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  1. En effet, après 27 journées de championnat, le classement révèle que l’Inter se retrouve à la troisième place de la Serie A avec 50 points obtenus via 16 victoires, 2 matchs nul et 9 défaites, dont deux consécutives face à la Spezia et face à la Juve pour 47 buts inscrits contre 31 buts encaissés. Révélation de Fcinternews.it "Ces statistiques font réfléchir sur le courant alternatif de la saison proposé par Lautaro&Cie et plus spécialement si on les compare à la dernière décennies, toujours après 27 journées de Serie A: Pour retrouver quelque chose de pire, il faut retourner jusqu’à la saison 2013/2014 lorsque les Nerazzurri proposaient 44 points en Serie A pour un total de 44 buts inscrits et 29 encaissés, avec une 5ème place au classement avec 60 points obtenus, l'année suivante, l’Inter proposait 37 points pour 42 buts inscrit et 35 buts encaissé. Avec quel résultat ? une 8ème place avec 55 points obtenus." "En 2015/2016, l’Inter parvenait à terminer à la 4ème place de Serie A avec une récolte de 67 points et 48 points obtenus après 27 journées pour 34 buts marqués et 25 encaissés. En 2016/2017, les points en poche, à la même période, de la saison étaient de 51 points pour 46 buts marqués et 28 encaissés combinés à une 7ème place et 62 points obtenu sur l’ensemble de la saison, soit une nouvelle saison décevante." "La situation s’améliorera nettement mieux en 2017/2018 avec l’arrivée sur le banc de Luciano Spalletti et la qualification pour la Ligue des Champions lors de la fameuse confrontation directe de la dernière journée au dépend de la Lazio et le fameux ‘L'ha presa Vecino" avec 72 points en poche et une quatrième place. Toutefois à la 27ème journée, les points récoltés étaient de 52 (soit deux de plus que ceux récoltés actuellement) pour 42 buts inscrits et 21 encaissés. La saison suivante voit l'Inter s'offrir à nouveau la quatrième place avec 69 points en 2018/2019 et 50 points récoltés avec 40 buts inscrit pour 22 encaissés après 27 journées." "En 2019/2020, l’arrivée d’Antonio Conte offre à l’Inter une seconde place avec 82 points et 58 points d’engrangé après 27 journées pour 54 buts inscrits et 28 encaissés alors que l’année du Scudetto remporté avec 91 points proposera une tendance totalement différentes avec 65 points après 27 journées pour 65 buts inscrit et 26 encaissés." "Place enfin au passé très récent et la saison dernière de Simone Inzaghi où l’équipe est arrivée seconde avec 84 points et 55 points récoltés après 27 journées pour de championnat. Pour 56 buts inscrits (9 de plus comparé à maintenant) et 24 encaissés (7 de moins qu’actuellement): Cette dernière statistique doit inviter à un changement de cap immédiat car le mois d’avril s’annonce enflammé avec une saison tout entière remise en question." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Dimanche, nous avons traduit et publié la première partie de l'interview exclusive de SempreInter.com avec notre légende Gianluca Pagliuca. Aujourd'hui, nous publions la traduction de la deuxième partie, une conversation approfondie sur les sujets les plus brûlants concernant l'Inter Milan. Gianluca Pagliuca pense qu'Onana était l'homme du match contre Porto en Ligue des champions. "Contre Porto, à mon avis, il était le meilleur joueur sur le terrain. J'ai vraiment beaucoup aimé sa prestation. Le sentiment de sécurité qu'il diffuse, sa distribution de balle, sa rapidité, les arrêts décisifs, en particulier ceux qui semblent faciles mais qui sont en réalité très difficiles, lorsque la balle rebondit devant vous. Il a vraiment bien fait, il m'a donné un sentiment de sécurité. Il a fait un match fantastique." Si une grosse offre d'argent arrivait pour Onana, le vendriez-vous ? Et signeriez-vous quelqu'un comme Guglielmo Vicario d'Empoli à sa place? "Vicario est un très bon gardien, il sera le gardien le plus sollicité du mercato. Cela dit, si un club étranger arrive et offre 100 millions d'euros, l'Inter ferait bien de le vendre [Onana]. Sinon, à moins qu'une énorme offre d'argent n'arrive, je pense que l'Inter le gardera." Simone Inzaghi a été très critiqué pour la rotation des gardiens de but, Samir Handanovic remplaçant parfois André Onana. Pagliuca pense que le gardien slovène jouera en Coppa Italia ainsi que dans le match hors Serie A. "Si j'ai bien compris la mentalité d'Inzaghi, Handanovic jouera en Coppa Italia et quelques matches en Serie A. Il [Handanovic] donnera toujours des performances satisfaisantes mais la décision du club est claire. Handanovic a fait des choses extraordinaires [dans sa carrière]. Il n'est plus ce qu'il était mais il reste un gardien aguerri. C'est normal qu'il joue dans la Coppa Italia." Peut-être que Handanovic terminera sa carrière à l'Inter en remportant la Coppa Italia ? "Je lui souhaite ça. Il méritait après de nombreuses années à l'Inter de remporter des trophées, comme le Scudetto il y a deux ans. Il aurait également pu gagner la Serie A la saison dernière, mais au final, les Nerazzurri ont remporté les coupes nationales et non la Serie A." Alors que Napoli fonce pour le Scudetto cette saison, l'objectif principal de l'Inter en championnat est de terminer dans le top 4, ce que Pagliuca pense qu'elle fera. "Je pense que oui [l'Inter finira dans le top 4 de la Serie A. Je dirai aussi ceci, je pense que la Juventus le peut aussi malgré sa pénalité de 15 points. Ils [Juventus] sont une équipe en forme qui se remet sur les rails. Les Bianconeri font également partie des favoris pour remporter la Ligue Europa." Pendant ce temps, les Nerazzurri verront le Benfica pour les quarts de la Ligue des champions, un tirage qui, selon Pagliuca, permet à l'Inter de rêver de gloire européenne sans sous-estimer aucun de ses adversaires. "C'est un bon tirage [pour l'Inter]. Mais Benfica est une équipe très dangereuse et c'est une très bonne équipe qui peut aller jusqu'au bout dans cette compétition. Cela dit, si j'étais l'entraîneur de l'Inter, j'aurais choisi de jouer contre Benfica ou Chelsea. Ensuite, si vous passez, vous jouez à Naples ou à Milan, ce qui signifie que vous évitez le Real Madrid, Man City et le Bayern Munich. Le tirage au sort s'est très bien passé même si ce sera très dur et il faut le redire. Les deux fois où l'Inter a affronté le Milan en Ligue des champions, elle a été éliminée. Le Napoli est une équipe que nous connaissons tous, qui domine en Italie et qui est dévastatrice. Mais cela dit, bien sûr, vous pouvez rêver grand, aussi parce que l'autre moitié est beaucoup plus compliquée. Je me souviens qu'au fil des années, une équipe a parfois remporté la Ligue des champions comme celle-ci. Alors bien sûr, il est décisif d'être en forme au bon moment. En ce moment, l'Inter connaît un déclin dans toutes les compétitions auxquelles elle participe. Mais maintenant, le véritable objectif, en plus de terminer dans le top 4, est d'essayer d'aller jusqu'au bout en Ligue des champions ainsi qu'en Coppa Italia." Traduction alex_j via Sempreinter.
  3. C'est une révélation de Tuttosport: L'avenir de Simone Inzaghi dépendra essentiellement des résultats du mois d'avril : "L'Inter joue le tout pour le tout en championnat dont l'objectif fondamental est de se maintenir dans le top 4 , sans oublier la possibilité de poursuivre la route aussi bien en Coupe d'Italie qu'en Ligue des Champions." "Il reste une année au contrat de Simone Inzaghi avant son expiration le 30 juin 2024 et ses 5,5 millions d'euros de salaire, ce qui rend un éventuel licenciement d'Inzaghi coûteux, mais soutenable": Le Club prend en considération les deux championnats perdus et les neuf défaites en championnat de cette saision, avec un calendrier qui est loin d'être facile d'ici à la fin de la saison." Vincenzo Italiano, Roberto De Zerbi, Thiago Motta et Antonio Conte sont les possibles successeurs mais "si Simone Inzaghi atteint la finale de la Ligue des Champions, il sera impossible de ne pas le voir sur le banc des Nerazzurri l'année prochaine." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Le club de Premier League Aston Villa est intéressé par la signature de l'attaquant Romelu Lukaku au cas où l'Inter ne déciderait pas de prolonger son prêt de Chelsea. Selon le tabloïd britannique The Sun , qui rapporte que l'équipe basée à Birmingham envisage une décision pour le Belge pendant la fenêtre de transfert estivale au cas où les Nerazzurri refuseraient de le ramener ou ne pourraient pas convenir d'un nouveau contrat de prêt avec les Blues. Dans l'état actuel des choses, la priorité de Lukaku est de rester à l'Inter après la fin de la saison en cours. Cependant, il n'y a aucune certitude que les Nerazzurri décideront de prolonger le prêt du joueur de 29 ans après la fin de la campagne en fonction de ses performances, notamment parce que Simone Inzaghi pourrait ne pas être l'entraîneur au début de la saison prochaine. En conséquence, Villa pense qu'il pourrait y avoir une chance de signer Lukaku pour la saison prochaine selon The Sun, et ils seront prêts à essayer de bouger pendant la fenêtre d'été. La fin De La BELLA VITA per ROMELU? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  5. En effet, beaucoup de joueurs de l'équipe de Simone Inzaghi, entraineur inclus, ont déçu cette saison et si l’avenir du natif de Piacenza est sérieusement remis en question, de très nombreux joueurs se verront présenter la porte de sortie Révélation de la Gazzetta Dello Sport Trois joueurs déjà mis en vente "Il faudra tirer le maximum des trois joueurs qui doivent être considérés comme sortants, soit Marcelo Brozovic, Denzel Dumfries et Joaquin Correa même si pour ce dernier, la tâche s’annonce très compliquée même si son avenir Nerazzurro est déjà tracé : Correa a déçu le club également à cause de l’investissement placé en lui, soit 31 millions d’euros et s’il se verra prêté, ce sera probablement à l'étranger." "Ce qui se passera avec Brozovic et Dumfries reste à écrire: Le Croate, face à la Juve, a montré à quel point il était loin d’être le "Cœur" de l'Inter aujourd'hui. Mais pour son âge et son salaire, il sera compliqué de lui trouver un repreneur. Dumfries mérite lui un chapitre à part : Pendant la Coupe du Monde, l'Inter en était venu à l'estimer à 60 millions d'euros: Aujourd'hui, penser à ce chiffre n'a aucun sens : Sa valeur marchande a fondu tout comme ses performances." "Reste également Robin Gosens : L'Inter ne veut pas le vendre, surtout maintenant qu'il s'est relancé, mais il faudra comprendre à quel point l'Allemand sera prêt à partir d’encore plus loin que Federico Dimarco dans la hiérarchie." "Il y a cinq joueurs, sur les 11 que nous avons identifiés comme sortants, qui sont en fin de contrat. L'Inter n'a entamé des négociations concrètes que pour deux d'entre eux : Edin Dzeko et Stefan De Vrij. Mais aujourd'hui, les chances du défenseur de rester sont minimes car il a perdu sa place de titulaire et dispose d'un salaire mirobolant de 4,5 millions d'euros. Ce qui n'est plus viable pour les caisses des Nerazzurri: En fait, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ont en tête un accord de renouvellement avec des montants nettement inférieurs et les deux parties restent campées sur leurs position : De Vrij lui-même regarde autour de lui, tout comme Dzeko." "Pour les autres, citons Roberto Gagliardini est destiné à partir et il en ira de même pour Samir Handanovic, désormais réserviste d’André Onana. Il est également très compliqué de penser que le renouvellement de Danilo D'Ambrosio arrivera". Les prêts "Deux joueurs sont actuellement prêtés : Romelu Lukaku et Raul Bellanova, on devrait même également les compter au nombre de trois, vu la présence de Francesco Acerbi, mais celui-ci a montré des signes plus que positif et le club est décidé à le racheter: Il n’y a et n’y aura pas cette même détermination pour Bellanova qui retournera à Cagliari, malgré les trois millions d'euros déjà investis pour lui l’été dernier." "La situation est bien plus complexe pour Lukaku car si les propos de Marotta sont claires car liés à la formule de l'opération ("A la fin de l'année, il retournera à Chelsea"), la réalité des performances de l'attaquant ne pousse en rien le club de Steven Zhang à se bouger pour renouveler le prêt: Romelu coûte à l'Inter 20 millions d’euros bruts par saison et il est impossible de penser à une prolongation, si de telles sont les conditions économiques sont maintenues et si les performances du Belge continuent à constituer un fardeau sur la saison Nerazzurra : Il y a toutefois encore le temps pour inverser la tendance, mais celui-ci devient très limité." Valideriez-vous ce 11 de départ de l’Inter à la fin de la saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Paroles de Massimo Moratti sur TMW au lendemain du match controversé au Meazza. Encore une polémique! "C'était un Inter-Juventus habituel où il y a polémique, et ce avant, pendant et après le match. Cela fait partie de la tradition. L'important est toujours de gagner ces matches pour ne pas s'apitoyer sur son sort." Chose que l'Inter n'a pas réussi. "Hier a été une défaite lourde de conséquence. Maintenant les Nerazzurri sont non seulement très loin du sommet, ce que nous savions déjà, mais il ne leur sera pas non plus facile d'atteindre la deuxième place." Simone Inzaghi sera-t-il donc jugé pour son parcours en Ligue des champions ? "Ce n'est pas moi qui dois le juger mais aux dirigeants et le président de l'Inter. Ils feront le bilan en fin de saison. Si la Ligue des champions se passe bien, c'est clair qu'elle sauvera tout." Peut-elle répéter le parcours que votre Inter lors de la saison 2009-2010 ? "Ça change beaucoup parce qu'on avait deux fronts (la Serie A et la Ligue des champions, ndlr), en plus de la Coppa Italia. Ceci est très exigeant. Ici, ne devoir penser qu'à un seul but est plus facile. On espère tous que l'Inter peut gagner la Ligue des champions mais ce n'est pas facile car il y a des équipes très fortes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Massimiliano Allegri est revenu sur les fautes de main de Rabiot et de Vlahovic sur le but de Kostic. "On n'avait pas encore réussi à gagner un match en confrontation directe à l'extérieur cette année. Contre l'Inter c'est toujours le derby italien et eux, Naples mis à part, font partie des équipes les mieux armées pour rester au top et ils le prouvent. Ils sont en quart de finale de la Ligue des champions, c'est une équipe physique et technique. Les garçons ont fait un bon match. Inzaghi demande le respect ? Je n'ai pas envie de répondre à Simone qui fait un travail formidable. C'est la 15ème fois que je réponds à cette question, je ne parle que du match. La VAR doit être un outil objectif, l'épisode en question est subjectif, tout comme le piétinement dans la surface. Nous n'aurions pas dû laisser le jeu ouvert mais on a 6 points d'avance sur l'Inter, 8 sur Milan. On va bien, mais il ne faut pas s'énerver." Si quelqu'un a la marque de ce qu'il fume... Traduction alex_j via FCInter1908.
  8. C'est une révélation de Sport Mediaset: Gianluca Rocchi songerait à dévoiler l'échange audio entre la VAR et l'arbitre italien au cœur de la polémique du dernier Derby d'Italie: "Dans la salle VAR de Lissone, Mazzoleni et Piccinini ont mis 4 minutes et 10 secondes pour passer au crible l'action du but de Filip Kostic, afin d'évaluer 3 cas possibles de contacts avec la main." Cas 1, Rabiot "Dans l'étude de l'émission Pressing de Graziano Cesari, ce sont des mains punissables mais devant les images sous tous les angles les avis ne sont pas univoques. Nous pouvons confirmer qu'au moins 2 minutes ont été perdues dans le VOR à la recherche d'une image incontestable, qui, comme dans l'étude Pressing, n'a pas été retrouvée." Cas 2 Résolu par Mazzoleni devant le moniteur en quelques secondes : "Après le prétendu toucher de Rabiot, le ballon percute le bras gauche de Vlahovic qui est attaché au corps et à l'intérieur de la "figure", impossible de parler de punissabilité." Cas 3 Le plus épineux: "Une nouvelle touche du bras Vlahovic après l'échange avec Rabiot. Dans l'étude de Pressing, ils l'ont jugée punissable. Nous sommes en mesure de vous révéler que la VAR, après avoir vu toutes les images disponibles pendant encore 2', est arrivé à la conclusion "touché non punissable et OFR inutile"." "Ce choix a été approuvé par la hiérarchie de l'Arbitre, en se référant également à la comparaison avec le but annulé pour Locatelli lors de Juve-Roma de la 3e journée, toujours par la faute de Vlahovic : Pendant l'action offensive, le bras du Serbe a touché le ballon de manière apparemment fortuite, mais il était ouvert à 90° par rapport au corps. Dans le cas d'Inter-Juventus, il était au contraire très proche du corps. Des doutes subsistent cependant, car l'attaquant donne l'impression d'effectuer un mouvement du bras droit, léger mais probablement décisif pour le contrôle du ballon. Rocchi a été déçu par la gestion des fautes, des cartons et de la nervosité manifeste de Chiffi: La prestation de l'arbitre de la section de Padoue a été jugée insuffisante." "L'AIA se montre également très agacée par les déclarations de Simone Inzaghi, qui a exigé le respect. Pour la haute direction de l'arbitrage, régler la question du but de Kostic en 20 secondes aurait été un manque de respect absolu, alors que la révision de 4 minutes montrerait que l'on a fait attention à ne pas commettre de graves erreurs: C'est pourquoi Rocchi prévoit déjà de rendre public le dialogue entre Chiffi et le VAR Mazzoleni à la première occasion de rencontre avec la presse." Avec un audio revisité au lieu d'un direct, n'est-ce pas ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  9. Après la tournée d'interviews, Simone Inzaghi prend place dans la salle de conférence du Meazza pour disséquer la défaite de son Inter face à la Juve lors du 180e derby italien de l'histoire de la Serie A. Il y avait de la nervosité sur le terrain face aux décisions de l'arbitre. Barella est sorti furieux... "Les garçons étaient bons aussi parce que ce qui s'est passé est inacceptable. En deuxième mi-temps, l'équipe a réussi à rester calme pour essayer d'égaliser. Après Monza, j'ai dit que je ne parlerais pas des arbitres mais ce que j'ai vu est trop grave. Il y a un manque de respect face à l'absence d'images. Il leur a fallu 4' pour se décider, il fallait voir. Ce résultat nous pénalise au classement, on sait ce qu'est le match contre la Juve signifie. Concéder un but comme celui-ci est inacceptable." Il était difficile de trouver la profondeur. "Ce n'était pas facile, ils ont défendu bas avec seulement quelques hommes, malgré ce qui s'était passé en première mi-temps, l'équipe a créé. Nous aurions pu tirer un match qui s'est plutôt dirigé vers la Juve par un épisode. Le résultat final ne reflète pas ce que nous avons vu sur le terrain." Brozovic et Calhanoglu ont trop marché sur leurs orteils. Pourquoi sortir de Barella ? "Brozo et Calhanoglu ont fait le match qu'ils étaient censés faire, l'un a dû emmener Soulé et l'autre a mis en place l'action. Barella a longtemps convaincu, il n'a raté que le match à Crémone, de plus il était averti et nerveux pour ce qu'il avait vu à la fin de la première mi-temps." Avez-vous demandé des explications à l'arbitre ? "Non, c'était tellement clair que ça ne semblait pas nécessaire de demander. Les esprits étaient chauds, cela n'a pas été discuté. Je demande le respect, deux choses très graves se sont produites en l'espace de deux mois et demi." Des doutes sur le bras de Rabiot ? "Inutile de mentionner, j'ai vu avec 20 images différentes." Marelli pense que le bras de Rabiot est là, même s'il n'est pas sûr. "J'écoute ce qu'il dit, mais ce but encaissé est inacceptable. On peut encaisser des buts pour des erreurs mais je ne peux pas accepter cela. C'est difficile pour moi de parler du match, ce qui s'est passé est trop grave." Allegri dit qu'il faut être des gentlemen et respecter les décisions des arbitres... "Je ne commente pas ce que disent les autres, mais les faits. J'ai vu les photos, à l'époque de la VAR encaisser un but comme celui-ci est inacceptable." La pause arrive au bon moment ? "Absolument oui pour récupérer les joueurs, on a des petits soucis avec Dimarco. Barella grince des dents depuis deux mois car il vit avec un problème. On attend Gosens, Bastoni et Skriniar avec beaucoup d'optimisme pour la reprise." Que fera-t-il pour éviter la négativité ? "Il ne faut pas se laisser entraîner dans la négativité comme cela s'est produit à Bologne. Je suis venu commenter le match de ce soir par respect pour vous, mais il m'est difficile d'en parler. Un but inacceptable, l'équipe méritait un autre résultat. Ce résultat nous ralentit, ce sera un tête-à-tête pour la Ligue des champions jusqu'au bout." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Daniele Mari est le Directeur de Fcinter1908.it est celui-ci a noté la prestation des joueurs suite à cette neuvième défaite de la saison André Onana 6 "Il parvient à déjouer une Juventus menaçante alors que le résultat est déjà compromis : Il ne bouge pas sur le tir de Kostic mais c’est bel est bien Dumfries qui l’empale et qui laisse la fenêtre de tir totalement ouverte : Il n’a pas eu besoin de faire de miracle, mais il a repoussé quelques dangers de la meilleure des façons." Matteo Darmian 6 "Sur son aile, on retrouve Kostic qui lorsqu’il voit l’Inter s’illumine : Dumfries ne l’a que trop peu aidé à tel point que le défenseur "latéral" a dû reprendre aussi le poste de défenseur central, il faisait tout tout seul,: Il ne s’en sort globalement pas trop mal, en parvenant même à bloquer des actions." Stefan De Vrij 6,5 "De retour en tant que titulaire face à Vlahovic, un attaquant qui ne combien que trop peu : Il prouve encore être un Monsieur, nous avons tous la conviction qu’il a 38 ans, mais il reste le bon Stefan d’à peine 31 ans : Il est resté trop longtemps sous naphtaline, qui sait si une série de rencontre pourrait faire de lui à nouveau un joueur protagoniste." Francesco Acerbi 6,5 "Il se met à faire le Bastoni et cela s’est vu à plusieurs reprise en phase offensive : Il a tenté à plusieurs reprise d’improviser sur l’aile mais s’est souvent retrouver malchanceux sur ces centres : Sa performance défensive elle, n’a jamais failli." Denzel Dumfries 5 "Sur le but de Kostic, il commet une faute professionnelle très grave qui n'est surpassée que par la faute de Chiffi. Au lieu d'attaquer Kostic qui tire, il recule pour défendre le but, laissant la fenêtre de tir complètement à découvert. Une erreur impardonnable dans un match des plus modeste.s" Nicolò Barella 6,5 "Très nerveux après la faute professionnelle de Chiffi mais aussi le plus pro-positif : Il fait chauffer les gants de Szczesny et les meilleures actions passent systématiquement par ses pieds : Lorsqu’il se fait avertir pour protestation, il est substantiellement condamné à être remplacé, un remplacement qui arrive ponctuellement à l’heure de jeu." Marcelo Brozovic 5 "Une régie bien trop peu illuminée : Lent à la manœuvre, il ralenti le jeu constamment, jamais une intuition, jamais un fait de jeu digne du vrai Brozovic : C’était sa chance pour lui de se retrouver sous le feu des projecteurs, il n’en a pas profité." Hakan Çalhanoğlu 5,5 "Si lui aussi a des difficultés, cela veut dire que quelque chose ne tourne pas rond : Le fait de redevenir Mezzala ne l’a évidemment pas aidé, à tel point qu’il reculait volontiers en afin de récupérer des ballons pour reprendre le rôle de la Régie de l’équipe : Mais il ne s’est montré que trop peu précis avec le ballon, et lorsqu’il avait un bon ballon son contrôle lui fait défaut." Federico Dimarco 5,5 "Il est dans une situation physique précaire et cela se voit. Si Gosens avait été disponible, il n'aurait probablement pas joué dès le début. Il pousse très peu comparé à l’habitude, a un bon ballon mais le centre est trop profond. Il a besoin d'une pause, plus que d'autres" Romelu Lukaku 6 "Beaucoup plus vivace physiquement que lors de ses dernières sorties: Tient le ballon, garde les adversaires à distance, tente même quelques relances. Mais il reste un point négatif : il n'a pratiquement pas d'occasions. Et Lukaku est un joueur qui se crée aussi ses propres occasions. Il doit encore grandir, mais les signes sont encourageants." Lautaro Martinez 5 "Il ne réussit rien. Son engagement n'est pas en cause, mais sa performance est vraiment médiocre. Il est peut-être en manque d'oxygène, mais il arrive toujours en deuxième position et il n'y a pas une seule action qui mérite d'être soulignée." Changements Danilo D'Ambrosio 5 "Entre à la place de Dimarco dans un rôle qui n'est pas le sien. Et en fait il ne montre rien sauf se faire expulser à la fin du match." Henrik Mkhitaryan 5,5 "Lui non plus n'a pas de fulgurances notables. Quelques tirs de l'extérieur de la surface, mais très imprécis." Edin Dzeko non-côté Joaquin Correa non-côté Raul Bellanova non-côté Simone Inzaghi 5 "Il offre littéralement deux victoires à la Juventus. Chiffi est une honte mais il laisse l'équipe imploser, en arrêtant de jouer et en ne le mettant sur la voie de la bagarre quand face à Soulè, Fagioli et Gatti, il fallait garder la tête et se montrer plus attentif. Neuf défaites en championnat : un tableau de chasse inacceptable. La balançoire entre les résultats qui enlèvent cailloux dans la chaussure et les chutes tonitruantes continue. La place en Ligue des Champions est menacée." Daniele Chiffi via Tuttosport 5 "Sur les mains possibles de Rabiot, les images ne l'aident pas et c'est donc la décision prise sur le terrain qui prime d'où la colère des Nerazzurri. En plus de cela, il commet beaucoup d'autres maladresses entre les fautes non-données et les cartons non-sorti. Mauvaise soirée" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Notre légende Gianluca Pagliuca pense que le Derby D'Italia de ce soir n'est pas aussi important que le prochain match de la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juventus. En effet, notre ancien gardien de but pense qu'il est plus important de remporter la Coppa Italia et de terminer la saison avec un trophée que de remporter ce choc de Serie A étant donné l'énorme avance de Naples, considérant le match de ce soir comme une bataille pour la deuxième place. "Je considère cet affrontement entre l'Inter et la Juventus en Serie A comme une affaire en demi-teinte. Cette confrontation particulière ne m'excite pas comme d'habitude. Dans deux semaines, ils se retrouveront en Coppa Italia et le Napoli a trop d'avance pour que quiconque pense à les rattraper. Donc c'est vraiment une bataille pour la deuxième place. Je pense que si c'était un match que j'aurais pu éviter de jouer, je l'aurais fait, étant donné que les quarts de finale de la Ligue des champions et de la Ligue Europa s'ajoutent à la demi-finale de la Coppa Italia." "L'Inter est entrée dans ce match à la suite de la bataille à Porto, et la Juventus d'un match contre Fribourg qui était tout sauf facile. Ce choc Inter vs Juventus Serie A est donc moyennement important. Le choc de la Coppa Italia est plus important. Si je pouvais choisir quel match gagner, je pense qu'Inzaghi et Allegri seraient d'accord après avoir remporté la Coupe nationale. Comme je l'ai dit, le choc en Serie A n'est pas aussi important, même s'il s'agit d'une bataille pour la deuxième place." Au cours de son passage de cinq ans à l'Inter, Gianluca Pagliuca a pris part à l'une des plus controversées jamais disputées en Serie A entre les Nerazzurri et la Juventus, à savoir lors de la saison 1997-1998 au Stadio Delle Alpi. Dans son autobiographie récemment publiée, Volare Libero, Pagliuca écrit qu'il a discrètement frappé l'arbitre de ce match, Piero Ceccarini. "Écoutez, j'ai été fortement insulté sur les réseaux sociaux pour avoir prétendu avoir frappé l'arbitre. J'ai tout écrit dans le livre. Je l'ai déjà écrit, tout est dans le livre et tout est vrai. Tout le monde se souvient et ne parle que de cet incident malheureux. Mais ils ne savent pas ou ne se souviennent pas des nombreuses autres erreurs de cette saison." "Par exemple, le but de Bianconi d'Empoli et le gardien de but de la Juventus, Peruzzi, a poussé le ballon alors qu'il était à un mètre de la ligne de but et que le but n'était pas debout. Il en va de même pour le but de Bierhoff, pour l'Udinese, à Turin, contre la Juventus, mais le but a été refusé, puis la Juventus a remporté un match où elle aurait dû prendre un but. Il existe de nombreuses situations que vous pouvez trouver sur lesquelles j'écris dans le livre. C'est une autre raison de le lire." Au sujet du livre, écrit avec Federico Calabrese, Pagliuca raconte tout, de ses premières années à son adolescence et de ses débuts à la Sampdoria à l'Inter et à la fin de sa carrière. "J'ai été contacté il y a plus d'un an par Federico Calabrese qui m'a demandé si j'étais partant pour écrire un livre. Je l'ai accepté parce que c'était une bonne idée. Ce fut une belle expérience, remonter les années et remonter le temps. Heureusement, j'ai une bonne mémoire, donc je me suis souvenu de nombreuses anecdotes qui n'ont jamais été racontées ou connues." "J'ai cherché à raconter des histoires que personne ne connaît. Les bons et les mauvais moments, les matchs, ce qui s'est dit, les buts encaissés qui sont connus de tous les aficionados du Calcio. Cependant, ce qui s'est passé dans le vestiaire et d'autres événements sont tous nouveaux et n'ont jamais été racontés auparavant." "Je reviens depuis le tout début, depuis mon enfance, tout a commencé là-bas. La première fois sur un terrain, les années scolaires, la famille, l'adolescence, jouer à l’oratorio. Ensuite, bien sûr, jouer pour Bologne, la Sampdoria, l'Inter, Bologne encore, l'équipe nationale et bien sûr quand j'ai arrêté de jouer. J'ai cherché à révéler des choses de mon enfance que personne ne connaît, comme ma relation avec mes parents et mes amis. Ou les bêtises que nous avons commises à l'école. Il y a des choses amusantes. Vous pouvez tout trouver dans le livre. Je peux vraiment le recommander chaleureusement." Traduction alex_j via Sempreinter.
  12. Stats fournies par LeoVegas.News, voici tout ce qu'il faut savoir avant le match de ce dimanche. RÉSULTATS PRÉCÉDENTS Le dimanche 19 mars à 20h45 CET, le 180e match de Serie A entre l'Inter et la Juventus aura lieu au Meazza, ce qui en fera le match le plus disputé de l'histoire de la Serie A, avec 48 victoires pour les Nerazzurri. BONNE FORME L'Inter n'a perdu qu'un seul de ses cinq derniers matchs contre la Juventus toutes compétitions confondues. LA FORTERESSE DU MEAZZA Les Nerazzurri ont remporté 15 de leurs 17 derniers matchs de championnat à domicile, gardant 10 clean sheets pendant cette période. Seul le Napoli a gagné plus de points à domicile que l'Inter cette saison en Serie A. LA MAISON DE "EL TORO" Aucun joueur n'a marqué plus de buts lors de matches à domicile en Serie A en 2023 que Lautaro Martinez. FACTEUR INZAGHI Depuis ses débuts en tant qu'entraîneur en avril 2016, Simone Inzaghi a battu la Juventus sept fois en 19 rencontres avec les Bianconeri; aucun entraîneur ne les a battus plus de fois toutes compétitions confondues sur cette période L'ARBITRE L'arbitre de l'Inter contre la Juventus lors de la 27e journée de Serie A 2022/23 sera Daniele Chiffi. Les assistants seront Preti et Berti, le quatrième arbitre est Marinelli. Mazzoleni à la VAR, Piccini comme Assistant VAR. Traduction alex_j via le site officiel.
  13. Marco Materazzi interviewé par les chaînes officielles de la Lega Serie Aavant le derby italien prévu demain évoque sans équivoque ce derby. Sur la rivalité Inter - Juventus. "C'était mon deuxième match en Serie A, marquer contre la Juventus malgré une défaite 2-1, avec une petite équipe comme Pérouse était un motif de satisfaction... C'est peut-être là que ma feud avec eux a commencé. Nous avons joué plusieurs fois contre eux, je pense que ce sont les adversaires les plus acharnés, avec ceux avec qui il y a le plus envie de se battre. Le meilleur souvenir est la Supercoppa car elle nous a permis de démarrer un cycle de succès incroyables et gagner énormément. Quand il y a des équipes fortes c'est normal qu'il y ait de la 'haine' sportive, peut-être qu'avec la Juventus il y en avait plus car il y a toujours eu une rivalité au niveau des clubs car nous sommes deux superpuissances qui voulaient se battre. Quand on me parle de Milan, je dis 'non, la Juventus'. Il y a une rivalité sportive avec Milan, la Juventus est l'équipe à battre et à abattre. Ils ont toujours été des challengers très passionnés. On se connaissait tous et il y avait un maximum de respect mais ensuite, une fois sur le terrain, c'est normal qu'il y ait la volonté de gagner et on était prêt à tout pour y arriver. Ensuite, en dehors du terrain, on se marrait mais sur le terrain..." Sur Inzaghi. "A mon avis, Inzaghi fait un super boulot, il est un très bon entraîneur qui a gagné plusieurs coupes. Il lui manque sans doute la plus importante qui lui ferait faire le saut qualitatif. Il faut gagner les titres de champion. L'Inter doit marquer des points pour aller en Ligue des champions, la Juve sait qu'ils ont une pénalité qui ne sera décidée qu'à la fin. Les points serviront aussi à se qualifier à la Champions car c'est la Champions qui fait la différence." L'home clé du match ? "J'espère qu'il est fan de l'Inter, et par fan de l'Inter, je veux dire un vrai, pas seulement parce qu'il porte le maillot de l'Inter. Barella, Dimarco, Calhanoglu qui est devenu fan de l'Inter, je l'aime bien, Bastoni... Peut-être un un attaquant aussi, Lautaro... Nous avons beaucoup de supporters de l'Inter qui, au-delà du maillot qu'ils portent, ont l'Inter dans leur cœur et j'en suis très content. Ce sera un beau scénario car je pense il y aura au moins 75 000 spectateurs, le monde entier verra ce match. Il y a des gens là-bas qui s'excitent quand ils trouvent une grande scène. Et j'espère que l'Inter gagne parce qu'on est à la maison et on essaie de gagner les trois points qui sont très importants pour nous." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. L'équipe de Simone Inzaghi a fait preuve d'un réel courage et d'un désir de passer en quart grâce à une victoire cumulée 1-0. Hier soir, l'Inter a éliminé Porto pour se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois en douze ans. La détermination, la concentration et le cœur étaient au rendez-vous lors d'une soirée historique au Portugal, les joueurs de Nerazzurri donnant absolument tout pour passer à l'étape suivante. A partir de ce moment, tout peut arriver. Au début du match, les deux équipes savaient ce qui était en jeu. Porto cherchait à jouer haut sur le terrain pour tenter de forcer l'Inter à reculer et à porter un coup fatal rapide. Dans les premières étapes, Uribe, Eustaquio et Taremi ont fait de leur mieux pour créer des situations dangereuses mais les Nerazzurri ont tenu bon. La première occasion de but de l'Inter est venue de Dzeko en contre, mais Diogo Costa s'est couché pour effectuer l'arrêt (21e). C'était serré et prudent et il n'y avait pas beaucoup d'ouvertures. À la 39e minute, Dimarco s'est littéralement jeté sur le chemin du tir d'Evanilson, une démonstration claire de la pure détermination dans les rangs des Nerazzurri. Avant la pause, Lautaro a cassé son gauche et a tenté dans un angle serré mais le gardien était sur place pour stopper. Les supporters locaux faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour faire encourager leur équipe mais la première occasion de la seconde mi-temps est venue de Barella. Porto avait du mal à assembler des mouvements significatifs contre un mur Nerazzurri solide comme le roc. Darmian a excellé à la 65e minute, contrecarrant Galeno. Grujic puis Calhanoglu ont tenté de sortir de l'impasse mais les deux n'y sont pas parvenus. Les Portugais ont tout balancé à la fin alors que Dumfries dégageait sur la ligne (94e) une minute après qu'Onana eut dévié la tête de Taremi sur le poteau. Les palpitations étaient fortes à la fin mais l'Inter a survécu et est maintenant quart de finaliste de la Ligue des champions. PORTO 0-0 INTER PORTO (4-4-2) : 99 Diogo Costa ; 11 Pepê, 2 Cardoso, 5 Marcano, 12 Zaidu (84' 22 Wendell); 46 Eustaquio (70' 20 André Franco), 8 Uribe, 16 Grujic, 13 Galeno ; 30 Evanilson (70' 29 T. Martinez), 9 Taremi. Remplaçants : 14 Claudio Ramos, 94 Samuel Portugal, 4 Carmo, 7 Veron, 17 Conceiçao, 19 Namaso, 67 Vasco Sousa, 70 Gonçalo Borges, 87 Bernardo Folha. Entraîneur : Sergio Conceiçao. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 36 Darmian (79' 37 Skriniar), 15 Acerbi, 95 Bastoni (73' 6 De Vrij); 2 Dumfries, 23 Barella (79' 77 Brozovic), 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (69' 33 D'Ambrosio) ; 9 Dzeko (69' 90 Lukaku), 10 Lautaro. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 11 Correa, 12 Bellanova, 14 Asllani, 45 Carboni. Entraîneur : Simone Inzaghi. Avertis : Darmian, Dzeko, Acerbi. Expulsé : Pepê Arbitre : Szymon Marciniak (POL). Assistants : Sokolnicki, Listkiewicz (POL). Quatrième arbitre : Raczkowski (POL). VAR : Kwiatkowski (POL). Assistant VAR : Frankowski (POL). Résumé vidéo Traduction alex_j via le site officiel et BeInSports.
  15. Même pas le temps de se débarrasser de l'adrénaline de Porto et de celle du tirage au sort de la Ligue des champions que l'Inter doit tout de suite se concentrer sur un match qui est tout sauf anodin. Demain soir, la Juventus arrive au Meazza, en plein élan pour se raccorder au train européen et l'objectif des Nerazzurri sera de défendre sa deuxième place. Simone Inzaghi est la star de la conférence de presse d'avant-match. Voici ses mots. Les affrontements européens ont drainé beaucoup d'énergie mais ont donné à la fois à l'Inter et à la Juve force mentale et confiance. "C'est sûr qu'on sait ce que représente ce match pour le club et les supporters. Deux équipes en forme s'affrontent, il y aura de la course, de l'agressivité et de la détermination comme cela arrive dans certains matches." Allegri dit que sur le terrain, ils sont deuxièmes à +3 de l'Inter. Considérez-vous la Juventus deuxième ou septième ? "Nous les considérons comme une grande équipe, avec des joueurs très forts. Nous les respectons, nous les avons affrontés lors de finales très dures. Nous aurons également deux matches de Coppa Italia devant nous. Nous savons à quel point la préparation mentale est importante et avec la Juve ce sera l'être davantage." Combien peut peser l'enthousiasme de Do Dragao ? Le mois d'avril qui vous attend peut-il être un coup de pouce ? "La qualification est une grande fierté mais nous savons que la période est dense et qu'il y a de la fatigue et des blessures. Maintenant, nous devons nous tourner vers demain, un match très important pour notre carrière. Après, nous aurons un mois d'avril intense, il y aura certainement encore 16 matchs et espérons qu'il y en aura encore quelques-uns de plus. J'aurai besoin de tous, en espérant en avoir de plus en plus dans un match pour augmenter mes choix." Plus inquiet des absences en défense ou des ratés après de belles performances ? "C'est un fait, après des matchs importants, nous avons subi des ratés. Nous avons travaillé deux jours et demi, parmi ceux de la course à la Ligue des champions, nous serons les plus occupés en avril. Nous devons nous améliorer. Demain, nous n'aurons pas Skriniar , Gosens et Bastoni, d'autres joueurs devront être évalués lors de la séance d'aujourd'hui. Mais je suis confiant, nous connaissons l'importance du match de demain." Peut-on vraiment rêver d'un grand final de saison en Ligue des champions ? "Nous l'espérons tous, mais en tant qu'entraîneur, mes seules pensées sont la Juventus. Nous sommes fiers du match contre Porto pour nous-mêmes, pour le club et les supporters, mais l'accent est mis sur la Serie A. Nous voulons bien faire lors du dernier match d'un cycle terrible." A quel stade en est Lukaku ? Pouvez-vous vous exposer sur son cas ? "Il augmente son temps de jeu, c'était très important de se qualifier pour le quart de la Ligue des champions. Au match aller contre Porto, il a marqué, il a joué plus de 90 minutes à La Spezia, il est bien entré à Porto. Ensuite, je dois faire des choix à chaque fois, mais je suis très content que Correa se soit aussi bien entraîné pendant quatre jours, nous aurons besoin de tout le monde." A Porto, l'Inter a été en difficulté à la fin. Dans les autres matches, elle risquait trop pendant le match. Pouvez-vous trouver un équilibre pour attaquer et ne pas prendre de risques ? "Absolument, on doit s'améliorer. Les matchs sont faits de transitions, beaucoup de buts sont encaissés quand on a le ballon. On y travaille. A Porto on a souffert entre la 93e et la 97e minute. En attaque, nous aurions pu faire mieux mais nous avons joué un huitième très important face à une équipe forte qui revient d'une sale défaite." Stramacccioni a dit qu'à la Juve, Di Maria élève la qualité de l'équipe. Demain, avez-vous pensé à un plan spécifique ? "Nous connaissons tous Di Maria, champion du monde, sud-américain... C'est un grand joueur, lors du dernier match de la Juve avec Kean et Vlahovic, il a été excellent, puis il y a Chiesa, peut-être Milik. Ils ont un énorme potentiel, une équipe très importante avec des joueurs qui peuvent changer le destin du match. Une attention maximale sera nécessaire, Di Maria comme d'autres sera observé d'une manière particulière." Vous sentez-vous deuxième au classement ou est-il légitime que vous vous sentiez de bonne humeur ? "Je regarde le classement maintenant, puis il y a les procédures judiciaires et les instances en charge qui travaillent. On verra ce qui se passera, on espère que ça arrivera bientôt car toutes les équipes ont besoin de clarté." Est-ce que tant d'Italiens devant en Europe nous conduisent à réévaluer la valeur de la Serie A ? "Nous en avions besoin, nous avons tous joué de grands matchs et nous méritons des compliments. Il faut continuer, plus l'Italie avance en Europe, mieux c'est pour notre mouvement." En pensant à la façon dont Allegri joue, il est possible qu'il soit plus en retrait pour absorber le pressing de l'Inter. Avez-vous pensé à cette situation ? Que portez-vous dans votre cœur après Porto ? "Le bonheur de mes garçons, on savait qu'on avait fait quelque chose d'important. A la fin du match, j'ai parlé des 12 dernières années, quand l'Inter a raté les quarts de finale. Je connais bien l'histoire de l'Inter. Quant à la Juve, parfois elle vous attend, d'autres elle vient vous chercher avec ses milieux de terrain à un rythme effréné. Le match n'aura pas de piste définie et il faudra être bon pour la lire." Comment vous et l'équipe vivez-vous les critiques après les qualifications ? "Après Porto, ce n'était pas un éclat, mon inquiétude mais en même temps la certitude est que nous travaillons tous les jours pour le bien de l'Inter. Nous savons qu'il y aura toujours des critiques pour le meilleur ou pour le pire, puis celles à considérer et celles à rejeter a priori." Aimez-vous penser que les joueurs ont tout donné pour vous aussi ? "Ce groupe a fait de très bonnes choses et je suis très satisfait, mais au-delà des personnalités, il ne faut penser qu'en termes Inter et supporters qui sont la base. On sait qu'on a bien fait en Ligue des champions et qu'on a eu faire plus dans la Serie A. C'est le football et nous devons tous être bons, en commençant par moi et en allant plus loin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Paolo Di Canio, en commentant l'accession de l'Inter en quart de finale, n'a pas ménagé Simone Inzaghi. Ses mots sur Sky Sports. "Je ne le critique pas pour le critiquer ou sur son niveau de compétence car il est très bon. Mais il doit comprendre où il est ! Même l'autre jour, ses déclarations m'ont laissé perplexe. Je suis désolé parce qu'il semble immature en termes de déclarations. Il m'a semblé puéril en termes de statut d'entraîneur. Les résultats sont excellents, il est deuxième derrière Napoli, il a ramené l'Inter en quarts de finale de la Champions après une longue disette et la demi-finale de la Coppa Italia est en jeu. Mais en l'écoutant parler pendant que je buvais une tisane, je me suis dit : 'A-t-il gagné la Ligue des champions ?'. Tu n'es pas au Chievo Verone, où ces résultats feraient partie de l'histoire; mais aussi les victoires obtenues avec la Lazio peuvent être qualifiées d'historiques. Mais l'Inter a remporté le Triplete en 2010. Quand Inzaghi est arrivé, elle avait gagné le Scudetto. Certaines déclarations ne sont pas dignes d'un grand club, c'est un peu petit comme déclaration car il n'a pas encore réalisé dans quel club il est. L'Inter a un historique beaucoup trop beau pour ces déclarations. Simone est bon mais l'Inter est trop belle, trop grande pour certaines déclarations. Les résultats sont bons, certes, mais n'ont pas marqué l'histoire. Ainsi, il diminue les niveaux de l'Inter et aussi le sien par la même occasion. Inzaghi et moi avons joué ensemble, c'est un très bon garçon mais cela m'a fait mettre mes mains sur la tête pour ces mots. L'année dernière, je lui ai reproché de gérer certains matches mais c'était ma pensée; alors peut-être que c'est facile vu de l'extérieur." Di Canio en train de boire une tisane... mais avis intéressant et argumenté d'un ex-collègue. Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Interviewé suite au tirage au sort des quarts de finales de la Ligue des Champions, Simone Inzaghi s’est montré satisfait d'un tirage au sort qui aurait pût s'avérer bien plus douloureux Chérie, je suis de retour! "L'Inter est de retour pour jouer un quart de finale de la Ligue des champions et nous en sommes très fiers car un club comme le nôtre mérite de jouer ce type de rencontre. Nous disputerons deux belles rencontre face au Benfica, avec une grande ambiance et une tension digne de l'importance de cette compétition." "Benfica est une équipe forte avec une grande tradition, qui a gagné son groupe en jouant très bien. Cependant, nous ne sommes pas inférieurs et j'aimerais offrir un autre rêve aux Tifosi. Ce seront deux matchs passionnants et compliqués, nous allons tous travailler dur pour ne rien laisser au hasard et essayer de nous qualifier, nous serons prêt. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Les chiffres derrière l'explosion post-match de Simone Inzaghi. L'Inter a tamponné son laissez-passer pour les quarts de la Champions et aujourd'hui Tuttosport a analysé les investissements réalisés par le club ces dernières années. Voici les comptes, de l'Inter de Conte à celle d'Inzaghi. "’Un Scudetto qui a causé des problèmes économiques.’ La déclaration d'Inzaghi depuis le ventre du Dragão a retenti fort, très fort. Une phrase étudiée et réfléchie par l'entraîneur, évidemment raisonnée en regardant combien l'Inter a investi depuis son arrivée sur le banc, à l'été 2021, et combien le club avait dépensé les deux années précédentes (2019-2021), celles avec Antonio Conte sur le banc. Une phrase correcte ?" "En regardant les coûts des joueurs dans les derniers bilans du club et le montant des différents salaires, oui. Et évidemment en considérant les investissements réalisés pour les achats uniquement, même si sur les deux périodes de deux ans, l'Inter a certainement vendu plus sous Inzaghi que sous Conte. Il faut rappeler que le COVID-19 a amené toutes les équipes et surtout l'Inter du Suning contrainte par les directives rigides du gouvernement chinois, à fermer les vannes et obliger ses dirigeants à s'orienter vers l'autofinancement." "Donc si, d'une part, la phrase d'Inzaghi de ces derniers mois ‘mon historique parle pour moi : là où j'entraîne, les revenus augmentent, les pertes sont divisées par deux et les trophées arrivent’ se reflètent dans les comptes de l'Inter. Cependant, il faut aussi souligner comment deux grosses ventes de Marotta et Ausilio (Lukaku (113 millions) et Hakimi (68) , ndlr) ont été faites à l'été 2021, donc après la conquête du Scudetto par Conte et au début de l'œuvre d'Inzaghi. Mais il est également vrai que Lukaku (76 millions) et Hakimi (43) eux-mêmes étaient arrivés pour Conte et Inzaghi ne les avait pas en place." "Revenant à la phrase initiale d'Inzaghi, voici les investissements entrants de l'Inter lors des deux directions techniques. Pour Conte, le club a dépensé environ 275 millions pour les joueurs de l'équipe A, auxquels il faut ajouter 35 millions supplémentaires pour les jeunes joueurs comme Brazao ou Agoume. Les principales dépenses, en plus des deux déjà citées (Lukaku et Hakimi), concernaient Barella (48,5), Eriksen (27) et Sensi (27), sans oublier les 21 millions pour Lazaro et Pinamonti. Les coups sûrs pour Inzaghi ont été Correa (32,6) et Gosens (26,7), ainsi que Dumfries (13,1), Asllani (14) et le prêt de Lukaku (8). Pour le reste, faibles dépenses (Dzeko 2,7), beaucoup d'éléments à zéro euro (Onana, Calhanoglu et Mkhitaryan plus Acerbi en prêt) et de nombreux départs pour alléger la masse salariale (Sanchez, Perisic, Vidal, Vecino, Ranocchia et Nainggolan)." Alors, quelle conclusion s’impose ? Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. Pour le plus grand plaisir d'Antonio Conte ? En effet, Tuttosport a fait le point sur la situation entourant le poste d'entraîneur de l'Inter et sur la récente sortie de Simone Inzaghi: "Derrière le coup de gueule de Simone Inzaghi après Porto, on retrouve une "brouille" entre l'entraîneur de l'Inter et l'Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta." "Je connais le chemin parcouru par l'Inter. Au cours des douze dernières années, l'Inter a remporté un Scudetto, ce qui lui a causé quelques problèmes financiers, alors qu'au cours des dix-huit derniers mois, elle a remporté trois trophées, une Coppa Italia et deux fois la Super Coupe. A présent, elle est quart de finale de la Ligue des Champions. Je parlerai de tout cela quand j'en aurai envie, je le dois à moi-même et à ma famille". ...Plus qu'un petit caillou, Simone Inzaghi a donc enlever un bloc de granit vu que la nuit du Dragão l'a fait entrer dans l'Histoire de l'Inter qui n'avait plus rejoint le Top 8 de la Ligue des Champions depuis 2011, alors qu'à l'époque, c'était considéré comme une normalité. et l'entraineur a vu dans ce succès l'occasion de mettre un point final à cette histoire." "Il y a dix-huit mois, on m'a appelé pour ramener l'Inter en huitièmes de finale, on me l'a demandé et nous avons réalisé un travail important fait de titres, de victoires et de quelques défaites comme cela peut arriver. Mais nous sommes deuxièmes du championnat, nous avons fait de bonnes choses et maintenant nous sommes en quarts de finale de la Ligue des champions, c'est bien d'en profiter. Nous allons penser à le préparer et nous verrons par la suite, ces gars ont montré qu'ils étaient capables de tout. Il ne faut pas non plus oublier que nous sommes toujours deuxièmes du championnat. Et il s'est montré insistant: en le disant deux fois de suite: "En championnat, nous sommes deuxièmes"." "Ce message est destiné au monde extérieur, mais aussi au cœur du club car les critiques publiques de Beppe Marotta après la défaite à Bologne pourraient constituer un point de non-retour. En effet, l'Administrateur-Délégué avait souligné que la Serie A et le Scudetto devaient être le fil conducteur de l'Inter, et non les Coupes et Supercoupes d'Italie. Ensuite s'en est suivi la défaite contre Spezia, la huitième du championnat, ce qui est objectivement bien trop, au cours de laquelle personne au club n'a caché sa déception face à ce qui s'est passé sur le point de penalty entre Lautaro et Lukaku, avec la non-imposition d'un tireur de penalty désigné. Pour accompagner cela, l'entraîneur s'est vu rappeler publiquement aussi les nombreux points perdus face aux petites et moyennes équipes, ce qui a creusé l'écart avec Naples, battu pourtant lors de la confrontation directe au Giuseppe Meazza." L'ombre de Conte "Pour rendre la situation encore plus explosive, les rumeurs sur un éventuel retour de Conte, "l'homme fort" qui a remporté le très convoité Scudetto, ont été souligné d'une façon vicieuse par Inzaghi en soulignant une saignée, une marée de millions qui a coûté au club. L'exploit de Porto a toutefois marqué un répit entre les toasts, les accolades et les tapes dans le dos : "Le mérite de cette qualification est à l'équipe et à Inzaghi, qui a lui aussi subi des critiques injustes", avait déclaré publiquement Giuseppe Marotta encore présent au Dragão." "Mais dimanche, la Juve sera au Meazza et c'est un autre poids lourds que l'Inter affrontera probablement sans Gosens et Bastoni, pour lequel des examens sont prévus aujourd'hui afin d'évaluer l'étendue de la blessure au fléchisseur gauche subie à Porto" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. L'ambiance à Appiano Gentile, avec les Nerazzurri visés par certains journaux, en vue de l'Inter-Juventus. Ce sera certainement un très, très grand hasard si la semaine qui amènera les Nerazzurri au match face à la Juventus est jonchée de critiques médiatiques qui crient au gel entre Beppe Marotta et Simone Inzaghi... et à la sempiternelle crise de l'Inter qui est, évidemment, à la mode. L'accession en quart de finale de la Champions, après 12 très longues années, a été fêtée par certains comme un cadeau du ciel. Mieux vaut s'attarder sur "la froideur et le cynisme des managers" à Appiano Gentile... ou sur la relation tendue entre le PDG et l'entraîneur qui a enlevé quelques cailloux de sa chaussure après le match contre Porto. José Mourinho aurait rassemblé tous ces signaux dans une seule définition qui a marqué l'histoire, le bruit ancien et évocateur des ennemis. De la part des médias de Turin et de Rome, il y a mille raisons de se régaler des tensions à Appiano Gentile; inutile même de les énumérer. La Juventus affronte les Nerazzurri au Meazza et a non seulement des pensées sur le terrain mais surtout de sérieuses inquiétudes qui détermineront son avenir proche. À Rome, nous regardons évidemment les classements de la Ligue des champions dans une course bien étrange, qui se joue derrière le Napoli. L'Inter est en lice sur plusieurs fronts, même si le Scudetto a longtemps semblé être une affaire napolitaine, et sur ces fronts ils devront répondre aux critiques. Bien sûr, lire de temps en temps même un soupçon de célébration pour ce qui a été ramené à la maison avec sueur et efforts ne ferait pas de mal. Mais dans le football, tout devient instrumentalisé, même les critiques. L'accès aux quarts de finale de la Champions n'a naturellement pas effacé les faux pas de l'Inter en championnat, ni fermé les yeux de ceux qui doivent juger la saison dans toute sa complexité. Il y a forcément eu des critiques sur le travail de l'entraîneur à moins de vouloir penser que ramener 2 points sur 15 face à des équipes de rang moyen-inférieur est une pierre d'achoppement physiologique pour une équipe comme l'Inter. La gestion des joueurs aussi en rapport avec les blessures, les querelles sur le terrain (la dernière concernant les tireurs de penalty) et les défaites sont des sujets d'analyse pour nos dirigeants et sont naturellement des sujets de discussion avec le guide technique qui siège sur le banc. Il n'y a pas de gel, il y a un débat raisonnable sur tout ce qui peut aider les Nerazzurri à atteindre leurs objectifs. Beppe Marotta, qui ne s'exprime pas uniquement en cas de victoire mais qui met généralement son nez quand il le faut, a souligné l'importance vitale de se rendre aux matches de la Champions (et en tout cas à ceux qui comptent) avec l'équipe en état de forme optimale, sans blessures. La colère de Simone Inzaghi, qui a toujours déclaré savoir d'où venaient les critiques (faisant évidemment référence à des critiques extérieures), était une colère honnête d'un technicien habitué à travailler et à essayer d'atteindre les objectifs requis malgré les difficultés. Le faire à l'Inter n'est jamais une chose simple. Quand ça arrive, c'est tout sauf aléatoire... ou par grâce reçue. Traduction alex_j via FCInter1908, texte de Sabine Bertagna
  21. Le journaliste s'est exprimé sur Libero sur le sursaut d'Inzaghi suite à sa qualification pour les 1/4 de finale de la Ligue des champions de l'Inter Milan Simone Inzaghi est un entraîneur parfait dans la mesure où Schettino peut commencer à donner des leçons d'héroïsme, mais il n'est même pas celui que certains voudraient vous faire croire. Les huit défaites en championnat sont énormes, mais elles impressionnent davantage par la façon dont elles surviennent. Inzaghi n'est en aucun cas parfait. Il doit s'améliorer dans la gestion des 90 minutes, il doit trouver des alternatives à son 3-5-2 quand les matchs ne vont pas dans le bon sens, il doit aussi grandir en termes de communication, ce qui est très important à l'ère moderne meurtrière de football. Et pourtant il y a aussi tout le reste, messieurs. Il y a le travail d'un technicien qui, qu'on le veuille ou non, produit du bon football, un technicien dont les matchs de novembre et décembre 2021 ont conduit les mêmes qui le massacrent aujourd'hui à écrire "c'est le plus beau Inter de tous les temps. C'est le même entraîneur qui a affaire à un effectif certes très compétitif (il ne serait pas parmi les 8 meilleurs d'Europe), mais qui est passé de Hakimi à Dumfries, de Perisic à Dimarco, de Skriniar (mais le chef est déjà à Montmartre) à Darmian, de Lukaku « docteur Jekyll » à Lukaku « Mr. Hydé". Attention : le soussigné adore Dumfries, Dimarco, Darmian et même ce Lukaku, mais il n'est pas facile de vivre la comparaison avec ceux qui vous ont précédé si ceux qui vous ont précédé avaient un très gros distributeur de billets en main, puis une fois vidé il a laissé le problème du tri à la postérité. L'autre soir à Porto, l'Inter n'a pas joué un match esthétiquement beau. Et ceux qui ont pris le terrain ont répondu par des faits à ceux pour qui "le vestiaire vaque à ses occupations". Conneries, le vestiaire est uni, imparfait mais en aucun cas résigné. C'est pourquoi "l'Inter est en déroute" (multicit.) est une phrase inacceptable, c'est pourquoi la colère d'Inzaghi - contenue mais tangible - l'autre soir est justifiée : critiquer est légitime, massacrer est une pratique barbare et typique de la communication moderne. Inzaghi avait raison de montrer les dents, car les malins dans le foot sont ceux qui quand ils gagnent "j'ai gagné" et quand ils perdent "ils ont perdu les garçons", alors que les bons, ceux qui "c'est de ma faute". Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
  22. Les mots de l'ex-footballeur : "L'Inter a énormément souffert. Ils feront passer Inzaghi pour quelqu'un qui a atteint un énorme objectif : pas du tout! S'adressant aux micros de Bobo TV, Antonio Cassano , un ancien footballeur, évoquait ainsi la qualification de l'Inter pour les quarts de finale de la Ligue des Champions : « Si on doit être honnête, l'Inter a eu beaucoup de chance entre les tours. Sur le papier, Cependant, l'Inter est beaucoup plus fort que Porto. Dans ces matches, il faut suivre le rythme, il faut avoir la qualité que les Nerazzurri n'ont pas : ils n'ont joué que le ballon et voyons. Au niveau international, c'est difficile si vous n'avez pas de champions qui fassent la différence : si Onana ne fait pas le gros arrêt, on va en prolongation. L'Inter a énormément souffert. Ils feront passer Inzaghi pour quelqu'un qui a atteint un objectif énorme : absolument pas. Avec Barcelone, ils n'avaient rien à perdre s'ils le jouaient en jouant un grand match : face à une équipe bien moins forte et inférieure à eux-mêmes, l'Inter n'a préparé qu'un match défensif. C'était un Inter moche et chanceux : ils sont passés devant et nous sommes contents, mais ce n'est pas suffisant pour le tour suivant, la chance est bonne une fois. Lautaro ? Je l'adore beaucoup, mais je m'attends à ce qu'il soit là dans ces genres de matches. Je m'attends à quelque chose de différent du joueur le plus fort de l'Inter. Les déclarations d'Inzaghi ? Renvoyez-le en mai. Les fans se font jeter de la fumée au visage pour pisser dessus, stop. Entre l'aller-retour que tu ne mérites pas, tu as joué un match nul : et tu me dis que tu as mérité et marqué l'histoire pour un quart de finale ? Ces mots montrent clairement que l'entraîneur n'est pas génial. S'il le pense vraiment, c'est une limite : ce n'est pas un grand entraîneur qui peut faire gagner l'Inter. Parlera-t-il bientôt ? Qu'est-ce que tu veux dire? Vous avez l'équipe la plus forte de la ligue et vous faites de la merde. Inzaghi a tout le temps d'évoluer, sinon il finira comme Allegri et Mourinho." Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
  23. L'Inter a atteint le stade des quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois en 12 ans après une masterclass défensive à l'Estadio Do Dragao contre Porto s'est terminée sans but. Les Nerazzurri ont montré dès le départ que cela allait être un match où l'accent était mis sur la défense de l'avance dès le match aller, un plan de match exécuté à la perfection. En seconde période, les hommes de Simone Inzaghi ont continué à travailler dur en tant qu'unité et en équipe défensivement, sacrifiant l'attaque pour garder une cage inviolée, c'est pourquoi l'équipe n'a presque rien créé. Et l'Inter a eu de la chance vers la fin lorsque Porto a frappé les boiseries à quelques reprises après que Denzel Dumfries ait effectué un dégagement décisif sur la ligne de but et qu'André Onana ait effectué des arrêts gagnants. André Onana – 7 : A prouvé une fois pour toutes pourquoi il doit commencer chaque match à la place de Handanovic. Des arrêts d'une importance monumentale et gagnants. MOTM. Matteo Darmian - 7 : Performance héroïque qui ne sera jamais oubliée par les fans de l'Inter tant qu'il sera vivant sur cette terre. Le professionnalisme personnifié. Francesco Acerbi – 7 : phénoménal défensivement tout au long du jeu, faisant preuve de leadership et de caractère. A été moqué et ri à son arrivée. Qui rit maintenant? Alessandro Bastoni - 7: A été critiqué à juste titre pour ne pas être assez bon défensivement, mais sur la base de cette performance, ces pourparlers peuvent être mis au lit. Denzel Dumfries – 6: La note est uniquement pour le dégagement de la ligne de but qui a valu à l'Inter l'égalité parce que sa performance était par ailleurs catastrophique. Comme d'habitude. Nicolo Barella – 6 : N'a pas du tout fait un bon match, surtout en première mi-temps où il a égaré des passes simples à maintes reprises, mettant l'équipe en danger. Hakan Calhanoglu - 7 : Phénoménal une fois de plus au plus haut niveau. Aurait été MOTM sans l'héroïsme d'Onana et il est difficile de ne pas le lui attribuer. Henrikh Mkhitaryan – 6,5: A lutté en première mi-temps mais s'est travaillé dans le match et a montré pourquoi Inzaghi lui fait autant confiance qu'il le fait. Présence apaisante. Federico Dimarco – 7: A montré à quel point il se souciait en travaillant ses chaussettes à partir de la minute où le match a commencé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus faire un pas de plus et qu'il soit sorti. Edin Dzeko – 5,5 : Mauvaise performance dans la phase offensive où il n'a absolument rien offert en perdant le ballon trop facilement mais a travaillé si dur en défense. Lautaro Martinez – 5,5 : Pire performance jusqu'à présent cette saison. Invisible pendant les 20 premières minutes des deux phases. Amélioré au fur et à mesure que le jeu avançait sans être bon. Romelu Lukaku – 5,5 : A remplacé Dzeko à la 70e minute pour aider l'Inter à conserver le ballon dans la moitié de terrain de Porto, ce qu'il n'a fait que quelques fois au maximum. Danilo D'Ambrosio – 6,5 : A remplacé Dimarco à la 70e minute et a montré à quel point il est important d'avoir sur le banc dans ces situations particulières. Stefan de Vrij - 6,5: Remplacé à la place d'un Bastoni blessé à la 74e minute et a bien aidé à renforcer la défense lorsque l'Inter était dans les cordes. Marcelo Brozovic – N/A : A été engagé pour sa BFF Barella à la 80e minute et n'a pas joué assez longtemps pour pouvoir être noté. Milan Skriniar – N/A : est entré sur le terrain à la 80e minute pour l'héroïque Darmian et n'a pas joué assez longtemps pour pouvoir être noté. Simone Inzaghi – 7 : A donné une masterclass défensive dont Helenio Herrera, Giovanni Trapattoni et José Mourinho auraient été fiers. Réalisation fantastique. Szymon Marciniak – 6 : Ennuyeux pointilleux et incohérent, ce qui a semblé irriter les joueurs des deux équipes. Vous avez toutes les bonnes décisions importantes, ce qui est le principal. Inter – 7 : En quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois depuis 2011 après une performance héroïque qui est déjà un classique de l'Inter. Qui était votre homme du match ? Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
  24. En effet, au triple coup de sifflet final scellant la qualification de l'Inter pour les quarts de finale de la Ligue des Champions, Simone Inzaghi s’est livré en conférence de presse. Voici ses déclarations relayées par nos confrères de Fcinter1908.it De quoi êtes-vous le plus fier ? "Du groupe, des garçons qui ont réalisé quelque chose d’Historique, qui nous manquait depuis tant de temps avec des milliers de difficultés : Nous avons connus des problèmes la veille du match et pendant celui-ci, et nous faisions face à un adversaire redoutable : Nous allons profiter de la soirée car nous avons réalisé le pas important que nous voulions : L’Inter et les Tifosi en avaient besoin, nous sommes en quart de finale et nous y participeront avec énormément d’enthousiasme." Que vous faut-il encore pour que ce qu'il s'est produit ce soir devienne un tournant de la saison ? "Il y a dix-huit mois, j’ai été appelé pour qualifier l’Inter en huitième de finale : Il m’avait été demandé de terminé dans le top quatre car il y avait quelques problèmes à mon arrivée. J'ai réalisé un travail important composé de titres et de victoire avec quelques défaites qui peuvent arriver. L’Inter est seconde, elle est en quart de finale de la Ligue des Champions, ce qui représente un immense objectif d’atteint : C’est juste de profiter de ce résultat, ensuite je penserai au quart de finale : Mes garçons sont capable de tout et il ne faut pas oublier que nous sommes second en championnat." C’est une partie Mourinhnienne qui rappelle celle du Nou Camp en 2010, est-ce que cet environnement vous a permis de faire ressortir quelque chose de plus ? "Nous n’avons pas souffert à part dans le dernier quart d’heure : Onana a été décisif mais l’équipe s’était auparavant montrée courageuse : Nous avons connu quelques petits problèmes, mais l’Inter mérite sa qualification sur l’ensemble des 180 minutes, car elle a l’a voulu de toute ses forces, sans encaisser de buts, face à une équipe composée de grands attaquants." Les Quarts de finale de la Ligue des Champions et second de Serie A, faut-il voir en ses résultats le verre à moitié plein ? "Je n’ai aucune revanche à prendre et ce n’est pas le moment d’en parler. Je sais quel est le parcours que j’ai réalisé ici, à l’Inter, avec mon Staff et les grands hommes que sont les joueurs à ma disposition." "Lors des douze dernières années, l'Inter a remporté un Scudetto qui a causé quelques problèmes financiers et au cours des 18 derniers mois, j’ai remporté trois titres et nous sommes en quart de finale de la Ligue des Champions, c’est facile de parler de Simone Inzaghi parce que l'éducation et l'intelligence sont peut-être confondues dans la vie. Quand le moment sera venu, je parlerai : je le dois à moi-même et à ma famille." Que faut-il améliorer en phase offensives ? "Aujourd’hui, nous avons eu quelques situations que nous aurions du bien mieux exploiter avec Barella et Lautaro, mais ce n’est pas le moment de critiquer. Nous sommes la seconde meilleure attaque de Serie A et l’année dernière nous étions la meilleure, lorsque nous avons un but en ligne de mire, nous essayons de l’atteindre : Ici le but de Lukaku a suffi lors de cette double confrontation et c’est juste de profiter de cette qualification en quart de finale. Dès demain, je penserai à la rencontre face à la Juventus." Mais c’est qu’il nous sort ses biscotto le petiot ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. En effet, être Interiste n'est pas à la portée de tout le monde et si comme Giuseppe Bergomi, le Nerazzurro coule dans vos veines, la fin du match opposant l'Inter à Porto l'a fait craquer....Au point que cela a provoqué un tollé en Italie! En effet, dans les dernières minutes, l'anciennne Bandiera de l'Inter s'est laissé aller avec plus de passion que d'habitude car l'équipe de Simone Inzaghi souffrait et il l'a lui-même admis lors d'un entretien depuis Porto avec le studio de Sky Sport : "On pense que plus on vieillit, mieux on gère ses émotions, mais aujourd'hui je me suis rendu compte que ce n'est pas le cas. On a vu ce sentiment d'appartenance du groupe, celui d'une équipe qui a toujours encaissé des buts à l'extérieur et qui, aujourd'hui, a réussi sa performance. Nous avons souffert, et pas qu'un peu." Et en après-match: "Pour le commentateur que je suis , les dernières minutes ont été une grande souffrance. Quand les matches s'étirent ainsi, il faut savoir résister dans les moments cruciaux : les arrêts d'Onana, de Dumfries et de Darmian sont les situations qui m'ont le plus enthousiasmé. Pour poursuivre ses rêves, il faut faire beaucoup d'efforts et aujourd'hui l'Inter l'a fait." Et un débat s'est immédiatement ouvert sur les médias sociaux, mais il y a une évidence sur l'analyse du ton employé par Bergomi, avec d'un côté les Tifosi de l'Inter enthousiasmés par leur Zio, lui, qui avait aussi souvent critiqué les Nerazzurri au cours de la saison et d'autre part tous les autres qui ont trouvé excessive la façon de raconter la phase finale du match. Et histoire d'en remettre une couche Beppe Bergomi, s'est aussi lâché sur la possibilité de commenter un Derby milanais en quart de finale de la Ligue des Champions : "Si c'est l'issue du tirage au sort, alors je ne serai pas être aux commentaires car ce genre de match est toujours difficile à vivre et j'espère qu'il y aura un autre tirage au sort qui suivra par la suite, comme me le disent aussi certains amis milanais qui m'ont écrit". Uno Di Noi! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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