duels remportés. Sur ses 7 premiers matchs, il totalise aussi 84,3% de passes réussis." "Auteur de 5 passes décisives au total, il est le Premier joueur en Serie A, et est le second en Europe : Seuls Paul Pogba et Karim Benzema font mieux que lui : 7. Il est également l’auteur de 16 passes-clés et d’un but inscrit face à Bologne, un but inscrit après 7 tentatives tout matchs confondus." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Julio Cesar : "L'Inter peut viser le scudetto et la finale de la Ligue des Champions"
Samus a posté un article dans Interviews
L'ex gardien nerazzurro se rappelle le fameux match à Kiev en 2019 et a abordé quelques uns des sujets importants qui attendent l'Inter en vue du match contre le Shakhtar. L'Inter revient donc à Kiev, 4346 jours après ce fameux 4 Novembre 2009 qui vit les joueurs de Mourinho affronter le Dinamo dans un match clé dans la course à la qualification à la phase à élimination directe de la Ligue des Champions et donc par conséquent, à la conquête du mythique Triplete. Aujourd'hui la formation de Simone Inzaghi croisera le fer avec le Shakhtar Donetsk de De Zerbi lors du second match dans ce groupe D de Ligue des Champions. Julio Cesar, un des protagonistes principaux de l'équipe d'alors, s'est entretenu aux micros de la Gazzetta dello Sport: "Si nous avions perdu contre le Dinamo, nous aurions été éliminé de tout. C'était l'année du Triplé, nous avons fait tout le chemin jusqu'en Mai. La vérité c'est que ce match était notre vraie première finale, ce soir de Novembre. Tout s'était bien passé, nous avons gagné et à partir de ce moment-là, le rêve de Ligue des Champions était plus vivant que jamais". C'était le match référence durant cette saison? "Il fut en tout cas, absolument décisif. Pour moi, on peut dire que c'était un match-référence, c'est comme si le vestiaire avait fait le plein de confiance ce jour-là. Nous avons compris que nous étions sur la bonne voie et que nous pouvions rêver de grandes choses. Et vice-versa, si nous avions été défaits ce jour-là, qui sait si nous aurions eu un quelconque succès cette saison-là. C'est la mentalité du groupe qui en est ressortie grandie, grâce à Mourinho, c'est un sentiment qui nous a ensuite accompagné de match en match en Europe et qui nous a, notamment, permis de battre des équipes championnes dans leur pays". Que s'est-il passé dans le vestiaire à la mi-temps? Mourinho raconte qu'il a mis des coups de pieds un peu sur tout ce qu'il pouvait atteindre pour vous pousser à aller chercher le résultat. "L'atmosphère était tendue, c'est clair. José est fait ainsi, il savait quel genre de groupe il avait en main et c'était là son point fort, pour l'Inter c'était une recrue très importante, il a convaincu les joueurs à tous tirer dans le même sens. A la mi-temps le moral était bas, mais l'entraîneur nous a poussé à croire en ce succès et c'est ce qui s'est passé une fois sur le terrain". Après le but de Sneijder, Mourinho avait parcouru tout le terrain pour venir te prendre dans ses bras, que vous a-t-il dit? "Ah! Sur le but du 2-1 c'était comme une explosion, nous étions conscient du poids de ce but. Nous étions déchaînés? Mourinho a commencé a courir tout droit, même lui ne savait pas où il voulait aller. C'est moi qui suis allé vers lui, je me suis mis sur son chemin, il était comme un fou. Nous n'avions besoin de rien nous dire. C'est l'une des plus belles photos de mon aventure à l'Inter". Le match de ce soir peut être comme celui d'il y'à plus de dix ans? "Ce n'est que le second match, il y a encore beaucoup en jeu après. Mais j'ai eu le plaisir d'être à San Siro contre le Real, j'ai vu une équipe très forte, ils peuvent sortir du groupe avec moins d'inquiétude que nous". Quel joueur de votre Inter ajouteriez-vous à cet effectif? "Ne me faîtes pas faire de comparaisons, c'est injuste. J'ai vu un esprit d'équipe très fort à l'Inter, c'est ce qui compte, plus que les individualités. Les supporters peuvent être sereins". Êtes-vous surpris du feeling entre Lautaro et Dzeko? "Quand l'Inter a vendu Lukaku, tout le monde était préoccupés, mais ceux qui sont dans le football le savent, Dzeko a un très forte personnalité et Lautaro est un jeune très talentueux avec une énorme marge de progression. Ils vont donner beaucoup de satisfaction, non je ne suis pas surpris". Alors dites-nous? Jusqu'où l'Inter peut-elle aller? "Si ils gardent le niveau montré contre le Real, moi j'y crois, ils peuvent aller jusqu'en finale, il faut qu'ils y croient. En Italie, je ne fais pas de comparaison entre cette saison et la précédente mais l'Inter a tout, mais vraiment tout pour s'imposer de nouveau". Internazionale.fr ~ © Samus- 15 commentaires
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Roberto De Zerbi : "L'Inter est une équipe très forte"
Aurios-Inter a posté un article dans Interviews
Le coach du Shakhtar Donetsk, Roberto De Zerbi, ancien de Sassuolo, a loué les qualités du côté de l'Inter avant le choc entre les Nerazzuri et son équipe en Ukraine ce mardi. S'adressant à Sport Italia avant le match de la 2ème journée de Ligue des champions, vital pour les deux équipes après leur défaites respectives, l'entraîneur du Shakhtar a donné son avis sur l'équipe Italienne, qu'il considère comme formidable mais qu'il met au défi. Il déclare : "En tant qu'Italien, je suis très heureux de jouer contre une équipe de mon pays. Je connais la puissance de l'Inter mais je suis content de faire face à Simone Inzaghi." De Zerbi a aussi donné son avis sur la course au Scudetto, en déclarant : "L'Inter et le Milan sont très forts et sont les équipes les plus complètes de Série A, mais il y a aussi le Napoli qui est capable de réaliser de grandes choses." L'Inter se déplace en Ukraine cette semaine et sait qu'elle doit obtenir un résultat contre le Shakhtar, si elle ne veut pas compromettre ses chances de qualification pour les tours à élimination directe, après avoir souffert de la défaite face au Real Madrid dans le premier choc de la phase de poules. Ils renconteront un adversaire familier, l'ex-entraîneur de Benevento et de Sassuolo, Roberto De Zerbi, qui a remplacé Luis Castro sur le banc du Shakhtar cet été, et qui espère faire un bon parcours avec l'équipe Ukrainienne. Le Shakhtar est aussi très embêté par leur défaite initiale qui les opposait au Sheriff Tiraspol. Ils feront face à une formidable opposition contre les Nerazzuri, pour laquelle De Zerbi semble préparé. Et vous, quel est votre pronostique pour la rencontre décisive de mardi ? ®Internazionale.fr - Aurios-Inter Via SempreInter- 7 commentaires
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Inter-Real: L'analyse de la rencontre!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Nos confrères de Fcinter1908.it se sont livré sur l’analyse de la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid, une fois la défaite absorbée "Cela doit être dit haut et fort : Hier, l’Inter ne méritait absolument pas de perdre. Nous attendions une grande réponse après le sévère scepticisme entourant le partage à Gênes et elle est arrivée. Le début de la rencontre a été excellent, joué tête haute et sans avoir peur d’un adversaire de tout premier niveau. L’équipe était organisée et solide dans chaque secteur, l’équipe d’Inzaghi a même donné la sensation de pouvoir l’emporter, mais hélas, cela ne s’est pas déroulé de la sorte." "Aux points, un match nul aurait été bien plus juste, probablement que l’Inter était un peu fatiguée et l’épilogue a été le plus cruel possible: Une défaite qui fait mal mais qui enseigne : Les Nerazzurri devront faire un trésor de cette rencontre afin d’éviter d’autres désagréable désillusions pour le reste de la saison." "Inzaghi peut tout de même avoir le sourire. C’est paradoxal, mais l’estime de soi, après un faux-pas de ce genre, peut aussi augmenter. De retour chez soi, chaque joueur pourra se remémorer le déroulement du match et regretter ces situations où une plus grande attention aux détails aurait pu assurer une fin différente. Cette défaite, 0-1, est plus dure à admettre de part les occasions gâchées, comme ce fut le cas l’année dernière et plus récemment à Gênes : En attaque, le manque de concrétisation fait défaut." "L’Inter crée beaucoup mais ne marque pas assez. C’est d’ailleurs son principal ennemi, lorsqu’il faut jouer à armes égale face aux autres grandes équipes : Il faut également mieux gérer son énergie et parvenir à faire un résultat face à des équipes qui sont à sa portée. Ce qui a rompu l’équilibre d’une fin de match sans histoire réside dans un autre facteur : Carlo Ancelotti avait inévitablement de bien meilleures opportunités sur le banc, avec des remplaçant d’un niveau bien supérieur à ceux de Simone Inzaghi." "Si Vidal ne sa’est pas montré aussi désastreux que l’année dernière, il ne s’est pas montré aussi incisif que souhaité : Dumfries reste encore une personnalité mystérieuse et Correa est tombé dans le piège de la défense adverse qui se l’était mise en poche. D’autre part, l’entraîneur adverse a tiré le meilleur de ses bijoux : Camavinga et Rodrygo, ils sont su se mettre en évidence face à un milieu de terrain lessivé de l’Inter : Leur combinaison est d’ailleurs à l’origine du but décisif." "Il faudra faire preuve de patience." Confirmation de Mario Sconcerti "L’Inter d’Inzaghi est bien meilleure en Coupe d’Europe, même si elle a été refroidie par le jeune Rodrygo […] Le Real a été longtemps dominé […] La réalité est que l’Inter a plus risqué de l’emporter que de perdre. La partie apporte un fond de vérité : L’Inter a techniquement le niveau de la Ligue des Champions. Elle conserve ses chances intactes de rester compétitive surtout après la défaite du Shakhtar." Et vous, quelle est, à présent, votre analyse à froid ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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UEFA Champions League, on reprend (presque) les mêmes et on recommence
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Le tirage au sort de la phase de groupes qui s'est déroulé il y a quelques heures. Nos Nerazzurri joueront dans le groupe D et affronteront le Real Madrid, le Shakhtar Donetsk et le Sheriff Tiraspol. On prend (presque) les mêmes et on recommence. L'Inter a tiré le Real Madrid qui était dans le deuxième pot, le Shakhtar Donetsk qui est vice-champion d'Ukraine, qui a éliminé Monaco au tour précédent, ainsi que la surprenante équipe de Sheriff Tiraspol qui apparait pour le première fois à ce niveau après avoir écarté le Teuta Durrës (Albanie), Alashkert FC (Arménie), Etoile Rouge de Belgrade (Serbie) et le Dynamo de Zagreb (Croatie). S'il apparait assez inutile de présenter le Real et le Shakhtar, il convient de faire une brève présentation de cette équipe championne... d'un état qui n'existe pas! Oui, car si Tiraspol évolue dans le championnat moldave, il ne se situe pas en Moldavie mais en Transnistrie qui est une région sécessionniste de Moldavie qui souhaite soit être indépendante, soit être rattachée à la Russie. La Transnistrie fait partie de la Moldavie, en tant que région autonome, mais demeure une région bien loin de la Moldavie. On y parle essentiellement russe alors que le roumain est parlé en Moldavie. Du fait de ses assises financières, le groupe Sheriff (créé par des ex-agents du KGB) a pu faire de Tiraspol un club important en Moldavie. Il a remporté ou plus plutôt raflé 19 championnats et 10 coupes. A l'instar du PSG, le Sheriff Tiraspol écrase son championnat. Il peut s’acheter des joueurs étrangers, alors que la plupart des autres clubs moldaves ne sont composés que de joueurs locaux par manque de moyen (et qui a envie de jouer en Moldavie?). Il peut avoir aussi un superbe stade et de superbes équipements sportifs. Il domine la concurrence et cela lui donne plus de moyens pour jouer sur la scène européenne. Comme toutes ces ligues assez faibles, c’est qu’il n’y a qu’un club qui tire le championnat vers le haut. Et pour progresser au coefficient européen, il faut plusieurs clubs qui fassent des performances régulières. Ainsi, au niveau des supporters, on devrait voir des drapeaux de la Transnistrie. Après, pour les dirigeants, il y a quand même plus l’idée de faire du business avec le club. Déjà, en 2012, le barrage de Ligue Europa entre Tiraspol et l’OM (1-2, 0-0) avait fait parler de la Transnistrie dans la presse française, et pas que sportive. Nul doute qu’avec Inter – Tiraspol ou Real – Tiraspol en C1, l’écho devrait être encore plus grand. Bizarrement, le Sheriff n'a jamais affronté un club italien ou espagnol. Il a déjà affronté le Shakhtar en Tout préliminaire de la C1 2003-2004 et s'est fait éliminer (0-0 ; 0-2). Le Sheriff a atteint quatre fois les phases de groupe de la C3 en terminant 3 fois troisième et une fois quatrième. Cela montre une certaine constance et le fait qu'il peut ennuyer ses adversaires. Actuellement, Tiraspol est 5e de son championnat après un départ en demi-teinte, peut-être causé par ces 6 matchs en phases préliminaires de la C1. A l'Inter de faire le travail et de passer ce groupe qui est à sa porté. Terminer troisième ou quatrième serait une contre performance pour un club historique voulant revenir sur le devant de la scène. Si le Real reste le Real et qu'il faut toujours s'en méfier par définition, on ne va pas nous faire croire que l'Inter est derrière Donetsk et Tiraspol. A elle d'éviter de s'embourber contre les "deux plus faibles" afin d'éviter de se mettre dans une situation complexe. Sources: site officiel du Sheriff Tiraspol, Tweeter, Ouest France ("Le Sheriff Tiraspol, ce club de foot d’un « pays qui n’existe pas » qualifié en Ligue des champions"), Wikipedia et connaissances personnelles.- 11 commentaires
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Antonio Conte s’est livré en conférence d’après-match à la suite de l’élimination de l’Inter à l’Allianz Stadium de la Juventus, en Coupe d'Italie: Est-ce une saison ratée ? "C’est comme ça que ça commence ? Je pense que, dans chaque compétition, une seule équipe l’emporte. Et si toutes les autres équipes doivent avoir leur saison de ratée car elles ne l’emportent pas, ce serait un désastre. Toutes les autres équipes, ont donc chaque années, connu que des saisons ratées pratiquement." "Je pense que l’Inter, aussi ce soir, a démontré d’avoir très bien réduit l’écart avec la Juve à tout point de vue. Cela nous donne la volonté et la foi pour travailler et continuer à faire ce que nous faisons. Les autres considérations, je vous les laisse à vous." "Cela doit nous être utile pour continuer à travailler au fil des ans et de chercher à améliorer annuellement l’équipe. En l’espace d’un an et demi, nous avons réalisé des pas importants. A y regarder, l’écart en nombre de points avec la Juventus était un écart important. Malgré les difficultés cet écart a été réduit et nous l’avons également prouvé ce soir." "Lukaku et Lautaro ont fait leurs matchs, ils ont tout donné pour l’équipe et pour l’Inter, ils travaillent et cherchent à s’améliorer. Lautaro n’est pas un joueur "fini", il ne faut pas oublier qu’il est jeune et qu’il a un grand potentiel, il en va de même pour Lukaku, même lui cherche à s’améliorer et à donner plus, ils le font tous." Les motivations ? "Nous sommes sortis de la Ligue des Champions car nous avons perdu les deux matchs contre le Real Madrid, il suffisait d’un but face au Shakhtar, nous n’avions pas été bon et assez précis pour marquer un but. Nous disputons les compétions en cherchant toujours à donner le maximum et pour arriver à leurs fin, avec toujours l’objectif maximal. La réalité est ensuite une autre chose." "Ici, nous sommes sortis, en demi-finale, par l’équipe qui a été la protagoniste indiscutable de ces neufs dernières années. Nous allons nous concentrer sur le championnat tout en sachant qu’il sera difficile." "L’Inter a prouvé ce soir qu’elle était une équipe difficile à jouer, nous avons à peine débuté un parcours de travail ici à l’Inter, depuis un an et demi. Je pense que nous avons fait des pas en avant, nous devrons nous équiper pour faire des miracles." L’après-match ? "Je n’ai ni le plaisir, ni l’envie de le commenter, je pense qu’il faut, avant tout, faire toujours preuve d’éducation." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Le défenseur du Shakhtar Donetsk, Dodo, a partagé sa conviction que l'Inter les avait sous-estimés lors de leur première rencontre en phase de groupes. Voici ses déclas à TuttoMercatoWeb. "Nous avons très mal joué contre eux en demi-finale de la Ligue Europa, donc nous sommes partis du fait que c'était un match totalement différent. Je pense qu'ils nous ont aussi sous-estimés parce que beaucoup d'entre nous sont très jeunes. Mais jouer des matchs nous fait mûrir et en tout cas, le match aller avec l'Inter a été le match qui nous a mis le plus en difficulté." "Évidemment, avec le Borussia, nous avons lourdement perdu et peut-être avons-nous sous-estimé ce match. Mais l'Inter joue un système très difficile à casser. Ils jouent un 3-5-2 et leur pression commence avec comme Lukaku et Lautaro. Les cinq au milieu poursuivent ensuite continuellement leurs adversaires directs, au milieu et sur les côtés." "Il est très donc difficile de franchir leurs lignes. Ce qui s'est passé contre eux: c'est que nous avons réussi à stopper leurs contres, mais eux aussi ont stoppé les nôtres. De plus, ils ont nullifier nos forces principales, à savoir la possession de balle et les cotres rapides. Une forme de statut quo." "D'un point de vue physique, ils sont atroces. Quand vous pensez vous être libéré de leur marquage, vous en trouvez déjà deux sur vous! Leur marquage est très strict." Le nul au match aller, une chanceux? "Nous voulions gagner après la victoire surprise contre le Real Madrid et peut-être après avoir fait match nul avec l'Inter, nous pensions, à tort, que Gladbach était un rival plus facile. Au lieu de cela, ils sont devenus les plus durs à jouer. La vérité est que votre marquage ne doit jamais se relâcher en Ligue des champions et pourtant les grandes équipes vous laissent toujours un peu d'espace." Le 5-0, toujours dans les têtes? "C'est un match qui nous fait honte parce que nous aussi nous nous voyons comme un grand club. Perdre 5-0 en demi-finale c'était très difficile à digérer. Lors du match aller avec l'Inter, nous nous sommes promis: "Cette fois, ce sera différent." Nous ne pouvions pas gagner, mais nous ne voulions pas perdre. En fait nous avons fait nul." "Maintenant, nous avons besoin d'un match nul et nous ferons tout pour obtenir un point. Nous avons une grande motivation, due, avant tout, à avoir beaucoup d'espoir de se qualifier dans un groupe aussi difficile. Je pense que nous obtiendrons une qualification sans précédent pour le Shakhtar." Ce deuxième match? "Nous mettrons la même intensité que lors du match aller et comme nous l'avons fait contre le Real Madrid. Contre l'Inter, c'est un jeu de vie ou de mort. Quel que soit l'espace qu'ils nous laisseront, nous essaierons de l'exploiter!" Force et faiblesse de l'Inter. "Nous devons nous préparer à affronter beaucoup de coups francs. Les vôtres, ils sont mortels. Sans mentionner les contre-attaques. Hakimi et Ashley Young, ou Perisic, créent une supériorité immédiate mais ils doivent faire attention à ne pas nous laisser d'espace, car nous sommes très rapides et nous savons exploiter les erreurs."
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Stefan De Vrij et Achraf Hakimi se sont livrés en conférence d’après-match à la suite de la victoire de l’Inter à Bologne Stefan De Vrij à Inter TV "Nous avons bien géré la rencontre, nous avons joué comme une équipe compacte. Nous avons réalisé une bonne première mi-temps durant laquelle nous avons ouvert le score et ensuite nous avons doublé la mise. Nous avons, hélas pris un but, mais il n’y avait pas cette sensation que nous allions perdre des points. Nous sommes restés concentrés mentalement et nous avons tué le match." Le groupe ? "C’est un aspect important pour être une équipe : Tu dois te sacrifier pour les autres et pour obtenir des résultats. Dernièrement, nous sommes parvenus à engranger les résultats et c’est important. Nous sommes conscient qu’une finale nous attend, c’est une partie extrêmement importante qui nous attend mercredi et il faudra faire preuve d’une bonne approche et réaliser une prestation d’équipe, Nous ferons tout pour l’emporter et nous espérons continuer sur cette voie." Achraf Hakimi à Dazn "On parle beaucoup de moi, mais je reste toujours la même personne, celle d’avant et celle d’aujourd’hui : je veux travailler, m’améliorer et m’adapter à l’équipe : Je suis toujours le même Hakimi." Conte ? "Il m’aide énormément, il me parle et il me fait savoir ce qu’il veut : je dois m’améliorer dans chaque mouvement et piano piano, je comblerai ce qu’il me manque. Plus je suis sur le terrain, mieux c’est pour moi. Ma rapidité m’aide et elle est très bénéfique pour l’équipe." L’Italien ? "Je suis en train de l’apprendre et je cherche à m’intégrer dans la Ville et envers les gens : Je le comprends un peu car il est très similaire à l’espagnol." Un rival venu de l’Est Mercredi, l’Inter affrontera le Shakhtar en Ligue des Champions dans un match fondamental pour les deux équipes. A cette fin, le défenseur de Donetsk, Mykola Matviienko, s’est livré à la presse : "C’est la rencontre de l’année pour nous, c’est la plus importante de cette fin d’année, nous nous préparons pour y faire face du mieux possible, nous allons analyser le jeu de nos adversaire et nous donnerons en espérant réaliser un résultat positif." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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analyse L’Inter compte sur la LuLa pour vaincre le Real
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Lautaro Martinez et Romelu Lukaku…Romelu Lukaku et Lautaro Martinez, la LULA pour les intimes. Les flèches dorées d’Antonio Conte représentent l’atout plus des Nerazzurri. C'est simple, si l’Inter veut s’imposer face au Real, il est fort à parier que le résultat dépendra de la prestation des deux compères Analyse de la Gazzetta Dello Sport "La Lula est le moteur Nerazzurro qui mènera à l’Emprise. Les statistiques le prouvent : L’année passée, ils ont inscrit ensemble 55 buts, soit 48,6% du total de l’Inter. Cette année, les statistiques sont encore plus éloquentes : 15 buts inscrits en 24 matchs, soit une moyenne de 62,5% du total de l’Inter." "Au milieu du terrain, seul Brozovic, Gagliardini, Hakimi et D’Ambrosio ont inscrit un but. (Il faut décompter l’autogoal de Ceccherini). Lukaku et Lautaro représentent le phare de l’Inter, mais tous les autres se doivent également de savoir répondre sous la cage : C’est un fait : Conte ne peut pas faire sans eux." Analyse du Corriere Dello Sport "Lorsque le numéro 9 et le numéro 10 inscrivent chacun un but dans le même match, la victoire est assurée.Ce n’est pas seulement un duo de buteurs phénoménal, mais il s’agit d’un tandem de talisman : Lorsque Lukaku et Lautaro marquent ensemble, l’Inter l’emporte toujours. La saison dernière, cela s’est produit à 11 reprises. La dernière en date est face au Torino, dimanche dernier. A chaque fois, l’équipe Nerazzurra est rentrée à la maison avec la mise intégrale." Et en Europe ? "Cela ne s’est produit qu’à deux reprises lors des 11 matchs européens. A Prague face au Slavia, soit la dernière victoire en Ligue des Champions. Et en Ligue Europa, lors du 5-0 refilé au Shakhtar en demi-finale." Pensez-vous que le duo dorée Nerazzurro pourra infliger au Real Madrid sa seconde défaite de la compétition ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Real Madrid 3-2 Inter : "Toujours des regrets"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Comme lors de ces deux précédentes journées, l’Inter sème énormément sur le terrain, mais cette fois-ci elle ne recueille rien. Face à un Real Madrid loin d’être irrésistible, l’Inter de Conte, privée de Romelu Lukaku a offert une bonne prestation en Ligue des Champions....Toutefois, l’absence du Gentil Géant s’étant fait extrêmement ressentir Menée au score 1-0 suite à une légèreté d’Hakimi qui s’imaginait encore au Real, l’international marocain délivrait une splendide passe décisive à Karim Benzema qui ouvrait le score à la 25’. Quelques instant après, Sergio Ramos rappelait qu’il était un excellent joueur de la tête sur corner et doublait la mise à la 33’. L’Inter, sonnée, allait se remettre en selle immédiatement à la suite d’un Zlatanesque Barella qui offrait d’une aile de pigeon, un caviar de passe décisive à Lautaro Martinez qui prenait le meilleur sur Raphaël Varane, à la 35’ Remontées en seconde période avec les mêmes intentions, les deux équipes se donnent coups pour coup. Et l’Inter se relance dans le match à la 68’, suite à une combinaison entre Vidal qui lance en profondeur Lautaro Martinez, l’argentin remet instantanément de la tête à Ivan Perisic qui voit son tir décroisé finir au fond des filets. Vu la physionomie du match, l’évolution du score pouvait se jouer sur un détail, un détail signé du double Z qui, en faisant entrer Vinicius Junior et Rodrygo, réalise un coaching gagnant. Le premier dépose littéralement un bien vaillant Danilo D’Ambrosio en plein sprint, avant de centrer dans la surface pour le second, qui à hauteur du point de penalty puni un Samir Handanovic toujours aussi immobile Suite à la retentissante victoire du Borussia Mönchengladbach sur le terrain du Shakhtar Donestk (0-6), l’Inter occupe à présent la dernière place du groupe. L’Inter jouera donc son avenir le 25 novembre, au Giuseppe Meazza, face au Real de Madrid ou tout autre résultat qu’une victoire condamnerait le club de Steven Zhang a une cuisante élimination directe, voire à un retour en Europa League…. Tableau Récapitulatif Real Madrid 3-2 Inter Buteur(s): 25' Benzema (R), 33' Sergio Ramos (R), 35' Lautaro Martinez (I), 68' Perisic (I), 80' Rodrygo (R) Real Madrid: 1 Courtois; 17 Vazquez, 5 Varane, 4 Sergio Ramos, 23 Mendy; 15 Valverde, 14 Casemiro, 8 Kroos (78' 10 Modric); 11 Asensio (64' 25 Rodrygo), 9 Benzema, 7 Hazard (64' 20 Vinicius) Banc: 13 Lunin, 26 Altube, 12 Marcelo, 18 Jovic, 22 Isco, 24 Mariano Diaz, 40 Santos T1: Zinedine Zidane Inter: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Hakimi, 77 Brozovic, 22 Vidal (87' 44 Nainggolan), 15 Young; 23 Barella (78' 5 Gagliardini); 10 Lautaro Martinez, 14 Perisic (78' 7 Sanchez) Banc: 27 Padelli, 35 Stankovic, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 24 Eriksen, 36 Darmian, 37 Skriniar, 99 Pinamonti T1: Antonio Conte Arbitre: Turpin (FRA) Var: Letexier Averti(s): Vidal (I), Mendy (I), Brozovic (I), Barella (I), Casemiro (R), Courtois (R) Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 11 commentaires
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