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  1. Yann Sommer est né le 17 décembre 1988 à Morges dans le canton de Vaud en Suisse, c'est un footballeur international suisse jouant au poste de gardien de but. Fiche complète du joueur
  2. Yann Sommer s’est livré suite au partage des points Nerazzurro en terre turinoise : "C’est un point un important, c’était un match très technique." Le but ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Le 19 janvier 2024, aura lieu à Dubaï, la remise des prix du Globe Soccer Awards, qui mettra à l’honneur les meilleurs joueurs de l’année 2023. Parmi les différentes catégories, on retrouve dans le "Club de l’année" l’Inter, auteur d’une excellente fin de saison 2022/2023 avec deux titres nationaux à son actif et également la Finale de la Ligue des Champions. Au niveau des joueurs, sont nominés dans la liste du "Meilleur joueur de l’année" Lautaro Martinez et Nicolò Barella, déjà auréolés d’une place dans le Top 30 du Ballon d’Or! Yann Sommer se trouve également dans la liste des nominées pour le poste de "Meilleur gardien", accompagné d'un certain André Onana ! Simone Inzaghi est également nominé dans la liste du "Meilleur entraîneur" de la Planète ! Et l'on retrouve à nouveau notre Nicolò Barella, en course pour le titre de "Meilleur milieu de terrain" Not For Everyone! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Damien

    XMAS 23 : Yann Sommer

    Collection Noël 2023 : https://store.inter.it/en-it/christmas-collection.html
  5. C’est un parcours net et sans bavure que celui réalisé par nos Vice-Champions d’Europe depuis la dernière trêve internationale : Six victoires sur six matchs disputés, Coupe d’Europe incluse. Et si l’Inter est en tête du championnat, elle y a ajouté la manière ce dimanche face à la bien vaillante équipe de Frosinone d’ Eusebio Di Francesco, dont les joueurs ont testé à quelques reprises les réflexes de Yann Sommer. Car en cette soirée d’intronisation de la Qatar Airways, Federico Dimarco a offert le plus beau des cadeaux de bienvenue avec un but du milieu de terrain, que n’aurait en aucun cas renié Alvaro Recoba, pour battre Federico Turati, le gardien de Frosinone qui est également de confession Nerazzurra. Et si sur une première tentative de Lautaro Martinez, le portier italien prend le meilleur, sur le tir de Federico, celui-ci ne peut absolument rien. La seconde mi-temps verra également Marcus Thuram slalomer dans le rectangle adverse et se faire faucher. Hakan Çalhanoğlu, convertira le pénalty qui scellera le sort de la rencontre. Grâce à ce but, notre International Turc devient également le meilleur buteur turc que l’Histoire de la Serie A! Ce soir, l’Inter de Simone Inzaghi a fait preuve d’autorité pour s’offrir un Derby d’Italie 5 étoiles qui se disputera le 26 novembre 2023 au Stadium de Turin. Un Derby qui retrouve des couleurs après quelques années en deçà, car la Juventus est la seule équipe de Serie A a maintenir la cadence proposée par nos Nerazzurri. Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 2-0 Frosinone Buteur(s): 43' Dimarco, 48' Çalhanoğlu (Pen) Inter: 1 Sommer; 36 Darmian, 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (61' 6 De Vrij), 23 Barella, 20 Çalhanoğlu (81' 5 Sensi) 22 Mkhitaryan (70' 16 Frattesi), 32 Dimarco (81' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram (70' 8 Arnautovic), 10 Lautaro Martinez Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero,14 Klaassen, 31 Bisseck, 42 Agoumé, 44 Stabile, 70 Sanchez Entraîneur: Simone Inzaghi Frosinone: 80 Turati; 22 Oyono, 5 Okoli, 30 Monterisi; 20 Lirola (54' 27 Ibrahimovic), 45 Barrenechea (82' 10 Caso), 36 Mazzitelli (35' 4 Brescianini), 3 Marchizza; 18 Soulé, 12 Reinier (82' 9 Kaio Jorge); 11 Cuni (54' 70 Cheddira) Banc: 1 Frattali, 31 Cerofolini, 6 S. Romagnoli, 7 Baez, 8 Lulic, 14 Gelli, 16 Garritano, 17 Kvernadze, 24 Bourabia, 47 Lusuardi Entraîneur: Eusebio Di Francesco Arbitre: Dionisi VAR: Serra Averti(s): Brescianini (F) Expulsé(s): / Affluence: 70.816 Tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Lautaro Martinez a fait étalage de tout son talent lors de la victoire de l'Inter sur Salzburg à la Red Bull Arena, marquant le but décisif sur penalty et étant désigné MVP du match. Le capitaine Nerazzurri a également été malchanceux puisqu'il aurait pu marquer un autre but, touchant la transversale. Voici ce qu'il avait à dire après le match. “Je suis très heureux. Nous sommes dans un groupe difficile mais nous avons bien fait le job. Nous avons dû affronter des équipes difficiles qui nous ont créé des problèmes. Nous voulions nous qualifier pour les phases finales aussi vite que possible. Ils ont fait beaucoup de pressing en première mi-temps puis se sont fatigués et nous avons pu intensifier notre jeu. Vous pouvez vous entraîner énormément sur les penaltys mais parfois, c'est une question de chance. Après l'entraînement, nous les travaillons. Marquer est toujours important, comme aider l'équipe. Que nous finissions à la première ou à la deuxième place du groupe reste encore à déterminer. Nous en sommes maintenant à notre troisième année avec le Coach et nous avons vraiment gagné en maturité durant cette période. Je suis heureux; continuons comme ça.” Bastoni, Bisseck, Sommer et Asllani se sont tous également exprimés après la qualification de leur équipe : Alessandro Bastoni : “C'était un honneur de porter le brassard de capitaine; il a été porté par tellement de champions. Nous sommes un groupe formidable, tout le monde aurait pu le porter, et j'aimerais remercier Lautaro et Barella de me l'avoir cédé aujourd'hui. Tout ce qui comptait c'était la victoire et avancer vers les phases finales, ce soir. Nous les avons déjà affronté, c'est une équipe jeune, qui court beaucoup et qui nous a créé des problèmes mais nous avons réussi à emporter trois points importants. Nous avons fait ce qu'il fallait pour gérer le match. Les matchs se gagnent aussi sur des détails, c'est quelque chose que nous avons déjà montré cette année. Les joueurs qui ont été ici depuis plus longtemps expliquent aux nouveaux ce que cela signifie de jouer pour l'Inter. Nous voulons grandir, nous développer et bien faire. Après la trêve internationale, nous aurons à affronter la Juventus, le Benfica et le Napoli. Cette qualification pour la phase finale va nous apporter du calme mentalement mais finir en tête du groupe est important.” Yann Bisseck : “Je suis déçu d'avoir reçu un carton jaune. Peut-être que l'excitation était trop présente en moi mais c'est un rêve d'avoir fait mes débuts en Ligue des Champions, d'avoir joué mes premières minutes. Je suis heureux de la victoire. Je veux continuer à travailler dur et me rendre disponible pour le Coach. Je suis vraiment très reconnaissant de l'opportunité que j'ai eu. Je suis prêt, même si je n'ai pas beaucoup joué pour l'instant. J'ai besoin d'avoir plus de minutes de jeu dans les jambes. Mais au côté de mes coéquipiers et du Coach, je vais me préparer pour le prochain match. J'ai joué pour des équipes plus petites auparavant et c'est tout à fait normal pour les nerfs de s'agiter quand tu fais partie d'un club aussi important. Cependant, tous mes coéquipiers m'aident vraiment des deux côtés, aussi bien technique que tactique et Milan est une ville fantastique.” Yann Sommer : “C'était un match difficile aujourd'hui et c'était important de gagner afin de se qualifier pour la phase finale. C'est difficile de dire quel est notre secret mais peut-être que c'est de bien jouer et d'être très solide défensivement. Nous avons eu quelques opportunités et nous avons réussi à marquer. Un gardien de but doit rester concentrer tout au long du match. J'ai une défense formidable qui m'aide mais je dois essayer d'arrêter tout ceux qui essaient de marquer. ” Kristjan Asllani : “Cette saison, je sens que j'ai progressé sur beaucoup d'aspects. C'est grâce à mes coéquipiers qui m'aident à chaque cession d'entraînement. Nous avons obtenu une victoire fantastique ce soir. C'était vital dans le match de les empêcher de faire des courses. Ils sont forts, jeunes et courent beaucoup. Et la foule les a soutenu pendant tout le match. Cependant, j'aimerais remercier nos fans pour leur soutien fantastique.” ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  7. Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Yann Sommer est né le 17 décembre 1988 à Morges dans le canton de Vaud en Suisse, c'est un footballeur international suisse jouant au poste de gardien de but.
  9. L'entraîneur de l'Inter Milan, Simone Inzaghi, devrait faire démarrer son équipe titulaire face à Bologne. La Beneamata va recevoir les Rossoblu ce samedi après-midi au stade Giuseppe Meazza. Ce sera la dernière rencontre avant la trêve internationale d'octobre. Plus tôt hier, des sources supposaient que le coach des Nerazzurri effectuerait des changements dans la l'équipe de départ qui a battu Benfica mardi. Ces articles supposaient qu'Alexis Sanchez, Matteo Darmian, Kristjan Asllani et Stefan de Vrij débuteraient comme titulaires. Mais d'après les dernières infos de Sky Sport (via FcInterNews), Inzaghi n'a pas prévu de faire tourner son onze de départ. Le XI probable de l'Inter Milan (3-5-2): Sommer; Pavard, Acerbi, Bastoni; Dumfries, Barella, Calhanoglu, Mkhitaryan, Dimarco; Thuram, Martinez ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  10. L'Inter a repris le championnat par une victoire à l'extérieur sur le Torino. Une victoire 3-0 qui amène les Nerazzurri à 22 points après les neuf premiers matchs de Série A. Et il y a plusieurs points intéressants après le match contre le Granata: DES ATTAQUANTS RECORDS Aussi bien Marcus Thuram que Lautaro Martinez ont contribué à au moins un but dans sept matchs différents de championnat. L'Inter est la seule équipe des cinq grands championnats européens à avoir deux joueurs qui peuvent se vanter de telles chiffres. Dans l'ensemble, seul Mohamed Salah a un record plus élevé que les deux attaquants Nerazzurri : l'Égyptien a contribué à huit buts différents dans des matchs de Premier League avec Liverpool. IL TORO contre IL TORO Le Torino est, avec Cagliari, l'une des deux équipes contre laquelle Lautaro Martinez a marqué dans au moins cinq matchs différents en Série A : l'Argentin a marqué 5 buts contre le Torino en championnat. CLEAN SHEETS ET MATCHS A L'EXTÉRIEUR Inter a gardé sa cage inviolée dans ses 5 matchs à l'extérieur en Série A pour la première fois depuis 1972. De plus, Yann Sommer est devenu le troisième gardien dans l'ère de la victoire à trois points (depuis 1994/95) à effectuer 6 clean sheets dans ses neuf premières apparitions en Série A après Cristiano Lupatelli et Alisson Becker. DENZEL EN ATTAQUE Denzel Dumfries a contribué à cinq buts (deux buts, trois passes décisives) en championnat cette saison, autant que durant la totalité de la saison passée. Le hollandais a été impliqué dans le but du 1-0 à quatre reprises. CALHA DU POINT DE PENALTY Hakan Çalhanoglu a converti chacune de ses neuf tentatives de penalty en Série A. Le milieu turc a un record en cours de 8 sur 8 toutes compétitions pour les Nerazzurri. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  11. En effet, dans un match sous tension, l’Inter est finalement parvenue à rentrer à la maison avec les trois points. Il aura fallu batailler face à une vaillante équipe autrichienne qui a fait comprendre la raison de sa performance sur le terrain du Benfica. Si Alexis Sanchez ouvre le score à la 19ème minute de jeu, celui-ci tombe lors d’un moment fort de l’équipe estampillé Red Bull. Peu avant l’heure de jeu, Gloukh conclu une très belle action à l’entrée de la surface de la réparation : Sa reprise ne laissant aucune chance à Yann Sommer. Moins de dix minutes plus tard, Hakan Çalhanoğlu converti un pénalty obtenu par Davide Frattesi. Lautaro Martinez y était allé de son petit but au terme de l’action de la soirée, mais celui-ci, pour un bout de rotule de Davide Frattesi au départ de l’action se verra refusé pour hors-jeu. L’Inter serrera les fesses dans les arrêts de jeu, mais parviendra filament à l’emporter! Notre Beneamata se déplacera à présent en terre autrichienne et, en cas de victoire combiné à une victoire de la Real Sociedad sur son terrain, la qualification pour les huitième de finale sera déjà actée à deux journées de fin de cette phase de groupe. En effet, la Sociedad a surpris Benfica sur ses terres qui n’est plus que l’ombre d’elle-même Tableau Récapitulatif Inter 2-1 Salzburg Buteur(s): 19' Sanchez (I), 57' Gloukh (S), 64' Çalhanoğlu (I, pen.) Inter: 1 Sommer; 28 Pavard, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries (65' 36 Darmian), 16 Frattesi, 20 Çalhanoğlu (76' 21 Asllani), 22 Mkhitaryan (46' 23 Barella), 30 Carlos Augusto; 70 Sanchez (85' 9 Thuram) 10 Lautaro Martinez (85' 14 Klaassen) Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 15 Acerbi, 31 Bisseck, 32 Dimarco Entraîneur: Simone Inzaghi RedBull Salsburg: 24 Schlager; 70 Dedic, 22 Solet, 31 Pavlovic, 17 Ulmer; 18 Bidstrup (72' 19 Konate), 27 Gourna-Douath (85' 7 Capaldo); 10 Sucic, 30 Gloukh (85' 32 Forson), 14 Kjaergaard (72' 45 Nene); 23 Simic (72' 21 Ratkov) Banc: 1 Manti, 41 Krumrey, 6 Baidoo, 15 Diambou, 39 Morgalla Entraîneur: Gerhard Struber Arbitre: Letexier VAR: Brisard Averti(s): Simic (S), Mkhitaryan (I), Gourna-Douath (S), Struber (S) Expulsé(s): / Affluence: 71.825 Tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. L'Inter recevra ce mardi 24 octobre 2023, à 18h45, le RedBull Salzbourg à 18h45 dans le cadre de la troisième journée du Groupe D de la Ligue des Champions 2023/2024. A cette fin, Simone Inzaghi s’est livré à la traditionnelle conférence de presse d’avant-match au Suning Training Centre d’Appiano Gentile. Comment se présente l’Inter à face à cette grande rencontre ? "Nous arrivons en forme, nous avons gagné contre le Torino et ce n’était pas simple. Nous allons disputer demain une rencontre importante dans un groupe très équilibré. Nous devrons rester concentré car Salzbourg est une équipe solide qui, lors de la première journée, est allée gagner à l’extérieur contre le Benfica." Comment trouvez-vous Thuram jusqu’à présent, est-ce une surprise ? "Ses qualités sont connues de tous, il a changé de championnat et de pays et il aurait pût être confronté à quelques difficultés, mais lui au contraire à été excellent pour se mettre à son avantage. Il nous donne d’excellentes réponses et il doit continuer à travailler de la sorte, comme il le fait quotidiennement." Avez-vous des doutes dans le choix de votre formation ? "Il y a différentes décisions à prendre car nous avons joué aussi samedi à Turin. Il y aura quelques changements car la rotation doit être une valeur ajoutée qui te vient en aide pour gérer la fatigue physique et mentale." Sanchez est-il déjà prêt à jouer dès l’entame du match ? "Oui, il est prêt, c’est un joueur qui a vraiment tenu à revenir avec énormément d’enthousiasme. Il travaille très bien depuis des semaines et il a aussi joué en équipe nationale. Je ne sais pas s’il sera titularisé d’entrée, mais il est très important pour nous." Les ailiers peuvent-il se nommer Dumfries et Carlos Augusto ? "Les ailiers sont ceux qui se dépensent le plus parmi tout le monde. Les changements à ce poste se font quasi tous le temps par nécessité. En ce moment, il me manque Cuadrado, mais par chance, j’ai Darmian qui parvient aussi à me donner un coup de main à ce poste." Avez-vous plus peur de cette rencontre que les autres ? "Ce match est délicat car nous sommes à l’intérieur d’un groupe équilibre. Chaque rencontre est importante et il faudra faire preuve d’énormément de concentration." Comment sera tactiquement disputée cette rencontre ? "C’est une équipe qui sait très bien jouer au football, qui a un dispositif agressif, même si lors d’un match amical que nous avons disputé en présaison, elle jouait différemment. Ils savent varier leur jeu et lorsqu’ils sont en possession, ils savent jouer de façon verticales vers leurs attaquants qui sont très physique : Nous devrons disputer une rencontre Da Inter." Vu la lutte en Championnat pour la première place et aussi la phase de groupe en Ligue des Champions, le fait d’être dans l’obligation de ne pas perdre de point est-elle positive ? "Nous sommes en tête dans les deux compétitions, nous savons qu’il y a énormément de rencontres devant nous, mais je me dois de rester concentrer sur le lendemain, en sachant que nous aurons toujours face à nous, un adversaire qui tentera de nous créer des problèmes." Vous que vous ne perdez plus votre voix depuis plusieurs semaines, cela veut-dire que vous vous énervez moins ? "Cette année, je me suis promis de moins perdre la voix, mais je sais que je peux avoir ce type de problème, je cherche aussi à m’améliorer." Que manque-t ’il à Pavard, d’un point de vue Technique, pour devenir le "Bastoni" de l’aile droite ? "Je suis très content de Pavard qui est un joueur idéal pour notre système de jeu. Il a toujours réalisé de très belles prestations dans les rencontres qu’il a joué et il est aussi parvenu à s’insérer un peu plus vers l’avant : Je suis très satisfait de ce qu’il propose." Lautaro est-il "Da Ballon d’Or" ? "Oui, pour le parcours qu’il a réalisé, pour les titres gagnés. Selon moi, il serait juste qu’il se retrouve parmi les prétendants s’il parvient à continuer à travailler de cette façon." Comparé à Onana, la typologie des entrainement pour construire de l’arrière, a-t ’elle changée avec Sommer ? "Les principes du jeu sont restés les mêmes : Sommer est un excellent gardien, un très grand professionnel qui est excellent avec ses pieds : Il a de grandes qualités technique et je suis heureux de ce choix fait par le Club." Quelle est la chose qui diffère, au niveau de la condition physique, pour un joueur qui part rejoindre son équipe nationale ? "Pour ceux qui restent ici, l’entrainement est différent car il n’y a plus de voyage, ni de match : Ils savent donc s’entrainer au mieux. Klaassen, par exemple, est rentré samedi car il s’était entrainé ici, alors que Sanchez, qui avait voyagé et disputé deux matchs a déposé énormément d’énergies." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. L'Inter a battu le Torino à l'extérieur grâce à trois buts restés sans réponse inscrits en seconde mi-temps et sont leader provisoire du championnat. Ce sont trois points vitaux qui suivent une première mi-temps serré. Puis, cela a été tout pour l'Inter en seconde mi-temps. La blessure de Schuurs et les changements d'Inzaghi ont mené à une domination totale de l'Inter dès les dix premières minutes de la seconde mi-temps. Il y a eu peu d'occasions lors des 45 premières minutes, cependant le Torino a mieux fini la première et a mis l'Inter sous pression. Ensuite, après la pause, tout a changé. Dumfries, quasiment sur sa première action, en sortant du banc, passa la balle à Thuram pour l'ouverture du score; Tikus a marqué son troisième but de la saison avec une tentative précise. Résumé du match Le Torino n'a pas eu la force de revenir et rapidement l'Inter en a marqué un deuxième. Calhanoglu enroula un corner, la balle est prolongée par Acerbi et c'est terminé par Lautaro de la tête. 11 buts en neuf matchs de championnat pour El Toro cette saison. C'était trop pour le Torino et l'Inter commença à contrôler le match, et est même passé proche d'un troisième en deux occasions. Le troisième est venu dans le temps additionnel quand Calhanoglu marqua sur penalty. L'équipe d'Inzaghi a maintenant 22 points et se prépare pour le match de mardi contre Salzburg en Ligue des Champions. TORINO 0-3 INTER Buteurs : 60' Thuram (I), 67' Lautaro (I), 95' Calhanoglu (I) pen TORINO (3-4-2-1): 32 Milinkovic-Savic; 61 Tameze, 3 Schuurs (15 Sazonov 51'), 13 Rodriguez; 19 Bellanova, 28 Ricci, 77 Linetty (8 Ilic 86'), 20 Lazaro; 16 Vlasic, 23 Seck (66 Gineitis 74'); 11 Pellegri (9 Sanabria 74'). Remplaçants : 1 Gemello, 71 Popa, 6 Zima, 8 Ilic, 10 Radonjic, 27 Vojvoda, 79 Savva, 84 Antolini, 94 N'Guessan. Entraîneur: Ivan Juric. INTER (3-5-2): 1 Sommer; 28 Pavard (2 Dumfries 57'), 6 De Vrij, 15 Acerbi; 36 Darmian (31 Bisseck 92'), 23 Barella (16 Frattesi 57'), 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco 30 Carlos Augusto(57'); 9 Thuram, 10 Lautaro (14 Klaassen 82'). Remplaçants : 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 21 Asllani, 31 Bisseck, 42 Agoume, 70 Sanchez, 95 Bastoni. Entraîneur: Simone Inzaghi. Avertissements : Barella (I), Linetty (T) Arbitre : Marchetti. Assistants: Liberti, Perrotti. Quatrième arbitre: Rapuano. VAR: Nasca. Assistant VAR: Paganessi. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  14. Protagoniste de "New Brothers", le nouveau format d'Inter TV dans lequel les nouveaux visages des Nerazzurri racontent leur histoire à travers des interviews exclusives, Yann Sommer, le nouveau gardien de but de l'Inter, a raconté son histoire en dehors du football. Voici ses mots : Quel âge aviez-vous lorsque vous avez commencé à jouer au football ? Avez-vous pratiqué d'autres sports ? "J'ai commencé à jouer à l'âge de quatre ans et non, j'ai toujours joué au football." Si vous n'aviez pas été footballeur, qu'auriez-vous fait ? "C'est une question difficile, car j'ai toujours voulu être footballeur. J'ai toujours joué au poste de gardien de but depuis mon premier entraînement et je voulais simplement jouer au poste de gardien de but." Y a-t-il un joueur qui vous a inspiré ? "Il y a beaucoup de grands gardiens de but. Je pense par exemple à Casillas ou à van der Sar. Mon père et mon oncle ont également joué dans les buts. C'est une histoire de famille." Quel est le premier cadeau lié au football que vous avez reçu ? "Des gants bien sûr, mes parents me les ont offerts." Y a-t-il eu des moments difficiles dans votre carrière ? "Il y a toujours des moments difficiles dans la vie d'un footballeur. Depuis des années, je travaille avec un préparateur mental, il m'aide à certains moments et c'est important de parler à quelqu'un quand ça ne va pas. C'est important de parler à quelqu'un quand les choses ne vont pas bien. Cela aide à se sentir mieux." Quand le soutien de votre famille et de vos filles est-il important ? "Ils m'aident beaucoup. Quand je rentre à la maison, je découvre un autre monde. De Yann le gardien, je deviens Yann le père, et c'est très important pour moi." Quelle est la plus grande leçon que vous ayez reçue et qui vous l'a donnée ? "Les meilleures leçons sont tirées des expériences vécues. Nous apprenons toujours quelque chose. Mais les leçons les plus importantes m'ont été données par mes parents." Vous avez plusieurs passions en dehors du football. À laquelle essayez-vous de consacrer le plus de temps ? "Évidemment à mon rôle de père. Aujourd'hui, j'ai moins de temps, mais j'aime faire de la musique et cuisiner. Tout ce qui n'est pas le football, en somme." Une de vos qualités et un de vos défauts. "J'essaie toujours d'être heureux et calme. Un défaut ? Il m'arrive de trop réfléchir." Quelle est l'importance de la vie dans les vestiaires pour vous ? "Il faut qu'il y ait un bon environnement et une bonne entente. Si vous voulez réussir, vous devez former une équipe unie." Le talent ou la détermination comptent-ils plus dans le football ? "Sans aucun doute la détermination. Il faut du talent, bien sûr, mais j'ai rencontré beaucoup de joueurs dans ma carrière qui avaient peut-être moins de talent, mais qui ont travaillé dur et qui ont fait preuve de beaucoup de passion, sans jamais abandonner. Et ils ont atteint les plus hauts niveaux. Il faut donc beaucoup de détermination". ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  15. Giuseppe Marotta s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il n’élude aucune question : "J’ai remporté mon premier Scudetto à Turin, avec Conte, lors de la saison sans engagement européen." Juventus "L’expérience me dit que pouvoir planifier une saison juste avec un championnat et la Coupe d’Italie représente un avantage. C’est pour cette raison que je vous dis que la Juve est favorite pour le Scudetto." Mais pourquoi donc, vous Dirigeants et Joueurs, vous vous livrez énormément sur la Seconde Etoile ? "Je dis Non à l’excès de prudence et d’humilité : Si tu es à l’Inter, tu te dois d’être ambitieux, de placer la barre très haut. Nous nous devons d’y croire : Dire "Nous sommes les Meilleurs" est différent car ce serait un signe d’arrogance." Pourquoi l’Inter devrait remporter ce Scudetto ? Donnez-nous une raison... "Parce que nous nous sentons fort et que nous avons une grande considération en nos propres moyens, considération qui est le fruit de la saison dernière en Coupe d’Europe. Je sais aussi à quel point les Tifosi tiennent à ce Scudetto qui coïncide avec la Seconde Etoile." Votre avis sur le début de saison ? "C’était l’année la plus importante en termes de renouvellement du noyau avec 12 nouvelles arrivées de joueurs. Et malgré tout, nous avons très bien débuté." Il y a tout de même Sassuolo et Bologne… "Ce sont des circonstances défavorables : C’est évident qu’il y a aussi eu des erreurs de commises, mais je ne crois pas qu’il s’agisse d’un relâchement depuis le 5-1 du Derby. Nous devons, au contraire, nous entraîner et combattre les baisses d’attention et la fatigue mentale." Torino, Salzbourg et la Roma, l’Inter est prête ? "Elle se doit de l’être, avec Ausilio, nous avons composé un noyau capable de répondre à ce type de sollicitations." Est-ce votre Inter la plus complète ? "Sûrement oui, et aussi la plus homogène car nous avons des garanties à tous les postes." En attaque aussi ? "Si l’on se fie aux statistiques, le rempart a fonctionné de fort belle manière : Il n’y a pas eu un seul match où nous sommes resté à sec. Je dirais même que nous avons pris des buts évitables : Le Scudetto se remporte avec celui qui a la meilleure défense." Votre première Inter, en 2018-2019, proposait plus ou moins la même masse salariale que l’équipe actuelle : 116 millions d’euros. Cette fois-ci vous êtes en courses pour le Scudetto : Qu’est-ce que cela veut dire ? "Il a fallu raisonner de cette façon : Redimensionner les couts était un des objectifs, mais la Compétitivité n’a jamais été revue à la baisse. Je dirais mieux : Les joueurs importants, par la force des choses, sont accompagnés d'une masse salariale importante. Et plus que la réduction des couts, je m’intéresse à la façon dont valoriser aux maximum nos ressources. Si tu es dans un grand club, un club qui veut gagner, il ne te sera jamais possible de descendre sous un certain niveau en termes de masse salariale." Pour quelle raison prolonger le contrat de Lautaro ? "Il est juste que le Club soit attentif à la situation de ses joueurs. D’une part tu défends ton patrimoine et d’autre part, tu renforces ce sentiment d’appartenance. Lautaro n’est pas Skriniar : Il a manifesté sa volonté pour prolonger, une volonté qui correspond à la nôtre, et cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin et que notre union peut continuer sur le long terme." "Avoir des joueurs fidèles est une valeur ajoutée : S’il n’a pas un sentiment d’appartenance, un joueur ne comprendre jamais ce que veut dire disputer ou rempoter un Derby. Le Top, pour un club, est d’avoir un joueur qui renonce à partir dans des clubs plus importants pour rester lié à son club." Est-ce le joueur le plus important de notre Championnat ? Baggio a-t ’il raison ? "Oui, je ne vois personne d’autre en ce moment comme lui." Lukaku est-il un regret, une désillusion ou seulement un adversaire ? "C’est le passé! Lukaku est le passé : Il n’y a plus personne au sein du club qui pense encore à lui, Personne et je dis bien personne. Ensuite en tant qu’Homme de football, il y a des dynamiques à prendre en considération, ce n’est pas comme si c’était la première fois que cela m’arrivait." Vous êtes sur ? Vous avez un exemple similaire ? "Celui d’un joueur qui a fait semblant de vouloir prolonger et qui, en réalité, se voyait déjà ailleurs." Skriniar donc… "J’ai ressenti un très fort sentiment de désillusion car lorsqu‘un joueur ne prolonge pas, il ne va pas à l’encontre de sa classe dirigeante ou de son président, mais il va justement à l’encontre de l’Histoire et de la Valeur du Club : Il a fait du tort à l’Inter et non à quelqu’un. Il aurait pu prolonger, nous lui avions proposer tant de solution du genre comme celle de fixer une clause libératoire qui répondait aussi bien à ses exigences qu’à celles de l’Inter : Mais il a toujours dit non." Pour quelle raison l’Inter, à un moment l’été dernier, a déplacé le budget prévu pour l’attaque sur la défense ? "Car nous avons eu, dans le même temps, l’opportunité de recruter un profil de joueur important pour notre présent et pour le futur : Pavard représente une valeur patrimoniale très importante indépendamment de son rôle." Est-ce vrai que Thuram vous rappelle son père ? "Par l’Humilité, le Courage et la persévérance : Marcus a les même valeurs que Lilian, des valeurs qui sont à la base de son succès personnel." Croyez-vous-en une autre nouvelle Finale de la Ligue des Champions ? "Oui, j’y crois, car à la différence du Scudetto où c’est toujours le plus fort qui le gagne, la Ligue des Champions est un peu comme le Milan-Sanremo cycliste : Les circonstances favorables comptent." Votre avis sur Inzaghi ? "Son bilan est très positif, le Club est très content de lui: Il est arrivé à l’Inter avec une seule expérience professionnelle à son actif, à la Lazio : Il est jeune comparé à la moyenne des entraineurs de notre championnat, il peut encore se renforcer. Il est différent des autres entraîneurs que j’ai connu par le passé et c’est juste de de le définir de la sorte : Il est pour un football ouvert, spectaculaire qui diverti : Nous, nous sommes aussi l’Inter, le Spectacle doit se conjuguer avec les victoires, autrement bien jouer ne servirait à rien." Serez-vous actif sur le mercato hivernal ? On parle de Taremi comme objectif ? "Je ne crois pas. Toutefois, nous sommes l’Inter, et nous devons tours rester attentif à chaque situation et je tiens à dire une chose : Avant, les joueurs étaient réticent à accepter de rejoindre l’Inter, à présent, ils sont nombreux ceux qui veulent venir, et l’été dernier nous avons dû dire non à pas mal de personnes. Thuram, Sommer et Pavard avaient le choix : Cela veut dire que l’Inter est considéré comme crédible." A quel point a-t ‘il été difficile de clôturer le mercato estival dans le respect de l’équilibre des entrées et des sorties ? "L’Inter est aujourd’hui un modèle de soutenabilité. C’est inadmissible qu’une propriété doive continuellement injecter des fonds. Zhang l’a fait pour une somme avoisinant les 900 millions d’euros. Nous comme Managers avons un avantage, celui d’avoir la possibilité de travailler en toute sérénité et ce mérite à Zhang se doit d’être reconnu. Il n’y a plus un club actuellement qui peut se permettre de se passer du Player Trading. Un joueur important doit être vendu par an et le Tifoso a dû s’en faire une raison. Et bien plus que perdre un joueur, il faut se préoccuper de s’assurer une vie péréenne à l’équipe, en lui garantissant un présent et un futur." Où se situera l’Inter lors de la prochaine trêve hivernale à la mi-novembre ? "Je ne le sais pas, mais c’est bien mieux actuellement d’être dans la position du chasseur que du lièvre, tactiquement, c’est quelque chose que je préfère." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. La seconde fenêtre internationale 2023-24 vient juste de se finir et un total de 15 Nerazzurri ont joué des matchs de qualifications pour l'Euro 2024, des matchs de qualifications pour la Coupe du Monde ou des matchs amicaux. Six joueurs de l'Inter étaient à la disposition de Luciano Spalletti pour les matchs de l'Italie face à Malte et l'Angleterre. Davide Frattesi a inscrit le but final de la victoire des Azzurri 4-0 sur les Maltais, contre lesquels Nicolò Barella a également fait une passe décisive pour un but de Berardi. Alessandro Bastoni a été sur le terrain pour un total de 117 minutes durant ces deux matchs, pendant que Federico Dimarco a participé à 105 minutes. Matteo Darmian a joué le match entier contre Malte. Francesco Acerbi, pendant ce temps-là, a demarré contre l'Angleterre mais a été remplacé à la 63ème minute lors de de la défaite 3-1. Francesco Acerbi, Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Matteo Darmian, Federico Dimarco, Davide Frattesi (Italie) Italie 4-0 Malte (Qualifications Euro 2024) | Barella 64' (1 passe décisive), Bastoni 90', Darmian 90', Dimarco 78', Frattesi 26' (1 but) Angleterre 3-1 Italie (Qualifications Euro 2024) | Acerbi 63', Barella 90', Bastoni 27', Dimarco 27', Frattesi 90'. Comme Davide Frattesi, Benjamin Pavard a également trouvé le fond des filets : le français a inscrit un doublé durant le victoire 4-1 de son équipe en amical contre l'Écosse. Marcus Thuram a joué 106 minutes durant les deux matchs que la France a joué. Benjamin Pavard, Marcus Thuram (France) Pays-Bas 1-2 France (Qualifications Euro 2024) | Thuram 80' France 4-1 Écosse (Amical) | Pavard 90' (2 buts), Thuram 26' Cela a été une fenêtre internationale fantastique pour la Turquie d'Hakan Çalhanoğlu, qui a obtenu six points en deux matchs pour assurer la qualification à l'Euro 2024. Le milieu de terrain turc a joué 176 minutes. Kristjan Asllani, pendant ce temps, a débuté lors des deux victoires de l'Albanie contre la Republique Tchèque et la Bulgarie. Denzel Dumfries a également joué pour les Pays-Bas, accumulant 152 minutes au total. Cependant, le sélectionneur hollandais, Ronald Koeman a choisi de ne pas faire jouer Stefan De Vrij. Enfin, Yann Sommer gardait les buts de la Suisse pour la match nul 3-3 face à la Biélorussie. Hakan Çalhanoğlu (Turquie) Turquie 4-0 Lettonie (Qualifications Euro 2024) | Çalhanoğlu 90' Croatie 0-1 Turquie (Qualifications Euro 2024) | Çalhanoğlu 86' Kristjan Asllani (Albanie) Albanie 3-0 République Tchèque (Qualifications Euro 2024) | Asllani 90' Albanie 2-0 Bulgarie (Amical) | Asllani 90' Stefan de Vrij, Denzel Dumfries (Pays-Bas) Pays-Bas 1-2 France (Qualifications Euro 2024) | Dumfries 62' Grèce 0-1 Pays-Bas(Qualifications Euro 2024) | Dumfries 90' Yann Sommer (Suisse) Suisse 3-3 Biélorussie (Qualifications Euro 2024) | Sommer 90' Trois Nerazzurri étaient impliqués dans les qualifications pour la Coupe du Monde, zone Amérique du sud. L'Argentine continue de gagner, le Paraguay et le Pérou sont devenues les dernières équipes battues par l'Albiceleste. Lautaro Martinez a pris part aux deux matchs, commençant le premier et jouant un total de 102 minutes. Une fenêtre internationale douce-amère pour Carlos Augusto, qui a fait ses débuts avec le Brésil, lors de la défaite de la Seleção en Uruguay. L'arrière latéral de l'Inter a joué 73 minutes avant d'être remplacé. Alexis Sanchez, pendant ce temps, a joué 180 minutes pour le Chili. Lautaro Martinez (Argentine) Argentine 1-0 Paraguay (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Lautaro 90' Pérou 0-2 Argentine (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Lautaro 12' Carlos Augusto (Brésil) Brésil 1-1 Vénézuela (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Carlos Augusto, non utilisé Uruguay 2-0 Brésil (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Carlos Augusto 73' Alexis Sanchez (Chili) Chili 2-0 Pérou (Qualifications Coupe du Monde 2026)|Sanchez 90' Vénézuela 3-0 Chili (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Sanchez 90' ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  17. Les Nerazzurri sur le terrain pour la 8ème journée de Série A Un super début et un but incroyable de Lautaro Martinez n'ont pas été suffisant pour prendre le meilleur sur Bologne. L'Inter a été tenu en échec 2-2 à Giuseppe Meazza par les Rossiblu, en dépit d'une avance de deux buts pris dans les 13 premières minutes. Un excellent départ avec la tête d'Acerbi et puis ensuite la redoutable frappe du droit de Lautaro Martinez pour mener 2-0. L'Inter avait le contrôle du match, dominant jusqu'à le jeu change complètement par le but du 2-1: un penalty accordé par la VAR et transformé par Orsolini, qui maintint Bologne dans le match, coupant l'élan Nerazzurro et ravivant l'équipe de Thiago Motta. Le but de Zirkzee, au début de la seconde période, ridiculisant la défense de l'Inter, fixa le score à 2-2 que les Nerazzurri ne purent changer. Les remplacements, le jeu vers l'avant, la générosité : l'Inter a tout tenté, mais plus avec leurs cœurs qu'avec leurs têtes. La quête des Nerazzurri pour un troisième était un peu confuse et hélas, le but n'est jamais venu. A la place, les Nerazzurri ont fait leur premier match nul de la saison en série A: un 2-2 amère, l'Inter a maintenant 19 points après huit matchs. Les Nerazzurri seront de retour sur le terrain après la trêve internationale, dans deux semaines, le 21 Octobre, chez le Torino. INTER-BOLOGNE 2-2 | INFOS Buteurs : 11' Acerbi (I), 13' Lautaro (I) 19´ pen Orsolini (B) 52' Zirkzee (B) INTER (3-5-2): 1 Sommer; 28 Pavard, 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (7 Cuadrado 54'), 23 Barella, 20 Calhanoglu (21 Asllani 82'), 22 Mkhitaryan (16 Frattesi 75'), 32 Dimarco (30 Carlos Augusto 54'); 9 Thuram (70 Sanchez 54'), 10 Lautaro. Remplaçants : 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 6 De Vrij, 14 Klaassen, 31 Bisseck, 36 Darmian, 42 Agoume. Entraîneur: Simone Inzaghi. BOLOGNE (4-2-3-1): 28 Skorupski; 29 De Silvestri (16 Corazza 82'), 31 Beukema, 33 Calafiori, 22 Lykogiannis; 8 Freuler, 20 Aebischer; 7 Orsolini (17 El Azzouzi 82'), 19 Ferguson, 11 Ndoye (56 Saelemaekers 60'); 9 Zirkzee (77 Van Hooijdonk, 75'). Remplaçants: 34 Ravaglia, 50 Gasperini, 6 Moro, 10 Karlsson, 14 Bonifazi, 80 Fabbian, 82 Urbanski. Entraîneur: Thiago Motta. Avertissements : Ndoye (B), Lautaro (I), Bastoni (I) Note: Entraîneur de l'Inter Inzaghi, averti Arbitre: Guida. Assistants: Prenna, Di Gioia. Quatrième Arbitre : Feliciani. VAR: Marini. Assistant VAR: Maresca. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  18. Benjamin Pavard et Marcus Thuram, nos deux nouvelles recrues tricolores auront marqué ,de leurs empreintes, la très importantissime victoire de l’Inter dans un Giuseppe Meazza toujours en fusion Si la première mi-temps est intense mais sans proposer un très grand relief, il faut tout de même souligner deux excellente parades de Yann Sommer sur des tir portugais malgré un évident hors-jeu sur le second ! La seconde mi-temps, elle, sera à sens unique et aura vu Trubin prendre le meilleure sur un Lautaro Martinez qui aura vu, la barre, le poteau, le pied de Trubin et finalement Otamendi, lui priver d’un but ô combien mérité pour notre capitaine La situation se débloquera toutefois à la 62ème minute de jeu lorsque, lancé en profondeur Denzel Dumfries qui se donne, mais qui ne parviendra jamais à cadrer l’une de ses propres possibilités, remise en retrait dans la surface pour notre Tikus. La reprise de notre numéro 9 sera imparable. Si quelques instant après Federico Dimarco semblait, méritoirement, doubler la mise, celui-ci verra son but refusé pour un hors-jeu également évident. La soirée aurait pu être bien plus calme sans les arrêts de Trubin, mais surtout avec une expulsion qu’aurait mérité Neres, auteur d’un coup volontaire via ses crampons dans la joue d’un Lautaro Martinez qui se verra averti pour sa fougue L’Inter se contentera donc du minimum syndical, mais trône en tête du groupe avec la très belle Real Sociedad qui a désossé le Red-Bull Salzbourg en Autriche Place à la prochaine rencontre qui se tiendra ce dimanche au Meazza face à Bologne : Radu n’étant plus là, ça devrait le faire ! Tableau Récapitulatif Inter 1-0 Benfica 1-0 Buteur(s): 62' Thuram Inter: 1 Sommer; 28 Pavard, 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (72' 36 Darmian), 23 Barella (92' 14 Klaassen), 20 Çalhanoğlu (84' 21 Asllani), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (84' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram (72' 70 Sanchez), 10 Lautaro Martinez Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 6 De Vrij, 7 Cuadrado, 31 Bisseck, 49 Sarr T1: Simone Inzaghi Benfica: 1 Trubin; 6 Bah (22' 44 Araujo), 30 Otamendi, 5 Morato, 14 Bernat (80' 9 Cabral); 87 Joao Neves, 10 Kokcu (69' 22 Chiquinho); 11 Di Maria (80' 13 Jurasek), 8 Aursnes, 27 Rafa Silva (69' 33 Musa); 7 Neres Banc: 24 Soares, 45 Kokubo, 17 Gonçalo Guedes, 19 Tengstedt, 20 Joao Mario, 47 Antunes, 61 Florentino T1: Roger Schmidt Arbitre: Makkelie VAR: Dieperink Averti(s): Tengstedt (B), Lautaro Martinez (I), Barella (I), Dumfries (I), Asllani (I) Expulsé(s): / Affluence: 66.573 Tifosi Recettes: 5.328.969 € ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. En effet, après s’être offert le scalp de la Juventus ce dimanche, la bande de Domenico Berardi a remis le couvert en s’offrant le Vice-Champion d’Europe Nerazzurro au Giuseppe Meazza Si l’Inter était parvenue à enflammer le match lors des 10 premières minutes de jeu, celle-ci s’est complétement éteinte par la suite, avec une fatigue aussi bien physique que mental de la plupart de nos cadres, la faute aussi à un manque de turn-over non-réalisé jusqu’à présent. Si, finalement Denzel Dumfries se crée lui-même son but en toute fin de première période, nos Nerazzurri craqueront dès l’entame de la seconde période en encaissant deux buts en l’espace de 10 minutes des œuvres de Nedim Bajrami et de Domenico Berardi, l'italien qui confirme son statut de véritable bête noire, auteur de la passe décisive et d’un Eurogol qui laisse sur place Yann Sommer. Si celui-ci évitera la correctionnelle ensuite, l’Inter, complètement amorphe ne parviendra plus à se remettre dans la rencontre malgré les classiques et trop tardifs remplacements. S’il n’y pas péril en la demeure, l’Inter ne sera pas parvenu à s’échapper en tête et voit le Milan Ac revenir à égalité et la Juventus à deux points. Une défaite qui aura le mérite de faire mal à nos Nerazzurri, de les vexer et réaction est vivement attendue ce samedi soir à Salerne à 20h45 où le faux-pas sera totalement interdit! Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Sassuolo Buteur(s): 45+1' Dumfries (I), 54' Bajrami (S), 63' Berardi (S) Inter: 1 Sommer; 36 Darmian, 15 Acerbi, 95 Bastoni (68' 6 De Vrij); 2 Dumfries, 23 Barella, 20 Çalhanoğlu (85' 14 Klaassen), 22 Mkhitaryan (68' 16 Frattesi), 32 Dimarco (68' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram (68' 70 Sanchez), 10 Lautaro Martinez Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 21 Asllani, 28 Pavard, 31 Bisseck, 42 Agoumé, 47 Kamate, 49 Sarr, 50 Stankovic T1: Simone Inzaghi Sassuolo: 47 Consigli; 22 Toljan, 5 Erlic (82' 13 Ferrari) 21 Viti (61' 44 Tressoldi), 17 Vina (46' 3 Pedersen); 24 Boloca, 7 Matheus Henrique; 10 Berardi, 11 Bajrami (61' 20 Castillejo), 45 Laurienté; 9 Pinamonti (78' 92 Defrel) Banc: 25 Pegolo, 28 Cragno, 2 Missori, 6 Racic, 8 Mulattieri, 14 Obiang, 15 Ceide, 23 Volpato, 42 Thorstvedt T1: Alessio Dionisi Arbitre: Massimi VAR: Abbattista Averti(s): Inzaghi (I), Matheus Henrique (S) Expulsé(s): / Affluence: 70.864 Tifosi ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. Simone Inzaghi, Lautaro Martinez, Benjamin Pavard, Yann Sommer et Davide Frattesi se sont livrés, au terme d’une soirée de Ligue des Champions qui aurait pu virer au cauchemar, à Inter TV “Nous avons affronté un adversaire valeur et nous avons énormément souffert en première période, mais nous avons été bon pour rester dans le match et égaliser. C’était notre match d’ouverture en Ligue des Champions et nous prenons ce point. Nous avons constaté de par nous-même que la Real Sociedad est vraiment une excellente équipe." "Les gars jouent énormément et nombre d’entre-deux ont aussi disputé des matchs internationaux : Nous avons été bons pour rester dans la partie grâce aussi aux intervention de Sommer qui nous a très bien aidé. Les vingt dernières minutes ont été jouée de la meilleure des façons possibles." Le Turn-Over ? "Nous avons vu que dans ce type de match, que nous avons besoin de tout le monde et je me comporterais toujours de la sorte car il y a tant de match à disputer. Je félicite les garçons qui ont su s’accrocher dans un match extrêmement compliqué" - Simone Inzaghi "Nous n’avons pas bien joué, nous sommes mal rentrés dans notre première période et nous nous sommes retrouvé en difficulté, on aurait pu faire mieux. Je ne crois pas en la fatigue : Le fait est que la Real Sociedad joue de cette façon, ils ont joué très haut et nous n’avons pas été bon pour attaquer les espaces. Ils ont su nous surprendre dans notre propre partie du terrain et, nous nous devons de mieux travailler nos sorties, elles se doivent d’être plus propre." "L’Important est d’être sorti de ce stade avec un partage car ils mettent et mettront en difficultés tellement d’équipes, c’est un groupe compliqué. L’important était de ne pas perdre et nous avons été bon pour rester dans le match : Nous avons fourni un effort intense pour égaliser, mais nous n’avons de toute façon pas joué à notre niveau : Nous devons hausser notre niveau pour savoir faire la différence." - Lautaro Martinez "Je viens à peine d’arriver mais il y a énormément d’agressivité, de tactique et j’ai encore tant à apprendre de cette grande équipe. Je suis tout de même heureux d’avoir disputé mon premier match. Nous devons récupérer rapidement car nous retrouverons le terrain dimanche et nous voulons remporter les trois point. Nous avons souffert mais c’était important de ne pas perdre et d’avoir gagné un point. On s’attendait à un match compliqué ici. Dimanche, ce sera un tout autre match et nous devrons rentrer à la maison avec la Victoire." - Benjamin Pavard "On s’attendait à affronter une équipe aussi agressive, avec énormément de qualité et qui met une pression intense à ses adversaires. Il y a des soirs comme ça: Nous avons commis quelques erreur, et c’est toujours compliqué lorsque tu joues à l’extérieur face à une équipe de ce style. Au final, c’est un bon point pour nous, nous débutons avec un bon résultat et c’est toujours important d’y parvenir, nous pouvons être tout de même satisfait car nous avons fait preuve de caractère et de plus de sécurité en seconde période." "Nous avons eu très peu d’occasions pour marquer, peut-être que deux, mais cela nous a suffi pour inscrire un but, nous avons été tout de même efficace. A présent, il faudra analyser cette rencontre face à la Real Sociedad et les erreurs commises en première période pour nous préparer au mieux à notre prochain match à l’extérieur et poursuivre notre parcours." -Yann Sommer "Ce n’était pas facile car nous avons joué sur un terrain très hostile. Nous avons été bon pour nous reprendre en seconde période et avons démontré que, lorsque nous jouons comme nous sommes capable de le faire, que nous pouvons mettre en difficulté n’importe qui. Il faut aller de l’avant avec ce résultat positive vu comment les choses ont tourné." "La meilleure chose à retenir de notre première période est que l’on a fait preuve de compacité, et en seconde, nous avons été bons pour égaliser. A présent, il faut penser à Empoli qui sera également une autre rencontre difficile." - Davide Frattesi Pressé comme des Oranges (huhu!) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Et, si finalement et comme il en a l'habitude, Giuseppe Marotta a su flairer le double bon coup ? A savoir recruter un joueur qui en a encore sous le pied tout en libérant, à prix d'or, un joueur sur la pente descendante ? Cette thématique a été passé en revue par la Gazzetta Dello Sport qui s'est penchée sur la situation entourant Yann Sommer et André Onana "Dans l'équipe de l'Inter qui s'est pris les pieds dans le tapis, mais qui a quand même fait match nul, au San Sebastian contre la Real Sociedad, Yann Sommer a été l'un des rares à se sauver. Arrivé cet été pour remplacer Onana, il était très certainement le meilleur joueur sur le terrain et, petit à petit, au son de sesarrêts, il est en train de balayer les doutes sur sa valeur." "Tous les Interistes ou presque ont, durant l'été, évoqué la vente d'André Onana à Manchester United: Un acte qui s'imposait sur le plan financier étant donné que le gardien camerounais, était arrivé gratuit en 2022 en provenance de l'Ajax Amsterdam. Celui-ci a d'ailleurs été vendu pour 52 millions et demi d'euros, plus 5 de bonus, ce qui représente ue gigantesque et réelle plus-value qui a permis à l'Inter de financer aussi bien son Mercato que de redresser ses comptes." "Pour le remplacer, Marotta et Ausilio ont donc acheté Yann Sommer au Bayern Munich pour 6 millions d'euros et une pluie de critique: Vieux car âgé de 34 ans, petit car il mesure 1,83 mètre, une taille inadéquate pour un gardien de la génération actuelle. Mais le football est étrange et ce qui ressemblait à un "déclassement", à la lumière de la première journée de la nouvelle Ligue des Champions, est devenue une amélioration." "Car Onana, lors de Bayern Munich-Manchester United 4-3, a commis une nouvelle erreur en cette première partie de saison tandis que Sommer, au San Sebastian contre la Real Sociedad, a maintenu l'Inter dans le match avec au moins deux interventions décisives et remarquables, et au final, Lautaro a égalisé" "C'est pourquoi on peut dire aujourd'hui que l'Inter a gagné en passant d'André Onana à Yann Sommer: Onana a déjà encaissé 14 buts, dont 10 en championnat et 4 en Coupe d'Europe, soit plus de deux buts par match en moyenne. Et si ce n'est pas entièrement de sa faute, Manchester United étant décevant jusqu'à présent, Onana semble être redevenu le gardien de but qui alternait les hauts et les bas comme cela était visible du temps de l'Ajax." "Lors de sa saison à l'Inter, il avait atteint une fiabilité qu'il semble avoir immédiatement perdue en quittant Milan. Sommer, contrairement à Onana, peut afficher des statistiques flatteuses. En cette première partie de saison, il n'a encaissé que 2 buts en 5 matches, 4 de Serie A et 1 en Ligue des Champions." "En championnat, il n'a été battu par Leao, dans le Derby remporté par l'Inter 5-1. En Europe, il a été battu par Mendez, suite à une erreur de Bastoni à la relance et Sommer ne peut être blâmé pour aucun des deux buts. Sur celui en Espagne, il n'y a pas de responsabilité, sur celui contre l'Ac Milan, on peut peut-être chercher la petite bête car le ballon est passé sous son gant gauche, mais il pleuvait, le terrain était lourd et le tir puissant." "L'impact de Sommer à l'Inter est important car nous parlons d'un gardien qui a joué 291 fois en Bundesliga, 92 fois en Coupe d'Europe et 84 fois en équipe nationale Suisse". Pensez-vous que Marotta a de nouveau "Ken" la Premier League ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Ces derniers jours, Samir Handanovic s’est livré à une interview, en toute franchise, à la Gazzetta Dello Sport . Son retour à l’Inter "Avant tout, j’ai arrêté de jouer et je suis en paix et heureux comme ça, je place ma Famille par-dessus-tout. A présent, le second chapitre de ma vie débute et je peux vous dire que le club et moi-même souhaitons continuer, ensemble dans un nouveau rôle et que toutes les conditions sont réunies pour que cela se produise. Au-delà de tout, je raisonne avec une vision toujours plus grande : Pour le bien de l’Inter." Samir l’entraineur ? "Cela peut vous sembler étrange au début, car je suis encore dans une bonne condition physique et que j’aurais pu faire une autre année, mais lorsqu’on fait le compte, c’est quelque chose de normal, je n’ai aucun regret et j’ai les idées claires : Tôt ou tard j’aimerais devenir entraîneur, mais pas celui des gardiens mais l’entraineur à 360°." Son rapport avec Onana "Ses remerciements m’ont fait plaisir, mais je n’ai pas aimé son comportement lors de ses deux premiers mois ici, lorsqu’il ne jouait pas. Ensuite, il m'a toujours dit la vérité, il a toujours été direct avec moi. J’ai toujours été cohérent avec lui et je l’ai même aidé. Mais personne n’a jamais dit que l’année dernière j’ai eu des blessures qui m’ont pénalisé : un poignet cassé, un doigt cassé et un mollet en tension. Mais j’étais toujours sur le banc, même si j’étais indisponible. Je ne me dresserais jamais contre le club, j’ai un sentiment d’appartenance envers le Club et envers les Tifosi." Captain Argentina "Lautaro a toutes les qualités, mais il doit être soutenu par un groupe de Leaders qui tirent la charrette dans le même sens que lui. Je fais référence au Bloc Italien qui connait bien la Serie A et l’ADN du Club, je me réfère à Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Matteo Darmian, et à Federico Dimarco”. Le Derby Della Madonnina "C’est le Derby le plus beau du Monde, Dans ces match, le Meazza propose une énergie unique, il te fait bouillir la pelouse et te fait tourner le vent : Tu peux être riche et célèbre, mais jamais rien ne te donnera ce frison: Celui d'être dans un Volcan en ébullition : Je le chérirai toute ma vie." L’Inter 2023/2024 "Marcus Thuram et Davide Frattesi sont d’excellents joueurs talentueux capable de s’insérer en toute facilité. L’Inter présente plus de certitude, comme je vous l’ai dit auparavant, nous avons construits des fondations solides, tous ensemble !" Sommer "Notre but est entre de bonnes mais: Sommer est un très bon gardien qui est très doué. Il y a aussi Audero qui est talentueux et qui a la juste ambitionne après tant d'années en Serie A. Être le gardien de l'Inter n'est pas un métier facile, seul le temps peut te permettre d'établir un jugement." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Les débuts en Ligue des Champions sont toujours une inconnue, et l'Inter n'a pas échappé à la règle cette fois-ci. Car Simone Inzaghi ne s'attendait sans doute pas à autant de difficultés en voyant l'Inter encaisser un but après seulement quatre minutes de jeu et une très rare faute professionnelle d’Alessandro Bastoni, sans oublier un poteau dans les secondes le précédant. Nos Nerazzurri ne sont pas parvenu à maintenir ni même à contenir la Tempête basque qui s’est abattue sur eux jusqu’à la 70ème minute de jeu. Des basques qui ont fait preuve de roublardise comme lorsqu’ils ont tenté de faire expulser Nicolò Barella pour une faute imaginaire qui aura permis à l’arbitre Michael Oliver, de revoir sa décision, après avoir été contacté par la VAR. "Vexé" nos Nerazzurri sont parvenus à se relancer pour cette fin de match, après avoir frôlé la correctionnelle. Preuve en est via Carlos Augusto qui servait Marcus Thuram dans la surface de réparation et qui voyait le français arracher une égalisation contre le cours du jeu. Mais Cette joie fut de courte durée étant donné que le brésilien était hors-jeu à la base de l’action. Cuit après avoir tout donné, les joueurs basques ont par la suite payé au prix fort leur manque de concrétisation et si Yann Sommer peut remercier ses poteaux et sa barre transversale, il aura été lui-même déterminant en maintenant notre Bien-Aimée. Et dans ce genre de situation, si tu ne parviens pas à tuer ton adversaire tu en payes le prix! L’Inter, retrouvant des couleurs, a fini par faire parler la poudre et son expérience lorsqu’à la 87ème, via une tentative à distance de Davide Frattesi à l’entrée de la surface basque, le tir de l'italien se transforme en passe décisive pour notre Capitaine Argentin, dans ce qui est la seule et véritable occasion dangereuse de nos Nerazzurri. Un but de renard des surface que ne renierait certainement pas le frère de notre entraineur! Si ce point n’est pas totalement mérité, et s’il semble évident que l’Inter n’avait pas pris assez au sérieux son adversaire du soir, ce petit point est ô combien précieux pour la suite de la compétition tant donné que, dans le même temps, le Benfica s’est fait surprendre par l’équipe autrichienne de Salzbourg. RedBull te donne tes aileuuuus Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Real Sociedad 1-1 Inter Buteur(s): 4' Brais Mendez (R), 87' Lautaro Martinez (I) Real Sociedad : 1 Remiro; 18 Traoré, 5 Zubeldia, 24 Le Normand, 17 Tierney (62' 3 Munoz); 23 Mendez (85' 20 Pacheco), 4 Zubimendi, 8 Merino; 14 Kubo (72' 2 Odriozola), 10 Oyarzabal (72' 19 Sadiq), 7 Barrenetxea (62' 11 Cho) Banc: 30 Ayesa, 32 Unai Marrero, 12 Zakharyan, 16 Olasagasti, 22 Turrientes, 26 Gonzalez, 28 Magunacelaya T1: Imanol Alguacil Inter: 1 Sommer; 28 Pavard, 6 De Vrij (76' 15 Acerbi), 95 Bastoni (55' 32 Dimarco); 2 Dumfries, 23 Barella, 21 Asllani (55' 16 Frattesi), 22 Mkhitaryan (70' 70 Sanchez), 30 Carlos Augusto; 8 Arnautovic (55' 9 Thuram), 10 Lautaro Martinez Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 14 Klaassen, 31 Bisseck, 36 Darmian T1: Simone Inzaghi Arbitre: Michael Oliver VAR: Attwell Averti(s): Asllani (I), Mkhitaryan (I), Inzaghi (I), Pavard (I), Zubeldia (R) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Arrivé à l'Inter en remplacement d'André Onana, Yann Sommer a du temps devant lui pour convaincre les Tifosi de la justesse de son choix. Dans une longue interview accordée à la Gazzetta Dello Sport, le gardien helvétique s'est livré sur les raisons de son arrivée chez la Bien-Aimée : "Car l'Inter, c'est... l'Inter. Elle signifie Tradition, Force et Excellence. Quand j'ai choisi les Nerazzurri, j'ai analysé toute la situation : L'entraîneur, l'entraîneur des gardiens, le style de jeu, le stade, les supporters, la vie dans la ville pour ma famille et j'ai compris que c'était l'endroit idéal pour moi." Aviez-vous peur que le transfert capote ? "Je n'ai jamais eu peur de ne pas venir, j'ai toujours été calme pendant les négociations. Je ne sais pas comment les choses se sont passées entre les deux clubs, mais je savais que je voulais l'Inter et j'étais confiant." Votre avis sur les gardiens du passé ? "De Julio Cesar à Francesco Toldo, en passant par Samir Handanovic et André Onana. A l'Inter, il y a toujours eu des gardiens forts et courageux et je veux aussi être à la hauteur. Avec Handanovic et Onana, je n'ai jamais échangé, ce sont deux gardiens avec des caractéristiques différentes, chacun d'entre nous a son propre style. En plus d'être gardien de but, j'aime jouer depuis l'arrière et être fondamental pour surmonter la ligne d'attaque de l'adversaire." Le Derby au Meazza "Le derby, c'est vraiment sérieux. Le Meazza un stade que j'aime déjà, excitant, bruyant, amusant, et beaucoup m'ont dit qu'il était unique. Les Derby sont tous spéciaux, mais celui-ci est unique vu la profondeur des deux équipes et pour sa profondeur de l'Italie. J'ai hâte de le jouer, ce sera un match passionnant, que tout le monde attend. Mais c'est une confrontation spéciale, unique qui arrive très tôt. Nous avons une longue saison devant nous et tout peut arriver. Il y a aussi d'autres rivaux pour le Scudetto, et comme je suis encore nouveau en Italie : je ne peux pas encore faire de prédictions et de classement". Thuram et Pavard ? "Marcus a un potentiel de classe mondiale et j'espère qu'il fera son chemin jusqu'ici. Il a un physique exceptionnel, de la technique et surtout de l'intelligence. Qu'il attaque en un contre un, qu'il joue en combinaison avec Lautaro ou qu'il s'arrête dans la surface, il est reste dangereux pour l'adversaire. La mentalité que lui a transmise son père est également importante, c'est aussi un bon garçon en dehors du terrain, toujours souriant et positif." "Benjamin est arrivé dans une équipe qui dispose déjà d'une grande défense, il est très complet, il sait lire les situations, il marque avec le ballon car il "voit" le but. Au Bayern, il occupait un poste plus latéral et maintenant il jouera dans un poste plus central dans un dispositif différent: Et c'est toujours bien d'avoir des joueurs capables de jouer dans autant de poste. S'il a choisi l'Inter, c'est parce que c'est un grand club." "La défense de l'Inter me donne un sentiment de sécurité. De Bastoni à Darmian, ils se déplacent tous comme un seul homme, ils sont compacts et savent trouver leur position. Leur langage corporel est également impressionnant. C'est un bel avantage pour un gardien de but, alors bien sûr, des tirs au but vont m'arriver et quand ce sera le cas, je vais devoir faire mon travail." Que craignez-vous du Milan ? "Tous les attaquants sont forts. Maintenant, je les étudie en détail, comme Leao, j'ai l'habitude de me préparer avec l'entraîneur via des vidéos pour essayer de lire toutes leurs occasions sur le terrain." Pensez-vous que ce qu'il s'est passé en Ligue des Champions la saison dernière peut se reproduire ? "La Ligue des champions est une compétition difficile pour tout le monde, elle est unique. Il faut réunir tous les éléments pour aller au bout : Il y a les petits détails, la forme du moment et même un peu de chance. L'année dernière, l'Inter a joué exceptionnellement bien et méritait d'aller la finale. Pourquoi ne pas répéter cette performance ?" Aimeriez-vous gagner avec autant de souffrance que vous l'avez fait l'année dernière en Bundesliga ? Est-ce que c'est plus beau ainsi ? "Tous les sportifs vivent pour ces sentiments que procure la victoire, qu'elle soit "tranquille" ou "mouvementée". La saison, au Bayern a été complexe et pleine de défis à surmonter , nous avions changé beaucoup de choses, de la Direction à l'entraîneur, et c'est ce qui nous a amené à vivre ce choc en in de saison." Pavard, comme vous, voulait absolument rejoindre l'Inter cet été... "Je dirais que c'est un bon signe, non ? Et cela ne m'a pas surpris. J'aurais peut-être pu être surpris avant de venir ici, mais maintenant que j'y suis, tout est clair : C'est vraiment un grand club". Au fait, est-ce que cette photo vous dit quelque chose ? (nous montrons l'image de Jorginho après l'un des deux penalties manqués contre lui) ? "Il rit. Tout le monde s'en moque de ces matches, et je jouais avec la Suisse ! J'en ai aussi paré un à Mbappé à l'Euro, dans un autre moment de grande pression pour nous deux! Un penalty est une question de sensations, de moments où il faut prendre la décision, c'est un défi mental et technique". Où avez-vous appris à jouer si bien de la guitare ? "À l'âge de 18 ans, j'ai suivi un cours avec un professeur, parce que j'avais besoin d'une autre passion, de faire quelque chose à la maison pour me déconnecter du monde et me détendre. Ma guitare est encore en Allemagne, mais elle arrivera bientôt à Milan, même si, avec deux enfants en bas âge, j'ai moins de temps qu'avant". Qui écoutez-vous en particulier ? "J'aime John Mayer et surtout Bruce Springsteen. Je n'ai pas encore réussi à assister à l'un de ses concerts. Cette année, à Zurich, il y a joué pendant trois heures : c'était incroyable. S'il vient au Meazza, je serai là". Vous avez aussi une autre grande passion: La cuisine ? "Il y a quelques années, j'ai même tenu un blog, mais mon intérêt était de montrer ce que mange un sportif de haut niveau. J'aime bien manger, goûter à tout, et disons que je suis dans le bon pays". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. Yann Sommer s’est livré à RSI au cours d’une interview où il a également parlé de l’Inter. Voici les extraits : Suisse "En premier lieu, je pense à l’équipe nationale, notre intention est de s’assurer l’accès à l’Euro 2024. Le grand rêve, même si c’est utopique, serait de remporter le titre. Dans le football, la chose la plus importante est de gagner. Parfois c’est possible, d’autres fois, cela l’est beaucoup mois." Bayern Munich "C’était difficile de tout reprendre à zéro, mais je referais tout : Mon passage au Bayern a, tout de même ,été une parenthèse réussie." L’Inter "L’équipe a énormément de qualités et de caractère. Elle l’a déjà démontrée à de nombreuses reprises. L’atmosphère au Meazza est impressionnante, son rugissement est impressionnant. Les Tifosi sont fantastiques et mon expérience, jusqu’à maintenant, est positive, tout est si beau. La défense est optimale, mais c’est toute l’équipe qui y participe : C’est un vrai cadeau pour un gardien de voir une telle volonté, d’avoir une telle caractéristique." "Je suis arrivé au club pour en être le numéro 1, et cela change beaucoup la donne : Cela donne encore plus d’enthousiasme à ma carrière et de nouveaux défis. Au Bayern, c’était une nouvelle expérience, et mon passage là-bas a été précieux et couronné de succès. L’Inter m’a attendu et le feeling était bon: Là-bas, les personnes me connaissent depuis les qualifications à la Coupe du Monde. " "Avec Spinelli, le préparateur des gardiens de l’Inter, je travaille principalement sur la force, l’explosivité, la réactivité. Milan est une formidable grande ville et je me sens très à l’aise dans le Club, les Tifosi me soutiennent. Je dis faire preuve d’un peu de patience pour trouver ma maison. La langue est aussi importante : Je comprends pas mal de chose, mais j’éprouve encore quelques difficultés pour la parler." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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