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  1. Les Nerazzurri ont décidé de supprimer le logo de la marque de Crypto-Monnaie des maillots de l'équipe première. L'Inter passe enfin des paroles aux actes dans l'affaire Digitalbits : Le club Nerazzurri a décidé de retirer le sponsor de Crypto-Monnaie, choisi l'été dernier comme Principal Sponsor. Cela fait déjà des mois que Digitalbits ne figure plus sur les maillots de la formation féminine ainsi que la Primavera, cela suit l'exemple de la Roma, une autre équipe de Série A sponsorisée par Digitalbits qui va à partir de dimanche faire de l'ombre à l'entreprise fondée par le Canadien Al Burgio. La Gazzetta dello Sport explique pourquoi cette décision n'est intervenue qu'à ce stade de la saison. Pourquoi seulement maintenant ? Contre la Lazio dimanche l'Inter devrait jouer sans son Sponsor Principal Digitalbits sur le maillot. Après une saison entière au cours de laquelle le club de la viale della Liberazione n'a reçu aucun des trois versements des 8 millions chacun (plus le bonus pour la victoire dans la Coupe d'Italie l'an dernier : un total d'environ 25,5 millions), le club aurait décidé de retirer le logo du maillot, prenant en considération la visibilité mondiale des prochains matchs que l'équipe d'Inzaghi disputera : De l'Euro-Derby en Demi-Finale de la Ligue des Champions à la Finale de la Coupe d'Italie. Les Giallorossi sont dans la même situation que l'Inter Le chaos Digitalbits ne concerne pas seulement l'Inter. La Roma se retrouve dans les mêmes conditions que le club Nerazzurri. Sponsor insolvable avec une recherche stressante d'un nouveau sponsor. Cela ne date pas d'aujourd'hui, alors que les nouvelles du club Giallorosso sont arrivées que ces dernières heures. Pourquoi seulement maintenant ? La Gazzetta dello Sport l'explique :"La non-conformité du contrat est arrivé récemment au siège social de la Roma en raison d'un contrat exclusif signé par les Giallorossi. L'accord prévoyait que DigitalBits ( ou plutôt son propriétaire Zytara ) paierait un premier versement de 500 mille euros en mars et le solde à la fin de la saison". Un solde de combien? "9,5 millions, considérant que le partenariat de trois ans prévoyait des montants croissants : 5 millions la première année en 2021-22, 10 millions cette saison et 21 millions lors de la saison 2023-24. Les dirigeants Romains n'ont pas été estomaqué. Ils connaissaient très bien la situation, étant donné que l'Inter s'était déjà lancé comme "cobaye". Mieux vaut tard que jamais ! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  2. C'est la révélation de Milano Finanza: "Digitalbits a connu des jours de profond changements. La société de crypto-monnaies, actuel Main Sponsor de l'Inter, a nommé un nouveau PDG pour remplacer un Al Burgio démissionnaire: Daniele Mensi!" Son tout premier objectif ? "Rétablir les relations avec l'Inter, qui cherche un nouveau partenaire, car Digitalbits n'a jamais, jusqu'à ce jour, versé le moindre paiements prévus pour la saison 2022-2023. A présent, les rênes de la Blockchain sont entre les mains de la DigitalBits Foundation, dont le Directeur Général est Daniele Mensi." "En discontinuité avec la gestion précédente, une tentative sera faite pour recomposer la situation avec le litige existant car même si les responsabilités économiques sont entre les mains de Zytara, le préjudice d'image incombe se répercute aussi sur cette nouvelle gestion de la DigitalBits et c'est pourquoi il est envisageable que des solutions de conciliation soient recherchées avec l'Inter dans les semaines à venir." "Il en va de même pour la Roma qui avait lié son sponsoring à DigitalBits via des projets numériques qui n'avaient pas encore vu le jour. Et il y a quelques jours, le club des Giallorossi est devenu le premier club au monde à lancer la possibilité d'utiliser le portefeuille de crypto-monnaies de Digitalbits pour payer le merchandising avec une ristourne de 10 %." "L'avenir de la société dirigée par Mensi va se reposer sur deux secteurs d'activité: Le premier sera l'augmentation du nombre de marchands autorisant le paiement par l'intermédiaire de Digitalbits. Le second sera la conclusion d'accords avec des marques, comme celui conclu avec Roma. Aujourd'hui, la possibilité de paiement est limitée aux magasins physiques, mais il est clair que l'objectif sera d'étendre ce potentiel aux sites de di-ecommerce ou à la billetterie." Pensez-vous qu'il sera possible de rétablir un rapport de confiance ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  3. Calcio e Finanza a analysé les documents liés aux états financiers au 30 Juin 2022 d'Inter Média et Communication. Le journal nous livre les chiffres liés aux impayés de Digitalbits et explique que l’Inter recherche également des sponsors pour le naming entre autres. Digitalbits n'a pas versé à l'Inter les primes liées aux résultats de la saison dernière ainsi que les deux premières tranches des termes pour la saison en cours. C'est ce que l’Inter explique dans les documents liés aux états financiers au 30 Juin 2022 d'Inter. L'Inter fait ainsi le point sur le contrat avec Zytara Labs LLC, la société dirigée par Digitalbits. Dans le détail, le club explique que Digitalbits est devenu : le nouveau Official Global Cryptocurrency and Sleeve Partner, pour la saison de football 2021-2022 moyennant une redevance de 5 M€ et une redevance variable liée à aux performances sportives de l'équipe; le nouveau Global Main Jersey Partner pour les trois saisons sportives de 2022-2023 à 2024-2025 pour un montant total de 80 M€ (24 M€ à échéance 2022-2023, 26 M€ à échéance 2023-2024 et 30 M€ à échéance 2024-2025 ), en plus de la redevance variable liée aux performances sportives de l'équipe. À ce jour, cependant, Digitalbits n'a payé intégralement que la redevance de base de 5 M€ due pour la saison de football 2021-2022 et une prime de performance de 100 000 € pour avoir atteint à nouveau les huitièmes de finale de la Ligue des champions la saison dernière. Ils n'ont cependant pas encore été payés : des primes d'un montant total de 1,6 M€ prises en rapport avec le classement final en Serie A 2021-2022 et la victoire de la Coupe d'Italie 2021-2022; les deux premières tranches d'un montant total de 16 M€ (dont la première émise en Juin 2022 pour 8 M€) dues sur le montant de base de 24 M€ dû au titre de la saison de football 2022-2023. "En plus de ce qui précède, le partenaire n'a pas encore présenté le projet contractuellement envisagé relatif à l'intégration de l'écosystème numérique du groupe qui vient d'être renouvelé par notre club", ajoute l'Inter. Le Nerazzurri poursuit ensuite que "nous comprenons que la crise du secteur des crypto-monnaies, qui s'est aggravée au cours du deuxième trimestre 2022, a considérablement affecté la capacité du client à remplir ses obligations. Nous nous réservons toutes actions et recours pour protéger nos intérêts et droits contractuels et, dans l'intervalle, nous avons retiré de notre site les logos partenaires ainsi que sur les panneaux publicitaires et les maillots des équipes jeunes et féminines, tout en conservant, pour le moment, la présence du sponsor sur le maillot de l'équipe première." Cependant, comme l'a également expliqué Alessandro Antonello, l'Inter cherche déjà des solutions alternatives pour le sponsor du nouveau maillot. "La Société a déjà engagé toutes les actions nécessaires sur le marché en engageant diverses discussions pour la recherche d'un éventuel nouveau partenaire au travers de sa structure commerciale afin que le nouveau partenaire puisse prendre le relais dans les meilleurs délais. En ce moment nous avons de nombreux interlocuteurs, nous ne sommes pas encore dans la phase pour l’identification d’un secteur de produit spécifique. Le sponsor maillot est important, tous les partenaires qui viennent chez nous doivent faire des propositions concrètes. Il y a beaucoup de discussions ouvertes, on espère la clore au plus vite." De plus l'Inter recherche non seulement un nouveau sponsor principal pour le maillot mais également de nouveaux accords liés au sponsor de la manche, au maillot d'entraînement et aux droits de naming de la Pinetina. Dans le détail, en effet, l'Inter explique qu'actuellement pour la saison 2022-2023, elle a des accords commerciaux et liés à des sponsors qui rapporteront 46 M€ environ. Cependant, ces accords ne comprennent pas : le sponsor sleeve, étant un atout pour lequel un partenaire n'a pas encore été trouvé après l'accord pour la saison sportive 2021-2022 avec Digitalbits; il n'inclut pas les droits de naming du maillot d'entraînement et du centre sportif car il s'agit d'un actif pour lequel un partenaire n'a pas encore été trouvé après l'expiration du contrat avec Suning au 30 Juin 2022; ne tient pas compte du contrat actuellement en place avec Zytara Labs LLC en raison de l'incertitude actuelle sur la capacité du partenaire à payer les montants contractuels, comme expliqué plus haut. Les 46 M€ pourraient donc augmenter compte tenu des recherches en cours pour les sponsors maillot, de la manche et du centre d'entraînement/maillot d'entraînement. En 2021-2022, des sponsors du maillot, l'Inter a collecté 28,9 M€ de Socios, Zytara / Digitalbits et Lenovo, avec 12,5 M€ supplémentaires de Nike. Les autres sponsorings s'élevaient à environ 27 M€. Parmi les autres revenus prévus pour la saison 2022-2023, le club souligne qu'il attend un minimum de 72 M€ de revenus issus des droits TV de la Serie A, pouvant monter jusqu'à 92 M€ en cas de succès en championnat, en plus d'un minimum de 53 M€ (sanction de 4 M€ pour le FPF retirée) de revenus provenant des droits TV de la Ligue des champions. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  4. Calcio e Finanza a publié le détail des comptes du bilan financier de l'Inter. Voici les chiffres. États financiers L'Inter a clôturé ses états financiers au 30 Juin 2022 avec une perte de 140,0 M€, soit une amélioration d'environ 105 M€ par rapport à l'exercice 2020-2021 qui avait clôturé sur une perte de 245,6 M€. Le chiffre d'affaires du club des Nerazzurri s'est élevé à 439,6 M€, contre 364,7 M€ pour l'exercice clos le 30 Juin 2021. Les charges ont diminué à 527,9 M€, contre 568,7 millions en 2020-2021. Il s'agit, net du chiffre lié aux plus-values, d'une gestion économique qui présente encore un fort déséquilibre entre les recettes et les charges liées à l'équipe (rémunérations, primes et amortissements) qui s'élèvent à 283 M€, représentant 86 % des revenus de base. Chiffre d'affaires Au total, l'Inter pour la saison 2021-2022 a enregistré 439,6 M€ de revenus, contre 365,7 M€ en 2020-2021. Le poste le plus conséquent est celui relatif aux droits TV, égal à 146 M€ de plus-values (189,7 M€ dans les comptes précédents, chiffre toutefois impacté par le report d'une partie des recettes de la saison 2019-2020 ), tandis que les revenus des ventes des joueurs se sont élevés à 108,9 M€, avec des plus-values de 105 M€, encaissées notamment sur les cessions de Lukaku (66,8 M€) et Hakimi (33,5 M€). Parmi les revenus commerciaux, 43,9 M€ sont liés aux parrainages maillot de Nike, Socios, Lenovo et Zytara-Digitalbits. Voici les recettes poste par poste: Recettes des appels d' offres : 41,7 M€ (0 € en 2020-2021) ; Revenus des sponsors, publicités et redevances : 81,7 M€ (101,9 M€ en 2020-2021) ; Revenus des droits TV : 146,5 M€ (189,7 M€ en 2020-2021) ; Revenus de gestion des ventes des joueurs et autres revenus : 108,9 M€, dont 105,2 M€ de plus-values (8,4 M€, dont 2,2 M€ de plus-values en 2020-2021) ; Autres revenus : 60,6 M€ (64,7 M€ en 2020-2021). TOTAL : 439,6 M€ (364,7 M€ en 2020-2021). Elles font apparaître une croissance évidente après la fermeture des stades lors de la saison 2020-2021. Il faut également rappeler que dans les derniers états financiers il y avait une part de revenus liée à la conclusion en juillet et août de la saison 2019-2020. Les coûts Les coûts budgétaires pour l'Inter ont diminué en 2021-2022 pour atteindre 527,9 M€, contre 568,7 M€ en 2020-2021. Dans le détail, l'essentiel des charges est lié aux salaires et traitements du personnel, à 248,4 M€ (contre 261,1 M€ en 2020-2021) et aux amortissements et dépréciations pour 168,7 M€ (209,1 M€ en 2020-2021). . Plus précisément, les seuls frais du personnel inscrit se sont élevés à 197,5 M€ (215,7 M€ en 2020-2021), dont 152,5 M€ au titre des indemnités aux joueurs (153,3 M€ en 2020-2021), 13 M€ au titre des honoraires des entraîneurs (33,3 en 2020-2021), 29,5 M€ de primes de résultat (26,0 en 2020-2021) et 2,4 M€ de droits à l'image (2,9 en 2020-2021). S'agissant des amortissements en revanche, ceux liés aux joueurs se sont élevés à 101,0 M€ contre 137 M€ en 2020-2021. Parmi les dépréciations, 16,5 M€ sont liées aux dépréciations de la valeur comptable de Eriksen, Vidal et Sanchez après la résiliation des contrats, tandis que 25,8 M€ sont liées au risque de mauvaises positions de crédit. Les autres charges comprennent celles des prestations égales à 64,3 M€, en hausse par rapport aux 51 millions de la saison précédente, principalement en raison de l'augmentation des charges liées aux agents, qui sont passées de 10,9 à 22,9 M€. Voici les coûts article par article pour la saison 2021-2022 : Coûts des matières premières, auxiliaires, consommables, biens : 5,2 M€ (2,2 M€ en 2020-2021) ; Coûts des services : 64,3 M€ (51,6 M€ en 2020-2021) ; Coûts d'utilisation des actifs de tiers : 12,7 M€ (12,5 M€ en 2020-2021) ; Frais de personnel : 248,4 M€, dont 152,5 M€ pour la rémunération des joueurs (261,1 M€, dont 153,3 M€ pour les joueurs en 2020-2021) ; Amortissements et dépréciations : 168,7 M€, dont 101,0 M€ pour les joueurs (209,5 M€, dont 137 M€ pour les joueurs en 2020-2021) ; Autres charges : 28,3 M€ (31,1 M€ en 2020-2021). TOTAL : 527,9 M€ (568,7 M€ en 2020-2021). Résultat net La différence entre le chiffre d'affaires et les coûts est ainsi égale à -88 M€, contre -203,0 M€ en 2020-2021. Le résultat avant impôt est de -136,6 M€ environ (avec un impact de 48,8 M€ de charges financières contre 33,4 M€ en 2020-2021), contre -239,4 M€ en 2020-2021. Le résultat net est de -140,0 M€ contre -245,6 M€ en 2020-2021. Dettes et capitaux propres Les capitaux propres consolidés au 30 Juin 2022 sont de -86,6 M€, contre des capitaux propres de +53,4 millions en 2021. Cependant, l'Inter a choisi d'exploiter une close liée à l'urgence Covid pour différer le règlement de la perte au cinquième exercice suivant celui clôturé, soit le 30 Juin 2027. Enfin, sur le front de la dette, le total des dettes a augmenté à 881 M€ (827 M€ au 30 Juin 2021), croissance tirée par le nouvel emprunt obligataire avec une dette obligataire de 407 M€ (344 M€ au 30 Juin 2021). La dette financière nette, en revanche, s'élève à -268 M€, contre -297 M€ au 30 Juin 2021, compte tenu de l'augmentation de la liquidité de 139,1 M€. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  5. Calcio e Finanza livrent des détails intéressants concernant Digitalbits. Pour l'instant, il n'y a pas de positions officielles prises par DigitalBits concernant leur sérieux retard de paiements à verser à l'Inter dans le cadre de l'accord de partenariat. La seule version qui a fuité est apparue sur le groupe Telegram de la plateforme de crypto-monnaie. Telegram est le seul canal où il est possible de demander ou recevoir des informations. "Ce ne sont que des rumeurs, le logo est toujours sur le maillot de l'Inter. Il n'y a aucun problème avec tout partenariat, il suffit de répandre des rumeurs ici," a déclaré un administrateur représentant de Digitalbits qui a été rapporté par Calcio e Finanza. "Zytara est le sponsor, DigitalBits est la marque," a ajouté un autre. Une situation pour le moins nébuleuse, à tel point que notre club a décidé de passer au choc frontal en se déclarant prêt à boucler le partenariat fin Octobre. Cela fait suite au non-paiement de la première échéance de la saison 2022-2023 en ce qui concerne le sponsoring du maillot. Rappelons que cette année le sponsoring devrait valoir 23 M€, pour ensuite monter à 27 et 30 M€ dans les deux prochaines années. Mais comme le soulignent Calcio e Finanza, la prime de qualification pour la Ligue des champions n'aurait même pas été versée alors que la plateforme n'était qu'un sponsor sur la manche. Mais DigitalBits ferait de ne pas nous prendre pour des guignolos car un 8e en Ligue des champions représente, comme d'habitude, un multiplicateur en termes de marques. La Gazzetta dello Sport souligne qu'"en Janvier, l'Inter aura à la fois un nouveau sponsor principal et une nouvelle marque sur la manche. Et force est de constater que la visibilité européenne ne peut qu'aider, dans ce sens, étant donné que la recherche d'entreprise est toujours en cours." Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Comme nous le savons, notre principal sponsor a fait défaut sur ses paiements. DigitalBits est notre "partenaire cryptographique officiel", mais les différents journaux italiens ont indiqué que l'entreprise n'avait pas honoré une part des paiements. Cela nous a conduit à supprimer DigitalBits de ses sites Web et applications. L'Inter a également supprimé la marque DigitalBits des tableaux de bord et des panneaux publicitaires du San Siro. Les premières rumeurs concernant des problèmes dans la relation sont apparues en juin lorsqu'il a été signalé que DigitalBits n'avait pas effectué de paiement pour la première fois. La Gazzetta dello Sport a rapporté que DigitalBits enregistrait des pertes après que son token XDB soit passé de 0,85 USD en novembre à 0,027 USD le 1er août, soit une baisse de près de 97 %. Il y a deux semaines, DigitalBits repoussa les demandes de commentaires en affirmant que tous les problèmes financiers sont gérés par son propriétaire, Zytara. Mais il y a déjà un an, il y avait déjà de sérieuses questions sur DigitalBits/Zytara lorsque InsightX a fourni à l'un de ses clients des renseignements et une diligence raisonnable sur l'entreprise. À l'époque, le football s’approchait du pic de la frénésie crypto/NFT. Voici le rapport de InsightX disponible sur son site web le 4 Aout 2022. De plus, le 16 Avril 2022, le Mail on Sunday indiqué sur son site que David Beckham et Dgitalbits étaient dans une tourmente juridico-financière. Une série de problèmes Leur rapport a mis en évidence une série de problèmes majeurs avec Zytara, sa gouvernance, son éthique, ses finances et les antécédents de son fondateur, Al Burgio. Alors que Zytara en tant que marque est relativement jeune, n'apparaissant sur les documents d'enregistrement des sociétés aux États-Unis qu'en 2019, ses origines remontent plus loin avec Burgio, son fondateur et PDG, ayant été étroitement impliqué dans la mise en place et le développement de la blockchain. Il promeut DigitalBits ou XDB depuis le début. Burgio était associé à un grand nombre d'entités corporatives, dont beaucoup avaient des liens avec Zytara. InsightX a mis en évidence plusieurs problèmes importants, notamment : Des interrogations sur son éthique compte tenu des partenariats avec un chanteur controversé et le boxeur, Floyd Mayweather ; Des doutes sur la structure de gouvernance de la marque ; Points d'interrogation sur les antécédents financiers de Burgio ; plus précisément, les multiples poursuites judiciaires auxquelles il a été confronté pour des dettes impayées ; Préoccupations concernant le nombre d'entreprises de Burgio qui ont été radiées des registres des sociétés pour non-respect des lois de l'État et d'autres lois. Au moment de leur rapport, Zytara/DigitalBits et les sociétés associées n'avaient pas de structure de gouvernance claire, seul Burgio étant répertorié comme dirigeant important (ceci est vérifiable en cherchant sur le net, ndlr). On disait que l'écosystème XDB/DigitalBits relevait de la responsabilité d'une fondation, mais la propriété de la marque était cachée dans un réseau d'entreprises aux États-Unis, elles-mêmes contrôlées en fin de compte par une multitude de sociétés écrans aux îles Caïmans, un paradis fiscal offshore. Problème aux Caïmans En 2020, l'une de ces sociétés, Fusechain Ltd, a été poursuivie par le gouvernement des îles Caïmans pour non-paiement du loyer de ses bureaux à George Town. Par ailleurs, trois sociétés associées à Zytara et constituées aux îles Caïmans avaient déjà été radiées par les autorités de régulation en 2019. Il n'y avait pas qu’aux îles Caïmans où les entreprises de Burgio étaient en difficulté. Une série d'entités associées aux États-Unis ont été suspendues, liquidées ou confisquées au Nevada, en Californie et dans le Delaware entre 2005 et 2019. Au total, 11 sociétés associées à Burgio et Zytrara ont été radiées, dont au moins deux ont été dissoutes ou en souffrance depuis plus de non-paiement des impôts sur les sociétés (là encore, on peut vérifier cela en cherchant sur le net, ndlr). En septembre 2021, Alessandro Antonello, aux côtés de Burgio, a déclaré aux journalistes que le club était "fier d'accueillir Zytara comme nouveau partenaire mondial". Antonello ne savait peut-être pas que l'homme à qui il venait de serrer la main avait été poursuivi en 2016 pour rupture de contrat par un cabinet d'avocats qui l'avait représenté lorsqu'il était poursuivi par une société de crédit hypothécaire en Californie pour des dettes impayées. InsightX a fourni à ses clients des renseignements sur un grand nombre d'entités de cryptographie, de NFT et de jeu depuis juin 2020. Le cas de Zytara n'est en aucun cas unique dans un secteur qui regorge de startups et d'entreprises arrivant comme un cheveu sur la soupe, dont beaucoup semblent faire des promesses basées sur un peu plus que l'espoir que les crypto-monnaies continueraient d'augmenter en valeur. Mais cette bulle a éclaté cet été et le soi-disant "hiver crypto" a déjà secoué bon nombre de ces opérateurs et d'autres suivront. Révélations du Mail on Sunday Le 16 Avril 2022, le Mail on Sunday révèle que David Beckham a fait la promotion d'une entreprise technologique impliquée dans un différend concernant des allégations selon lesquelles ses patrons auraient escroqué des investisseurs pour financer des propriétés somptueuses, des vacances de luxe et des accords de parrainage. En effet, les patrons de DigitalBits sont accusés d'avoir détourné de l'argent pour financer des voyages de luxe et des offres sportives. Une action en justice intentée à New York affirme qu'un investisseur de DigitalBits, Mark Dorrell, a été "personnellement escroqué d'au moins 160 millions de dollars par ses fondateurs, qui ont conservé son argent et ses jetons et les ont utilisés pour s'enrichir injustement." Le procès ajoute: "Ces actes ont permis aux auteurs de vivre des styles de vie extravagants et somptueux en voyageant à travers le monde, en vivant et en travaillant entre New York et Palm Beach, en Floride, à Rome et à Dubaï, et en achetant des maisons de vacances aux îles Caïmans. Malgré leur extravagance, les fonds qu'ils ont collectés à tort ont été suffisants pour réaliser des projets promotionnels massifs, comme la signature par l'une de leurs sociétés d'un contrat de 36 millions de dollars en tant que sponsor principal de l'équipe de football italienne, l'AS Roma." Rien n'indique que Beckham ou d'autres ambassadeurs célèbres aient connaissance d'actes répréhensibles. Les finances de Beckham sont à l'honneur depuis qu'il a vendu une participation majoritaire dans sa société de gestion de marque DB Ventures à Authentic Brands plus tôt cette année, devenant ainsi actionnaire d'Authentic Brands. Mais il a vu des investissements dans des entreprises cotées en bourse au Royaume-Uni subir une vente brutale. Il a assisté au somptueux mariage de son fils Brooklyn avec Nicola Peltz, fille de l'investisseur activiste milliardaire Nelson Peltz. DigitalBits fabrique une technologie qui permet aux gens d'échanger des crypto-monnaies ou des illustrations numériques connues sous le nom de NFT, ou jetons non fongibles. Le procès allègue que les parrainages ont été conçus simplement pour augmenter le prix de la crypto-monnaie DigitalBits, alors que la technologie n'existe pas comme le prétend la société. Le procès a été intenté contre le fondateur de DigitalBits, Al Burgio, un entrepreneur en série qui est maintenant directeur général de la société de technologie financière Zytara. La plainte a également été déposée contre la fondation DigitalBits, Zytara, le cabinet de conseil GDA Capital et son co-fondateur Michael Gord. Le prix de la crypto-monnaie a fortement chuté par rapport au dollar au cours du mois dernier. Adam Ford, avocat chez Ford O'Brien, qui représente les investisseurs, a déclaré: "Je suis surpris que M. Beckham ait annoncé son implication dans un projet qui cache toujours son prétendu logiciel à la vue du public. Mes clients pensent que toute compensation qu'il a reçue leur revient de droit et nous cherchons comment la récupérer." Il est entendu que cinq autres investisseurs et anciens employés sont sur le point de poursuivre DigitalBits pour un total de 110 millions de dollars. Annonçant son rôle au sein de l'entreprise, Beckham a déclaré: "J'ai toujours été fier de travailler avec les meilleures équipes et je suis tellement excité de travailler sur mes collections NFT et sur d'autres innovations à l'avenir." Le directeur de DigitalBits, Daniele Mensi, a déclaré: "La Fondation DigitalBits n'a mené aucune affaire avec le plaignant qui fait les allégations. La fondation prévoit de défendre vigoureusement le procès" et a déclaré qu'elle était convaincue que les réclamations seraient finalement jugées sans fondement. Conclusion Bien qu'il soit toujours facile d'être avisé après les événements, les signes avant-coureurs de DigitalBits / Zytara étaient là avant que l'Inter ne signe son accord avec la marque, soulignant une fois de plus l'importance pour tous les titulaires de droits de s'assurer qu'une diligence raisonnable complète est commandée à un fournisseur spécialisé avant de signer. Traduction alex_j via InsightX et The Mail on Sunday.
  7. En effet, si actuellement l’Inter cherche à trouver une solution qui limitera les dégâts pour tous, cela promet quoiqu’il arrive d’être sportif Révélation de Tuttosport "C’est une chose de retirer le nom DigitalBits du site officiel et des maillots des équipes de jeunes et féminines, suite au non-paiement de l’agence de cryptomonnaie. C’est en est une autre d’ôter le Main Sponsor des maillots de l’équipe premières à parti de la première journée de Serie A à Lecce: La Direction Nerazzurra traite avec les Manager de l’Agence, qui est en crise de liquidité, pour éviter de devoir en arriver à des interventions des plus drastiques." "Un autre point concerne une autre marque reprise sur les maillots des Nerazzurri, celle du sponsor technique Nike. Retirer l'inscription DigitalBits des maillots de Lukaku et de ses coéquipiers, a fortiori dans le cas d'un remplacement immédiat par un autre partenaire commercial ferait immédiatement perdre de la valeur aux dizaines de milliers de maillots déjà produits et, pour la plupart, déjà vendus, par la multinationale américaine avec DigitalBits sur la poitrine: Ce serait un problème considérable, d'autant plus au moment même où l’Inter est parvenu à trouver avec un accord de renouvellement avec Nike qui va courir de 2024 jusqu’en 2030 à hauteur d'une base fixe de 25 millions d’euros plus bonus, soit une partie fixe doublée, comparé à ce que Nike versait actuellement." "C'est pourquoi l’Inter cherche à éviter d'aller jusqu'à la mesure extrême face au non-paiement de DigitalBits. La tentative pourrait consister à concentrer tous les revenus convenus sur une seule saison, sur une base pluriannuelle, afin de conserver le nom sur les maillots jusqu'en juin prochain, puis de se séparer: Reste à savoir si DigitalBits dispose de la somme d'argent nécessaire, comme l'Inter l'a pensé, pour poursuivre ce plan." "Une autre variable est l'entrée d'un autre Main Sponsor, qui faciliterait le départ immédiat de DigitalBits, de sorte que l'impact des conséquences avec Nike serait également amorti: Il s’agit sans l’ombre d’un doute d’un saut dans le vide, suite à la décision au printemps 2021 d'abandonner Pirelli, en considérant les sommes versées par la multinationale milanaise trop bas, pour se tourner vers un secteur qui n’est pas toujours des plus fiable, comme celui représenté par les crypto-monnaies." L’Inter n’est pas la "seule victime" En effet, c’est une information en provenance de nos confrères de Fcinternews.it: "La problématique assez sérieuse qui entoure l’Inter et son Main Sponsor DigitalBits va bien au-delà des frontières Calcio et de la Botte. Des doutes subsistent sur les activités de la marque de crypto-monnaie et de sa société mère Zytara, ceux-ci avaient déjà été visé lorsque, il y a un an, le magazine en ligne InsightX a fourni à l'un de nos clients des informations dans un laps de temps raisonnable, sur la société : Le rapport a mis en évidence un certain nombre de problèmes majeurs de Zytara et de son fondateur, Al Burgio." "Les points d'interrogation portaient notamment sur l'éthique de la marque compte tenu de sa collaboration avec le chanteur et boxeur controversé Floyd Mayweather, sur la structure de gouvernance de la marque et sur les nombreux procès auxquels Burgio lui-même a dû faire face. Ainsi que des préoccupations concernant le nombre de sociétés de Burgio retirées des registres des sociétés pour non-conformité avec les lois de l'État et autres." "En 2020, notamment, une de ces sociétés, Fusechain Ltd, a été poursuivie par le gouvernement des îles Caïmans pour non-paiement du loyer de ses bureaux à George Town. En outre, trois sociétés associées à Zytara et constituées aux îles Caïmans avaient déjà été radiées par les régulateurs en 2019. D'autres sociétés entre le Nevada, la Californie et le Delaware lui ont été saisies entre 2005 et 2019. Au total, 11 sociétés associées à Burgio et Zytara ont été rayées, dont au moins deux ont été dissoutes ou déclarées insolvables pour non-paiement des impôts sur les sociétés. Enfin, en 2016, Burgio avait également été poursuivi pour rupture de contrat par un cabinet d'avocats qui l'avait représenté lorsqu'il a été poursuivi par une société de crédit hypothécaire en Californie pour des dettes impayées." Chaud…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Trouver un héritier digne d’un sponsor historique comme Pirelli n’est pas une mission facile, la marque étant devenu quasiment partie-intégrante du maillot Nerazzurro, suite à un partenariat qui a duré 25 ans, et qui était l’un des plus long de l’Histoire du football mondial Révélation de Calcio&Finanza "En 2016 déjà, Erick Thohir, le Président d’alors avec fait les comptes avec cette difficulté: Entre la tentative d'arnaque "Etihad", l'Inter s’étant retrouvée dans les filets d'un faux intermédiaire de la compagnie aérienne qui avait mis sur la table une fausse proposition de 25 millions d'euros, et le manque d'alternatives, c'est finalement le renouvellement avec Pirelli jusqu'en 2021 qui avait eu lieu, mais avec des chiffres de base revu à la baisse. Si le maximum perçu pour la saison 2020/2021 , s’est élevé à 24,9 millions d'euros, cette somme est due aux Bonus, avec une partie des revenus qui a glissé du budget 2019/20 à celui de 2020/21 étant donné la conclusion de la saison 2019/20 entre juillet et août en raison du Covid-19." "La volonté de l’Inter était de parvenir à augmenter ses recettes, et donc la base fixe, indépendamment des résultats sur le terrain. Le minimum fixé devait être d’au moins 30 millions d’euros, un diktat établi directement par le Président Steven Zhang, qui a d’ailleurs refusé une offre estimée à 25 millions d’euros en provenance d’Hisense. L’objectif était clair : Atteindre ou dépasser le palier des 30 millions d’euros." "Dans les faits, la réalité était bien différente, avec l’Inter qui remportait le Scudetto 2020/2021, en le célébrant avec Pirelli sur le maillot, des nouveautés auront eu lieu en revanche, mais en juillet 2021. A tel point que Nike avait été contraint et forcé de présenter et de distribuer des maillots Nerazzurro de la saison 2021/2022 sans aucun sponsor, certains sont encore disponible sur le site officiel : https://www.nike.com/it/t/maglia-da-calcio-dri-fit-inter-2021-22-stadium-da-terza-NlDQS1/DB5899-011 ." "Fin juillet, le 21, Socios est intronisé :Déjà Main Sponsor de Valence, la plateforme de crypto-monnaie dédiée au football a posé 16 millions d'euros plus des bonus, avec un contrat de quadriennal particulier: Il était déjà prévu, qu'à la fin de la première saison, que Socios ne serait plus le sponsor principal, mais resterait en tant que "Sponsor global des droits publicitaires pour un montant annuel de 1 million d'euros", dans un accord auquel s'ajoute toujours le "Partage des revenus générés par la vente et l'échange des Fan Token", peut-on lire dans les documents du club." "Un nouvel accord a été conclu avec Lenovo, qui, entre-temps, avait été annoncé comme nouveau "partenaire technologique mondial" et sponsor secondaire du maillot d'entraînement. Mais il aurait également pu devenir Main Sponsor si l'Inter l'avait demandé plus tôt, il aurait fait office de sponsor principal, aurait déclaré Lenovo au moment de l'accord avec les Socios, et avec des chiffres encore plus élevés que ceux qui ont été avancés." "L'autre particularité est qu'en septembre 2021, l'Inter a également annoncé l'accord avec Zytara, qui à travers la marque DigitalBits est devenu le nouveau sponsor de manche. En outre, DigitalBits est devenu la "Crypto-monnaie mondiale officielle" et Zytara le "Partenaire bancaire numérique mondial officiel" du club." La valeur de l'accord ? "Plus que Socios : 85 millions d'euros plus des bonus dans un contrat de quatre ans, dont 5 millions d'euros la première saison et le reste réparti sur les années suivantes. Sans surprise, en effet, dès janvier 2022, l'Inter a confirmé que DigitalBits deviendrait le nouveau Main Sponsor, en remplacement de Socios à partir du 1er juillet 2022." "Socios est donc parti en juin, DigitalBits étant prêt à prendre la relève. Dès les premiers jours de juillet, cependant, des rumeurs ont émergé sur les difficultés de la plateforme fondée par Al Burgio : le 12 juillet, un article de Tuttosport a fait la lumière sur des premiers problèmes, mais le club Nerazzurro avait tout balayé d’un revers : Ce même 12 juillet, l'Inter dévoilait d’ailleurs son nouveau maillot, sur lequel est représenté le logo DigitalBits, sans toutefois que le nouveau sponsor principal soit annoncé en tant que tel. Au contraire, dans le communiqué de presse de lancement du nouveau maillot, il n'y a que ce passage : "L'innovation est aussi une valeur qui caractérise les partenaires du nouveau maillot, DigitalBits et Lenovo". Aucun commentaire, aucune autre déclaration." "Ainsi, nous arrivons aux dernières nouvelles, relancées par Il Sole 24 Ore : De nouveaux retards dans les paiements et le choix de l'Inter de masquer le logo DigitalBits du site de la section partenaire, alors que la Roma, qui l’a toujours DigitalBits comme sponsor maillot, ne signale actuellement aucune difficulté dans les relations et les paiements." "L’ordre actuel est de limiter la communication et la visibilité possible à DigitalBits même si celui-ci ne peut pas être caché sur le maillot. Toutefois, dans les tableaux d'affichage sur les lignes de touche à la fois à l'entraînement et en match, et sur tout autre choses, celui-ci est peu à peu. La confirmation est venue des images de la séance d'entraînement commune avec Pro Sesto des Nerazzurri de Simone Inzaghi." "Alors que lors du test contre Novara il y a une semaine, le logo DigitalBits ressortait, lors du match d'hier contre Pro Sesto, il n'y avait que la mention Inter avec le logo du club. Alors que du côté de l'Inter, on ressent de la nervosité, il se dit que les parties travaillent pour résoudre le problème " (c'est-à-dire qu'on attend de voir si la marque pourra payer ce qui lui est dû), du côté de DigitalBits/Zytara, on se concentre sur les différentes annonces, des annonces qui auraient pu avoir lieu ce 29 juillet, mais dont rien n’a été émergé lors d'un événement sur les crypto-monnaies organisé par DigitalBits à Monte Carlo." "Ce 29 juillet, la publication d'un livre blanc sur la stratégie future de la plateforme était attendue, mais elle a été reportée car des "annonces importantes" sont attendues. Cependant, DigitalBits n'a pas encore pris de position officielle sur la situation de l'Inter. Dans le groupe officiel Telegram, chaque demande d'information était rétrogradée en FUD, un acronyme utilisé principalement dans les chats et les forums qui dérive de l'abréviation de "peur, incertitude et désinformation", en substance la circulation de fake news pour frapper la crypto-monnaie." "Cette première phase a également été suivie d'une phase de bannissement de tout message ayant pour sujet l’Inter. La seule explication donnée sur les indiscrétions par l'un des Administrateurs, dont le lien avec la plateforme n'est cependant pas clair, à savoir qu’il n’y a aucune certitude que l’utilisateur qui gère la chaîne le fasse au nom de la société ou d’ employé) est la suivante : "Zytara est toujours le principal sponsor global de l'Inter et DigitalBits est toujours présent sur le maillot. Nous ne nous exprimerons pas au nom de Zytara sur la manière dont elle gère les relations avec ses partenaires. "Nous ne tolérons en aucun cas le FUD. En outre, nous ne pouvons pas répondre à toutes les rumeurs qui surgissent". "Ces dernières semaines, DigitalBits avait répondu à certaines questions générales des utilisateurs. Par exemple, on y lit : "Quels sont les revenus actuels de DigitalBits/Zytara ? Et quelles sont les prévisions pour l'avenir ? DigitalBits est une blockchain, tandis que Zytara construit aujourd'hui une application bancaire mobile du futur: Les deux projets sont gérés indépendamment et ont des objectifs différents. Toutefois, lorsqu'il s'agit de créer des produits et des applications sur une blockchain, Zytara s'engage à utiliser DigitalBits. DigitalBits Blockchain est une couche 1 qui crée une valeur économique basée sur le volume des transactions et la liquidité globale verrouillée ou pariée au sein du protocole." "En termes simples, avec le lancement du jeton Mainnet, DigitalBits sera désormais entièrement accessible à l'ensemble de la communauté tout en étant une blockchain fonctionnelle depuis plus d'un an, ce qui permettra à un grand nombre de nos partenaires de l'écosystème d'utiliser le réseau. Cela se traduira par des transactions qui créeront des frais et des revenus de protocole, de la même manière que toutes les blockchains créent des revenus." Au sujet du parrainage, il est également indiqué : "Pouvez-vous nous donner une idée de la manière dont le projet sera financé ? La Fondation DigitalBits dispose-t-elle de fonds suffisants pour payer les engagements de parrainage et financer le développement de la blockchain ? La Fondation DigitalBits ne paie aucun parrainage, tous les parrainages sont financés par Zytara." "Il n’est donc clairement pas repris ni fait part des difficultés de la plateforme que sur le fait que l'accord est en fait conclu entre Inter et Zytara. Alors, que se passe-t-il ? Pour l'instant, on attend. Si DigitalBits ou Zytara parviennent à respecter ses engagements, la relation se poursuivra évidemment. Sinon, mais ce n'est qu'un dernier recours, il n'est pas exclu que le logo de la plateforme soit également retiré du maillot de jeu. Ce qui est certain, c'est que les retards de paiement n'aident pas Inter sur l'aspect même où elle a eu le plus de difficultés ces dernières saison : Donc le plan économique, à savoir celui des liquidités." L’avis de Marco Bellinazzo La question concernant les retards de paiement de DigitalBits est devenue un cas réel: "Un autre effet secondaire négatif de l'impasse de paiement est que l'Inter ne peut pas signer d'autres accords lucratifs, tels que ceux avec Sorare (carte) et Onefootball (Nft) signés par d'autres clubs par l'intermédiaire de la Lega ou directement". Cela vaut également pour la Roma, un autre club avec lequel DigitalBits a conclu un partenariat." Nous dirigeons-nous vers une scission historique ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Les recettes du semestre clôturé au 31 décembre 2021 relatif aux sponsorisations et aux droits-télés sont en baisse : C'est ce qui ressort du rapport au 31 décembre 2021 publié par Inter Media et Communication. Les recettes « ajustées» ont donc diminué de 72 millions d'euros (-35,6 %) pour atteindre 130,2 millions d'euros au 31 décembre 2021, contre 202,266 millions d'euros pour le trimestre clos au 31 décembre 2020. Sur une base "pro-forma", soit en ne tenant pas compte du décalage d'une partie des recettes de la saison 2019/20 dans le budget 2020/21, l'Inter a enregistré également une baisse de 33,9 millions d'euros (-20,7%) Dans le détail, les revenus des "droits TV directs" ont diminués de 3,5 millions d'euros (-44,1%) pour culminer à 4,4 millions d'euros. Les "droits TV indirects" (c'est-à-dire la Serie A et la Ligue des Champions) sont passés de 149,4 millions d'euros à 100,2 millions d'euros. L'Inter déclare attendre une perception d'un minimum de 72 millions d'euros en provenance de la Serie A pour la saison 2021/22 et 59,5 millions d'euros de l'UEFA, avec un potentiel de croissance en fonction du parcours du club en Ligue des Champions. Les recettes en provenance des sponsors sont passées de 52,2 à 30 millions d'euros (sur une base pro forma de 37,7 à 30 millions), principalement en raison de la diminution des revenus provenant des sponsorisations régionales. Les recettes en provenance des sponsors maillots, sur une base pro forma, ont augmenté de 5,2 à 12,3 millions grâce à l’arrivée des nouveaux sponsors que sont Socios.com, Zytara/DigitalBits et Lenovo, tandis que les recettes des "sponsors techniques", si l'on considère les chiffres pro-forma , étaient en adéquation avec l'année dernière à 6,3 millions d'euros. Enfin, les revenus des sponsorisation "UE/Global" se sont élevées à 6,8 millions d'euros, tandis que les revenus des accords régionaux sont passés de 18 millions d'euros au premier semestre 2020 à 4,6 millions d'euros au premier semestre 2021. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. C’est une information en provenance de Calcio&Finanza, DigitalBits sera le nouveau Main Sponsor de l’Inter à partir de la saison prochaine, la rumeur qui enflait ces derniers mois, a été confirmé par le Management Nerazzurro. Lors du roadshow du club avec les investisseurs, dans le cadre de l’émission de la nouvelle obligation de 415 millions d'euros, la Direction a confirmé qu'à partir de la saison prochaine, il y aura une nouvelle marque sur le maillot de Handanovic & Cie : Socios disparaîtra au profit de DigitalBits, déjà présent sur la manche gauche du club. Socios avait signé un accord avec l’Inter en qualité de Global Main Jersey Partner pour une somme à hauteur de 16 millions d’euros plus des bonus liés aux performances sportives et un accords sur base des revenus générés par les Fans Token. A dater de la saison prochaine et jusqu’à la saison 2024/2025, Socios restera présent, mais en qualité de Global Sponsor Advertising Rights à hauteur d’une somme annuelle équivalente à 1 million d’euros. Dans le cadre de cet accord le partage des revenus générés par la vente et l'échange des Fans Token est maintenu. A partir de la saison 2022/2023, nous retrouverons donc DigitalBits en Main Sponsor. Actuellement, la marque de DigitalBits est l’ "Official Global Cryptocurrency" tandis que Zytara est l' "Official Global Digital Banking Partner." L’accord convenu cours jusqu’au 30 juin 2025 pour un total de 85 millions d’euros plus des bonus liés aux performances sportives. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. En effet, l’objectif de l'Inter pour la saison est désormais clair : Décrocher sa seconde étoile. Une Étoile qui passera par la conquête d’un nouveau Scudetto. Championne d’Italie en titre, la Gazzetta confirme l’importance de confirmer une telle performance : "Un Scudetto apporte toujours des bonus de la part des sponsors : Les contrats conclu avec Socios et Zytara, actuels et futurs Main Sponsors permettront au club de récolter 104 millions d’euros jusqu’en 2025." "Mais un aspect des plus important réside dans la Marque Inter : Elle qui a reçu un premier polissage scintillement avec le retour en la Ligue des Champions. Selon les estimations de Brand Finance la Marque est ainsi passée de 151 millions d'euros en 2016 à 466 millions d'euros en 2020. Finalement, l'attrait de l'Inter semble être revenu à son niveau d'antan." "Ce n’est d’ailleurs pas une coïncidence si un tout nouveau sponsor comme Socios.com s’est rapproché de l’Inter en proposant un projet innovant: Lors de la Super Coupe d'Italie, le logo "$INTER Fan Token" sur le devant du maillot sera remplacé par le titre de lachanson préférée des Tifosi qui sera choisi via l'application Socios.com" Au moins celle-ci est évitée! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. D’un sponsor spécialisé en pneumatique à des sponsors numériques.....C'est un fait, l’Inter a dû se renouveler afin de pouvoir engranger de biens meilleures recettes que celles obtenues ces dernières années. Révélation de Calcio&Finanza Au 30 juin 2021, l’Inter a décidé de ne pas renouveler son accord de "Main Sponsor" avec Pirelli : Le contrat avec l’Azienda de Bicocca offrait une base fixe de 12 millions d’euros plus des bonus liés à des résultats particulièrement bons : A tel point que pour la saison 2018/2019, la qualification à la Ligue des Champions avait permis de toucher 19 millions d’euros. Le fait de ne pas avoir renouvelé cet accord a "libéré" bien plus d’espace sur le maillot : En effet, Pirelli disposait de l’exclusivité pour l’ensemble de la tenue, à tel point que l’on retrouvait comme rétro sponsor aussi sa marque Driver. Pirelli avait toutefois lâché du lest, uniquement en 2020, lorsque le club était à la recherche d’un sponsor "manche" (Remember IC Markets qui s’est terminé devant les tribunaux.) La recherche d’un nouveau sponsor pour le maillot n’a pas été une tâche aisée, la pandémie liée au Covid-19 s’additionnant aux requêtes importantes du club, requêtes qui ont été considérée comme exagérée par certaines entreprises telle que Hisense, selon les indiscrétions. A cela, il faut ajouter le départ du Directeur Commercial, l’ancien du Real Madrid Jaime Colas. Malgré tout, l’Inter a su aller de l’avant : A la fin du mois de juillet, l’Inter a tout de même dévoiler son nouveau sponsor maillot : La plateforme de Blockchain Socios.com: L’accord officiel prévoit un contrat annuel avec une option pour sa prolongation et une clause d’éviction en cas de meilleur offre. Socios verse 20 millions d’euros à l’Inter et est présent en qualité de Main Sponsor sur les différentes jeu de maillot avec le logo "Fan Token Inter" Dans le même temps, Lenovo, qui s’était aussi manifesté pour devenir le sponsor principal, a amplifié son partenariat avec l’Inter, en devant son nouveau rétro-sponsor pour une somme de 6 millions d’euros par saison. Enfin, jeudi dernier, le club a annoncé un accord quadriennal avec DigitalBits (qui devient le sponsor de manche) et Zytara qui devient l’Official Global Digital Banking Partner à hauteur de 85 millions d’euros, soit une moyenne de 21,25 millions d’euros par saison. Zytara remplace, de la sorte, le Crédit Agricole qui versait 1,7 millions d’euros, plus 400.000 de bonus, lors de la saison 2020/2021. Analyse D’une façon générale, les nouveaux accords ont permis à l’Inter de tripler ses recettes au niveau de la sponsorisation liée aux maillots, avec une croissance de +245%! Les accords non-renouvelés au 30 juin : Pirelli: 12 millions (plus bonus pouvant aller jusqu’au double : En 2018/2019, le club a perçu 19 millions d’euros en se qualifiant en Ligue des Champions) Crédit Agricole: 1,7 millions (400.000 euros de bonus entre la Ligue des Champions et le Scudetto 2020/2021) Soit un total de base de: 13,7 millions d’euros Les nouveaux accords : Socios: 20 millions d’euros Lenovo: 6 millions d’euros; Digitalbits: 6 millions d’euros Zytara: 15,25 millions d’euros (estimation moyenne) Soit un total de : 47,25 millions d’euros Au niveau national, la leader de ce marché reste la Juventus qui encaisse plus de 100 millions d’euros suite à ses accords signé avec Adidas, Jeep (la marque fait désormais partie de Stellantis, dont l'actionnaire majoritaire est Exor, la holding de la famille Agnelli-Elkann) et Cygames. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  13. Après l'annonce hier du nouveau partenariat entre l'Inter, DigitalBits et Zytara, qui fera entrer 21 millions par saison pendant quatre ans dans les caisses Nerazzurre, la Gazzetta dello Sport rentre un peu plus dans le détail : "Zytara développera l'application de l'Inter, sur laquelle il sera également possible d'effectuer des achats en utilisant la crypto-monnaie XDB, qui utilise à son tour la plateforme Digitalbits : Pour l'Italie, il s'agit d'une collaboration de grande importance, signe d'une nouvelle frontière vers laquelle le monde du football et du sport en général est en train de se diriger." Il s’agit également d’n processus de relooking complet, comme en témoignent les nouvelles armoiries, le nom Inter Milano et la croissance exponentielle dans le monde des médias sociaux : "Et très bientôt, une autre collaboration sera annoncée, celle avec la célèbre marque de vêtements Moncler". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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