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Zbigniew Boniek, ancienne star de la Juventus et aujourd'hui président de la fédération polonaise de football, est revenu sur les difficultés des équipes italiennes en Europe et a son avis bien tranché sur l'Inter : "Vous les journalistes, vous avez été les premiers à souligner que Conte, sans engagement international, aurait -et a en effet- pu améliorer son équipe pour tenter de gagner le Scudetto. Au-delà de la récupération physique et mentale, il peut faire progresser son équipe principalement dans la préparation, en affinant les synchronisations défensives par exemple. Aujourd'hui l'Atalanta est le club italien qui la vision la plus européenne du jeu. Plus que la tactique, elle se concentre sur l'intensité, qu'elle développe au fil des entrainements. Ce n'est pas étonnant non plus qu'elle perde un peu d'éclat et quelques points lorsque les rencontres se rapprochent trop." Ignazio La Russa, vice-président du Sénat italien et grand tifoso de l'Inter a souhaité répondre et remettre les choses au clair : "C'est un opinion respectable mais qui semble être involontairement injustifiée. La position de la Juventus et des autres, ce n'est qu'un tour de plus après l'élimination en phase de groupes des nerazzurri. A mon avis, la vérité est que les coupes ont peu à voir avec les faux pas de la Juve. L'Inter, plus que les autres prétendantes au titre, n'a pas pu faire de préparation normale en pré-saison après le rush de fin d'été et le parcours en Europa League. L'AC Milan, coupes ou pas, fait bien mieux qu'attendu même si c'est freiné par quelques blessures. C'est l'histoire de la décennie qui nous rappelle qu'en 2010, l'Inter a remporté tous les titres. La Juventus aussi a failli remporter la Champions League à deux reprises après avoir triomphé en Serie A." "En tant que nerazzurro et peut être un peu partial, je ne suis pas d'accord avec la thèse de Boniek selon laquelle l'Inter est en tête car il ont été éliminés des coupes, au lieu d'argumenter sur le fait qu'il est normal et logique que la Juventus ne peut gagner le championnat pour avoir joué et perdu contre Porto. J'aurais attendu plus d'attention et moins d'indifférence apparente pour le championnat italien qui, pour le moment, semble difficile à atteindre grâce aux dix points d'avance de l'Inter sur eux." ®gladis32 - internazionale.fr
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Paolo Rossi, le héros italien du Mondial 82, est mort
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Le footballeur italien Paolo Rossi, héros de la Coupe du Monde 1982 remportée par l'Italie, est mort à 64 ans, ont annoncé sa veuve et les médias italiens. Son épouse, Federica Cappelletti, a annoncé sa mort sur Instagram, publiant une photo du couple avec la légende "Forever," suivie d'un coeur. "Il n'y aura jamais plus quelqu'un comme toi, unique, spécial", a-t-elle aussi écrit sur Facebook. La nouvelle de son décès a été reprise dans la nuit de mercredi à jeudi par les médias italiens, qui ont aussitôt rendu hommage au légendaire attaquant italien surnommé "Pablito". "Paolo Rossi, l'aimable poète du foot qui a fait la joie de toute l'Italie en 1982 est mort", souligne sur son site le quotidien Il Corriere della Sera, qui évoque la "maladie incurable" dont il souffrait. Il était "l'homme qui fit pleurer le Brésil et emmena les azzurri de Bearzot à la conquête de la Coupe du Monde", relève de son côté le journal La Repubblica. "Je me souviens d'un footballeur extraordinaire, d'une excellent coéquipier et d'un ami. Parce que cette équipe du Mondial de 1982 était une équipe composée d'amis", a commenté le gardien de but Dino Zoff, lui aussi champion du monde 1982. "Rossi avait des qualités incroyables, ils faisait les choses justes au bon moment. Il était irremplaçable dans ce groupe". "Une partie d'entre nous s'en est allée avec lui, une partie de ma vie s'en va avec lui", a commenté son autre coéquipier Fulvio Collovati. "Douleur profonde" Le président de la Fédération italienne de foot Gabrielle Gravina a déploré une "douleur profonde, une blessure au coeur de tous les passionnés (de foot) qui sera difficile à guérir (...) Il a inspiré avec son style de jeu de nombreux attaquants des nouvelles générations". "La Serie A pleure un immortel de notre football, aimé du monde entier", a réagi son côté le président de la Serie A, Paolo Dal Pino. L'annonce du décès de Rossi intervient moins de deux semaines après celui de la légende argentine Diego Maradona, qui avait remporté la Coupe du Monde 1986. Paolo Rossi, qui n'aurait pas dû jouer la Coupe du Monde 1982, en est finalement devenu le héros avec six buts et un triomphe. Suspendu pour trois ans en mars 1980 dans le "Totonero", une affaire de scandale de matches de football truqués et de paris illégaux en Italie, il avait cependant été convoqué pour le Mondial 1982 en Espagne, après une réduction de sa sanction, malgré le scepticisme de la presse et des tifosi. Au "Mundial", Rossi explose avec un triplé lors d'un mythique Italie-Brésil (3-2) qui élimine la Seleçao et envoie les Azzurri en demies. Face à la Pologne, il s'offre un doublé et une place en finale. Lors de cet ultime match contre la RFA, le Toscan marque le premier des trois buts italiens (3-1). L'Italie remporte sa 3e Coupe du monde, Rossi finit meilleur joueur et buteur. Et le Ballon d'Or vient couronner cette année exceptionnelle. "Capocannoniere" Sa carrière en club est plus contrastée. Déniché adolescent par les recruteurs de la Juventus, ses premières années bianconere sont ternies par trois blessures à un ménisque. Meilleur buteur de Serie B avec 21 buts et montée en Serie A: avec le Lanerossi Vicenza, rejoint en 1976, il connaît ses premiers succès. La saison suivante, son club titille la Juventus pour le scudetto et il finit à nouveau "capocannoniere" (24 buts). La Juventus tente alors de le récupérer, en vain. Après une dernière saison et une relégation avec Vicence, il part pour Pérouse, où son passage est chamboulé par le Totonero. Deux ans de suspension plus tard, Rossi revient à la Juve. La saison 1983-84 est synonyme d'apogée pour Rossi. Il forme un redoutable trio avec Platini et Zbigniew Boniek et accumule les trophées: Serie A, Coupe d'Italie, Coupe des Coupes, et Supercoupe d'Europe. En 1985, la "Vieille Dame" remporte la Coupe des clubs champions lors de l'effroyable finale du Heysel et ses 39 morts, qui sera le dernier match de Rossi avec les Bianconeri. Il file chez le rival, l'AC Milan. Handicapé par des blessures, son épisode milanais est un échec. Tout comme celui à l'Hellas Vérone. En 1987, Rossi décide de tourner la page à 31 ans après près de 400 matches de championnat, 154 buts et 48 sélections (20 buts). ®Rtl.be- 1 commentaire
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