Milan - "Nous avons perdu les deux premiers matchs, mais nous sommes sur la pente ascendante maintenant. Les joueurs me comprennent et nous avançons ensemble. Je suis ici car je pense que l’Inter peut redevenir celle qu’elle était. Je suis ici pour changer les choses. Penser à la troisième place me dérange quelque peu : l’an prochain, nous lutterons pour le championnat !" c’est ainsi que l’entraîneur de l’Inter a débuté une interview au quotidien Corriere Della Sera
Fin du grand froid entre Moratti et vous ?
"Mais non, aucun froid, j’étais parti après avoir gagné et Moratti avait continué à gagner. Nous avions pris du plaisir tous les deux. Chaque Noël, nous nous appelions pour nous souhaiter le meilleur. L’Inter a deux présidents : il m’appelle comme avant. Seul Paolo #Mantovani aimait les joueurs plus que lui"
Mais le vrai boss, c’est Thohir…
"Je ne l’ai vu qu’une seule fois, mais il m’a fait une très bonne impression. Les propriétaires des équipes anglaises sont plus proches des coachs que ceux italiens, mais c’est un détail"
Et votre famille, comment a-t-elle prise votre décision ?
"Mon père m’a dit : vas-y tout de suite ! Il avait peur que je ne finisse Dieu sait où… Et mon fils m’a recommandé plusieurs joueurs à acheter"
Votre première ou votre second début à l’Inter était le plus beau ?
"En 2004, j’étais jeune et être sur le banc de l’Inter n’était pas facile. A 50 ans, c’est différent. L’expérience à l’étranger m’a beaucoup appris"
Comment avez-vous pu gérer Balotelli tant à l’Inter qu’à ManchesterCity ?
"A l’Inter, il était encore jeune : il aurait fait n’importe quoi, même nettoyé les vestiaires. A City, pendant deux ans et demi, il s’est bien comporté. Mais avec Mario, rien n’est facile : ce qui entre dans une oreille ressort par l’autre. Mais je dois le remercier"
Cela vous déplaît que Mario soit le plus grand joueur implosé italien de l’histoire ?
"Beaucoup. Mario sortait avec mes fils et le fait qu’ils avaient plus ou moins le même âge m’a aidé pour mes relations avec lui. En tant que jeune, je lui souhaite le meilleur. C’est un bon, un qui fait les choses avec le cœur. Je crois qu’il donne son meilleur à #Liverpool.
Maintenant, cela dépend seulement de lui. Il est jeune, il peut se relever"
La tête ?
"eeeeeh…. Il doit la trouver. Après avoir quitté City, il a calé dans tous les compartiments du jeu. J’étais convaincu que le Milan allait l’aider, en fait, non… Je ne sais pas ce qui pourrait être son traitement de guérison, mais il est vrai que si vous l’entraînez, vous devez vous y reprendre à deux fois. Il risque de faire la même fin qu’Adriano s’il continue ainsi, pour d’autres motifs, mais la même fin"
Les feuilles d’indication sur le terrain, où avez-vous trouvez ça ?
"L’idée m’est venue à Galatasaray, en Turquie, où il y avait un problème de langue. Je parlais anglais et eux turc. Donc ces feuilles fonctionnent simplement et efficacement. Je continuerai à les utiliser"
Inter News
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