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  1. Interviewé par Sport Mediaset, Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter a révélé que l’Inter disposera d’un nouvel attaquant avant la reprise du championnat! "Je suis très heureux de l’équipe que nous avons, je suis très heureux des attaquants que nous avons. Nous rajouterons un autre attaquant, je pense, d’ici au début du Championnat : Ce sont des joueurs qui donneront tout pour le bien de l’Inter et pour faire gagner les rencontres de l’Inter. Le reste m’importe peu." "Pour reprendre la citation du Président Berlusconi : Je cherche à prendre un joueur qui marque des but. Il n’y a pas, pour l’instant de période programmé, en ce sens où nous travaillons sur plusieurs pistes, car nous allons essayer d'offrir le joueur qui correspond le mieux aux idées de notre entraîneur, mais surtout celui qui viendra marquera des buts, ce qui est la base du travail d'un attaquant." Balogun ? "C'est une opportunité comme une autre, il n'y a pas de premier ou de deuxième choix, il y a des opportunités. Nous ferons des choix plus tard et nous ferons le bon." Lukaku ? "Je m’en moque, je m’exprime sur des joueurs de l’Inter, pas sur ceux qui l’ont été ou sur ceux qui évoluent dans d’autres équipes, il ne m’intéresse pas et je le dis avec la plus grande sérénité : Je suis content de l’équipe et des attaquants que nous avons." Il aurait pu citer Kévin aussi ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. En effet, c'est la triste nouvelle de la journée: Silvio Berlusconi est décédé.... Détenteur d'un palmarès inégalable en Italie: Il sera, à tout jamais, un Président qui aura marqué à la fois le Milan Ac et Monza, en plus d'être une personnalité des plus exubérantes. Internazionale.fr présente ses plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches, à l'Ac Milan et à Monza: Repose en paix Silvio! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  3. Les mots de l'entraîneur de l'Inter à l'issue du match face à Monza qui a conduit à la onzième défaite en championnat! Nouvelle défaite en championnat. Désormais un scénario identique qui laisse toujours bouche bée ceux qui vivent l'Inter avec passion. Encore une fois l'équipe Nerazzurri a réussi à louper des tirs et des tirs au but qui se sont retrouvés pas cadrés ou dans les bras du gardien comme si une malédiction avait été jetée. Un refrain qui détonne, qui devient injustifiable même quand on est essoufflé, fatigué par quelques matchs de plus. Il manque la précision, le détail, la hargne nécessaires pour réagir quand l'objectif d'une saison entière semble loin. Il n'y a pas eu l'attitude d'avoir voulu mettre K.O le Monza de Palladino qui a donné une joie à Galliani et aussi à Berlusconi qui est à l'hôpital. L'équipe d'Inzaghi a connu sa onzième défaite dans ce championnat et ça fait très mal si l'on pense que cette formation, il y a encore quelques jours, avait offert à ses supporters une belle soirée en Ligue des Champions. Simple coïncidence alors ? C'est peut-être le mauvais moment pour les Nerazzurri de rencontrer Benfica? Qui sait, mais si ce sont eux que l'on voit ce soir, ils devront inventer autre chose, ou envoyer des combattants contre les Portugais. Parce qu'il y a tout les ingrédients de ce qu'il a manqué ce soir : La fierté, l'obsession maniaque du résultat, on attendait une réaction pour annuler cette page du scénario qui devient inutile à lire, on la connaît par coeur. En fin de match, l'entraîneur de l'Inter s'est adressé aux micros de Sky sport pour donner son point de vue sur ce qui s'est passé sur la pelouse de San Siro. Voici ses déclarations : -On dirait un film déjà vu qui se répète : match en contrôle, attaque qui ne marque pas et défaite. Question difficile après la victoire à Lisbonne... L'équipe a fait une bonne première mi-temps, nous méritions de mener au score. Puis on a perdu notre sang froid, on a reculé et après nous avons recommencer a attaquer. Un copié collé des autres matchs. Le rythme que nous avons dans le championnat n'est pas bon, nous sommes très déçus et en colère. Ce n'est pas vrai que nous jouons que les Coupes, l'équipe connaît l'importance de tout les matchs. On parle d'un résultat négatif qui freine notre progression au championnat. - Il n'y a pas cette étincelle, il semble qu'en championnat il n'y a pas autant de détermination qu'en Coupe? Il y a toujours l'épisode qui change tout. Les occasions sont plus conséquentes que dans les matches disputés en Ligue des champions. Certes, le résultat ne nous donne pas raison et c'est matière à réflexion. On en parle tous les jours mais ce n'est pas suffisant. Ce n'est pas un hasard si tous les gardiens adverses deviennent l'homme du match. L'équipe sait qu'elle a besoin de victoires et de points en championnat et ils y arrivent pas et nous avons encore perdu des points, de la lucidité et le ballon circulé lentement, il manqué d'intensité. - La qualification pour la Champions League de la saison prochaine est-elle plus à portée de main en remportant la Champions League plutôt qu'en terminant quatrième du championnat ? En 2023, mes attaquants n'ont pas été à notre niveau. Nous étions la meilleure attaque, maintenant les attaquants marquent moins et l'équipe se crée des occasions. Nous devons tous faire preuve de plus de détermination. Dans le championnat, il reste encore plusieurs matchs à jouer et les cartes ne sont pas encore distribuées. Maintenant, nous avons également perdu à San Siro et cela doit nous inquiéter. Nous travaillons pour nous améliorer. Mais les occasions aussi eues ce soir ne reflètent pas le résultat. -Manque-t-il un joueur qui "scintille" ? L'équipe est bien construite, pour rester dans tous les objectifs. Nous n'avons rien laissé derrière nous, nous sommes toujours en lice même en Ligue des champions et nous pouvons atteindre les demi-finales. Vous avez vu les derniers matchs en Série A, nous sommes déçus des résultats, mais je suis satisfait de ce que les joueurs ont fait sur le terrain. -Comment va se dérouler le match contre Benfica ? Les équipes de Champions League le paient de devoir jouer autant en continu, on a envie d'avancer. En jouant si souvent, il faut parfois faire des choix. En jouant de manière si rapproché, il se passe des choses qui ensuite nous font mentir dans les jours qui suivent. Parce que l'inattendu est toujours au coin de la rue. Traduction Lindt1908 via Fc Inter1908
  4. Massimo Moratti s'est livré à Libero en parlant de son père Angelo et de Slivio Berlusconi. Qu'avez vous essayé de copier de votre père ? "J'ai toujours eu en tête la façon de travailler de mon père, sa façon d'être un gagnant et que j'ai pu reproduire... avec difficulté. Pour moi mon père était très important, il représentait un exemple qui m'a permis de voir ce que j'étais à affronter non pas comme une nouvelle expérience mais comme la continuation d'un chemin que nous avions vécu dans notre enfance." "La détermination dans les décisions, se savoir seul quand on les prend et en assumer l'entière responsabilité, mais ce que papa m'a laissé en héritage, c'est définitivement son immense humanité, sa disponibilité pour tous. C'était un homme avec un grand charisme et extrêmement gentil. Il m'a donné la possibilité d'essayer de tirer le meilleur parti de ses qualités que j'ai essayé de faire miennes." En parlant de mécènes, quelle rivalité y avait-il avec le Milan de Berlusconi ? "La rivalité entre nous a été l'un des moteurs qui m'a amené à essayer de bien faire. Quand je suis arrivé en tant que président de l'Inter, Milan était à son meilleur et je devais essayer de m'assurer que mon équipe était au même niveau, si pas supérieure. Avec Silvio Berlusconi il y avait une relation de rivalité footballistique indéniable mais avec une grande sympathie. Dès que j'ai pris l'Inter, je me souviens qu'il a essayé de me prévenir en me disant que Milan lui coûtait beaucoup d'argent. Au départ je n'y croyais pas que c'était une chose si onéreuse et en fait raison. C'est la passion, un sens aigu du devoir qui m'a poussé à aller de l'avant. Une fois cette décision prise, je n'ai pas eu envie de tout abandonner et de changer d'avis. Cela ne fait pas partie de moi. J'ai donc décidé d'aller de l'avant en essayant de donner le meilleur de moi-même." "Berlusconi a tout gagné ! Comment ne pas respecter un tel homme ? Vous pouvez utiliser différentes méthodes mais cela m'a été utile d'essayer de comprendre comment il a réussi à gagner autant. Je crois que l'humilité pour comprendre ce qui se passe autour de vous est fondamentale. Berlusconi a certainement changé les paramètres économiques présents dans le football italien. Depuis son arrivée, les valeurs des équipes de football ont commencé à progresser et les dépenses ont augmenté (rires, ndlr). Après tout, quand on élève la qualité, on ne l'élève pas simplement parce qu'on est poète mais il faut intervenir économiquement." Mieux vaut-il avoir Ronaldo ou Van Basten ? "Je crois que Ronaldo était le joueur le plus fort qui s'est présenté en Italie d'après guerre." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Carlo Ancelotti commente les quarts de finale de la Ligue des champions des équipes italiennes : "Il est difficile de dire qui est le plus favori, entre Milan et Naples"! À quoi pensons-nous à la veille des quarts de finale de la Ligue des champions ? Nous pensons que nous pouvons le gagner, sachant que chaque match est un obstacle difficile, coriace et imprévisible, la Ligue des champions est comme ça. Les huit équipes ont le désir atteindre la finale d'Istanbul". Carlo Ancelotti rêve de la gagner de nouveau mais il sait que ce sera dur. Le Real Madrid, champion d'Europe en titre, devrait disputer le match aller contre Chelsea mercredi, un énième engagement d'une saison "très, trop exigeante, il y a trop de matches", souligne-t-il aux micros de 'Radio Anch'io Sport' sur RadioUno . Depuis le 30 décembre nous avons joué tous les trois jours jusqu' au 20 mars. Nous n'avons pas réussi à avoir la même continuité que Barcelone. Le calendrier est absurde et là aussi il faut faire quelque chose. Les joueurs doivent être défendus, pour améliorer la qualité du spectacle, vous devez jouer moins de matchs. Les joueurs arrivent en fin de saison épuisés. Mais il nous reste à jouer la finale de la Copa del Rey et les quarts de finale de la Ligue des champions, la saison est encore ouverte. Et n'oublions pas que nous avons déjà remporté la Supercoupe d'Europe et la Coupe du monde des clubs." "Il est difficile de dire qui est le plus favori entre le Milan et Naples : Le Napoli fait une saison fantastique, Milan est plus incertain, ils viennent à ce match avec des motivations différentes, mais ensuite la motivation sera la même : Atteindre les demi-finales". Et en ce qui concerne Benfica-Inter? « sur le papier, Benfica est mieux loti, une équipe qui fait bien notamment en Ligue des champions, mais aussi dans le championnat portugais. Une équipe solide. L'Inter n'est pas favori, mais ils ont la chance de se racheter d'une saison en dents de scie." Après avoir souhaité bonne chance à Berlusconi ("Nous sommes tous inquiets et anxieux, je suis très attaché à lui, j'espère que tout se passera bien") Ancelotti avoue qu'il n'est pas très content de la manière dont la Var est appliqué : "Ancelotti s'est emparé de la décision de l'arbitre, la VAR est trop souvent utilisée. Ella à été mise en place pour remédier à des erreurs claires et évidentes, mais maintenant son intervention est trop sollicitée". Pour finir sur l'équipe nationale : "Mancini a raison, c'est un fait, le football italien ne produit plus d'attaquants de niveau international. Il faut aller chercher des jeunes inconnus qui peuvent vous donner quelque chose de plus comme Retegui lors des deux derniers matchs". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  6. Jorge Nuno Pinto da Costa est le Président du Fc Porto depuis le 17d’avril 1982 et celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur la rencontre à venir face à l’Inter et sur l’évolution du Calcio au cours de ces dernières décennies : "Le sentiment de Vendetta n’existe pas dans le football, l’Inter cherchera à faire de son mieux, et pour nous, ce sera exactement la même chose." Place à présent à la tentative de remontée sur l’Inter, mais vous avez déjà fait pleurer le Calcio : Auquel de nos clubs êtes-vous le plus lié ? "Dans le football, il n’y a de juste milieu, seule la victoire vous rend heureux et les parties face aux italiens sont toujours des rencontres enthousiasmantes car elles sont très compétitives et incertaines et je n'en attend pas moins dans ce huitième de finale." "Nous gagnons, nous perdons, mais ce qui compte c'est le fait de continuer à vous défier en Europe car nous sommes ambitieux, tout comme vous: Si je devais choisir une rencontre, j’en choisirais une lorsque je n’étais pas encore Président mais Administrateur-Délégué : La Coupe des Champions 1979-1980 et le 0-1 de San Siro face à Milan avec un but de Duda." Comment jugez-vous la différence entre le modèle de Porto et de l'Inter, où son propriétaire qui n’est pas italien, a bloquér les investissements ? "Notre situation est différente de celle de l’Inter et du Calcio d’une manière Générale : Porto appartient aux Socios, il s’est organisé pour rester à l’abri de tout investisseur. Chaque pays propose son propre modèle, je ne pourrais pas dire lequel est meilleur que l’autre, mais le nôtre se basera toujours sur ce sentiment d’appartenance: Ensuite, les joueurs qui sont ici sont dans de parfaites conditions pour s’améliorer, ils sont choisis sur base de certaines qualités et nous nous montrons patient." Au début de votre Mandat, le Calcio était la force dominante, à présent il l’est nettement moins, comment expliquer un tel déclin ? "Oui c’est vrai, lorsque je suis devenu Président, le Calcio était le plus dur du Monde, le système a bénéficié aussi aux Présidents qu’étaient les Berlusconi, Moratti et Agnelli, mais à présent tout ce pouvoir a été transféré en Angleterre et vos clubs ont perdu de leurs superbes car ils ne sont plus dirigés par des personnes ayant l’expérience de ceux que j’ai cité. Ceci étant dit, vous restez toujours parmi les meilleurs et ce n’est jamais facile de vous faire face comme le prouve l’Inter. En 41 ans de Présidence, ma plus grande fierté est celle d’être parvenu à nous maintenir toujours compétitif en Europe." Sergio Conceiçao vous a-t ’il parlé de son ami Inzaghi ? "Oui, et son vécu en Italie a été très formateur pour Sergio. Je ne connais pas énormément le travail d’Inzaghi mais pour entrainer un des plus grands clubs du Monde, tu te dois d’avoir des qualités : Plus que l’entraineur ou des individualités, j’ai peur du Collectif de l’Inter." Tôt ou tard, verrons-nous Sergio en Italie et peut-être à l’Inter ? "Il est compétent et passionné par son travail, c’est l’un des meilleurs entraineurs du football européen. Ce n’est pas moi qui le dit, mais ses résultats : Il a de la qualité pour travailler n’importe où, mais il se trouve déjà dans le bon club et j’espère qu’il restera." Il y a une connexion entre Porto et l’Inter qui se nomme José : Comment jugez-vous le Mourinho romain ? "Son succès ne me surprend pas : Il est au sommet depuis plus de deux décennies et après la Roma, il aura face à lui de nouveaux grands défis et d’autres grands clubs tout simplement parce que c’est un prédestiné." L’expérience et le Fair-Play d’un Président à l’ancienne ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Marco Materazzi était le protagoniste d'une conversation avec InterTV quelques heures avant Inter-Milan. Il a raconté les émotions du Derby della Madonnina avec ces mots, émotion et fous rires garantis. Qu'est-ce qu'il vous manque le plus ? "Je n'ai jamais eu de rituels superstitieux! Ce qui me manque encore beaucoup aujourd'hui, c'est la veille, quand les fans Nerazzurri arrivent à Appiano pour nous encourager. C'était un moment unique." Aujourd'hui, en tant que fan, comment abordez-vous le derby ? "En tant que fan, vous souffrez beaucoup plus! Plus car vous ne prenez pas le terrain et vous ne pouvez pas aider vos coéquipiers à gagner le match. C'est beaucoup plus difficile, vous devez vous réjouir en souffrant." Après les derbies, à qui pensiez vous ? "J'ai toujours pensé ma famille et ma femme. Tant quand tu as perdu que quand tu as gagné. La famille est la chose la plus importante et reste près de toi surtout dans les moments difficiles." Votre plus grande folie liée à un derby ? "Quand j'ai porté un masque Berlusconi ! J'étais au supermarché, pendant la période du Carnaval, avec ma fille. On a vu des masques et il y avait aussi celui de Silvio Berlusconi. Je me suis dit: 'Je l'achète et je le porte si on gagne le derby.' J'ai toujours tenu mes promesses. On a gagné 2-0, et je l'ai porté au coup de sifflet final. Puis j'ai parlé au téléphone avec il Cavaliere, on a ri ensemble parce qu'à Milan le derby est beau pour ça aussi, parce que tu le vis sereinement." Le moins que l'on puisse dire est que, à l'époque, cela avait remué les opinions. Extrait d'un article Goal.com. Marco Materazzi, qui n'a même pas pris le terrain lors de ce match, a vu ses coéquipiers triompher depuis le banc et, après le coup de sifflet final, s'est lancé dans une exultation qui a produit des images destinées à entrer dans l'histoire. Lorsqu'il se précipite sur le terrain pour embrasser ses collègue, il le fait en portant un masque de Silvio Berlusconi. Rien de tel n'a jamais été vu sur un terrain de Serie A, et ne se verra pas non plus dans les années suivantes, un joueur célébrant avec le masque du président de l'équipe adverse. C'est la polémique immédiate. Cependant, cela dépasse aussi largement les frontières du sport et ce pour une raison très simple : Berlusconi n'est pas seulement le président du Milan, il en est aussi le Premier ministre. Le discours devient donc aussi politique et les critiques ne viennent donc pas seulement de ceux qui supportent le Milan, mais aussi d'une bonne partie de l'hémicycle parlementaire. La polémique s'est propagée comme une traînée de poudre et même un grand fan de l'Inter comme Ignazio La Russa, alors ministre de la Défense, a vivement critiqué le choix de Materazzi. "Une énorme chute de style. Je n'ai jamais vu personne s'en prendre aux présidents et se moquer d'eux. Le geste de Materazzi fait partie de ceux qui peuvent être offensants." Parmi ceux qui ont acquitté le défenseur de l'Inter, il y a évidemment de nombreux membres de l'opposition qui défendent le 'droit à la plaisanterie'. L'entraîneur du Milan, Leonardo, essaye d'adoucir les choses. "Je ne pense pas que Materazzi ait voulu offenser qui que ce soit. Je pense que c'était juste une blague. Je le connais, je ne pense pas que c'était une blague." Materazzi se retrouve au centre d'un véritable ouragan de polémique qu'il ne pensait évidemment pas pouvoir déchaîner. Sur son site, il explique son geste. "Comme toujours, ce que fait Materazzi suscite la discussion. Même un masque de carnaval, du genre qu'on en vend partout, que j'ai porté pour fêter la victoire d'hier soir : une blague de derby, rien de plus. Aucune intention polémique, aucune volonté d'offenser, aucune implication politique, à Dieu ne plaise. Aussi parce qu'en politique, et ceux qui me connaissent bien le savent, je n'ai jamais voulu y entrer. C'est précisément pour cette raison que je suis sûr que il Cavaliere Berlusconi, en tant que président du Milan et surtout en tant que personne dotée d'un grand sens de l'autodérision, car c'est ainsi que je l'ai rencontré, aura souri en me voyant. J'ai envie de croire qu'il a aimé le geste et qu'il ne s'est pas senti offenser, car je ne voulais vraiment me moquer de personne : à tel point que je ne suis allé que vers la curva de nos supporters, en évitant de croiser les joueurs et supporters de l'AC Milan. Comme d'habitude dans un derby gagné." L'affaire sera ensuite close par un coup de fil 'éclaircissant' entre Materazzi lui-même et Silvio Berlusconi. Le défenseur de l'Inter parlera d'une conversation très courtoise et plaisante, tandis que le président milanais se bornera à l'accepter avec le sourire. Traduction alex_j via FCInterNews et Goal.com.
  8. Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Homme de main de Massimo Moratti de 1995 à 2014, Rinaldo Ghelfi est décédé hier. Rinaldo Ghelfi, le manager historique de l'Inter de l'ère Massimo Moratti, est décédé hier matin. Véritablement milanais, il a siégé au conseil d'administration du club jusqu'en 2014, date à laquelle Moratti, qui avait déjà vendu 70 % à Thohir, a démissionné du poste de président d'honneur et n'est resté qu'actionnaire. Ghelfi a été pendant des années l'homme des comptes des nerazzurri, celui qui gérait les finances du club. C'est dans son bureau que les négociations ou les renouvellements les plus importants ont été signés. Un qui est inoubliable est celui de José Mourinho au printemps 2009, mais les exemples sont nombreux. Personne réservée, il était impossible de lui arracher une déclaration même dans les moments de grande joie. Il a également occupé le poste de directeur général du club pendant quelques mois en 2005 et également celui de vice-président. Propriétaire d'un studio professionnel bien connu dans le centre, il a assisté pendant des années aux matches de l'Inter aux côtés de Massimo Moratti qui était pour lui un ami, plus que le président de son équipe favorite. Dans la soirée, le FC Internazionale a exprimé dans une note "ses condoléances pour le décès de Rinaldo Ghelfi. Le Club et toute la famille Nerazzurri pensent à lui et à tous ses proches". Le club de Monza de Silvio Berlusconi et Adriano Galliani a également exprimé ses condoléances sur Tweeter. "Adriano Galliani et tout l'AC Monza se joignent à la famille suite à la mort de Rinaldo Ghelfi, le directeur historique de l'Inter, dont il était vice-président et membre du conseil d'administration à l'époque Moratti, estimé de tous pour sa compétence et son sérieux." Traduction alex_j via la Gazzetta Dello Sport, Sempreinter, fanpage.it.
  10. Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
  11. A travers une déclaration via les réseaux sociaux, Andrea Ranocchia a tenu à expliquer la raison de son départ de Monza et du football "en tant que joueur." "Je tiens à remercier ma famille, ma femme Giulia, mes enfants, ils m’ont soutenu à de nombreuse reprises, ils m’ont donné tout ce qu’ils pouvaient me donner. Je leur serai éternellement reconnaissant, à remercier tous mes amis, à tous ceux qui ont été proches de moi en dehors du football. J’ai vraiment eu de la chance, car derrière moi j’ai une belle équipe. Cette dernière année et demie n’a pas été facile, la passion pour ce jeu s’est estompée. C’était un échec même au mois de mai lorsque j’étais encore à l’Inter, à ce moment-là j’ai senti qu’il y avait quelque chose qui ne me revenait pas." "Avec le club, avec l’entraîneur, nous avons décidé de nous séparer parce que je voulais de nouveaux challenges, vivre de nouvelles passions et de nouvelles émotions. » J’ai eu de la chance, et je suis reconnaissant, car Monza m’a donné une nouvelle opportunité, qu’il s’agisse de Galliani et de Berlusconi, qui m’ont fait confiance en m’offrant un excellent contrat pour revenir dans le Game. Malheureusement, au début mes sensations n’étaient pas positives, c’est comme si quelque chose était s’était brisé en moi. Au début, je ne voulais pas l’accepter, car la passion que j’ai portée depuis 30 ans a disparu." "J’ai essayé de m’engager mais il n’y avait plus rien en moi, je me suis énormément questionné et ensuite, il y a eu cette sale blessure à Naples qui m’aurait tenu à l’écart des terrain pendant des mois. Et si vous n’avez plus cette flamme pour pouvoir revenir, et même avec la confiance que Monza m’a donnée, j’ai senti qu’il était juste de ne pas me moquer de qui que ce soit, et de moi avant tout : Soit je me donne à 100% soit j’arrête. J’ai parlé avec Galliani et je lui ai fait part de mon malaise et de ma décision, je ne voulais continuer à me moquer de personne, j’aurais été le premier à en payer les conséquences. Si tu veux aider ton équipe, tu dois te sentir bien et je ne peux plus le faire, je n’ai plus rien à donner. Galliani est un Gentleman, il a compris l’instant et nous avons « rompu » mon contrat en toute amitié." "Maintenant, je vais prendre le temps de récupérer, malgré toutes les émotions traversée ces temps-ci et remettre mes pensées sur la bonne voie pour l’avenir, je ne pense pas vraiment à rejouer au football, ce n’est plus dans mes pensées et ce n’est absolument pas ce que je veux. Je prends le temps de profiter des autres choses de la vie et de voir, ensuite, de quoi sera fait l’avenir. C’est ma pensée et je voulais la communiquer. Je tiens à tous vous remercier pour le soutien que vous m’avez apporté, dans les bons moments et dans les plus difficiles, j’ai vécu des émotions indescriptibles, j’ai été bon et chanceux d’avoir pu les vivre." "Je vous embrasse, même si je ne suis pas très réseaux sociaux, mais on se reverra un jour." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Giuseppe Marotta, l’Administrateur-Délégué de l’Inter, s’est livré à l’Hôtel Gallia di Milano, celui-là même qui accueille les dernières heures du Calciomercato, sur l'état de santé du championnat transalpin : "Le Calcio était et est toujours dans une très grande contraction financière. Il y a peu de temps, il était encore décrit comme le modèle de référence de ces 40-50 dernières années, c’était un modèle de mécénat pure, où il y avait de grands entrepreneurs locaux, comme les Familles Moratti et Berlusconi, qui ont pris les rênes de grands clubs." "Aujourd’hui, les très grands clubs sont entre les mains de propriétés étrangères et, heureusement qu’elles sont arrivées, car sinon, notre Calcio aurait été encore bien plus en difficultés." Que nous apportent-elles ? "Très certainement un nouveau modèle de Business, je dirais à l’américaine. Elles proposent une mentalité différente avec un aspect financier, économique et de soutenabilité qui occupe un rôle bien plus important: Il faut prendre conscience de cela et meno male que ces propriétés sont arrivées." "Le contexte temporel est différent de celui de ces dernières années, on se retrouve, par exemple avec le Mondial en plein milieu de saison à jouer. C’est donc aussi vrai que cela change les stratégies, et il est clair que l’aspect "Player Trading" ne doit pas en subir une conséquence logique." "Comme vous le savez, nous faisons partie d'un cadre organisationnel de l’UEFA et il y a beaucoup de championnat qui sont conditionnés par ce système de CalcioMercato. Une compréhension logique de la manière de réglementer cela devrait être trouvée par le biais de l'Eca et elle l'est toujours." "Nous sommes à la quatrième journée du championnat et nous avons encore quelques jours de mercato, cela signifie que dans tous les clubs il y a des tensions, car des situations doivent encore être définies avec des joueurs qui protestent, peut-être même depuis les tribunes. C'est très dommageable, et cela le sera aussi en novembre avec deux mois d'inactivité partielle". Le Saviez-vous ? Un échange a eu lieu entre Beppe Marotta et l’ancien Président de la FIGC Carlo Tavecchio, qui occupe actuellement le poste de Président du Comité Régional Lombard des Amateurs. Ce dernier s’est adressé au Padrino : "Rappelez-vous que nous sommes Interiste. Il y a une hypocrisie chez les gens qui vous pousse à ne pas dire cela. Mais tout va, tout de même, assez bien: Il suffit de se montrer correct : Mais faites très attention, car nous arrivons à un moment particulier..." Tavecchio Nerazzurro, qui l’aurait cru ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Stefano Sensi est prêt à devenir un nouveau joueur de Monza! Selon les informations de Gianluca Di Marzio, l'accord a été trouvé aujourd'hui: "Le milieu de terrain de l'Inter, courtisé ces derniers jours par Monza, a dit 'oui' au club présidé par Silvio Berlusconi et Adriano Galliani et est prêt pour être transféré, sous la formule d'un prêt sec". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  14. Giuseppe Marotta a été interviewé ce matin par Radio Anch'io Lo Sport. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il joue à présent carte sur table, signe que les différentes négociations sont sur le point d’aboutir ? Allez-vous annoncer le retour de Lukaku aujourd’hui ? "Absolument pas. D’une façon plus générale, je dirais que j’ai le devoir de créer une équipe compétitive dans le respect de la soutenabilité. Cela passe par un chassé-croisé de sondages, de négociations, et un Dirigeant dans le milieu du football doit tenter toutes les voies possibles sans avoir la crainte de ne pas atteindre l’objectif. Lukaku est une piste envisagée mais il y a encore des difficultés et nous devons évaluer s’il y a des points extrêmes pour y parvenir." Vous dirigez-vous plus vers des joueurs d’expérience ou vers une croissance des jeunes ? "Nous sommes confrontés à d’importantes difficultés en Italie. Nous étions parmi les premiers en Europe en termes de budget et de victoire au début des années 2000. A présent, la seule équipe italienne dans le top 10 est la Juve et elle navigue entre la huitième et neuvième place. Nos possibilités de dépenses sont donc limitées et le Calcio a subi un profond changement car nous sommes passé des Mécénats tels que Silvio Berlusconi et Massimo Moratti, au modèle de gestion d'entreprise actuel: Le Calcio n’avait pas fait dans la dentelle, mais à présent, la soutenabilité financière est le cœur des entreprises." "Notre championnat est un championnat de transition: Lukaku en est l’exemple, il était arrivé il y a deux ans, il a été attiré par Chelsea est était parti, nous avions dû faire en fonction. Faire jouer les jeunes est une réalité importante, mais la pression est encore trop importante pour leur donner du temps de jeu dans les grandes réalités que nous sommes." Y-a-t ’il le risque que Lautaro imite ce qu’a fait Lukaku, il y a un an ? "Nous avons un objectif de référence, qui signifie que nous devrons conclure notre campagne de transfert avec un solde positif et des coûts salariaux contenus. Notre intérêt est de maintenir une équipe forte car cela fait partie de l’Histoire du Club: Vu sous cet angle, Lautaro est indispensable pour continuer à poursuivre nos objectifs." Votre avis sur la bataille entre la Lega et la FIGC sur l’indice de liquidité... "Le rapport avec la FIGC a toujours été positif. ll y a de la satisfaction pour l'acceptation partielle du recours et cela démontre la validité de nos objections concernant une mesure inappropriée. Nous sommes en faveur de la transparence, mais avec des moyens et un timing différents. Surtout en raison des effets rétroactifs sur la gestion actuelle. La voie empruntée par la Fédération est la bonne, mais nous devons tenir compte de la situation dans laquelle se trouvent les clubs". Quand les nouvelles réformes arriveront-elles ? "Je pense qu’elles arriveront bientôt. Nous devons éliminer le mot "Querelle" qui est devenu la grammaire de toute une classe dirigeante. Nous avons besoin d'une vision commune, de nouvelles formes de revenus, de la valorisation des ressources comme celle des droits télés à l’étrangers. Par rapport à l'Espagne, nous percevons un quart des revenus, par rapport à l'Angleterre environ un huitième. C’est question d'entreprises de médias : il n'y a pas de préclusion, mais une analyse approfondie de cette proposition est nécessaire." "Des réformes sont donc nécessaires: Celle de nos championnats professionnels car ils sont trop imposant. Le monde semi-professionnel peut aussi venir en aide aux réalités provinciales: Aujourd'hui, la Serie A verse 120 millions en mutualité aux championnats de moindre importances. Nous sommes également en queue de peloton en termes d'infrastructures. Au cours des dix dernières années, 153 nouveaux stades ont été construits en Europe, dont seulement deux en Italie. Ce système doit être renouvelé". Ce besoin de liquidités incitera-t-il certains clubs à vendre quelques grands joueurs ? "Aujourd'hui, le Management doit allier théorie et pratique. Si le Trading était par le passé marginal, aujourd’hui aucune équipe ne peut rester debout sans disposer d’actifs sur le marché des transferts: C’est ici que la compétence et la créativité prennent le dessus. Nous ne pouvons pas être une Serie A considérée comme un mouvement d'investissement, nous avons besoin de la compétence des managers et des entraîneurs. Je suis fier de dire que nous en avons eu la preuve avec Carlo Ancelotti, qui confirme que le Made in Italy reste le meilleur en Europe en termes d’entraîneur/manager." Inzaghi aura-t’ il à sa disposition toutes ces nouvelles recrues pour le début de la mise au vert ? "Oui, il aura ses nouvelles recrues, mais je ne connais pas encore leur identité : Mkhitaryan sera officialisé dans les prochains jours tout comme Onana. Nous évaluons un peu le tout, car nous voulons aussi valoriser nos jeunes Champions de Primavera d'Italie dans lesquels il y a tant de talents. Nous augmenterons le risque techniquement, mais nous savons que nous nous devons de compter sur les jeunes. Nous avons l'obligation de constituer une équipe hautement compétitive, car c'est notre devoir de le faire. Pour la reprise de la compétition, nous essaierons de mettre à la disposition d'Inzaghi une équipe qui ait l'apparence d’être hautement compétitive." Pouvez-vous rassurer les Tifosi pour Milan Skriniar. Est-ce que la Clé se nomme Bremer ? "C’est beaucoup plus difficile de remplacer un attaquant qu'un défenseur, car les premiers cités sont très peu nombreux et exiges des dépenses qui font peur: Il est fort probable que la Défense soit le secteur dans lequel nous serons obligés d'agir, mais avec Ausilio et Baccin nous sommes déjà en train d'émettre des hypothèses d'alternatives valables en cas de départ d'un de nos défenseurs. Bremer est un joueur de classe mondiale et de nombreuses équipes de haut niveau pourraient l'utiliser. Il est certain que toute notre attention est concentrée sur lui." Est-ce une semaine décisive pour Dybala et Lukaku ? C’est difficile d’apporter une réponse précise. Ce sont nos objectifs, mais nous devrons aussi faire avec la réalité économique: Je ne vous cache pas qu'on a sauté sur ces occasions car ils nous seront utiles. Si nous pouvons y parvenir, nous le ferons, sinon, nous passerons à d'autres objectifs. Ce n'est pas l'opération individuelle qui compte, mais c’est un travail d’équipe: Ce groupe représente une bonne valeur objective, à part Perisic qui est parti." Comment ça s'est passé avec Gnonto ? "C'est une plainte que je formule de manière concrète: En Italie, d'un point de vue législatif, l'instrument appelé apprentissage fait défaut. Nous sommes maintenant arrivés à ce constat qui permet aux joueurs atteignant l’âge de 16 ans de pouvoir partir à l'étranger sans salaire et de manière incontrôlée". Un défenseur partira : De Vrij, Skriniar ou Bastoni selon-vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Et si le bien-être de l’Inter passait par les Éternels rivaux qu’étaient Silvio Berlusconi et Adriano Galliani ? En effet, comme le révèle Tuttosport, Monza, le néo-promu en Serie A aurait jeté son dévolu sur plusieurs Nerazzurri. "En plus de Di Gregorio, déjà racheté, les deux clubs parlent de Pirola mais aussi et surtout de Stefano Sensi et Andrea Pinamonti. Pour l'attaquant, les Nerazzurri visent une somme proche de 20 millions à lui seul." Mais comme le révèle également Fcinternews: "L'Inter s’attend aussi à une vingtaine de millions d'euros de la vente de Stefano Sensi et Lorenzo Pirola à Monza. De plus, Michele Di Gregorio a déjà rejoint l'équipe lombarde sur une base permanente pour 4 millions d'euros après avoir été prêté ces deux dernières saisons." Mercato de feu Pour ses débuts en Serie A, Monza veut donc faire les choses en grand comme le prouve les déclarations cryptiques d’Adriano Galliani interviewé à ce sujet : "Lorenzo Pirola est un Italien né en 2002 et il est même originaire de la Brianza, donc il est vraiment d'origine contrôlée…Il rit" Stefano Sensi et Andrea Pinamonti ? "Voyons, ne citons pas de noms." Y-a-t’il des contacts directs avec l'Inter et le Milan pour le Mercato ? "Je ne le sais pas mais les relations sont excellentes, alors nous verrons. Je viens de prendre recruter un responsable pour le Secteur Technique : François Modesto. Je veux le faire travailler un petit peu." L’Inter aidée par le Cavaliere, vous y croyez ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Il Cavaliere fait son grand retour en Serie A avec la promotion de Monza et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a absolument rien perdu de sa superbe : "C’est une grande joie pour toute la Brianza qui est une des provinces les plus chères d’Italie et qui en son cœur une joie à laquelle elle n’aurait jamais songé." "En étant en Serie A, l’objectif est clair : Je vise le Scudetto et ensuite la Coupe des Champions, je suis toujours habitué à gagner et la promotion de Monza associé au Scudetto du Milan sont deux résultats qui me font du bien au cœur." Réaction de son éternel bras droit Adriano Galliani : "C’était une chevauchée pleine d’émotions, spécialement lors de ces dernières semaines : Monza-Milan sera riche d’incroyables émotions, même si mes enfants m’ont immédiatement demandé de battre l’Inter." L'impact de la montée sur l'Inter Grâce à cette montée, la Beneamata est déjà certaine de percevoir le rachat obligatoire de 4 millions d'euros du gardien Michele Di Gregorio, une clause imposée et activée justement, suite à la promotion des Biancorossi. Un autre joueur prêté à Monza pourrait faire rentrer plus d'argent dans les caisses d'Appiano Gentile, à savoir le défenseur Lorenzo Pirola qui fait déjà partie de l'Italie U-21. Mais dans ce cas, il est question d'un "droit de rachat" fixé à 7 millions pour le club de la Brianza. Reste à savoir s'il sera activé, mais il est bon de savoir qu'il existe également un "droit de contre-rachat" en faveur de l'Inter, pour un montant de 8 millions d'euros. Comme le révèle également Calciomercato.com, le premier gros coup du promu en Serie A pourrait être interiste: "Des contacts très avancés ont eu lieu pour s'attacher les services de Stefano Sensi, qui ne rentre pas et plus dans les plans de jeu de Simone Inzaghi. Le Milan n'est pas en reste vu que Galliani rencontrera également Maldini pour comprendre quels joueurs pourraient être bons pour Monza: Si le club de Berlusconi aime beaucoup Messias, attention aux noms de Colombo, Daniel Maldini, Caldara et Gabbia qui pourraient convenir à l'entraîneur Giovanni Stroppa." Défi accepté les potos ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Si Silvio Berlusconi était le Président du Milan Ac, pour recruter de très bons joueurs, il s’adresse tout de même à l’Inter! Révélation de la presse transalpine Selon Tuttosport: "Avec une poignée de millions d'euros , Monza va se retrouver avec des personnalités non-négligeables. La plus importante est celle du gardien de but Michele Di Gregorio, 24 ans, qui deviendra sa propriété via l’activation de l’obligation de rachat pour une somme d’environ 4 millions d’euros. De plus, l’Inter propose le milieu de terrain Stefano Sensi âgé de 26 ans qui si sa technique n’est pas remise en cause, fait défaut au niveau de sa forme physique. En conséquence, l’Inter souhaiterait s’attacher les services de Carlos Augusto en insérant l’international italien dans la transaction. Monza devra discuter avec l'Inter du droit de rachat du défenseur Lorenzo Pirola, âgé de 20 ans. En défense, on pourrait voir aussi Andrea Ranocchia, 34 ans, dont le contrat expirant en juin n’a pas été renouvelé." Selon Calciodangolo.com, Antonio Candreva serait également courtisé et une somme de 2,5 millions d’euros pourrait faciliter la transaction. Francesco Acerbi serait également dans le viseur. Selon Ilmessaggero.it, Mario Balotelli et Andrea Belotti sont dans le viseur. Enfin, l’enveloppe mercato communiqué par le site Forzamonza.it serait de 60 à 70 millions d’euros! Pensez-vous que Monza puisse être la révélation de la saison 2022/2023 et perdurer en Serie A, avec aux commandes le duo historique qui a multititré le second club de Milan ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Ceci est la traduction de ''The Heartbreak of Ronaldo at Internazionale'' par Blair Newman (non, rien à voir avec Victor) paru sur le site These Football Times le 18/09/2018. L'article retrace le bref passage de Ronaldo chez nous. Ronaldo était plus force de la nature que footballeur. Il était un dribbleur irrépressible, un coureur puissant et un finisseur d'une précision infaillible. En Italie, le terme « fantasista » est strictement réservé aux meneurs de jeu, mais il s'appliquait aussi à cet attaquant brésilien, qui était une pure fantaisie. En effet, sa combinaison de vitesse fulgurante et de carrure trapue était quelque chose que l'on ne voyait généralement que dans la réalité virtuelle. Il était l'attaquant PlayStation que chaque joueur a créé, à un moment ou à un autre, juste pour nous faire sentir ce que cela ferait d'être aussi aussi imparable sur un terrain. Les opposants ne pouvaient que regarder et espérer, les défenseurs étaient rendus obsolètes. Ronaldo, à son apogée, était une hallucination collective d'un football devenue réalité. Cependant, le 12 avril 2000, il avait l'air terriblement humain. Après des mois d'absence pour cause de blessure, il est revenu sur le terrain ce jour-là afin d'essayer de renverser un match. L'Inter Milan menait la Lazio par deux buts à un lors du match aller de la finale de la Coppa Italia et ils avaient besoin de leur superstar. Mais, alors qu'aucun simple marqueur ne pouvait l'empêcher de marquer, seul son propre corps le pouvait. Ronaldo a cherché à courir vers la défense de la Lazio. Les attentes ont augmenté alors que cette icône, cette force irrésistible, a commencé à prendre de l'ampleur. Le ballon était, collait à ses pieds et la surface de réparation était proche, ce qui signifiait, selon toute vraisemblance, qu'un but se profilait à l'horizon. Pour les fans de l'Inter, ces moments étaient porteurs d'espoir. Mais dès que les rêves d'un égaliseur sont apparus, ils se sont à nouveau évanouis au milieu d'un spectacle déchirant. Après avoir fait signe de tourner à droite, le genou droit de Ronaldo s'est plié. Il tomba rapidement au sol en serrant sa jambe droite, pleurant de douleur. Immédiatement, les joueurs de la Lazio qui, quelques secondes auparavant, l'avaient craint ont cherché à l'aider, agitant les bras en l'air pour une assistance médicale. Alors que Ronaldo a été emporté sur une civière, l'espoir des Interisti a été définitivement anéanti. L'Inter a perdu 2-1. Le Milan était l'équipe à battre en Italie du début au milieu des années 1990. Après avoir conservé la Coupe d'Europe en 1990 sous Arrigo Sacchi, Fabio Capello a pris les rênes en 1991 et a mis en place un style de jeu fonctionnel mais passionnant qui les a vus remporter trois Scudetti successifs et démanteler la Dream Team du Barcelone de Johan Cruyff 4-0 en 1994. Et, après un titre de la Juventus de Marcello Lippi en 1995, ils sont revenus au sommet de la hiérarchie de la Serie A l'année suivante. Non seulement le Milan de Capello avait l'une des meilleurs défenses de tous les temps, composée de Franco Baresi et Paolo Maldini, mais ils ont été douchés de stars étrangères grâce aux millions de Silvio Berlusconi. Marcel Desailly patrouillait sans relâche au milieu de terrain, Zvonimir Boban créait et Dejan Savićević faisait sa magie entre les lignes. Les Rossoneri avaient tout pour plaire, et leurs grands rivaux citadins ne pouvaient que les regarder avec envie. L'Inter était «l'autre» équipe milanaise pendant cette période, leur forme vacillant de manière erratique alors qu'ils rebondissaient de course au titre au néant du milieu de tableau avec une vitesse déconcertante. Cependant, en 1995, Massimo Moratti est devenu président du club et, dans le but de rajeunir ce géant malade (rappelons qu'on a failli descendre en 1994, ndlr), a dépensé beaucoup d'argent sur le marché des transferts. Paul Ince a été l'un des premiers à arriver, signant de Manchester United, et au cours des deux années suivantes, l'Anglais a été rejoint par un cortège de nouveaux joueurs passionnants. L'Inter a fait venir Youri Djorkaeff, Iván Zamorano, Aron Winter, Nwankwo Kanu , Benoît Cauet et Diego Simeone dans leurs tentatives de concourir à nouveau pour le Scudetto. Et puis il y a eu Ronaldo. À seulement 20 ans, le Brésilien était déjà de renommée internationale au moment où l'Inter a payé des frais de transfert record de 13,2 millions de livres sterling pour l'emmener de Barcelone en juin 1997. Dans toutes les compétitions au cours de son année avec les géants catalans, il a marqué 47 buts en 49 matchs, s'appuyant sur les 54 en 57 sorties du PSV Eindhoven au cours des deux années précédentes. En plus de cela, il avait été couronné Joueur mondial de l'année de la FIFA en 1996, devenant ainsi le plus jeune détenteur de ce prix. Ronaldo n'était pas simplement une signature; il était une déclaration. À une époque où bon nombre des meilleurs joueurs du monde entier se retrouvaient en Serie A, les meilleurs avaient choisi l'Inter comme prochaine destination. Le malheur était passé, la morosité était levée. Moratti avait financé l'accord pour mettre fin à l'attente, l'Inter ne serait plus "l'autre" équipe de Milan. Ils ne ressentiraient plus le besoin de maudire Berlusconi. Les rôles, semblait-il, tournaient. Les six premiers mois ont été étonnamment prévisibles, ce qui est étrange pour l'Inter. Ronaldo a marqué des buts. Et l'Inter a gagné des matchs, régulièrement. Les Nerazzurri sont restés invaincus lors des 12 premiers matches de 1997-1998 et, à mi-parcours de la saison, avaient un point de retard sur la Juventus dans la course au titre. De plus, ils avaient battu leurs rivaux turinois au Meazza grâce à une frappe de Djorkaeff. Le fournisseur du but? Ronaldo ! Ignorant Paolo Montero et évitant Ciro Ferrara, son centre a laissé son coéquipier français avec la plus facile des finitions. Luigi Simoni, nommé entraîneur-chef à l'été 1997, avait galvanisé l'équipe, construisant une unité de contre-attaque rapide et réactive avec Ronaldo comme centre d'attaque. "Il Fenomeno" était le seul joueur de l'Inter chargé de ne pas s'occuper de la phase défensive, agissant comme un phare pour les transitions offensives de l'Inter avec son rythme, sa force et sa course agressive. L'adaptation si rapide de Ronaldo aux limites tactiquement détaillées et défensivement résolues du calcio était remarquable, tout comme sa capacité à réaliser les fantasmes d'un club, propriétaires et fans inclus, qui aspirait si désespérément à une période de succès. Sa prise en charge du fardeau était d'autant plus impressionnant compte tenu du calibre de ceux qui avaient échoué avant lui; lorsqu'il a conservé son statut de joueur mondial de l'année de la FIFA en 1997, il a vu la concurrence de Roberto Carlos et Dennis Bergkamp, deux anciens joueurs de l'Inter qui ont connu une meilleure fortune personnelle après avoir quitté le club. Après une mi-saison mouvementée, les hommes de Simoni ont remporté six matches de championnat consécutifs, Ronaldo marquant dans chacun. Cette séquence de forme comprenait une victoire 3-0 sur Milan au cours de laquelle le joueur a trouvé le chemin des filets avec un superbe lobe. Ce fut l'un des nombreux moments exceptionnels de son superbe premier mandat. Mais, cruellement, la première saison de Serie A de Ronaldo et de l'Inter se terminerait dans l'acrimonie plutôt que dans la célébration. Essentiellement, la course au Scudetto s'est résumée à un match : le Derby d'Italie entre la Juventus et l'Inter. Ils se sont rencontrés au Stadio delle Alpi avec quatre matches à jouer et avec un seul point les séparant au sommet de la Serie A. Les tensions étaient fortes tout au long du match alors que des défis robustes et de jolis plongeons ont ponctué ce choc spécial des titans du football italien; Simeone a été clouté par Edgar Davids, tandis que Ronaldo a été à plusieurs reprises nié du ballon par des marqueurs intransigeants. Alessandro Del Piero a donné l'avantage à la Juventus en première mi-temps avec un beau tir. Cela a forcé une riposte de l'Inter, qui savait que la défaite signifierait un écart de quatre points. Mais, malgré tous leurs efforts, un but égalisateur ne viendrait pas. Et, à seulement 20 minutes de la fin, il y a eu une éruption de controverses. Ronaldo, faisant irruption dans la surface de réparation de la Juventus, a été mis en échec sans pitié par Mark Iuliano après avoir poussé le ballon au-delà du défenseur central italien. Mais le penalty n'est pas venu. L'arbitre Piero Ceccarini a laissé le match se poursuivre et, alors que l'équipe locale lançait une contre-attaque, il s'est retrouvé à fuir les protestations bruyantes. Quelques secondes plus tard, il a sifflé, cependant, pointant vers l'endroit après que Del Piero ait été stoppé par un coup de pied inopportun de Taribo West. Simoni et ses joueurs ont eu du mal à contenir leur indignation et, même si le pénalty a été sauvé par Gianluca Pagliuca, le sentiment d'avoir été trompé s'est poursuivi alors que la Juventus a remporté le match et, par la suite, a remporté le titre. Loin des affaires intérieures controversées, Ronaldo a ébloui la compétition continentale, aidant l'Inter à la finale de la Coupe UEFA où il a battu la Lazio à lui tout seul. Il était injouable pour l'équipe romaine, frappant la barre avec un tir de loin avant de sceller une victoire 3-0 après avoir tranquillement contourné Luca Marchegiani pour marqué dans le but vide. Pourtant, malgré la finale victorieuse, la saison 1997-1998 de l'Inter a été imprégnée d'un sentiment d'injustice. Qu'est-ce qui aurait pu être ? C'est la question que tous les fans de l'Inter doivent se poser en silence lorsqu'ils réfléchissent aux années Ronaldo. Sa première campagne avait été enivrante. Même les défenses italiennes les plus acharnées se sont retrouvées dans son sillage. Son style de dribble, une avalanche d'enjambements, de feintes, de rebondissements exécutés d'un coup et à la vitesse de l'éclair, était envoûtant. Son explosivité était une véritable merveille, mais même alors, son corps était apparemment dans une lutte constante pour se suivre. En 1998-1999, les blessures ont commencé. Il n'a joué que 28 fois et marqué 15 buts, soit moins de la moitié de ce qu'il avait réussi lors de son premier voyage en Serie A. L'Inter a glissé à la huitième place du championnat. Les entraîneurs allaient et venaient, et une normalité décevante a repris. Ronaldo s'est rompu un tendon au genou droit le 21 novembre 1999 lors d'un match de championnat contre Lecce. Il est parti déterminé à revenir plus fort, mais à ce stade, le poids des espoirs du club, l'éclat des médias et les accords de sponsoring lucratifs étaient trop lourds à gérer. Il est revenu lors de la finale de la Coppa Italia 2000, émergeant avec impatience du banc des remplaçants, suppliant son corps de se conformer à ses exigences. Mais sa remontée d'un enfer très personnel n'a duré que sept minutes. Écrasé par l'une de ses propres feintes, il y avait un désespoir troublant dans le traumatisme du joueur. Auparavant, le nom de Ronaldo évoquait une aura féroce. Le monde avait regardé avec impatience chacun de ses contacts. Maintenant, le monde regardait toujours, mais cette fois avec horreur. Il était enclin, il était fragile et, à 23 ans, son avenir était incertain. D'innombrables opérations ont suivi dans le but de le ramener à son meilleur niveau, mais il manquerait l'intégralité de la saison 2000-2001 alors que l'Inter terminait cinquième. Ronaldo remonterait, mais pas avec l'Inter. Et l'Inter finirait par mettre fin à sa longue attente d'un Scudetto, mais pas avec Ronaldo. Le partenariat entre le joueur et le club a finalement été une attente insatisfaite mais, ne serait-ce que pour une courte période, il a produit des résultats spectaculaires. Nous sommes le 3 mars 1998 et Ronaldo est là où il aime être: la surface de réparation adverse. C'est le quart de finale aller de la Coupe UEFA et l'Inter affronte Schalke. Johan de Kock regarde attentivement, se chuchotant sans doute : « Gardez les yeux sur la balle ». Olaf Thon arrive pour aider son coéquipier. Ronaldo voit venir l'Allemand et récupère le ballon. De Kock sort une jambe gauche effrayée, mais Ronaldo traîne à nouveau le ballon hors de vue. Puis, avec Thon empiétant par derrière, il muscade de Kock. Trois secondes, trois mouvements subtils, deux défenseurs sans ballon. Ronaldo continue. Les fans de l'Inter regardent avec espoir. Traduction alex_j via thesefootballtimes.co.
  19. En effet, Selon Carlo Festa, le célèbre journaliste toujours bien informé d’Il Sole 24 Ore, Suning a revu sa position vis-à-vis de l’Inter: "Actuellement, si une offre de 700 millions d’euros arrive, les Zhang s’en iront, Ils n’ont jamais été aussi mal en point avec leur propre groupe" Pif ou Hercule ? "Que Pif souhaite investir dans le football européen est connu. Qu’il soit dans une négociation avancée avec Suning pour l’Inter, je n’ai pour l’instant pas de nouvelles ou de retour, Cela me surprendrait, mais si une offre correcte est présentée, Suning partira." S’offrir l’Inter reviendra aussi se livrer dans l’un des douze travaux d’Hercule tant Suning s’est toujours montré réticent à la vente totale du club: Mais selon Zuheir Shammasi, journaliste au Al Yaum, l’un des journaux parmi les plus célèbres d'Arabie Saoudite, le Colosse chinois serait en négociation pour céder la moitié de ses actions: “Suning est en négociation avancée pour céder la moitié de ses actions de l’Inter. Je ne suis pas encore capable de vous informer auprès de quel Fonds ou auprès de quel pays ce Fonds siège. Je ne peux pas vous dire s’il se trouve ou pas en Arabie Saoudite. Je veux être juste et claire: L’information que j’ai est que la négociation est continue, Suning va vendre la moitié des actions en sa possession, soit 35% de son pack d’actions étant donné qu’il en possède 70%." Démenti pour la forme du Club ? En effet, ce n’est pas la première fois qu’une telle information est lancée, et surtout, la précédente relative à l’arrivée d’un fonds d’investissement pour aider l’Inter s’était finalement avérée exacte ! Selon la Repubblica, "Au Quartier Général Nerazzurro, les nombreuses informations sont considérées par de nombreuses personnes comme un canular. Que le Fond saoudien Pif serait prêt à rentrer dans le Capital de l’Inter fait rêver beaucoup de supporter à coup de Mercato lié à des centaines de millions d’euros." "Cette information a circulé sur les comptes Twitter de journalistes et d'initiés arabes qui s'occupent de football et de finances. Mais vu de Milan, cette perspective semble pour l'instant plus un mirage qu'une possibilité concrète. En fait, il n'y a pas eu de contacts récents entre la propriété chinoise de l’Inter et d'éventuels investisseurs du Moyen-Orient" confirme aujourd'hui la Repubblica. Pif vraiment hors course ? "Ce n'est pas un secret : le fonds saoudien Pif, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 430 milliards en 2020, investirait volontiers dans le football européen. Avant que le Chinois Yonghong Li ne devienne président du Milan AC en 2017, des cadres du fonds souverain saoudien ont été reçus à Arcore par Silvio Berlusconi pour recueillir des informations sur le club." "Et des émissaires de son Altesse Royale Mohammad bin Salman ont tenté l'an dernier d'acheter Newcastle en Premier League, en proposant 332 millions d'euros sur la table, mais ils ont dû se retirer face à la réticence politique du système de football anglais. Pif ne souhaiterait donc pas renouveler une pareille expérience, du moins pas dans l’immédiat et sous cette formule. Au lieu de présenter un retour positif à la suite de l’acquisition d’un club reconnu, l’acquisition avortée de Newcastle a dévié sur les violations des Droits de l’homme par l’Etat arabe." Est-ce que cela veut dire que les Saoudiens ne tenteront jamais de s’offrir l’Inter ? "Non, bien sûr que non. Mais il est peu probable qu'ils le fassent à très court terme", souligne la Repubblica. Le chant du Cygne ? "En effet, l’'aventure de Suning à la tête de l'Inter pourrait être de courte durée. Le géant chinois fait face à une grave crise financière impliquant de nombreux milliardaires chinois. L'effondrement d'Evergrande a également de fortes répercussions sur la Famille Zhang, déjà aux prises avec une crise financière liée à la stabilité du groupe Suning." "Selon l'estimation de ceux qui ont étudié en profondeur les comptes de l'Inter, via le prêt Oaktree obtenu dans l’année, le Groupe est obligé de recapitaliser! Une recapitalisation comme il ne l’a jamais fait les précédentes années: Il se retrouve dans l’obligation de faire entrer de nouveaux actionnaires ou de vendre le club dans son intégralité afin d’être dans la capacité d’honorer les prêts existants et de garantir en même temps la continuité de la gestion du Club et de son projet sportif, qui a conduit l'Inter à se qualifier régulièrement pour la Ligue des Champions au cours des trois dernières saisons et à remporter le dernier Scudetto." Qui dispose de tels finances ? "Les fonds d’investissements!" confirme la Repubblica. Un puits sans fonds "En plus de la réduction de la moitié des recettes du stade liée à la pandémie du Covid, les intérêts que l'Inter doit payer aux créanciers pèsent sur la gestion ordinaire. Chaque année, plus de 40 millions d'euros sont versés en intérêts. Le fonds américain Oaktree qui a octroyé un emprunt à Suning, et non à l’Inter, soit les 275 millions d’euros à la Holding qui contrôle le club a négocié à un taux d’environ 9%." "Le club est directement lié par ses deux obligations : La première est une obligation de 300 millions à un taux de 4,8 % et la seconde est une obligation de 75 millions, à honorer avec un intérêt de 6 %. Les deux expirent et seront relocalisés sur le marché en décembre prochain. À moins de miracles, les taux futurs seront au moins en ligne avec ceux d'aujourd'hui", écrit encore Repubblica. Le Giuseppe Meazza "Gagner du temps est nécessaire à Suning pour arriver à la signature du nouveau contrat pour la construction du nouveau stade du quartier de San Siro, qui est détenu en copropriété avec le Milan : En paraphant tous les contrats pour la nouvelle enceinte, avec le développement immobilier connexe de sa zone urbaine, les Zhang en vendant l’Inter environ 700 millions d'euros, pourraient ainsi récupérer au moins une partie des investissements qualifié de non-performants réalisés jusqu'à présent." Un Hara-kiri lorsque l’on repense que la BC Partners était prête à verser entre 800 et 850 millions d’euros ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Selon FcInter1908.it, si Monza ne monte pas en Serie A, l'Inter pourrait perdre 17M€. L'équipe de Cristian Brocchi semble pratiquement certaine de perdre sa demi-finale de barrage de Serie B contre Cittadella, après avoir perdu son match aller 3-0. Selon FcInter1908.it, Monza a deux joueurs de l'Inter en prêt qu'ils aimeraient signer, à savoir Michele Di Gregorio et Lorenzo Pirola. Cependant, ils sont beaucoup moins susceptibles de faire ces investissements s'ils ne bénéficient pas d'une promotion, ce qui causerait un autre mal de tête à l'Inter alors qu'il faut équilibrer les comptes. Di Gregorio a rejoint Monza l'été dernier en prêt, mais le club de Silvio Berlusconi a la possibilité de rendre ce transfert permanent pour 7 M€ cet été. L'Inter a une contre-option si elle souhaite signer à nouveau son gardien de but, mais étant donné les problèmes financiers du club, cela ne se produirait pas. Pirola a signé pour Monza un prêt d'une saison sans option d'achat, mais l'Inter devra discuter avec les Biancorossi à la fin de la saison pour discuter de l'avenir du défenseur. Monza était prêt à faire une offre de 10 M€ pour signer le joueur de 19 ans, laissant à l'Inter une option de rachat sur Pirola pour les saisons à venir. L'Inter aurait pu sécuriser des ressources vitales sur le marché des transferts en se délestant de Pirola et Di Gregorio, tout en enregistrant de saines plus-values. Cependant, il semble que ce ne sera pas possible et ils devront trouver des moyens alternatifs de lever des fonds, à moins que Monza n'effectue un renversement miraculeux ce Jeudi.
  21. C’est une information communiquée par la Gazzetta Dello Sport : Giuseppe Marotta, positif au Covid-19 a été hospitalisé par précaution. Le transfert ayant été conseillé par le Responsable médical de l'Inter Piero Volpi, par mesure de précaution. Si sa santé s’améliore, l’Administrateur-Délégué a été hospitalisé à l’Istituto Humanitas di Rozzano. Pour rappel, Il Padrino a été confirmé positif, tout comme Alessandro Antonello, le Directeur Sportif Piero Ausilio, l’avocat Angelo Capellini et un membre du staff technique. Dario Baccin a été confirmé également positif, la semaine suivante. A noter qu’Adriano Galliani, historique bras droit de Silvio Berlusconi, a également été hospitalisé. Internazionale.fr souhaite un bon rétablissement à tous les concernés, ansi qu'à ceux qui sont également inconnus, mais impacté par cette pandémie! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. L’ancien Président Historique du Milan Ac, et actuel Président de Monza, Silvio Berlusconi, s’est livré à Sky Sport à quelques jours du Derby Della Madonnina! "Je vous le dis, ces deux trois derniers mois, il m’est arrivé de regarder les rencontres de l’Inter et de me retrouver, sans le vouloir, comme milanais à supporter l’Inter. Je crois que c’est quelque chose de très naturel pour celui qui aime sa ville : Regarder l’Inter et l’avoir en sympathie, espérer qu’elle puisse faire un bon résultat, tout cela est d’une résultante naturelle." "Naturellement lors du Derby Milan-Inter, mon cœur sera pour le Milan car il est Milaniste." Donneriez-vous un conseil à Pioli ? "Peut-être que je lui téléphonerai" Est-ce que Monza pourrait être le futur d'Ibrahimovic ? "Il doit terminer sa belle carrière de joueur et je lui conseille de la terminer au Milan." Qui dit Silvio Berlusconi, dit également Adriano Galliani L’éternel bras droit armé de Silvio s’est livré également à Sky Sport sur son Monza et sur le Derby à venir: "Monza a été créé pour monter en Serie A, même si dans le sport rien n’est acquis. On parle tellement de la dernière défaite face à Pise, mais on oublie le fait que nous avons également engendré 7 points lors de nos trois derniers déplacements à l’extérieur. Nous sommes seconds et cette défaite est juste un épisode unique." "Milan est une équipe importante qui s’est renforcée, avec un organigramme de premier ordre." Peut-elle remporte l’Europa League ? "Je l’espère: Le week-end dernier était très triste, mon cœur est resté Rossonero. J’ai souffert lors de la défaite face à Spezia. Mais je remercie le Milan et l’Inter de nous offrir un Derby entre les deux premiers du classement." Que ferez-vous prochainement ? "Je compte réussir à faire trois choses : Aller à Vérone pour soutenir Monza, puis dimanche supporter le Milan et enfin partir à Rome pour l’élection du Président Fédéral qui aura lieu lundi matin." Le Saviez-vous ? Pioli alignera seulement quatre joueurs titulaire pour faire face à l’Etoile Rouge de Belgrade. Si celui-ci s’attend à une réaction après la défaite face à Spezia, il ne peut pas, selon Sport Mediaset, ne pas penser au Derby dimanche face à l’Inter qui est bien trop proche ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Le Corriere Dello Sport s’est penché sur la situation de l’entraineur Nerazurro suite à l’incident de l’Allianz Stadium Pour ce faire, le Corriere Dello Sport est revenu sur une scène en particulier, celle où Andrea Galliani s’était présenté à l’Inter en vue d’un match amical opposant l’Inter à Monza. Pour rappel, lorsqu’il était en poste au Milan, l’Administrateur Délégué avait tenté de l’enrôler lors de l’ultime période de l’Ere Berlusconi, une période où le Milan perdait de son appeal "Antonio se présente, pour ce match, face à un club qui aurait pu être le sien et grâce au doigt montré la semaine dernière aux dirigeants de la Juve, il est vu comme un interiste de la tête aux pieds, même si une frange des tifosi Nerazzurri ne lui pardonne pas son passé tienté de blanc et noir." Pensez-vous qu’Antonio Conte, à l’instar de Steven Zhang, est tombé sous le charme de la Beneamata ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Le quotidien turinois Tuttosport s’est livré sur l’analyse des deux clubs milanais à un peu plus de 24 heures du Derby Della Madonnina. D’un côté nous avons l’Inter gérée par Suning après les départs d'Erick Thohir et de Massimo Moratti. De l’autre, le Milan Ac géré par le Fonds Eliott suite aux problèmes financiers d’Yonghong Li qui avait racheté le club à Silvio Berlusconi. Deux puissances mais deux réalités différentes L'Inter Suning a tiré vers le haut les revenus, en culminant lors de la saison 2018-2019, à 471 millions d’euros. En quatre années, le chiffre d’affaire de l’Inter a plus que doublé : passant de 187 millions d’euros à son arrivée, pour franchir le pallier des 400 millions d’euros. Il s’agit d’une croissance importante qui a été également favorisé par le retour en Ligue des Champions, une augmentation des recettes et des revenus commerciaux en provenance de Chine. Ceux-ci, figurant dans le carnet d’adresse du propriétaire chinois, ont rapporté à l’Inter environ 100 millions d’euros par an. Toutefois, ces derniers mois des contrats avec certaines maisons de courtage qui sponsorisent l’Inter ont fait l’objet d’une résolution à hauteur de 35 millions d’euros. Il y a lieu également de prendre en considération l’impact du Coronavirus sur les comptes financiers, plombant d’une centaine de millions d’euros les comptes financiers. Une situation de recul qui a impacté tous les clubs de Serie A, étant donné qu'il y a deux ans, le bilan présentait un passif légèrement inférieur à 18 millions d’euros. II y a trois mois, le club a émis des obligations à hauteur de 75 millions d’euros. Milan Eliott s’est attelé à principalement nettoyer l'ardoise, soit les dettes. A commencer par celles retranscrites, lorsque le club a été vendu par Silvio Berlusconi: 123 millions d’euros, auquel il faut ajouter les dettes accumulées par la précédente propriété. Le Milan Ac n’est pas encore parvenu à atteindre le palier d’un chiffre d’affaire ferme à 200 millions d’euros , car il ne perçoit plus les revenus en provenance de la Ligue des Champions depuis longtemps, sans oublier qu’aucun sponsor significatif n’est arrivé. L’ultime bilan financier du club fait état d’un passif à hauteur de 195 millions d’euros. Rivaux mais alliés L’Inter et le Milan souhaitent continuer à kokoter ensemble dans un nouveau stade. Si l’enceinte vient à voir le jour, elle garantira à minima 70 millions d’euros pour chaque club. Et dire qu'a l'époque de la mise en vente des deux clubs, le Milan n'avait pas jugé assez "fiable" le Groupe Suning..... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. C’est la question que s’est posée le site Money.it qui a réalisé un état des lieux à la fin de l’été: Si, à la base, il suffit d’analyser les bilans financiers des équipes pour comprendre les dépenses soutenues par un club, nous sommes forcés de constater que la plupart des équipes sont détenues par un propriétaire étranger. Le cas le plus récent étant celui de la Roma racheté par Dan Friedkin L’époque où l’on voyait les clubs détenus par des familles est révolue. Il ne reste plus qu’Agnelli à la tête de la Juventus depuis les départs de Massimo Moratti et Silvio Berlusconi, même si l'ancien politicien est devenu propriétaire de Monza, néo-promu en Serie B Les équipes italiennes sont à présent gérées par des colosses étrangers ou des fonds d’investissements. Toutefois, on retrouve certaines figures italiennes présidentielles. Si celles-ci sont les plus romantiques et traditionnelles aux valeurs d’appartenances du Calcio, il faut remarquer qu'il s'agit Des plus riches entrepreneurs italiens Tableau des patrimoines personnels attribués aux Présidents des 20 clubs de Serie A En cette époque marquée par la pandémie du Covid-19, la solidité du propriétaire d’une équipe de football s’avère fondamental pour en garantir sa stabilité. Andrea Agnelli est considéré comme le président le plus riche grâce à Exor, qui représente le coffre-fort familial. Immédiatement derrière lui, on retrouve Steven Zhang, le Jeune Président de l’Inter peut compter sur les 8,2 milliards de dollars du patrimoine de son père Jindong Zhang, à la tête de Suning. Rocco Comisso, qui a quitté les Etats-Unis pour Florence, dispose d’un patrimoine de 5,5 milliards de dollars, il souhaite réaliser de meilleurs performances à la tête du club florentin que son prédécesseurs, les Frères Della Valle. Joey Saputo, qui se trouve au Canada, dirige un empire dans le domaine laitier. Président de Bologne et du Montréal Impact, il dispose d’un patrimoine supérieur aux 5 milliards de dollars. Toujours aux Etats-Unis, on retrouve le Fonds Eliott qui gère le Milan Ac. Paul Singer , qui est l’un des hommes d’affaire parmi les plus importants et puissants du mondedispose d’un patrimoine personnel de 3,2 milliards de dollars. Le regretté Giorgio Squinzi, le fondateur de Mapei, après avoir quitté le monde cycliste a permis à Sassuolo, alors en équipe d’amateurs de rejoindre l’Europe. Sa famille est accréditée d’un patrimoine estimé à 2,6 milliards d’euros. Les néo promus de la Serie A : Benevento et Spezia, sont également entre les mains de deux propriétaires solide : Oreste Vigorito présente un patrimoine de 5 milliards d’euros tandis que Gabriele Volpi dispose de 3 milliards d’euros. Aurelio De Laurentiis du Napoli et Giampaolo Pozzo de l'Udinese font figure de petit poucets avec respectivement, 200 et 146 millions d’euros. Silvio, patron de la Serie B Silvio Berlusconi, n’est plus une personnalité à présenter. A la tête de Monza en Serie B, celui qui a fait parler lors de la cession du Milan Ac au chinois Li Yonghong est, selon Forbes, à la tête de l’un des meilleurs patrimoine de l’antichambre de l’Elite italienne : 5,8 milliards de dollars. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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