Juan Jesus s’est exprimé aux micro de Sky Sport 24. Il revient sur le début de l’année 2014 avec l’Inter et les dernières rencontres décevantes.
Internazionale.fr vous présente l’intégralité de leurs déclarations.
« Ça me déplaît beaucoup la façon dont nous avons recommencé l’année, nous avons gagné un derby très bien, même contre la Lazio nous avons bien joué, mais nous avons gâché trop d’occasions. Maintenant nous devons y croire, regarder match après match et regarder vers l’avant.
Nos résultats créent de la pression ? Nous jouons à l’Inter, il y a toujours de la pression et si la victoire n’arrive pas c’est encore pire.
La Juve fait toujours peur, surtout à domicile ? Nous savons que la Juve est forte et marque beaucoup, mais je crois que tant que le match sera toujours à 11 contre 11, nous devrons y croire sur chaque ballon.
Quelle est la bonne attitude ? Nous devons être conscient que la Juve va à mille à l’heure parce qu’ils sont comme ça, nous devons jouer comme nous l’avons fait à San Siro. Nous devons jouer au football et le faire tranquillement.
Au niveau personnel je dois encore apprendre parce que je suis jeune, je suis humble et j’écoute toujours l’entraineur qui en sait beaucoup plus que moi. Je ne suis pas encore satisfait parce que je dois faire mieux. »
Juan Jesus parle ensuite de son rapport avec Mazzarri : «Il a toujours cru en moi et ça me fait plaisir parce que c’est un bon entraîneur. Son aide me sert car elle m’encourage.
Si je veux envoyer un message à Hernanes ? Non non... C’est un bon garçon, si jamais il devait arriver ici je serais content.
Il ferait la différence ? Je le connais depuis qu’il joue au Brésil, il est très fort. »
Enfin on parle de la volonté de Juan Jesus de devenir un point fort de l’Inter : « Je suis ici et j’ai refusé beaucoup d’offres avant de venir ici parce je voulais cette équipe et je resterais tant que l’Inter me voudra.
Quelle Inter les gens verront à partir de maintenant ? Je peux dire que l’équipe doit toujours essayer de bien faire parce que si tu joues à l’Inter dans un moment difficile tu ne dois pas donner cent, mais tu dois donner mille ».
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