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La quatrième place devient encore plus compliquée et l'équipe d'Inzaghi ne pourra plus faire d'erreurs dans les prochains matchs, sinon le changement sera inévitable. L'Inter rattrape une énième défaite en championnat, la dixième. C'est la Fiorentina qui a battu les Nerazzurri à San Siro hier , grâce à un but de l'ancien milanais Bonaventura. Désormais, la quatrième place est encore plus compliquée et l'équipe d'Inzaghi ne pourra plus se tromper lors des prochains matchs. "La désintégration de l'Inter ne connaît pas de fin. Troisième défaite consécutive en championnat : la Spezia, la Juventus et la Fiorentina. Un vaste échantillon, contre des adversaires de toutes formes et de toutes tailles, c'est pourquoi le problème est l'Inter lui-même, désormais foutu sur lui-même. Le principal accusé reste Simone Inzaghi, incapable de transmettre à l'équipe quelque chose de différent, une ligne de jeu différente qui dépasse les canons habituels. Il est difficile, presque impossible d'imaginer qu'Inzaghi entraînera l'Inter la saison prochaine, à moins de gagner la Ligue des champions, aujourd'hui une éventualité lointaine, voire utopique. Et il n'est pas non plus exclu que, face à d'autres résultats erronés, la relation se referme plus tôt. L'Inter est plongée dans une spirale "trop" négative et si le naufrage continue, il se passera quelque chose. il faut essayer. La qualification en Ligue des champions est de plus en plus menacée et sans les millions d'Europe qui comptent, l'avenir promet d'être plus sombre qu'il ne l'est déjà.", analyse La Gazzetta dello Sport. "L'image d'un jeu rassis reste dans les yeux. L'Inter d'hier n'a développé que des actions dangereuses sur les couloirs extérieurs, ils ont juste sorti des centres, ils n'ont pas frappé ni combiné avec le ballon au sol. Le seul jeu vertical c'était le ballon pour Lukaku en version centre. Une formation monotone, ne passant que sur les côtés, cela est trop lisible. Inzaghi ne se renouvelle pas, il insiste avec des lignes directrices usées. Dix défaites en 28 journèes : Pour retrouver une tendance similaire il faut remonter à 2016-17, la triste saison des trois entraîneurs, De Boer-Vecchi-Pioli, clôturée à la septième place. Continuez comme ça, le classement 2023 ne sera pas différent". Le plus difficile n'est pas la chute mais l'atterrissage! Traduction Via Lindt1908 Via Fc Inter1908
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En vue du match de dimanche soir entre Naples et Milan, La Gazzetta dello Sport a interviewé l'ancien défenseur de l'Inter Andrea Ranocchia. Le joueur a eu les deux entraîneurs à la tête des deux équipes des Nerazzurri, Pioli et Spalletti. Andrea Ranocchia, quels souvenirs gardez-vous de Pioli et Spalletti ? — «En raison d'une question chronologique et de la durée de la relation professionnelle, j'ai pu moins tisser des liens avec l'actuel entraîneur Milanais. Il est arrivé à l'Inter alors que je me dirigeais déjà sur le marché des transferts. À tel point qu'au bout d'un moment, j'ai été prêté à Hull City en Premier League. Mais je l'ai complimenté sur le Scudetto et il m'a écrit après ma retraite. Bien sûr, je parle plus souvent à Spalletti». Avec lequel des deux entraîneurs avez-vous eu le plus de mal à l'entraînement ? — Dès notre arrivée, Pioli nous a presque menacés, il a dit qu'il ne savait pas comment nous nous préparions avant, mais qu'il allait nous "massacrer" physiquement. Il a tenu sa parole. Les deux sont presque obsédés par la préparation du match et l'étude de l'adversaire. Peut-être que Stefano est plus méthodique dans la façon dont il organise son travail quotidien, alors qu'avec Luciano le menu variait un peu plus». Spalletti est arrivé à l'Inter après avoir déjà gagné en Russie et a frôlé le Scudetto avec la Roma. Pioli, en revanche, était moins "formé" à un certain niveau à l'époque. — «C'est vrai, mais le supporter milanais ne semblait pas du tout intimidé par l'environnement. Il avait les idées claires sur le plan footballistique et était très sûr de lui». Quelles différences retiens-tu dans le rapport au vestiaire ? — «Ils ont plus de caractères similaires qu'il n'y paraît. Ils sont très directs et authentiques. En bon toscan, Luciano est plutôt un hôte, enclin à plaisanter. Fascinant avec les joueurs comme on le voit en conférence de presse». Elle a peu joué avec les deux. Votre relation avec l'entraîneur est-elle nécessairement liée à l'espace que vous accordez au joueur ? — "Pour moi non. Ce qui compte c'est le côté humain. J'ai plus joué avec Luciano aussi parce que dans des situations désespérées, il m'a aligné comme attaquant...". Spalletti est également lié au célèbre épisode du fan agressé verbalement lors du camp d'entraînement à Brunico parce qu'il le contestait. — «L'attaque a failli être même physique, il a presque été giflé deux fois...(rires, ndlr). Un épisode que je n'oublierai jamais, qui m'a aidé dans un chemin de renaissance que j'avais déjà entrepris par moi-même. Son travail à l'Inter a été largement sous-estimé. Pour Spalletti, j'irais même à la guerre». Le même sentiment que vous ressentez lorsque vous voyez ses joueurs actuels à Naples? — «Il fait un chef-d'œuvre, ils jouent très bien et on voit qu'il y a une grande unité entre tous les composants. Y compris les fans. Mais Pioli a aussi su créer un groupe très uni à Milan». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.
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En effet, après 12 ans de disette, l’Inter fait son grand retour dans le Top 8 européen, mais celle-ci ne sera pas seule étant donné que le Milan et le Napoli se sont également qualifiés : Un jour de gloire pour la Serie A qui propose 3 clubs sur les 8 encore en course! Révélation de la Gazzetta Dello Sport Que de souvenirs "Le tirage au sort de ce vendredi 17 mars pourrait également proposer un Euro-Derby comme cela a eu lieu en 2002-2003 et en 2004-2005, mais qu’adviendra-t ’il si l’Inter et le Milan ne se rencontrent pas et qu'ils sont tirés à chaque fois premiers ou seconds ?" "Le règlement de l’UEFA dit qu’il n’est pas possible de disputer deux rencontres de Ligue des Champions, dans le même stade, dans un arc de 24h00. Selon Nyon, il ne serait pas possible de voir les équipes jouer les mardi 11 et mercredi 12 avril ni même les mardi 18 et mercredi 19 avril, lorsqu’auront lieu les matchs retour. En phase à élimination directe, voir même en huitième de finale, ce problème a été écarté étant donné que les deux équipes milanaises jouaient à une semaine d’intervalle, aussi bien à domicile qu’à l’extérieur." "Le règlement clarifie la situation : Milan a terminé le dernier championnat devant l’Inter et ce sera donc à l’Inter à intervertir son match si les deux équipes sont extraites toutes les deux en premier ou en second. Voici un exemple : Si lors du Tirage au sort on retrouve Milan-Chelsea et Inter-Manchester City, les Rossoneris joueront le match aller à San Siro alors que les Nerazzurri joueront à l'Etihad de Manchester. Idem si le tirage au sort propose un Chelsea-Milan et City-Inter, la formation de Pioli ira jouer le match aller à Stamford Bridge tandis que l’Inter accueillera, pour cette manche aller, les Hommes de Guardiola au Giuseppe Meazza." Et pourquoi nous mettre City et pas Benfica les amis ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Enième élimination européenne, question d'habitude pourrait-on dire, récoltée par Antonio Conte contre le terrible et puissant Milan de Stefano Pioli. Ses mots après le match. Une élimination qui met encore plus la pression sur l'avenir de notre ancien entraîneur qui pourrait, selon certaines rumeurs, revenir à l'Inter. Et c'est justement sur son avenir que le correspondant de Prime Video a taquiné le technicien après le match contre les Rossoneri. "Qu'est-ce que je ressens pour l'avenir ? Je ne ressens rien, j'ai un contrat avec Tottenham et je le respecte. En fin de saison les justes évaluations se feront avec le club. De manière sereine j'aurai mon mot à dire... Avec un contrat expirant, voyons comment la saison se termine, peut-être qu'ils peuvent même me renvoyer plus tôt, ce n'est pas le problème. Peut-être que les attentes étaient plus élevées et qu'ils peuvent être déçus, mais ce qui compte pour un entraîneur, c'est de travailler et de relever la barre, nous avons du mal cette année." Antonio Conte, celui qui entraîne des équipes qui roulent sur l'Europe... jusqu'en huitièmes... au mieux... Traduction alex_j via FCInterNews.
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Post-Inzaghi: Antonio Conte et Thomas Tuchel en pôle ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, Simone Inzaghi doit avoir les oreilles qui sifflent, car s'il ne se montre pas à la hauteur des espérances placées en lui, il pourrait purement et simplement prendre la porte. Deux successeurs sont déjà désignés, deux personnalités d'ailleurs très bien connue de Romelu Lukaku! Antonio Conte Soit le retour de l'Homme du 19ème Scudetto, de l'Homme qui fait de Romelu Lukaku, le meilleur joueur de la saison du Tricolore et pour le Times: "Antonio Conte est de retour en fonction après avoir séjourné en Italie durant trois semaines suite à l'ablation de la vésicule biliaire, et cette pause a également renforcé son désir de rentrer chez lui à la fin de la saison" "Et si l'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus se concentre évidemment sur le terrain, avec la rencontre face à l'Ac Milan à portée de main qui pourrait lui permettre de se qualifier, une élimination européenne de Tottenham verrait les chances de voir Conte et le club se séparer en fin de saison, à l'expiration de son contrat, augmenter." "Si les Spurs ont la possibilité de lui prolonger son contrat d'un an, l'entraineur a déclaré qu'il ne resterait la saison prochaine que s'il était heureux, et il est prévu qu'il retourne en Italie cet été. Et bien plus qu'une ambition légitime, c'est peut-être l'envie de rentrer au pays qui fera la différence. Conte vit à l'Hôtel depuis qu'il est arrivé à Londres et il a souvent fait part d'un manque familiale, une famille qu'il tente toujours de joindre dès que possible." Mais où entrainer la saison prochaine ? "L'Inter qu'il a emmené au Scudetto en 2021 s'est renseignée de manière informelle, il pourrait y avoir un intérêt de la Roma si José Mourinho part alors qu'il lui reste un an de contrat, comme cela a été évoqué en Italie. L'Ac Milan s'était intéressé à Conte en 2017, mais il risque d'être trop exigeant pour eux même s'ils se séparent de Stefano Pioli, actuellement sous pression suite à sa défaite 2-1 face à la Fiorentina et une cinquième place en Serie A. Si la Juventus aurait aimé recruter Conte, elle est plongée dans un scandale financier qui rend tout retour improbable". Thomas Tuchel Soit le pire choix possible pour Romelu Lukaku! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "L'allemand a étonné l'Europe du Football en remportant la Ligue des Champions avec Chelsea en 2020-21, mais le nouveau propriétaire des Blues l'a remercié en septembre dernier." "Après avoir pris quelques mois de repos, il est maintenant prêt à se lancer à nouveau dans la bataille. Et avec Mauricio Pochettino (qui le devance), il est le candidat le plus sérieux pour reprendre le banc du Real Madrid, même si Raul et Arbeloa sont également en lice, si jamais Carlo Ancelotti accepte l'offre de la Fédération Brésilienne de Football ou si Florentino Perez choisit, en fonction d'un manque de résultat, de se séparer de l'entraîneur italien à un an de la fin de son contrat ." "Tuchel a un profil international qui en impose, lui qui a déjà coaché le Borussia Dortmund, le Paris-Saint-Germain et les Blues de Chelsea. La fin de son aventure à Londres l'a amèrement déçu et il a en lui un grand désir de revanche. A Paris, certains regrettent de l'avoir limogé trop vite, tandis qu'en Angleterre, de nombreuses rumeurs font état d'une cour de la part de Tottenham si Antonio Conte ne prolonge pas l'aventure, sans oublier West Ham. "Tuchel a également ses admirateurs en Italie aussi : L'Inter le tient en très haute considération et si la fin de saison d'Inzaghi n'est pas à la hauteur des attentes, il pourrait faire partie du "Casting" de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio. Mais attention à la Roma qui, si elle ne retient pas Mourinho, pourrait miser sur un entraîneur avec une carrière dans un grand club" Selon vous, Inzaghi sera-t'il limogé en fin de saison ? Si oui, qui de Conte ou de Tuchel recruter si cela s'avère possible ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 19 commentaires
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Ex-Interiste : "Antonio Conte : Une grande émotion de revenir au Meazza !"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Antonio Conte revient au Meazza le jour de la Saint Valentin. Alors que l'ancien entraîneur de l'Inter, aujourd'hui à Tottenham, défiera Milan en Ligue des champions, voici ses mots. "Revenir à San Siro provoque une grande émotion, j'ai passé deux belles et intenses années au cours desquelles nous avons réussi à faire quelque chose d'important avec l'Inter. Revenir provoque une émotion très forte. Pour moi mais aussi pour les joueurs, c'est quelque chose d'extraordinaire. Nous affrontons les champions de l'Italie et nous savons à quel point il est difficile de gagner la Serie A. Ils ont été extraordinaires. Ce sera certainement un match difficile entre deux équipes qui essaieront de gagner." "J'ai souvent complimenté les entraîneurs qui ont gagné ou m'ont battu dans la même compétition. Le mérite doit être rendu à celui qui était le meilleur et Stefano Pioli a eu un très long chemin pour arriver à la victoire. Je suis sûr qu'il le méritait bien plus tôt et que ce que qu'il a fait avec Milan l'année dernière était vraiment incroyable, créant la bonne alchimie, la bonne compacité et la bonne concentration pour gagner le championnat. Je me suis senti obligé de lui envoyer le message de félicitations et je lui ai également répété en personne quand nous nous sommes rencontrés." En gros, Antonio a dit: "Si on perd demain, cela aura été contre un très grand Milan ! Si on gagne demain, cela aura été contre un magnifique Milan !" Traduction alex_j via FCInterNews.-
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Ex Inter : "A la saint Valentin, Antonio Conte de retour au San Siro"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Un retour à la saint Valentin au San Siro, celui d'Antonio Conte. Lui qui, avec le match aller de son Tottenham contre Milan, revient pour la première fois au Meazza après ce lointain 23 mai 2021. Voici le récit publié dans Sportweek qui se charge de raconter le come-back de Sieur Conte. "C'était un jour de fête. Et quelle fête. Dernière journée de championnat, Inter-Udinese termine avec un 5-1 où tout le monde a marqué. Mais le Scudetto était déjà gagné à 4 journées de la fin, après un tournoi dominé de la tête et des épaules. Son équipe était un vrai rouleau compresseur, féroce, puissant, agressif, beau, sans aucune faiblesse. La pazza Inter d'hier s'était transformée en Inter concrète, organisée, obsessionnellement attentive aux moindres détails, tout comme son entraîneur, tout ça en deux ans." "La fête avant les honneurs est arrivée quelques jours plus tard . Mais ce jour-là, Antonio a célébré, sur le terrain avec ses joueurs, a pris les photos habituelles avec les managers et le président, a sauté avec les fans… Il profitait de son dernier match glorieux par ce chaud après-midi. Fatigué, car le travail fourni avait été énorme, content du résultat final, mais aigri car il savait déjà et Zhang, Marotta et Ausilio savaient que l'aventure Nerazzurri s'arrêterait là. Les changements, la réduction des effectifs et la nécessité de vendre certains joueurs l'ont fait se sentir trahi et non conforme aux vues de l'entreprise. Trop d'inconnues et, selon Antonio, trop de plans non réalisés pour croire encore à ce processus de croissance qui lui a été présenté pour le convaincre d'accepter son poste à l'Inter, et qui aurait dû conduire le club à rivaliser avec les meilleurs clubs européens." "Des sentiments qui, soutenus par la nature gagnante qui a constamment besoin de relever les défis, ont conduit à la séparation. Avec le recul, s'ils avaient accepté un compromis, aujourd'hui, l'Inter aurait probablement un Scudetto de plus et se battrait pour le troisième d'affilée, que ce soit vrai ou non. Quiconque connaît Antonio sait qu'il n'y avait pas carrefour, la route était à sens unique. Il n'y avait plus les fondations et la confiance pour continuer." "Inutile de regarder en arrière, pour lui mais aussi pour l'Inter. Conte a apporté et laissé une culture du travail, une rage de compétition, un souci de chaque aspect managérial qui manquait depuis un certain temps, et les résultats se voient et se font toujours vu. En fait, l'équipe d'Inzaghi porte toujours en elle une influence difficile à cacher. Mais un an et neuf mois après ce triomphe à Milan, nous souhaitons la bienvenue à Conte de retour à Milan. Cependant, en tant que manager de Tottenham là où il a fait un autre miracle en reprenant une pige en novembre 2021 une équipe épuisée, essoufflée et flottant au milieu du tableau et l'a amenée à la quatrième place." "Inutile de préciser que la double confrontation avec Milan est un moment crucial de la saison et très attendu dans le milieu anglais. Mais également en Italie, même si la crainte de cette confrontation du côté du Milan est un peu plus grande qu'à Londres. Une double confrontation tout peut arriver, il connaît trop bien notre football, nos joueurs, nos équipes, celui de Pioli notamment. Dans les derbies milanais, les Leccese ont affronté Pioli à quatre reprises entre le championnat et la Coupe d'Italie, s'imposant trois fois, avec 10 buts marqués et 5 encaissés. Des chiffres qui ne le laissent pas calme, ce sentiment qui lui est inconnu, mais le place dans un avantage sur ses anciens cousins. Pourtant, le cadeau que les supporters et le club de Levy aimeraient recevoir en est un autre et n'a pas grand-chose à voir avec Milan et la ville de Milan elle-même : le renouvellement du contrat expirant en juin. Mais même dans ce cas tout reste à voir, rien n'est exclu : rester à Londres, changer de club, faire une pause. A la porte il y a beaucoup d'entreprises européennes, et les grandes italiennes qui pensent à son retour. Il n'y a pas de meilleur entraîneur pour recréer un cycle gagnant." Traduction alex_j via FCInterNews.- 7 commentaires
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Antonio Cassano: "L'Inter doit changer d'entraîneur en Juin !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Comme à son habitude et avec son style qui lui est propre, Antonio Cassano analyse le derby della Madonnina sur son profil Instagram. Florilège. "L'impression que j'ai, c'est que le Milan a gâché trois ans de travail! C'était une première mi-temps pénible où l'équipe était passive car il ne voulait pas faire n'importe quoi. C'était un très mauvais match et cette équipe commence à m'inquiéter. Voyons si Pioli s'en sortira." "L'Inter? Ce qui me dérange le plus, c'est l'entraîneur. Il dit qu'ils ont gagné deux derbies en 20 jours mais il a -13 sur le Napoli. Tu es content de quoi ? L'année dernière, il a offert un Scudetto à Milan et cette année Naples tue le championnat. À mon avis, nous devons changer d'entraîneur en Juin, il n'y a pas beaucoup d'alternatives." Cassano! S'il avait mis autant d'ardeur sur le terrain qu'il met dans ses interviews, il aurait eu une destinée à la Batigol traduction alex_j via FCInterNews.- 20 commentaires
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Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Simone Inzaghi :"Bonne performance, j'ai le soutien des gars, continuons comme ça !"
alex_j a posté un article dans Interviews
L'Inter a largement remporté le derby della Madonnina et a pris la deuxième place au classement. Voici le premier commentaire de Simone Inzaghi à DAZN et dans la salle de conférence du Meazza pour approfondir à travers les questions des journalistes de la presse écrite et du Web. Interview à DAZN Où placez-vous cette victoire dans votre classement depuis que vous êtes à l'Inter ? "Je ne sais pas. J'ai complimenté l'équipe, nous avons dominé. Nous avons gagné deux derbies en 20 jours, le premier nous a offert un trophée et une grande satisfaction. Maintenant, nous essayons de récupérer des joueurs comme Lukaku et Brozovic. Non ne regardons ni devant ni derrière, rappelons-nous que Mardi nous avons disputé un quart de finale de Coupe d'Italie très difficile contre l'Atalanta." Qu'avez-vous pensé du Milan? "On a beaucoup parlé des changements de line-up du Milan mais je me suis concentré sur nous même. Nous avons fait un excellent match contre l'Atalanta, gagner un derby comme celui-ci est très agréable." Lautaro est-il en passe de devenir le leader de cette équipe ? "Depuis Janvier dernier, il joue à des niveaux sensationnels, il a une performance constante malgré l'impossibilité de lui accorder des moments de repos. Il le mérite pour son travail quotidien mais ne parler que de lui est un euphémisme. Ce soir, nous a eu un match où c'était un plaisir de les voir sur le terrain. Le seul défaut était de garder un match trop équilibré jusqu'à la fin mais nous avons dépensé beaucoup ce Mardi parce que nous voulions les demi-finales de la Coupe d'Italie. Je fus plus précis dans la finalisation quand j'étais joueur mais je n'ai pas grand-chose à dire aux garçons. Nous avons joué un excellent match à tous points de vue." Pourquoi avez-vous une Inter différente aujourd'hui qu'en première partie de saison ? "Nous avons commis des erreurs mais pendant quatre mois nous avons perdu deux joueurs comme Lukaku et Brozovic Au cours de ces quatre mois, nous avons gagné un huitième de la Ligue des champions, remporté une Super Coupe et joueront les demi-finales de la Coupe d'Italie. Nous avons 43 points, cela aurait pu être plus mais maintenant nous devons aller de l'avant et penser à nous." Vous ne voulez pas regarder vers l'avant ? "Nous devons penser à nous-mêmes, être concentrés sur ce que nous faisons. Nous avons gagné 10 matchs sur 13 depuis la défaite contre la Roma, nous pouvons encore nous améliorer et nous le ferons d'ici jusqu'à la fin." Salle de conférence du Meazza Votre analyse, êtes-vous satisfait ? "Je suis satisfait, j'ai félicité l'équipe car ils ont été parfaits. Je ne me souviens pas d'un derby dominé de cette façon. Nous sortions du match de Mardi, nous avons fait un grand derby. Gagner deux fois en 20 jours ne se produit pas chaque année, l'un des match nous offrait un trophée. Ne regardons pas devant ou derrière, nous profitons de ce soir. Ensuite, nous penserons à la Sampdoria." Maintenant que Brozovic est de retour, comment sera-t-il réintégré ? "Il s'intègre à merveille avec tout le monde, c'est un joueur très fort qui nous a manqué pendant 4 mois avec Lukaku. Nous avons passé le groupe de la Ligue des champions, remporté la Super Coupe et, après des défaites initiales et le ko à Rome, nous aurions été presque parfaits en championnat s'il n'y avait pas eu Monza et Empoli." Lukaku est très bien entré. "Il n'aurait pas joué Mardi si je ne l'avais pas jugé prêt. Je n'ai donné aucune propriété autre que la demi-finale de la Coupe d'Italie au club. Dzeko et Lautaro étaient bons, Lukaku est très bien entré. L'esprit du groupe est avec moi comme ça, continuons comme ça." Vous attendiez-vous à ce que le 3-5-2 de Pioli renonce à attaquer ? "On en a parlé ces jours-ci, mais je m'inquiétais pour le mien. Tous les dimanches, nous rencontrons une défense à 3 et à 4, ce soir en première mi-temps, nous avons frôlé la perfection. En seconde mi-temps, nous étions en contrôle, nous a concédé le premier tir à la 75'. C'est une grande satisfaction de gagner deux derbies." Êtes-vous satisfait le Meazza vous ait aidé à surmonter le problème de Skriniar ? "Je n'avais aucun doute car la Curva Nord est toujours avec nous, comme tout le stade : elle a été un moteur pour l'équipe, elle nous a accompagnés du début à la fin." Traduction alex_j via FCInterNews.- 3 commentaires
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Notre international turc s’est livré sur la seconde partie de saison à venir, entre sa relation avec Simone Inzaghi, Romelu Lukaku, Lautaro Martinez et la Couse au Scudetto, Hakan n’élude aucune question: "Je me sens bien, j’ai aussi bossé durant les vacances pour rester en forme, je veux être encore plus important pour l’Inter. Ici, j’ai immédiatement été aidé et on m’a fait me sentir chez moi. Je tiens à renvoyer l’ascenseur pour cette confiance en remportant un autre titre, peut-être le Scudetto." Vous êtes à 11 points du Napoli, Leader, croyez-vous en une remontée ? "Oui, c’est certain que j’y crois: Si on redémarre avec la même qualité que celle proposée lors de nos derniers matchs avant la trêve, nous pouvons y arriver." Le 4 janvier, c’est immédiatement Inter-Napoli... "Ce sera une rencontre décisive qui fera comprendre tant de chose au reste du Championnat : La remporter s’avère importantissime. Nous jouerons à domicile, nous serons les Favoris. Je m’y prépare de la bonne façon, je veux le bien de l’équipe : Je veux montrer ce que j’ai en moi." Avez-vous déjà reçu un appel d’Ausilio en rapport avec le renouvellement de votre contrat qui expirera en 2024 ? "Non, pas encore, j’ai envie d’en parler, mais j’attends que ce soit lui qui m’appelle." Milan Skriniar va-t-il rester à l’Inter ? "J’espère que oui, c’est un très grand joueur, un des leaders de notre équipe avec Samir. C’est à lui de prendre sa décision avec le Club, mais j’espère qu’il restera." Quels sont vos rapports avec Simone Inzaghi ? "Excellent, c’est l’une des personnes qui m’a le plus voulu à l’Inter, il a montré immédiatement qu’il croyait en mes qualités dès mon premier jour: Il m’a aussi félicité pour la façon dont j’ai su remplacer Brozovic. Nous avons remporté deux coupes ensemble, il ne nous reste que le Scudetto." Avez-vous regardé la Coupe du Monde remporté par l’Argentine de Lautaro ? "Je n’ai regardé que la Finale qui était une très belle partie, mais dans le tournoi, il manquait ma Turquie et l’Italie. Je suis heureux pour Lautaro, nous sommes amis et je sais à quel point il tenait à ce Mondial. Je l’attends à Appiano comme Champion du Monde pour que l’on puisse faire tous ensemble la fête." Comment avez-vous retrouvé Romelu Lukaku à son retour du Qatar ? Il devrait être disponible dès janvier… "Je l’espère… Il rit. C’est évident qu’avec lui, nous sommes une équipe différente, plus forte. Mais nous avons de toute façon de très grands joueurs. Il faut aussi remercier Dzeko qui, avec ces buts, nous a permis de rester à flot alors que nous traversions des périodes difficiles. Si nous sommes quatrième, nous le devons énormément à lui, c’est un Exemple. Il sera encore important tout comme Correa et tout ceux qui rentreront en cours de match : Nous devons tous être unis." En Ligue des Champions, vous ferez face à Porto... "Remporter la Ligue des Champions est l’un de mes rêves: Cette année, j’y crois! Je ne sais pas bien la raison, mais j’ai ce présentiment particulier : Nous avons su prendre le meilleur dans un groupe très difficile, nous avons relevé la tête après notre défaite face au Bayern, nous avons prouvé de quoi nous étions capable: Porto est une équipe forte, mais si nous jouons nos matchs comme ceux que nous avons disputé face à Barcelone, nous pourrons nous qualifier au tour suivant." Le 18 janvier, ce sera la Super Coupe face au Milan "Les finales sont spéciales et elle se disputent avec un état d’esprit différent : Nous irons à Riyad pour la remporter." Lorsque vous avez quitté Milan, votre ancien club, il a remporté le Scudetto, avez-vous des regrets ? "Je respecte le Milan, j’ai de bons rapports avec Pioli, Maldini et Massara. En gentleman, je les ai félicité pour le Scudetto remporté l’année dernière : Les amis n’ont pas de couleurs, mais pour moi, Milan représente le passé, je pense exclusivement à l’Inter à présent." Qui arrivera en premier à décrocher la Seconde Etoile : L’Inter ou le Milan ? "Il sourit…. Dieu seul le sait." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Davide Santon raccroche les crampons - Interview émouvante
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Davide Santon, l'ancien enfant de l'Inter selon José Mourinho, a décidé de raccrocher définitivement les crampons. Voici ses déclarations à Tuttomercatoweb.com. Introduction. "Je suis obligé d'arrêter de jouer. Non pas pour ne pas avoir eu d'offres, pour rien d'autre, mais juste parce que mon corps avec tant de blessures dans le passé, n'en peut plus. Je ne veux pas, mais je dois." Un choix douloureux. "J'ai subi les premiers mois. J'ai eu le temps d'y penser, d'y réfléchir. Quand j'étais hors du XI à Rome, j'ai eu une première période où j'ai souffert. Je ne m'attendais pas à cette fin de carrière. Je voulais jouer, m'amuser, malheureusement j'ai tout eu tout de suite et je suis arrivé haut. Mais il faut accepter : j'ai beaucoup réfléchi, j'ai une famille, deux filles, maintenant je me consacre à ça et après je verrai si je reste dans le foot ou dans un autre domaine." Une parenthèse particulière de sa carrière. "La première période à l'Inter a été la meilleure quand on a tout gagné. J'ai eu des arrêts, des blessures, mais c'était beau : j'étais jeune et je n'avais pas réalisé qu'on entrait dans l'histoire. On n'a perdu que la Supercoupe d'Europe, c'était le meilleur moment. J'étais avec des champions extraordinaires dans le vestiaire." De nombreux techniciens qui l'ont fait grandir. "Mourinho, Benitez, Leonardo, Gasperini, Mancini, Conte qui m'a appelé en équipe nationale, Pioli, Spalletti, Pardew, De Boer, Fonseca, Di Francesco, Ranieri... Sans oublier ceux des premières années dans le secteur des jeunes à l'Inter, bien sûr. Avec Mourinho j'ai vécu la période la plus glorieuse mais je ne le range pas parmi les plus sereines : j'étais jeune, il y avait beaucoup de pression dans le milieu. Pendant l'année de la Champions, j'ai été absent six mois à cause de problèmes physiques, ce n'était pas une période de grande sérénité contrairement à ce qui se passe avec Pardew d'abord puis Carver. On a joué la Ligue des Champions, Tottenham nous a dépassé mais il n'y avait pas de grosses pressions , l'environnement était extraordinaire." Santon ne cache pas une pointe d'amertume lorsqu'il évoque le vrai regret de son aventure footballistique. "Quand je me suis blessé à dix-huit ans chez les U21, j'ai été blessé parce qu'ils m'ont fait entrer. J'ai senti que mon genou était cassé, ça faisait mal. A la fin de la première mi-temps je suis allé aux vestiaires, je me sentais mal, le deuxième coach m'a dit 'on a besoin de toi, tiens bon' et j'ai décidé de ne pas lâcher. J'ai joué toute la seconde mi-temps avec un genou cassé et je l'ai cassé pour de bon. D'une petite fracture c'est devenu une vraie fracture. Au lieu d'arrêter, d'écouter le corps, j'ai décidé de continuer." L'avenir n'est pas encore décidé, mais Santon a déjà des idées à ce sujet. "Le football est devenu un monde où il n'y a pas d'amour avec lequel j'ai grandi. J'avais Moratti comme président, il était comme un père, il montrait de l'affection pour le joueurs. Maintenant c'est le business, ils t'utilisent, te téléchargent et en prennent un autre. Je ne sais pas si ça m'appartient encore ou pas... Le truc que j'aimerais faire c'est coacher dans un secteur jeunesse. Je dois y réfléchir. Mais je ne sais pas si je dois continuer dans ce monde ou pas, peut-être même commentateur. Vous devez avoir le stimulus à l'intérieur, vous devez obtenir la bonne étincelle dans ce que vous faites et là je déciderai quoi faire, avec amour et désir." Traduction alex_j via FCInter1908.- 14 commentaires
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En effet, suite à la correction infligée par la Lazio, tout le Giuseppe Meazza s’attendait à voir une Inter vexée et révoltée à quelques jours du Derby Della Madonnina, face au Cremonese de Massimiliano Alvini. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que dans les chiffres, le contrat a été rempli avec trois buts inscrits par les Nerazzurri : Joaquin Correa à la 12’ n'avait plus qu'à la pousser au fond, suite à une très belle tentative d’un Edin Dzeko extrêmement bien servi par un Nicolò Barella en feu. Ionit Radu a d’ailleurs confirmé son statut en renvoyant le ballon dans les pieds de l’argentin Et si un Homme était bien "On Fire" hier soir, ce n’était certainement pas Stefano Pioli qui est revenu avec un seul point de son déplacement au Mapei Stadium de Sassuolo. En effet, le chef d’œuvre de la soirée est signé par le Sarde Nerazzurro auteur d’une reprise à la volée sur un amour de caviar de centre décisif de Çalhanoğlu à la 38’. En seconde période, Simone Inzaghi fait tourner et lancé en profondeur à l'entame du dernier quart d'heure, Lautaro Martinez a pris le meilleur sur son défenseur qui était à la limite de l’exclusion en cas de faute pour battre une troisième fois le pseudo portier roumain Finalement, la Cremonese qui se sera crée de très belle occasions au cours de la rencontre sauvera, méritoirement l’honneur à la 90', grâce à un très joli but signé David Okereke. L’arrêt laser du regard de Samir Handanovic n’aura pas suffit. Si l’Inter est donc très bien offensivement, malgré l'absence de Romelu Lukaku, la prestation défensive laisse plus qu’à désirer à quelque jours d’un Derby tant attendu et qui verra l’Inter rester devant en cas de victoire ou de match nul à San Siro, ce samedi soir sur le coup de 18h00! Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 3-1 Cremonese Buteur(s): 12' Correa (I), 38' Barella (I), 76' Lautaro Martinez (I), 90' Okereke (C) Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 32 Dimarco (72' 33 D'Ambrosio); 2 Dumfries (80' 12 Bellanova), 23 Barella, 77 Brozovic (72' 14 Asllani), 20 Çalhanoğlu, 36 Darmian (80' 8 Gosens); 9 Dzeko, 11 Correa (55' 10 Lautaro Martinez) Banc: 21 Cordaz, 24 Onana, 5 Gagliardini, 16 Salcedo, 22 Mkhitaryan, 42 Agoumé, 46 Zanotti, 47 Fontanarosa, 95 Bastoni T1: Simone Inzaghi Cremonese: 97 Radu; 4 Aiwu (81' 19 Castagnetti), 15 Bianchetti, 44 Lochoshvili (67' 5 Vasquez); 18 Ghiglione, 32 Escalante, 6 Pickel, 8 Ascacibar (46' 98 Zanimacchia), 33 Quagliata (67' 3 Valeri); 77 Okereke, 90 Dessers (67' 11 Di Carmine) Banc: 13 Saro, 45 Sarr, 7 Baez, 9 Ciofani, 10 Buonaiuto, 17 Sernicola, 20 Afena-Gyan, 21 Chiriches, 62 Milanese, 74 Tsadjout T1: Massimiliano Alvini Arbitre: Fourneau VAR: Irrati Averti(s): Dessers (C), Aiwu (C) Expulsé(s): / Affluence: 70.750 tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L’Inter et la Juve sont les grands Favoris au Scudetto 2022/2023
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
À un peu moins de deux mois de la reprise de la Serie A, celle-ci s’annonce, selon les Bookmakers, être un duel entre les deux flèches dorées du Championnat : L’Inter et la Juventus L’Inter "Les Nerazzurri de Simone Inzaghi veulent reprendre immédiatement le Scudetto que les cousins du Milan leur ont arraché au cours de la dernière saison et pour y parvenir, ils ont rapatrié le Bélier du Tricolore 2021 : Romelu Lukaku. En attente de savoir si d’autres cadeaux arriverons, selon la Sisal, la bande à Samir Handanovic est donnée à 2,75." La Juve "Les Nerazzurri sont en très bonne compagnie vu la présence de la Juve, à sec de Scudetto depuis deux saisons, et qui présente la même cotation que son rival historique. La Formation de Massimiliano Allegri veut retrouver les tout premier rôles dans le Championnat d'Italie et le but annoncé est celui de rapatrier le 37ème Scudetto à Turin." Le Milan "Le Champion en titre part légèrement en retrait, lui dont la tâche principal sera de chercher à conserver son titre. Les Rossoneri ne sont d’ailleurs plus parvenu à conserver celui-ci deux années de suite, depuis 29 années consécutives et Stefano Pioli aura la lourde tâche de briser ce tabou. Preuve en est la cotation de 3,75." Le Napoli 3Nonobstant le départ du Capitaine Lorenzo Insigne, le Napoli, après s’être battu avec les deux écuries milanaises durant quasiment tout le tournoi, veut élever le niveau et ramener le Scudetto dans les remparts du Maradona. Luciano Spalletti est convaincu de pouvoir jouer à armes égales avec les très grands du championnat. Toutefois pour les Bookmakers, celui qui mise sur le Napoli remportera 9 fois sa mise." L’Outsider Romain "Parmi les autres protagonistes de la Serie A, on retrouve la Roma de José Mourinho qui, après avoir offert la Conference League au Club de la Capitale, cherchera à élever le niveau en cherchant à remporter le 4ème Scudetto de son Histoire, y parvenir permettra au parieur de remporter 16 fois sa mise." LOL "La situation devient extrême, en revanche, pour l’Atalanta (donné à 25) et la Lazio de Maurizio Sarri (donné à 33) Jugez-vous l’analyse des Bookmakers pertinente ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr -
Le journaliste italien Mario Sconcerti estime qu'il n'y aura pas de surprise d'un point de vue tactique lors de la demi-finale retour de la Coppa Italia entre l'Inter et l'AC Milan ce soir. Dans son article paru hier dans le Corriere dello Sport, Sconcerti prédit qu'aucun des deux entraîneurs n'apportera de changements majeurs à leurs approches et à leurs compositions. L'entraîneur de l'Inter Simone Inzaghi a montré des idées claires sur la façon dont il veut que son équipe joue depuis qu'il a pris en charge les Nerazzurri l'été dernier, et son homologue Rossonero Stefano Pioli a également une philosophie tactique assez évidente. Les deux équipes tenteront probablement d'aligner leurs meilleurs éléments dans ce qui sera un match très important dans le contexte de leurs saisons respectives, et qui est sur le fil du rasoir avec le 0-0 du match aller. Pour Sconcerti, le match sera un concours de choix des deux entraîneurs plutôt qu'un match plein de changements et de surprises. "Milan-Inter sera un match avec une identité claire", écrit-il. "On ne connaît pas encore le résultat, mais on sait exactement le style des deux équipes". "Il n'y a pas de détails cachés", poursuit-il. "L'Inter a une composition précise, si tant est que leur limite est qu'au moins six ou sept joueurs n'ont pas de véritables remplaçants (Skriniar, Perisic, Brozovic, Barella, Calhanoglu, Handanovic, Dzeko)." "Milan n'a que deux variables, Messias pour les Saelemaekers et l'espace vide laissé par Diaz que personne ne peut vraiment remplir", poursuit-il. "C'est donc un match déjà vu mais pas encore décidé". ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
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10 ans après, La Beneamata ken la Vieille Dame au Stadium!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Une rencontre tranquille et sereine, une victoire avec la manière, une première cartouche qui mettait fin à une invincibilité totale au Stadium de Turin…. 10 ans après cette performance signée par le prometteur Andrea Stramaccioni, l’Inter se présente en tant que Championne d’Italie après avoir mis un terme à 9 ans de domination turinoise en Serie A, à croire que la Vieille Dame aime connaitre ses premières fois de ce nouveau siècle avec la Bien-Aimée. Là où Luciano Spalletti, Stefano Pioli, Walter Mazzari et Antonio Conte, pour ne citer qu’eux, sont tous revenus vaincus, Simone Inzaghi a prouvé qu’il était toujours en vie, que son Inter était toujours en vie et dans un match de cour d'école , avec un arbitre totalement dépassé par l’engagement des deux clubs, c’est bel et bien l’Inter qui, totalement dominée en long et en large, a bien serré les fesses, pour placer une seule et unique cartouche sur la Juve qui ne les avaient qu'entrouvertes. Le Seum turinois Un match en souffrance, tout en résistance, tel Rocky face à Drago, l’Inter n'a absolument rien montré, si ce n'est une seule occasion réellement semi-dangereuse via un corner repris par Milan Skriniar et bien arrêté par le portier turinois. De son côté et en réponse, le second club de Turin trouve la barre transversale via une action à l’image de la rencontre : un cafouillage. Preuve que le match allait être particulier, cette occasion était signée Giorgio Chiellini qui s’est finalement montré bien plus dangereux qu’un Dusan Vlahovic muselé par un Skriniar digne d'un Capitaine de son équipe. Place au meilleur moment de la soirée Sur une percée d’un Denzel Dumfries qui tenait à faire oublier sa faute au match aller, celui-ci se fait écraser le pied à l’intérieur de la surface de réparation turinoise. Si la première et logique réaction de l’arbitre Massimiliano Irrati est de ne rien voir, la VAR est bel et bien là pour "Irriter" tout le clan turinois. Place également au moment lunaire de la soirée Hakan Çalhanoğlu se présente face à Wojciech Szczesny et lui offre quasiment un ballon d’entrainement en guise de tir au but. Pourtant, ce ballon pourri est relâché, se retrouve à nouveau devant le joueur turc qui se fait charger par l’arrière garde turinoise. Le ballon étant balancé dans les filets via un auto-goal, Irrati parvient à trouver une faute Nerazzurra pour annuler celui-ci. Toutefois, il était écrit que l’Inter allait réaliser le Hold-Up parfait en s’imposant à la turinoise : un arbitrage (ou plutôt une Var de très belle qualité signée Paolo Silvio Mazzoleni) favorable et un penalty douteux et polémique. Après une nouvelle analyse vidéo, l'arbitre ordonne de retirer le penalty. Ne nous demandez pas la raison, celle qui est invoquée serait l’intrusion dans sa surface de réparation de De Ligt avant qu’Hakan ne tire. Le turc montre une nouvelle fois qu’il en a dans le slip en bottant à nouveau le tir au but et en le tirant cette fois-ci avec bien plus de force. Nous sommes là à la 50ème de jeu d’une première mi-temps qui se terminera à la 55ème ! Du jamais vu pour une première période dans un Derby d’Italie. La seconde période se résumera de la façon suivante : Simulations turinoise, bastons, polémique sur d'éventuels penaltys en faveur de la Juventus à plusieurs reprises, pour ne pas changer et seulement deux belles actions : La première signée par Dusan Vlahovic qui prend, une seule fois de la soirée le meilleur, sur l’international slovaque Zakaria qui trouve le poteau. L’Inter serre les fesses, plie mais ne rompt pas et remporte une Victoire en mode Corto Muso, une victoire fondamentale qui permet aux Nerazzurri de rester en vie dans la Course au Scudetto, car en cas de victoire sur Bologne, les Champions d’Italie resteraient au contact du cousin milanais. Avec seulement trois points éventuellement de retard, la pression n’est plus sur les épaules Nerazzurre, mais bel et bien sur le Milan qui ne peut pas se permettre le moindre faux pas. On a retrouvé Locatelli! De son côté, la Beneamata est revenue de l’enfer en Vie, en mettant un terme aux espoirs de titre turinois. L’emporter de cette manière après autant d’années de polémiques, n’efface pas l’ardoise, mais cela restera très certainement l’une des meilleurs performances de l’Inter d’Inzaghi après la victoire à Anfield Road! Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Juventus 0-1 Inter Buteur(s) : 50' Çalhanoğlu (Pen) Juventus: 1 Szczesny; 6 Danilo, 4 De Ligt, 3 Chiellini, 12 Alex Sandro (73' 2 De Sciglio); 27 Locatelli (34' 28 Zakaria), 25 Rabiot (85' 5 Arthur); 11 Cuadrado (85' 20 Bernardeschi), 10 Dybala, 9 Morata (73' 18 Kean); 7 Vlahovic Banc: 23 Pinsoglio, 36 Perin, 19 Bonucci, 24 Rugani T1: Massimiliano Allegri INTER: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio, 37 Skriniar, 95 Bastoni; 2 Dumfries (59' 36 Darmian), 23 Barella, 77 Brozovic (79' 22 Vidal), 20 Çalhanoğlu (79' 5 Gagliardini), 14 Perisic; 9 Dzeko (91' 18 Gosens), 10 Lautaro Martinez (59' 19 Correa) Banc: 97 Radu, 6 De Vrij, 7 Sanchez, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 32 Dimarco, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Arbitre: Massimiliano Irrati VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): Lautaro Martinez (I), Rabiot (J), Locatelli (J), Morata (J), Cuadrado (J), Skriniar (I), Perisic (I), Calhanoglu (I) Expulsé(s): / Affluence: 40.093 turinois pour 979 Champions ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 19 commentaires
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Simone Inzaghi: "Nous sommes maintenant prêts pour Liverpool!"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Simone Inzaghi s’est livré en conférence d’avant-match dans le cadre du match retour l’opposant aux Reds de Jurgen Klopp. Comme ce fut le cas au match aller, l'interview de Simone Inzaghi et Alessandro Bastoni sont scindés pour une meilleure compréhension Une seule fois, en étant mené 2-0, une équipe a su inverser la tendance dans l’Histoire de la Ligue des Champions. Cela démontre à quel point la rencontre est difficile. Croyez-vous réellement pouvoir inverser la tendance ? "Je pense qu’à la vue de ce que nous avons montré lors du match aller, que nous avons été pénalisé par le résultat : Nous avions réalisé une très grande rencontre et le résultat a été trop pénalisant vu ce que nous avions produit sur le terrain. Ce sera une partie extrêmement difficile, ils sont forts, mais nous irons avec la confiance de pouvoir tenter le coup, et ce, avec énormément de motivations." L’année dernière, la Lazio avait hérité du Bayern et la seconde partie était déjà actée vu le résultat du match aller. Pensez-vous que cette fois-ci, la situation pourrait être différente ? Vu qu’il n’y a plus l’avantage du but à l’extérieur qui compte double ? Sera-t-il fondamental de marquer immédiatement ou d’éviter de trop subir immédiatement ? "Nous allons commencé le match en étant menés. Ce serait important pour nous de marquer en premier mi-temps, c’est même essentiel, ce sera un match difficile, mais nous avons eu trois jours pour la préparer, les garçons sont concentrés et ils savent qui ils vont rencontrer : Une des plus grandes équipes d’Europe, dans un grand stade avec un public très important. Nous savons qu’ils seront plus coriace dans leurs stade qu’à Milan." Au-delà de la qualification, est-ce que cette partie peut en dire plus sur le niveau européen de l’Inter ? "Nous savons tous que le Club ne parvenait plus à se qualifier pour les huitièmes de finale depuis des années. Nous avons réalisé une belle phase de groupe et nous avons mérité la qualification. Au tirage au sort, nous n’avons pas été chanceux, mais nous savions que nous aurions de toute façon fait face à un adversaire important.La croissance passe à travers des étapes et nous jouerons toutes nos cartes en sachant que nous défierons un adversaire aguerri. Tout le monde va engranger de l’expérience, ce sont des matchs qui sont unique pour tous." Est-ce que le 5-0 infligé à la Salernitana vous booste le moral ? "Nous arrivons avec une victoire qui fait du bien, nous avons ouvert le score à la 20e minute, nous avons bien géré la rencontre: Nous avons dominé. C'est une victoire dont nous avions surtout besoin dans nos têtes, et nous sommes maintenant prêts pour Liverpool." Pioli a parlé de votre match en retard face à Bologne... "J’aurai aimé joué ce match en retard le 6 janvier, il y a un recours, nous attendons de savoir combien de temps il faudra encore attendre et s’il sera possible de rejouer le match." Si vous qualifier semble compromis, est-ce qu’à un moment donné, vous songerez à gérer vos troupes pour le championnat ? "Espérons que ça n'arrivera pas. Nous connaissons l'importance et la difficulté de jouer Liverpool. Il y aura une grande dépense d'énergie, à la fois physique et mentale, mais jouer des matchs à enjeux comme celui-là vous donnent beaucoup d'énergie. Nous allons nous y attaquer de la meilleure façon possible. Demain, je devrai procéder à des choix initiaux, puis au fur et à mesure que la rencontre avance." Lors de la dernière rencontre, Perisic était au repos, comment va-t-il en vue de la rencontre face aux Reds ? "Tous les garçons vont bien, ils sont tous convoqués excepté Barella qui est suspendu et Kolarov qui n’est pas repris dans la liste. Nous partirons à 23 à Liverpool." Zhang sera aussi présent physiquement, à quel point vous soutien-t’il ? A-t-il parlé à l’équipe ? "Le Président est toujours avec nous, au Stade et aux entraînements, sa proximité fait plaisir à voir. Il y a lui et aussi toute la Direction : Je parle de Marotta, Ausilio et Baccin qui sont toujours avec nous, prêt à nous aider lorsque c’est utile. Ils sont important pour moi et pour l’équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Une rencontre à oublier, aussi bien pour les Rossoneri que pour les Nerazzurri, ce nouveau Derby Della Madonnina avait comme consigne, de la part des deux parties, de ne pas faire mal, ne pas faire trop mal, et avant tout à soi-même. C’est donc sans aucune surprise que nous avons tous assisté à une véritable purge au Stade Giuseppe Meazza, dans une rencontre qui a mis en lumière deux équipes qui sont loin d’être au top de leur forme, mais qui parviennent à occuper le Top 3 en Serie A. Dans un combat de boxe, au niveau des points, c’est le Milan qui l’aurait emporté, l’équipe de Stefano Pioli se créant les plus belles occasions. De son côté, l’Inter d’Inzaghi semble être parvenue à cadrer la mire en défense, sachant qu’il s’agit de la seconde rencontre sans buts encaissés. Toutefois, le rempart offensif à de nouveau répondu absent : L’Inter est apparue très rarement incisive et Mike Maignan, mis à part, un contact fautif de Lautaro Martinez, aura passé une soirée tranquille. L’Inter apparaît clairement rincée, en méforme, et ne parvient plus à construire et à proposer son jeu huilé, preuve en est le caviar offert à Arturo Vidal, à peine monté aux Cugini Pour l’heure, la qualification pour la Finale de la Coupe d’Italie n’est pas remise en question, le match retour aura lieu le 20 avril prochain. La priorité est à présent de bien se préparer pour faire face à la Salernitana et parvenir à retrouver le chemin des filets après plus de 400 minutes sans buts inscrits. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Milan 0-0 Inter Buteur(s): / Milan: 16 Maignan; 25 Florenzi (84' 2 Calabria), 23 Tomori, 13 Romagnoli (26' 20 Kalulu), 19 Hernandez; 79 Kessié, 4 Bennacer; 56 Saelemaekers (67' 30 Messias), 33 Krunic (67' 10 Diaz), 17 Leao (67' 12 Rebic); 9 Giroud Banc: 1 Tatarusanu, 83 Mirante, 5 Ballo Touré, 22 Lazetic, 27 Maldini, 41 Bakayoko, 46 Gabbia T1: Stefano Pioli Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries (88' 36 Darmian), 23 Barella (65' 22 Vidal), 77 Brozovic, 20 Calhanoglu, 14 Perisic (88' 18 Gosens); 9 Dzeko (79' 19 Correa), 10 Lautaro Martinez (65' 7 Sanchez) Banc: 97 Radu, 5 Gagliardini, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 32 Dimarco, 33 D'Ambrosio, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Arbitre: Mariani VAR: Irrati Averti(s): Brozovic (I), Lautaro Martinez (I) Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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La Serie A 2021/2022 est-elle la plus fracassée de l’Histoire ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Nous avons le plaisir de vous proposer une analyse condensée de plusieurs journaux qui font état d’une situation inédite et Historique, en Serie A Une première pour la Repubblica "2 points pour les trois premières équipes, tel est le maigre butin conquis lors de la 26ème journée de championnat récolté par le Milan, l’Inter et le Napoli: Nous sommes très loin d’assister à un rendement de premiers de classe. Pour la première fois depuis la saison 2010/2011, saison où Massimiliano Allegri était sur le banc du Milan Ac, aucun entraîneur en cours n’a jamais remporté le Scudetto." "Entre Stefano Pioli, Simone Inzaghi et Luciano Spalletti, le seul à être parvenu à réaliser une saison Da Scudetto en terme de points, c’est bel et bien le dernier…sans y parvenir : Lors de la saison 2016/2017, sa Roma composée entre autre d’Alisson et Salah était parvenu à récolter 87 points, pour se retrouver derrière la Juve. La meilleure saison de Simone Inzaghi remonte à la saison 2019/2020, avec 78 points au compteur. Stefano Pioli en a engrangé un de plus la saison dernière, en terminant à la seconde place, à 12 points de l’Inter. Lorsque l’on regarde la parcours global des trois entraîneurs en Serie A, Stefano Pioli propose une moyenne de 1,50 points par match, contre 1,73 pour Spalletti et 1,85 pour Simone Inzaghi. "Le gagnant sera celui qui, par rapport à son propre rythme historique, sera capable d'accélérer vers la ligne d'arrivée. Tous les trois dirigent des équipes qui, en théorie, le permettraient. Et tout dépendra en grande partie de la motivation. Beaucoup de choses peuvent également dépendre du calendrier. Milan et Naples devront se rencontrer au Maradona le 6 mars. Des cinq premiers au classement, les Rossoneri devront faire face à l’Atalanta à San Siro et aux Azzurri à l’extérieur. L’Inter, elle, est attendue par la Juventus à Turin." "Ce championnat a démontré jusqu’à maintenant que n’importe qui peut perdre ou gagner face à n’importe qui…Une équipe parviendra-t ’elle à passer l’accélérateur ?" Gardiens, mode d’emploi Comme l’écrit le quotidien Liberi, le Scudetto passera également par les prestations des portiers des trois équipes, portiers pour qui cette 26ème journée de championnat a été catastrophique "La glorieuse 26ème journée a ravivé le feu des "petits" aux dépens des "grands" qui les ont abordé, peut-être, d’une façon trop présomptueuses, ce qui a eu comme conséquence un rebattement des cartes et la mise à nu de la variable du "Gardien de but". La journée qui s’est à peine terminée à mis en évidence une série de Fails à en tomber par terre." "Mike Maignan a fait rire les supporters milanais en décidant de s’envoler à Salerne, ce qui a ouvert la porte au retourné acrobatique de Bonazzoli lors de l’égalisation. La panthère française de 26 ans s'est vu attribuer le surnom de SuperMike: Il peut tout de même être aussi spectaculaire qu'efficace entre les poteaux, comme le prouve sa passe décisive à destination de Leao face à la Sampdoria. Toutefois, il présente encore de sérieuses lacunes dans son jeu aérien." "Pour Handanovic, âgé de 37 ans, à plusieurs reprises durant ses dernières années, il a fait s’égosiller les tifosi de l'Inter pour son inexplicable capacité à tenir le coup. Nous devrions dire sa capacité à rester figé sur place plutôt, certains l’on rebaptisé Poseman, en lui attribuant même le superpouvoir de dévier les ballons avec un regard laser. Il ne serait jamais arrivé à temps de toute façon, et il n’y est d’ailleurs pas parvenu dimanche dernier face à Sassuolo, lorsque le tir de pestiféré de Raspadori lui est passé sous les jambes, ouvrant la voie à l'effondrement de l'Inter, qui rêvait de reprendre seul la tête du classement." "Le moment magique des gardiens "Da Scudetto" a trouvé son épilogue lorsque Ospina a été surpris par le tir de Pereiro sur l’ouverture du score de Cagliari. Par la suite, le gardien colombien de Naples a sauvé les siens à trois reprises, mais sa situation présente un sentiment similaire d’incertitude que celui dont est atteint Samir Handanovic : Quelle est le vrai visage des deux gardiens ?" Pour Tancredi Palmeri, intervenu sur TuttoMercatoWeb, les trois grands se tirent vers le bas "L’Inter, le Milan et Naples se sont tirés mutuellement vers le bas. Chacun a un problème qui lui pèse : L'Inter souffre d'un déclin physiologique à la suite d’un premier tour joué à 1000 à l’heure, le Milan a un problème de mentalité dû à son manque d'habitude de jouer pour des titres et le Napoli a un problème de construction du jeu, vu qu'il souffre peu mais reste souvent bloqué dans la création: Ce sont trois problèmes qui peuvent être résolus, mais Milan a peut-être maintenant développé des anticorps, car les cadeaux faits contre la Spezia et la Salernitana pourraient être les derniers..." Enfin pour le Corriere Della Sera, il s'agira d'un Scudetto remporté au ralenti "Un Scudetto au ralenti: Cela fait dix ans que la première équipe du classement, après 26 matches, n'a pas récolté aussi peu de points. Même à cette époque, le Milan était en tête avec 54, mais la Juve, deuxième avec 52, a fini par remporter le premier de ses neuf championnats consécutifs. Cette saison est historique à certains égards. Celle-ci, au moins, est passionnante : Trois équipes en l'espace de deux points." "Pour retrouver un championnat tout aussi embrouillé, il faut revenir vingt ans en arrière, et à la saison 2001-2002. Nous gardons volontiers cette "incertitude" qui rime toutefois avec modestie par rapport au reste de l'Europe qui compte, car personne ne semble vouloir s'échapper. Une sorte de surplace, rappelant les années d'or du cyclisme sur piste." "Au début de l'année 2022, aucun des prétendants au titre n'a réalisé ou n'est sur le point de réaliser un tour d'honneur. Naples a marqué 15 points en 7 matchs, un de plus que l'AC Milan (14 points), et 7 de plus que l'Inter (8 points) qui, quelques minutes avant la fin du derby, semblait inatteignable et qui s'interroge maintenant sur une crise soudaine mais dangereuse". Assistons-nous vraiment à la saison la plus éclatée de l’Histoire du Calcio ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Ci Siamo ! Après dix ans d’absence, l’Inter est de retour en huitième de finale de la Ligue des Champions, et, si à la base elle aurait dû affronter l’Ajax Amsterdam, l’Inter défiera les Reds de Liverpool dans une double confrontation où elle n’aura absolument rien à perdre….Et parfois, c’est justement l’équipe qui n’a rien à perdre qui crée la sensation! L’équipe de Simone Inzaghi va donc défier sur ses terres, l’équipe qui a sorti le Milan de Stefano Pioli, mais que représenterait une éventuelle qualification au tour suivant ? L’Inter a déjà en poche 15,64 millions d’euros de bonus de participation, à cela, il faut ajouter 15,9 millions d’euros dû à son rang historique. A cette somme, il y a lieu d’ajouter les bonus liés aux résultats de la phase de groupe, soit 9,97 millions d’euros. A noter que, les matchs nuls représentaient également une certaine somme. La qualification pour les huitièmes lui a également offert 9,6 millions d’euros. La thématique en regard au Market Pool ne peut être définie actuellement. Celle-ci ne sera disponible que lorsque toutes les équipes italiennes seront éliminées. Une répartition aura lieu sur base du nombre de matchs disputés lors de la compétition. Toutefois, si l’Inter parvient à se qualifier en quart de finale, elle pourrait percevoir, au moins, 13,7 millions d’euros. De plus, le bonus lié à l’éventuelle qualification en quart s’élèverait à 10,6 millions d’euros. Si le rêve est permis, battre Liverpool au meilleur des deux manches, permettrait au Club estampillé Suning de récolter à minima 75,41 millions d’euros. Et si Liverpool prend de haut l’Inter, celui-ci devra se rappeler que l’équipe Nerazzurra est l’actuelle Championne en titre de son pays, un pays qui en été, s’imposait à Wembley…. "It’s coming to Rome Milano" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Une Tempête dans un verre d’eau et une situation qui a dégénéré suite au comportement inapproprié et allumeur d’un joueur de bas niveau : Théo Hernandez: Au cours de l'émission "Il lato B del Derby : quello che non avete visto" que l’on peut traduire "La Face B du Derby, ce que vos n’avez pas vu" DAZN, qui a diffusé la rencontre opposant l’Inter et le Milan dans le Derby Della Madonnina, Davide Bernardi, est revenu sur l’incident "Theo, a la dernière seconde du Derby a fauché Dumfries ,ce qui lui a valu une carte rouge directe. L’espagnol, a ensuite pris tout son temps pour quitter le terrain en perdant le plus de temps possible, il s’est d’ailleurs arrêté et a abaissé ses chaussettes. Une fois arrivé aux escaliers, il a répondu du bout des doigts aux Tifosi de l’Inter pour mimer "Je ne vous entends pas" pour renvoyer l’ascenseur suite au comportement de Çalhanoğlu au match aller." "Cazza Tu Madre" soit "Va Baiser ta Mère" "Mais Lautaro, du banc a tout vu et a vu rouge, Il est allé lui balancé des insultes en espagnol, ce que l’on aurait pu prendre pour un crachat est en réalité l’insulte dont il a qualifié la mère de Theo Hernandez. Au même instant, le match s’est terminé et Lautaro a vu Théo remonter : Tout a recommencé." "À quelques mètres de là, les joueurs de l'AC Milan se félicitaient.. Saelemaekers a vu ce qui se passait entre Lautaro et Theo et a essayé d'intervenir, mais Pioli lui a dit : "Va faire la fête." Le type de Grinta qu’il faut avoir pour se relever après une telle défaite ! Transforme ta rage en buts Lauti ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Ce samedi soir, à Giuseppe Meazza, deux des plus grandes entités du football européen, l'Inter et le Milan, s'affrontaient dans le cadre de la 24ème journée de Série A. L'enjeu était énorme pour les deux formations. Pour les hommes de Simone Inzaghi, il y avait la possibilité de s'échapper en tête de la Série A, en prenant 7 points d'avance sur son adversaire du jour. Les Rossoneri quant à eux avaient une formidable opportunité de récoller à 1 petit point de son rival Nerazzurri. Et c'est bien l'équipe de Stefano Pioli qui raffle la mise au cours d'un fantastique Derby della Madonnina. Retour sur un match qui laissera de gros regrets à l'Inter. L'Inter de Simone Inzaghi est fidèle à elle-même. Elle prend les commandes du jeu dès la première minute. De son côté, le Milan presse haut les Nerazzurri, avec notamment un "marquage à la culotte" de Franck Kessié sur Marcelo Brozović, le cerveau du milieu de terrain de l'Inter. Le début de match est plutôt haché, les contacts sont rugueux, autoritaires. Le jeu de l'Inter se passe en grande partie sur le côté du Néerlandais Denzel Dumfries, qui rencontrait un sacré client, en la personne de Theo Hernandez. Au milieu de terrain, la bataille tactico-physique fait rage : Marcelo Brozović, Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu d'un côté, et Ismaël Bennacer, Sandro Tonali et Franck Kessié de l'autre. L'on sent de grandes qualités techniques des deux équipes. Cela se confirme quelques minutes plus tard. Çalhanoğlu décale Ivan Perisić dans l'intervalle, qui centre fort en première intention au second poteau. Tout là bas, Dumfries mange Theo Hernandez et envoie une tête placée dans le tier inférieur des cages de Mike Maignan. Le stade exulte, mais bien malheureusement, Perisić est signalé hors-jeu au départ de l'action. C'est la première grosse alerte pour le Milan. Dans la foulée, à la onzième minute, c'est Brozović qui tente sa chance de loin. Sa frappe est déviée par Pierre Kalulu puis miraculeusement stoppée par Maignan. Les vagues déferlent, notamment du côté droit, où Dumfries domine Theo Hernandez. Le piston Interiste réalise très certainement son meilleur match sous les couleurs Nerazzurri. Barella déclenche lui aussi, de l'extérieur du droit. Sa tentative passe à côté du poteau droit de Maignan. Sur l'action suivante, Dumfries parvient à se retrouver seul en face à face avec Maignan. Mais le portier français remporte encore une fois son duel. Encore après, Edin Džeko contraint Kalulu à mettre sa tête pour sauver la maison Milanaise, sur une remise de la tête de Lautaro Martínez. Les occasions défilent, mais le but lui ne vient pas. Le Milan est noyé par l'Inter. Au milieu de terrain, le trio Nerazzurri prend l'ascendant sur celui des Rossoneri. Brozović se joue de Kessié, tandis que Barella et Çalhanoğlu se baladent à ses côtés. Devant, le duo Džeko-Lautaro domine la charnière Romagnoli-Kalulu. Derrière, l'Inter musèle parfaitement les attaquants Milanais, en particulier leur côté gauche Rafael Leão-Theo Hernandez. L'Inter maîtrise son match et son adversaire. La première frayeur pour l'équipe d'Inzaghi vient d'une frappe lourde de Tonali. Samir Handanović s'employe pour détourner la tentative du milieu Italien. Dans la foulée, une frappe de Leão est déviée de justesse par Perisić, qui voit le ballon filer à quelques centimètres du but d'Handanović. Le couperet tombe à la trente-huitième minute. Çalhanoğlu botte un énième corner dans la boite, et Perisić, qui vient de sauver une balle décisive, reprend le ballon de volée. Sa reprise ras de terre ne laisse aucune chance à Mike Maignan, enfin battu. Le Turc égalise Sergej Milinković-Savić au nombre de passe décisive en haut du tableau des passeurs de la Série A. La domination Interiste est récompensée. Les Rossoneri s'agacent, Theo Hernandez commet une vilaine faute sur Barella. Il s'en sort très bien, sans avertissement. La mi-temps arrive, mais Brozović en décide autrement. Le Croate envoie sur orbite Çalhanoğlu, mais une superbe sortie de Maignan coupe l'action et prive les Nerazzurri d'une balle de break. Dernière chaleure pour les coéquipiers de Tonali, les deux équipes rentrent au vestiaires sur ce score de un à zéro pour l'Inter. Tactiquement, Simone Inzaghi mate son adversaire du jour en bloquant tout ce qui fait ses forces. L'on parlerai presque d'une leçon de football. Au retour des vestiaires, Alexis Saelemaekers, totalement inexistant, cède sa place à Junior Messias. Le match redémarre là où il s'était arrêté : un bon enchaînement de passe se termine dans les pieds de Çalhanoğlu, qui est repris in-extremis par un énorme retour de Bennacer. Le match se poursuit de la sorte, avec tout de même un peu moins de rythme. Mais tout va changer à la cinquante-huitième minute. Pioli sort Kessié et fait rentrer Brahim Díaz. Le petit Espagnol, de part son petit gabarit et son agilité, perturbe énormément la défense Nerazzurri. Partant de là, le Milan ressort progressivement la tête de l'eau. Tonali s'essaie sur coup-franc, sans succès, puis Leão, qui voit sa frappe terminée dans les travées de Meazza. Le deuxième tournant du match vient à la soixante-dixième minute. Simone Inzaghi décide de sortir Perisić et Lautaro, pour faire entrer Alexis Sánchez et Federico Dimarco. Le match contre le Napoli, la semaine prochaine, est déjà dans les têtes. Mais ces changements sont le début de la fin pour l'Inter. Olivier Giroud égalise à un quart d'heure du terme, sur une passe contrée de Díaz. Les Nerazzurri perdent le contrôle du match, notamment à cause de la sortie de Perisić, qui fût un des meilleurs sur la pelouse. Dimarco ne parvient pas à réaliser la moitié du quart de ce que faisait le Croate. Le match va virer au cauchemar trois minutes plus tard, quand Giroud malmène Stefan De Vrij puis place une frappe puissante dans la petit filet droit d'un Samir Handanović pas exempt de tout reproche. Le Milan prend les devants et mène deux buts à un. La désillusion est totale. Une Inter qui avait pourtant tant dominée les débats se retrouve menée à dix minutes du terme. Inzaghi abandonne presque le match en sortant Brozović, sous le coup d'une suspension. L'Inter sort de sa rencontre et se tend, à l'image de Milan Škriniar. Les quelques coups de pied arrêtés sont mal négociés par Dimarco, décidément pas dans un bon jour. Le match va s'achever sur une faute dangereuse de Theo Hernandez sur Dumfries, qui va écopé d'un carton rouge. Il sera suspendu pour la réception de la Sampdoria. L'arbitre Marco Guida siffle la fin d'un Derby qui nourrira de gros regrets du côté des Nerazzurri, qui voient leur voisin se rapprocher à un petit point d'eux. À noter que l'Inter a toujours un match en retard, qui sera à joué contre Bologne. Toujours est-il que les hommes de Simone Inzaghi doivent vite se remettre la tête à l'endroit, car la semaine prochaine, ils iront au stade Diego Armando Maradona pour y défier le Napoli, qui a lui aussi la possibilité de revenir à 1 point en cas de victoire face à Venise. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Milan Buteur(s): 38' Perisić (I), 75' 78' Giroud (M) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (82' 36 Darmian); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (82' 8 Vecino), 20 Çalhanoğlu (73' 22 Vidal), 14 Perisić (70' 32 Dimarco); 10 Martínez (70' 7 Sánchez), 9 Džeko Banc: 7 Sánchez, 36 Darmian, 8 Vecino, 22 Vidal, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 97 Radu, 32 Dimarco, 41 Curatolo, 5 Gagliardini Entraîneur: Simone Inzaghi Milan (4-2-3-1): 16 Maignan; 2 Calabria, 20 Kalulu, 13 Romagnoli, 19 Hernandez; 8 Tonali, 4 Bennacer (80' 33 Krunić); 56 Saelemaekers (45' 30 Messias), 79 Kessié (58' 10 Díaz), 17 Leão; 9 Giroud Banc: 10 Díaz, 41 Bakayoko, 25 Florenzi, 27 Maldini, 33 Krunić, 23 Tomori, 30 Messias, 22 Lazetić, 46 Gabbia, 7 Castillejo, 83 Mirante, 1 Tătăruşanu Entraîneur: Stefano Pioli Arbitre: Marco Guida VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 21' Romagnoli (M), 60' Çalhanoğlu (I), 72' Díaz (M), 76' Bennacer (M), 84' Škriniar (I), 90+1' Krunić (M) Expulsé(s): 90+5' Hernandez (M) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
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Beppe Bergomi: "L'Inter joue mieux que le Milan et Inzaghi me surprend"
alex_j a posté un article dans Interviews
Dans une interview accordée à Libero, notre légende Beppe Bergomi s'est exprimé sur le derby et a effectué diverses comparaisons. Un derby décisif? "Il est trop tôt. Ce n'est pas une réponse diplomatique, je suis honnête : il reste encore beaucoup de matchs et l'Inter est toujours en Ligue des champions, il faudra voir s'ils vont continuer et à quel point le grand défi à Liverpool affectera le mental et l'état physique de l'équipe. Même au match aller, on a dit que c'était décisif parce que Milan avait sept points d'avance, puis l'Inter est revenue." Quelle équipe joue le mieux? "Ils jouent bien tous les deux. Mais je dois dire que l'Inter joue mieux cette année. Ils veulent dominer et ils réussissent. Milan, c'est le même que l'an dernier, quand ça fonctionnait déjà : une équipe 'box to box', avec de bons joueurs qui attaquent à la verticale, sans trop de fioritures. Cependant, ils doivent être bien physiquement et mentalement : avec un jeu aussi intense, vous ne pouvez pas vous permettre de perdre en condition." Simone Inzaghi ou Stefano Pioli ? "Je dis Inzaghi car Pioli ne me surprend pas. Simone, en revanche, oui. Je pensais qu'il pourrait rencontrer plus de difficultés. Voir Bastoni qui en théorie est un défenseur mais en réalité il joue comme un ailier, un milieu de terrain, c'est excitant." "Conte a donné une empreinte et une trace profondes, mais pardessus il y a beaucoup d'Inzaghi : les cinq sont plus hauts, les milieux de terrain attaquent différemment et, ayant des points focaux différents de Lukaku, l'équipe a commencé à dribbler plus tard sur le terrain." Beppe Marotta ou Paolo Maldini ? "Paolo Maldini fait un excellent travail. Il a bien fait de ne pas bouger sur le mercato de Janvier, même s'il avait un besoin au centre de la défense : s'il n'y a pas un joueur qui change son équipe, mieux vaut éviter les erreurs. Cela certifie que Maldini travaille pour l'avenir, sans l'angoisse de gagner tout de suite, mais toujours en visant le maximum. La main de Marotta est évidente à l'Inter : il anticipe les mouvements, il résout les problèmes avant qu'ils ne surviennent. Ce sont deux philosophies différentes mais toutes deux réussies, qui porteront leurs fruits." Le meilleur joueur. "Avec le 3-5-2 de l'Inter, Theo Hernandez à gauche serait parfait, même si Gosens vient d'arriver. Pour la façon dont Milan joue, cependant, je dirais encore Bastoni : idéal pour défendre vers l'avant et sortir de derrière avec la première passe nette." Traduction alex_j via sempreinter.-
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Scudetto : Le Milan et la Juve déposent déjà les armes
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Interviewé pour cette reprise du championnat, en conférence d'avant-match, Stefano Pioli et Massimiliano Allegri semblent avoir redimensionné l’objectif défini en début de saison : Massimiliano Allegri "L’Inter est l’équipe qui est nettement la Favorite pour le Scudetto, je n’en veux pas à Inzaghi, mais seul eux peuvent le perdre." Stefano Pioli "Dès demain, l’objectif sera de remporter le plus de rencontre possible et de récolter le plus de point : Nous voulons gagner chaque match et faire plus de points que la saison dernière : Nous devrons réaliser la phase retour en imposant un rythme important. Ce sera important de déjà bien le débuter, à commencer par demain." Petits joueurs! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 19 commentaires
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