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Massimo Moratti cartouche encore Simone Inzaghi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Massimo Moratti s’est livré à l’occasion de la réception du prix "Grandi Guglie Della Grande Milano" durant la présentation du livre "Interottanta" Inzaghi ? "Vous savez tous très bien qu’il n’aurait jamais survécu jusqu’aux 11 défaites, absolument pas." Un Derby en demi-finale ? "Il y a ce désir de revanche, car en 2003 cela s’est terminé par deux matchs nuls et l’un des nôtres avait d’ailleurs raté un but des plus faciles, il y a de l’envie. D’un autre côté, je ne voudrais pas que ce malaise et cette émotion ne se répète…" Revenir à la Présidence ? "Lorsque tu penses à la somme d’argent que cela nécessite…Je ne vois pas cette solution avec facilité : Une Famille gérée par un Fonds d’investissement peut la gérer, mais cela reste difficile." Un duo Moratti-Pellegrini? "Non, c’est difficile et pour quelle raison le faire ?" Thiago Motta? "C’était un joueur très intelligent et il le prouve aussi comme entraineur, il montre à quel point, lorsqu’il était joueur, il était pragmatique, intelligent et misait sur le résultat." Pour un Conte ou un Mourinho Bis ? "Je suis favorable aux changements qui apporte de l’espérance, je dirais oui sans le moindre doute. L’équipe n’est pas déprimée, mais ses résultats sont déconcertants : En Ligue des Champions, elle est bonne, très bonne." Momo, tu parlais vraiment de la C1 à la fin de l'interview ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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TS : Thiago Motta aperçoit l'Europe et aussi l'Inter!
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La une du journal Turinois parle des défaites de la Juve et du Toro mais aussi de l'avenir du banc des Nerazzurri. TuttoSport parle tout d'abord des défaites de la Juventus, respectivement contre la Lazio et Rome. Mais on parle aussi de l'avenir de l'Inter . « Tous contre la Juve », évoque le titre principal et parle notamment de la justice sportive, les erreurs d'arbitrage et la crise de Vlahovic. Le Toro est désespéré : "Cairo et Juric, deuxième KO de suite à domicile, seulement 11 buts marqués en 14 matchs, seule la Sampdoria et Cremonese font pire". Et on arrive au titre Nerazzurri. En première page, on lit : "Thiago Motta aperçoit l'Europe et aussi l'Inter. Inzaghi est désormais cinquième". La victoire de la Roma a fait chuter les Nerazzurri et son avenir sur le banc est de plus en plus incertain. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 9 commentaires
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Le légendaire entraîneur de Porto, Sergio Conceicao, est sur la liste restreinte de l'Inter Milan pour remplacer Simone Inzaghi la saison prochaine. D'après la Gazzetta dello Sport, tel que rapporté via FCInterNews , qui rapporte que les directeurs des Nerazzurri pensent que Conceiçao coche toutes les cases. Les dirigeants de l'Inter considèrent Conceicao, qui est décrit comme une institution à Porto, comme un jeune entraîneur ambitieux, bien préparé et qui a déjà accumulé beaucoup d'expérience internationale. Par ailleurs, les dirigeants du club Milanais estiment que Conceiçao est un homme d'entreprise dans le sens où il s'engage pleinement dans le projet sportif et demande en retour une confiance totale en lui. Tactiquement, il préfère un 4-2-3-1 mais les dirigeants de l'Inter croient en la grande capacité d'adaptation de Conceiçao de l'effectif mis à sa disposition. Tout en sachant qu'il ne sera pas facile de l'éloigner de Porto étant donné qu'il lui reste encore un an sur son contrat qui doit expirer en juin 2024. De plus, Conceiçao a une clause de libération avec Porto, que l'Inter aura du mal à payer, bien que l' on ne connait pas le montant réel de cette clause libératoire. Cependant, ce n'est un secret pour personne que Conceiçao a le désir d'entraîner un jour la Serie A et ce désir pourrait être décisif pour l'attirer. En tant que joueur, Conceiçao a passé deux saisons à l'Inter, rejoignant le club à l'été 2001 depuis Parme, avec 65 matchs dans toutes les compétitions, marquant seulement deux buts avant de rejoindre la Lazio à l'été 2003. Le rapport indique également que Conceiçao n'est pas le seul candidat actuellement considéré par les Nerazzurri. Comme largement rapporté en Italie ces dernières semaines, le manager de Brighton Roberto De Zerbi , l'entraîneur de Bologne Thiago Motta ainsi que l'ancien entraîneur Antonio Conte sont tous envisagés par les Nerazzurri pour remplacer Simone Inzaghi la saison prochaine. Une Préférence? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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La certitude est que Simone Inzaghi ne sera pas l'entraîneur de l'Inter la saison prochaine : Voici la liste de Marotta et Ausilio! La liste des techniciens pour l'après Inzaghi s'allonge. L'Inter changera à la fin de la saison et la direction travaille déjà pour la saison prochaine. Sergio Conceiçao fait partie des noms suivis depuis un certain temps et il y a déjà eu un premier contact entre les deux parties. Mais, comme le souligne la Gazzetta dello Sport, ce n'est clairement pas le seul nom sur la liste de Marotta et Ausilio. " Le rêve du retour d'Antonio Conte est toujours vivant, même si du moins à ce jour c'est toujours un rêve". "Ensuite, il y a les fortes candidatures de deux jeunes entraîneurs en pleine ascension, comme Roberto De Zerbi et l'ancien Interiste Thiago Motta, l'un des hommes du Triplé 2010, déjà très aimé par le peuple Nerazzurri. De Zerbi étonne l'Angleterre avec son football courageux, l'équipe actuelle ne correspond pas aux convictions footballistiques de De Zerbi et il est logique qu'un choix de ce type implique un lourd investissement pour le marché des transferts". "Mais De Zerbi est beaucoup aimé et sa candidature reste solide. Mais il ne faut pas non plus sous-estimer la montée en puissance de Motta, beaucoup plus maniable que De Zerbi en termes de demandes techniques. Motta connaît une belle saison à la tête de Bologne, ils sont proche de la zone européenne, il aspire à devenir entraîneur de haut niveau (le rêve d'entraîner le PSG, où il s'est entraîné, est connu depuis un certain temps) et à l'Inter, il pourrait avoir la chance d'être l'heureux élu pour être sur la banc de l'Inter. Il a de la personnalité et des idées : Le mélange parfait pour former la base d'une éventuelle révolution". Une Préférence pour lequel? Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Fabrizio Romano s'est également exprimé sur Twitch sur l'avenir de Thiago Motta. Ces dernières semaines, il a également été lié à l'Inter. Ces dernières semaines, Thiago Motta a également été approché sur le banc de l'Inter pour l'éventuel après Simone Inzaghi . C'est ainsi que Fabrizio Romano , un expert du marché des transferts internationaux, a parlé à la chaîne SOS Fanta sur Twitch de l'entraîneur de Bologne : "Félicitations à Thiago Motta pour le travail qu'il fait, malgré les blessures d'Arnautovic. Barrow devait aller à Galatasaray, Sansone était hors projet... Il n'a pas de phénomènes disponibles, mais il fait un travail impressionnant. Bologne veut renouveler son contrat, il faut toujours comprendre ce qui va se passer avec le banc du PSG, où il a de grands admirateurs pour son passé de joueur. A ce jour il n'y a rien, mais voyons." Ne rejoint pas ce club de "pitre" Thiago s'il te plait! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Roberto De Zerbi favori pour remplacer Simone Inzaghi ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
C'est la Révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Sans exploit en Ligue des Champions, où les Nerazzurri affronteront Benfica en quarts de finale, le sort de l'entraîneur de Piacenza semble déjà être scellé. Même une place dans le Top 4 de la Serie A et une qualification pour la prochaine Ligue des Champions ne lui suffiront pas pour éviter d'être licencié." "Avec 9 défaites en 27 matches de championnat, tout porte à croire que l'Inter et l'entraîneur de Piacenza se sépareront en juin. Mais plus que tout, la candidature de Roberto De Zerbi est la favorite de Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin suivi de celle de Thiago Motta, admiré pour sa croissance ces dernières années, mais il y a aussi celles de Diego Simeone et d'Antonio Conte." "Antonio a très mal rompu avec le Monde Nerazzurro: Il ne croyait plus au projet de Suning et il a refusé de rester pour cause de réduction d'effectifs tout en empochant 14,3 millions bruts d'indemnités de départ, une somme valide pour lui et son staff au moment d'acter son départ." "Même si l'on "oublie" Marotta, Ausilio et Baccin, est-il vraiment possible que Steven Zhang réengage Conte après cette rupture de confiance qu'il a reçu au printemps 2021 ? Et surtout, Conte accepterait-il de travailler dans une équipe de l'Inter qui a encore de grandes ambitions, mais qui n'a plus cette capacité d'investir comme à l'été 2019" ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 8 commentaires
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Thiago Motta vers le Paris-Saint-Germain ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Devons-nous nous préparer à un jeu de chaise musicale sur le banc des entraîneurs de Serie A ? D’Antonio Conte à Simone Inzaghi, en passant par José Mourinho et Thiago Motta, cet été risque d’être animé dans la Botte ! Révélation de Fabio Caressa sur Sky Sport ®RTL-INFO "Je savais, avant même Noël, que l’histoire allait se finir comme ça avec Tottenham : Conte a un leadership obsessionnel qui part de la tête, il vous apporte les outils afin de pouvoir faire ressortir le meilleur de vous, mais cela fini par user ses équipes: Et si Antonio ne voit pas que le Club le soutenir sur certaine choses, cela ne lui convient pas, il n'est pas là pour jouer pour la cinquième place, il veut avoir au moins la possibilité de l’emporter, sinon il se barre." "Une nouvelle porte s’ouvre pour l’entraineur selon moi : Je crois que Conte est le seul qui pourrait faire remporter la Ligue des Champions au Paris-Saint-Germain : Antonio peut y parvenir, c’est le seul. Mais Paris misera sur Thiago Motta, il y a déjà eu une rencontre avec lui : Les choses peuvent aussi changer mais l’ancien milieu de terrain connait bien l’environnement et c’est un atout à mettre en avant." "Conte présent sur le banc du mercato des entraineurs change pas mal de chose, mais si Mourinho dit certaines choses sur Tottenham, qu'un autre type d'entraîneur arrive et que les Spurs ne gagnent toujours pas , et qu’ensuite Antonio Conte arrive et que la même situation se reproduit, peut-être que quelque chose ne va pas dans le Groupe et qu'il voulait que le club prenne ses responsabilités." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Interviewé par Tuttosport, Alessandro Altobelli analyse le passage de l'Inter en se tournant également vers l'avenir proche. Votre avis général ? "L'Inter a une bonne équipe mais je ne suis pas si satisfait des résultats. Vous ne pouvez pas perdre neuf matchs en championnat. Sur 27 matchs, c'est une défaite tous les trois matchs. Je n'aime pas non plus le fait que trop de buts soient encaissés, malgré leur propre force : les Nerazzurri ne paient pas pour leur propre valeur." Que pensez-vous de Lukaku? L'Inter devrait-il continuer à se concentrer sur lui ? "C'est un joueur particulier. Avec Conte, c'était un pilote, décisif pour gagner le Scudetto. Puis il est allé à Chelsea et cela ne s'est pas bien passé. Il a donc voulu retourner en Italie mais aujourd'hui, ce n'est plus ce Lukaku que tout le monde se souvient de sa première aventure Nerazzurri. Il ne passe pas un bon moment, il ne marque pas, il a du mal. De plus, il est également prêté : je pense que l'histoire de Lukaku avec l'Inter est terminée... à moins que d'ici à la fin, il ne nous fait voir des choses extraordinaires." Aujourd'hui, le principal attaquant de l'Inter est Lautaro. "Je l'aime beaucoup, je le considère comme l'un des meilleurs buteurs du championnat italien. Et cela se voit aussi dans le classement des buteurs. Il participe à l'action, chasse et défend. Pour moi, c'est un joueur complet. Je suis satisfait de lui. Alors c'est vrai, grâce aux qualités qu'il possède, il pourrait marquer plus, j'espère que ce saut de qualité viendra bientôt car avec les buts de Martinez, l'Inter pourrait aller loin dans les coupes et gagner plus de matchs en championnat." Dzeko a beaucoup tiré mais n'a pas marqué depuis début Janvier. "C'est vrai, mais je l'aime bien en tant qu'attaquant. Il sait ce qu'il a à faire, il connaît les moments du match. Il peut donner un coup de main à l'équipe." Le garderiez-vous à Milan encore un an ? "Je ne veux pas parler de chiffres mais seulement du plan technique, aussi parce que si nous regardons le côté économique, nous devrions remonter aux dix dernières années et voir combien de dettes l'Inter a contractées avec de mauvais achats. Cela dit, je garderais Dzeko." Et Corréa ? "L'Argentin avait très bien joué à la Lazio et Inzaghi le connaissait parfaitement. Il l'a amené à Milan avec l'idée qu'il pourrait être utile en tant que troisième ou quatrième attaquant. De toute évidence, cependant, ce n'est pas un joueur qui peut jouer en réserve. Avec la Lazio, il avait plus de confiance, il était en phase avec tout le monde, parmi les Nerazzurri, il n'a pas réussi. Je ne pense pas qu'il faille dire qu'il n'est pas un joueur de l'Inter, juste qu'il n'était pas le type de joueur auquel l'Inter s'attendait. Il aurait dû être prêté lorsqu'on l'a appelé mais cela ne s'est pas produit. Peut-être qu'il n'est pas de ceux qui peuvent jouer en tant que quatrième attaquant." Avec le recul, n'aurait-il pas été préférable de confier ce rôle à des gens comme Satriano ou Mulattieri qui s'en sortent si bien avec Empoli et Frosinone ? "Absolument. En fait, le moment est venu de donner plus d'espace à ces gars qui se montrent quand ils sont prêtés ailleurs. Si l'un sort de la Primavera de l'Inter et qu'on lui demande de jouer en équipe première, il donne le maximum, mille pour cent, même pour une minute. Contrairement peut-être à ceux qui sont achetés de l'extérieur, ils aiment être dans la formation de départ et ne donneraient rien s'ils entraient pour une très courte période." Que pensez vous d’Inzaghi? "Il a remporté trois trophées et est en quart de finale de la Ligue des champions. Mais à mon avis, il pourrait obtenir beaucoup plus de cette équipe." L'Inter peut-elle rêver de gagner la Ligue des Champions ? "Tout d'abord, je dirai que si les Nerazzurri ne triomphent pas, j'espère que Napoli pourra ramener la coupe en Italie car aucun club italien ne l’a ramenée depuis le triplé de Mourinho. Cependant, il ne faut pas penser que Benfica est une équipe facile à gérer, ni qu'il s'agit d'un simple duo. Les Portugais ne sont pas là par hasard. Ils ont éliminé la Juventus et ont terminé premiers du groupe devant le PSG. Ensuite, il est logique que si vous voulez aller loin, vous devez vous casser la tête et les éliminer. En demi-finale, il y aurait donc un derby italien et là tout dépendrait des performances futures. Il faut dire que l'Inter, ainsi que Milan et Naples, ont très bien fait en Ligue des champions jusqu'à présent. Qui sait..." Si Inzaghi devait mettre un terme à son expérience à l'Inter, sur qui parierez-vous ? "Je serais indécis concernant Mourinho et Conte. Je les considère comme deux grands entraîneurs, parmis ceux qui ont tant donné et gagné à l'Inter. Je suis sûr qu'ils gagneraient plus de trophées avec les Nerazzurri." Thiago Motta devra patienter. "Oui, je lui donnerais plus d'expérience, le temps est de son côté." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Simone Inzaghi joue le tout pour le tout
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C'est une révélation de Tuttosport: L'avenir de Simone Inzaghi dépendra essentiellement des résultats du mois d'avril : "L'Inter joue le tout pour le tout en championnat dont l'objectif fondamental est de se maintenir dans le top 4 , sans oublier la possibilité de poursuivre la route aussi bien en Coupe d'Italie qu'en Ligue des Champions." "Il reste une année au contrat de Simone Inzaghi avant son expiration le 30 juin 2024 et ses 5,5 millions d'euros de salaire, ce qui rend un éventuel licenciement d'Inzaghi coûteux, mais soutenable": Le Club prend en considération les deux championnats perdus et les neuf défaites en championnat de cette saision, avec un calendrier qui est loin d'être facile d'ici à la fin de la saison." Vincenzo Italiano, Roberto De Zerbi, Thiago Motta et Antonio Conte sont les possibles successeurs mais "si Simone Inzaghi atteint la finale de la Ligue des Champions, il sera impossible de ne pas le voir sur le banc des Nerazzurri l'année prochaine." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Le Corriere dello Sport donne aujourd'hui place à une interview de Diego Milito. Il évoque divers sujets. "Le Napoli est la seule équipe qui a réussi à aller aussi loin! on n'a pas vu un tel écart depuis un bon moment et dans n'importe quel championnat européen. Si le championnat terminé ? Dans le football, j'ai tout vu et son contraire. Certainement il y a beaucoup de points en jeu mais ce ne sera pas facile pour les autres, bien sûr. Et puis le Napoli a montré qu'ils sont très fiables." "Étonné par Motta ? Pas du tout ! J'ai toujours su que Thiago était un homme très intelligent. Il l'était aussi en tant que joueur, sur le terrain il voyait tout, et en premier, il savait quoi dire et quoi faire. Ses équipes ont ces caractéristiques. Toujours chercher le but, essayer de jouer. À mon avis, il fait un excellent travail à Bologne." "Marko Arnautovic, à l'époque, Il est arrivé très jeune. Il avait besoin de temps, pour grandir." "Mourinho ? Il a gagné un trophée l'an dernier, maintenant il est là parmi les premiers, je pense qu'il va très bien. José est toujours là pour se battre et la Roma est une équipe chiante." "L'Inter ? Ils sont deuxièmes du classement, en demi-finale de la Coppa Italia, ils jouent les quarts de finale de la Ligue des champions. La saison de l'Inter ne doit pas être gâchée. Bien sûr, l'Inter doit toujours viser la victoire. Mais les mérites du Napoli sont plus en Serie A que les démérites des autres équipes. L'Inter a perdu des points en cours de route et peut-être qu'ils n'auraient pas dû. Mais cela ne semble pas du tout être une mauvaise saison. La Ligue des champions est toujours très difficile et maintenant c'est la partie la plus difficile avec l'élimination directe. Mais je dirais, pas de limites. Après Porto, tout peut arriver avec un quart de finale." "Lautaro ? Les chiffres parlent d'eux-mêmes, une belle saison. Après la Coupe du monde, il a ressenti une énergie incroyable et l'a transmise aux autres, il est devenu plus un leader, c'est clair qu'il a du poids dans l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Paroles et musique de Gianluca Pagliuca présentant son autobiographie qui s'est attardé dans un espace mixte avec les journalistes présents. Il aborde évidemment divers sujets dont une anecdocte amusante. "André Onana est un gardien très réactif, très rapide. Il a une grande marge de progression, peut-être sur le plan technique mais il est très réactif. C'est quelque chosequi doit s'améliorer. C'est la première année qu'il joue en Serie A et ce n'est pas facile. Il bénéficiera des enseignements et conseil des entraîneurs que vous trouvez ici en Italie. Concernant Handanovic, maintenant Onana est plus fiable. Si on se place 4-5 ans en arrière, Handanovic était beaucoup plus fort. Si avant il sauvait de 10 buts, ces dernières années il en sauve 7. Donc c'est pour ça qu'ils ont pris cette décision (de remplacer Handanovic par Onana, ndlr) que je peux considérer comme la meilleure." "Thiago Motta est un très bon entraîneur, moderne, il a des nouvelles idées et c'est certainement un entraîneur qui serait aussi bon pour l'Inter. J'espère qu'il restera à Bologne pendant un certain temps (pour gagner de l'expérience, ndlr) et alors, ce serait bien qu'il s'envole pour un autre club plus grand." Gianluca Pagliuca évoque le choc entre Luliano et Ronaldo lors du fameux match contre la Juventus en 1998. "Heureusement qu'il n'y avait pas de caméras à cette époque. Je ne sais pas comment on ne l'a pas vu mais j'ai frappé l'arbitre aux côtés de Ceccarini. Nous l'avions entouré à 11 et il s'est retourné en demandant, 'Quel joueur m'a frappé ?'. Après le match, nous avons rattrapé Lippi à deux ou trois et nous étions assez chauds. L'année suivante, quand la rumeur a couru qu'il arriverait comme entraîneur à l'Inter, j'ai compris que je serais le premier à partir, et c'est ainsi." Pour les plus jeunes: Traduction alex_j via FCInterNews.
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Alessandro Canovi, l’agent de Thiago Motta s’est livré suite aux dernières rumeurs faisant état d’une possible arrivée de son poulain à l’Inter, à Calciomercato.it "Actuellement, il n’y a rien avec l’Inter : L’objectif de Thiago est de remporter son prochain match face au Torino : C’est un entraineur qui regarde au quotidien et il est dans une situation mentale et quotidienne où il voit que le Club veut travailler pour créer quelque chose d’important et c’est un projet biennal. Avez-vous reçu des messages de l’Inter ? "Je peux vous assurer que les seuls messages que j’ai reçu, et ils sont beaux, sont en provenance des autres entraineurs : Il s’est engagé avec Bologne et il n’y a pas de clause libératoire." "Actuellement" ce qui ne veut pas dire qu’il y a 24h…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Thiago Motta en roue de secours ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est l’information de la Journée : Thiago Motta n’a pas seulement détruit Simone Inzaghi, il aurait profité de l’occasion pour déposer une très belle carte de visite sous les yeux de Steven Zhang Révélation de la Repubblica "Si l’entraineur bénéficie de la confiance du Club, les 7 défaites en 24 rencontres ont commencé et continueront à faire réfléchir: Si Inzaghi n’est pas sur un siège éjectable, car les choses tournent bien en Ligue des Champions, le Club raisonne et hypothétise....Et dans les hypothèses et les raisonnement on retrouve Thiago Motta, qui est aussi dans le viseur du Paris-Saint-Germain, lui qui en a été un pilier et qui a été énormément apprécié lorsqu’il était entraineur de l’équipe des jeunes." "Thiago Motta a un contrat qui prend fin en juin 2024 et s’il n’a jamais eu de mots de travers pour passer dans la postérité, il entrainera très rapidement une grande équipe. Il présente une caractéristique qui, chez les Grands, pourrait être un défaut : Il ne dépend pas des joueurs, mais il fait selon ses propres idées, preuve en est le fait qu’il se passe, sans le moindre problème d’Arnautovic, qui avant était au cœur du jeu de Bologne." "Il propose aussi à une haute intensité lors des entrainements et il a le courage de prendre des choix surprenants comme aligner le longiligne Sosa face au Colosse Lukaku, Soriano placé sur l’aile étant à considérer comme un leurre: Il fait preuve d’une sérénité imperturbable enlevant, par la même occasion, celle de ses adversaires." "Le système de jeu d'Inzaghi est monotone, répétitif, et probablement usé. Les remplacements sont prévisibles, il n'y a jamais rien de surprenant, même pas le turn-over qui répond à une logique presque mathématique: L'équipe brille lorsque ressent la Gloire comme le 4 janvier où elle était revenu à un -8 du Napoli, pour passer à un -18 à présent: L’équipe s’éteint lorsqu’il n’y a rien de transcendant et les retour de Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic auraient pu, et dû, lui donner un coup de fouet, mais à Bologne, ils sont apparus dans une condition physique et mentale désastreuse." "Et le club est plus que déçu même si rien ne suggère le licenciement d'Inzaghi…Mais si la situation se précipite, il est clair que des réflexions et des raisonnements sur l'avenir sont en cours qui vont au-delà de Simone et impliquent Thiago Motta : Lui qui était déjà très apprécié , avant même la leçon de football qu'il a donnée à sa chère vieille équipe de l'Inter dimanche à Bologne." Thiago Motta, le Mister X qui manquait à l’Inter ? ®Antony Gilles & Lindt1908– Internazionale.fr- 10 commentaires
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Coup de gueule FCInterNews : "Ils l'appelaient la Ligue Marotta"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Alors que la Coupe du Monde commence le Dimanche 20 Novembre 2022, FCInterNews par l'intermédiaire d'Alessandro Cavasinni pousse un coup de gueule concernant le traitement médiatique de l'Inter, tout en soulignant que la direction interiste a sa part de responsabilité. Heureusement que maintenant nous entrons en hibernation et nous ne revoyons, du moins en ce qui concerne le terrain, qu'au début de Janvier 2023. Parce que franchement, nous commencions déjà à en avoir assez de ce cirque médiatique habituel toujours sur le pied de guerre pied quand il s'agit de l'Inter et puis soudainement en paix quand, d'un autre côté, il y aurait d'autres équipes à taper dessus. Le dernier exemple en date c'est le fameux match de Sozza lors de Milan-Fiorentina (celui de l'Inter-Roma) pas du tout correctement assisté par Fabbri à la VAR. On sortait d'une journée de championnat en milieu de semaine où un entraîneur, Thiago Motta pour ne pas le nommé, avait focalisé l'après-match d'un match perdu 6-1 sur un épisode douteux qui a découlé sur le 2-1. Un éclat recueilli et relancé bien au-delà du bon goût au regard du déroulement du match au Meazza. Et ce qui s'est passé après Fiorentina-Inter est encore clairement gravé dans les mémoires, avec un tas de polémiques disproportionnées et d'épisodes d'arbitrage passés au crible pendant des jours et des jours, comme s'ls n'avaient que ça à faire. Au-delà du fond, la forme impressionne et interroge. Hier et aujourd'hui, après le Milan-Fiorentina 2-1, rien de cela! Ceux qui s'indignaient du coup de Dzeko ou du presque rouge de Dimarco, ont cette fois décidé de faire un minute de silence, sans déclencher aucune discussion sur l'arbitrage et sans craindre on ne sait quels complots. C'est aussi la faute à l'Inter qui continue de sous-estimer l'impact de la communication en l'an de grâce 2022, enfin presque 2023. La perception conditionne et n'est absolument pas naïve du tout. Elle se répercute chez les protagonistes et chez les supporters, elle crée des spirales émotionnelles capables de modifier même les événements sur le terrain. Une défense saine serait souhaitable, bien sûr, mais il manque évidemment quelque chose de ce point de vue dans les salles de Viale della Liberazione. Pourtant ils l'appelaient "Ligue Marotta". Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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La Gazzetta dello Sport nous explique pourquoi un beau jeu ne sert à rien pour le match contre le Barça demain. "Inutile de tenter des transformations improbables de dernière minute, d'envisager la conquête du Camp Nou par le beau jeu et la domination. Demain soir à Barcelone, l'Inter fera bien de disputer un match de résistance, de résilience et de relancer, comme au printemps 2010, lorsque l'entraîneur était José Mourinho et sur le terrain ils s'arrachaient pour se qualifier pour la finale à Madrid. Chaque club a son âme, son style, sa philosophie et l'esprit de l'Inter est plus voué au pragmatisme qu'à l'esthétique." Ainsi s'ouvre l'article de La Gazzetta dello Sport concernant le déplacement au Camp Nou qui attendra l'Inter. Les Nerazzurri retrouveront une ambiance de feu et de colère après le match aller. La Gazzetta continue comme suit. "Pour simplifier: le Barça y mettra la tête et le cœur. Les espaces à combler et resserrer ne manqueront pas et dans son vaste champs, le Camp Nou se prête bien aux contres. Il faudra donc attendre la bonne vague et la surfer jusqu'au bout. Une victoire ouvrirait à coup sûr les portes du second tour; un nul laisserait de grandes possibilités (à condition que l'Inter batte Plzen). Inter soit toi-même, sans avoir honte! Un fil conducteur avec l'épopée de 2010 pourrait être André Onana, camerounais comme Samuel Eto'o, l'un des hommes clés de cette soirée d'Avril 2010." "Eto'o s'est totalement immergé dans et pour la cause, au point de se sacrifier avec conviction dans le rôle d'arrière latéral, compte tenu de l'infériorité numérique causée par l'expulsion de Thiago Motta pour un contact avec Busquets. Onana devra garantir et effectuer des interventions ordinaires et ces deux-trois exploits qui sont inévitables dans des nuits comme celle-ci. S'il réussit, ce sera de nouveau le Camp Cameroun comme en 2010." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Massimo Moratti parle. Notre ancien président, en exclusivité pour Il Secolo XIX, a abordé diverses questions d'actualité concernant le football. "Thiago Motta contre Dejan Stankovic pour Bologne-Sampdoria ? C'est impressionnant, c'est merveilleux de voir qu'ils ont progressé et qu'ils entraînent aujourd'hui des clubs importants avec une grande tradition." Vous attendiez-vous à les voir sur le banc un jour ? "Ils ont deux caractères différents. Thiago est un peu plus renfermé, réfléchi, professionnel très sérieux. Dejan était un très bon garçon, bon enfant, plein de volonté. Ce sont des gens positifs, ils l'étaient sur le terrain et ils le sont comme entraîneurs." Dazn lui a dédié une série, "Sympathique", et à cette occasion vous avez dit que le plus sympathique de vôtre Inter était Stankovic. "Gentil d'un point de vue humain : il est fiable, tu sais qu'il est sincère, transparent, il t'a toujours tout donné. L'expérience avec le Red Star Belgrade a été très positive, j'espère qu'il sera utile à la Sampdoria qui en a besoin. J'espère vraiment pour lui et pour la Sampdoria que tout ira bien." Pourra-t-il faire comme Mihajlovic qui a sauvé la Sampdoria ? "Il y a l'origine serbe, le caractère fort, ils se sentent responsables de leur rôle et c'est très important. Je pense que Dejan lui ressemble de ce point de vue. Il faut être un peu patient, c'est la première fois comme entraîneur en Italie mais il a les qualités pour bien faire." Qu'est-ce qui vous a frappé chez Stankovic et Thiago en tant que footballeurs ? "J'ai aimé la passion qu'a mise Stankovic. Je me souviens de cet incroyable but contre le Genoa mais ce n'était pas le premier comme ça. Il avait la force de toujours savoir répondre correctement à chaque situation, grand combattant. Il a entraîné ses coéquipiers dans les moments difficiles. Mancini m'a conseillé, il était très fort. Motta était plus réfléchi, attentif à faire toutes les choses pragmatiquement parfaites au milieu de terrain pour être utile à l'équipe, c'était un joueur très intelligent." Stankovic a fait part d'un renouvellement signé avec une durée de 4 ans mais sans chiffres. "Oui, c'était mon insouciance... (rires) il nous a fait confiance et je pense qu'on a eu raison de lui faire confiance. Moi non plus je ne l'ai jamais regretté, je ne me souviens pas des chiffres mais des gars comme lui ont montré qu'ils méritaient ce qu'ils ont pris." Un footballeur de la Sampdoria que vous auriez aimé ? "Toute la Sampdoria du Scudetto (1991, ndlr). C'étaient des phénomènes merveilleux, fantastiques, ils reflétaient la sympathie d'un homme formidable comme Mantovani. Bien sûr, Mancini reste le meilleur exemple de classe et de talent dont il fait également preuve en tant qu'entraîneur. Et dans le passé j'aurais aimé prendre Quagliarella, mais je n'ai pas réussi." Un talent d'aujourd'hui qui vous enflamme ? "Je suis étonné de voir à quel point je vois des joueurs avec des noms très difficiles comme Kvaratskhelia du Napoli emmenés dans des endroits lointains. Il semble qu'il joue simple et il gère tout ce qu'il veut, très bien. Mais je dis Haaland! Branca me l'aurait fait acheter à 100 %, je le vois déjà dire 'président il est spécial' et je l'aurais amené à l'Inter." L'Inter qui a réagi en Ligue des champions. "Inzaghi a l'expérience pour sortir de cette situation. Maintenant il faut de la patience, la confiance est essentielle, que le club reste près de lui et le défende." Un favori pour le Scudetto ? "Napoli est devant... impressionnant comment ils jouent. Mais avec la Coupe du monde c'est une année étrange, il peut y avoir la surprise de ceux qui n'ont pas l'habitude de gagner." Qui allez-vous encourager entre Stankovic et Motta ? "Je les aime tous les deux. J'aimerais que Stankovic ait une satisfaction à ses débuts mais je suis content que Motta puisse encore prouver qu'il est bon. Je ne dis rien, je prévois de souffrir des deux côtés pendant le match." Traduction via FcInter1908.
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La "vraie" Inter a semblé disparaître lors de la défaite face au Bayern Munich, selon les médias italiens. Dans un Tweet, Fabio Ravezzani a nommé Thiago Motta comme une option possible pour remplacer Simone Inzaghi. La performance des Nerazzurri contre les champions d'Allemagne a fait l'objet de critiques dans le Corriere della Sera qui suggère que l'équipe n'a pas montré ce dont elle est capable car elle a été surclassée toute la soirée. L'Inter a semblé être agressive et s'imposer parfois face au Bayern. Mais elle n'a eu que des succès très limités, tandis que les Bavarois semblaient très à l'aise pour trouver des chemins pour éventrer les Nerazzurri tout en restant en sécurité et bien gardés à l'arrière. Cette performance du Bayern était ce qu'on attendait d'eux, mais de la part de l'Inter, notamment au Meazza devant leurs supporters, ce fut une déception. Les Nerazzurri ont montré dans le passé sous Simone Inzaghi que même face à l'opposition la plus redoutable, ils sont capables de se défendre, le Real et Liverpool, mais contre les champions d'Allemagne, ils ressemblaient à une autre équipe, une équipe fantomatique. Tweetant après la défaite 2-0 des Nerazzurri face au Bayern Munich, Fabio Ravezzani a donné son avis sur la situation de Simone Inzaghi et a nommé Thiago Motta comme une option possible pour prendre sa place. "L'Inter est une équipe ennuyeuse avec un entraîneur qui a perdu ses repères et s'est disputé avec plus d'un joueur. Peut-être qu'ils doivent agir avant qu'il ne soit trop tard. La solution la plus raisonnable (en termes de tactique et de salaire) pourrait être Thiago Motta." Traduction alex_j via Sempreinter.
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L'Inter rencontrera des visages familiers sur le banc de touche lors de chacun de ses trois prochains matches de Serie A. C'est ce que souligne le journal turinois Tuttosport, qui note que les trois prochains adversaires des Nerazzurri sont entraînés par d'anciens joueurs ou entraîneurs de l'Inter. Vendredi, l'Inter se rendra en Ligurie pour affronter Spezia, qui réalise une bonne saison sous la direction de Thiago Motta. L'ancien milieu de terrain des Nerazzurri, qui a joué un rôle clé dans le triplé européen en 2010 avant de rejoindre le PSG, a connu une première expérience difficile en tant qu'entraîneur en Serie A avec le Genoa, mais il semble avoir réussi à éloigner Spezia de la relégation cette fois-ci. Les Nerazzurri se méfieront de l'équipe de Motta malgré leur budget et leur place au classement, et ils se méfieront encore plus de leur adversaire d’après, une équipe de la Roma en forme entraînée par l'ancien coach de Motta, José Mourinho. Le tacticien portugais connait l'une des formes les plus régulières de la saison avec les Giallorossi, et il se rendra à San Siro en espérant que son équipe obtiendra un résultat contre le club qu'il a guidé vers le triplé. Après cela, les Nerazzurri joueront enfin leur match reporté contre Bologne, qui était prévu pour le 6 janvier, et ils rencontreront un autre ancien de la maison en la personne de Sinisa Mihajlovic. L'entraîneur serbe est actuellement à l'hôpital, mais s'il est en mesure d'apparaître sur le banc de touche, il affrontera une équipe pour laquelle il a joué et dont il a été l'entraîneur adjoint sous Roberto Mancini. ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
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En souvenir de la campagne poétique de Wesley Sneijder à l'Inter
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Certains joueurs sont simplement destinés à être aimés, que ce soit au sommet de leur carrière ou plus tard, lorsque les gens se sont rendu compte qu'ils n'appréciaient pas pleinement ce qu'ils regardaient. Bien sûr, les gens voient ces joueurs et les évaluent très bien, personne ne doute de leurs capacités, mais très peu voient tout à fait à quel point ils sont bons et à quel point ils sont importants pour leur équipe, ou une équipe. Il y en a quelques-uns qui, pour une raison quelconque, ne sont pleinement appréciés que lorsqu'il est tard, voire trop tard. Certains joueurs de classe mondiale sont exclus des conversations pour une raison quelconque, mais celui dont nous allons parler était tout simplement le meilleur joueur du monde, seulement dans une mauvaise génération. En 2010, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo venaient de marquer 80 buts entre eux pour le Barça et le Real, et ils volaient haut, ensemble, au sommet de la hiérarchie footballistique, mais ils n'étaient pas les meilleurs joueurs du monde à l'époque, à cette époque. Malgré les buts et l'adulation, aucun d'eux n'a pu mettre le doigt sur la saison de Wesley Sneijder pour l'Inter. Le Néerlandais était le joueur clé d'une équipe de l'Inter qui a dominé le football italien, et a décroché le Triplete sous Jose Mourinho. Il a été le catalyseur du jeu offensif de l'Inter, menant des joueurs comme Samuel Eto'o, le léthal Diego Milito, Goran Pandev et Dejan Stankovic. L'équipe de Mourinho a joué presque exclusivement sur la contre-attaque, que ce soit dans un 4-2-3-1, un 4-3-1-2 ou même un 4-4-1-1 quand ils avaient besoin de jouer plus bas. Dans l'un des trois systèmes, Sneijder a toujours été le point focal du flanc, étant l'homme qui a amené l'Inter au niveau suivant, offensivement parlant comprenons nous. Sa capacité à choisir une passe courte ou longue était la clé, surtout lors de la rupture, essayant de jouer contre Eto'o ou Pandev sur les flancs, et son partenariat avec Milito a si bien fonctionné. Le meneur de jeu était la star de cette équipe, mais reprenons quelques années en arrière et découvrons comment il s'est retrouvé en tant qu'homme clé de Jose Mourinho pour les Nerazzurri . Sneijder a gravi les échelons à l'Ajax, et dès son plus jeune âge il a impressionné les joueurs et les entraîneurs. Il était clair pour tous de voir que ce jeune enfant avait quelque chose de spécial à son sujet, entrant dans la première équipe avec son camarade jeune diplômé Rafael van der Vaart, et jouant aux côtés de Zlatan Ibrahimovic et du futur coéquipier de l'Inter, Maxwell. Comme c'est le cas avec presque tous les jeunes talentueux de l'Ajax, les grands clubs européens finiront par l'appeler, et cela s'est concrétisé lorsque l'Ajax a vendu Sneijder au Real Madrid pour 27 M€, ce qui faisait de lui le deuxième footballeur néerlandais le plus cher de tous les temps. Los Blancos ont beaucoup fait confiance au joueur, et ses débuts à Madrid n'auraient pas pu être mieux. Quatre buts lors de ses trois premiers matches signifiaient que Sneijder devenait un héro du début de saison pour le Real Madrid, rejoignant les Néerlandais Royston Drenthe et Arjen Robben dans le cadre de trois des quatre plus grosses transactions réalisées par Madrid cet été. Mais malgré sa bonne forme et sa volonté de rester, le nouveau patron Manuel Pellegrini l'a transféré car il ne jouerait tout simplement pas de matches parce que Kaka, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo venaient d'être achetés. Sneijder a admis qu'il ne voulait pas partir, mais ce qui s'est passé ensuite était sans aucun doute la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Mourinho avait été déterminé à l'emmener au Meazza tout au long de l'été 2009, et quand Jose veut un joueur à ce point, vous savez qu'il va faire des merveilles avec lui. Sneijder a rejoint l'Inter pour un montant de 15 M€, ce qui, selon les normes d'aujourd'hui, est l'un des hold-ups du siècle, mais à l'époque, c'était un énorme changement. Le milieu de terrain avait un point à prouver. Il a été lâché sans doute par le plus grand club du monde, mais était sur le point de devenir l'homme principal de l'Inter. C'était sa chance de prouver que les sceptiques avaient tort et d'avoir enfin une équipe construite autour de lui et de ses qualités. Mourinho avait passé la première saison en Italie à essayer de rassembler les pièces d'une équipe qui pourrait sérieusement se battre pour la Ligue des champions. Le milieu de terrain de l'Inter était très solide sur le plan défensif, mais il manquait un lien créatif, quelqu'un qui pouvait transformer la défense en attaque avec une passe. Sneijder était ce joueur. Il avait la capacité de changer la "chance" de cette équipe. La flexibilité de l'Inter a été favorisée par un afflux de nouvelles signatures. Le duo du Genoa Diego Milito, l'un des finisseurs les plus cool d'Europe, et Thiago Motta, qui a ajouté de la profondeur au milieu de terrain. À leurs côtés, le Brésilien Lucio, partenaire Walter Samuel, fut sollicité du Bayern Munich pour seulement 8 M€. Un recrutement intelligent, en quelques sortes. À mi-saison, Pandev a rejoint l'Inter en provenance de la Lazio. Mais le plus gros coup était de faire entrer Eto'o dans l'échange qui a vu Ibrahimovic rejoindre Barcelone. Combinez tout cela avec Sneijder étant effectivement le chef d'orchestre de Mourinho, et vous aviez une équipe qui avait tout ce qu'il fallait pour réussir. Dans la première moitié de la campagne de Serie A 2009-2010, l'Inter n'a perdu que deux fois et dans les deux cas, Sneijder n'était pas présent. La première défaite est survenue face à la Sampdoria lorsque Mourinho a opté pour un 4-2-3-1 avec Esteban Cambiasso et Patrick Vieira au milieu de terrain. L'absence de Sneijder s'est fait sentir dans l'équipe et quand il est revenu pour le prochain match contre l'Udinese, il a enroulé une frappe dans le coin inférieur à la 92e minute pour garder l'Inter en tête du classement alors qu'Octobre se pointait. L'influence du Néerlandais sur le côté s'est poursuivie avec deux passes décisives lors de la victoire 5-0 à l'extérieur contre Genoa, mettant en place à la fois Vieira et Mario Balotelli, et contre Catane à domicile, où son coup franc d'environ 30 mètres s'est avéré être décisif. À la suite de ces deux brillantes performances, il a été victime d'une blessure qui lui a fait manquer six matchs de la fin Octobre à Décembre. Sa blessure signifiait qu'il ne pouvait jouer que deux matchs dans ces trois mois, deux matchs nuls 1-1 contre la Roma et l'Atalanta, et il a aggravé sa blessure avec les Pays-Bas, ce qui lui a de nouveau fait manquer plus de matchs avant l'hiver. Pause. Après la pause, l'Inter et Sneijder ont continué dans la même forme dans laquelle ils étaient, invaincus lors des 11 premiers matchs de 2010, même si cinq d'entre eux étaient des matchs nuls (dont trois 0-0, merci la défense). Cependant, alors qu'ils naviguaient en Serie A, Mourinho et son groupe de frères ont tourné leur attention vers un prix plus important, un prix qui avait échappé à l'Inter pendant 45 ans : la Ligue des champions. L'Inter avait été dotée d'un groupe plutôt facile à l'exception des champions en titre, le FC Barcelone, mais lorsqu'ils ont terminé deuxième du groupe F, ils ont tiré au sort contre l'ancien employeur de Mourinho, Chelsea, ce qui promettait d'être une partie équilibrée et incroyable. Le match aller au Meazza a vu les Nerazzurri sortir avec une victoire 2-1, avec Milito et Esteban Cambiasso sur la feuille. Bien que Sneijder n'ait pas inscrit de but ou fait d'assists, il était toujours crucial pour la performance de l'équipe. Ses passes et ses coups de pied arrêtés ont créé le danger, mais c'est au match retour où son influence s'est vraiment fait sentir. Le magnifique ballon traversant du Néerlandais sur Branislav Ivanovic a permis à Eto'o de faire glisser le ballon devant Petr Cech et de permettre d'affronter en quart de finale contre le CSKA Moscou. Ses performances en Ligue des champions ont conduit beaucoup à le placer parmi les premiers du Ballon d'Or aux côtés de Messi et Ronaldo. Les merveilleuses performances de Sneijder en Serie A alors que les Nerazzurri n'ont perdu que 12 points sur 33 dans la dernière ligne droite de la saison. Milito a terminé en tant que joueur de l'année en Serie A et deuxième du classement Capocannoniere avec 22 buts (sept derrière Antonio Di Natale) et cette équipe Bleue et Noire volait haut, très haut. Le CSKA a été expédié avec deux victoires 1-0 qui n'ont peut-être pas été les plus jolies, mais un but vital à l'extérieur de Sneijder les a envoyés en demi-finale pour affronter Barcelone, une revanche du choc de la phase de groupes. Le Barça a pris les devants grâce à Pedro Rodriguez, mais cela a été aussi bon que cela a été pour eux lorsque Sneijder a intensifié et conduit l'Inter à une victoire 3-1. Il a marqué à peine 10 minutes plus tard pour égaliser avant de relancer complètement le jeu et même construisant le troisième but important, non, capital de Milito. Des performances comme celle-ci ont rendu Sneijder spécial. L'Inter avait le dos au mur pendant une grande partie du match, mais il avait toujours la capacité et la présence d'esprit de créer et de marquer. Après ce match, les gens ont commencé à vraiment croire qu'il avait une chance de remporter le Ballon d'Or, d'autant plus qu'il venait d'orchestrer la défaite de deux de ses rivaux à Xavi et Messi. Alors que l'Inter terminait la Coppa Italia et le Scudetto pour leur cinquième titre consécutif, ils ont jeté leur dévolu sur la Ligue des champions. Un doublé de Milito a rendu la Old Big Ears à notre équipe Bleue et Noire pour la première fois en près d'un demi-siècle, mais alors que l'Argentin a été élu homme du match officiel de l'UEFA, c'est Sneijder qui fut vu homme du match par les fans, ce qui en dit long sur la façon dont les fans l'ont évalué. C'est là que ça devient poétique. Mourinho, qui avait été fortement lié au poste du Real Madrid, venait de remporter son deuxième titre en Ligue des champions avec deux clubs différents, au domicile du club qui le courtisait depuis des mois. C'était un envoi approprié et une introduction emphatique à la vie à Madrid, mais c'était une autre sorte de poésie pour Sneijder car ce jeu symbolisait le chemin parcouru depuis son départ du Real Madrid. Il avait été contraint de quitter le club pour faire de la place à Kaka et envoyé à l'Inter où il avait été autorisé à devenir le joueur de classe mondiale que tout le monde savait qu'il serait. Il était le point focal du chef-d'œuvre de Jose et a montré à quel point il était bon au Santiago Bernabeu, dans l'arrière-cour du Real Madrid. Gagner la Ligue des champions à Madrid signifiait beaucoup pour Sneijder, mais cela lui a également permis de remporter le Ballon d'Or. Nous savons tous que ce que vous gagnez est tout aussi important que votre qualité de jeu, et il n'y avait rien de plus que Sneijder aurait pu faire pour être en pole position. Pourtant, bien qu'il ait guidé les Pays-Bas en finale de la Coupe du monde, en terminant deuxième, il n'a pas remporté le prix, ce prix individuel qu'est le Ballon d'Or. En fait, il n'est même pas arrivé deuxième ou troisième. Il est arrivé quatrième. Même Xavi, qui a terminé troisième, a déclaré qu'il était ridicule que son rival ne soit pas dans les trois premiers. Les performances de Sneijder à la Coupe du monde ont été assez bonnes pour lui gagner ce titre seul: marquant cinq fois, remportant l'Homme du match en quatre matchs et étant nommé deuxième meilleur joueur du tournoi. Qu'aurait-il pu faire de plus? Nous savons tous à quel point il était bon pour l'Inter et pour les Pays-Bas, mais le voir briser le monopole de Messi et Ronaldo aurait été cool à voir. Sneijder restera à jamais dans les mémoires comme l'homme qui aurait dû remporter le Ballon d'Or 2010, mais à ceux qui n'ont pas eu le plaisir de le regarder en direct ou en live, en particulier lors de la saison 2009-2010, allez sur YouTube et retrouvez des "vieux" Inter clips pendant cette saison. Il était magnifique, tout comme toute l'équipe. C'était vraiment dommage que le Néerlandais n'ait pas obtenu la reconnaissance qu'il méritait, mais les fans de football n'oublieront jamais à quel point il était bon à ce moment-là. La saison 2009-2010 était la sienne et il a gouverné l'Italie, l'Europe et le Monde en l'espace de 12 mois. C'était une campagne de classe mondiale d'un joueur de classe mondiale. Cet article est une traduction de "Remembering Wesley Sneijder’s poetic campaign at Inter" écrit par de Tom Scholes et publié sur gentlemanultra.com le 18 Décembre 2017.- 7 commentaires
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Lucio se livre sur l’Inter de Conte : "C’est un entraineur exigeant"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Interviews
Son nom est associé à la plus belle page européenne de l’Histoire de l’Inter : Son expérience, ses qualités techniques et son charisme se sont avérés fondamentaux lors de la saison 2009/2010 qui s’est conclue avec la conquête du Triplé sous les ordres de Josè Mourinho. Lucio, le solide défenseur brésilien s’est livrée à la Gazzetta Dello Sport https://www.youtube.com/watch?v=pXmV7VNPUQg "Force physique, transition rapide de la défense vers l’attaque, solidité défensive et quel duo exceptionnel devant. J’espère juste qu’ils auront autant de réussite que nous. Je ne la regarde pas autant que je le souhaite, mais c’es suffisant pour comprendre quel est son potentiel, à quel point elle est confiante : L’Inter mérite d’être là où elle en est : Si elle conserve cette régularité jusqu’à la fin, elle est destinée à mettre un terme à la domination de la Juve." Quel souvenir avez-vous de Conte l’entraineur ? "Que très peu, je n’ai passé que six mois avec lui à la Juve, mais c’était un entraineur exigeant qui aimait énormément travailler. Il se concentrait extrêmement bien sur l’aspect physique. C’est un aspect décisif dans la construction d’une équipe compétitive comme les siennes." "Combien de vidéo il te fait visionner avant et après le match ! Il me semble être l’homme juste pour permettre à l’Inter de renouer avec la victoire et pour se construire une solide carrière à l’Inter. C’est aussi un peu étrange vu son passé, mais dans le football, ce sont les résultats qui comptent et lui sait les obtenir." Cette fois-ci aussi tout trouve son origine via une super défense ? "C’était comme ça à notre époque, mais ce n’était pas que nous en défense: Toute l’équipe s'entraidait via une compacité unique. Ce rempart offre énormément de tranquillité : Qu’il s’agisse de Skriniar ou de Bastoni qui sont des défenseurs moderne, mais aussi De Vrij qui est celui qui me ressemble le plus. Je me revois dans sa façon de marquer l’homme, dans certains mouvements avec le ballon." Est-ce encore vrai qu’en Italie, celui qui a la meilleure défense l’emporte ? "Chez vous, jouer face aux petites équipes est extrêmement difficile. Le championnat est assez compétitif, mais il y a une naturelle culture de la tactique et de la défense. C’est à travers les grandes défenses que l’on construit les grandes attaques et l’Inter en est un exemple." Comment auriez-vous pu bloquer Lukaku ? "Il a une force physique incroyable, mais il ne l’utilise pas que pour lui, mais aussi pour les autres. Il marque et il est aussi généreux, il me rappelle beaucoup Drogba en ayant un peu d’Ibra. Le marquer est compliqué car il écrase quasi tous les défenseurs. Si tu y vas physiquement avec lui, tu es mort, la seule façon de le contenir est de rester attentif au corps à corps et de tenter d’anticiper ses choix dans le temps." Comment avez-vous vécu cette dernière crise économique du club ? "Ce n’est pas seulement le cas de l’Inter. Le Covid a redimensionné le football mondial. Je ne connais pas personnellement les difficultés de cette propriété, mais nous étions très fière, à notre époque, du climat sociétal : Moratti n’était pas un Président, c’était le Premier des tifosi." "Et cela fait toute la différence dans un monte lorsque tu dois administrer quelque chose que tu aimes. Et c’est toujours bon que les problèmes sociétal restent à l’extérieur du vestiaire. Personnellement, je vois que des joueurs concentrés sur le terrain." Quel est votre meilleur souvenir interiste ? Evitez de parler du jour du Triplé..... "Mon début, mes premiers jours, car c’est là que tout est né. Il y avait une atmosphère particulière et je dois remercier Julio Cesar, Thiago Motta, Maicon qui m’ont tout de suite accueilli tout comme les Argentins tel que Cambiasso, Zanetti ou Samuel." "Nous sommes liés à vie car c’est un triomphe indélébile. Je ne serais jamais lassé d’en parler et j’aurai toujours une pensée pour Mourinho : Il m’a donné une confiance unique, il était vraiment rentré dans ma tête." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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Les héros du Triplete toujours impliqués dans le football, sauf...
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Tuttosport a souligné que chaque joueur de l'équipe 2009-2010 de Jose Mourinho est toujours impliqué dans le sport à ce jour... les exceptions étant Marco Materazzi et McDonald Mariga. Julio Cesar est devenu agent tandis qu'Ivan Cordoba est maintenant consultant avec l'équipe de Serie B Venezia. Lucio étudie pour devenir entraîneur, Cristian Chivu est en charge des U18 de l'Inter et Thiago Motta est à la recherche de son prochain poste après avoir dirigé Genoa en 2019. Dejan Stankovic entraîne l'Etoile Rouge de Belgrade et a remporté son premier titre le 29 Mai 2020, tandis que Walter Samuel travaille avec Lionel Scaloni pour l'équipe nationale argentine. Esteban Cambiasso a obtenu sa licence d'entraîneur bien qu'il travaille actuellement en Italie en tant que consultant sportif. Wesley Sneijder s'entraîne avec une équipe de cinquième division aux Pays-Bas, et Maicon a récemment rejoint le club de Serie D Sona. Goran Pandev (Genoa), Mario Balotelli (Monza) et Ricardo Quaresma (Vitoria Guimaraes) jouent toujours au football, tandis que Javier Zanetti reste notre vice-président. Marco Materazzi a entraîné brièvement en Inde avant de s'arrêter, tandis que Mac Donald Mariga a commencé une carrière en politique dans son Kenya natal.- 6 commentaires
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Mourinho, larmes et défi, l'histoire de la saison 2009-2010 de l'Inter
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
De toutes les images durables du triomphe de l'Inter en finale de la Ligue des Champions 2010, une se démarque des autres. Voici l'histoire de la fascinante Inter de Mourinho... À l'intérieur du Santiago Bernabeu, une victoire 2-0 sur le Bayern Munich a provoqué des scènes de joie : Diego Milito courant vers les fans les bras tendus. Esteban Cambiasso faisant des tours d'honneur avec le vieux historique de Giacinto Facchetti. Javier Zanetti mettant le trophée en équilibre sur sa tête. À l'extérieur cependant, une histoire différente va se raconter. Les joueurs de l'Inter étant montés dans le bus plus tard dans la soirée, leur manager, José Mourinho, s'est glissé dans sa propre voiture. Et puis il en sauta de nouveau, courant pour embrasser Marco Materazzi. Les deux hommes se sont repliés l'un dans l'autre et ont pleuré. L'Inter venait d'entrer dans l'histoire, devenant la première équipe italienne à remporter un triplé en Serie A, en Coppa Italia et en Ligue des Champions. Et maintenant, nous savions que c'était exactement ça, l'Histoire. Le temps de Mourinho avec le club était terminé, il ne reviendrait pas. Examiner un grand club à travers le prisme d'une saison spécifique peut sembler un exercice arbitraire. Il y a toujours une évolution dans n'importe quelle d'équipe, toujours un report d'une année à l'autre. Pourtant, les vainqueurs du Triplete 2010 se sentent comme une exception, comme un chapitre glorieux dans le livre des records de l'Inter, un chapitre qui a une fin clairement définie, avec Mourinho partant vers le soleil couchant, et des nerazzurri qui ne seront plus couronnés champions nationaux ou européens depuis. Il y a aussi un début évident dans le mercato estival de 2009. L'Inter a recruté une foule de joueurs qui mèneraient au triplé : Milito, Thiago Motta, Samuel Eto’o, Lúcio et Wesley Sneijder. Mourinho est arrivé un an plus tôt, les menant à un titre de Serie A lors de sa première saison, mais c'était une exigence minimale. Le succès national a été facile pour l'Inter suite au scandale du Calciopoli en 2006, qui a vu la Juventus reléguée, et de nouvelles sanctions infligées à Milan, la Fiorentina et la Lazio. Cependant il y avait peu de preuves dans cette première saison de Mourinho qui pouvaient indiquer qu'il mènerait cette équipe au plus haut. L'Inter a terminé derrière le Panathinaikos en phase de groupes de la Ligue des Champions et s'est effondrée en huitième. Il avait demandé au club deux ailiers pour recréer le 4-3-3 qui lui avait si bien servi à Porto et Chelsea, mais Mancini et Ricardo Quaresma, tous les deux, n'ont pas été à la hauteur du montant de leur achat. Quelle part de l'évolution tactique qui a suivi était prévue ? Quelle part est due aux circonstances ? Mourinho était déterminé à faire en sorte que l'Inter presse plus haut sur le terrain, déclarant que son objectif était de monter la ligne défensive de 20 mètres. La signature de Lucio, un défenseur central mobile, était une étape délibérée, mais ailleurs, la politique de transfert de l'Inter semblait être dictée par les opportunités. Les nerazzurri ne souhaitaient pas vendre Zlatan Ibrahimovic, meilleur buteur de la Serie A en 2008-2009, mais Barcelone a fait une offre - 46 millions d'euros plus Samuel Eto’o - qu'ils ne pouvaient pas refuser. Avec Milito en provenance de Gênes, Mourinho avait maintenant deux attaquants prolifiques au lieu d'un, avec de l'argent restant pour un renfort supplémentaire. Sneijder est arrivé le 28 août et est entré directement dans le onze de départ pour aider l'Inter à démolir le Milan 4-0 un jour plus tard. De manière détournée, l'Inter aurait peut-être encore une fois dû remercier Barcelone. Le triplé des catalans en 2009 a incité le Real Madrid à sortir le chéquier et à signer les deux précédents vainqueurs du Ballon d'Or - Cristiano Ronaldo et Kaká - laissant Sneijder et Arjen Robben comme surplus. Des joueurs de classe mondiale étaient arrivés à l'Inter pour une fraction de leur valeur réelle. Ce contexte importait autant que leur talent. Ce sont des joueurs qui sont arrivés avec des écornures sur les épaules, motivés à prouver que leurs anciens employeurs avaient tort. Tactiquement, Mourinho a fait des faux pas. L’Inter a commencé par un 4-3-1-2 centré sur la créativité individuelle de Sneijder. Ce fut un triomphe à la maison et presque un désastre en Europe, où son étroitesse a été exposée à plusieurs reprises. Ils annulèrent leurs trois premiers matchs de groupe de la Ligue des Champions et semblaient la quitter avant cinq minutes d'éclat du néerlandais et une dernière victoire à l'extérieur au Dynamo Kiev. Émotionnellement, Mourinho a compris comment se mettre dans la peau de ses joueurs. Eto’o était tombé en disgrâce à Barcelone en partie parce qu’il n'avait pas suivi l’instruction de Pep Guardiola consistant à céder le centre de l’attaque à Leo Messi. Pourtant, Mourinho a réussi à persuader le Camerounais de faire exactement cela : passer sur l'aile gauche alors que l'Inter s'adaptait à la mi-saison en un 4-2-3-1. Il y avait des douleurs croissantes. Pendant des périodes importantes de sa plus grande saison, l'Inter n'était pas vraiment très bonne. Entre le 16 janvier et le 10 avril, les Nerazzurri ont remporté cinq des 14 matchs de Serie A, la Roma les dépassant pour leur prendre la première place. Pourtant, il y avait un esprit de défi qui a surmonté toutes les lacunes. Mourinho était le bon manager au bon moment pour Sneijder, Eto’o et Goran Pandev, lors d'un mercato d'hiver inspiré, alors libéré de son contrat avec la Lazio. Si ces joueurs arrivaient en se sentant méprisés, alors Mourinho a réaffirmé cette émotion, affirmant que les vainqueurs des quatre derniers titres de Serie A, déjà interistes, luttaient contre les forces nébuleuses des préjugés de l'establishment. Il a dénoncé la « prostitution intellectuelle » dans les médias italiens et mima le geste des menottes aux poignets alors que les commentaires allaient à l'encontre de l'Inter lors d'un match nul contre la Sampdoria. Ses attaques contre les officiels de Serie A étaient si implacables que des rapports ont fait état d'arbitres menaçant de boycotter les matchs de l'Inter. Tout cela était absurde, une distraction transparente, mais ce qui importait, était que ses joueurs acceptent. Sneijder a dit qu'il « tuerait et mourrait » pour Mourinho. Dejan Stankovic a déclaré qu'il « se serait jeté dans le feu » pour lui. Eto’o a parlé de ses actions, remplaçant en tant qu'arrière auxiliaire pendant plus d'une heure après que Thiago Motta ait été expulsé lors du match retour de la demi-finale de la Ligue des champions à Barcelone. L'Inter a eu sa part de chance. L'éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull avait obligé Barcelone à se rendre à Milan en bus pour la première étape de cette manche, où les catalans se sont effondrés pour une défaite disproportionnée 3-1. Pourtant, uniquement se concentrer sur cela serait ignorer ce qui a rendu cette équipe spéciale. L'histoire moderne des nerazzurri a été celle de la sous-performance, de devenir fragile lorsque la pression augmentait. L'Inter était l'équipe qui a perdu le titre de champion lors de la dernière journée de 2002, et qui n'avait jamais menacé de remporter la meilleure compétition de clubs d'Europe pendant les 15 ans de la présidence de Massimo Moratti à ce jour, malgré des dépenses somptueuses pour les transferts. L'Inter de Mourinho a bouleversé les stéréotypes : une équipe qui a livré son meilleur football dans les moments les plus tendus. Même avec un Sneijder expulsé après 26 minutes lors du derby en janvier contre le Milan, alors leurs plus proches rivaux au classement, l'Inter a tout de même gagné 2-0. En avril, juste au moment où les éventements menaçaient de nous sortir de la course au titre, les joueurs se sont retrouvés bloqués à 0-0 après 75 minutes contre une équipe de la Juventus qui s'était cloîtrée dans un bunker défensif composé de Fabio Cannavaro, Giorgio Chiellini et Gigi Buffon. Maicon a pulvérisé ce mur avec l'un des meilleurs buts marqués cette saison. Puis vint le Camp Nou, le carton rouge de Thiago Motta et Sergio Busquets jaillissant entre ses doigts. Combien d'autres équipes auraient pu résister, même avec un avantage de deux buts, pendant 62 minutes face à la meilleure attaque du monde ? Les choses sont devenues un peu tendues vers la fin, mais Julio César n'avait eu à faire qu'un arrêt notable avant que Gerard Piqué ne sorte de l'impasse avec six minutes restantes à jouer. La finale contre le Bayern a été plus simple. Milito a marqué les buts décisifs, tout comme il l'avait fait lors de la finale de la Coppa Italia et de la victoire du Scudetto sur Sienne lors de la dernière journée de la saison de Serie A. Sneijder a fourni sa passe décisive sur le premier match - sa sixième du tournoi, plus que tout autre joueur. Il a ensuite emmené les Pays-Bas en finale de la Coupe du Monde et, d’une manière ou d’une autre, il a terminé quatrième du Ballon d’Or. C'était peut-être un épilogue approprié, une preuve supplémentaire que personne n'a donné à cette équipe et à ces joueurs le respect qu'ils méritaient. Si Mourinho était revenu, il aurait pu l'utiliser pour renforcer cette mentalité nous-contre-le-monde. Au lieu de cela, il n'est même jamais rentrer à Milan pour célébrer. « Je n'avais pas encore signé de contrat avec le Real Madrid » , a-t-il expliqué quelques années plus tard, « mais j'avais déjà décidé. J'avais refusé deux fois auparavant et je ne pouvais pas le faire une troisième fois. Je savais que si je retournais à Milan, je changerait d'avis. » Materazzi n'avait commencé qu'une poignée de matchs cette saison-là, mais il avait un esprit de parenté, un joueur qui a absolument adhéré à l'approche du portugais. Que se sont-ils dit lors de ce moment désarmant et tendre en dehors du Bernabéu, quand ils ont su que l'aventure était finie ? « Je lui ai dit : Tu es une merde » , raconte Materazzi dans une interview à La Repubblica. « Tu pars et tu nous laisses avec [Rafa] Benítez. Je ne te le pardonnerai jamais. » « Je lui ai, finalement, pardonné. » alex_j - internazionale.fr- 11 commentaires
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Massimo Moratti célèbre le Triplé et vanne Agnelli
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Massimo Moratti s’est livré à la Gazzetta Dello Sport à l’occasion du 10ème anniversaire du Triplé qui a débuté le 5 mai à Rome pour se conclure en beauté le 22 mai 2010 à Madrid. Des festivités étaient-elles prévues ? "Une rencontre était organisée avec Mou et les joueurs, nous avions une table au restaurant El Botin de Madrid". Pour revivre ce Triplé, nous allons partir de la Coupe d’Italie. Ce 5 mai 2010 a-t-il exorcisé celui du 5 mai 2002 ? "Rien n’est exorcisé dans le football, ce 5 mai restera, même si Milito l’a rendu ensuite moins amer. Ce jour-là, je n’étais pas allé à Rome par superstition." Quel a été l’impact de cette victoire ? "Elle a posé les bases pour le reste, nous avions remporté la rencontre la plus dure des trois dans un style "Inter". La Roma était le rival historique de ces années-là et nous tenions à les surclasser. Il a fallu un exploit venu d’ailleurs, un but qui n’est pas Da Milito." Seconde étape, le Scudetto à Sienne... "Autre combat, mais différent. L’adversaire était moins fort que celui de Rome, mais il jouait avec une détermination féroce. Ensuite Zanetti a décidé qu’il fallait réécrire l’Histoire, il a réalisé des dribbles et a servi un but en or à Milito." Aviez-vous la tête à faire la fête ou était-elle déjà à Madrid ? "La vraie fête s’est tenue dans le vestiaire. Le Scudetto nous préparait de la meilleure des façons à la Ligue des Champions. Je me souviens du retour à Milan en voiture : une longue vague de bleue et de noire, les Tifosi m’ont aussi rejoint pour me souhaiter mon anniversaire, c’était magnifique !" Six jours plus tard, la rencontre face au Bayern... "Paradoxalement, ce fut la moins difficile. Nous avions tellement souffert à Barcelone. De façon émotionnelle, la Ligue des Champions fut remportée au Nou Camp. C’était le match le plus dramatique de ma vie. Nous avions joué quasi tout le match à 10 après l’expulsion injuste de Thiago Motta." "Voir Eto’o se sacrifier sur l’aile était un signal fort envoyé à tous. Là, j’avais compris que le destin était entre nos mains, que nous pouvions surmonter tous les obstacles." Quand a eu lieu la vraie révolte lors de cette édition de la Ligue des Champions ? "Lors des deux buts inscrits en fin de match au Dinamo Kiev, ce qui nous a évité l’élimination en phase de groupe, et aussi le huitième face à Chelsea. Après tant d’années de douleurs en Europe, nous nous sommes comporté comme une vraie équipe. Mou était un formidable chef tacticien." Revenons à Madrid, votre première chose en tête ? "Cela peut vous sembler étrange, mais c’est une image vu ensuite à la télé : Une fille en cheveu court et en maillot qui pleurait. C’était l’emblème de la joie offerte à tant de gens. Ensuite, le premier but de Milito pour l’importance et la conception, cette beauté dans la façon dont il enrhume le gardien de but et le défenseur. Diego était comme ça : la classe pure, même lorsqu’il se montrait silencieux, c’était un donneur de leçon." C’est Sneijder qui l’avait lancé au but. Est-ce vos meilleurs 16 millions d’euros dépensés tout au long de votre Présidence ? "Wes a changé l’Inter, il lui a permis d’hausser le rythme, il lui a donné une nouvelle dimension." Après tant de dépenses, ce noyau a finalement coûté que 150 millions d’euros... "C’est vrai, mis à part l’opération avec le Genoa pour Milito et Motta, sans oublier l’échange Ibra-Eto’o plus de l’argent." Julio Cesar était arrivé très récemment, Cambiasso gratuitement sur une belle intuition de Branca. Je ne comprends pas, encore à l’heure actuelle, comment le Real est parvenu à en perdre un comme lui." "Cuchu était arrivé avec Mancini, il a bien débuté et le staff technique pensait que grâce à son physique, il était déjà en forme, mais il y une étape de croissance. Tôt ou tard, Cambiasso entraînera l’Inter." Maicon a 6 millions d’euros… "A l’époque, quelqu’un m’avait pris la tête avec cette dépense. Il sera tout de même devenu le plus grand arrière droit de l’Histoire de l’Inter !" Le meilleur gaucher, lui, a vécu la nuit de Madrid d’en haut… "J’ai pensé à Facchetti après chaque victoire, sans oublier cette citation : "Après tant d’années de souffrances ensemble, tu aurais dû être là pour en profiter", lui ais-je dit." Comment était la fête à Madrid ? "J’étais vidé, nous avions atteint l’objectif de toujours et j’ai pensé : Qu’est-ce qui peut mal tourner à présent ? Et je me suis dit : Déjà, il y a Mou qui nous quitte. J’ai préféré ne pas rentrer à Milan car Mou était absent et je ne voulais pas devenir le centre de l’attention, j’ai préféré laisser présenter la Coupe à mon fils, qui comme le reste de la Famille, était très proche de moi dans cette épopée." Avant de revenir sur Mou, quel est le mérite attribué à Mancini dans ces titres ? "Ils sont nombreux, il avait construit la maison durant les années précédentes. Avant lui, nous ne gagnions pas en Italie, même si il y avait une raison très importante. C’est un grand entraîneur et il l’a démontré avec l’équipe nationale." "J’ai pensé à le recruter à Noël en 2003 après qu’il m’est offert un maillot de l’Inter avec un Scudetto énorme et un billet sur lequel était écrit "Si tu veux goûter à la victoire…Je suis à ta disposition."." Revenons à Mourinho et aux phrases un peu polémique de Milito... "L’adieu de Mourinho était préparé. Mais Il fut tout de même douloureux, mais je me rappelle que lorsque nous nous étions entassés sur le terrain, je lui avait dit qu’il pouvait faire ce qu’il voulait. Et c’est lui qui fut le premier à pleurer." En avez-vous reparlé ? "Jamais, je ne veux pas rompre ce charme. Nous nous sommes toutefois déjà échangés des regards qui valent milles paroles. Nous nous sommes revus le surlendemain chez moi, avec la Coupe au milieu de la table et tellement de sourires." Milito en fin de match avait dit : "Je ne sais pas si je resterai..." "L’erreur commise ce soir là était de dire qu’il n'était pas du niveau du Ballon d’Or. Peut-être qu’il ne se sentait pas assez apprécié, mais je n’ ai pas donné d’importance à cette déclaration." Quelqu’un vous avait dit qu’après une année comme celle-ci, vous auriez du le vendre... "Cela me fait encore sourire. Il était au Top et s’il ne s’était pas blessé, il aurait réédité l’année suivante. Lorsque tu as une équipe aussi forte, tu n’as pas besoin d’argent : Pourquoi la changer ?" "La vérité est que je me suis trompé dans le choix de l’entraîneur : Benitez était très bon, mais ce n’était pas la personne adaptée. J’aurais du prendre Léo immédiatement et pas à Noel." Y-a-t-il eu d’autres erreurs post-Triplé ? "Non, ce qui m'inquiétait était la recapitalisation du club. Je m'occupais des choses sur le terrain et moins de l’aspect commercial. C’est un football qui a changé." Pouvez-vous nous révéler une anecdote sur Madrid, qui à présent, ne poserait aucun problème à l’intéressé ? "Il rit… Mais non, à la limite Sneijder. Il me mettait la pression pour avoir une de mes montres qui lui plaisait, et je pense qu’elle valait un millième de ce qu’il venait de gagner cette année-là, et des cadeaux, je leur en avait déjà fait de nombreux." Mou et Conte sont-ils similaires ? "Je ne connais pas assez bien Conte pour le juger, mais ce sont deux marteau-piqueur, obsédés par le football avec l’envie de tout donner." Lautaro peut-il quitter l’Inter ? "Si Messi arrive, il restera et si Leo est impossible, à la place du Toro, j’aimerai Dybala." Etes-vous favorable à la reprise ? "C’est mieux de préparer la saison prochaine. Mais tu as toujours quelqu’un comme Lotito qui parle comme un supporter." Assigneriez-vous le Scudetto ? "Actuellement, ce n’est pas la priorité. L’Inter a toutes ses chances pour le remporter." Andrea Agnelli a liké un post d’un supporter qui ne voudrait pas du Scudetto car la Juve n’est pas comme l’Inter... "Il y a une très légère différence : à l’époque, il s’agissait d’une arnaque, ici d’un virus qui paralyse le monde" Stopper maintenant mettrait un terme au rêve de Triplé de la Juve. "Ils auront d’autres occasions. Si cela me dérangerait qu’ils y parviennent ? Aucun record ne résiste éternellement. Ce qui est sur, c’est qu’on ne nous enlèvera jamais le Triplé." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 5 commentaires
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