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Au lendemain de la mort de Sinisa Mihajlovic, Javier Zanetti dédie le souvenir à son ancien coéquipier à l'Inter dans une conversation avec La Gazzetta dello Sport. Notre vice-président des Nerazzurri rembobine la bande à partir de sa première rencontre avec le mortel gaucher serbe. "C'est arrivé sur le terrain lors d'un match entre l'Inter et la Sampdoria. Je le connaissais déjà pour son excellente carrière à l'Etoile Rouge, le club avec lequel il avait remporté la Champions, et avec la Roma. Combien de batailles contre lui... C'était un défenseur très fort, maintenant construire par le bas est à la mode et il a très bien construit, aussi parce qu'il avait commencé comme arrière latéral. Et quand il tirait des coups francs, il était fou. Quand il est venu jouer à l'Inter, il a relevé de grands défis à Appiano Gentile avec Recoba puis avec Veron." Quelle était votre idée de lui avant de le rencontrer ? "J'ai d'abord pensé que c'était un homme avec une grande personnalité. Et puis un combattant. Quand j'ai joué contre Sinisa, j'étais content parce que j'aimais les défis contre des joueurs courageux. Il n'a jamais abandonné." À l'Inter, Mihajlovic a d'abord été votre partenaire, puis l'entraîneur adjoint de Mancini. Comment était-ce dans le vestiaire ? "Très généreux. Il aimait faire équipe, il savait plaisanter et était toujours très positif. Je me souviens de la joie quand nous avons remporté une Coupe d'Italie grâce à l'un de ses coups francs. En tant que coéquipier et en tant qu'entraîneur, il était vrai, il a toujours fait preuve d'une grande personnalité et de caractère. Un homme loyal. Avoir des gens comme ça dans les vestiaires a élevé le niveau du groupe. Pour gagner, il faut des gens comme Sinisa, qui se révélait toujours dans les moments difficiles." En tant qu'ami, de quel épisode vous souvenez-vous avec le plus de nostalgie ? "Beaucoup de moments nous ont liés, mais s'il faut en choisir un, je pense à la première rencontre après l'annonce de sa maladie. Nous avons échangé un câlin très fort duquel il y avait tout et le sentiment qui nous liait. J'ai vu le sourire malgré tout : une belle leçon." Vous semblez être deux personnes de caractère très différent. Peut-être que vous aviez lié d'amitié pour cela aussi? "Je suis d'accord, par nature Sinisa était différent de moi. Mais j'aimais être avec lui et nous avons tous les deux travaillé pour le bien du groupe. C'était quelque chose qui nous unissait beaucoup : comprendre ce dont les autres avaient besoin dans le vestiaire. Un autre point qu'on avait en commun, c'était l'envie de gagner : pour nous, l'entraînement et le match c'était la même chose, on a toujours tout donné, et je n'oublie pas que notre cycle a commencé avec son arrivée à l'Inter. Il était diplomate, mais il ne m'est jamais arrivé de penser qu'il aurait pu éviter de s'exprimer de manière trop directe. Entre-temps, j'éprouvais un grand respect pour lui et il disait rarement quelque chose de déplacé. Chaque mot qu'il prononçait avait un sens. La guerre des Balkans l'avait marqué de façon évidente. Sinisa était un homme profond, je me souviens de beaucoup de ses réflexions sur la guerre et la maladie." Qu'est-ce qui vous a frappé dans sa façon d'aborder la maladie ? "La force, qui était là pour tous. La capacité de défier le mal avec le double objectif de guérir et de faire souffrir le moins possible la famille dans le processus de traitement et de thérapie. Un jour, une dame est venue me voir parce que sa fille avait une leucémie et m'a demandé deux vidéos d'encouragement, une de moi et une de Sinisa. Il était très gentil et son message m'a ému et m'émeut encore maintenant. Je veux envoyer un gros câlin à la famille de Sinisa, sa femme et le les enfants doivent être fiers de lui et ils le sont certainement. Il souriait toujours malgré tout. Je suis désolé, je ne suis pas en Italie, mais dès que je pourrai les rencontrer, je les serrerai dans mes bras. Aujourd'hui, ils souffrent beaucoup et ils doivent savoir qu'ils ne sont pas seuls." Traduction alex_j via FCINterNews.
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Massimo Moratti parle. Notre ancien président, en exclusivité pour Il Secolo XIX, a abordé diverses questions d'actualité concernant le football. "Thiago Motta contre Dejan Stankovic pour Bologne-Sampdoria ? C'est impressionnant, c'est merveilleux de voir qu'ils ont progressé et qu'ils entraînent aujourd'hui des clubs importants avec une grande tradition." Vous attendiez-vous à les voir sur le banc un jour ? "Ils ont deux caractères différents. Thiago est un peu plus renfermé, réfléchi, professionnel très sérieux. Dejan était un très bon garçon, bon enfant, plein de volonté. Ce sont des gens positifs, ils l'étaient sur le terrain et ils le sont comme entraîneurs." Dazn lui a dédié une série, "Sympathique", et à cette occasion vous avez dit que le plus sympathique de vôtre Inter était Stankovic. "Gentil d'un point de vue humain : il est fiable, tu sais qu'il est sincère, transparent, il t'a toujours tout donné. L'expérience avec le Red Star Belgrade a été très positive, j'espère qu'il sera utile à la Sampdoria qui en a besoin. J'espère vraiment pour lui et pour la Sampdoria que tout ira bien." Pourra-t-il faire comme Mihajlovic qui a sauvé la Sampdoria ? "Il y a l'origine serbe, le caractère fort, ils se sentent responsables de leur rôle et c'est très important. Je pense que Dejan lui ressemble de ce point de vue. Il faut être un peu patient, c'est la première fois comme entraîneur en Italie mais il a les qualités pour bien faire." Qu'est-ce qui vous a frappé chez Stankovic et Thiago en tant que footballeurs ? "J'ai aimé la passion qu'a mise Stankovic. Je me souviens de cet incroyable but contre le Genoa mais ce n'était pas le premier comme ça. Il avait la force de toujours savoir répondre correctement à chaque situation, grand combattant. Il a entraîné ses coéquipiers dans les moments difficiles. Mancini m'a conseillé, il était très fort. Motta était plus réfléchi, attentif à faire toutes les choses pragmatiquement parfaites au milieu de terrain pour être utile à l'équipe, c'était un joueur très intelligent." Stankovic a fait part d'un renouvellement signé avec une durée de 4 ans mais sans chiffres. "Oui, c'était mon insouciance... (rires) il nous a fait confiance et je pense qu'on a eu raison de lui faire confiance. Moi non plus je ne l'ai jamais regretté, je ne me souviens pas des chiffres mais des gars comme lui ont montré qu'ils méritaient ce qu'ils ont pris." Un footballeur de la Sampdoria que vous auriez aimé ? "Toute la Sampdoria du Scudetto (1991, ndlr). C'étaient des phénomènes merveilleux, fantastiques, ils reflétaient la sympathie d'un homme formidable comme Mantovani. Bien sûr, Mancini reste le meilleur exemple de classe et de talent dont il fait également preuve en tant qu'entraîneur. Et dans le passé j'aurais aimé prendre Quagliarella, mais je n'ai pas réussi." Un talent d'aujourd'hui qui vous enflamme ? "Je suis étonné de voir à quel point je vois des joueurs avec des noms très difficiles comme Kvaratskhelia du Napoli emmenés dans des endroits lointains. Il semble qu'il joue simple et il gère tout ce qu'il veut, très bien. Mais je dis Haaland! Branca me l'aurait fait acheter à 100 %, je le vois déjà dire 'président il est spécial' et je l'aurais amené à l'Inter." L'Inter qui a réagi en Ligue des champions. "Inzaghi a l'expérience pour sortir de cette situation. Maintenant il faut de la patience, la confiance est essentielle, que le club reste près de lui et le défende." Un favori pour le Scudetto ? "Napoli est devant... impressionnant comment ils jouent. Mais avec la Coupe du monde c'est une année étrange, il peut y avoir la surprise de ceux qui n'ont pas l'habitude de gagner." Qui allez-vous encourager entre Stankovic et Motta ? "Je les aime tous les deux. J'aimerais que Stankovic ait une satisfaction à ses débuts mais je suis content que Motta puisse encore prouver qu'il est bon. Je ne dis rien, je prévois de souffrir des deux côtés pendant le match." Traduction via FcInter1908.
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L'Inter est de retour en action en milieu de semaine. Ce mercredi à 20h15 (heure locale), les Nerazzurri affronteront Bologna au Dall'Ara dans le cadre de la 20ème journée. Leur première rencontre de la saison, le 18 septembre dernier à San Siro, s'est soldée par une victoire 6-1 de l'équipe de Simone Inzaghi. Les Nerazzurri sont sur une série de quatre victoires consécutives en championnat, la dernière datant de samedi, lorsqu'ils ont battu la Roma 3-1 à San Siro, ce qui a porté leur nombre de points pour à 72. Quant à Bologna, il a assuré sa place en Serie A pour la saison prochaine en obtenant un point lors du match nul 2-2 contre l'Udinese, ce qui permet aux Rossoblu de compter 39 points. Rencontres précédentes Mercredi, l'Inter et Bologna s'affronteront pour la 150ème fois en Serie A. Le bilan est de 73 victoires des Nerazzurri, 35 nuls et 41 victoires des Rossoblu. L'Inter a remporté six de ses huit derniers matchs en Serie A contre Bologna, et le dernier match nul contre eux remonte au 19 septembre 2017. L'équipe d'Inzaghi a remporté ses trois derniers matchs contre les hommes de Sinisa Mihajlovic. Lors des 15 derniers matchs de championnat à domicile de Bologna contre l'Inter, ils n'ont pas gagné une seule fois, avec trois fois match nul et 12 défaites. Ils n'ont gardé un score vierge qu'à une seule reprise, lors d'un match nul 0-0 en août 2010. La dernière fois que Bologna a battu l'Inter à Dall'Ara en Serie A, c'était il y a plus de 20 ans, le 10 février 2002, grâce à des buts de Fabio Pecchia et Lamberto Zauli. Carnet de bord Les Nerazzurri sont sur une série de 11 matches sans défaite à l'extérieur, avec cinq nuls et six victoires. La dernière fois que l'Inter a enregistré une telle série en une seule saison remonte à 2007/08. Depuis que l'Inter a concédé un but à la Lazio le 16 octobre, ils n'ont jamais encaissé plus d'un but lors d'un match à l'extérieur ; au cours de cette période, ils ont concédé quatre buts, et réalisé sept clean-sheet. Sur les cinq principaux championnats européens, aucune équipe ne peut se vanter d'avoir un aussi bon bilan que les Nerazzurri, à part Manchester City. Statistiques des matchs En ce qui concerne les Rossoblu, aucune équipe n'a marqué moins de buts dans la première demi-heure d'un match cette saison que Bologna, qui est à égalité avec le Genoa avec un record de cinq. Les Nerazzurri ont marqué 20 fois dans les 30 premières minutes des matches de Serie A cette saison ; seul l’AC Milan a fait mieux, avec 22 buts dans ce laps de temps. L'Inter (11) et Bologna (8) font partie des trois équipes (avec la Roma, 11) qui ont marqué le plus de buts sur corner lors de la saison 2021/22 de Serie A. De plus, les Rossoblu possèdent la meilleure défense lorsqu'il s'agit de résister aux attaques sur corner. Ils n'ont concédé que deux buts cette saison, devant l'Inter qui en a encaissé trois. Aucune équipe n'a vu autant de ses remplaçants marquer des buts que l'Inter en Serie A 2021/22. Douze des buts des Nerazzurri ont été marqués par des joueurs remplaçants, dont deux des buts d'Edin Dzeko contre l'adversaire de ce soir, lors de la première rencontre de la saison. L'Inter a marqué plus de buts directs que toute autre équipe de Serie A depuis le début de la saison (10), tandis que seule la Salernitana (9) a concédé plus de buts directs que Bologna (8). Le point sur les joueurs Dans les rangs de Bologna, on trouve deux anciens joueurs de l'Inter : Gary Medel a joué 91 fois et marqué une fois pour l'Inter, tandis que Marko Arnautovic a représenté l'Inter à trois reprises lors de la saison 2009/10. Edin Dzeko a inscrit sept buts contre Bologna, dont un doublé après être entré en jeu plus tôt dans la saison. Cela fait des Rossoblu son deuxième adversaire préféré pour les buts sur les cinq grands championnats européens, après Stuttgart contre qui il a marqué huit fois. Lautaro Martinez, qui a trouvé le chemin des filets à 16 reprises en Serie A depuis le début de la saison, est à un but d'égaler son meilleur record de la saison (17), atteint en 2020/21. Son record global dans l'élite italienne est de 53 buts, ce qui signifie qu'il fait désormais partie des 20 meilleurs buteurs de tous les temps en Serie A, à égalité avec Pietro Serantoni, Jair et Alvaro Recoba. Quant à son compatriote Joaquin Correa, la seule équipe contre laquelle il a marqué plus de buts que Bologna (trois) est l’AC Milan (quatre). S'il trouve le chemin des filets mercredi, les Rossoblu seront le seul adversaire contre lequel il a marqué pour trois clubs différents, après l'avoir fait avec la Lazio et la Sampdoria. Si Nicolo Barella marque lors de ce match en milieu de semaine, Bologna sera le premier club contre lequel il aura marqué à domicile et à l'extérieur en une seule saison. Cartons et suspensions Quatre joueurs de l'Inter sont à un carton près pour le match de l'Udinese à la Dacia Arena ce dimanche. Bologna ne pourra pas compter sur Gary Medel pour cause de suspension. Suspendu Bologna : Medel (1). Inter : - Menace de suspension Bologna : Soriano. Inter : Bastoni, Perisic, Vidal, Calhanoglu. ©Internazionale.fr, via sempreinter.com - Traduction Oxyred
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L'Inter rencontrera des visages familiers sur le banc de touche lors de chacun de ses trois prochains matches de Serie A. C'est ce que souligne le journal turinois Tuttosport, qui note que les trois prochains adversaires des Nerazzurri sont entraînés par d'anciens joueurs ou entraîneurs de l'Inter. Vendredi, l'Inter se rendra en Ligurie pour affronter Spezia, qui réalise une bonne saison sous la direction de Thiago Motta. L'ancien milieu de terrain des Nerazzurri, qui a joué un rôle clé dans le triplé européen en 2010 avant de rejoindre le PSG, a connu une première expérience difficile en tant qu'entraîneur en Serie A avec le Genoa, mais il semble avoir réussi à éloigner Spezia de la relégation cette fois-ci. Les Nerazzurri se méfieront de l'équipe de Motta malgré leur budget et leur place au classement, et ils se méfieront encore plus de leur adversaire d’après, une équipe de la Roma en forme entraînée par l'ancien coach de Motta, José Mourinho. Le tacticien portugais connait l'une des formes les plus régulières de la saison avec les Giallorossi, et il se rendra à San Siro en espérant que son équipe obtiendra un résultat contre le club qu'il a guidé vers le triplé. Après cela, les Nerazzurri joueront enfin leur match reporté contre Bologne, qui était prévu pour le 6 janvier, et ils rencontreront un autre ancien de la maison en la personne de Sinisa Mihajlovic. L'entraîneur serbe est actuellement à l'hôpital, mais s'il est en mesure d'apparaître sur le banc de touche, il affrontera une équipe pour laquelle il a joué et dont il a été l'entraîneur adjoint sous Roberto Mancini. ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
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Bologne-Inter : La Cour d’Appel de la FIGC rend son verdict aujourd’hui
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
La Cour d’Appel de la FIGC va communiquer sa décision aujourd’hui, suite au recours introduit par l’Inter vis-à-vis de la Justice Sportive qui n’avait pas fait preuve d’équité dans les différents cas de blocus vis-à-vis des décisions prises par les différentes Agences Sanitaires Locales de bloquer certaines rencontres dont celle opposant les Champions d’Italie au club entraîné par Sinisa Mihajlovic. Selon le Corriere Dello Sport, la décision est attendue pour cet après-midi dans un climat de guerre froide entre les deux clubs : "Bologne s’attendait à ce que l’Inter accepte la décision de la Justice Sportive, qui avait décidé d'office et sans consultation préalables avec les parties, que le match ne pouvait pas être gagné sur tapis vert. Même les déclarations de Giuseppe Marotta, en date du 6 janvier, dans l’enceinte du Stade Renato-Dall’Ara laissaient sous-entendre qu’il aurait été difficile pour l’Inter de jouer ce match, étant donné l’impossibilité objective de l’équipe de Mihajlovic de se présenter sur le terrain." Toutefois, après la décision du TAR Emilia-Romagna du 8 janvier, est arrivée la décision surprise du Club Nerazzurro: "L’Inter a demandé à la victoire sur tapis vert à la Cour d’Appel de la FIGC, devant laquelle les Nerazzurri feront face à la Lega Serie A, qui a décidé de se présenter en Justice, et Bologne: L'importance est de taille surtout en termes d'image et de crédibilité pour tous, à tel point que l'administrateur délégué Claudio Fenucci interviendra personnellement en faveur de Bologne". Si les précédents sont peuvent faire espérer Bologne, l’Inter a une carte à jouer "Dans tous les cas précédents où les autorités sanitaires locales sont intervenues en " bloquant " une équipe, en commençant par le Juventus-Napoli du 4 octobre 2020, soit la pierre fondatrice du scandale, et en continuant avec Lazio-Torino et d'autres matchs du championnat de Serie B 2020-2021, il a toujours été reconnu qu’il y avait un cas de force majeur pour le club qui n’avait pas su se présenter sur le terrain, ce qui entraînait ensuite la reprogrammation du match." "L’Inter, de son côté, se présente muni du cas très récent et isolé d'Udinese-Salernitana, toujours en suspens, dans lequel la Justice Sportive, malgré la mesure de blocus de l'Asl de Salerne, a imposé la défaite sur Tapis-Vert et un point de pénalité aux Campani en détectant une négligence du club dans la phase d'avant-match, et ce même si le match n’aurait pas eu la moindre chance d’être disputé. Bologne, en revanche, estime avoir fait tout ce qui était en son pouvoir pour jouer (y compris déposer la liste de la formation avant la notification du blocage) et invoque donc la différence profonde entre les deux cas". Selon vous, qui aura gain de cause ? L’Inter via au récent précédent ou Bologne, dans la lignée des matchs bloqué et disputé depuis l’année dernière ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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L'Inter voulait une évolution, pas une révolution, après avoir remporté un premier Scudetto en 11 ans. La déroute de Bologne a montré comment. Ceci est une traduction intégrale de ''Inter serve up a storm as Inzaghi looks to blow memories of Conte away'' de Nicky Bandini paru sur le site du Guardian. Comme un oiseau cherchant un abri dans les heures qui précèdent une tempête, Sinisa Mihajlovic savait que les ennuis allaient arriver et pourtant, il était impuissant à les arrêter. "Parlons d'autre chose", a-t-il dit, maudissant librement, après avoir été interrogé Vendredi sur le succès de Bologne à conserver des clean sheets. "Maintenant, nous ne faisons qu'inviter la malchance… si nous concédons un but demain, je vais me fâcher contre vous les gars ! Qu'est-ce que c'est ça? Quand nous ne concédons pas de buts après 20 matchs d'affilée, alors nous pouvons parler de ce genre de choses. Pas après deux matchs.'' Un jour plus tard, Bologne a été balayé par l'ouragan nommé Inter: encaissant non pas un but, mais six. Denzel Dumfries est arrivé comme un coup de vent, ou pas loin vu que c'est ce que l'on peut attendre d'une personne capable d'atteindre une vitesse de pointe enregistrée de 34,38 km/h (21,36 mph), apportant le premier but de Lautaro Martínez à la sixième minute. Ce n'était que le début. Milan Skriniar a doublé l'avance grâce à une tête sur corner et Nicolò Barella a porté le score à 3-0 avant la pause, convertissant un autre centre de Dumfries. L'arrière droit néerlandais offrait une nouvelle occasion à Martínez au début de la seconde période, mais cette fois le tir touchait la barre et le gardien de Bologne au retour Peu importe. Matías Vecino a rapidement ajouté le quatrième, avant qu'Edin Dzeko ne frappe deux fois pour compléter le compteur de l'Inter. Bologne a inscrit son but tardif via Arthur Theate, mais il n'y avait guère de consolation dans ce score final de 6-1. Mihajlovic a déclaré que son équipe n'avait pas eu de chance et que les choses auraient pu se passer différemment si Bologne avait tenté sa chance en première mi-temps. Samir Handanovic a fait un superbe arrêt sur une tentative de Roberto Soriano, mais il était difficile de croire que cela aurait eu de l'importance compte tenu de la supériorité nette de l'Inter. Bologne a poussé trop haut, trop tôt. Quiconque a observé la carrière managériale de Simone Inzaghi doit savoir à quel point il est efficace pour préparer ses équipes à frapper rapidement, en attirant les adversaires et en attaquant les espaces laissés libres. C'est en partie pourquoi l'Inter l'a cherché pour succéder à Antonio Conte. Il existe des lignes claires et partagées dans leur approche, préférant à la fois une défense à trois et un football construit sur des partenzes rapides, des départs rapides de l'arrière, la terminologie était importante pour Conte, qui n'a jamais pu supporter qu'on lui dise que son équipe jouait sur la contre-attaque. L'Inter voulait une évolution, pas une révolution, après avoir remporté son premier titre en 11 ans . Il y avait d'autres raisons de choisir Inzaghi qui était prêt à accepter un tiers du salaire de Conte. Mais la continuité était une considération importante. Beaucoup doutaient que cela puisse être réalisé. En plus de Conte, l'Inter avait fait ses adieux à Romelu Lukaku ainsi qu'à Achraf Hakimi. La Juventus ayant ramené Massimiliano Allegri, peu étaient prêts à nommer l'Inter comme favori pour conserver sa couronne. Quatre matchs dans la saison, les perceptions changent déjà. Cela est en partie dû à la forme lamentable de la Juventus, son match nul contre Milan dimanche prolongeant un départ sans victoire. L'Inter, cependant, a été convaincante, ramassant 10 points pour se hisser en tête du classement. Le nombre de buts de l'Inter est plus aguicheur: 15 en quatre matchs. Depuis que Helenio Herrera était manager des Nerazzurri, en 1960, aucune équipe de Serie A n'avait marqué plus à un stade aussi précoce. Si Inzaghi a cherché à s'appuyer sur le bon travail de Conte alors ce qui a été fascinant a été d'observer des variations dans cette jeune campagne. Il est trop tôt pour des jugements définitifs, mais tactiquement, il y a eu de petits changements, l'Inter occupant des positions plus élevées sur le terrain. Dzeko interprète le rôle du n ° 9 différemment de Lukaku, jouant davantage dos au but et permettant à l'équipe de construire à travers lui au lieu de servir de destination finale aux attaques. Le changement le plus important, cependant, pourrait s'avérer dans l'utilisation du contingent. Bien qu'il ait souvent demandé que son équipe soit élargie, Conte avait tendance à s'appuyer sur un petit groupe de joueurs, avec neuf titulaires pour 29 matches ou plus la saison dernière en Serie A. Parfois, il semblait tentant de souligner l'inexpérience et le manque de préparation des joueurs qu'il avait demandé. Après avoir reçu des critiques après une défaite en phase de groupes de la Ligue des champions contre Dortmund en 2019, il a exigé de savoir : ''À qui sommes-nous censés demander plus ? Nicolò Barella qui est arrivé de Cagliari ? Stefano Sensi, venu de Sassuolo ?'' Inzaghi a adopté une ligne différente, faisant confiance à des joueurs tels que Dumfries plus tôt qu'il ne l'avait prévu. C'était sa première titularisation pour l'Inter et il a plus que justifié son inclusion, terrorisant l'arrière gauche écossais de Bologne, Aaron Hickey. Dumfries nous a rejoint cet été pour remplacer Hakimi. Il faudra plus d'un match pour faire oublier le Marocain, mais la Gazzetta dello Sport a pris grand plaisir à constater que la vitesse de pointe de Dumfries était presque égale à celle de son prédécesseur. Sur le flanc opposé, Federico Dimarco a également commencé et a fait une impression tout aussi forte, construisant les buts de Skriniar et Vecino. Diplômé de l'académie de l'Inter, qui a rejoint le club à l'âge de six ans, Dimarco a été négligé et prêté par les managers successifs, mais il s'agissait de sa deuxième titularisation, à deux postes différents, sous Inzaghi. Son premier match a eu lieu en tant que défenseur central gauche lors du nul 2-2 avec la Sampdoria, lorsqu'il a marqué un superbe coup franc. Bien que Dimarco ait semblé plus à l'aise à l'arrière Samedi, sa polyvalence est appréciée par le nouveau manager, tout comme son coup franc. Inzaghi a été explicite sur son intention de continuer à faire tourner l'équipe pour lutter contre la fatigue. À partir de Mardi, l'Inter entame une course éreintante de huit jours qui les emmène chez une une impressionnante Fiorentina, de retour à la maison pour affronter l'Atalanta, puis à Kharkiv pour affronter le Shakhtar Donetsk. Samedi, ils se remettaient d'une défaite en milieu de semaine contre le Real Madrid. Inzaghi a fait le choix délibéré de laisser au repos Hakan Calhanoglu, Ivan Perisic et Dzeko contre Bologne, mais ce dernier a été contraint à l'action tôt après que Joaquín Correa ait reçu un coup en première mi-temps. La défaite de Madrid a alimenté par les joueurs de l'Inter, Skriniar s'exprimant lors d'une interview à la mi-temps contre Bologne sur un désir commun de soulager cette colère d'un match que lui et ses coéquipiers pensaient qu'ils auraient dû gagner. Inzaghi avait été critiqué pour ses remplacements, accusé d'avoir coupé l'élan de son équipe alors qu'elle dominait. D'une manière ou d'une autre, l'Inter a créé une tempête contre Bologne. Seul le temps nous dira si Inzaghi peut exploiter et convertir leurs énergies aussi régulièrement, voire mieux, que son prédécesseur en une force toujours dévastatrice. Traduction alex_j.
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AFP - L’Inter a corrigé Bologne 6 à 1 samedi au stade Guiseppe Meazza et pris provisoirement la tête de la Serie A en attendant les matchs de dimanche et lundi qui pourraient permettre à l’AS Rome, Milan et Naples de refaire leur retard d’un point. Agressifs au pressing, incisifs en contre et précis dans la construction, les Milanais n’ont laissé aucune chance à une équipe de Bologne désorganisée et quasiment incapable de se créer des occasions. Il y a eu cinq buteurs mais s’il faut retenir un trio Nerrazzuro, ce seront les trois milieux qui n’apparaissent pas au tableau d’affichage : défenseurs, attaquants, passeurs, Federico Dimarco, Denzel Dumfries et surtout Marcelo Brozovic, le chef d’orchestre, ont donné le tournis à leur adversaire. Le festival des hommes de Simone Inzaghi a débuté à la 6e minute, Dumfries a débordé côté droit pour centrer vers Lautaro Martinez qui a fusillé Skorupski à bout portant. Skriniar a par la suite devancé de la tête le même gardien polonais, en retard (30e). Brozovic, 4 minutes plus tard, a lancé Dumfries à droite, dont le centre mal repoussé par la défense a échoué sur Barella qui n’avait plus qu’à pousser au fond (3-0). Le discours du coach de Bologne Sinisa Mihajlovic à la mi-temps n’a rien changé, ses hommes ont continué à subir les voies d’eau : Dimarco a repris la marche en avant avec un ballon qui a transpercé toute la surface de réparation et ses acteurs pour finir dans les pieds de Vecino, qui a pris le temps de contrôler pour marquer de près (54e). Brozovic, encore lui, a envoyé à l’heure de jeu un ballon tendu dans la surface adverse, que Lautaro Martinez a laissé très intelligement passer pour Dzeko, buteur du pointu (62e). Le même Dzeko a profité 5 minutes plus tard d’une passe d’Alexis Sanchez contrée par De Silvestri pour longer la ligne de but et frapper en force par dessus la tête de Skorupski dans un angle impossible. La réduction du score anecdotique d’Arthur Theate pour Bologne (6-1) ne suffira pas à apaiser les maux de tête de Mihajlovic après la déroute de son équipe. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 6-1 Bologne Buteur(s): 6' Lautaro Martinez (I), 31' Skriniar (I), 34' Barella (I), 54' Vecino (I), 65', 68' Dzeko (I), 86' Theate (B) Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (67' 11 Kolarov); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozovic (74' 5 Gagliardini), 8 Vecino, 32 Dimarco; 10 Lautaro Martinez (67' 7 Sanchez), 19 Correa (29' 9 Dzeko) Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 14 Perisic, 20 Calhanoglu, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian, 48 Satriano T1: Simone Inzaghi Bologne: 28 Skorupski; 29 De Silvestri (77' 6 Theate), 17 Medel, 4 Bonifazi, 3 Hickey (55' 35 Dijks); 8 Dominguez (69' 20 Van Hooijdonk), 32 Svanberg (55' 55 Vignato); 11 Skov Olsen, 21 Soriano, 10 Sansone (55' 99 Barrow); 9 Arnautovic Banc: 22 Bardi, 2 Binks, 5 Soumaro, 6 Theate, 7 Orsolini, 15 Mbaye, 19 Santander, 66 Amey T1: Sinisa Mihajlovic Arbitre: Ayroldi Var: Guida Averti(s): De Silvestri (B), Hickey (B), Dijks (B) Expulsé(s) : / Affluence: 35.278 Tifosi ®AFP
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En effet, actée la défaite face au Real Madrid en Ligue des Champions, l’Inter reprend son parcours en Serie A avec l’arrivée au Stade Giuseppe Meazza du Bologne de Sinisa Mihajlovic et selon la Gazzetta Dello Sport, il devrait s’agir de la première titularisation de la Cola "C’est finalement l’heure de la Cola rafraîchissante et énergisante : Cette équipe de l'Inter, un peu épuisée après sa première défaite de la saison, en a besoin. Il n’y a rien de grave, mais cette gorgée peut revitaliser l'équipe et l'aider à se remettre en selle : Après la pause internationale, le sprint initial a connu un coup d’arrêt." TENTATION FORTE "Simone Inzaghi évaluera demain s’il va adapter son rempart offensif et le confier au duo argentin tant attendu, en prenant une dose de Cola pour se réveiller. La décision sera prise aujourd’hui après avoir mis en lumière la condition physique d’Edin Dzeko, qui est indispensable et sur qui l’on s’appui. Un tour de repos physiologique lui serait bénéfique, tout comme il serait naturel de se fier aux deux plus jeunes armes du rempart offensif." ARGENTINA "Le Toro et Il Tucu y ont déjà été titularisé ensemble à 4 reprises, deux fois dernièrement à l’occasion du dernier cycle de qualification. Ensemble, ils comptabilisent un totale de 110 minutes de jeu. Ce n'est que la première fois, face au Chili et sans Messi, et il y a quelques années, qu'ils ont fait équipe dès le départ." "Ce qui est le plus impressionnant, c'est le sentiment qui circule naturellement entre les pieds de Cola Nerazzurra : Durant ce court laps de temps passé ensemble, Correa a marqué à deux reprise et toujours sur des passes de son jumeau Martinez." Validez-vos ce choix offensif, s’il vient à être confirmé ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Si Simone Inzaghi est à présent le nouvel entraineur de l’Inter, il y a lieu de constater que ce n’est pas la première fois que le club laziale "fournit" des recrues de qualités à la Beneamata En effet, Simone Inzaghi est le dernier homme d’une longue série de transferts de la Lazio vers l’Inter. Les plus récents sont les arrivées d’Antonio Candreva et d’Hernanes, qui ont eu lieu lors de l’ère Lotitio Si l’on remonte dans le passé, on retrouve le transfert de Christian Vieri, qui avait quitté le club romain pour gagner : Bobo est d’ailleurs l’un des attaquants les plus prolifiques de l’Histoire de l’Inter Quelques saisons auparavant, on retrouve également l’arrivée d’Aaron Winter et celle de Cesar, qui est loin d’être inoubliable, malgré les titres remportés. On retrouve également la trace d’Hernan Crespo qui avait comme but de remplacer Ronaldo. Il y également l’arrivée de Roberto Mancini et de Stefan De Vrij qui, ensemble, représente les départs les plus douloureux de la Lazio : Le Sélectionneur de la Lazio abandonnait une équipe en déroute financière économique après y avoir passé 7 saisons. Le néerlandais, quant à lui, ne s’est jamais vu pardonner la faute qui avait amené à un pénalty décisif lors de la confrontation directe entre la Lazio et l’Inter (2-3). L’Inter allant devenir son nouvel employeur Le seul transfert négatif a été celui de Mauro Zaraté lors de la saison 2011-2012 qui a été suivi de son retour dans la Capitale On retrouve au rayon des meilleurs coups l’expérimenté Dejan Stankovic qui a pris part au Triplé 2010, tout comme Goran Pandev, qui, en décembre 2009 quittait la Lazio après six mois de tensions avec Lotito. Pour conclure cette liste, on retrouve Sinisa Mihajlovic, qui est pressenti pour être le futur entraineur Biancoceleste, et Giuseppe Favalli, arrivé en 2004, lorsque la Lazio était également en grande difficulté financière Avec l’arrivée de Simone Inzaghi, la Lazio envoie à nouveau ‘un traitre’ à l’Inter, tandis que celle-ci espère avoir trouvé le digne hérité d’Antonio Conte Fallait tout simplement pas nous la faire à l’envers en mai 2002 les gars ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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C’est une information en provenance de Tuttomercatoweb.com, vu le départ de Simone Inzaghi pour Milan, Sinisa Mihajlovic devrait quitter Bologne pour rejoindre la Capitale "Le nom le plus chaud à la Casa Lazio pour l’après Simone Inzaghi est Sinisa Mihajlovic. Il y a déjà eu des premiers contacts entre les différentes parties. Si tout se passe comme prévu avec la signature d’Inzaghi à l’Inter, Mihajlovic devrait devenir le nouvel entraineur de la Lazio." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Selon la Stampa, c’est bel et bien Simone Inzaghi qui serait l’entraineur le plus apte à prendre la relève d’Antonio Conte: L’Inter va consommer sa séparation avec Antonio Conte, et elle devrait appeler à la barre, Simone Inzaghi. L’entraineur de la Lazio est le second choix immédiatement après celui de Massimiliano Allegri, qui avait déjà été contacté par le Club Nerazzurro. La présence d’Inzaghi garantirait la continuité du 3-5-2 de Conte. C’est pour cette raison qu’il est préféré à l’autre prétendant Sinisa Mihajlovic. Il reste à présent à savoir, quels seront les interprètes sur le terrain, au terme du prochain mercato qui s’annonce difficile pour l’Inter. "En présence de tous ces éléments, la décision de Suning de ne pas vendre le Club au fond londonien Bc Partners pour 800 millions d’euros entre février et mars, reste incompréhensible." Pas chaud le Massimiliano ? C’est une révélation du Corriere Della Sera qui révèle un environnement pesant au sein de l’Inter: "Le Club Nerazzurro et Antonio Conte devraient emprunter des chemins différents après avoir remporté le Scudetto. Les positions sont trop éloignées entre l’entraineur et la propriété qui impose la vente d’un, voire deux joueurs de premier plan : Lautaro Martinez et Alessandro Bastoni étant ciblé, pour conclure le mercato en activité. Conte, n’a pas accepté ce redimensionnement et le cadre de l’opération de clôture devrait avoir lieu d’ici à la fin de la semaine." On parle déjà de son remplacement : Massimiliano Allegri est au-dessus du lot, mais il y a également la présence de la Juventus et il n’est pas dit qu’il sera aisé de disposer de l’aval d’un entraineur de haut niveau, tel qu’Allegri, en sachant qu'il faudra accepter un tel redimensionnement. Dans le pire des cas, l’Inter serait contrainte de se tourner vers un entraineur de second choix, plus économique et moins fascinant. Le Real, Tottenham ? Ce qui est évident, c’est qu’Antonio Conte dispose également d’un bon plan de sortie…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Post-Conte : La Liste du Padrino !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Giuseppe Marotta s’apprête à vivre des heures délicates, sa nouvelle mission : Trouver un successeur à l’entraineur Champion d’Italie ! 4 profils sont actuellement sur la table Nouvelles révélations de la Gazzetta Dello Sport Il est difficile d’imaginer qu’un dirigeant aussi expérimenté tel que Giuseppe Marotta n’avait pas déjà anticipé une possible fin d’histoire, sans avoir un as dans sa manche, pour remplacer Antonio Conte. Quatre personnalités sont potentiellement valide pour reprendre le banc de l’Inter : Le premier est objectivement celui de Massimiliano Allegri, que l’Administrateur-Délégué avait déjà sondé l’été dernier. Il s’agirait peut-être du seul nom qui pourrait apaiser la désillusion du peuple interiste, même si celui-ci est également repris sur le carnet de route de la Juventus. Le second nom est celui de Maurizio Sarri, mais parmi les inconnues, il y a la structure de l’équipe que Conte a formé et forgé, et qui ne semble pas être adaptée aux idée Sarriane. Le troisième nom est celui de Sinisa Mihajlovic, l’ancien interiste a souvent été contacté par l’Inter, lui qui présente une grinta et un caractère similaire au style de Conte Enfin, plus éloigné, Simone Inzaghi, qui aujourd’hui-même pourrait déjà dire au revoir à la Lazio ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 18 commentaires
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Avec sa victoire 0-1 contre Bologne, notre équipe favorite a remporté sa 9e victoire consécutive. La route au Scudetto s'élargit même si le chemin reste long. BOLOGNE - L'attente. Il semblait que cela ne finirait jamais, et nous devenions tous un peu plus impatients. 14 mars, il y a 20 jours. D'une tête à une autre. Entre, il y a eu une pause, la trêve internationale et l'anticipation interminable de Bologne contre l'Inter, qui était le dernier match de la 29e journée. Rien n'est jamais hors de question, et il y avait toujours la peur d'une mauvaise surprise ruinerait Pâques. Cependant, les Nerazzurri ont terminé cette journée en souriant. Les hommes de Conte ont gagné, ils ont pris les trois points et ont joué avec la plus grande détermination et volonté de se battre et de souffrir. Non, il n'y avait pas de surprise, seulement trois points! Romelu Lukaku ressemblait à Christian Vieri dans ce Fiorentina - Inter le samedi de Pâques en 2002. Le ballon devait juste aller dans le but; peu importe la manière. C'était assez: 1-0, 20e but en championnat de la saison, le septième joueur de l'Inter à en marquer 20 consécutivement (après Giuseppe Meazza, Amedeo Amadei, Roberto Boninsegna, Mauro Icardi, Stefano Nyers et Christian Vieri). Handanovic a rarement été inquiété lors de la neuvième victoire de l'Inter. Oui, cela a mis fin à Bologne 0-1 Inter . Se remettre dans le vif du sujet après des ajournements, des départs et des absences et le faire à Bologne, une place très difficile à jouer, en a fait une demande résolument délicate. L'équipe de Mihajlovic est sortie pour jouer et a donné très peu à l'Inter; c'est une équipe qui sait (se) défendre et qui peut blesser n'importe quelle équipe. L'Inter a commencé avec Ranocchia au cœur de la défense et Young à gauche; Lukaku et Lautaro ont été sélectionnés devant dans l'espoir de perturber la ligne défensive des Rossoblù. Le jeu était compliqué. Il était difficile d'échapper à la pression, et gérer le 4-3-2-1 de Sinisa devient souvent une bataille tactique où patience et réflexion astucieuse sont nécessaires. Ce n'était pas un match particulièrement spectaculaire et les chances étaient minimes. C'était une rencontre tactique, les deux équipes cherchant à se comprendre et à ne rien donner. L'Inter n'allait jamais se jeter à l'avant. Au lieu de cela, ils devaient interpréter ce qui se passait et tirer le meilleur parti de toutes les occasions qui se présentaient. Comme d'habitude, les hommes de Conte ont travaillé dur. Barella et Hakimi ont cherché à se combiner, l'équipe faisant également de son mieux pour choisir Lukaku. Lautaro, quant à lui, était une figure remuante à l'avant alors qu'il cherchait à faire sa marque. Comme mentionné précédemment, il fallait de la patience, les hommes de Mihajlovic restant attentifs et plus que "faisant avec" dès le début. Mais ensuite l'Inter a frappé, avec le but qui a décidé le match à la 31e minute . Cela impliquait de nombreux rouages de la machine Inter, celle qui fonctionne le mieux lorsque tout le monde contribue à la fois aux phases défensive et offensive. Bastoni a donné l'impulsion, brisant la gauche et produisant une centre dont n'importe quel ailier aurait été fier. Le ballon de l'Italien fut accueilli par Romelu, dont la tête fut en quelque sorte détournée sur le poteau par Ravaglia. Cependant, notre numéro 9 a réussi à mettre le ballon dans le filet de manière presque nonchalante: "Ne vous inquiétez pas, je viens de marquer" était le message. Ce n'est cependant pas un but qui a vraiment donné vie au jeu. En effet, la seule autre très grande chance de l'Inter est venue au début de la seconde période, lorsque Lautaro a lâché son pied droit et a vu son effort rencontrer le poteau. Aucun des deux gardiens n'a été contraint d'effectuer des arrêts particulièrement notables: au coup de sifflet final, l'Inter et Bologne n'avaient eu que deux et trois tirs cadrés respectivement. Les Nerazzurri n'allumant pas sur tous les grosses cylindrées en attaque, ils devaient faire preuve de ténacité. Ils devaient rester alertes tactiquement et, en même temps, tirer le meilleur parti de chaque goutte d'énergie dont ils disposaient. L'entrée de Sanchez a insufflé une nouvelle vie aux hommes de Conte, qui ont commencé à repousser les Rossoblù. Mihajlovic a également présenté de nouveaux visages pour tenter de revenir dans le match. Cependant, les Nerazzurri sont restés professionnels et compacts. Ils ne sont jamais tombés et ont continué jusqu'à la fin. Ils ont fait face à tout ce qui leur arrivait et couru très peu de risques, faisant preuve d'esprit et de détermination pour enregistrer leur neuvième victoire consécutive. Et ils ne veulent pas s'arrêter maintenant. Mercredi, Sassuolo sera nos visiteurs. RÉSUMÉ DU MATCH BOLOGNE (4-3-1-2) : 34 Ravaglia; 14 Tomiyasu (29 De Silvestri 34 '), 5 Soumaro, 23 Danilo, 35 Dijks (80 Juwara 80'); 30 Schouten, 8 Dominguez (32 Svanberg 69 '), 11 Skov Olsen (7 Orsolini 80'); 21 Soriano; 10 Sansone (55 Vignato 69 '), 99 Barrow. Suppléants : 1 Da Costa, 16 Poli, 18 Baldursson, 16 Antov, 43 Faragò. Entraîneur : Sinisa Mihajlovic. INTER (3-5-2) : 1 Handanovic; 37 Skriniar, 13 Ranocchia, 95 Bastoni; 2 Hakimi, 23 Barella (8 Vecino 92 '), 77 Brozovic, 24 Eriksen (5 Gagliardini 61'), 15 Young (36 Darmian 71 '),; 9 Lukaku, 10 Lautaro (7 Sanchez 71 '). Suppléants : 27 Padelli, 97 Radu, 6 de Vrij, 12 Sensi, 22 Vidal, 99 Pinamonti. Entraîneur : Antonio Conte. Buteur : 31 'Lukaku (I) Avertissementss : Soumaro (B), Ranocchia (I), De Silvestri (B), Vignato (B), Juwara (B), Brozovic (I), Bastoni (I), Gagliardini (I) Temps supplémentaire : 3 '- 3'. Arbitre : Giacomelli. Assistants : Fiorito, Galetto. Quatrième officiel : Marinelli. VAR : Di Paolo. Assistant VAR : Passeri. RÉSUMÉ VIDÉO
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Stefan De Vrij négatif au Covid-19
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
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inter-bologne L’Inter prête à défier le Shakhtar
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
L’Inter a continué sa période positive en ayant proposé une nouvelle prestation convaincante au Giuseppe Meazza, samedi, face au Bologne de son ancien défenseur Sinisa Mihajlovic. Si le Clean Sheet ne sera pas de mise et que Romelu Lukaku est plus que jamais une certitude, il y a lieu de noter le retour d’Achraf Hakimi en mode Dortmund. En effet, l’international marocain a été l’auteur d’un doublé (45’ et 70’), le second but est d’ailleurs de très belle qualité étant donné qu’il aura été le chercher lui-même. L’ouverture du score aura lieu au quart d’heure de jeu (16’) des œuvres du Big Rom qui après avoir "loupé" dans un premier temps sa reprise, ne laisse aucune chance à Skorupski. Comme d’habitude cette saison, sur un manque de surveillance et une erreur d’inattention, Bologne revient un bref instant au score par l’intermédiaire de Emanuel Vignato qui n’a plus qu’à pousser le ballon au fond des filets..... Suite à sa victoire hier soir sur la Sampdoria, l’Ac Milan, solide et surprenant Leader de Serie A conserve 5 points d’avance sur les Nerazzurri. L’Inter défiera donc ce mercredi, dans un final haletant, le Shakhtar Donetsk, dans l’ultime et dernière rencontre décisive, pour la qualification en huitième de finale de la Ligue des Champions! Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 3-1 Bologne Buteur(s): 16' Lukaku (I), 45', 70' Hakimi (I), 67' Vignato (B) Inter (3-5-2): 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (83' 33 D'Ambrosio); 2 Hakimi (71' 36 Darmian), 22 Vidal (71' 23 Barella), 77 Brozovic, 5 Gagliardini, 14 Perisic; 9 Lukaku (71' 10 Lautaro Martinez), 7 Sanchez (91' 24 Eriksen) Banc: 27 Padelli, 35 Stankovic,12 Sensi, 13 Ranocchia, 15 Young T1: Antonio Conte Bologne (3-4-1-2): 28 Skorupski; 17 Medel (63' 8 Dominguez), 23 Danilo, 14 Tomiyasu; 29 De Silvestri, 32 Svanberg (63' 55 Vignato) 30 Schouten, 3 Hickey (63' 68 Khailoti); 21 Soriano; 99 Barrow (79' 63 Vergani), 24 Palacio (79' 19 Rabbi) Banc: 1 Da Costa, 6 Paz, 10 Sansone, 15 Mbaye, 18 Baldursson, 22 Michael, 33 Calabresi T1: Sinisa Mihajlovic Arbitre: Valeri Var: Irrati Averti(s): Hickey (B), Hakimi (I), Danilo (B) Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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crise inter Antonio Conte sur la sellette
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une révélation de Tuttosport, Antonio Conte est à présent au pied du mur. Son maintien passera par deux conditions à remplir : Une réaction immédiate et le Scudetto en fin de saison. Eléments d’explications "Il y a ce besoin d’une révolte, qui pour l’heure, n’est pas encore arrivée : Le Club lui a maintenu jusqu'à présent sa confiance, car il y a la volonté de poursuivre le projet débuté à l’été 2019, celui de replacer l’Inter au sommet, mais il faut un signal, une réaction qui puisse faire comprendre que la saison va reprendre sur des bonnes bases." Vers le retour de la défense à 4 ? "Sorti brisé de Reggio Emilia, Antonio Conte a décider de tester la défense à 4 hier, il pourrait y succomber et opter pour face à Mönchengladbach mardi soir en Ligue des champions. Cela ressemble à un remède pour éviter un effondrement. Ensuite, le Bologne de Sinisa Mihajlovic se présentera au Meazza, lui qui l’avait emporté l’été dernier en mettant un terme aux espoirs d’une remontée Scudetto." Non à Spalletti et à Cambiasso "Si l’équipe ne parvient pas à se révolter et malgré l’intégralité des problèmes liés à la masse salariale de Conte sur le bilan, le Club sera dans l’obligation d’intervenir. Pour ceux qui veulent un retour de Spalletti: C’est impossible, tout comme la solution "à la Pirlo" avec Esteban Cambisso." "Dans le cas où Zhang et Marotta doivent intervenir, ils savent déjà sur qui compter : Cette carte à jouer était déjà disponible le 25 août dernier en cas de départ de Conte, à la suite de la réunion qui s’est tenu à la Villa Bellini : Massimiliano Allegri: L’entraîneur originaire de Livourne aimerait plus que tout revenir entraîner à Milan, la ville à laquelle il aspire." A 4 face à Sassuolo Le Corriere Dello Sport confirme les révélations de Tuttosport : "Conte a demandé à l’équipe de se racheter et il s’attend à une amélioration dès le début de la rencontre (à l’inverse des débuts manqués face à Fiorentina, Milan, Torino et le Real) et en phase défensives (Hier, il a testé la défense à 4)." "Tactique mise à part, l’ancien entraîneur de Chelsea reste convaincu que l’Inter pourra rapidement redevenir celle qui s’est vue en fin de saison dernière, lorsqu’elle avait très bien interprétée ses différentes rencontres face aux grandes équipes et lors des matchs à éliminations directes." Maintenu qu’en cas de Scudetto "Si le classement en championnat ne le prouve pas, l’Inter est en crise : Si l’Inter est à 1 point de la Juventus, celle-ci est à -5 du Milan AC et les occasions gâchées sont nombreuses, tout comme le nombre de faux-pas. A présent, il n’y a plus de temps pour se rattraper." Rupture estivale ? "Le Club n’a pas remis en doute son poste, mais après la "trêve" du 25 août à la Villa Bellini, quelque chose s’est rompu, c’est évident : Cette rencontre devait apporter une sérénité à l’Inter. A la place, elle a fini par "renfermer" Conte, dont son équipe a perdu sa solidité défensive et sa mentalité de conquérante acquise lors du parcours européen en Ligue Europa: Cette Inter semblait prête à décoller, mais à la place, elle s’est fait balader, sans Grinta, lors des premières périodes face au Real et au Torino." Le collier d'immunité "Avec une élimination en Ligue des Champions, la troisième consécutive en phase de groupe et la seconde sous l’ère Conte, il ne restera à l’Inter qu’un seul objectif : Le Scudetto (sans oublier bien sûr la Coupe d’Italie)." "Il est plus que probable que le maintien de Conte à l’Inter passe exclusivement par la conquête du titre. Cela lui offrirait la possibilité de continuer jusqu’au terme de son contrat en 2022, une situation qui conviendrait aux deux parties qui l’ont, chacune, déjà déclarée." "Sans les huitièmes de finale de la Ligue des Champions et pour que Conte reste et même si le club ne l’a jamais officiellement parlé de Scudetto, qui était l’un des thèmes discuté à la Via Bellini, il est indéniable qu’il s’agit de l’objectif déclaré, surtout à la vue des investissements réalisé ces deux dernières saisons pour renforcer l’équipe et pour embaucher Conte qui perçoit 12 millions d’euros." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 27 commentaires
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Sinisa Mihajlovic vient de sortir un livre. Pour cet évènement il en fait la promo et c'est pour la revue Oggi qu'il revient sur certains passages. Il y aborde notamment la maladie et l'on peut voir que son fort caractère ressort : "Je me fiche d'entendre que j'étais un grand joueur si vous pensez que je suis homme de merde. J'étais un bon joueur oui, mais je veux plus être un grand homme." Comment combattez-vous la peur ? "En l'acceptant, sans peur il n'y a pas de courage. Je ne me bats jamais juste pour me battre. Je me bats parce que j'ai raison." Que s'est-il passé après la connaissance de la leucémie ? Et le Covid ? "Le cancer a fait de moi un homme meilleur, du moins je l'espère. Le Covid je suis totalement asymptomatique et si je n'avais eu le test, je ne l'aurais jamais su. Je ne sais pas comment je l'ai eu. Le seule chose que vous comprenez à propos de ce virus c'est que vous n'y comprenez rien." La querelle avec Patrick Vieira : "J'ai dit à Vieira « noir de merde » mais l'offense était sur la merde, pas sur noir. Et puis il m'a traité de « gitan de merde ». N'est-ce pas aussi une insulte ? Je me suis excusé." Une réaction sur vos propos sur le foot féminin ? "Je suis macho parce que j'ai dit que certaines femmes ne devraient pas parler de football ? Ma femme aussi ne comprend pas non plus le foot. Si je suis le football féminin ? Oui bien sûr, et je l'apprécie. Il y a des joueuses meilleures et plus intelligentes que certains hommes en Serie A." Le coup franc : "Je les tire comme un penalty. J'ai toujours eu la même course, les yeux fixés sur le but et au dernier moment je décide où le placer. Si le gardien de but était intelligent, je visais le poteau ou autre. S'il restait immobile je ralentissais et faisais différemment. Ce n'est pas que de la technique, c'est de l'intuition aussi." ®gladis32 - internazionale.fr
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arbitrage Erreur d’Arbitrage : Rocchi ira les analyser à la Pinetina
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
C’est une information en provenance de Tuttosport, Gianluca Rocchi se déplacera à la Pinetina à la suite des dernières sorties entre Giuseppe Marotta et Nicola Rizzoli En effet, l’Inter est actuellement victime de plusieurs situation en sa défaveur Ce mardi, en Ligue des Champions, Mendy avait commis une faute sur Hakimi sur l’occasion qui a amené à l’ouverture du score. Là encore, pas d’appel à la Var, ni même d’intervention directe de Clément Turpin.....Mais cette situation n’est pas un cas isolé A Gênes, où arbitrait Davide Massa, le contact Bani-Lukaku n’a pas amené à un penalty, malgré tout l’Inter s’était imposée A Kiev, le placage que n’aurait pas renié le Tournoi des six nations a vu Bondar commettre une faute non sanctionnée sur Romelu Lukaku. Face au Shakhtar, une faute a donc été ignorée par l’arbitre bulgare Georgi Kabakov Dernièrement, face à Parme au Meazza, Balogh a visé l’Homme et non le ballon en la personne d’Ivan Perisic… Piccinini n’a pas sifflé faute et n’a pas consulté la Var. S’il est clairement évident qu’avoir un penalty n’est pas synonyme de but, car il faut tout de même le convertir, cela n’empêche pas qu’il aurait s'agi d’une occasion franche qui pourrait renverser complètement la physionomie d’une rencontre "Gianluca Rocchi, consultant en relation institutionnel de la Can, se rendra à la Pinetina après le 23 novembre pour analyser les erreurs d’arbitrage en Italie. Il s’y présentera lorsque tous seront rentré à Appiano, joueurs internationaux y compris." La citation du jour En regard à la rencontre entre l'Inter et Parme: "J'ai vu la rencontre de l'Inter, il y avait un penalty net pour l'Inter. Il n'y avait pas besoin de la Var, c'était un penalty net mais personne n'a rien dit et la Var n'est pas intervenue...Ensuite, elle intervient pour rien au milieu du terrain. Il faut se mettre d'accord car on ne comprend pas à quoi elle sert" - Sinisa Mihajlovic Pensez-vous que la Classe Arbitrale sera plus attentive lors des prochains matchs de l'Inter ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 20 commentaires
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Après Achraf Hakimi, Aleksandar Kolarov s’est présenté aux Tifosi. L’international serbe s’est livré à Inter TV: "J’ai, à de nombreuses reprises, était proche de l’Inter, après 10 saisons, je suis enfin parvenu à faire ce que je voulais. C’était un choix facile après l’appel de l’Inter: On n’y réfléchit pas deux fois. Je connaissais déjà beaucoup un paquet de joueurs, j’ai de bonnes impressions, j’ai hâte de voir les autres Conte ? "Il a tant influencé mon choix. Lorsqu’il était arrivé en Angleterre, il s’y est montré immédiatement victorieux. L’année passée, il a changé le visage de l’Inter : Je nous souhaite de faire de belles choses et de gagner." Mon rôle ? "Je me sens bien comme troisième défenseur central gauche, je l’ai fait ces trois derniers mois à la Roma et aussi sous Guardiola. L’Inter a toujours la possession du ballon et je me sens bien à ce poste." Vous êtes un spécialiste des coups de pied arrêtés..... "J’ai un tir puissant et il faut aussi énormément d’entrainement. Quand je trouve une bonne journée, je m’y entraîne toujours." Votre idole est Mihajlovic? "Je l’ai toujours dit depuis que je suis enfant, le destin veut que je puisse, peut-être, terminer ma carrière à l’Inter." Le Derby..... "J’en ai déjà joué tellement, ce sont des parties tellement importantes. Je ne sais pas comme est l’ambiance ici, j’ai toujours marqué dans les Derbys. J’espère le faire aussi à Milan." Un message aux tifosi ? "J’ai toujours vu les tifosi très présents lorsqu’ils le pouvaient : Nous avons aussi besoin d’eux à l’extérieur pour réaliser des choses importantes." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Le futur d’Andrea Ranocchia pourrait s’écrire loin de l’Inter. Selon le Corriere Dello Sport, Tullio Tinti a proposé les services du défenseur italien à Bologne. Si pour le moment la sauce n’a pas pris, le club souhaitant aligner un jeune défenseur aux côtés de Danilo, il n’est pas exclu que l'équipe entraînée par Mihajlovic puisse sauter sur l’occasion. Ranocchia dispose d’un contrat courant jusqu’en juin 2021, mais l’Administrateur-Délégué de l’Inter, Giuseppe Marotta et son Directeur Sportif, Piero Ausilio, sont disposés à le laisser partir gratuitement comme « récompense » pour son très grand professionnalisme. Outre Bologne, le Genoa et Parme seraient également intéressés. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Inter 1-2 Bologne : à dix, Sinisa balance la sauce
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L’Inter battu par un duo de M&M’s à la sauce bolognaise. Tel est le résumé du match lunaire proposé par les Nerazzurri au Giuseppe Meazza, ce week-end. La fougue des deux jeunes joueurs Musa Juwara et Musa Barrow auront permis au Bologne de Sinisa Mihajlovic de s’imposer à Milan. Pour retrouver trace d’une dernière défaite à domicile en Serie A cette saison, il faut remonter au Derby d’Italie en octobre dernier, preuve en est que la performance bolognaise est loin de passer inaperçue. Dans un match qui aurait dû être tranquille après l’ouverture du score de Romelu Lukaku (22’), l’Inter parvient à se faire hara-kiri. Tout d’abord par le duo Lautaro Martinez-Roberto Gagliardini. Le premier est incapable de savoir tirer correctement un penalty, alors que le second, si cette fois-ci il ne défonce pas la barre transversale, est tout de même capable de réussir l’exploit de tirer sur le gardien qui est pourtant à terre. Ce qui devait arriver arrivera donc : A 10 contre 11, Juwara égalisera à la 74’ et inscrit par la même occasion son premier but en Serie A, tandis que Barrow conclut un splendide contre meurtrier à 10 contre 10 après l’expulsion logique d’Alessandro Bastoni pour un double avertissement. L’Inter s’est liquéfiée, l’Inter a montré ses défauts, l’Inter n’est pas encore l’Inter attendue par Conte. Un ménage se doit d’être fait à l’intersaison et cette défaite pourrait s’avérer finalement plus positive qu’il n’y parait... Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Bologne Buteur(s): 22’ Lukaku (I), 74’ Juwara (B), 80’ Barrow (B) Inter: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio, 6 de Vrij, 95 Bastoni; 87 Candreva, 77 Brozovic (88’ 8 Vecino), 5 Gagliardini (88’ 20 Borja Valero), 15 Young (85’ 34 Biraghi); 24 Eriksen (75’ 7 Sanchez); 9 Lukaku, 10 Lautaro Martinez (85’ 30 Esposito) Banc: 27 Padelli, 46 Berni, 2 Godin, 13 Ranocchia, 18 Asamoah, 31 Pirola, 32 Agoume T1: Antonio Conte Bologne: 28 Skorupski; 14 Tomiyasu (65’ 13 Bani), 23 Danilo, 4 Denswil, 35 Dijks; 21 Soriano, 8 Dominguez (88’ 34 Baldursson), 30 Schouten; 7 Orsolini (65’ 24 Palacio), 99 Barrow (85’ 32 Svanberg), 10 Sansone (65’ 26 Juwara) Banc: 1 Da Costa, 97 Sarr, 6 Bonini, 11 Krejci, 25 Corbo, 29 Cangiano T1: Sinisa Mihajlovic Arbitre: Pairetto Var: Di Paolo Averti(s) : Danilo (B), Bastoni (I), Palacio (B), Juwara (B), D’Ambrosio (I) Expulsé(s): 57’Soriano (B) pour injure envers l’arbitre, 78’ Bastoni (I) pour double avertissement Affluence : Huis-Clos (Covid-19) ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 11 commentaires
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Sinisa Mihajlovic s'est présenté hier pour une conférence de presse exceptionnelle. Jusque là entraineur de Bologne, c'est encore sous le choc qu'il annonce se retirer de son poste pour combattre une leucémie, maladie qui demande un traitement lourd et fastidieux pour la vaincre. Passé finir sa très belle carrière au club entre 2004 et 2006 puis devenir entraîneur adjoint de son ami Roberto Mancini, Mihajlovic sous l'Inter c'est 42 apparitions pour six buts, tous marqués sur coup franc... Un pied gauche d'une précision absolue. Tout le monde se souvient de son coup de pied arrêté en finale aller de la Coppa Italia en 2006 notamment. Un masterpiece du genre. Internazionale.fr présente ses marques de soutien à Sinisa Mihajlovic et sa famille pour cette dure épreuve qui arrive. ®gladis32 - internazionale.fr