Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'stefan vrij'.
3 résultats trouvés
-
Pour le compte de la 6ème journée de Série A, l'Inter recevait l'Atalanta à Giuseppe Meazza. Ce match était le premier d'une série difficile qui attend les Nerazzuri, qui affronteront successivement en championnat Sassuolo, la Lazio et la Juventus. Récit d'un match absolument spectaculaire. Nous sommes passés par tous les états, de la joie à la tristesse, de la frustration au soulagement. Le match s'est décanté en plusieurs parties : de la 1' à 5', de la 5' à 55', de la 55' à 85' et de la 85' à 96'. La première est pour l'Inter. À ce moment-là l'Inter joue, dicte le rythme à l'adversaire et marque ce magnifique premier but, un des plus beaux de la saison sans l'ombre d'un doute. Tout le monde faisaient les efforts, notamment Perisìć qui a réalisé un bon match dans l'ensemble. Mais Džeko loupe la balle du 2-0 et ce sera très important pour la suite de la rencontre. Et puis plus rien. On entre dans la seconde partie. L'Atalanta est montée en puissance, physiquement dans le pressing, en s'implantant plus haut dans la moitié de terrain de l'Inter. Celle-ci reste solide mais les occasions s'enchaînent pour la Dea. Et ce qui devait arriver arriva. Škriniar laisse trop de temps et d'espace à Malinovski qui marque un but sublime. Imparable pour n'importe quel gardien. Derrière l'Inter souffre et l'Atalanta (Malinovski) ont la bonne idée de tenter leur chance de loin. Et ça n'a pas manqué. Frappe surpuissante de l'Ukrainien détournée par Handanović. Toloï reprend et marque le 2-1. Fin de la 1ère période, avec des joueurs qui se donnent à fond (à l'image de Džeko qui fait un énorme repli défensif à la 26'); et un Maresca qui distribue des cartons jaunes (4 en 1ère période), comme il distribuait jadis les erreurs d'arbitrages contre l'Inter. Début de la seconde mi-temps sur les mêmes bases que la fin de la première, une Atalanta qui presse haut et une Inter qui a du mal à se créer des occasions et qui négocie mal les situations de contre qui se présentent à elle. À noter la grossière erreur de Maresca à la 50' qui accorde un coup franc totalement inexistant à Malinovski qui vient heurter le poteau. Coup de chaud pour la défense Interiste. Arrive la 55' et les sorties de Darmian, Bastoni et Çalhanoglu pour respectivement Dumfries, Dimarco et Vecino. Nous basculons sur la 3ème partie de ce match. Ces changements apporteront l'énergie dont l'Inter avait besoin pour revenir dans le match, avec mention à Vecino. L'activité au milieu change quand il remplace Hakan. Pareil pour Dumfries et Dimarco. L'Inter reprend le dessus sur l'Atalanta et se crée plusieurs occasions coup sur coup. Notamment cette offrande, ce caviar, ce saucisson de Barella déposé sur la tête de Džeko. Ce dernier reprend bien mais Musso réalise un arrêt décisif. Dommage pour l'Inter de ne pas avoir pris ce très bon gardien. Les occasions défilent, le but ne vient pas, jusqu'à la 71' et ce tap-in Ronaldesque d'Edin Džeko, sur un amour d'extérieur du pied de Barella pour Dimarco, qui voit sa tentative déviée par Juan Musso dans les pieds du Bosniaque. Le match est relancé et l'Inter pousse pour passer devant mais n'y parvient pas. Nous entrons alors dans le moment décisif de la rencontre : le pénalty. Long ballon de Brozović vers Dumfries qui conserve bien son ballon et qui parvient à se retourner. Il envoie un suberbe centre droit sur la tête de Džeko dans les 5m50. Demiral pose sa main sur le crâne du Bosniaque et concède le pénalty. L'occasion de prendre l'avantage est là et c'est Dimarco qui est choisi pour la convertir. Mais Dimarco, se croyant en train de tirer un coup franc, envoie une mine sur la barre de Musso. Trop de responsabilités pour Federico qui aurait sans doute dû laisser sa place à un quelqu'un d'autre. Dernière partie du match après ce pénalty non-converti. L'Atalanta est comme revigorée et pousse pour arracher la victoire. 88', Handanović hésite un peu à sortir sur un ballon contré et dégage maladroitement. C'est récupérer par la Dea, bonne circulation de balle et superbe inspiration de Gosens qui joue en une touche pour Roberto Piccoli qui prend Handanović à contre pied. Ce dernier fait ce qu'il peut et ralentit la course d'un ballon qui finira malgré tout au fond des filets. L'Inter est à terre mais coup du sort, le VAR intervient et invalide le troisième but Bergamasque car le ballon était sortie des limites du rectangle vert. L'Inter est sauvée par la grâce (et la petite hésitation d'Handanović au départ de l'action). L'Atalanta pousse sur la fin de rencontre mais ne parvient pas à s'imposer. Du côté de l'Inter, fin de match discrète mais quand même une dernière occasion pour Džeko à la 96' sur un centre d'Alexis Sánchez. Sa tête finira à côté du but de Musso. M. Maresca siffle la fin d'une rencontre intense et rocambolesque, où tout les scénarios possibles ont pût être imaginés, par des joueurs et des supporters qui sortiront de ce match plutôt frustrés; par le pénalty pour uns et par le but refusé pour les autres. Match d'une très grande intensité qui pèsera sûrement mardi prochain à 18h45 en Ukraine contre le Shakhtar pour le compte de la 2ème journée de Ligue des champions. Inter 2-2 Atalanta, l'Inter laisse filer 2 points contre la Dea et manque l'occasion de reprendre les commandes de la Série A. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 2-2 Atalanta Buteur(s): 5' Lautaro Martinez (I), 30' Malinovski (A), 37' Toloï (A), 71' Džeko (I) Inter (3-5-2): 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (57' 32 Dimarco); 36 Darmian (57' 2 Dumfries), 23 Barella (89' 48 Satriano), 77 Brozovic, 20 Calhanoglu (57' 8 Vecino), 14 Perisic; 9 Džeko, 10 Lautaro Martinez (81' 7 Sánchez) Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 33 D'Ambrosio, 5 Gagliardini, 38 Sangalli T1: Simone Inzaghi Atalanta (3-4-1-2): 1 Musso; 2 Toloï, 28 Demiral, 6 Palomino (70' 3 Maehle); 77 Zappacosta (77' 88 Pasalić), 15 De Roon, 11 Freuler, 8 Gosens; 32 Pessina (63' 19 Djimsiti); 18 Malinovski (63' 72 Ilicić), 91 Zapata (63' 99 Piccoli) Banc: 57 Sportiello, 13 Pezella, 31 Rossi, 59 Miranchuk, 66 Lovato, 7 Koopmeiners T1: Gian Piero Gasperini Arbitre: Fabio Maresca VAR: Aureliano Averti(s): Malinovski (A), Bastoni (I), Palomino (A), Zapata (A), Çalhanoglu (I), Zappacosta (A), Barella (I), Toloï (A) Expulsé(s): / ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
- 4 commentaires
-
- 9
-
-
-
- inter milan
- atalanta
-
(et 19 en plus)
Étiqueté avec :
- inter milan
- atalanta
- atalanta-inter
- giuseppe meazza
- handanovic
- milan skriniar
- alessandro bastoni
- nicolo barella
- denzel dumfries
- federico dimarco
- hakan calhanoglu
- serie a 21/22
- ivan perisic
- lautaro javier martinez
- edin dzeko
- simone inzaghi
- gian piero gasperini
- fabio maresca
- juan musso
- matias vecino
- stefan vrij
-
L'Inter sous Spalletti : rapide analyse tactique
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Cet article présente une très rapide analyse de la tactique employée par Luciano Spalletti durant son passage chez nous. Structure Jusqu'à la phase de poule de la C1 2018-2019, Spalletti donna la primeur à un 4-2-3-1 avec le prolifique attaquant Mauro Icardi comme point focal du jeu offensif dans le dernier tiers. Semblable à son temps au Zenit, l'Inter a utilisé deux milieux défensifs et un numéro 10. Deux parmi Marcelo Brozovic, Matias Vecino et Roberto Gagliardini fournissent une solide protection centrale dans les rôles de milieux défensifs, tandis que Radja Nainggolan fournit un soutien central idéal à Icardi seul devant. Les arrières latéraux montent souvent en avant en attaque, d'autant plus qu'ils se sont appariés avec deux milieux défensifs qui s'aventurent rarement devant. Sime Vrsaljko et Kwadwo Asamoah sont deux arrières latéraux très offensifs qui peuvent fournir des centres dans la surface de réparation. Le retour de l'Inter en Ligue des champions 2018-2019 les verra se heurter à Tottenham, qui pourrait mettre en place une ligne arrière à trois que Spalletti, connu pour mettre en mirroir les formations adverses, pourrait reproduire. Stefan de Vrij serait très probablement au centre de ces trois arrières, avec Danilo D'Ambrosio et Milan Skriniar à côté de lui. Vrsaljko et Asamoah seraient les choix évidents pour marauder en avant tandis que Nainggolan et Ivan Perisic soutiendraient Icardi formant un triangle offensif assez étroit. Les attaques Avoir Icardi seul en pointe signifie qu'il peut souvent occuper deux défenseurs centraux avec un positionnement intelligent. Cela peut ouvrir de l'espace à l'intérieur, pour Perisic en particulier pour couper vers l'intérieur de sa gauche et tirer, ou passer et se combiner avec Icardi dans l'axe. C'est selon. Le positionnement en pointe d’Icardi peut également créer des situations individuelles pour Perisic contre l’arrière latéral adverse. Comme le Croate est efficace avec les deux pieds, il peut également battre son vis-à-vis à l'extérieur, offrant aors des centres à Icardi qui est dans la surface. Quelle que soit la manière dont Perisic décide d’attaquer son opposant direct, le poind d'Icardi sur la défense centrale est essentielle aux attaques de l’Inter. Lorsqu'elle reste haute, la ligne arrière de l'Inter a également la possibilité de faire soit des passes très longues de l'arrière ou des passes plus courtes devant, comme Icardi peut récupérer ces deux types de passes. Les mouvements vers l'intérieurs de Perisic et Matteo Politano peuvent attirer les arrières latéraux opposés dans une structure étroite, créant un espace pour Icardi pour faire des slaloms sur le côté de la défense centrale (ci-dessus). À partir de là, les points d'appui de Nainggolan et son milieu de terrain du côté opposé signifient que l'Inter peut obtenir un certain nombres de joueurs dans la surface adverse. Faiblesse Si Spalletti choisit de mettre en miroir une possible ligne à trois arrières, l'Inter laisse souvent de l'espace derrière pour les balles passant au-dessus de sa ligne défensive (ci-dessous). Lorsque Tottenham a utilisé trois arrières, Lucas Moura s'est apparié avec Harry Kane en attaque, avec Dele Alli soutenant depuis le milieu. La ligne défensive à cinq que l'Inter a établie pourrait être exploitée par Moura, dont la vitesse de plus de 10 à 15 mètres ne peut tout simplement pas être égalée par De Vrij, Skriniar ou D'Ambrosio. De Vrij en particulier serait crucial s'il était utilisé comme central dans une ligne arrière de trois, et pas seulement pour l'organisation défensive qui serait de sa responsabilité. Si Harry Kane occupait le Néerlandais alors que Tottenham progressait dans le dernier tiers, il pourrait avoir du mal à organiser et à suivre le finisseur le plus meurtrier de Tottenham en même temps. Quelle que soit la formation choisie par Spalletti, cela pourrait être l’une des batailles cruciales du match. Le joueur clé: MI9 Maintenant dans sa sixième saison avec l'Inter, le capitaine du club est devenu le principal talisman offensif du club. Bien qu'il soit constamment lié à des départs, il a maintenant été à deux reprises meilleur buteur de Serie A. Il a marqué plus de 20 buts en championnat au cours de trois des quatre dernières saisons. Icardi ne semble pas le plus agressif des attaquants, mais sa capacité à récupérer les centres vaut celle d’un avant-centre traditionnellement puissant. Marquant souvent des buts de la tête, Icardi est une menace dans les airs (ci-dessus). De même, si le ballon est introduit dans la surface de réparation à partir d'une construction centrale, le joueur de 25 ans est un tireur mortel. Il peut courir derrière l’épaule du dernier défenseur pour terminer dans un contre un, ou tirer dans des zones très encombrées, en utilisant les défenseurs comme écran de la vision du gardien de but. La marque de fabrique d’Icardi est de simuler son tir, en espérant que son marqueur tentera de bloquer le premier effort trompeur. Si le défenseur tombe dans le panneau, Icardi recule simplement dans la direction opposée (ci-dessous), laissant son marqueur au sol. De là, il n'a plus que le gardien à battre, ce qu'il fait souvent. Au début de ses années à l'Inter, Icardi était très concentré sur le fait de courir derrière ou de toujours tourner après la réception. Cela n’a pas toujours fonctionné, s’il devait être marqué par deux adversaires ou si l’espace était indisponible. Au fur et à mesure de son développement, Icardi a démontré des améliorations se combiner avec des partenaires courant dans la profondeur et utiliser les talents d'attaque de ceux qui l'entourent tels que Perisic à gauche ou son nouveau coéquipier Nainggolan de profondeur. Continuer votre lecture avec d'autres analyses tactique :- 7 commentaires
-
- 7
-
-
- analyse
- luciano spalletti
-
(et 5 en plus)
Étiqueté avec :
-
Furia Conte : Seul un joueur reste intransférable
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
La défaite face à Bologne aura laissé des traces et Antonio Conte attend une excellente prestation de la part des siens. Si une victoire lui permettrait de se rapprocher de la Lazio et un peu de la Juve, il y aura surtout lieu de tenir à distance l’Atalanta. L’entraîneur n’a plus aucune intention de faire de cadeau à ses joueurs, quitte à prendre des décisions importantes. Pour Antonio Conte, il ne reste plus qu’un seul joueur intouchable : Romelu Lukaku, tous les autres sont sur la sellette. Milan Skriniar et Marcelo Brozovic figurent parmi les joueurs transférables en cas d’offre scandaleuse. Christian Eriksen pourrait être sacrifier si son départ permet d’arriver à des joueurs plus fonctionnels au projet tel que Sergej Milinkovic-Savic, Paul Pogba ou Nicolò Zaniolo. L’Inter devrait tout de même agir de la sorte : Conclure rapidement les transferts de Sandro Tonali et d’Emerson Palmieri Faire une tentative pour Edin Dzeko Suivre la situation relative à David Alaba Le Saviez-Vous ? Ce soir, l’Inter affrontera l’Hellas Vérone en proposant le dispositif suivant : 3-4-1-2. Christian Eriksen et Lautaro Martinez seront sur le banc. Conte ayant constaté le manque d’engouement de la part des joueurs. Pour épauler Marcelo Brozovic, on devrait voir Borja Valero accompagné de Roberto Gagliardini. En défense, on retrouvera le trio composé de Diego Godin, Milan Skriniar et de Stefan Vrij. Sur les ailes, à droite Antonio Candreva et Ashley Young à gauche. Alexis Sanchez et Romelu Lukaku, seront à la pointe de l'attaque. Validez-vous cette prise de décision radicale de la part de l’entraîneur Nerazzurro ?- 21 commentaires
-
- 3
-
-
- bologne
- antonio conte
-
(et 20 en plus)
Étiqueté avec :
- bologne
- antonio conte
- romelu lukaku
- milan skriniar
- marcelo brozovic
- christian eriksen
- sergej milinkovic-savic
- paul pogba
- sandro tonali
- emerson palmieri
- edin dzeko
- david alaba
- hellas vérone
- borja valero
- roberto gagliardini
- diego godin
- stefan vrij
- antonio candreva
- ashley young
- alexis sanchez
- juventus
- lazio rome