PINZOLO - Esteban Cambiasso s’est exprimé à Inter Channel depuis Pinzolo, où se déroule la préparation estivale de l’Inter.
Internazionale.fr vous propose de découvrir ses propos:
"Je suis content, car il y a toujours de nouveaux stimuli. Le ritiro est peut-être la partie la plus difficile de la saison, mais nous l’affrontons avec beaucoup de volonté. Je l’avais souvent répété la saison dernière: une telle saison doit nous servir à comprendre les erreurs et à repartir. Il y a plus de colère lorsqu’on ne réussit pas à gagner. Bien sûr, ça aurait été beau de pouvoir continuer à le faire pendant 5,6, 30 ans, mais aucune équipe ne peut le faire. Ce que nous avons accompli était déjà d’un autre monde. Est-ce que nous n’avons pas apprécié ces victoires à leur juste valeur ? Oui, c’est vrai, mais c’est absolument normal, la vie quotidienne est ainsi. Tout le monde se rend compte de l’importance de ses proches lorsqu’ils viennent à manquer."
Il y a un an, l’Inter jouait la Supercoppa à Pékin, et cette saison, le premier engagement est programmé pour le 2 aôut: les tours préliminaires de l’Europa League. Cambiasso répond ainsi à Roberto Scarpini:
"La différence est minime, mais par rapport à la saison passée, il y a quelque chose de positif: le fait de pouvoir commencer la saison avec beaucoup moins d’absents. Il y a un an, il manquait tous les sud-américains, nous avons perdu la Supercoppa avec beaucoup de joueurs en moins, alors que maintenant à l’inverse, il y en a peu qui manque. En ce sens, le fait d’avoir eu moins de joueurs impliqués avec les équipes nationales a été positif."
Il parle ensuite de l’enthousiasme des tifosi qui sont toujours présents malgré une saison faite de hauts et de bas:
"Je ne sais pas qui aurait pu penser le contraire, peut-être quelqu’un qui ne connait pas l’Inter, car j’ai fait ma première pré-saion avec ce club il y a 8 ans lorsque l’équipe ne gagnait pas, mais les tifosi étaient avec nous et l’ont toujours été."
Sur le travail d’Andrea Stramaccioni, Cambiasso préfère ne pas s’exprimer:
"Je n’aime pas parler des entraîneurs. En ce moment, ça serait normal que je dise que son jeu me plaît et quelqu’un pourrait penser que je le fais pour être dans les bonnes grâces de l’entraîneur. La chose la plus importante est d’essayer de l’interpréter et de le faire au mieux."
De l’entraîneur au capitaine, et à propos du nouveau rôle d’Ivan Cordoba:
"Quand Zanetti arrêtera-t-il de jouer ? Nous avons la chance de disposer d’un joueur et d’un homme au-dessus de la normale, donc j’espère le plus tard possible. Cordoba n’est pas de l’autre côté, il est dans le même bateau, peu importe qu’il soit sur le terrain ou derrière un bureau. Ici, nous voyageons tous ensemble, ça fait plaisir de l’avoir encore avec nous car nous savons quel a été son rôle lorsqu’il jouait et ce qu’il pourra être maintenant."
Et dans ce contexte, si les buts arrivent...
"Peu importe s’ils viennent de moi ou pas, la chose la plus importante est de mettre le ballon sur la tête des attaquants, ce qui revient à dire que l’important est que le frigo soit dans la cuisine, les toilettes dans la salle de bain, bref que tout soit à sa place."
Enfin, sur Palacio et Silvestre:
"Je connais mieux Rodrigo car j’ai déjà joué avec lui avec l’Albiceleste. Matias, je le connais moins bien, mais il me semble qu’ils sont tous les deux entrés tout de suite dans la bonne perspective: la perscpective Inter."
Rédigé par stan78 & p-h08 (inter.it)
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