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  1. Présent à l’occasion de la présentation du livre de Fabrizio Biasin , "Odio il calcio", Giuseppe Marotta s’est livré sur sa vie professionnelle et sur l’avenir de son aventure Nerazzurra : "Je me rappelle mon époque à Como, on parlait énormément du Sida et j’étais Directeur Sportif : Ils m’avaient dressé une banderole avec de l’ allitération." Mon diner avec Conte à Trento ? "Mais non, c’était un repas où nous étions une quinzaine de personnes! Aujourd’hui c’est devenu dangereux de blaguer ou d’être ironique, il faut être attentif envers la personne à qui l’on s’adresse et à la façon dont on s’exprime. J’aime le football, la passion se confond avec l’adrénaline d’aller sur le terrain samedi à Turin ou mardi contre Salzbourg sans savoir ce qu’il va se passer. Si je devais devenir un agent ou faire autre chose, j'en perdrais mon enthousiasme." Etes-vous devenu plus autoritaire que par le passé ? "Cela vaut dans la vie d’une façon générale. Arrivé à un certain âge, vous commencez à avoir une certaine expérience derrière vous. Elle vous apporte les bonnes choses comme les merdes que vous avez connu, les défaites que vous avez subi. Dans la vie, il faut savoir comprendre que l’on s’est planté et aujourd’hui, j’ai les connaissances nécessaire pour faire face à toutes les situations, pour savoir également faire face aux situations négatives." L’importance d’avoir une équipe B "Les secondes équipes sont pour moi un instrument indispensable dans le parcours des croissances des jeunes. Passer de la Primavera à l’équipe-première est une transition difficile, il serait utile de disposer d’une phase intermédiaire qui pourrait être l’U-23. Je fais mon mea-culpa également au club que je dirige car nous n’avons pas les installations nécessaire pour entraineur les U-23." Le Viola Park ? "C’est une structure unique en Europe, je tire mon chapeau à Commisso pour ce qu’il est parvenu à faire." Messi a-t’il un jour été dans les pensées de l’Inter ? "C’est arrivé à un moment oui..., mais avant mon arrivée." Qui est votre Messi ? "C’est Lautaro actuellement." Est-ce le joueur le plus fort que vous ayez eu ? "Je ne sais pas, il est difficile de définir la catégorie des plus forts : Lautaro était un jeu talent qui est devenu un Champion, il joue dimanche après dimanche en s’améliorant jour après jour, c’est une personne dont on entendra parler." Etes-vous serein sur la permanence de Lautaro ? "Oui, c’est un oui absolu! C’est évident que je ne vais pas vous faire d’annonce, nous sommes déjà en surexposition médiatique." Êtes-vous encore furieux par les choses que l’on peut lire dans les journaux ? "Non, car si vous répliquez à toutes les choses négatives qui en ressortent, et qui par chance ne sont que très peu nombreuse, la caisse de résonnance médiatique est encore plus importante. La catégorie des journalistes a aussi évolué, il y a peut-être moins de sélection aujourd’hui et les nouvelles doivent savoir sortir immédiatement de nos jours pour obtenir un maximum de lecture : C’est comme cela que des fake news sortes, cela fait partie d’un monde qui a évolué." Il suffit juste de voir la perception sur l’Inter d’une trêve internationale à une autre..... "Une différence de deux points te fait passer de phénomène à tout autre chose, mais cela fait partie du marché journalistique. Je pense au panorama télévisuel, l’autre jour il y avait Conte sur la Rai 2 et Corona sur la Rai 3. Ce sont deux sujets intéressant pour les passionnés de football, mais qui ne savait évidemment pas être suivi simultanément." Que pensez-vous du Scandale lié au Calcio Scommesse ? "J’assiste à un énième scandale, il me rappelle le Totonero des années 80." Qu’est-ce que le Pari ? "Pour moi c’est un vice, quelque chose de négatif, qui est à présent médiatisé comme une affaire d’État. Cela fait partie de la société, il nous faut savoir partager avec les jeunes, pour les soutenir dans leur processus de croissance. Ce sont des personnes qui peuvent changer d’un jour à l’autre en devant riche et célèbre. Et avec l’argent facile, ils peuvent se laisser aller à d’autres choses." Vous avez connu différentes générations de joueurs. A quels points les joueurs actuels ont changé ? "A présent, il y a des instruments avec lesquelles ils peuvent se divertir et faire des conneries. Les éléments de tentations, auparavant, étaient nettement moins nombreux. Aujourd’hui le téléphone est à toute les sauces : Il est source de satisfaction, de danger, d’adrénaline. Il y a des aspects positifs et d’autres facteurs de risques. C’est donc normal qu’il puisse y avoir une certaine fragilité de la part des joueurs, qui pour diverses raisons se laisser aller à la légèreté. La faute revient aux Dirigeants, mais aussi aux institutions sportives tel que les Clubs de football, aux agents et aux associations syndicales : Nous avons tous fait trop peu pour détourner ces tentations des garçons." Etudiez-vous un joueur sous cet aspect avant de le recruter ? "C’est difficile, mais il serait utile de faire un test d’entrée. Dans n’importe quel boite, vous avez un entretien d’embauche, mais pas dans le football. Ce n’est qu’après avoir recruté un joueur que vous prenez conscience de certains aspects négatifs qui pourraient représenter un problème. Imaginez un joueur suspendu pour des années : Cela représente un dommage économique pour le Club, qui en réalité n’a pas de grandes responsabilité. C’est une situation à étudier sous tellement d’angles de vue." L’Inter est-elle votre dernière équipe de votre carrière ? "Oui, Tout à fait oui, j’aimerais bien tenter l’aventure dans la Politique Sportive par la suite." Objectif Scudetto ? "Clairement : Décrocher la Seconde Etoile serait quelque chose d’historique à coudre sur le torse." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Le footballeur italien Paolo Rossi, héros de la Coupe du Monde 1982 remportée par l'Italie, est mort à 64 ans, ont annoncé sa veuve et les médias italiens. Son épouse, Federica Cappelletti, a annoncé sa mort sur Instagram, publiant une photo du couple avec la légende "Forever," suivie d'un coeur. "Il n'y aura jamais plus quelqu'un comme toi, unique, spécial", a-t-elle aussi écrit sur Facebook. La nouvelle de son décès a été reprise dans la nuit de mercredi à jeudi par les médias italiens, qui ont aussitôt rendu hommage au légendaire attaquant italien surnommé "Pablito". "Paolo Rossi, l'aimable poète du foot qui a fait la joie de toute l'Italie en 1982 est mort", souligne sur son site le quotidien Il Corriere della Sera, qui évoque la "maladie incurable" dont il souffrait. Il était "l'homme qui fit pleurer le Brésil et emmena les azzurri de Bearzot à la conquête de la Coupe du Monde", relève de son côté le journal La Repubblica. "Je me souviens d'un footballeur extraordinaire, d'une excellent coéquipier et d'un ami. Parce que cette équipe du Mondial de 1982 était une équipe composée d'amis", a commenté le gardien de but Dino Zoff, lui aussi champion du monde 1982. "Rossi avait des qualités incroyables, ils faisait les choses justes au bon moment. Il était irremplaçable dans ce groupe". "Une partie d'entre nous s'en est allée avec lui, une partie de ma vie s'en va avec lui", a commenté son autre coéquipier Fulvio Collovati. "Douleur profonde" Le président de la Fédération italienne de foot Gabrielle Gravina a déploré une "douleur profonde, une blessure au coeur de tous les passionnés (de foot) qui sera difficile à guérir (...) Il a inspiré avec son style de jeu de nombreux attaquants des nouvelles générations". "La Serie A pleure un immortel de notre football, aimé du monde entier", a réagi son côté le président de la Serie A, Paolo Dal Pino. L'annonce du décès de Rossi intervient moins de deux semaines après celui de la légende argentine Diego Maradona, qui avait remporté la Coupe du Monde 1986. Paolo Rossi, qui n'aurait pas dû jouer la Coupe du Monde 1982, en est finalement devenu le héros avec six buts et un triomphe. Suspendu pour trois ans en mars 1980 dans le "Totonero", une affaire de scandale de matches de football truqués et de paris illégaux en Italie, il avait cependant été convoqué pour le Mondial 1982 en Espagne, après une réduction de sa sanction, malgré le scepticisme de la presse et des tifosi. Au "Mundial", Rossi explose avec un triplé lors d'un mythique Italie-Brésil (3-2) qui élimine la Seleçao et envoie les Azzurri en demies. Face à la Pologne, il s'offre un doublé et une place en finale. Lors de cet ultime match contre la RFA, le Toscan marque le premier des trois buts italiens (3-1). L'Italie remporte sa 3e Coupe du monde, Rossi finit meilleur joueur et buteur. Et le Ballon d'Or vient couronner cette année exceptionnelle. "Capocannoniere" Sa carrière en club est plus contrastée. Déniché adolescent par les recruteurs de la Juventus, ses premières années bianconere sont ternies par trois blessures à un ménisque. Meilleur buteur de Serie B avec 21 buts et montée en Serie A: avec le Lanerossi Vicenza, rejoint en 1976, il connaît ses premiers succès. La saison suivante, son club titille la Juventus pour le scudetto et il finit à nouveau "capocannoniere" (24 buts). La Juventus tente alors de le récupérer, en vain. Après une dernière saison et une relégation avec Vicence, il part pour Pérouse, où son passage est chamboulé par le Totonero. Deux ans de suspension plus tard, Rossi revient à la Juve. La saison 1983-84 est synonyme d'apogée pour Rossi. Il forme un redoutable trio avec Platini et Zbigniew Boniek et accumule les trophées: Serie A, Coupe d'Italie, Coupe des Coupes, et Supercoupe d'Europe. En 1985, la "Vieille Dame" remporte la Coupe des clubs champions lors de l'effroyable finale du Heysel et ses 39 morts, qui sera le dernier match de Rossi avec les Bianconeri. Il file chez le rival, l'AC Milan. Handicapé par des blessures, son épisode milanais est un échec. Tout comme celui à l'Hellas Vérone. En 1987, Rossi décide de tourner la page à 31 ans après près de 400 matches de championnat, 154 buts et 48 sélections (20 buts). ®Rtl.be
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