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  1. Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Romelu Lukaku et Lautaro Martinez se sont respectivement livrés à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Notre Romelu Lukaku s’est livré à CNN au cours d’une longue interview justifiant aussi la raison pour laquelle il regarde vers le ciel à chaque but: En effet, son grand-père est décédé lorsqu’il avait 12 ans, soit quatre avant ses débuts au Rsc Anderlecht : "Je lui avais promis que j’allais prendre soin de ma mère lorsque j’avais 12 ans et j’ai tenu parole, et chaque fois que je regarde ma mère, je le vois dans les tribunes, je regarde vers lui après chaque but." Est-ce que disputer la Finale de la Ligue des Champions signifierait aussi quelque chose pour votre grand-père ? "Cela voudrait dire beaucoup, lorsque je regarde mon fils, je retrouve tellement de lui c’était mon numéro 1 et c’était mon plus grand fan (il est très ému). Je n’avais pu, que regarder jusqu’à présent quelques finales de Ligue des Champions, mais à présent et Grâce à Dieu, je peux en jouer une. Être dans cette position maintenant, avec ma famille sur place sera quelque chose de très beau car ce sera comme boucler la boucle." Une Inter Fraternelle En effet, lors de la pandémie liée au Covid-19, une sorte de Fraternité s’est créé entre les joueurs et on retrouve encore, à l’heure actuelle cette base dans le noyau: "C’était un moment émouvant car nous avions passé beaucoup de temps ensemble, en tant qu’équipe. J’ai passé beaucoup plus de temps avec mes équipiers durant cette périodes qu’avec mon fils ainé…. C’était jouer, rentrer à l’Hôtel, rester dans la chambre, regarder les matchs ensembles, des choses comme ça." Ce lien peut être rappeler celui de l’état d’Esprit qui entourait l’Inter de Mourinho auréolé du Triplé en 2010 ? "C’est assez similaire et pour être honnêtes pour être honnête, ce qui est amusant, c'est que beaucoup de ces joueurs de l'équipe de 2010 viennent voir nos matches et ressentent la même chose. Ce sera une très belle rencontre, nous allons jouer face à ce qui est probablement la meilleure équipe du monde : Je veux seulement en profiter, sans pression, profiter du moment et aller là-bas pour réaliser le meilleur résultat possible." Haaland? "Je pense qu’il dominera le football mondial comme Mbappé pour la prochaine décennie : Ils vont prendre la relève de Messi et Ronaldo au cours des deux prochaines années, mais City n’est pas qu’Haaland, c’est une équipe bien entrainée et Guardiola est un excellent entraineur car il adapte à chaque match un plan de jeu différent, il propose diverses dispositions tactiques en cours match en sachant qu’en jouant de cette façon, cela ouvrira pour Haaldand des brèches dans la défenses. En ayant ce type de mouvement et de schéma de jeu très bien synchroniser, tu as des chances de marquer." Romelu à Sky Sport La Finale d’Istanbul "Je savais que l’on en était capable et je l’avais dit au Président. Finalement, nous sommes arrivé en Finale et je suis très heureux. Il m'a envoyé un émoticône quand j'ai dû revenir à l'Inter. Un joueur doit toujours avoir confiance en l'équipe. Nous avons mérité d'avoir cette opportunité, nous espérons réaliser notre rêve." Nulla è impossibile? "C’est notre Slogan vu que tout le monde donne City pour favori." Comment affronter City ? "Nous devrons être très compact défensivement mais aussi montrer que nous n’avons pas peur de City. Je pense que l’entraineur et son staff vont bien analyser la rencontre et que nous serons prêts." Avez-vous envie d’être titularisé ? "Les personnes savent, à présent, ce que je suis capable de faire à nouveau mais l’Inter est la plus importante, l’entraineur doit faire les choix: Ce n’est pas une réponse politique, cela regarde l’Inter et je veux que l’Inter gagne : Nous devrons tous répondre présent." Et votre futur ? "On en reparlera après la Finale." Le Saviez-vous ? Pour Romelu Lukaku, son expérience chez les Blues est pour dire terminée : Il n’a plus envie d’y retrouver même en cas de consécration européenne. Mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, au 30 juin prochain, il sera de retour à Londres après son prêt annuel et une négociation aura lieu entre l’Inter et Chelsea Si Mauricio Pochettino pense à d’autres profils d’attaquant pour construire sa créature, Romelu pourrait servir de monnaie d’échange, avec dans le viseur un certain Dusan Vlahovic. Toutefois, Romelu ne jure que par l’Inter et pour parvenir à un prêt bis et sur une éventuellement diminution de la charge Nerazzurro du prêt, bien plus que le travail diplomatique qui s’annonce entre les deux clubs, ce sera la volonté de fer de Romelu qui fera la différence… "Et l’Histoire récente nous apprend que lorsque le belge à un objectif en tête, il fait tout pour y parvenir…Et il pourrait être encore plus têtu auréolé du titre de Champion d’Europe !" Lautaro Martinez Lauti s’est livré à Uefa.com à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Son But au Milan "C'est l'un des plus importants de ma carrière. Pas à cause de sa beauté, mais à cause de son importance, de son ampleur et de l'histoire qui se cache derrière", les yeux rempli fierté. Marquer un but est toujours très spécial, alors imaginez à quel point c'est spécial lors d’un match comme celui-là.L'important, c'est que mes coéquipiers aient apprécié, les supporters aussi, et que cela ait permis à l'équipe d’être sereine. Nous savions que s'ils marquaient un but, les choses pouvaient changer rapidement, il était donc important de réduire l'anxiété et de se détendre." A propos de la finale contre Manchester City "Il ne fait aucun doute que c'est l'une des meilleures équipes du monde. Ils jouent un football que j'aime beaucoup et ce seront des adversaires très difficiles à affronter. Mais nous avons affronté des équipes très difficiles lors de la phase de groupe et de la phase à élimination directe et nous nous sommes très bien comportés." "Nous devons essayer d'en profiter, car une finale de Ligue des champions ne se joue pas tous les jours. Tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de travailler dur et de jouer aussi bien que possible, en espérant que la meilleure équipe gagne et que nous soulevions le trophée à la fin du match." Sur la relation entre l'Inter et l'Argentine "Dès mon arrivée dans ce club, on m'a fait sentir que je faisais partie de la Famille, que j'avais grandi ici, et c'est très important pour un joueur. Je savais qu'il y avait toujours eu beaucoup d'Argentins ici, comme Milito, Zanetti, Cambiasso et Samuel, qui ont effectué un travail extraordinaire dans ce club. C'est une grande responsabilité de porter ce maillot. Je suis très fier de ce que j'accomplis ici et je ne cesse de répéter que je dois continuer à fournir des efforts". A propos de Dzeko et Lukaku "Ce sont deux joueurs très différents. Edin aime avoir le ballon, il recule et relie ses coéquipiers, tandis que Romelu a tendance à attaquer les espaces et à se faire suivre par les défenseurs pour créer de l'espace pour le deuxième attaquant. Je m'entends très bien avec les deux. J'essaie de m'adapter à eux et de faire ce dont l'équipe a besoin. Si je dois attaquer des espaces pour libérer de l'espace pour Edin, je peux le faire facilement, et c'est la même chose pour Romelu." A propos d'Inzaghi "Il est toujours important de savoir comment nous voulons jouer et de comprendre les idées de l'entraîneur. Quand on a des idées claires et qu'on étudie les matches et les adversaires, c'est beaucoup plus facile. Nous nous entendons très bien avec l'entraîneur car il travaille bien et prépare bien les matchs. D'un point de vue mental, ces matches n'ont pas besoin d'être préparés en raison de leur importance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Invité de Gianluca Gazzoli le 16 Mai dernier, Marco Materazzi est revenu sur sa carrière et des passages de l'Inter. Comment avez-vous vécu l'après-retraite ? "J'ai arrêté en 2011, la première année tu fais tout ce que tu n'as jamais fait durant ta carrière. Puis vient l'effondrement deux ans plus tard. Les vestiaires, les gens me manquent mais ce soir je vais au coin pour Inter-Milan parce que je me sens comme l'un d'eux, comme lorsque je jouais. C'est pour ça que ça me manque moins évidemment. Ensuite, quand vous avez une vie bien remplie, si vous avez créé quelque chose au-delà du football, vous la vivez bien." Votre carrière d'entraîneur. "Je l'ai fait en Inde pendant trois ans, en remportant un championnat. J'ai aimé ça parce que c'était 'vierge', je devais tout faire moi-même. On a monté une équipe, la dernière franchise. On a gagné la saison régulière, puis on a perdu en demi-finale parce que nous étions cuits. L'année suivante, nous avons gagné, l'année dernière nous ne nous sommes même pas qualifiés. En Inde, la religion, c'est le cricket mais quand vous allez jouer à Calcutta, il y a un énorme public." Tu es devenu l'idole des fans des équipes pour lesquelles vous avez joué parce que tu avez toujours donné votre cœur. "Je préfère avoir l'amour de mes parents et la haine des autres. Au moins tu es quelqu'un qui divise, qui a le courage de dire ce qu'il pense." Puis tu es devenu l'idole de tout le monde en 2006. "Pendant un mois et c'est tout, le temps de célébrer. Ma situation à la Coupe du monde a été décrite de manière incorrecte : sur 10 personnes que je rencontre, 9 disent que j'avais raison. On n'a jamais vu un joueur dans l'histoire du football écoper d'une suspension de deux matches pour provocation, j'en suis fier. Je sais comment les choses se sont passées, je n'aurais certainement pas mérité une disqualification en deux matchs. Mais il y avait un "bandit" à la Fifa, il a fait en sorte que ça se passe comme ça. L'avocat de la Fifa m'a appelé alors que j'étais en vacances aux Maldives pour rentrer à Zurich. Je lui ai répondu : 'tu es stupide, quand je reviendrai peut-être que je viendrai'. Puis je suis finalement allé et j'ai été jugé sans être entendu. Ils l'ont joué et chanté, mais il n'en reste pas moins que je suis champion du monde. J'étais un peu désolé parce que j'aurais aimé jouer au Stade de France après la Coupe du monde, j'aurais aimé les défier. Malheureusement ils m'ont empêché... C'était des conneries, Tassotti lui a pris 9 matches pour un coup de coude, un de plus que moi. J'aime me souvenir des deux buts que j'ai marqués, l'un avec la tête et l'autre avec le ballon médicinal de 10 kilos, car ce n'est pas facile de marquer un penalty. Heureusement, Barthez n'est pas si grand mais je savais que je devais marquer. Zidane ? Je le félicite pour ce qu'il a fait en tant que joueur et en tant qu'entraîneur. Ce qui s'est passé cette nuit-là est son problème plutôt que mon problème." Le Triplete. "Pour moi, et pour tous ceux qui ont souffert en 2002, c'était la cerise sur le gâteau. Le noyau historique de cette équipe a atteint son apogée, ils ont gagné à juste titre après avoir souffert. C'était une gratification sportive, pas qu'en Italie personne ne l'a jamais et nous l'avons fait, nous seuls. Pas même le Real Madrid, qui est l'équipe la plus titrée de l'histoire. Ce n'est pas facile ce que nous avons fait. Dans le sport, ce n'est pas toujours l'équipe la plus forte qui gagne mais aussi l'unité d'un groupe, les détails , l'entraîneur n'a rien fait de mal." Aviez-vous des stratégies pour intimider ? "Non. Si je te le faisais, on se disputerait. Samuel, mon idole, si tu lui disais quelque chose il ne te répondait pas. Peut-être que j'ai eu tort de discuter, oui. Ai-je exagéré? Non, ce qui est fait est fait, je ne nie pas le passé." Ronaldo. "La puissance de Cristiano avec la vitesse d'exécution et le talent naturel de Messi. Et il a fait ces choses il y a 20 ans, il était dans une autre catégorie." Le câlin avec Mourinho après la victoire à Madrid. "'M'abandonnez-vous l'année prochaine?'. Je savais qui arriverait malheureusement (Benitez, ndlr). Avec José on s'est toujours dit des choses, je l'ai toujours aidé. Il m'a dit lui-même que la deuxième année il aimait m'entraîner, même s'il m'a dit que je pouvais aussi jouer zéro match. Après 1' j'ai répondu : 'je reste avec vous'." Souvenirs du derby et de la photo iconique avec Rui Costa. "L'ambiance était belle, c'étaient de bons matchs. J'ai signé de nombreuses photos... Le gâchis s'est produit dans la Curva, dans cette circonstance ils ont exagéré, et je dis cela en ayant une excellente relation avec les fans. Ce n'est plus du football, c'est ce que il nous a fait du mal, pour le match perdu et la disqualification du terrain, mais aussi à Milan. Ça n'a pas de sens de gâcher des matches comme ça." Êtes-vous un fan de l'Inter ? "Je ne l'étais pas, mais je le suis devenu. Lors de ma première année à l'Inter, j'aurais pu tout gagner et à la place, j'ai tout perdu. Ce n'était pas facile de recommencer après le 5 mai. Nous avions beaucoup changé, l'année après le 6 -0 du derby. Nous sommes partis de zéro, nous aurions mérité le Scudetto même si nous n'étions pas les plus forts. Je ne veux pas être rhétorique mais quelque chose s'est mal passée." La relation avec Ibrahimovic. "Il n'y a aucune aversion de ma part, il le jette de temps en temps, c'est aussi arrivé à son retour à Milan. Il aime attaquer l'idole Interisti. Il n'y a pas de rancune de ma part. Il ne gagnera jamais la Ligue des champions et la Coupe du monde, parlons de gagner des scudetti avec la Juve, le Psg, Milan et Barcelone... Ils sont tous bons, il l'a fait. C'est un phénomène, c'est un champion mais il n'est pas le plus fort, pas aussi fort qu'il se voitt. Il a créé une marque, mais il n'est pas le plus fort. Lui, comme moi, est fier du parcours et d'où il vient. Chapeau bas pour ce qu'il a fait, alors que mère nature lui a donné un physique et deux pieds incroyables. Dans les championnats, c'est un phénomène. Son adieu fut agité. J'ai perdu le Scudetto la première année et je suis resté à l'Inter, puis j'ai été récompensé. Maintenant, il s'est un peu calmé, il est l'idole des supporters milanais et il est heureux à Milan." Des relations privées après des joutes publiques ? "Je n'ai aucun contact avec lui et je m'en fous, chacun suit son chemin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Walter Samuel, estime que la situation actuelle chez les Nerazzurri n'est pas aussi sombre que beaucoup l'ont laissé entendre. S'exprimant lors du Gran Gala de l'Inter Club New Jewsey, tel que rapporté par FCInterNews , l'ancien défenseur a estimé que malgré l'incohérence de l'équipe sur le terrain, il y a de nombreuses raisons d'être plus positif sur cette équipe de l'Inter. Bien qu'il y ait eu des moments forts dans la saison de cette équipe de l'Inter, l'impression générale qui en ressort est celle d'une équipe qui a lutté pour la forme et, surtout, la cohérence. Cela a conduit à de nombreuses critiques de l'équipe et en particulier de l'entraîneur Simone Inzaghi, alors qu'il y a eu des suggestions selon lesquelles de nombreux changements sont en cours dans la fenêtre de transfert d'été. Pour sa part, cependant, l'ancien défenseur Samuel ne pense pas que tout soit mauvais, déclarant: Qu'ils ont de la qualité, mais ils sont très incohérents et c'est dommage car ils pourraient déjà être plus avancés pour essayer d'obtenir une Ligue des champions". "Mais je suis confiant sur chaque objectif, car dans les matches ponctuels, l'Inter semble toujours trouver un moyen de tout donner." "Je ne vois pas tout comme étant sombre et lugubre", a déclaré Samuel à propos des Nerazzurri. "En dehors de cela, je pense que Lautaro est devenu 'l'homme supplémentaire' de l'Inter, il a gagné quelque chose de la Coupe du monde et apporte un certain enthousiasme." Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  5. Notre ancien défenseur Walter Samuel s'est exprimé au micro de la chaîne YouTube du journaliste Gianluca Rossi. Il évoque divers sujets. "Je me souviens grâce à une grande gratitude des supporters de l'Inter qui se souviennent encore de moi aujourd'hui et me saluent quand ils me voient. Je suis heureux d'avoir contribué à une petite partie de l'histoire des Nerazzurri." Deux mots aussi sur le Triplete. "En une semaine on a tout joué, on a joué la finale de la Coupe d'Italie, puis la finale de la Ligue des Champions, et la Serie A à Sienne. On aurait pu tout perdre. Nous avons commencé à jouer et à y croire, remportant un Triplete auquel peut-être personne ne s'y attendait." Sur votre choix de rester à Milan. "Beaucoup de mes anciens coéquipiers sont restés à Milan, même Chivu. Il fait beau et on s'entend bien. On a toujours gardé l'idée de rester ici parce qu'on va bien, ça sera difficile de partir. Nous serions toujours heureux de rester, il y a une belle complicité. Mes enfants vont souvent au stade, avec moi et seuls aussi." Passons ensuite à l'analyse de la situation actuelle. "Ils ont beaucoup de qualité mais ils sont, peut-être, trop irréguliers. Ils sortent des grands matchs comme contre Porto et puis ils peinent en championnat. C'est vraiment dommage parce que maintenant tu te bats avec quatre ou cinq équipes pour la Ligue des champions. Porto? Je vois le match positivement car ce sont des matchs ponctuels et l'Inter a un avantage. Je m'attends à un bon match, je ne vois pas tout en noir, j'ai la foi dans cette équipe." Lautaro est-il déjà un champion ? "Nous l'apprécions dans l'équipe nationale, c'est un grand joueur, jeune, il a encore beaucoup à donner. Je le vois enthousiaste à l'idée d'être à l'Inter. L'Argentine ? En tant que joueur, je n'ai pas eu la chance de gagner en équipe nationale. En 2022, nous l'avons fait et c'était fantastique pour tout le peuple argentin. Le mérite, c'est tous les joueurs qui ont toujours cru en nous. Nous aussi, nous avons pris beaucoup d'épaisseur." Un possible futur en tant qu'entraîneur. "Pour l'instant ça va, j'aimerais bien dans le futur mais je dois encore aller jusqu'au bout. Je sens que je dois encore beaucoup apprendre et je le fais avec Scaloni. Après avoir joué pour l'Inter, ce n'est pas une obligation de l'entraîner à l'avenir. Cambiasso, il est peut être un entraîneur capable, il est très calme. Lui aussi attendra le bon moment, l'entraînement n'est pas une obligation et c'est aussi juste de profiter de la famille." Au final, un excursus sur le rôle du défenseur. "Je ne sais pas s'il y a un Samuel aujourd'hui, les temps sont différents. Nous étions plus solides et concentrés sur l'homme. On avait plus de liberté. Peut-être que le dernier était Chiellini. Aujourd'hui, il faut se présenter et rester debout comme le fait Bastoni, je l'aime beaucoup, il est confiant, il court beaucoup. J'ai essayé d'être toujours là et de me sentir bien. Je n'ai jamais fait de tacles durs, en fait nous aussi nous en avons pris car nous avons affronté des attaquants qui frappaient. Je pense à Vieri, Lucarelli, Toni, contre eux c'était très dur parce qu'ils étaient très forts." Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Massimo Moratti, aux micros de TMW, ne craint pas ses idées concernant l'Inter. L'Inter peut-elle encore revenir dans le match pour le Scudetto ? "Je ne pense pas parce que Napoli a beaucoup de points d'avance. Mais dans le football, on ne sait jamais. Jouer de cette manière permet certainement d'espérer plus facilement." Milan Skriniar quitte bientôt l'Inter ? "Je préfère ne pas répondre, c'est un sujet désagréable." L'Inter a-t-elle tout fait pour garder Skriniar ? "Il faut être à l'intérieur de l'entreprise pour comprendre, c'est difficile de juger de l'extérieur. Honnêtement, je ne pense pas que l'Inter bluffait, ils voulaient le garder… Peut-être qu'ils ne pensaient pas que le joueur avait cette volonté." Un joueur comme lui est-il remplaçable ? "Je pense que oui. Il est très fort, mais ce n'est pas Walter Samuel." Les étendards n'existent-ils plus comme Zanetti ? "Les personnages de joueurs existent. Totti est aussi toujours resté à la Roma, d'autres personnalités préfèrent choisir quelle cause défendre et donc changer d'équipe." L'Inter devrait-il également garder Lukaku la saison prochaine ? "Cela dépend de sa condition physique. S'il va bien, il est fort. Au lieu de ça, il a des difficultés. Cet aspect doit être compris." Etes-vous favorable à un éventuel échange entre Brozovic et Kessie ? "Pour moi, Brozovic est bon pour l'Inter. Il avait un rôle précis et le jouait toujours très bien. Il est fort, nous sommes toujours du bon côté avec lui." Traduction alex_j via FCInter1908.
  9. Massimo Moratti, Président Historique de l’Inter s’est livré au cours d’une très longue interview au Corriere Dello Sport sur la réception de la Roma de José Mourinho, une première pour le portugais qui n’avait plus foulé la pelouse version "Nerazzurra" depuis un certain mois de mai 2010 Comment imaginez-vous le retour de Mourinho au Giuseppe Meazza ? "Je l’admets, cela va me faire une drôle d’impression de le voir se diriger du vestiaire, monter les escalier et s’asseoir sur le banc, mais pas celui de l’Inter. Je sais que je serai ému car des flash-backs me reviendront en tête, lorsque nous étions protagonistes : José a offert tant de choses à l’Inter, et elles ne s’oublieront jamais même si le temps passe." A vous entendre, vous transmettez la sensation que le rapport ne s’est jamais interrompu entre vous...... "Ces derniers jours nous n’avons pas discuté, et ce n’est pas un hasard, peut être que nous parlerons ensemble après le match ou dans les prochains jours. Nous nous téléphonons régulièrement et il est toujours très affectueux et très gentil envers moi. Nous sommes resté liés, c’est vrai, et pas uniquement pour ce que nous avons gagné, mais aussi pour la personne que Mourinho est." Ne vous êtes-vous jamais demandé quelle aurait été l’histoire de l’Inter, si après le triomphe en Ligue des Champions à Madrid, le 22 mai 2022, Mourinho n’avait pas quitté l’Inter pour signer au Real ? "Il est impossible de s’exprimer sur certains sujet, c’est comme ça que cela s’est passé, il avait aussi l’envie de tenter l’expérience au Real Madrid. Avec le temps et à tête reposée, je me dis que cela s’est terminé de la meilleure des façons pour tout le monde : Lui était satisfait des résultats obtenus lors de cette saison et il avait accepté un nouveau défi. Nous car nous avions obtenu le maximum, à savoir goûter à un succès attendu depuis tant d’années, le Triomphe en Coupe des Clubs Champions : S’il fallait en venir à une séparation, il n’y avait pas de meilleur épilogue." Quelques tifosi en ont pourtant voulu au portugais de ne pas être revenu cette nuit-là à Milan, pour fêter la victoire en Ligue des Champions, à l’aube au Meazza...... "De l’eau a coulé sous les ponts, il avait déjà pris sa décision bien avant la finale, mais nous n’en avions pas parlé car lors de ce mois de mai, nous étions en course pour les trois titres et nous ne voulions pas rompre le charme. Notre accolade sur le terrain du Bernabeu après la victoire sur le Bayern et notre dîner deux jours après chez moi, ont éclairci tout le reste." Ce soir, il s’agira aussi des "retrouvailles" entre José et le Peuple Nerazzurro...... "Il sera accueilli avec beaucoup d’affection et de sympathie, je n’ai aucun doute à ce sujet. S’il entraîne à présent la Roma, il a écrit l’Histoire avec nous, et quelle histoire." L’Unique équipe italienne à avoir réalisé le Triplé...... "Cela continue à toujours bien sonner avec le temps...... il rit. Et c’est pour cela que ce sera un plaisir de revoir Mourinho au Meazza. Pour vous dire la vérité, je suis moi aussi curieux de le voir avec sa nouvelle vareuse. Jusqu’à présent, au Meazza, je l’ai vu au Meazza comme adversaire du Milan, jamais de l’Inter." Allez-vous le soutenir ? "Non, non je ne suis pas fou. Même si j’ai beaucoup de sympathie pour lui, je supporte l’Inter, José le sais et il le comprendra." Mourinho pourrait-il être touché par le fait de faire face à son ancien public ? "Je crois que oui, car il y a à l’Inter et chez les interistes un vrai lien, mais personne ne se fera de cadeau." Ses récentes sorties sur les arbitres vous rappellent-elles celles vécues lors de ses deux années à l’Inter ? "Tu sais quoi ? Le temps a beau passé, mais José se défendra toujours...... et il le fait assez bien (il rit)". Peut-être parce que les arbitres italiens ne lui sont pas sympathique ? "Je ne le dirais pas de cette façon car je ne crois pas que c’est le cas. José est tout simplement une personne qui n’est pas hypocrite, lorsqu’il défend son club, il le fait en mettant les mains dans le cambouis et en disant toujours ce qu’il pense. Ensuite, c’est Mourinho et lorsqu’il fait quelque chose, il le fait pour le bien." Comme ce geste du 20 janvier 2010 lorsqu’il a protesté en mimant les menottes face à Tagliavento qui venait d’expulser Samuel et Cordoba ? "J’ai souris ce jour-là et je souris encore maintenant lorsque j’y repense. Au-delà de la raison pour laquelle il a fait ce geste, il faut vraiment avoir un esprit spécial, comme le sien, pour protester de cette façon à chaud, c’était génial, vraiment génial." Au-delà des protestations arbitrales, passées et actuelles, le portugais ne parvient plus à la Roma à obtenir de grands résultats...... "Au début de saison, je pensais qu’il avait une bonne équipe mais qu’il ne disposait pas d’un noyau complet pour disputer le titre et je ne me suis pas trompé. A présent, il me semble que l’équipe s’est améliorée et il peut disputer une bonne seconde partie de saison. Pour lui, c’est une nouvelle aventure dans une place chaude et ce n'est jamais simple : Il faut lui donner du temps, mais il fera de belles choses." Vous êtes convaincu par le fait qu’il peut aussi gagner dans la Capitale ? "Selon moi, oui, sa carrière parle pour lui. C’est évident qu’il faut lui donner le temps de tout construire, mais je n’ai aucun doute sur ses capacités et sur le fait que c’est un gagneur." En attendant, il est parvenu à rentrer dans le cœur des tifosi Giallorossi...... "C’est normal, c’est quelqu’un qui vous veut du bien, il est aussi doué, sérieux et professionnel. Il séduit tout le monde car il ne prend pas les choses qui se présentent à lui de façon superficielle, il donne tout pour obtenir les résultats qui lui ont été demandé, voire plus." Friedkin a bien fait de l’engager alors ? "Je pense qu’il a pris l’un des meilleurs entraîneurs en circulation, et son retour a aussi été important pour le Calcio, c’est un entraîneur intelligent, sa présence est médiatique et ses capacités professionnelles sont une valeur ajourée pour la Serie A." Quelle est l’atout Plus du Special One ? "Au-delà de sa capacité à bien faire jouer l’équipe et à faire ressortir le meilleur de chacun, comme par exemple Zaniolo, je dirais qu’il excelle dans le fait de créer un rapport exceptionnel avec le groupe et qu’il sait toujours quelle chose dire." Avez-vous une anecdote ? "Lors de l’année du Triplé, lors du Derby retour, nous étions devant au score (1-0) mais Sneijder avait été expulsé et je voyais de la nervosité sur le terrain. J’étais parti au vestiaire pour tranquilliser les garçons et je les ai tous vu concentré et à l’écoute de Mourinho. Il expliquait ce qu’l fallait faire pour doubler la mise et tuer le match, même à dix, il y avait un calme olympien, on n’entendait pas une mouche voler." "D’autres entraîneurs pour motiver l’équipe aurait chargé l’arbitre mais José parlait uniquement de tactique, avec le sang-froid d’un pilote qui sait qu’il doit faire face à une situation des plus difficile. Pandev doublait la mise et nous l’avons emporté. Je ne me souviens plus en revanche de ce qu’a dit Mourinho en conférence de presse sur l’arbitrage, il rit." Quel match sera Inter-Roma ? "C’est difficile de le dire, les Giallorossi se présente suite à un match nul face au Genoa caractérisé par de nombreuses polémiques, l’Inter se présente après avoir jeté le Derby par la fenêtre d’une façon que je ne m’attendais pas, surtout vu comment s’était déroulé la rencontre." Si vous aviez été Président, qu’auriez-vous fait ? "Je laisse tomber certains discours, je suis resté surpris par la perte du rythme que l’Inter imposait depuis 65-70 minutes et le Milan en a profité. Les Derbys sont dangereux pour une équipe qui a l’avant et cette fois, nous avons pris une leçon nous. Une défaite de ce genre est riche d’enseignements et il faut surtout renouer immédiatement avec la victoire car ce mois de février est composé de match de haut niveau." Avez-vous peur que le Derby ait miné les certitudes du groupe ? "Je ne crois pas, l’équipe existe, elle est forte, composé de bons joueurs et d’un excellent entraîneur. Inzaghi s’est, pour moi, intégré très rapidement au Monde Nerazzurro et il est capable d’apporter encore plus à un groupe qui a gagné avec Conte. Tout le monde pensait avoir vu à ce moment-là l’Inter a son meilleur niveau. Pourtant sans Romelu Lukaku, Achraf Hakimi et Christian Eriksen, elle est parvenue à faire mieux, le mérite en revient à Inzaghi qui a des capacités importantes. De temps en temps, des erreurs peuvent se produire, comme dans le derby, mais je pense qu'il fait beaucoup mieux que ce que beaucoup attendaient." Serez-vous un Tifoso serin et optimiste ? "Je le suis et les autres tifosi doivent l’être aussi, je suis convaincu que l’Inter vivra une belle fin de saison." Reste-t ’elle la favorite pour le Scudetto ? "Je ne parle pas de favorite, je dis qu’elle peut l’emporter, mais que ce ne sera pas facile, le Napoli m’impressionne énormément, il dispose d’un axe central redoutable et il me semble qu’il a surmonté sa période de difficulté." Pensez-vous à la seconde étoile ? "Elle serait si belle sur ce Maillot Nerazzurro, j’en suis convaincu." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Voici les dernières nouvelles de Lautaro Martinez et Alexis Sanchez qui ont brillé avec leurs équipes nationales respectives. Lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2022 Amérique du Sud, les joueurs de l'Inter sont sortis victorieux avec leur pays. Après qu'Alexis Sanchez ait marqué un doublé pour le Chili (voir après), l'Argentine qui est déjà qualifiée a vaincu la Colombie. Un autre joueur Nerazzurri a joué dans ce match : Lautaro Martinez qui a ouvert la marque après 29 minutes. Il s'est avéré être le vainqueur du match et Il Toro est sorti après 69 minutes. L'Uruguay de Matias Vecino a également triomphé en battant le Venezuela 4-1. La semaine dernière, Lautaro Martinez avait déjà marqué le but vainqueur contre le Chili d'Alexis Sanchez au Estadio Municipal Zorros del Desierto, à une altitude de 2 200 mètres. Angel Di Maria a ouvert la marque pour les Argentins, qui avaient Walter Samuel sur le banc à la place de Lionel Scaloni mis à l'écart à cause du Covid, avant que Ben Brereton n'égalise avec une superbe tête. Cependant, Lautaro marqué avant la mi-temps. Il a été remplacé par Julian Alvarez à la 78e minute tandis qu'Alexis a disputé l'intégralité du match. Alexis Sanchez a de nouveau été le héros de son pays lorsque le Chili a vaincu la Bolivie lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2022. Le joueur de 33 ans a ouvert le score au stade Hernando Siles de La Paz d'une frappe magistrale, un coup franc merveilleusement placé. Marc Enoumba a ensuite égalisé pour l'équipe locale à la 37e minute, mais Marcelino a de nouveau remis le Chili en tête à 13 minutes de la fin. Sanchez a ensuite marqué ce qui aurait pu être le but décisif à la 85e minute avant que Marcelo Moreno ne marque quelques minutes plus tard. La victoire du Chili sur la Bolivie les voit passer à un point du Pérou avec 19 points. Traduction alex_j via le site officiel.
  11. Dans une interview avec l'agence de presse colombienne EFE.com, Cordoba a admis qu'Inzaghi avait une tâche difficile à faire alors qu'il appliquait ses propres méthodes à une équipe qui a gagne. "S'il y a des doutes sur le nouveau coach, c'est parce que c'est une chose de suivre un projet commencé avec Conte qui avait tout entre ses mains, et une chose est de repartir d'un autre coach, avec des idées différentes et un manière différente de travailler. Je pense qu'avec un peu de patience, les choses iront bien." "On dit qu'ils veulent vendre Lautaro Martinez. C'est une situation difficile après qu'ils se soient battus si fort pour gagner quelque chose et que l'entraîneur change parce qu'il ne voulait pas rester. Les conditions économiques ne soutiennent pas l'idée de vouloir continuer à être les favoris pour gagner." "Pour moi, Roberto Mancini était un entraîneur spécial, il m'a donné beaucoup de confiance. Je lui ai dit que j'aimerais jouer aux côtés de Mario Yepes parce que je le connaissais par cœur. Il m'a dit que nous essayerions de voir si nous pouvions l'acheter. Mais à ce moment-là, le Real Madrid a mis Walter Samuel sur le marché, puis l'Inter l'a signé."
  12. Sur le podcast officiel du Hellas Vérone, Walter Samuel s'est livré sur l'Inter, son style et cette saison 2009-2010. "J'aime vraiment l'Inter de Conte. C'est une équipe plus compacte maintenant, Conte a trouvé la bonne formule. Désormais, l'Inter est une équipe équilibrée avec de nombreux talents individuels de premier ordre. Ils vont droit au but et sont efficaces." "J'aime aussi le Hellas Vérone. Alors que la plupart des équipes se concentreront sur la défense contre l'Inter, l'AC Milan et la Juventus, Ivan Juric essaie toujours de passer à l'attaque." "Cette saison 2009-2010 fut difficile, mais nous avons obtenu les résultats à la fin. Nous savions que pour la plupart d'entre nous, ce serait notre dernière chance de remporter la Ligue des champions ou le scudetto. Nous avions une forte mentalité et un beau groupe, nous nous parlons encore maintenant." "Je nous ai toujours appelés une équipe 'pazza' parce que nous ne tuions pas souvent les matchs. C'est arrivé quand nous étions au Meazza, contre le Chievo. Nous menions 4-1 et puis c'est devenu 4-3." "Mais nous avions des champions et avec cela est venue la confiance que nous allions obtenir des résultats. La façon dont nous nous sommes défendus contre Barcelone a montré à quel point nous voulions atteindre la finale." "Contre Sienne, je voulais reprendre en défense alors que le score était de 3-3. Mais Mourinho m'a dit de rester devant." "Je ne me sentais pas très à l'aise là, mais j'ai eu la chance d'être au bon endroit et de marquer le but vainqueur. Ce sont les choses que Mourinho avait l'habitude de voir, c'était grâce à lui que je suis resté devant."
  13. Certains joueurs sont simplement destinés à être aimés, que ce soit au sommet de leur carrière ou plus tard, lorsque les gens se sont rendu compte qu'ils n'appréciaient pas pleinement ce qu'ils regardaient. Bien sûr, les gens voient ces joueurs et les évaluent très bien, personne ne doute de leurs capacités, mais très peu voient tout à fait à quel point ils sont bons et à quel point ils sont importants pour leur équipe, ou une équipe. Il y en a quelques-uns qui, pour une raison quelconque, ne sont pleinement appréciés que lorsqu'il est tard, voire trop tard. Certains joueurs de classe mondiale sont exclus des conversations pour une raison quelconque, mais celui dont nous allons parler était tout simplement le meilleur joueur du monde, seulement dans une mauvaise génération. En 2010, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo venaient de marquer 80 buts entre eux pour le Barça et le Real, et ils volaient haut, ensemble, au sommet de la hiérarchie footballistique, mais ils n'étaient pas les meilleurs joueurs du monde à l'époque, à cette époque. Malgré les buts et l'adulation, aucun d'eux n'a pu mettre le doigt sur la saison de Wesley Sneijder pour l'Inter. Le Néerlandais était le joueur clé d'une équipe de l'Inter qui a dominé le football italien, et a décroché le Triplete sous Jose Mourinho. Il a été le catalyseur du jeu offensif de l'Inter, menant des joueurs comme Samuel Eto'o, le léthal Diego Milito, Goran Pandev et Dejan Stankovic. L'équipe de Mourinho a joué presque exclusivement sur la contre-attaque, que ce soit dans un 4-2-3-1, un 4-3-1-2 ou même un 4-4-1-1 quand ils avaient besoin de jouer plus bas. Dans l'un des trois systèmes, Sneijder a toujours été le point focal du flanc, étant l'homme qui a amené l'Inter au niveau suivant, offensivement parlant comprenons nous. Sa capacité à choisir une passe courte ou longue était la clé, surtout lors de la rupture, essayant de jouer contre Eto'o ou Pandev sur les flancs, et son partenariat avec Milito a si bien fonctionné. Le meneur de jeu était la star de cette équipe, mais reprenons quelques années en arrière et découvrons comment il s'est retrouvé en tant qu'homme clé de Jose Mourinho pour les Nerazzurri . Sneijder a gravi les échelons à l'Ajax, et dès son plus jeune âge il a impressionné les joueurs et les entraîneurs. Il était clair pour tous de voir que ce jeune enfant avait quelque chose de spécial à son sujet, entrant dans la première équipe avec son camarade jeune diplômé Rafael van der Vaart, et jouant aux côtés de Zlatan Ibrahimovic et du futur coéquipier de l'Inter, Maxwell. Comme c'est le cas avec presque tous les jeunes talentueux de l'Ajax, les grands clubs européens finiront par l'appeler, et cela s'est concrétisé lorsque l'Ajax a vendu Sneijder au Real Madrid pour 27 M€, ce qui faisait de lui le deuxième footballeur néerlandais le plus cher de tous les temps. Los Blancos ont beaucoup fait confiance au joueur, et ses débuts à Madrid n'auraient pas pu être mieux. Quatre buts lors de ses trois premiers matches signifiaient que Sneijder devenait un héro du début de saison pour le Real Madrid, rejoignant les Néerlandais Royston Drenthe et Arjen Robben dans le cadre de trois des quatre plus grosses transactions réalisées par Madrid cet été. Mais malgré sa bonne forme et sa volonté de rester, le nouveau patron Manuel Pellegrini l'a transféré car il ne jouerait tout simplement pas de matches parce que Kaka, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo venaient d'être achetés. Sneijder a admis qu'il ne voulait pas partir, mais ce qui s'est passé ensuite était sans aucun doute la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Mourinho avait été déterminé à l'emmener au Meazza tout au long de l'été 2009, et quand Jose veut un joueur à ce point, vous savez qu'il va faire des merveilles avec lui. Sneijder a rejoint l'Inter pour un montant de 15 M€, ce qui, selon les normes d'aujourd'hui, est l'un des hold-ups du siècle, mais à l'époque, c'était un énorme changement. Le milieu de terrain avait un point à prouver. Il a été lâché sans doute par le plus grand club du monde, mais était sur le point de devenir l'homme principal de l'Inter. C'était sa chance de prouver que les sceptiques avaient tort et d'avoir enfin une équipe construite autour de lui et de ses qualités. Mourinho avait passé la première saison en Italie à essayer de rassembler les pièces d'une équipe qui pourrait sérieusement se battre pour la Ligue des champions. Le milieu de terrain de l'Inter était très solide sur le plan défensif, mais il manquait un lien créatif, quelqu'un qui pouvait transformer la défense en attaque avec une passe. Sneijder était ce joueur. Il avait la capacité de changer la "chance" de cette équipe. La flexibilité de l'Inter a été favorisée par un afflux de nouvelles signatures. Le duo du Genoa Diego Milito, l'un des finisseurs les plus cool d'Europe, et Thiago Motta, qui a ajouté de la profondeur au milieu de terrain. À leurs côtés, le Brésilien Lucio, partenaire Walter Samuel, fut sollicité du Bayern Munich pour seulement 8 M€. Un recrutement intelligent, en quelques sortes. À mi-saison, Pandev a rejoint l'Inter en provenance de la Lazio. Mais le plus gros coup était de faire entrer Eto'o dans l'échange qui a vu Ibrahimovic rejoindre Barcelone. Combinez tout cela avec Sneijder étant effectivement le chef d'orchestre de Mourinho, et vous aviez une équipe qui avait tout ce qu'il fallait pour réussir. Dans la première moitié de la campagne de Serie A 2009-2010, l'Inter n'a perdu que deux fois et dans les deux cas, Sneijder n'était pas présent. La première défaite est survenue face à la Sampdoria lorsque Mourinho a opté pour un 4-2-3-1 avec Esteban Cambiasso et Patrick Vieira au milieu de terrain. L'absence de Sneijder s'est fait sentir dans l'équipe et quand il est revenu pour le prochain match contre l'Udinese, il a enroulé une frappe dans le coin inférieur à la 92e minute pour garder l'Inter en tête du classement alors qu'Octobre se pointait. L'influence du Néerlandais sur le côté s'est poursuivie avec deux passes décisives lors de la victoire 5-0 à l'extérieur contre Genoa, mettant en place à la fois Vieira et Mario Balotelli, et contre Catane à domicile, où son coup franc d'environ 30 mètres s'est avéré être décisif. À la suite de ces deux brillantes performances, il a été victime d'une blessure qui lui a fait manquer six matchs de la fin Octobre à Décembre. Sa blessure signifiait qu'il ne pouvait jouer que deux matchs dans ces trois mois, deux matchs nuls 1-1 contre la Roma et l'Atalanta, et il a aggravé sa blessure avec les Pays-Bas, ce qui lui a de nouveau fait manquer plus de matchs avant l'hiver. Pause. Après la pause, l'Inter et Sneijder ont continué dans la même forme dans laquelle ils étaient, invaincus lors des 11 premiers matchs de 2010, même si cinq d'entre eux étaient des matchs nuls (dont trois 0-0, merci la défense). Cependant, alors qu'ils naviguaient en Serie A, Mourinho et son groupe de frères ont tourné leur attention vers un prix plus important, un prix qui avait échappé à l'Inter pendant 45 ans : la Ligue des champions. L'Inter avait été dotée d'un groupe plutôt facile à l'exception des champions en titre, le FC Barcelone, mais lorsqu'ils ont terminé deuxième du groupe F, ils ont tiré au sort contre l'ancien employeur de Mourinho, Chelsea, ce qui promettait d'être une partie équilibrée et incroyable. Le match aller au Meazza a vu les Nerazzurri sortir avec une victoire 2-1, avec Milito et Esteban Cambiasso sur la feuille. Bien que Sneijder n'ait pas inscrit de but ou fait d'assists, il était toujours crucial pour la performance de l'équipe. Ses passes et ses coups de pied arrêtés ont créé le danger, mais c'est au match retour où son influence s'est vraiment fait sentir. Le magnifique ballon traversant du Néerlandais sur Branislav Ivanovic a permis à Eto'o de faire glisser le ballon devant Petr Cech et de permettre d'affronter en quart de finale contre le CSKA Moscou. Ses performances en Ligue des champions ont conduit beaucoup à le placer parmi les premiers du Ballon d'Or aux côtés de Messi et Ronaldo. Les merveilleuses performances de Sneijder en Serie A alors que les Nerazzurri n'ont perdu que 12 points sur 33 dans la dernière ligne droite de la saison. Milito a terminé en tant que joueur de l'année en Serie A et deuxième du classement Capocannoniere avec 22 buts (sept derrière Antonio Di Natale) et cette équipe Bleue et Noire volait haut, très haut. Le CSKA a été expédié avec deux victoires 1-0 qui n'ont peut-être pas été les plus jolies, mais un but vital à l'extérieur de Sneijder les a envoyés en demi-finale pour affronter Barcelone, une revanche du choc de la phase de groupes. Le Barça a pris les devants grâce à Pedro Rodriguez, mais cela a été aussi bon que cela a été pour eux lorsque Sneijder a intensifié et conduit l'Inter à une victoire 3-1. Il a marqué à peine 10 minutes plus tard pour égaliser avant de relancer complètement le jeu et même construisant le troisième but important, non, capital de Milito. Des performances comme celle-ci ont rendu Sneijder spécial. L'Inter avait le dos au mur pendant une grande partie du match, mais il avait toujours la capacité et la présence d'esprit de créer et de marquer. Après ce match, les gens ont commencé à vraiment croire qu'il avait une chance de remporter le Ballon d'Or, d'autant plus qu'il venait d'orchestrer la défaite de deux de ses rivaux à Xavi et Messi. Alors que l'Inter terminait la Coppa Italia et le Scudetto pour leur cinquième titre consécutif, ils ont jeté leur dévolu sur la Ligue des champions. Un doublé de Milito a rendu la Old Big Ears à notre équipe Bleue et Noire pour la première fois en près d'un demi-siècle, mais alors que l'Argentin a été élu homme du match officiel de l'UEFA, c'est Sneijder qui fut vu homme du match par les fans, ce qui en dit long sur la façon dont les fans l'ont évalué. C'est là que ça devient poétique. Mourinho, qui avait été fortement lié au poste du Real Madrid, venait de remporter son deuxième titre en Ligue des champions avec deux clubs différents, au domicile du club qui le courtisait depuis des mois. C'était un envoi approprié et une introduction emphatique à la vie à Madrid, mais c'était une autre sorte de poésie pour Sneijder car ce jeu symbolisait le chemin parcouru depuis son départ du Real Madrid. Il avait été contraint de quitter le club pour faire de la place à Kaka et envoyé à l'Inter où il avait été autorisé à devenir le joueur de classe mondiale que tout le monde savait qu'il serait. Il était le point focal du chef-d'œuvre de Jose et a montré à quel point il était bon au Santiago Bernabeu, dans l'arrière-cour du Real Madrid. Gagner la Ligue des champions à Madrid signifiait beaucoup pour Sneijder, mais cela lui a également permis de remporter le Ballon d'Or. Nous savons tous que ce que vous gagnez est tout aussi important que votre qualité de jeu, et il n'y avait rien de plus que Sneijder aurait pu faire pour être en pole position. Pourtant, bien qu'il ait guidé les Pays-Bas en finale de la Coupe du monde, en terminant deuxième, il n'a pas remporté le prix, ce prix individuel qu'est le Ballon d'Or. En fait, il n'est même pas arrivé deuxième ou troisième. Il est arrivé quatrième. Même Xavi, qui a terminé troisième, a déclaré qu'il était ridicule que son rival ne soit pas dans les trois premiers. Les performances de Sneijder à la Coupe du monde ont été assez bonnes pour lui gagner ce titre seul: marquant cinq fois, remportant l'Homme du match en quatre matchs et étant nommé deuxième meilleur joueur du tournoi. Qu'aurait-il pu faire de plus? Nous savons tous à quel point il était bon pour l'Inter et pour les Pays-Bas, mais le voir briser le monopole de Messi et Ronaldo aurait été cool à voir. Sneijder restera à jamais dans les mémoires comme l'homme qui aurait dû remporter le Ballon d'Or 2010, mais à ceux qui n'ont pas eu le plaisir de le regarder en direct ou en live, en particulier lors de la saison 2009-2010, allez sur YouTube et retrouvez des "vieux" Inter clips pendant cette saison. Il était magnifique, tout comme toute l'équipe. C'était vraiment dommage que le Néerlandais n'ait pas obtenu la reconnaissance qu'il méritait, mais les fans de football n'oublieront jamais à quel point il était bon à ce moment-là. La saison 2009-2010 était la sienne et il a gouverné l'Italie, l'Europe et le Monde en l'espace de 12 mois. C'était une campagne de classe mondiale d'un joueur de classe mondiale. Cet article est une traduction de "Remembering Wesley Sneijder’s poetic campaign at Inter" écrit par de Tom Scholes et publié sur gentlemanultra.com le 18 Décembre 2017.
  14. Son nom est associé à la plus belle page européenne de l’Histoire de l’Inter : Son expérience, ses qualités techniques et son charisme se sont avérés fondamentaux lors de la saison 2009/2010 qui s’est conclue avec la conquête du Triplé sous les ordres de Josè Mourinho. Lucio, le solide défenseur brésilien s’est livrée à la Gazzetta Dello Sport https://www.youtube.com/watch?v=pXmV7VNPUQg "Force physique, transition rapide de la défense vers l’attaque, solidité défensive et quel duo exceptionnel devant. J’espère juste qu’ils auront autant de réussite que nous. Je ne la regarde pas autant que je le souhaite, mais c’es suffisant pour comprendre quel est son potentiel, à quel point elle est confiante : L’Inter mérite d’être là où elle en est : Si elle conserve cette régularité jusqu’à la fin, elle est destinée à mettre un terme à la domination de la Juve." Quel souvenir avez-vous de Conte l’entraineur ? "Que très peu, je n’ai passé que six mois avec lui à la Juve, mais c’était un entraineur exigeant qui aimait énormément travailler. Il se concentrait extrêmement bien sur l’aspect physique. C’est un aspect décisif dans la construction d’une équipe compétitive comme les siennes." "Combien de vidéo il te fait visionner avant et après le match ! Il me semble être l’homme juste pour permettre à l’Inter de renouer avec la victoire et pour se construire une solide carrière à l’Inter. C’est aussi un peu étrange vu son passé, mais dans le football, ce sont les résultats qui comptent et lui sait les obtenir." Cette fois-ci aussi tout trouve son origine via une super défense ? "C’était comme ça à notre époque, mais ce n’était pas que nous en défense: Toute l’équipe s'entraidait via une compacité unique. Ce rempart offre énormément de tranquillité : Qu’il s’agisse de Skriniar ou de Bastoni qui sont des défenseurs moderne, mais aussi De Vrij qui est celui qui me ressemble le plus. Je me revois dans sa façon de marquer l’homme, dans certains mouvements avec le ballon." Est-ce encore vrai qu’en Italie, celui qui a la meilleure défense l’emporte ? "Chez vous, jouer face aux petites équipes est extrêmement difficile. Le championnat est assez compétitif, mais il y a une naturelle culture de la tactique et de la défense. C’est à travers les grandes défenses que l’on construit les grandes attaques et l’Inter en est un exemple." Comment auriez-vous pu bloquer Lukaku ? "Il a une force physique incroyable, mais il ne l’utilise pas que pour lui, mais aussi pour les autres. Il marque et il est aussi généreux, il me rappelle beaucoup Drogba en ayant un peu d’Ibra. Le marquer est compliqué car il écrase quasi tous les défenseurs. Si tu y vas physiquement avec lui, tu es mort, la seule façon de le contenir est de rester attentif au corps à corps et de tenter d’anticiper ses choix dans le temps." Comment avez-vous vécu cette dernière crise économique du club ? "Ce n’est pas seulement le cas de l’Inter. Le Covid a redimensionné le football mondial. Je ne connais pas personnellement les difficultés de cette propriété, mais nous étions très fière, à notre époque, du climat sociétal : Moratti n’était pas un Président, c’était le Premier des tifosi." "Et cela fait toute la différence dans un monte lorsque tu dois administrer quelque chose que tu aimes. Et c’est toujours bon que les problèmes sociétal restent à l’extérieur du vestiaire. Personnellement, je vois que des joueurs concentrés sur le terrain." Quel est votre meilleur souvenir interiste ? Evitez de parler du jour du Triplé..... "Mon début, mes premiers jours, car c’est là que tout est né. Il y avait une atmosphère particulière et je dois remercier Julio Cesar, Thiago Motta, Maicon qui m’ont tout de suite accueilli tout comme les Argentins tel que Cambiasso, Zanetti ou Samuel." "Nous sommes liés à vie car c’est un triomphe indélébile. Je ne serais jamais lassé d’en parler et j’aurai toujours une pensée pour Mourinho : Il m’a donné une confiance unique, il était vraiment rentré dans ma tête." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Tuttosport a souligné que chaque joueur de l'équipe 2009-2010 de Jose Mourinho est toujours impliqué dans le sport à ce jour... les exceptions étant Marco Materazzi et McDonald Mariga. Julio Cesar est devenu agent tandis qu'Ivan Cordoba est maintenant consultant avec l'équipe de Serie B Venezia. Lucio étudie pour devenir entraîneur, Cristian Chivu est en charge des U18 de l'Inter et Thiago Motta est à la recherche de son prochain poste après avoir dirigé Genoa en 2019. Dejan Stankovic entraîne l'Etoile Rouge de Belgrade et a remporté son premier titre le 29 Mai 2020, tandis que Walter Samuel travaille avec Lionel Scaloni pour l'équipe nationale argentine. Esteban Cambiasso a obtenu sa licence d'entraîneur bien qu'il travaille actuellement en Italie en tant que consultant sportif. Wesley Sneijder s'entraîne avec une équipe de cinquième division aux Pays-Bas, et Maicon a récemment rejoint le club de Serie D Sona. Goran Pandev (Genoa), Mario Balotelli (Monza) et Ricardo Quaresma (Vitoria Guimaraes) jouent toujours au football, tandis que Javier Zanetti reste notre vice-président. Marco Materazzi a entraîné brièvement en Inde avant de s'arrêter, tandis que Mac Donald Mariga a commencé une carrière en politique dans son Kenya natal.
  16. Stefan de Vrij a livré une interview pour la Gazzetta dello Sport. Il y parle de Conte, de ses coéquipiers mais aussi des récentes comparaisons avec un grand ancien de la maison, Walter Samuel : "J'aime être considéré comme un nouveau 'The Wall'. J'ai eu la chance de lui parler à quelques reprises pour un évènement, c'est une bonne personne et un très fort défenseur." Qu'est-ce qui a changé en défense ? "Nous sommes devenus compacts en tant qu'équipe et cela facilite toute la phase défensive. Nous sommes unis et soudés. Nous nous sentons bien aussi en dehors du terrain et cela aide." Cent apparitions sous le maillot avec des moments de joie comme le derby gagné 4-2, mais aussi des déceptions comme cette récente élimination en Europe : "Parfois j'y pense, mais dès l'instant suivant je me dis que ça n'a pas de sens d'y repenser sans cesse. Ce qui est fait est fait. On ne peut qu'apprendre des défaites et ce que nous avons fait n'était pas suffisant. Nous avons laissé des points sur la route, comme ne pas marquer contre le Shakhtar. Notre approche est la même qu'importe les compétitions. Nous aurions aimé continuer mais maintenant nous allons essayer de bien faire en Coppa et dans le championnat. Se concentrer uniquement là-dessus peut devenir un avantage, mais cela dépendra seulement de nous. Tous les mots sont autorisés chez moi, même le mot Scudetto. Mais il est inutile de trop regarder dans le passé, comme il est inutile de regarder trop loin devant." Un mot sur Conte ? "C'est un gagnant et il déverse son propre désir sur l'équipe. Il tente d'exploiter tout le potentiel de chacun. Il se bat là-dessus et transmet sa passion ainsi que sa mentalité. La négativité reste en dehors des ports du centre car à l'intérieur nous sommes unis, concentrés et nous laissons de côté ce que l'on dit de nous." Stefan fait également l'éloge de ses coéquipiers : "J'ai rarement vu un joueur aussi rapide que Hakimi. Vidal nous aide beaucoup de par son caractère et sa force sur le terrain, notamment dans ses tacles. En dehors c'est une grande personne. Et il y a aussi Lukaku l'un des meilleurs attaquants au monde." Il conclut sur l'AC Milan : "Ils ont une bonne équipe, unis avec de forts joueurs. Et puis je connais très bien l'entraineur pour avoir travaillé avec lui pendant deux ans. Il est très bon, très humain mais aussi très bien préparé. Je suis content de sa croissance professionnelle." ®gladis32 - internazionale.fr
  17. Lorenzo Pirola était proche de rester avec le groupe professionnel à l'Inter cette année mais pour avoir un temps de jeu conséquent, il est parti en prêt à Monza en Serie B. Il revient sur ses débuts en Serie A la saison passée (10 minutes en juillet contre la SPAL), son arrivée à Monza et son évolution avec la Squadra Azzurra. "Ce furent trois moments aussi passionnants qu'importants dans ma progression, mais je sais très bien que je n'ai encore rien fait et qu'il est essentiel de toujours garder les pieds sur terre. Conte m'a fait sentir que je faisais partie du groupe malgré que je sois le plus jeune. J'ai toujours ressenti sa confiance et j'ai été ravi lorsqu'il a réitéré son appréciation lors de sa conférence de presse." Qui vous inspire ? "J'étais fou de Walter Samuel à l'Inter Milan, mais j'ai grandi en étudiant Sergio Ramos. Et puis m'entrainer avec les conseils de Skriniar et de de Vrij c'est un grand enrichissement." Vous êtes à Monza maintenant, quel est votre ressenti ? "Je suis né à Brianza (commune toute proche de Monza, ndlr) et pour moi c'est une grande fierté de porter le maillot d'une équipe qui représente mon territoire, qui plus est dans ce qui a été défini comme l'année du grand rêve pour Monza." La Nazionale : "J'ai été appelé pour un stage avec les moins de 20 ans. Après le retrait des moins de 21 à cause du Covid, on nous a dit que ce serait à nous d'être sur le terrain contre l'Irlande. C'était des débuts surprenants dont je me souviendra toute ma vie. Jouer en équipe sénior c'est le rêve de tout enfant. Je ne suis pas pressé, je sais que le chemin à parcourir est long mais j'espère de tout cœur y arriver." ®gladis32 - internazionale.fr
  18. Stefan De Vrij est le joueur de la semaine de l'Inter Magazine en cette semaine de Derby. Le meilleur défenseur de Serie A a donc choisi son équipe idéal pour un Calcio à 5. Entre joueurs du Triplé et légendes sous l'ère de Massimo Moratti voici l'équipe qu'il propose: Julio Cesar, Gardien "Charisme et Technique, une certitude dans les buts Walter Samuel, défenseur: Tout simplement "The Wall" Wesley Sneijder, milieu de terrain: Précision et Vision de l'école hollandaise Roberto Baggio, milieu de terrain: Une classe absolue Ronaldo, Il Fenomeno, attaquant, il a changé le football Et vous, quel est votre Top 5 idéal et pour quel motif ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  19. Depuis que le légendaire manager argentin Helenio Herrera a conduit l'Internazionale à leurs deux premières Coupes d'Europe dans les années 1960, notre club milanais a eu un lien presque inextricable avec le continent sud-américain. L'Inter a dû attendre 35 longues années pour ajouter une autre Coupe d'Europe dans son armoire à trophées et lorsqu'elle a été remportée en 2010, il y avait une forte influence sud-américaine ; six joueurs du onze de départ de Jose Mourinho venaient de là, pendant que l'attaquant argentin Diego Milito marqua les deux buts pour une victoire 2-0 contre le Bayern Munich. Avançons rapidement jusqu'à aujourd'hui. Il reste un fort contingent sud-américain dans l'équipe avec deux Uruguayens, un Argentin et un Chilien, tous en lice pour une place sur le terrain. La liste des stars sud-américaines pour représenter l'Inter dans le passé est longue, en particulier depuis le début du siècle, alors que le Meazza a accueilli certains des meilleurs joueurs de l'histoire. Alors sans plus tarder, voici l'ultime XI combiné sud-américain de l'Inter depuis 2000 Gardien : Julio Cesar Nationalité: brésilienne Apps internationales: 87 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x3), Ligue des Champions Apps Inter: 300 Le transfert de Julio Cesar de Flamengo à l'Inter en 2005 était loin d'être simple. Notre club comptant déjà le nombre max de joueurs non européens, César a dû être prêté au Chievo pour une demi-saison avant de finalement nous rejoindre six mois plus tard, après aucun match joué à Vérone. Malgré ce délai, Cesar a certainement rattrapé le temps perdu en s'établissant rapidement comme le gardien titulaire, position qu'il a conservée tout au long de son séjour de sept ans à Milan. Il a joué pour la dernière fois pour son club d'enfance, Flamengo. Arrière droit: Maicon Nationalité: brésilienne Apps internationales: 76 Honneurs: Serie A (x4), Coppa Italia (x2), Ligue des Champions Apps Inter: 236 Défenseur canonnier forgé dans le moule traditionnel brésilien, Maicon était un autre achat sud-américain rentable qui a connu un grand succès sous nos célèbres rayures noires et bleues. À son apogée, Maicon était le meilleur arrière droit du football mondial - une déclaration validée par le fait qu'il ait gardé Dani Alves hors de l'équipe brésilienne - et en plus de ses qualités défensives, il a également marqué 20 buts pour notre club. Il a passé les dernières années de sa carrière sur les ailes des clubs brésiliens Avaí et Criciúma. Défenseur central: Lucio Nationalité: brésilienne Apps internationales: 105 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2), Ligue des Champions Apps Inter: 136 Mourinho a fait signer des contrats exceptionnels au cours de sa carrière de manager brillamment réussie, mais peu peuvent égaler son achat de Lucio au Bayern Munich en 2009. Le défenseur intransigeant - qui avait également un penchant pour des incursions osées dans l'autre moitié - a conclu une entente brillante avec Walter Samuel au cœur de la défense centrale et a joué un rôle essentiel lors du Triplé historique. Défenseur central: Walter Samuel Nationalité: argentine Apps internationales: 56 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x3), Ligue des Champions Apps Inter: 236 L'autre moitié du duo défensif hermétique de Mourinho, Walter Samuel, a rejoint l'Inter en 2005 après avoir eu du mal à gérer la pression au Real Madrid des Galactiques. Au cours de ses cinq premières années au Meazza, Samuel a remporté la Serie A chaque saison et au total, il a passé neuf années réussies à Milan, avant de terminer sa carrière en passant deux ans au FC Bâle. Arrière gauche: Ivan Cordoba Nationalité: colombienne Apps internationales: 73 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions Apps Inter: 455 Un petit défenseur qui était à l'aise pour jouer à quatre arrières, Ivan Cordoba était connu pour posséder un sacré saut malgré sa taille, 1m73. Cordoba a passé toute sa carrière européenne à l'Inter qu'il quitta en 2012 après 12 ans de bon et loyaux services. Le n°2 interiste de longue date a également l’honneur d’être le seul homme de l’histoire à avoir dirigé l’équipe nationale colombienne sur un trophée majeur - la Copa America 2001. Milieu défensif: Javier Zanetti Nationalité: argentine Apps internationales: 143 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions, Coupe UEFA Apps Inter: 858 (Record) Après 19 ans, 858 apparitions, 21 buts et 11 trophées majeurs, Javier Zanetti a finalement mis un terme à sa brillante carrière à l'Inter en 2014 à l'âge de 41 ans. En signe de respect pour son No.4, le maillot a été retiré peu après. Non seulement Zanetti était un professionnel exemplaire, mais il s'est également réinventé de manière impressionnante en tant que joueur au fil de sa carrière, se transformant d'un ailier maraudeur en un milieu de terrain défensif et même un arrière central de fortune. Comme une reconnaissance de la part du club, Zanetti est désormais vice-président de l'Inter. Milieu central: Esteban Cambiasso Nationalité: argentine Apps internationales: 52 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions Apps Inter: 420 Un autre Argentin qui a fait partie des meubles de l'Inter. Esteban Cambiasso est venu en Italie par un transfert gratuit après quatre saisons relativement peu satisfaisantes au Real Madrid, où il a été principalement utilisé comme remplaçant. À l'Inter, cependant, il était un titulaire régulier incontesté et de plus en plus apprécié par l'équipe pendant ses années sous Roberto Mancini et plus tard Mourinho. Tout comme son compatriote Samuel, Cambiasso est parti en 2014, passant une saison à Leicester City avant de filer à l'Olympiakos en 2015. Milieu de terrain: Juan Sebastian Veron Nationalité: argentine Apps internationales: 73 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2) Apps Inter: 74 Bien qu'il n'ait jamais été sous contrat avec l'Inter, en prêt pendant 2 ans, Juan Sebastian Veron y a connu une période de rédemption après trois années difficiles en Angleterre avec Manchester United et Chelsea. Veron ou ‘le petit sorcier’ comme on l’appelait souvent, a aidé l’Inter à remporter deux coupes d'Italie consécutives et a également mis la main sur un Scudetto avant de rentrer chez lui en Argentine pour jouer pour l'Estudiantes. Milieu offensif: Alvaro Recoba Nationalité: uruguayenne Apps internationales: 69 Honneurs: Serie A (x2), Coppa Italia (x2), Coupe de l'UEFA Apps Inter: 260 Un talent suprême dont la carrière a malheureusement été compromise par des problèmes de blessures, Alvaro Recoba n'a peut-être pas réalisé autant que prévu, mais il a certainement fourni aux fans de l'Inter de nombreux moments de magie pendant ses 11 ans. Recoba est devenu célèbre pour avoir mis de spectaculaires frappes de loin - à la fois dans le jeu et en coups francs, qui devaient devenir sa marque de fabrique - avec son pied gauche extra-spécial. Malgré ses nombreux problèmes de blessures, Recoba a réussi à continuer jusqu'en 2015, lorsqu'il a pris sa retraite après avoir joué pour le Nacional. Attaquant : Ronaldo Nationalité: brésilienne Apps internationales: 98 Honneurs: Coupe de l'UEFA Apps Inter: 99 Surnommé « Il Fenomeno», l'Inter a jugé bon d'effacer le record du monde des transferts en 1997 en signant Ronaldo pour 19,5 M£. A ce moment-là, après avoir marqué 47 buts en seulement 49 matchs pour Barcelone, il était sans aucun doute la top-propriété du football mondial. Ronaldo a également conservé cette même veine qu'il avait montrée en Catalogne à Milan, marquant 34 buts lors de sa première saison avant le désastre qui le frappa lors de la Coupe du monde 1998. Des blessures ont détruit le reste de son temps à l'Inter, mais il a tout de même réussi un respectable 59 buts en 99 matchs avant son transferts en 2002 au Real Madrid. Attaquant: Diego Milito Nationalité: argentine Apps internationales: 25 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2), Ligue des Champions, Apps Inter: 171 Un homme qui mérite une sélection dans cette équipe rien que pour ces deux buts contre le Bayern Munich. Ses deux buts contre les Bavarois ont permis à l'Inter de gagner 2-0 en finale de la Ligue des Champions et mettre fin à une disette de 35 ans pour décrocher le titre suprême du football européen. La saison 2009-2010 a sans aucun doute été la meilleure de Milito sous le maillot de l'Inter, bien qu'il ait connu une autre campagne prolifique en 2011-12 lorsqu'il a marqué 24 buts en championnat. Après cinq ans au club, il a rejoint le Racing Club en Argentine où il a pris sa retraite en 2016. Aujourd'hui il nous envoie des pépites comme Lautaro Martinez.
  20. Interviewé par le Corriere Dello Sport, Walter Samuel est revenu sur sa carrière dans le Calcio et sur son futur rôle d’entraîneur. Retour à la normale "Je me souhaite que l’on puisse recommencer à jouer pour offrir un peu de joie aux gens, l’enthousiasme qu’il y a eu en Bundesliga m’a marqué. Le football est important. C’est certain que le Gouvernement et les autorités scientifiques ont leurs propres préoccupations, mais je nous souhaite de voir les footballeurs recommencer à jouer, que les gens retournent travailler et que les autres sports reprennent. J’ai remarqué, en regardant les matchs en Allemagne, que les personnes étaient heureuses." Actuellement, vous êtes dans le staff de Scaloni, en équipe nationale d’Argentine. "La chose qui m’a aidé, a été d’avoir eu immédiatement l’opportunité de faire l’entraîneur. En premier avec Pioli, ensuite à Lugano et à présent comme Collaborateur de Scaloni. Pour moi, rester dans le monde du football était fondamental, je devais engranger de l’expérience." Vous ne vous êtes jamais économisé sur le terrain, même face à des équipes qui jouaient contre la relégation, vous les affrontiez comme si c’était une finale. Est-ce que la concentration était l’un de vos meilleurs atouts ? "Dans certains matchs, face aux équipes considérées comme plus petites, tu ne peux pas perdre de points en cours de route. Tu dois toujours jouer en donnant le maximum car contre les grandes équipes, tu prends le risques de perdre des points." "J’ai toujours cherché à faire mon travail. Le défenseur devait défendre, j’ai aussi eu la chance de marquer. Je devais aider l’équipe à ne pas encaisser, pour le reste, c’était aux milieux et aux attaquants à y penser." Vous avez joué avec de grands champions, à commencer par Messi. "Nous étions ensemble lors du Mondial 2010 en Afrique du Sud. Ensuite, j’ai eu la chance d’évoluer avec d’autres champions, la liste est longue : à Rome, il y avait Totti, Batistuta, Balbo, Aldair, Cafu. A l’Inter, Ibrahimovic, Milito, Eto’o, Zanetti. Pour moi, c’était un plaisir de jouer avec eux, je les ai vu faire des choses impressionnantes en match et à l’entrainement." A Rome, vous aviez remporté de nombreux Derbys. "Et je n’en ai jamais perdu un. Ce qui est certain, c’est que la rencontre intra-citadine la plus importante est à Milan, je l’ai compris immédiatement, les tifosi me l’ont fait comprendre. La différence avec Rome, est que tu ne peux pas sortir la semaine précédent le match et la semaine suivante." "Le Derby de Rome est stressant mais aussi fascinant, surtout lorsque tu le gagnes. J’ai remporté le premier via un auto-but de Negro, il y avait tant à dire." Capello était l’entraîneur de la Roma, Championne d’Italie en 2001. "Il m’a beaucoup apporté. J’ai entendu qu’il parlait de moi dans une interview. Il m'a aidé, à peine arrivé, je me sentais dépassé et il m’a soutenu, cru en moi. En phase de pré-saison, nous avions évolué à quatre, il m’avait placé ensuite au milieu d’une défense à trois." "Je lui doit énormément, il m’a fait me sentir important, Sur les phases arrêtés seuls les meilleurs marquaient, j’ai toujours ressenti sa confiance." Un entraîneur tel que lui a été déterminant pour offrir la victoire à la Roma ? "Je crois que oui, c’est une personne intuitive, même si le connaissant, il s’enrageait parfois afin que nous restions concentrés. A Rome, on avait tendance à abandonner, à se laisser aller. Il cherchait toujours à tirer le meilleur de chacun d’entre-nous et parfois il y allait de façon brutale." Un autre entraîneur qui vous a marqué, durant votre carrière, a été Mourinho. "Différent de Capello, il était plus proche des joueurs, il se fiait plus à certains et moins à d’autres. Je me sentais bien avec lui comme avec Capello. Ensemble, ils ont démontré avec des faits qu’ils croyaient en moi, ils m’ont toujours fait jouer." "Ils ont réussi à faire ressortir le maximum de chaque joueurs. Maintenant que je me trouve de l’autre côté, je me rends compte de combien cela est difficile." Est-ce que cela vous accompagnera durant votre expérience d’entraîneur ? "J’aimerai rester moi-même, mais je chercherai aussi à me rappeler de certaines situations, de comment elles étaient gérées avec les joueurs, avec la presse, comment changer de stratégie dans le vestiaire." "Le football et les entraîneurs sont en constante évolution. A présent, je suis des cours à Coverciano, il me reste une dernière étape pour être licencié en première catégorie. J’ai connu de très grands entraîneurs : Bianchi, Bielsa, Ranieri. Chacun t’apporte quelque chose." La Roma et l’Inter sont les équipes avec lesquelles vous êtes le plus liés, elles doivent grandir pour viser le Scudetto. "Si le championnat recommence, ce sera un peu différent, il y a beaucoup de paramètres à prendre en considérations, on jouerait tous les trois jours. Celui qui aura la meilleure condition physique le disputera. Ce sera important d’être en forme et d’éviter les blessures." "Fonseca me plait, je l’ai rencontré à Rome pour les cours, je suis allé à Trigoria pour étudier ses méthodes d’entrainement. Il a fait de belles choses pour sa première en Italie, il propose un football intéressant, il est très préparé, lui comme son staff. Conte, je l’ai connu lorsqu’il jouait, il semble être un entraîneur redoutable avec des concepts extrêmement clairs." Sensi et Moratti sont deux Présidents comme il n’en existe plus, ils vous ont permis de gagner à la Roma et à L’Inter. Aujourd’hui, les clubs sont contrôlés par des propriétaires étrangers.. "J’ai eu la change de connaitre deux gestions familiales. Ensembles, ils sont opposés, mais ils étaient présent lorsqu’il fallait être proche de l’équipe. J’ai de très bons souvenirs de chacun. Lorsque je suis parti au Real, Sensi était déjà malade. Le jour de mon départ, il m’avait accompagné de l’ascenseur à la voiture. Ce qu’il a réalisé à Rome a été extraordinaire, personne ne l’oubliera." "Moratti a aussi fait énormément pour l’Inter. Le Calcio va lui manquer mais il en a retiré pas mal de satisfaction. Je suis fier de cela. J’ai aussi d’excellents rapports avec lui, il était très proche de l’équipe, s’énervait difficilement et il traitait les joueurs comme ses fils : une très grandissime personne." Pour Zanetti, son parcours à l’Inter a été plus facile "Je savais quel allait être son parcours. Il avait commencé à s’y préparer, il a étudié, les expériences qu’il connaîtra lui viendront beaucoup en aide. Jouer est une chose, être Dirigeant est autre chose, je suis très heureux pour lui." Qui sera Walter Samuel, l’entraîneur ? "Avant toute chose, je veux me tester, ensuite on verra jusqu’où cela pourra m’emmener. A présent, je vais être entraîneur-adjoint, mais je me prépare pour pouvoir répondre présent. Je crois que je serai à la hauteur." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Lorsque l’on parle de "Mur" dans le Milan Nerazzurro, il s’agit d’une dénomination "sacrée" celle du surnom octroyé à Walter Samuel, un joueur qui évoque avec fierté une défense qui était imprenable. A présent, l’équipe de Conte travaille sur la possibilité de blinder également le but de Samir Handanovic, avec en pierre centrale et angulaire, l’invisible mais ô combien essentiel Stefan De Vrij. L’international hollandais s’est fait connaitre des tifosi par son humilité, son sens des responsabilités, il apporte de l’importance à l’attachement et à l’équilibre, cela se voit et se ressent. Daniele Mari, le Directeur de Fcinter1908, l’a de nouveau récompensé d’un 7 pour sa prestation face à l’Udinese. Défini comme le joueur absolu, il est également encensé par la presse transalpine : Corriere dello Sport : 7 – "Lecture claire de situation complexe. Intervention précise, jamais une erreur ou une incertitude, le Leader de la défense" La Gazzetta Dello Sport : 6,5 – "Ponctuel comme une taxe, pour les autres bien évidemment. Il ne se trompe jamais dans ses choix, ni même lorsqu’il doit sortir voir contrer un contre-pied de l’adversaire." Tuttosport : 6,5 – "Le solide géant au milieu de la défense, à présent ce n’est plus une « annonce ». Il est devenu dans le cœur des Nerazzurro, un Mur, qui reste pour toujours" Et vous, comment jugez-vous les prestations de notre Hollandais volant ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Walter Samuel s'est livré dans une longue interview octroyée à la Gazzetta Dello Sport, à quelques jours de la confrontation entre l'Inter et la Roma, ses anciens clubs: Aimiez-vous votre surnom: Il Muro "Il est exagéré, celui que j'étais au début de ma carrière prenait beaucoup de buts. Cependant, la haine de te prendre un but existe, posez la question à Burdisso, Materazzi et Cordoba, cela nous rend fous même aujourd'hui si cela se produit." C'est pour cela qu'est née "la faute à la Samuel", en intimidant et en rentrant dans le lard dès la troisième minute de jeu... "C'est quelque chose que vous avez inventé durant ces dernières années. J'ai toujours cherché à marquer mon territoire, et c'est évident qu'en fin de carrière je n'avais plus la même rapidité, j'arrivais en retard. Mais je ne suis jamais rentré dans un adversaire pour lui faire uniquement du mal." Était-ce plus facile de défendre avec Aldair ou avec Lucio ? "Les premiers mois avec Lucio furent difficiles, il ne jouait pas sur la ligne, puis nous nous sommes compris et notre complicité est née." Vous revoyez-vous plus en Skriniar ou en Manolas ? "Manolas est l'un des plus fort en un contre un. Je dirais Skriniar de part son coup de tête, ses relances précises, ce n'est pas quelque chose dont on se souvient, mais je jouais aussi de cette façon." Icardi était peu présent en Albiceleste... "Oui, mais il s'est efforcé de faire ce que tout le monde lui demandait: Regardez le but qu'il a inscrit au Mexique: Il va à la rencontre de l'équipe, il protège le ballon, il ne pense pas uniquement qu'à marquer." Et Lautaro Martinez ? "Il a un futur énorme devant lui, mais il doit avoir la patience de pouvoir saisir sa chance, lorsqu'elle se présentera, il répondra présent." Spalletti parle d'un football vers l'avant... "Avec l'Inter, nous avions toujours connu des difficultés lorsque nous rencontrions sa Roma. Je l'ai beaucoup étudié, il a souvent joué, de mémoire, en se basant sur son trequartista." Le Scudetto à la Roma et la Champion's avec l'Inter : Deux joies comparables ? "Sur une chose oui, l’adrénaline d'avoir la joie de remporter un titre qui nous manquait depuis tant de temps." Repensez-vous à la Champions avec l'Inter ? "Chaque fois, et c'est comme si j'allais au Cirque Massimo, je me disais que c'était le Meazza, nous venions à peine d'atterrir avec la Coupe. Il y a aussi notre souvenir à Malpensa lorsque nous étions revenu de Barcelone, ce fut rempli de belles émotions." Qui est le joueur qui vous a mis le plus en difficulté ? "Un que je n'ai jamais cité : Cassano. Dans les matchs d'entrainement je l'enfermais sur la ligne de touche, je me disais: A présent, il n'a plus d'espace pour se déplacer. Mais avec un touché, un seul, il se retournais et était libre, je n'ai jamais compris comment il le faisait: Dans le vestiaire, il me massacrait devant les autres, je voulais tout casser." Que vous ont enseigné vos entraîneurs: Carlos Bianchi, Bielsa, Capello, Mancini, Mourinho, Maradona "Diego la passion de nous motiver. Bielsa nous encourageait à faire attention aux détails techniques, chose que je ne faisais jamais. Bianchi et Mourinho, la gestion du groupe. Pour Capello, je prends un exemple: "Regarde comment Inzaghi te vole le ballon sans que tu ne te rendes compte de rien..." "Il m'a fait comprendre l'importance de jouer rapidement au ballon, Il nous a donné une devise après une querelle que j'ai connu avec Panucci. Equipe Nerveuse, Equipe Victorieuse. Mancini est celui avec lequel je parlais le plus, il se comportait encore comme s'il c'était un joueur et une fois, je suis allé le lui dire." A quoi s'attendre de ce Roma-Inter ? "La Roma éprouve des difficultés, elle est irrégulière et c'est parfois inexplicable. Vous l'avez vu en Ligue des Champions ? Elle a fait une grande première mi-temps, ensuite elle a pris un coup et elle s'est effondrée. Je pense que plus que tout, il s'agit d'un problème mental." "L'année dernière j'étais impressionné par son identité de jeu, à présent, elle ne me convainc plus de par son jeu et on ressens le manque de De Rosi, elle ne gagne pas si elle n'est pas composée de joueurs qui ont déjà gagné. En Italie, c'est très difficile de jouer en équipe première comme lui l'avait fait à 18 ans, je suis fier de lui." "Spalletti a apporté de la solidité et de la continuité, A Londres, l'Inter tenait bon jusqu'au but et n'oubliez pas que Tottenham est une équipe redoutable, tout comme la Roma à domicile, mais je vois l'Inter devant car elle a connue plus d’avancée." Autre chose à dire sur Roma-Inter ? "La Juve a pris trop de distance, pour les deux équipes, le Scudetto équivaudra à se requalifier à nouveau pour la Ligue des Champions. J'espère qu'ils jouerons bien dimanche, en étant courageux, je parle pour les deux équipes, pas juste de la Roma ou de l'Inter. Je voudrais qu'elles en donnent plus afin de donner du fil à retordre à la Juve, Daiiii." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  23. Milan – Ce début de saison de l’Inter de Spalletti est idéal, douze points sur douze, un seul but encaissé. Parmi tous les protagonistes de ce début de saison, un joueur se démarque autant qu’Icardi ou Perisic, ce joueur est défenseur et à lui seul, il ne laisse rien passé. En Angleterre, il a été surnommé The Beast…. Il s’agit de Milan Skriniar ! L’Héritier du Mur ? Notre jeune défenseur slovaque s’est montré à nouveau décisif dans le match opposant l’Inter à Crotone. A seulement 22 ans, il a inscrit son premier but en Serie A et il est LA raison pour laquelle la défense de l’Inter est redevenue une "forteresse ". Adulé par les Tifosi, Milan est un bosseur qui apporte de la personnalité et de la sécurité. Alors qu’il devait s’agir d’un simple» renfort, l’ancien joueur de la Sampdoria a tout de suite conquis la confiance de Luciano Spalletti. Il est à présent un titulaire indiscutable aux cotés de Miranda, et il est le "Top Player" tant attendu en défense. Ses prestations importantes caractérisées par une certaine dureté dans son jeu, contrastent avec la sérénité qu’il dégage et sa capacité à tenir le ballon…certains voient déjà en lui l’héritier d’un Héros du Triplé : Walter Samuel. Ne pas imiter Murillo! Ce début de saison, rappelle également indirectement celui de Jeison Murillo : le défenseur colombien, arrivé en été 2015, fut tout de suite promu titulaire dans l’Inter de Mancini aux cotés de Miranda et jusqu’en janvier 2016, ils formaient l’un des meilleurs duos d’Europe. A cette époque, l’Inter avait réalisé un quinze sur quinze en début de Serie A, avec le colombien qui marquait toujours la défense de son empreinte…Certains voyaient en lui le nouveau, Ivan Ramiro Cordoba. A la reprise de Janvier 2016, Murillo a commencé à calé et l’Inter qui était première du Championnat s’est retrouvé à la quatrième place de Serie A, manquant la Champions League. A présent Murillo a été vendu à Valence où il espère se relancer. A présent Skriniar, et toute l’Inter, sont entrain de démontrer qu’ils parviennent à souffrir et à rester solide. Tout le monde se demande, à présent, presse incluse, si Milan conservera un tel rendement. Car pour gagner en Serie A, il faut avant tout une très bonne défense et les Tifosi rêve de voir Skriniar prendre la relève de Samuel. A votre avis, Skriniar peut-il être l’hériter de Samuel au cœur de notre défense ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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