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  1. Jour de Champions League pour les Nerazzurri contre Salzbourg ce soir à 21h à la Red Bull Arena. Marko Arnautovic, en conférence de presse, a répondu aux questions des journalistes. Vous revenez après une longue absence, comment allez-vous ? Il y aura beaucoup de matches joués dans les prochains mois. Pensez-vous que vous vous relayerez en attaque ? Quel genre de match sera pour vous, étant donné que vous jouerez dans votre pays ? Quel genre d’équipe est Salzbourg ? Savez-vous que vous pouvez réussir et gagner aussi bien en Italie qu'en Europe ? Traduction alex_j via le site officiel.
  2. Notre légende Lothar Matthäus croit fermement au potentiel de cette nouvelle Inter et, à la Gazzetta dello Sport, il précise ses idées. Matthäus, cette belle Inter est-elle née des cendres d'Istanbul ? "Quelques erreurs en moins devant le but et désormais la Ligue des Champions serait à l'Inter. Il existe désormais une toute nouvelle équipe, plus fraîche, plus jeune et imprévisible qui peut répéter les mêmes résultats. Cependant, ce ne sera pas facile." Marcus Thuram va-t-il s'améliorer devant le but ? "A Mönchengladbach, il a bien sûr marqué. Vous l'avez déjà vu, il a tout, un physique et une technique de vitesse, et il est prêt à exploser dans une équipe de haut niveau. Mais pour moi, ce n'est pas un 9 traditionnel, plutôt un avant-centre. Marcus aime s'espacer, ne lui demander pas le travail de Lukaku dans la surface." D'ailleurs, surpris par la trahison estivale de Romelu ? "Dans le football, rien ne me surprend. Pour moi, Lukaku était et reste l'un des meilleurs attaquants du monde. Je l'aurais bien vu au Bayern aussi. Inzaghi avait une vision différente et le mettait toujours sur le banc. Le club a cependant fait des choix précis, en suivant la philosophie de l'entraîneur et en pensant à l'avenir, c'est pourquoi il est inutile de ressasser le passé." Sommer après Onana, l'Inter a-t-elle perdu ? "Il ne sera pas parmi les meilleurs au monde, mais vous pouvez parier sur Sommer. Sur le terrain, toujours concentré et avec son style, mais aussi en dehors, dans les vestiaires. Il est silencieux et calme. Disons qu'il est différent du Walter Zenga de mon époque..." Pavard, cependant, voulait avant tout l’Inter. "Les anciens managers, Salihamidzic et Kahn, lui ont promis de le laisser partir, puis tout a changé au Bayern, même l'entraîneur, et ils ont voulu le garder. D'où les problèmes dans les négociations mais ensuite, a force de volonté, Benji a gagné. Je le connais bien, c'est un joueur super professionnel. Au Bayern, il était dans une équipe forte mais il ne voulait plus être latéral comme avec Tuchel. Il se sent comme un défenseur central et l'Inter a fait bonne impression avec lui au centre." Le derby approche, par rapport aux demi-finales de Ligue des champions, le Milan a-t-il réduit l'écart ? "Milan a également fonctionné intelligemment sur le mercato et a très bien démarré. Ce sera un excellent derby, mais j'espère que l'écart restera et que l'Inter sera toujours devant... même de peu, même d'un but, un 1-0 subi. Sans la domination qu'ils avaient en Ligue des Champions, cela a suffi pour maintenir la suprématie dans la ville. Ensuite, pour le Scudetto, le défi est encore très long et tout peut arriver sur la durée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. A la veille de l'Inter-Fiorentina, Simone Inzaghi s'exprime aux micros d'InterTV. Excellent début de championnat, est-il important de confirmer après les deux premiers matches ? "Nous avons certainement commencé avec beaucoup de détermination, les gars ont été très bons. Demain, nous affronterons un match très important avec la détermination habituelle." La Fiorentina joue un football de qualité et compte de nombreux joueurs créatifs. A quel match attendez-vous ? "Nous savons que nous affronterons une excellente équipe, très bien entraînée avec d'excellents joueurs. Nous savons que ces dernières années, nous avons souvent joué contre eux dans des matchs difficiles. Nous devrons être très bons pour aborder le match en la meilleure façon." Le match peut-il se décider avec les latéraux ? "Il est clair que nous et la Viola, en raison de nos principes de jeu, utilisons beaucoup les flancs. Ce sera un match dans lequel ils seront très occupés. Nous devrons être bons pour couvrir le terrain de la meilleure façon possible car la Fiorentina est très bien." Nous avons vu une Inter très dynamique en attaque tout en maintenant l'équilibre. Quelle somme de travail avez vous faite pour bâtir cette solidité défensive ? "Les gars ont très bien travaillé depuis 50 jours sur les principes et autres aspects sur lesquels nous devons nous améliorer. Mon staff et moi sommes très satisfaits car nous voyons que les joueurs essaient toujours de satisfaire nos demandes." Des joueurs importants sont arrivés. Comment évaluez-vous le mercato de l'Inter ? Satisfait des nouveautés ? "Oui, les nouveaux font très bien. Nous savons qu'un grand changement a été réalisé, nous avons perdu des joueurs très importants mais des joueurs tout aussi importants sont arrivés, des joueurs plus expérimenté qui aidera les jeunes à s'intégrer le plus rapidement possible." Comment évaluez-vous le groupe de la Ligue des Champions ? Dans quelle mesure va-t-il enthousiasmer les supporters au vu de la qualité des équipes impliquées ? "Nous attendions ces tirages. L'année dernière, nous savions quel genre de tirage s'était. Cette année, le groupe est très compétitif car nous connaissons Benfica pour l'avoir affronté la saison dernière, la force de Salzbourg et de la Real Sociedad qui jouent un excellent football. Au moment opportun, nous essaierons d'être prêts." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. La chance sourit à l'Inter lors du tirage au sort des groupes de la Ligue des Champions 2023-2024 organisé au Grimaldi Forum de Monaco... et aussi grâce au fait qu'elle dans le deuxième pot, l'équipe de Simone Inzaghi se retrouve dans un groupe dans lequel elle doit être considérée comme favorite. Le groupe est composé du Benfica qui était dans le pot 1 et qui l'année dernière a été éliminé par les Nerazzurri en quarts de finale, de Salzbourg et de la Real Sociedad. Notre omniprésent vice-président, Javier Zanetti, répond aux questions qui suivent. Quel est votre sentiment par rapport à l’année dernière ? "C'est une compétition différente. Une Ligue des Champions se termine, une autre commence. C'est certainement un groupe équilibré. Nous connaissons bien les adversaires que nous allons affronter. Ce n'est jamais facile car en Ligue des Champions tous les matches sont compliqués mais l'important c'est que L'Inter va bien et prépare tous les matches du mieux possible." L'Inter est composée de plusieurs joueurs ayant disputé la finale. Cet aspect est-il important ? "Bien sûr, c'est important. Pour l'estime de soi, pour la mentalité... Les gars qui ont atteint la finale l'année dernière peuvent aider les nouveaux. Nous allons essayer d'être les protagonistes de cette Ligue des Champions, c'est toujours difficile de se répéter mais l'envie ne manque pas et nous y travaillerons avec beaucoup d'humilité comme toujours." Vous ne pensez plus à l'accession en huitièmes de finale mais à la première place. Est-ce un saut de qualité ? "Oui. Certes, atteindre la finale l'année dernière a beaucoup aidé à la croissance de l'équipe. Même si nous avons changé de nombreux joueurs, la base de l'année dernière existe et cela aide. Nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers mais essayer d'être protagonistes et de viser le plus loin possible. C'est compliqué mais, comme je l'ai dit, l'envie est là et on pense encore à cette finale perdue." L'Inter a-t-elle une personnalité différente après la finale ? "Vous avez raison. Dans ces deux matchs joués jusqu'à présent, nous avons vu une équipe très calme, sûre d'elle et de ce qu'elle peut donner. Aller en finale nous a fait grandir en caractère et en mentalité. Je pense que ces gars réfléchissent sur le chemin qu'ils vont devoir parcourir et ils sont à la hauteur. Je les vois entraîner, je vois l'envie qu'ils ont. C'est difficile de se répéter mais nous jouerons contre tout le monde parce que tout le monde a vu que l'Inter est une équipe forte et qui doit être respectée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. L'Inter est 8e de l'UEFA Ranking des clubs. Après le parcours passionnant de la dernière édition en Ligue des champions, l'Inter s'installe à la huitième place du classement des clubs de l'UEFA. Les 28 points de coefficient empochés sur la route d'Istanbul ont permis aux Nerazzurri de dépasser les deux autres Italiens du top dix, la Roma et la Juve, respectivement aux neuvième et dixième places. Pas de changement en tête de tableau : les champions d'Europe, les Citizens, est au dessus de tous, y compris le Bayern Munich et le Real Madrid qui complètent le podium. En Serie A, on notera la 18e place du Napoli, tandis que Milan grignote du terrain en remontant à la 33e place, en tout cas derrière l'Atalanta, 25e. Le classement complet est visible ici. Traduction alex_j via FCInterNews et site UEFA.
  6. Au terme de la finale de la Ligue des champions, Stéphane Dalmat s'est exprimé concernant ses sensations par le biais d'une vidéo Instagram: "Salut à tous, Dommage, nous sommes presque arrivés au miracle! Nous avions tous envie de gagner ce match. Nous aurions pu le faire car le match était serré. Eux aussi avaient peur de prendre un but. Il n'y a pas eu beaucoup d'occasions, ils ont tiré deux-trois fois au but. Sur une action anodine ils ont réussi à débloquer le match malheureusement. Nous aurions pu égaliser avec la tête de Lukaku qui aurait du maruqer mais bon c'est comme ça." . "Nous pouvons être fiers de l'équipe qui a montré qu'elle méritait d'être là et de jouer cette finale. Ils ont fait tout le possible pour gagner le match avec un stade où les interistes ont mis toute l'ambiance". "Je suis fier de cette équipe, ils se sont dépassé cette saison et ont donné de la satisfaction à tant de personnes lors des matches à élimination directe. Même sur cette finale, en réalité." "Nous pouvons dire que nous avons affronté la meilleure équipe d'Europe. Quand tu vois que sur le banc il y avait du Mahrez, du Walker, des énormes joueurs qui n'ont même pas pris part au match quasiment, à part Walker brièvement. Je pense que le résultat n'est pas mérité, le match aurait du se terminer sur un nul vierge. Manchester City n'a pas spécialement bien joué, l'Inter elle n'a pas su répéter certaines prestations qu'ils ont fait dans le passé. Avec la pression, ça peut arriver de ne pas arriver à jouer libérés, tous les joueurs ne sont pas habitués à jouer ce genre de match. J'ai quand même vu une équipe qui y a mis du cœur et je pense que nous pouvons être fier d'eux. " "Je les remercie pour les émotions qu'ils nous ont offert durant cette saison que je qualifierais de très belle. Seul le résultat final compte et malheureusement le trophée n'est pas revenu avec l'Inter à Milan. Maintenant que la saison est finie je pense que le club va faire un bilan, surtout par rapport au résultat en championnat. Il faudra voir aussi au mercato, quels joueurs arriveront pour renforcer l'équipe, quels joueurs partiront, etc. Pour l'instant remercions les et digérons cette défaite. Pas de la même manière que les autres défaites cela dit, c'était une finale, cela pouvait finir de toutes les manières. C'est le football, bravo à City et de notre côté soyons fiers et espérons que nous puissions performer à ce niveau la saison prochaine. Ce serait beau de pouvoir arriver à ce stade de nouveau." "Je vous remercie pour les moments que nous avons partagé, toutes les vidéos et le support que vous m'avez apporté. Merci aux gens aussi qui m'ont montré tant d'amour quand je suis allé à Milan. Je vous souhaite de passer un bon mercato, de bonnes vacances et de toute façon nous resterons en contact durant l'intersaison." "Comme je dis toujours 'Forza Inter, ciao a tutti'!" Internazionale.fr ~ © Samus
  7. Selon les calculs de Calcio e Finanza, les pertes diminueraient de moitié cette saison. Les chiffres. L'extraordinaire parcours en Ligue des champions qui a conduit à Istanbul fait grimper les revenus de l'Inter au cours de la saison 2022-2023. Le rouge se dirigerait vers une réduction de moitié par rapport à l'année précédente. Cependant, il faut noter que d'autres mesures économiques et chiffres ne peuvent être exclus d'ici fin Juin. C'est donc une estimation. Le résultat net dans la balance devrait être -80 millions contre -140 millions en 2021-2022. Dans le détail, le chiffre d'affaires devrait avoisiner les 430 millions, en ligne avec les revenus de la saison dernière. Le chiffre d'affaires net des ventes de joueurs devrait avoisiner les 400 millions, un chiffre record pour le club nerazzurri. En particulier, le parcours en Ligue des Champions pousse les revenus vers le haut, avec des droits TV qui, en tenant compte également de ceux liés à la Serie A, devraient s'élever à 190 millions. La fréquentation du public au Meazza a rapporté environ 80 millions d'euros supplémentaires ce qui a permis de limiter les dégâts des 30 millions non perçus de Digitalbits. Un aspect auquel a également contribué l'accord avec Paramount+ pour la finale de la Ligue des Champions, avec des revenus d'environ 4 millions. Le commerce des joueurs a garanti environ 30 millions grâce aux ventes de Casadei, Pinamonti et Pirola. Du point de vue des coûts, les dépenses devraient être réduites notamment grâce à la forte baisse des amortissements liée aux départs de Pinamonti, Perisic et Vecino, avec un chiffre global qui devrait être inférieur à 100 millions. Au lieu de cela, les salaires et traitements sont rester stables par rapport à 2022. Le résultat de gestion ordinaire devrait se situer autour de -25 millions, contre -88 millions en 2021-2022, grâce à la saison exceptionnelle en termes de résultats. Cependant, les intérêts des emprunts pèsent lourdement sur les comptes des Nerazzurri et les obligations actuellement détenues par le club des Nerazzurri qui devrait avoisiner les 50 millions. Le résultat net prévisible serait de -80 millions d'euros, sur lesquels pèsent précisément les 50 millions d'intérêts et les quelque 30 millions perdus avec Digitalbit. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  8. Messages d'Edin Dzeko et Romelu Lukaku aux fans de l'Inter suite à la défaite contre City. C'est vraiment difficile de mettre des mots sur toutes les émotions, sur ce qui s'est passé à Istanbul. Je suis très fier de notre parcours, du chemin parcouru depuis le premier jour de cette saison de l'UCL. Toute l'équipe croyait que nous pouvions faire quelque chose de grand, et nous l'avons vraiment fait. Nous avons fait de notre mieux, nous avons joué pour réaliser nos rêves et les vôtres, mais malheureusement nous n'avons pas pu atteindre le sommet. J'en suis désolé et je suis triste pour le club et mes coéquipiers, mais surtout pour nos fidèles supporters qui nous ont soutenus tout au long de la saison et surtout lors du dernier match où ils ont été incroyables : merci pour tout le soutien. Nous avons fait de notre mieux, mais cette fois ce n'était pas suffisant. Forza Inter ! Tout d'abord merci à tous les fans de l'Inter pour l'amour et le soutien témoignés tout au long de la saison. Vous êtes restés à nos côtés à chaque instant et personnellement, je tiens à vous en remercier. Ce n'était pas censé l'être. Nous avons tout donné. C'est un sentiment de merde pour nous tous qui aimons ce beau club… Mais ce club a faim et nous nous battrons pour atteindre ce moment de gloire un jour. Traduction alex_j via Instagram.
  9. Récompensé du Golden Rudder à Arezzo, Antonio Conte a eu son mot à dire sur la finale de la Ligue des Champions. "Tout d'abord, je félicite l'Inter qui a fait quelque chose de grand, et mention spéciale aux joueurs, à l'entraîneur et au club. Félicitations également à la Roma et la Fiorentina. Pep Guardiola a dit que nous, dans le football italien, nous nous sous-estimons, nous nous maltraitions. Je suis d'accord et je pense que les entraîneurs sont très bons, étant donné que nous étudions toujours. Cette année, les équipes italiennes en Europe ont montré que nous n'étions pas loin." "J'étais sûr à 200% que Manchester City souffrirait contre l'Inter. Lorsque vous faites face à des équipes hautement et bien préparées, ce n'est jamais facile. City a ressenti le poids d'être favori et le fait que l'Inter ait montré qu'elle pouvait rivaliser avec les grands noms européens montre que le football italien n'est pas en crise. Nous devons continuer sur cette voie, il y a beaucoup de félicitations à l'Inter, à la Roma et à la Fiorentina." "Romelu a démontré même au cours de ces 30 minutes au cours desquelles il est entré en finale, c'était la partie du match où elle était la plus dangereuse. Mettre un joueur de sa force peut avoir un impact. Cette année, il a eu des problèmes physiques mais vous ne pouvez pas douter de sa valeur." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Francesco Acerbi s'est exprimé en conférence de presse à Coverciano. Il a évoqué divers sujets. Une amertume avec la défaite en finale face à Manchester City ? "Il faut être fier de ce qui a été fait mais il y a un peu d'amertume, oui. La finale, bravo, bravo... mais si tu ne soulèves pas le trophée, il n'y a rien d'écrit et ça te ronge un peu. Aussi parce que mon sentiment sur le terrain était que nous n'avions pas conscience que nous pouvions vraiment tuer Manchester City. Nous avons trop parlé de sa force et nous avons payé cela un peu inconsciemment. Même City avait peur de nous, on a tout fait pour que la Ligue des champions aille à Milan... Dommage, un gros regret." Que dire de ce cru du football italien ? "C'est une année importante pour l'Italie. Cela ne s'est jamais produit. Je ne sais pas si c'est le début de quelque chose... La Premier League est la plus forte en ce moment mais nous sommes l'Italie. Un pays avec beaucoup de joueurs forts , beaucoup de jeunes qui peuvent jouer. Preuve que le football italien est toujours à un excellent niveau. Même en équipe nationale, nous devons récupérer, nous connaissons notre valeur et ce que nous voulons faire. Nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes." Êtes-vous prêt pour Jeudi ? "Même le lendemain de la finale à Istanbul, alors vous jouez nerveusement. J'ai passé une journée au cours de laquelle vous réfléchissez et réfléchissez à ce que vous auriez pu faire de plus, analysez le match et la défaite. Ces résultats font partie de la vie, le Le l'important est de faire de mieux en mieux chaque jour. Vous êtes en équipe nationale et maintenant vôtre tête est là, pour le match de jeudi. C'est un match qui se prépare, bien." La finale de Samedi était-elle une opportunité unique ? Quelle impression Haaland a-t-il faite? "C'est deux fois le joueur que j'ai affronté contre Dortmund il y a trois ans. Un grand attaquant mais il a fait un excellent travail d'équipe. Après le match, zéro réflexion, pendant dix minutes, je n'ai voulu parler à personne. Occasion unique, penser avant au match, mais une fois dedans, je ne pensais qu'à tout donner et qu'il pourrait y avoir une autre opportunité. D'abord vous pensez à tout, puis vous vous sentez mal de la défaite." Pensez-vous aux chants "Acerbi on n'en veut pas" des fans l'été dernier ? "Je suis assez fort, je m'en fous. Ce qui m'a donné de l'énergie et de la force, c'est ce que je veux, aller plus loin et ne pas rendre les autres heureux. Pour un petit sourire, ils m'ont peint en fan du Milan et ça m'a fait un peu mal parce qu'en tant que professionnel et homme sur le terrain, personne n'avait à remettre en question mon engagement. Quelle que soit l'équipe pour laquelle j'ai joué. Mais j'ai dit que je devais continuer, c'est ma passion et ma vie et pour cela je suis fier de moi-même." Quels sont vos objectifs à ce stade ? "Gagner des coupes oui et non... Mon seul objectif est que lorsque j'aurai fini de jouer au football, je pourrai dire que j'ai tout donné pour ce que je représente. Je ne sais pas où j'en serai dans un an, où je sera dans six jours... Je ne sais pas dans deux semaines. Je ne sais pas où je serai, deux heures avant la fin du mercato j'ai dit non à Inzaghi et puis je suis parti. Le bon chemin sera le meilleur pour moi, puis à la fin de ma carrière je tirerai un trait. La finale de la Ligue des champions n'était pas prévue, je donne tout." Vous avez probablement connu la meilleure saison de votre carrière. Comment expliquez-vous qu'elle était atteinte à 35 ans ? "Après ma maladie, j'ai toujours été sur la bonne voie, j'ai toujours fait de bonnes saisons. Un joueur ne fait pas un match à huit puis à quatre. C'est toujours ce qu'on a envie de faire quand on progresse, j'essaie suivre le meilleur pour moi-même, puis la faim, l'envie, la volonté… Vous voulez aller là où les autres ne veulent pas aller, puis bien sûr il y a aussi le groupe et un peu de chance puisque je n'ai subi aucune blessure." Quelles leçons tirez-vous de la finale à Istanbul ? "J'ai perdu la finale et vous devez être conscient que vous pouvez la jouer contre tout le monde et même gagner s'il y a un groupe fort et cohérent qui continue et se relève même après les revers. C'est la seule voie qui vous permet d'avancer. Quand vous perdez, ce n'est pas un échec mais un enseignement. Vous gagnez et vous perdez, en espérant qu'il y ait toujours plus de victoires que de défaites." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. "Standing tall" est un slogan qui a été beaucoup abusé et galvaudé ces dernières années. Il a également été utilisé à l'occasion de finales déséquilibrées ou de parcours européens terminant sans succès d'équipes italiennes qui se sont présentées sur la ligne de départ de la Champions et avaient été désignées parmi les "favorites" pour la victoire finale. Toute référence est purement fortuite. Seule certitude, l'Inter sortira véritablement "la tête haute" du stade olympique Atatürk d'Istanbul. La déception restera avec nous pendant des semaines, peut-être des mois, peut-être des années. On ne le sait pas encore. Le fait que l'on ait caressé l'idée de pouvoir soulever la Coupe aux grandes oreilles pour la quatrième fois de notre histoire face au City de Pep Guardiola doit être une source de grand plaisir, de grande fierté. Cela doit être avant tout à cause de la façon dont cette nomination s'est faite et du nombre de choses irrespectueuses qui ont été dites à notre égard. Pour la planète entière, il ne devait pas y avoir de match à Istanbul. Qu'a dû penser le chanteur et fan de City Gallagher, qui voulait à tout prix nous affronter en finale, durant les 90 minutes de la finale ? Qu'a dû penser de l'ex-joueur Bale qui a prédit un sec 5-0 pour City à quelques heures du match ? Et tous les insiders italiens qui pendant toute une saison ont tenu des propos plus que moyens envers Simone Inzaghi ? Comme par magie, d'un coup, le monde entier découvre l'Inter de Simone Inzaghi. Le même qui a gagné à Liverpool l'année dernière et qui dans les 180 minutes a donné du fil à retordre à cette équipe qui a ensuite joué contre le Real Madrid. Le même capable de remporter 4 derbies de la saison contre le Milan Champion d'Italie. Le même capable d'éliminer le Barcelone de Xavi en phase de groupes, qui quelques mois plus tard a remporté la Liga contre ce Real Madrid que tout le monde a indiqué comme le grand favori pour remporter la Ligue des champions, comme City, uniquement pour une question d'ADN. Heureusement, les prédictions et l'ADN tant vanté ne vont pas sur le terrain, mais les idées oui. Il y a de l'abnégation au travail. Vient la préparation. Voilà l'étude. "Vous avez retrouvé Porto, Benfica et Milan dès le deuxième tour" est une thèse qui ne tient pas et ne tiendra jamais. Une équipe "chanceuse" dans le tirage au sort ne joue pas de manière égale contre une équipe extraterrestre, les forçant à changer leur nom de Manchester à Bristol City pendant 90 minutes. Une équipe qui s'y trouvait Samedi est sortie du stade olympique d'Atatürk avec un fracas historique. Au football, il n'y a qu'un seul vainqueur à la fin, mais l'Inter gagne toujours. Pour l'Inter, gagner n'est pas la seule chose qui compte, cela ne l'a jamais été. Mais avoir fait repenser au monde entier qui pensait que nous étions perdus est une source de grande fierté. La certitude d'avoir été grand n'est pas affectée par les mesquineries. Au final, les épisodes décident et c'est comme ça que ça s'est passé Samedi. C'est du sport, c'est du foot. Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve mais nous le vivrons comme ça. Arrivederci Inter. Georges Courteline a écrit "Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet". Une phrase que Gallagher et comparses auraient dû connaître avant de l'ouvrir. Mais quand on est un imbécile... Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
  13. L'UEFA a dévoilé son XI type. Deux Nerazzurri présents au milieu de l'océan bleu-ciel. Federico Dimarco et Alessandro Bastoni sont les deux seuls Nerazzurri à avoir été inclus dans l'équipe type de la saison de la Ligue des champions. Manchester City domine inévitablement le top 11. Ci-dessous, le tweet avec les compliments de l'Inter. Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Le milieu de terrain Nicolò Barella tente de remonter le moral des Nerazzurri après la défaite contre Manchester City. "J'ai toujours pensé que gagner équivalait à la gloire, tandis que perdre équivalait à l'échec. Mais au cours de ces années, vous m'avez appris qu'il y a plus. Il y a la fierté et surtout l'amour que vous nous avez témoigné. Il y a le vestiaire composé d'hommes qui ont travaillé dur pour ramener l'Inter là où elle le mérite. Il y a cette sueur, et je vous assure que nous l'avons toujours versée pour ce maillot. Il y a la victoire qui nous a procuré tant d'émotions que nous porterons en nous pour toujours. Il y a aussi une défaite, amère, difficile à supporter mais qui, à sa manière, nous pousse à essayer de faire quelque chose encore plus grand. Pour cette raison, la médaille d'argent sera là devant, avec celles des victoires et non cachée dans un coin. Merci à tous pour ce fantastique voyage !" Beau texte ! Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Le compte rendu officiel de l'UEFA rend hommage à l'Inter. "Une campagne incroyable et une performance dont vous pouvez être fiers. Ayez la tête haute, Nerazzurri." Ainsi le compte rendu officiel de la Ligue des champions rend hommage et loue l'Inter après le KO en finale contre Manchester City, avec la touchante photo de Lautaro et Onana en larmes. L'équipe de Simone Inzaghi, malgré la défaite, revient d'Istanbul sous les applaudissements du monde entier. Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. A la fin du match Simone Inzaghi se présente en conférence de presse pour analyser la finale perdue face à City. Voici ses propos recueillis. La tête haute mais avec des regrets ? "C'est vrai qu'il y en a, la défaite est la pire des choses dans le sport, les gars ont été déçus mais ils doivent être fiers du match qu'ils ont joué. On ne méritait pas de perdre, on a joué contre un super adversaire mais face à eux ils ont trouvé une grande Inter qui a fait une belle finale." Que pouvez-vous dire aux fans de l'Inter ? "Ils sont comme mes garçons, ils sont à câliner un par un, ils sont incroyables, nous avons passé de bons moments. Même dans les moments durs ils ont toujours été là et cela aurait été merveilleux pour nous de partager ce trophée avec eux contre l'équipe la plus forte du monde. Nous l'avons joué avec nos armes, il y a de la déception mais comme je l'ai dit hier, je n'aurais changé aucun joueur avec une autre personne dans le monde et maintenant le monde entier a vu pourquoi." Votre frère s'est demandé avant le match si vous alliez dormir. Mais allez-vous dormir ce soir ? "C'est le football, nous nous éloignons de ces déceptions. Une finale de Ligue des champions jouée comme ça, je me demande encore pourquoi dans ces 25 dernières minutes, le ballon n'est pas entré. Peut-être que tout était écrit, nous n'avons pas pu changer quelque chose mais il faut qu'ils aient la tête très haute, ils ont fait un parcours incroyable. City le méritait mais ils ont affronté une super Inter qui les a mis dans les cordes dans la dernière demi-heure. On le méritait mais j'ai félicité Pep. Ils s'approchaient de plus en plus du but, mais je les aurais volontiers fait patienter un peu plus longtemps." Liverpool vous a peut-être conduit à cette finale. Mais cette finale, pourra-t-elle nous amener au bout ? "C'est un long périple mais je le pense absolument. Nous avons montré que nous pouvions le jouer de la meilleure façon possible. Nous n'avions pas atteint les huitièmes de finale depuis très longtemps, l'année dernière, nous avons trouvé Liverpool et j'aurais volontiers rejoué le match retour. J'avais déjà perçu que cette équipe aurait pu faire plus sans penser aux 12 dernières années. L'équipe a grandi, acquis de la mentalité, de l'expérience, nous allons réessayer avec autant de fierté que nous l'avons fait cette année et l'année dernière. Nous avions rencontré le Real Madrid et Liverpool qui ont disputé la finale et en 4 matches ils ne nous ont pas laminés." Est-ce que tout s'est passé comme prévu ou est-ce que quelque chose d'inattendu s'est produit ? Que pensez-vous du but manqué de Lukaku ? "Lukaku, Dimarco, Gosens, on a eu beaucoup d'occasions. C'était le plan de match, je dois revoir la première mi-temps mais peut-être qu'on aurait pu faire encore mieux. En seconde mi-temps, dans une finale à fort enjeu, on a développé le jeu très bien mais ça me rend fier d'avoir affronté Manchester City comme ça. Onana a fait un arrêt sur Foden et rien d'autre, c'est une grande satisfaction." Le monde entier a vu de quoi Inzaghi est capable maintenant, vous êtes un entraîneur de niveau international maintenant. "Le temps nous le dira. Je suis fier des progrès réalisés par ces garçons et de la façon dont ils ont joué le match contre City. Le monde entier a dit que City le méritait, j'ai dit aux garçons que ce serait un match très équilibré. Tout s'est décidé sur un épisode, il fallait être bon et chanceux pour le trouver, mais c'est comme ça. Il y a beaucoup de déception mais j'ai embrassé tous les gars et j'aurais aimé le faire aussi avec les nombreux fans qui nous ont donné quelque chose en plus. Des émotions uniques. Nous avons disputé de nombreuses finales cette année, et cela peut nous habituer à jouer à des matchs comme celui-ci, et ce soir nous l'avons vu." Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Les mots de Steven Zhang sur Sky après le KO amer en finale de la Ligue des champions contre City. Déçu ? "Gagner et perdre fait partie du sport. Je tiens à féliciter tous les membres de l'Inter : ils se sont tous donnés à 100 %. Et je félicite City pour une excellente saison. Nous sommes fiers d'avoir atteint la finale et de jouer contre les meilleurs, également pour pouvoir montrer nos qualités sans crainte, quel que soit le résultat final." Personne ne pensait que l'Inter était si proche de City... "Je pense que la mentalité et la qualité de nos garçons sont de haut niveau. Nous ne sommes inférieurs à personne et tout le monde l'a vu ce soir." Comment redémarrer ? Avez-vous déjà parlé à Inzaghi ? "Une saison positive sur laquelle réfléchir et nous avons déjà commencé à travailler pour l'avenir depuis un certain temps maintenant. Les joueurs qui ont fait une bonne saison continueront avec nous et nous serons heureux de les soutenir. Une campagne de transfert ne peut pas être planifiée sur un jour..." Que pouvez-vous nous dire sur les étapes pour l'avenir ? "C'est important de rester compétitif en retenant les meilleurs joueurs. Aujourd'hui on a montré qu'on méritait la finale et qu'on était vraiment fort. Tout le monde pensait qu'il n'y aurait pas de match... On est vraiment fiers de ce résultat, une finale doit toujours avoir un gagnant et un perdant, mais nous sommes très confiants de ces bases." La moyenne d'âge est assez élevée : pouvez-vous vous ressourcer tout en gardant un niveau élevé ? "J'ai appris du football qu'une équipe qui gagne a besoin d'un mélange de jeunes et d'experts. Là on y est arrivé, puis en finale vous gagnez ou perdez, mais c'est toujours une question d'équilibre et nous essayons de le viser chaque année." Qu'allez-vous faire de Lukaku ? "Il a montré un grand attachement à l'Inter. C'est un garçon incroyable. Il a un contrat avec Chelsea et il faudra leur parler." Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. Alors que les rumeurs concernant son intérêt pour l'Inter continuent, Thomas Zilliacus ne fait rien pour les apaiser. Le magnat finlandais, que beaucoup disent qu'il serait intéressé par le rachat du club, a commenté sur Twitter la finale de Ligue des champions perdue par les Nerazzurri face à Manchester City. "Si la finale avait été un match de boxe, l'Inter aurait largement gagné aux points. Mais c'est le football que les Nerazzurri ont malheureusement perdu malgré l'excellente tactique employée par Simone Inzaghi et une performance fantastique de ses joueurs. Forza Inter." Déjà à la fin de la première mi-temps, Zilliacus avait salué la performance de la formation d'Inzaghi. Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Il Giornale a interviewé notre ancien président Ernesto Pellegrini et a recueilli son ressenti avant la finale de la Ligue des champions à Istanbul. Malheureusement, vous ne pourrez pas assisté au match. "J'ai été invité mais malheureusement je n'ai pas pu y aller car j'ai quelques problèmes personnels. Ainsi, je préfère rester ici au calme, et le voir à la télé. Bien sûr, je suis désolé, j'étais présent à Madrid et l'Inter a gagné, espérons qu'ils gagnent cette fois aussi. De toute façon, je ne joue pas et je ne peux pas influencer le résultat, disons-le. Bien sûr c'est un match difficile, je n'ai pas de doutes. L'Inter n'est pas favorite. City est considéré comme une équipe d'une autre planète. Cependant je suis confiant car j'ai très bien vu notre équipe ces derniers mois tant physiquement que mentalement. Nous pourrions avoir une vraie surprise." Qui voudriez-vous aligner ? "Le coach s'en chargera. Heureusement qu'il est très bon, positif, et dans les matchs à élimination directe, ceux où on gagne ou on perd, il a aussi de la chance. Alors je lui fais confiance aussi..." Par rapport à "votre" Inter, quelles différences voyez-vous ? "Une équipe un peu différente... Pendant mon temps, l'Inter n'avait que 3 étrangers car à l'époque seuls trois pouvaient jouer. Mieux ou pire? Trois peut-être pas, mais peut-être 5 serait le nombre parfait. Une équipe composée uniquement d'étrangers n'est pas beau à voir, ce n'est pas une grande satisfaction pour quelqu'un qui est né fan de l'Inter, mais c'est comme ça maintenant... avant c'était un autre type de football, Rummenigge, Matthäus, Brehme... Cependant, j'espère aussi célébrer cette victoire car le 16 juin nous aurons une soirée avec 400 personnes au dîner et un concert de Gianna Nannini pour les 58 ans de la Fondation Pellegrini." Comment est le football italien selon vous ? "Hormis l'équipe nationale qui n'a pas eu beaucoup de chance, la Roma, l'Inter et la Fiorentina se sont qualifiées pour la finale. Bref, les équipes italiennes se sont très bien comportées sur la scène européenne. Il ne manque pas grand-chose. L'équipe nationale de Mancini a besoin de récupérer un peu." Que pensez-vous du San Siro ? "Il ne faut pas le démolir. C'est un monument, il y a trop de souvenirs de l'après-guerre à aujourd'hui. C'est un beau stade, il y avait tellement de rêves. J'aimerais qu'il ne soit pas démoli." Avec qui verrez-vous le match ? "Avec mon gendre, un grand fan de l'Inter. Et avec mon neveu Guglielmo qui a 7 ans et demi. Il vient toujours avec le maillot de l'Inter et dit à ses amis que quand il sera grand, il veut être président de L'Inter comme son grand-père bien-aimé Ernesto. Et il est né le jour de la fondation de l'Inter, le 9 mars, est-ce un signe du destin ?" Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. Simone Inzaghi s'affiche aujourd'hui en conférence de presse à la veille du match contre Manchester City. L'entraîneur répond aux questions des journalistes. Voici ses propos rapportés en direct sur FcInterNews.it. Qu'attendez-vous de ce match ? "Nous savons quel match nous devrons jouer. City est l'équipe la plus forte du monde, ils l'ont prouvé même dans les très rares défaites qu'ils ont subies. Cependant, nous connaissons notre chemin, nous sommes fiers d'être ici et nous ferons tout pour être pleinement concentrés, en limitant les erreurs car nous affrontons une équipe très forte." Être un outsider vous a-t-il encore plus rapproché ? "Demain sera le 57e match pour nous. Un très long voyage dans lequel nous avons eu des moments difficiles et nous avons grandi à travers des défaites méritées et imméritées. Nous avons perdu des joueurs importants pendant longtemps, mais les garçons se sont tous ressaisis et avec un engagement fou, nous sommes arrivés à Istanbul. Dans la dernière période, nous avons eu peu de temps pour réfléchir à ce que nous avons fait car nous devions affronter la finale de la Coupe d'Italie et arracher la qualification pour la Ligue des champions. Nous sommes très concentrés sur le combat contre un adversaire vraiment fort." Le milieu de terrain sera-t-il la clé ? "Ce sera très important mais au-delà de ça demain les jambes, la tête et le coeur seront importants. Les jambes pour faire une course de plus, la tête pour la lucidité car l'approche sera fondamentale, le coeur car dans ces matches c'est ça qui vous fait trouver une énergie que vous ne pensiez pas avoir." Vous avez la possibilité d'écrire l'histoire. "Absolument, ce sera difficile mais nous allons essayer. Ensemble, c'est le mot qui nous a amenés ici et c'est le mot avec lequel nous jouerons la finale." Votre frère Pippo dit qu'il n'est pas sûr que vous dormirez. "Nous savons ce que ce match représente pour l'Inter et nos supporters qui nous ont beaucoup aidés dans cette route européenne. Les deux derbies en demi-finale sont l'emblème mais je n'oublierai pas Plzen, Barcelone, Porto. Demain ce match et ce sacrifice supplémentaire, nous le devons à nos fans." Comment avez-vous maintenu cette tranquillité dans le groupe ? "J'ai la chance d'entraîner un groupe de vrais hommes que je ne changerais avec personne. Ce groupe me procure une grande joie et nous l'avons également donné à nos fans. Les garçons sont sereins, ils s'entraînent au mieux. Nous avons des doutes sur certains joueurs, Mkhitaryan et Correa qui semblent se remettre." Comment va Mkhitaryan ? "Aujourd'hui, c'est la dernière séance d'entraînement. Hier, il a fait son premier set complet après 22 jours. Il y a de bonnes sensations mais je déciderai." Avez-vous lu les mots du président sur votre « force tranquille » ? "Ils me font plaisir après un parcours avec des trophées et des victoires mais il y a aussi eu des moments difficiles et vos appels téléphoniques m'ont toujours donné une grande force. Il en va de même pour mon staff." Que ferez-vous demain pour canaliser Haaland ? "Nous connaissons la force de City et Haaland. Clairement, il sera un élément spécial comme tous leurs joueurs. Nous avons préparé quelque chose mais toute l'Inter devra se défendre et devra le limiter lui et tout le City." Cette défense de City concède peu. Qu'en pensez-vous? "C'est une défense solide qui a concédé très peu en Ligue des champions. Ils ont construit d'une manière et défendu d'une autre ces derniers temps mais nous savons qui nous rencontrerons demain. Nous essaierons de jouer le jeu dont nous avons besoin en une finale." Comment vous êtes-vous préparé aux tirs au but ? "Nous les avons toujours essayés au cours de l'année et nous le ferons encore aujourd'hui." Les deux autres équipes italiennes ont perdu leur finale. Pensez-vous que vous devez montrer quelque chose de différent pour le football italien ? "Ce serait important pour tout notre mouvement. Je suis désolé pour la Roma et la Fiorentina qui ont malheureusement perdu. Quelle que soit la fin, je pense que cette année, une étape importante a été franchie avec trois finalistes italiens. C'était un signal formidable." Qui alignerez-vous demain entre Brozovic et Mkhitaryan ? "Au cours des deux derniers mois, j'ai dû faire des choix, malheureusement dans les cinq premiers mois, je n'ai pas pu le faire comme maintenant. Pour demain, nous évaluerons l'état de Mkhitaryan qui ne peut pas être à 100%. Mais hier, il a donné bons résultats." Vous êtes un spécialiste de la coupe, comment préparez-vous psychologiquement les joueurs ? "J'ai la chance d'entraîner des joueurs qui savent jouer ces matches car nous n'avons pas de joueurs qui ont atteint la finale. Cependant, beaucoup ont joué des matches importants. Nous avons des champions du monde et d'Europe. Il nous faudra clairement être très lucide et bon, bien gérer les détails car ils font la différence dans ces matches." Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Notre ancien Imperator croît en la victoire de l'Inter contre City... et voici la preuve! Adriano croit que l'Inter terminera championne d'Europe. Et il en est tellement sûr qu'il mise sur le succès final des Nerazzurri à Istanbul. En effet, via son profil Instagram, il a fait savoir qu'il avait parié environ 2000 € sur la victoire des Nerazzurri en finale de la Ligue des Champions face à Manchester City. S'il réussit son pari, notre ancien Imperato qui sera en Turquie en tant que chroniqueur pour TNT Sports , empochera environ 14 000 €. Merci Adriano... mais ne parions pas notre maison ou notre appartement quand même Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Thymoté Pinon décrypte ce principe de verticalité, signature du jeu de l'Inter Milan de Simone Inzaghi. Nommé à la tête de l'Inter Milan en 2021 pour prendre la suite d'Antonio Conte, Simone Inzaghi s'est inspiré du système de jeu de son prédécesseur en reprenant notamment le principe de projection rapide en attaque. Un style de jeu engagé et volontaire qui comporte aussi quelques failles. Si on attendait bien Manchester City en finale de la Ligue des champions, on s'attendait moins à voir l'Inter Milan face aux Mancuniens. Il y a deux ans, l'équipe milanaise, désormais entraînée par Simone Inzaghi, était au bord du gouffre au niveau financier et enregistrait le départ de nombreux cadres de l'équipe (Eriksen, Lukaku, Hakimi) mais surtout de son maître tacticien, Antonio Conte, en partance pour Tottenham. Mais, sans révolutionner le jeu de l'Inter, Simone Inzaghi a permis au club de se maintenir à un très haut niveau en remportant notamment deux Coupes et deux Supercoupes d'Italie. Il s'est notamment appuyé sur l'héritage d'Antonio Conte en reprenant un de ses grands principes de jeu : la verticalité. Le technicien italien s'appuie sur une grande capacité de projection vers l'avant de son équipe. Un système de jeu efficace en attaque mais qui peut se retourner aussi contre l'Inter dans des phases de transition. Source: Thymoté Pinon et Valentin Gouriou, l'Equipe. Voir l'article ici.
  23. L'Inter se prépare pour la finale de la Ligue des Champions et lance sur sa boutique en ligne le kit qui sera porté par Lautaro et ses associés lors du match contre Manchester City. Le nouveau maillot, enrichi du sponsor Paramount+ et de l'écriture dorée qui rappelle la finale à Istanbul, de l'écusson Coupe d'Italie et de l'écusson Ligue des Champions, est proposé au prix de 104,99 euros (sans nom ni numéro). La version de base, sans sponsors et sans patchs, coûte 89,99 euros. Le maillot de match Home Stadium célèbre les valeurs historiques de l'Inter en embrassant la tradition avec le retour des rayures classiques noires et bleues, inspirées du design des années 60, et renforce le lien avec la ville. En effet, à l'intérieur du col il y a un écrit avec le nom de Milan. Le nouveau Home Kit est complété par un short et des chaussettes noirs. Le maillot, en polyester recyclé, est en tissu respirant avec la technologie Nike Dri-Fit qui favorise une évaporation rapide de la sueur afin d'assurer un confort et une fraîcheur idéale. Il est possible de personnaliser le maillot avec le nom et le numéro de notre joueur préféré et ajouter le patch Lega Serie A 2022-2023. Traduction alex_ja via FCInterNews.
  24. Juste avant la finale contre City, voici le long entretien que Steven Zhang a accordé à la Gazzetta dello Sport. Un rêve ? "Pour être honnête, j'en avais rêvé. Et je pensais, en regardant le moment du football et les différences entre certaines ligues, qu'il serait difficile d'atteindre un tel objectif. L'Inter m'absorbe complètement. Je vis le club avec une énorme intensité mais je m'implique rarement dans les aspects techniques ou tactiques concernant l'équipe. Je n'en parle même pas avec Inzaghi dont je respecte tous les choix. En tant que président, je déteste tous ceux qui veulent m'apprendre à gérer mon propre club et donc je ne fais pas la même erreur avec les autres, c'est logique." Concernant Skriniar, était-ce une erreur de le garder ? "Skriniar a toujours été l'un de mes joueurs préférés. Nous avons tout fait pour que la meilleure équipe gagne. Mais je répondrai à cette question après la finale… Avant le match contre City, je ne trouve pas approprié de parler d'individus. Avec le club, l'équipe et les supporters, nous sommes désormais un seul corps, tous concentrés sur le défi de demain." Cependant, vous pouvez au moins confirmer une anecdote sur Lukaku. En septembre, il aurait prédit : "Président, ne dites jamais jamais, nous atteindrons la finale de la Ligue des champions." C'est vrai? "Oui, j'ai souri en pensant 'il est fou'. Mais il avait raison." Romelu a-t-il obtenu confirmation avec cette heureuse prédiction ? "Pas de questions sur les joueurs, s'il vous plaît..." Et on arrive à Inzaghi... "Si Conte a été le plus 'difficile', Simone est le plus simple. Il a un grand sens de la gestion et insuffle un calme incroyable. Quand je le vois avant les matchs, je suis plus tendu que lui. Inzaghi a été un cadeau pour moi. Et c'est l'homme de la finale de la Ligue des champions. On se demande souvent qui est le meilleur ou le plus brillant entraîneur. Je pense que ce sont les mauvaises questions. Chaque club a une histoire différente. Le travail d'un entraîneur dépend de la phase que traverse le club, des joueurs disponibles, de beaucoup de choses. Le football n'est pas une science exacte." L'idée d'embaucher un top man comme Guardiola n'est-elle pas fascinante pour un président ? On vous promet de ne pas titrer "Zhang rêve de Guardiola". "C'est un très bon entraîneur capable de gagner partout où il est passé, ce serait certainement un plaisir de travailler avec lui, mais je préfère choisir des entraîneurs avec une expérience en Serie A." Au début de la saison, une banderole "Zhang casse-toi" était affichée sous le siège. En repensant aujourd'hui que vous êtes en finale de la Ligue des champions, quel est votre sentiment ? Vengeance ? "Non. D'abord, il faut dire que les manifestants étaient vraiment un tout petit groupe, et puis que le football, comme la vie, a des hauts et des bas : il y a des phases à problèmes et des phases de joie. Ça fait partie du jeu. Le travail d'un président ou d'un CEO est similaire à celui d'un coach : souvent on est seul, et il faut l'accepter." Avez-vous préparé des discours de motivation pour l'équipe ? "Ce n'est pas nécessaire. Les résultats du mois dernier ont contribué à augmenter la conviction et l'énergie. Tout le monde à l'Inter est concentré sur cet événement dont nous voulons profiter pleinement." City est l'équipe la plus forte du monde, les craignez-vous ? "Je respecte profondément City, une équipe magnifique. Mais nous avons la qualité pour les affronter. Ces dernières années, plus l'adversaire était fort, mieux nous nous sommes comportés. L'Inter encaisse avec des équipes fortes. C'est contre celles qui sont moins compétitives que nous avons perdu des points." On l'a vu en championnat. Regrettez-vous les trop nombreux faux-pas qui vous ont empêché de combattre pour le Scudetto ? "C'était difficile de garder une concentration élevée dans toutes les compétitions. La fatigue s'est installée, plus mentale que physique. Mais nous devons jouer pour une finale, pensons-y maintenant." Passons aux aspects financiers. Prêt Oaktree : quelle est la situation ? "C'est un fonds important géré par des gens très professionnels. Nous avons l'intention de renégocier le prêt. Nous trouverons ensemble une solution pour le refinancement." Les fans peuvent-ils être rassurés ? Le projet Inter avance-t-il avec de grandes ambitions ? "Tant que je serai ici, il y aura une Inter stable et compétitive." L'Inter aura-t-elle un sponsor principal l'année prochaine ? Et sera-ce Qatar Airways ? "Nous avons trois ou quatre candidats. Je ne peux toujours pas dire lequel sera choisi. Nous voulons une marque stable et adaptée à l'Inter." Aujourd'hui, il existe de nombreuses propriétés étrangères en Italie : Suning, groupes américains, fonds. Mais le sentiment est qu'il n'y a toujours pas de grande intégration avec les clubs italiens qui permettrait un changement de rythme en Serie A et une modernisation du système. "Ce n'est pas facile de changer un état d'esprit. Cela prend du temps." Nouveau stade : où en sommes-nous ? "C'est le même problème que les droits TV. Il y a de la difficulté à accepter de nouvelles choses et à changer de rythme. L'Inter et Milan sont deux clubs concurrents mais avec le même objectif de croissance. Un stade partagé garantirait cela plus que deux sites. Cela a toujours été notre idée. Milan, en revanche, a changé 4 propriétaires et autant d'idées." Mais si Milan le fait tout seul, l'Inter pourrait-elle rester à San Siro ? "Non, notre priorité est un nouveau stade, avec ou sans Milan." Demain se jouera la compétition la plus importante de l'UEFA. L'Inter avait été parmi les créateurs de la Super League mais aussi la première à abandonner le projet le soir où l'affaire a éclaté. "La Super League n'avait pas le bon format mais c'était une tentative d'innover et de changer. Elle était particulièrement utile pour les clubs italiens qui étaient derrière les autres. Mais nous ne voulions pas entrer en conflit avec l'UEFA. Et la Ligue des champions reste le meilleur tournoi possible aujourd'hui." Au rez-de-chaussée se trouve la salle des coupes. Au centre se trouve la Ligue des Champions 2010. A quel point rêveriez-vous d'en ajouter une à vous ? "J'ai pensé plusieurs fois dans ma tête à ce que cela aurait été de gagner une Ligue des champions. Mais même rêver de gagner cela semblait impossible... Maintenant que nous sommes en finale. Cependant, nous tous dans le club ont une incroyable envie d'essayer. Et nous sommes unis. Comme il l'a dit Inzaghi : nous n'avons pas peur, il n'y a qu'une grande excitation qui nous attend pour jouer ce match. Nous y croyons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. Pep Guardiola, entraîneur de Manchester City, s'exprime sur le site officiel de l'UEFA avant la finale de la Ligue des champions. "Nous allons à Istanbul pour réaliser un rêve et nous allons essayer de faire un bon match. Nous avons eu l'occasion il y a deux ans et nous ne l'avons pas fait alors que l'année dernière, nous l'avons manquée de peu. Cette année, nous Nous allons essayer de faire de notre mieux. Nous aborderons ce match comme nous le faisons toujours en Premier League, nous veillerons à ce que les joueurs soient concentrés sur ce qu'ils ont à faire, rien d'autre." "Cette compétition m'a apporté plus que je n'aurais jamais pu imaginer. Si ma vie se terminait aujourd'hui, j'en aurais gagné une en tant que joueur du club que j'aime tant et deux en tant que manager. Cela m'a apporté des moments tristes et de grandes joies. C'est comme ça que ça marche, la vie, et aussi le sport. Nous devons accepter que pour les autres, tout ce que nous avons fait ces dernières années n'a aucun sens si nous ne remportons pas ce trophée. Nous allons réessayer et le plus important est de revenir ici dans quelques années. C'est ce qui fait de vous un grand club : vous allez toujours jusqu'au bout, et il arrive que tôt ou tard vous gagniez. L'échec n'existe pas dans le sport. Admettre que vous avez échoué, c'est comme dire que ton adversaire ne vaut rien: n'est-il pas possible qu'il ait mieux joué ? Il suffit d'essayer, le sport c'est comme ça. Réessayez et relevez-vous." Traduction alex_j via FCInterNews.
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