Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'università bocconi di milano'.
3 résultats trouvés
-
"Les modèles de gouvernance ont évolué. Auparavant, le secteur du football était géré par les magnats pour la subsistance du club, et les revenus étaient liés aux revenus du stade et aux coûts découlant des dépenses des joueurs. Maintenant, les modèles de gouvernance ont évolué et nécessitent des modèles scientifiques et qui se sont naturellement appliqués dans d'autres secteurs comme les services ». C'est l'un des concepts exprimés par Alessandro Antonello, PDG Corporate de l'Inter, interviewé par TMW en marge du débat "Football, argent contre idées" organisé à l'Université Bocconi de Milan. "Le monde du football exige désormais un haut professionnalisme. Le football est en tout cas un secteur atypique, car d'une part il doit garantir la compétitivité sportive et d'autre part la durabilité et la protection du système où il ne doit pas y avoir de situation de monopole. Le football moderne au niveau des entreprises a changé dans les années 80, avec des parrainages et des droits de télévision. Une loi a également été insérée où les équipes professionnelles sont devenues des sociétés à but non lucratif. Un autre moment fondamental a été la loi Bosman, avec la libre circulation des travailleurs au sein de la monde du football. Qui est maintenant une industrie du divertissement où la concurrence est mondiale. L'Inter s'affronte pour conquérir des joueurs libres, nous devons saisir ces opportunités pour les fans." La discussion passe ensuite au thème des investisseurs Internationaux : « Nous sommes un exemple, il a donné de la stabilité au projet exécutif et a mis en place une stratégie claire. La dimension a changé: Du domestique au global. Il y a eu une contamination culturelle, nous sommes une entreprise mondiale qui, cependant, doit également agir au niveau local. Du patronage de la famille Moratti, nous sommes passés à la direction actuelle, qui a soutenu d'importants investissements pour l'équipe et le cœur du métier a également changé étant donné que aujourd'hui l'entreprise est aussi dans le secteur du divertissement en faisant un parcours important en transformant une icône du monde du football comme l'Inter à une dimension de style de vie liée par exemple au design et à l'innovation. Notre président Zhang, le plus jeune du club, a rapproché les nouvelles générations. Il ne faut pas s'effrayer des investisseurs venus de l'étranger, l'effort que doivent faire les managers est de combiner les différents aspects globaux et locaux. Suning a une activité développée dans la zone Asiatique mais il y a aussi d'autres investisseurs qui essaient de prendre un potentiel dans le monde du football qui ne s'est pas encore exprimé à un niveau supérieur. Il existe également des multipropriétés, où les investissements ont lieu non seulement dans un pays. L'exemple est Manchester City qui possède des clubs partout dans le monde." Il est également impossible de ne pas aborder le sujet de San Siro : "Le phare qui nous a guidés dans le projet commun est la durabilité. Il n'y a pas de projet qui n'ait pas cette idée en son cœur. Aujourd'hui, San Siro ne résiste pas aux nouvelles valeurs de durabilité" rapporte Calcio et Finance, qui recueille ensuite également les mots sur l'Euroderby à venir :" Avoir une demi-finale de Ligue des Champions à Milan doit être une fierté non seulement pour la ville, mais pour tout le système. Nous sommes en train de vivre des jours d'excitation sensationnelle, des messages d'estime arrivent du monde entier. Aujourd'hui, le football Italien tant décrié a mené cinq équipes en demi-finales des Coupes, de temps en temps, en tant qu'Italiens, nous devrions également regarder du bon côté. On est toujours très hypercritique, on sait qu'on a un boulot important pour combler l'écart avec les autres grands Championnats. Précisément parce que nous avons ces difficultés, bien que dans le mauvais sens, les principaux clubs Italiens ont rejoint le projet Super league. Nous avons reconnu qu'elle était erronée dans la manière dont elle était énoncée, même si c'était une voie qui aurait dû naître au sein des institutions. De cette expérience négative a commencé un processus d'idées innovantes qui envisagent l'avenir du football dans une configuration différente. Nous pensons que les clubs Italiens doivent être représentés au niveau Européen, mais il doit y avoir un équilibre compétitif et une solidarité." Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
-
- 3
-
-
-
- alessandro antonello
- inter
- (et 11 en plus)
-
Javier Zanetti, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré au cours d’une longue interview sur Instagram pour le compte de Gente Argentina: Quelle est la chose qui te manque le plus de ta carrière de footballeur ? "Ce qui me manque le plus ce sont les entraînements, la vie quotidienne, être avec mes équipiers, être entre pote avant l’entrainement...... Certaines semaines, nous organisions des barbecues d’équipe après l’entrainement." Quel type de joueur étais-tu ? "Très généreux et multifonctionnel, je donnais toujours tout ce que j’avais, aussi bien pour l’Inter que pour l’équipe d’Argentine. La vérité est que j’ai toujours eu une grande culture du travail et un très grand respect pour ma profession, j’ai toujours été comme ça." Tu as été Capitaine en évoluant au poste de latéral : de mémoire, il n’y a pas un grand nombre de défenseurs qui sait occuper cette position...... "C’est un poste difficile, mais j’ai tout donné pour l'équipe nationale, même si je ne suis pas parvenu à gagner de titre, ma vraie victoire est celle d’avoir joué durant très longtemps avec la Nazionale Argentine." En quoi cela consiste le fait d’être Vice-Président d’un club aussi puissant que l’Inter ? "Je travaille avec une vision à 360°, là où le club a besoin de moi: je réponds présent. Je suis une ressource de Markéting, de projet sociaux, d’Ambassadeur du Club lorsque l’on voyage au Japon, aux Etats-Unis, partout là où il m’est demandé de m’y rendre. J’apporte une continuité dans la transmission des valeurs de l’Inter." Que pensez-vous des argentins Lautaro Martinez et Joaquin Correa, deux personnalités de l’Inter qui font partie de la Nazionale Argentine qui a remporté la Copa America ? "Je suis fier qu’il y ait les deux argentins chez nous. Nous avions suivi longtemps Lautaro et nous voulions l’engager, nous avions cette vision futuriste : Nous savions qu’il pourrait devenir le joueur qu’il est devenu à présent. Lautaro grandi années après années et cela me rend fier car lorsque tu investi sur un jeune, tu t’attends à cette croissance, c’est pour nous à présent, une grande satisfaction : Nous avons eu l’œil pour engager le plus jeune joueur prometteur du football argentin à ce moment-là, c’est une fierté. J’aime qu’il soit ici à l’Inter et qu’il s’y sente comme dans une Famille: Lauti est aussi un point de référence pour la Nazionale argentine." "En ce qui concerne Correa, je suis content car lorsque je jouais encore, il était venu faire un essai pour l’Inter et nous avions pris une photo ensemble, il était bien plus petit, très jeune. Je l’ai vu grandir et il est parti dans un autre club: Il est revenu mature avec tellement d’expérience, il est très fier de démontrer ses qualités : Je suis heureux du présent de Lautaro et de Correa." Aimeriez-vous entraîner l’équipe Nationale d’Argentine ? "Non, je n’aime pas faire l’entraîneur. Lorsque j’ai arrêté ma carrière, j’ai décidé de me concentrer sur le fait de devenir un leader et un dirigeant, je me suis préparé à cela depuis que j’ai décidé d’étudier à l’Università Bocconi di Milano. J’ai étudié le Sports Manager pour avoir non seulement une vision sportive, mais également une vision à 360° qui me permet d’apporter ma contribution à mon club, aussi dans d’autres secteurs : J’ai étudié le Marketing, les Relations Internationales, le Management." A quel âge avez-vous repris vos études ? "A 41 ans, je venais à peine d’arrêter de joueur que je suis rentré à l’Université. Lorsque l’on m’a dit : "Tu vas devenir le Vice-Président de l’Inter", j’ai répondu "D’accord, je suis fier, c’est une grande nouvelle". Mais en même temps c’était synonyme de grandes responsabilités, je voulais être prêt. Je ne voulais pas que ce que j’ai réalisé sur le terrain de jeun me donne un avantage, j’ai décidé de reprendre tout à zéro." L’Argentine peut-elle être candidate à la victoire finale lors de la Coupe du Monde au Quatar en 2022 ? "Je la vois protagoniste, le fait d’avoir remporté la Copa America lui donne un grand coup de pouce : Le groupe que je vois est très engagé, sûr de lui et je pense que l’Argentine pourra réaliser une grande Coupe du Monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 3 commentaires
-
- 3
-
-
- javier zanetti
- gente argentina
- (et 6 en plus)
-
Javier Zanetti : "Oui, j’étais très proche du Real"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Javier Zanetti a préfacé la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid au cours d’une longue interview au quotidien ibérique "Marca" Quel est votre rôle en tant que Vice-Président ? "Depuis que j’ai pris ma retraite, après 20 ans à l’Inter, j’ai eu l’envie d’élargir ma vision du Club avec un poste plus important au niveau sociétal, avec des responsabilités sociales, des relations internationales, cela va plus loin que ma contribution qui était pratiquement qu’au niveau sportif." Avez-vous dû étudier ? "Énormément, j’ai début à l’Università Bocconi di Milano, j’y ai fait un Master et je continue encore à étudier car il y a toujours des nouveautés au niveau du Marketing, des finances, du management. La chose la plus importante que j’ai compris était que je devais tout reprendre à zéro." Pourquoi vous intéresser autant à ce type de travail ? "J’aime être présent pour les personnes qui en ont le plus besoin. Je le fais depuis 20 ans avec ma Fondation "Pupi Zanetti" et j’ai voulu continuer à le faire avec l’Inter car cela fait partie de son ADN : Gagner une rencontre ou une coupe est aussi important pour moi que d’avoir des responsabilités sociales qui consistent à transmettre des valeurs humaines." Vous représentez un club très important. Comment compareriez-vous la grandeur de l’Inter à celle du Real Madrid ? "Je représente un club avec une grande histoire et c’est une très grande responsabilité. Le Real Madrid est un autre grand club de grand prestige avec une grande tradition dans les tournois internationaux. Il y a toujours eu un très grand respect entre les deux." Est-ce que vos rapports avec Florentino Perez sont bons ? "Oui, ils sont très bon, Lui et Emilio Butragueño se sont toujours bien comportés, nous avons un bon rapport depuis des années et je suis toujours heureux de les revoir. Emiliano est fantastique." Vous êtes, en Europe, un "One club man" ce qui rare et qui ne se fait plus jamais aujourd’hui…… "Je venais d’arriver d’Argentine à l’âge de 21 ans, et j’ai ensuite évolué toute ma carrière pour l’Inter: Jje ne me le serais jamais imaginé. J’espère que cette tendance reviendra, mais les temps ont changé, mais il n’y a aucun problème." Passons au match d’aujourd’hui : Le Real Madrid est-il le favori ? "Oui, affronter le Real à domicile est toujours difficile car ils savent comment gérer ce type de match. Ce qui est bénéfique c’est que nous sommes tous deux qualifiés et que nous aller jouer sans cette pression. Notre équipe réalise de très belles prestation grâce à l’optimal travail d’Inzaghi et de ses garçons. Je pense que ce sera un match à arme égale." Les Tifosi du Real risquent de penser à une Inter qui ne fait pas tellement peur: Qu’en pensez-vous ? "Non, non et non : L’Inter a son identité et elle a des joueurs de qualité qui chercheront à le démontrer aussi à Madrid. On peut gagner ou perdre ensuite, mais l’identité de l’Inter est très claire." Quel et le mérite de la propriété, dans le fait de voir à présent, une Inter qui aspire à tout ? "Avec les nouveaux propriétaires, nous avons remporté la Serie A et atteint la Finale de l’Europa League. Nous sommes de retour en huitième de finale de la Ligue des Champions après dix ans. Ils nous ont apporté de la stabilité, ce qui est quelque chose d’essentiel." Faut-il un Milan fort pour motiver l’Inter ? "Les deux équipes ont l’ambition de se montrer protagonistes, nous le faisons depuis plusieurs années et le Milan est très bon en championnat : C’est bénéfique pour tout le football italien." On joue mieux en Italie, êtes-vous d’accord ? "On cherche à être bien plus protagoniste avec une philosophie de jeu très claire. La preuve en est la victoire de l’Italie à l’Euro. C’est vrai que de nombreuses équipes cherchent à se montrer protagonistes." La Serie A gagne du terrain comparé à d’autres Ligues, cela ne fait plus aucun doute… "Lorsque je jouais en Serie A, elle était impressionnante, tout le monde voulait venir jouer ici. Pour moi, le championnat italien reste le plus difficile à disputer, ce n’est pas le cas pour tous. Le football espagnol a connu sa période et maintenant c’est la Premier League, mais oui, la Serie A est en train d’énormément grandir." Aviez-vous été proche du Real Madrid durant vos années ? Dites-le-nous…… "Oui, j’étais très proche du Real et j’ai déjà dit que je me sentais honoré de l’intérêt d’un tel club. C’était du temps de Jorge Valdano comme Directeur Sportif. Mais tous ceux qui connaissent mon Histoire savent que ma Maison est l’Inter, c’est aussi pour cette raison que je suis resté ici." Pour quelles raisons ? "L’identification avec l’Inter et le fait que je jouais dans un club avec tant d’Histoire, même si à l’époque, elle était en difficulté. Des choses ne s’étaient pas encore passés et je ne voulais pas partir sans y laisser mon empreinte. J’en étais le Capitaine et j’avais une grande responsabilité. Je voulais y rester." Dites-nous, combien de fois avez-vous joué au Santiago Bernabeu ? "Très peu de fois, et je pense uniquement à la Finale de la Ligue des Champions 2010. Une autre fois, nous avions dû jouer Madrid en Ligue des Champions à Séville car le Bernabeu était fermé. Après ma retraite, nous avons disputé un match des légendes. J’en ai aussi disputé un avec l’Argentine." Que vous rappelez-vous cette soirée de 2010 ? "C’était la soirée rêvée, l’une des plus belle de ma carrière car elle reste dans l’Histoire de mon club : J’ai soulevé la Ligue des Champions que l’Inter n’avait plus remporté depuis 45 ans." Que pensez-vous de Carvajal ? Vous étiez un spécialiste à ce poste...... "C’est un point de référence, un joueur très équilibré et qui évolue avec continuité. La preuve est que tous les entraîneurs lui font confiance." Quelle est l’image de Carlo Ancelotti, l’entraîneur, en Italie ? "Carlo est très estimé pour l’ensemble de sa carrière, pour sa façon d’être. C’est toujours un homme très calme avec des concepts très clair. Il se comporte toujours de la même façon, aussi bien en cas de victoire que de défaites. J’ai beaucoup de respect pour lui." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
-
- 6
-
-
- javier zanetti
- real madrid
-
(et 20 en plus)
Étiqueté avec :
- javier zanetti
- real madrid
- marca
- università bocconi di milano
- pupi zanetti
- florentino perez
- emilio butragueño
- simone inzaghi
- suning
- serie a
- europa league
- ligue des champions
- milan ac
- italie
- euro 2020
- premier league
- jorge valdano
- stade santiago bernabeu
- ligue des champions 2010/2011
- argentine
- dani carvajal
- carlo ancelotti