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Massimo Moratti : Le retour de Mourinho au Giuseppe Meazza ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
Massimo Moratti, Président Historique de l’Inter s’est livré au cours d’une très longue interview au Corriere Dello Sport sur la réception de la Roma de José Mourinho, une première pour le portugais qui n’avait plus foulé la pelouse version "Nerazzurra" depuis un certain mois de mai 2010 Comment imaginez-vous le retour de Mourinho au Giuseppe Meazza ? "Je l’admets, cela va me faire une drôle d’impression de le voir se diriger du vestiaire, monter les escalier et s’asseoir sur le banc, mais pas celui de l’Inter. Je sais que je serai ému car des flash-backs me reviendront en tête, lorsque nous étions protagonistes : José a offert tant de choses à l’Inter, et elles ne s’oublieront jamais même si le temps passe." A vous entendre, vous transmettez la sensation que le rapport ne s’est jamais interrompu entre vous...... "Ces derniers jours nous n’avons pas discuté, et ce n’est pas un hasard, peut être que nous parlerons ensemble après le match ou dans les prochains jours. Nous nous téléphonons régulièrement et il est toujours très affectueux et très gentil envers moi. Nous sommes resté liés, c’est vrai, et pas uniquement pour ce que nous avons gagné, mais aussi pour la personne que Mourinho est." Ne vous êtes-vous jamais demandé quelle aurait été l’histoire de l’Inter, si après le triomphe en Ligue des Champions à Madrid, le 22 mai 2022, Mourinho n’avait pas quitté l’Inter pour signer au Real ? "Il est impossible de s’exprimer sur certains sujet, c’est comme ça que cela s’est passé, il avait aussi l’envie de tenter l’expérience au Real Madrid. Avec le temps et à tête reposée, je me dis que cela s’est terminé de la meilleure des façons pour tout le monde : Lui était satisfait des résultats obtenus lors de cette saison et il avait accepté un nouveau défi. Nous car nous avions obtenu le maximum, à savoir goûter à un succès attendu depuis tant d’années, le Triomphe en Coupe des Clubs Champions : S’il fallait en venir à une séparation, il n’y avait pas de meilleur épilogue." Quelques tifosi en ont pourtant voulu au portugais de ne pas être revenu cette nuit-là à Milan, pour fêter la victoire en Ligue des Champions, à l’aube au Meazza...... "De l’eau a coulé sous les ponts, il avait déjà pris sa décision bien avant la finale, mais nous n’en avions pas parlé car lors de ce mois de mai, nous étions en course pour les trois titres et nous ne voulions pas rompre le charme. Notre accolade sur le terrain du Bernabeu après la victoire sur le Bayern et notre dîner deux jours après chez moi, ont éclairci tout le reste." Ce soir, il s’agira aussi des "retrouvailles" entre José et le Peuple Nerazzurro...... "Il sera accueilli avec beaucoup d’affection et de sympathie, je n’ai aucun doute à ce sujet. S’il entraîne à présent la Roma, il a écrit l’Histoire avec nous, et quelle histoire." L’Unique équipe italienne à avoir réalisé le Triplé...... "Cela continue à toujours bien sonner avec le temps...... il rit. Et c’est pour cela que ce sera un plaisir de revoir Mourinho au Meazza. Pour vous dire la vérité, je suis moi aussi curieux de le voir avec sa nouvelle vareuse. Jusqu’à présent, au Meazza, je l’ai vu au Meazza comme adversaire du Milan, jamais de l’Inter." Allez-vous le soutenir ? "Non, non je ne suis pas fou. Même si j’ai beaucoup de sympathie pour lui, je supporte l’Inter, José le sais et il le comprendra." Mourinho pourrait-il être touché par le fait de faire face à son ancien public ? "Je crois que oui, car il y a à l’Inter et chez les interistes un vrai lien, mais personne ne se fera de cadeau." Ses récentes sorties sur les arbitres vous rappellent-elles celles vécues lors de ses deux années à l’Inter ? "Tu sais quoi ? Le temps a beau passé, mais José se défendra toujours...... et il le fait assez bien (il rit)". Peut-être parce que les arbitres italiens ne lui sont pas sympathique ? "Je ne le dirais pas de cette façon car je ne crois pas que c’est le cas. José est tout simplement une personne qui n’est pas hypocrite, lorsqu’il défend son club, il le fait en mettant les mains dans le cambouis et en disant toujours ce qu’il pense. Ensuite, c’est Mourinho et lorsqu’il fait quelque chose, il le fait pour le bien." Comme ce geste du 20 janvier 2010 lorsqu’il a protesté en mimant les menottes face à Tagliavento qui venait d’expulser Samuel et Cordoba ? "J’ai souris ce jour-là et je souris encore maintenant lorsque j’y repense. Au-delà de la raison pour laquelle il a fait ce geste, il faut vraiment avoir un esprit spécial, comme le sien, pour protester de cette façon à chaud, c’était génial, vraiment génial." Au-delà des protestations arbitrales, passées et actuelles, le portugais ne parvient plus à la Roma à obtenir de grands résultats...... "Au début de saison, je pensais qu’il avait une bonne équipe mais qu’il ne disposait pas d’un noyau complet pour disputer le titre et je ne me suis pas trompé. A présent, il me semble que l’équipe s’est améliorée et il peut disputer une bonne seconde partie de saison. Pour lui, c’est une nouvelle aventure dans une place chaude et ce n'est jamais simple : Il faut lui donner du temps, mais il fera de belles choses." Vous êtes convaincu par le fait qu’il peut aussi gagner dans la Capitale ? "Selon moi, oui, sa carrière parle pour lui. C’est évident qu’il faut lui donner le temps de tout construire, mais je n’ai aucun doute sur ses capacités et sur le fait que c’est un gagneur." En attendant, il est parvenu à rentrer dans le cœur des tifosi Giallorossi...... "C’est normal, c’est quelqu’un qui vous veut du bien, il est aussi doué, sérieux et professionnel. Il séduit tout le monde car il ne prend pas les choses qui se présentent à lui de façon superficielle, il donne tout pour obtenir les résultats qui lui ont été demandé, voire plus." Friedkin a bien fait de l’engager alors ? "Je pense qu’il a pris l’un des meilleurs entraîneurs en circulation, et son retour a aussi été important pour le Calcio, c’est un entraîneur intelligent, sa présence est médiatique et ses capacités professionnelles sont une valeur ajourée pour la Serie A." Quelle est l’atout Plus du Special One ? "Au-delà de sa capacité à bien faire jouer l’équipe et à faire ressortir le meilleur de chacun, comme par exemple Zaniolo, je dirais qu’il excelle dans le fait de créer un rapport exceptionnel avec le groupe et qu’il sait toujours quelle chose dire." Avez-vous une anecdote ? "Lors de l’année du Triplé, lors du Derby retour, nous étions devant au score (1-0) mais Sneijder avait été expulsé et je voyais de la nervosité sur le terrain. J’étais parti au vestiaire pour tranquilliser les garçons et je les ai tous vu concentré et à l’écoute de Mourinho. Il expliquait ce qu’l fallait faire pour doubler la mise et tuer le match, même à dix, il y avait un calme olympien, on n’entendait pas une mouche voler." "D’autres entraîneurs pour motiver l’équipe aurait chargé l’arbitre mais José parlait uniquement de tactique, avec le sang-froid d’un pilote qui sait qu’il doit faire face à une situation des plus difficile. Pandev doublait la mise et nous l’avons emporté. Je ne me souviens plus en revanche de ce qu’a dit Mourinho en conférence de presse sur l’arbitrage, il rit." Quel match sera Inter-Roma ? "C’est difficile de le dire, les Giallorossi se présente suite à un match nul face au Genoa caractérisé par de nombreuses polémiques, l’Inter se présente après avoir jeté le Derby par la fenêtre d’une façon que je ne m’attendais pas, surtout vu comment s’était déroulé la rencontre." Si vous aviez été Président, qu’auriez-vous fait ? "Je laisse tomber certains discours, je suis resté surpris par la perte du rythme que l’Inter imposait depuis 65-70 minutes et le Milan en a profité. Les Derbys sont dangereux pour une équipe qui a l’avant et cette fois, nous avons pris une leçon nous. Une défaite de ce genre est riche d’enseignements et il faut surtout renouer immédiatement avec la victoire car ce mois de février est composé de match de haut niveau." Avez-vous peur que le Derby ait miné les certitudes du groupe ? "Je ne crois pas, l’équipe existe, elle est forte, composé de bons joueurs et d’un excellent entraîneur. Inzaghi s’est, pour moi, intégré très rapidement au Monde Nerazzurro et il est capable d’apporter encore plus à un groupe qui a gagné avec Conte. Tout le monde pensait avoir vu à ce moment-là l’Inter a son meilleur niveau. Pourtant sans Romelu Lukaku, Achraf Hakimi et Christian Eriksen, elle est parvenue à faire mieux, le mérite en revient à Inzaghi qui a des capacités importantes. De temps en temps, des erreurs peuvent se produire, comme dans le derby, mais je pense qu'il fait beaucoup mieux que ce que beaucoup attendaient." Serez-vous un Tifoso serin et optimiste ? "Je le suis et les autres tifosi doivent l’être aussi, je suis convaincu que l’Inter vivra une belle fin de saison." Reste-t ’elle la favorite pour le Scudetto ? "Je ne parle pas de favorite, je dis qu’elle peut l’emporter, mais que ce ne sera pas facile, le Napoli m’impressionne énormément, il dispose d’un axe central redoutable et il me semble qu’il a surmonté sa période de difficulté." Pensez-vous à la seconde étoile ? "Elle serait si belle sur ce Maillot Nerazzurro, j’en suis convaincu." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Le Corriere Della Sera s’est livré de la vie au quotidienne de l’Inter, dont Simone Inzaghi, l’entraîneur, a offert comme cadeau de ce début d’année, la Super Coupe d’Italie à Suning: "C’est un long chemin emprunté de la bonne façon, celui emprunté par Inzaghi a fonctionné avec l’Inter et il continue à marcher : L’entraîneur est parvenu à trouver le moyen de rentrer dans la tête des joueurs et d’être en symbiose avec eux." 3 aspect à souligner "Premier point, au retour de Reggio Emilia, après la victoire sur Sassuolo, l’Autogrill a vu arriver le car de l’Inter. Nicolò Barella et Marcelo Brozovic y ont dépensé 200euros et ce y compris en achat de snack et de chocolat pour toute l’équipe." "Second point, La victoire à Salerne, direction l’aéroport vers Milan : Le lendemain les joueurs avaient un entrainement l’après-midi. Ceux-ci ont demandé à Inzaghi de le déplacer en matinée afin de pouvoir disposer d’un jour et demi de repos : requête accordée." "Troisième point, la veille de Real Madrid-Inter, hors caméra au Santiago Bernabeu, Inzaghi demande à Perisic : "Tu es fatigué Ivan ?". "Non, pas lorsque l’ont vit des choses comme ça." Ces trois situations résument à elles-seules le modèle Inzaghi synthétiser en un mot : Liberté. Son Inter gagne et le Corriere Della Sera dévoile le secret de l’entraineur : "Son approche du Groupe. Même Faris, son adjoint a déjà expliqué comment Simone est parvenu à se faire respecter par ses hommes : En adaptant le modulo de telle façon que les joueurs croient plus en leur moyens, en leur faisant confiance." "On lui avait raconté le "lourd héritage " de Conte, e établissant une relation propre avec l'équipe, " une relation directe et accessible". Il partage, il confronte, il prend en charge les demandes", comme lorsqu'il dit en direct que les garçons ont demandé une prime à Steven Zhang, une prime de 500.000€ qui a d’ailleurs été accordé et qui est à répartir entre tous." "Le rapport joueurs-entraineur a changé et l’on comprend, à présent, pourquoi les joueurs Nerazzurre disent se sentir plus libre. Pour Conte, ils auraient tous fait, l’Inter était une armée. La méthode de l’ancien entraîneur a été intériorisé et a fait grandir l’équipe. Inzaghi, lui, a décidé d’être un gestionnaire et un valorisateur du groupe : Il a maintenu la base tactique tout en offrant la possibilité aux joueurs de faire ressortir ce qu’Is ont en eux." "Conte avait télécommandé la Victoire, Inzaghi, comme l'a raconté l'adjoint Farris, a ajouté une interprétation plus offensive, avec les deux défenseurs centraux extérieurs (Bastoni et Skriniar) autorisé à partir dans des raids dans la moitié de terrain de l’adversaire." La vie quotidienne à la Pinetina a également changé : "Les entrainement ne dure qu’une heure contre le double précédemment, l’analyse tactique a lieu lors des partitellas et non plus lors d’exercices bien spécifiques, les analyses vidéos ont lieu la veille du match. Tous les joueurs se sentent concernés, même jusqu’au dernier à jouer, Inzaghi ne dévoile jamais sa formation, la programmation est établie à la semaine et non plus au jour le jour, c’est une nouveauté très apprécié par le vestiaire qui sait s’organiser son temps libre." "Inzaghi est comme le frère aîné, considéré comme un footballeur d’expérience par le groupe qui lui renvoi l’ascenseur via les résultats, le jeu et l’engagement. Alexis Sanchez est emblématique : de rejeté à retrouver, il s’agit d’une autre histoire de revanche. Et il y a également le rapport avec la Direction Nerazzurra, tous sont en parfaite symbiose, tous partagent l’objectif avoué de la Seconde étoile, sur ce long chemin qui mène au Scudetto." La citation du jour signée Ivan Zazzaroni "Dans le football, il faut aussi avoir du cul : Marotta a eu aussi de la chance avec Inzaghi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Nicolò Barella : "Je rêve de la seconde Etoile de l'Inter"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
Nicolò Barella s’est livré à Sky Sport suite à la défaite de l’Inter face au Real Madrid. Conscient de son mauvais geste, il a tenu à publiquement s’excuser: Ressentez-vous plus de confiance suite à la prolongation du contrat ? "L’Inter a toujours eu confiance en moi, elle me l’a toujours démontré, même avant le renouvellement. Je suis donc très fier d’avoir prolongé, c’était voulu par les deux parties, j’espère que les tifosi seront aussi contents de mon choix. Je ne peux rien faire d’autre que de remercier aussi bien le club, que ceux qui m’ont toujours soutenu depuis que je suis arrivé." Le brassard de Capitaine ? "Il y a Samir Handanovic, il y a Ranocchia, il y a tellement de joueurs qui ont connu des périodes difficiles à l’Inter, dans des équipes qui n’étaient pas comme la nôtre. Il est donc juste qu’ils puissent profiter de ces instants : Ceux sont eux les capitaines. Nous sommes heureux et ils nous donnent un coup de main." L’expulsion à Madrid semble avoir été indigeste, êtes-vous parvenu à la digérer ? "Je suis déçu, lorsque je revois cette scène, il y a vraiment quelque chose qui me déplaît : J’ai réagi à chaud, c’était moche, mais je pense que Militao était aussi en tort lorsqu’il m’a poussé sur les panneaux publicitaires. Il pouvait éviter de faire cela comme j’aurais dû éviter d’avoir une situation de ce genre. J’ai eu tort de tomber dans son piège et je m’excuse auprès de tout le monde, car j’ai laissé l’équipe à 10 dans une rencontre si importante, c’est ce qui me déçoit le plus." Est-ce qu’une telle défaite au Bernabeu laisse des traces ? "Elle nous laisse avec une prise de conscience, car nous sommes allés à Madrid et nous avons joué le jeu. Ensuite il y a eu des faits de jeu: J’ai raté un but devant la cage, il y a eu un sauvetage sur le tir de Perisic. La rencontre aurait pu aller dans une autre direction, mais c’était à nous, à nous mettre dans la bonne direction. Nous sommes conscients d’avoir joué le Real Madrid, qui est une très grande équipe, au Bernabeu, cela nous laisse quelque chose de positif pour l’avenir." Inzaghi ? "Ce que nous avons vécu l’année passée nous a laissé avec tant de certitudes. Nous avons le Scudetto sur le torse, nous avons appris énormément de nos erreurs. L’entraîneur nous a apporté quelque chose en plus, un peu plus de sérénité et c’est probablement ce qui nous aide après deux saisons intenses et difficile, même si cela nous a apporté tellement de satisfactions." Comment est née votre amitié avec Brozovic ? Que peuvent avoir en commun un sarde et un croate ? "Cela ressemble au début d’une blague…Elle est née car Brozo est un garçon vrai, toujours sincère, nous nous sommes caractériellement trouvés, même si lui est bien plus extraverti sur les réseaux sociaux : Un lien est né, nous nous amusons ensemble, il me fait marrer." Etes-vous préoccupé par le match de barrage en vue de la Coupe du Monde au Qatar ? "Nous sommes Champions d’Europe, les autres aussi se doivent de s’inquiéter, il n’y a pas que nous. C’était une période ou la balle ne semblait pas vouloir rentrer, et nous les avions eu, les occasions pour nous qualifier directement pour le Mondial, mais évidemment, tout ceci était destiné dans notre parcours. Nous allons tout essayer pour aller au Mondial et je suis convaincu que nous y parviendrons." Vous aimez le Vin, nous vous avons préparé une liste particulière, en les associant pour un objectif en 2022, lesquels préférez-vous ? "Le "J’aimerai marquer dix buts en championnat." Marquer un but à Cagliari ? Je ne le veux pas, même si cela s’est déjà passé et que je me suis excusé. Je prendrais le vin du "souvenir d’une passe décisive contre le Real" car il me ferait oublier ma dernière rencontre contre eux." "Dans le magnum, je commanderais celui "Je rêve de la seconde Etoile de l'Inter" : qui serait une confirmation de notre travail, ce serait donnerait une continuité au chemin parcouru. Ensuite, j'aimerais "être là lors de la Coupe du monde au Qatar". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Nicolò Barella sera sanctionné par l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une information en provenance de la Gazzetta Dello Sport : L’Inter a décidé de sanctionner son futur Capitaine, comme le prévoit d’ailleurs le règlement interne du Club "Le carton rouge reçu par Nicolò Barella a fait parler et il fait encore discuter. En effet, le milieu de terrain italien s’est retrouvé être l’auteur d’une bien mauvaise réaction envers Eder Militao, ce qui lui a coûté son expulsion et ce qui le contraindra à sauter, au moins le match aller des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Comme le prévoit le règlement interne du club, l’Inter sanctionnera son joueur par le biais d’une amende à la suite du mauvais comportement dont il s’est rendu coupable au Stade Santiago Bernabeu." Validez-vous ce comportement strict de la part du club ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 11 commentaires
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Nicolò Barella s’est dépucelé de la plus mauvaise des manières
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, l’international italien champion d’Europe a réalisé plusieurs premières, hier soir, face au Real Madrid au Santiago Bernabéu. S’il avait été provoqué par Militão, le sang chaud du joueur sarde n’a fait qu’un tour, au plus grand Dam de l’Inter et du sien Révélation de la Gazzetta Dello Sport "64 minutes de jeu, contact énergique entre Militão et Barella : Le milieu de terrain Nerazzurro fini dans les panneaux publicitaires et frappe la jambe du défenseur brésilien : S’en suit un tête à tête avec l’intervention d' équipiers pour les séparer et une carte rouge distribuée par l’arbitre Brych pour le numéro 23 contre une simple carte jaune pour l’autre concerné. "Le risque réel à présent est le dommage occasionné: Barella va rater très probablement le match aller des huitièmes de finale de la Ligue des Champions, mais il est également possible que la suspension soit, à minima, de deux journées". Dépucelage total "C’est la première fois pour Barella, il n’avait jamais craqué lors des nombreuses provocations qu’il a connu en carrière. Le Bernabéu fait faire des folies et les cartes sur la table s’en retrouvent modifiés, surtout vu les caractéristiques propres au joueur : Barella n’est pas un joueur habitué à connaitre des baisses de tensions." "Pour tout vous dire, c’est sa première expulsion avec le maillot de l’Inter, mais c’est aussi et dans l’absolu sa première expulsion directe en club. Il y a toujours une première fois et sa première fois a eu lieu à Madrid, dans une partie qui n’avait plus grand-chose à dévoiler. Mais pour les projections à venir, il s’agit d’un problème de plus à gérer pour Inzaghi." Des préliminaires compliqués "Que la soirée n’allait pas être simple pour Barella, tous l’avaient déjà compris auparavant. Tel un ciel sombre annonçant la pluie, Nicolò était nerveux et pour aller dans le sens de la pensée d’Inzaghi, il se rendait compte lui-même qu’il n’était pas aussi performant sur le terrain avant son expulsion : De sa sortie en retard sur le but de Toni Kroos en passant aux erreurs technique inhabituel pour le milieu de terrain, comme les passes manquées à destination de Dumfries au cours de la première période." "Ce même parcours a recommencé à la reprise, quasi immédiatement, lorsque Çalhanoğlu lui servait sur un plateau d’argent une passe décisive pour parvenir à égaliser : Rien à faire le ballon s’envolait en tribune et le joueur faisait état d’un désespoir visible : des bras écartés, une frustration pour un résultat qui ne lui convenaient pas et pour lequel il se sentait en partie responsable." "À la suite du remplacement de Brozović, Inzaghi l’avait replacé au cœur de l’Inter en lui confiant le rôle de régisseur, jusqu’à cette 64ème minute ou Militão le défie, il glisse avec la peur de se blesser. La frustration a dû être longue au vol retour car durant deux saisons, Nicolò a couru après les huitièmes de la Ligue des Champions pour les voir s’envoler à la dernière journée." "Maintenant que l’objectif a été atteint, il pourrait ne pas jouir du spectacle : L’espérance de l’Inter est que la Justice Sportive n’allonge pas plus sa malédiction, que l’arbitre dans son rapport, n’en a pas remis une couche, mais le risque d’une suspension de deux journées et bel et bien réel et l’Inter en est consciente." Selon vous, Nicolò a-t'il mérité son expulsion ou celle-ci était-elle excessive vu l'action qui a mené à cet incident ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 20 commentaires
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Simone Inzaghi ne comptait plus jouer la gagne en seconde période
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Selon le Corriere Dello Sera, si la différence de niveau était si flagrante au Santiago Bernabeu, l’origine de celle-ci pourrait être un signal envoyé par Simone Inzaghi à ses hommes, surtout en seconde période "Une différence est notable dans la gestion de la rencontre : Une fois le but encaissé, l’Inter semblait résignée en baissant les armes devant un adversaire qui n’avait pas envie d’en faire de trop. A la 65’, lorsque le score était toujours de 1-0 pour le Real, Simone Inzaghi avait déjà réalisé ses cinq changements ce qui est un signal très clair : Nous nous sommes assez divertis, il faut penser au championnat qui est bien meilleur." "La défaite est digne au niveau du marquoir, mais elle se montre sévère vu l’expulsion de Nicolò Barella suite à sa réaction envers Militao : Un coup de poing sur la cuisse du défenseur du Real et une crise inutile qui risque de faire manquer, au milieu de terrain, la double confrontation en huitième de finale." Pensez-vous également que l'Inter l'a joué stratégique ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Fabio Capello s’est livré à Sky Sport à la suite de la défaite de l’Inter au Stade Santiago Bernabeu du Real Madrid, et pour le "Don", le Club Nerazzurro peut retirer de cette défaite un aspect positif "J’étais très intéressé par ce match, j’aime beaucoup l’Inter qui joue en Italie. Toutefois, ce soir et face à une équipe qui a fait preuve d'une exécution de jeu très rapide dans dans ses idées et sur le terrain, , elle s’est retrouvée en difficulté : Je n’ai pas revu la supériorité que l’Inter propose en Italie." "Cela va lui servir de leçon, car elle va comprendre qu’elle doit se montrer plus rapide dans la façon de proposer ses idées de jeu, dans la façon dont il faut faire tourner le ballon. Le Milieu du terrain est la force du Real, les jeunes courent et tu as Benzema devant : C’est une équipe qui peut poser des problèmes. Le Real joue un jeu de qualité, mais par moment il s’est aussi perdu : L’Inter, même a 10, a eu quelques occasions." "Enfin, on voit aussi la marque d’Ancelotti : Le Real est une équipe qui joue avec sérénité." Etes-vous d’accord avec Capello, il s’agit d’un un mal pour un bien ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti : "Oui, j’étais très proche du Real"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Javier Zanetti a préfacé la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid au cours d’une longue interview au quotidien ibérique "Marca" Quel est votre rôle en tant que Vice-Président ? "Depuis que j’ai pris ma retraite, après 20 ans à l’Inter, j’ai eu l’envie d’élargir ma vision du Club avec un poste plus important au niveau sociétal, avec des responsabilités sociales, des relations internationales, cela va plus loin que ma contribution qui était pratiquement qu’au niveau sportif." Avez-vous dû étudier ? "Énormément, j’ai début à l’Università Bocconi di Milano, j’y ai fait un Master et je continue encore à étudier car il y a toujours des nouveautés au niveau du Marketing, des finances, du management. La chose la plus importante que j’ai compris était que je devais tout reprendre à zéro." Pourquoi vous intéresser autant à ce type de travail ? "J’aime être présent pour les personnes qui en ont le plus besoin. Je le fais depuis 20 ans avec ma Fondation "Pupi Zanetti" et j’ai voulu continuer à le faire avec l’Inter car cela fait partie de son ADN : Gagner une rencontre ou une coupe est aussi important pour moi que d’avoir des responsabilités sociales qui consistent à transmettre des valeurs humaines." Vous représentez un club très important. Comment compareriez-vous la grandeur de l’Inter à celle du Real Madrid ? "Je représente un club avec une grande histoire et c’est une très grande responsabilité. Le Real Madrid est un autre grand club de grand prestige avec une grande tradition dans les tournois internationaux. Il y a toujours eu un très grand respect entre les deux." Est-ce que vos rapports avec Florentino Perez sont bons ? "Oui, ils sont très bon, Lui et Emilio Butragueño se sont toujours bien comportés, nous avons un bon rapport depuis des années et je suis toujours heureux de les revoir. Emiliano est fantastique." Vous êtes, en Europe, un "One club man" ce qui rare et qui ne se fait plus jamais aujourd’hui…… "Je venais d’arriver d’Argentine à l’âge de 21 ans, et j’ai ensuite évolué toute ma carrière pour l’Inter: Jje ne me le serais jamais imaginé. J’espère que cette tendance reviendra, mais les temps ont changé, mais il n’y a aucun problème." Passons au match d’aujourd’hui : Le Real Madrid est-il le favori ? "Oui, affronter le Real à domicile est toujours difficile car ils savent comment gérer ce type de match. Ce qui est bénéfique c’est que nous sommes tous deux qualifiés et que nous aller jouer sans cette pression. Notre équipe réalise de très belles prestation grâce à l’optimal travail d’Inzaghi et de ses garçons. Je pense que ce sera un match à arme égale." Les Tifosi du Real risquent de penser à une Inter qui ne fait pas tellement peur: Qu’en pensez-vous ? "Non, non et non : L’Inter a son identité et elle a des joueurs de qualité qui chercheront à le démontrer aussi à Madrid. On peut gagner ou perdre ensuite, mais l’identité de l’Inter est très claire." Quel et le mérite de la propriété, dans le fait de voir à présent, une Inter qui aspire à tout ? "Avec les nouveaux propriétaires, nous avons remporté la Serie A et atteint la Finale de l’Europa League. Nous sommes de retour en huitième de finale de la Ligue des Champions après dix ans. Ils nous ont apporté de la stabilité, ce qui est quelque chose d’essentiel." Faut-il un Milan fort pour motiver l’Inter ? "Les deux équipes ont l’ambition de se montrer protagonistes, nous le faisons depuis plusieurs années et le Milan est très bon en championnat : C’est bénéfique pour tout le football italien." On joue mieux en Italie, êtes-vous d’accord ? "On cherche à être bien plus protagoniste avec une philosophie de jeu très claire. La preuve en est la victoire de l’Italie à l’Euro. C’est vrai que de nombreuses équipes cherchent à se montrer protagonistes." La Serie A gagne du terrain comparé à d’autres Ligues, cela ne fait plus aucun doute… "Lorsque je jouais en Serie A, elle était impressionnante, tout le monde voulait venir jouer ici. Pour moi, le championnat italien reste le plus difficile à disputer, ce n’est pas le cas pour tous. Le football espagnol a connu sa période et maintenant c’est la Premier League, mais oui, la Serie A est en train d’énormément grandir." Aviez-vous été proche du Real Madrid durant vos années ? Dites-le-nous…… "Oui, j’étais très proche du Real et j’ai déjà dit que je me sentais honoré de l’intérêt d’un tel club. C’était du temps de Jorge Valdano comme Directeur Sportif. Mais tous ceux qui connaissent mon Histoire savent que ma Maison est l’Inter, c’est aussi pour cette raison que je suis resté ici." Pour quelles raisons ? "L’identification avec l’Inter et le fait que je jouais dans un club avec tant d’Histoire, même si à l’époque, elle était en difficulté. Des choses ne s’étaient pas encore passés et je ne voulais pas partir sans y laisser mon empreinte. J’en étais le Capitaine et j’avais une grande responsabilité. Je voulais y rester." Dites-nous, combien de fois avez-vous joué au Santiago Bernabeu ? "Très peu de fois, et je pense uniquement à la Finale de la Ligue des Champions 2010. Une autre fois, nous avions dû jouer Madrid en Ligue des Champions à Séville car le Bernabeu était fermé. Après ma retraite, nous avons disputé un match des légendes. J’en ai aussi disputé un avec l’Argentine." Que vous rappelez-vous cette soirée de 2010 ? "C’était la soirée rêvée, l’une des plus belle de ma carrière car elle reste dans l’Histoire de mon club : J’ai soulevé la Ligue des Champions que l’Inter n’avait plus remporté depuis 45 ans." Que pensez-vous de Carvajal ? Vous étiez un spécialiste à ce poste...... "C’est un point de référence, un joueur très équilibré et qui évolue avec continuité. La preuve est que tous les entraîneurs lui font confiance." Quelle est l’image de Carlo Ancelotti, l’entraîneur, en Italie ? "Carlo est très estimé pour l’ensemble de sa carrière, pour sa façon d’être. C’est toujours un homme très calme avec des concepts très clair. Il se comporte toujours de la même façon, aussi bien en cas de victoire que de défaites. J’ai beaucoup de respect pour lui." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Diego Milito s’est livré au cours d’une longue interview au quotidien Ibérique"AS". Et le Prince de Milan est optimiste quant à une performance Nerazzurra, ce soir, au Stade Santiago Bernabeu: "Dans le football, il faut toujours y croire, rêver. C’est une partie de très haut niveau entre deux grandes équipes. L’Inter peut l’emporter au Bernabeu, même si objectivement, ce sera difficile." "Faire face au Real Madrid est synonyme de beaucoup de significations. Mais je pense que l’Inter, aujourd’hui, peut réaliser un grand match et gagner. Elle est dans une bonne période, avec un bon entraîneur et composés de bons joueurs pour compliquer la vie du Real." Vous savez très bien ce que cela veut dire de gagner contre Madrid…. "C’est l’un de mes souvenir qui me restera pour toujours, pour l’Histoire et pour moi. Déjà marquer un quadruplé est compliqué, mais le faire face au Madrid des Galactiques, imaginez-le ! C’est l’une des soirées, dans ma carrière où tout a fonctionné dans l’équipe." Le Bernabeu est un stade très spécial pour vous, vu que vous y aviez remporté la Ligue des Champions avec l’Inter...... "C’est un stade qui est mythique. C’était un plaisir d’y jouer et il m’a offert l’une des plus grandes joies de ma carrière sportive. Mais j’y ai aussi perdu la Finale de la Copa Del Rey face à l’Espanyol. A présent, et avec le temps, je retiens surtout que j’ai été chanceux de jouer au Bernabeu." A plusieurs reprises, vous aviez admis avoir été proche de signer pour le Real. Pourriez-vous nous dire quand et comment ? "Il y a eu deux approches : La première était lorsque j’évoluais à Saragosse et lorsque Schuster venait de devenir l’entraîneur du Real. Il y avait eu un contact entre les clubs, mon agent mais je ne sais pas très bien ce qu’il s’est passé. Cela aurait été une étape importante dans ma carrière, mais les choses n’arrivent pas sans raison." "La seconde fois, c’était après la Finale de la Ligue des Champions et l’arrivée de Mourinho : Il y avait eu des contacts, mais ce n’était pas non plus possible cette fois-là : J’étais très heureux à l’Inter." Imaginez-vous Lautaro au Real ? "Je le trouve fantastique et, en même temps, je le vois très heureux à l’Inter : Il est dans un Top Club européen et il a les qualités pour continuer à grandir, il est très jeune. C’est évident qu’il a les qualités pour jouer au Real, ou à Barcelone, ou dans d’autres grands clubs: Mais il évolue déjà au très haut niveau." Quelle est la prochaine étape que vous souhaiteriez atteindre dans votre carrière ? "Ici, je commente les équipes italiennes en Ligue des Champions, c’est une belle possibilité pour rester en contact avec le football. Je suis libre et j’en profite pour échanger avec les entraîneurs, mes anciens équipiers. Cela me permet de m’entraîner et de continuer à apprendre : Qui sait ce que me réserve le futur." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Simone Inzaghi s’est livré en conférence de presse, mais également à Sky Sport et à Sport Mediaset dans le cadre de la dernière et ultime journée de la phase de groupe de la Ligue des Champions qui verra l’Inter défier le Real Madrid au Santiago Bernabeu. Son interview en conférence de presse A quel match vous attendez-vous demain, en sachant que pour le Real, un match nul suffit ? Que pensez-vous de l’absence de Benzema ? "Je pense que la rencontre de demain sera une rencontre importante pour nous. Nous nous sommes qualifiés, mais elle sera importante car nous voulons réaliser un grand match. A l’aller, nous avions fait une très belle prestation, mais cela n’avait pas suffi. Pour demain, il faudra faire un petit quelque chose en plus." "Benzema est extrêmement important pour eux, mais nous les entraîneurs, nous devons savoir faire face à ce type de problème. Ils ont Jovic qui a réalisé un but et une passe décisive lors e la dernière rencontre." Qu’est-ce qui a changé à l’Inter, pour lui permettre de réaliser ce parcours gagnant ? "Je pense que nous nous connaissons mieux, l’équipe joue avec ce dispositif depuis plus de deux ans. Au début de la saison, nous exprimions un bon football, l’exemple le plus flagrant est le match aller face au Real. Nous nous présentons ici avec une très belle série qui nous donne de l’auto-estime." En quelle caractéristique d’Ancelotti vous retrouvez-vous ? "Sa carrière parle pour lui, avant le premier match nous avions discuté football, c’est toujours un plaisir. Je suis content que tout se passe bien en Liga pour lui, il a tellement d’avance sur le second. Nous parlons d’un très grand entraîneur qui a énormément gagné en carrière." Comment vont Lautaro Martinez et Stefan De Vrij ? "Il n’y aura pas Darmian, Ranocchia et Satriano (non-repris dans la liste ndlr). A cela, il faut y ajouter Correa qui a connu un pépin à l’Olimpico, cela m’attriste car il était en pleine ascension. C’est un joueur que je connais bien et qui était dans une bonne période. Lautaro n’a plus connu de problème lors de la séance d’entrainement, pour De Vrij et Kolarov, je dois encore chercher à comprendre leur état de forme, ils ont réalisé un entrainement." Il y a une attente, demain, pour savoir si le Calcio est revenu au plus haut niveau...... "Et c’est normal qu’il y ait cette attente, C'est comme ce qui s’est d’ailleurs produit au match aller: Nous avions joué comme une grande équipe, ici nous n’aurons pas tellement de Tifosi, mais ils seront tout de même présents au Bernabeu. Nous allons jouer avec personnalité et confiance, en sachant que nous avons déjà réalisé quelque chose d’important vu que cela faisait dix ans que nous ne passions plus ce tour. Nous voulons réaliser un grand match demain." Nous constatons que les joueurs qui montent etqui remplacent les titulaires font d’excellentes prestations…. "Je pense que c’est un motif de fierté pour un entraîneur: Tout le monde a joué, ceux qui jouent le plus comme ceux qui jouent le moins. C’est ce qu’un entraîneur puisse espérer de mieux, j’ai de grands professionnels à ma disposition, des garçons très sérieux." Est-ce juste de définir la rencontre de demain comme un examen de fin d’études ? "Ce sera une rencontre importante demain, je sais que l’Inter ne l’a emporté qu’à une seule reprise, dans toute son histoire, au Real. Nous tenons à nous préparer de la meilleure des façons possibles au match." Avez-vous peur de Vinicius ? Est-il le meilleur joueur du monde ? "Je le connais, c’est un joueur de très grande qualité qui cette année fait preuve de continuité au niveau des buts et des passes décisives. Il y aura une attention particulière, comme pour tant d’autres." Son interview à Sport Mediaset "Nous savons comment est le football, il y a des périodes où tout va bien, ensuite tu perds deux matchs et ceux qui t’encensent deviennent tes premiers détracteurs. Mais c’est le football, notre monde : Nous devons continuer à travailler de la sorte, en pensant match après match." Qu’avez-vous à dire sur la satisfaction d’arriver au Bernabeu sans pression et pour disputer la première place ? "C’était une grande espérance, l’objectif était d’arriver à Madrid avec la qualification déjà en poche. Nous savions que cela allait être difficile, mais les garçons ont été extraordinaires car ils ont réalisé quatre grandes parties en s’améliorant les unes après les autres après un début amer et la défaite face au Real. Nous nous le sommes mérité, nous allons jouer cette partie comme une grande équipe." Au match aller, il s’agissait de votre meilleure rencontre vu la domination et les occasions créés, mais sans récolter le moindre point. Que devez-vous faire demain ? "Nous devrons faire plus comparer au match aller car nous avons grandi, tout comme le Real. Nous sommes deux grandes équipes et nous voulons continuer de la sorte." On parle déjà de votre prolongation de contrat, cela vous fait-il plaisir ? "Cela me fait plaisir, ce sont des informations que l’on peut lire, mais en ce moment mes priorités sont tout autres : Ma priorité actuelle est le Real Madrid." Son interview à Sky Sport Quel est l’importance d’arriver à la première place ? "C’est important à la fin de la phase de groupe, toutefois, nous devrons réaliser notre match de la meilleure des façons : Gagner ici, à Madrid est extrêmement difficile : eux comme nous ont déjà, par le passé, su se qualifier à l’avance et nous assisterons à une grande partie demain." Vous attendez-vous à une rencontre similaire à celle du match aller ? Comment va Lautaro ? "Le Real n’aura pas Benzema, l’Inter n’aura pas Darmian, Correa, Ranocchia, Satriano… Les deux équipes font face à des problématiques. Lautaro me semblait bien hier, je l’évaluerai demain tout comme j’évaluerai aussi les conditions de De Vrij et Kolarov." Selon vous, qui votre frère, Pippo, soutiendra demain : Vous ou son ancien entraîneur et ami Ancelotti ? "Je pense qu’il me soutiendra, même si je n’y ai pas pensé, je n’ai aucun doute. Je connais aussi l’estime qu’il a pour Ancelotti, ils ont tant partagé et gagné ensemble. Ils se parlent toujours et cela me fera plaisir de revoir demain Carlo et d’échanger avec lui." On parle d’une prolongation de contrat, cela vous fait-il plaisir ? "C’est normal que cela me faisse plaisir de le lire et de l’entendre. Mais plus que cela, ma seule concentration réside à la rencontre de demain, après le si beau parcours que nous avons réalisé en Ligue des Champions, nous voulons conclure ce dernier par un grand match demain." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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