Le pouvoir économique de la Chine est désormais énorme. Il s’agit, en fait, de la deuxième économie mondiale après les États Unis. La Chine a décidé d'entrer dans le business du football mondial, lorsque ses hommes les plus riches ont compris qu'il faut investir su le sport le plus aimé de la planète. Le marché du football, en constant mouvement, est donc le lieu idéal pour faire bouger encore plus l’économie chinoise, toujours en train de chercher de nouvelles formes de renouvellement et de développement. C’est donc normal que la préparation de la Superleague chinoise, qui a commencé le 4 mars passé, soit un des mouvements les plus puissant du moment. Les énormes capitaux des propriétaires des équipes chinoises ont donné vie à un championnat avec plusieurs noms importants. Parmi eux il y a a Jackson Martínez, Alex Teixeira et Ezequiel Lavezzi, Guarin qui viennent d’arriver en Chine après le mercato de janvier.
Plus grandes acquisitions par Pays
Avec ses mouvements d’argent, le championnat chinois a été le premier du monde dans les dépenses, avec un chiffre global de plus de 300 millons d’euros, dont 50 pour l’achat de Texeira par le Jiangsu Juning et 47 pour l'acquisition de Jackson Martínez par le Guangzhou Evergrande. Il s’agit d’un chiffre énorme, car les clubs chinois ont dépensé beaucoup plus que leurs homologues français de la Ligue 1, avec 33 millions et les Belges de la Pro League, avec 18 millions. S’est donc pour cette raison que Erick Thohir, président de l’Inter, a décidé de chercher des partenaires dans les pays asiatiques. Indonésien, Thohir est désormais au commande de l’historique club italien depuis trois ans et a dépensé pas mal d’argent récemment pour renforcer l’équipe à disposition de Roberto Mancini. Mais, malgré ces efforts, l’Inter n’a pas encore la sécurité de pouvoir jouer la Champions League l’année prochaine et la quatrième place du classement ne lui donnera pas le prix de 20 millions d'euros prévu par l'UEFA pour la participation à la principale compétition européenne.
Identifier des partenaires potentiels futurs d'affaires en Asie
Selon les déclarations du journal italien ‘Il Corriere dello Sport’, le président de l’Inter a demandé à Goldman Sachs d’explorer la possibilité d'identifier de potentiels partenaires d'affaires futurs en Asie. C'est quelque chose de logique vu l'énorme croissance de l'investissement dans le sport et le football en particulier, en Asie et particulièrement en Chine. Le club poursuit ses stratégies commerciales et sportives. En même temps, Thohir travaille en étroite collaboration avec l'UEFA sur le respect des paramètres du fair-play financier. L'objectif reste le retour en Europe, de rivaliser au plus haut niveau.
Thohir est toujours très attentif au développement du marché asiatique, la future frontière du sport mondial et, surtout, du football. D’où les différentes tournées de l’Inter et autres clubs européens très connu en Asie.
Rédigé par Bwin.fr
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