Président, comment avez-vous fêté la douxième victoire consécutive en championnat ?
Avec beaucoup de tranquillité parce que nous sommes à la moitié du chemin, un chemin que nous avons bien entamé.
En somme, après les trois coups de sifflet de l’arbitre, pas de champagne ?
Non, Non, à un moment j'ai pas pû me retenir de hurler.
Quand ?
Lorsque Ibrahimovic a marqué le deuxième but, je me suis pas retenu. C’était une situation particulière parce que 20 secondes avant nous avions subît l'égalisation et ce but a été important au niveau psychologique.
Beaucoup pensent qu’il a marqué un but à la Van Basten…
Difficile de comparer les footballeurs entre eux parce que chacun à ses caractéristiques, mais il n'a rien a envier à personne. Ibrahimovic n'est pas novice dans certains domaines : il nous a fait voir des choses comme personne ne les fait. Son but à Turin est éclatant et a confirmé qu'il possède une certaine classe, du tempérament et du caractère. De plus il a lancé un message précis aux adversaires.
Lequel ?
Il effraye ces adversaires et donne une assurance à son équipe. À moi, il me transmet la sensation qui puisse marquer quand il veut. Et vous verrez, 'il va encore s’améliorer.
À Turin, Adriano et Ibrahimovic ont marqué, l’Imperatore que vous avez toujours défendu. La renaissance du brésilien est-il une victoire personnelle ?
Non, j'ai cherché à l'aider pour lui permettre de revenir à son meilleur niveau (…). Il est un grand patrimoine de l'Inter et il a un potentiel considérable. Il me semble qu'il répond bien, mais il a une considérable marge d'amélioration parce que nous savons ce qu'il peut donner. Pour l'instant, cependant, nous nous contentons de ça : il me semble que spécialement durant les derniers jours, il progresse beaucoup et tous nous l'avons remarqué.
Est-ce l’Inter le plus fort qu’on n’est connu ?
Oui, il est plus fort. Nous ne l’avons pas construit cette année, mais durant les saisons précédentes, nous avons ajoutés quelques éléments au poste où l'on avait besoin. Une bonne partie du au mérite, et à Mancini qui a travaillé vraiment bien et qui a donné au groupe un jeu et une identité. Les noms des footballeurs sont importants, mais ce n’est pas tout : pour ceci je dis que notre entraîneur a été bon.
À propos de Mancini, à quel point êtes-vous concernant la prolongation de son contrat ?
(Rires) Sa prolongation est... impossible. Non, blagues à part, avec Mancini il y a dialogue simple, journalier, direct et très normal. Nous nous rencontrons souvent.
La derniére fois c'était vendredi, avant le départ de l'équipe pour Turin...
(Rires)" nous le faisons pour faire alimenter votre journal, Non, nous parlons de tout : du match suivant, de comment vont les joueurs, du futur.
La signature de la prolongation n'est pas encore arrivée et Mancini soutient le fait que ce n'est pas important, maintenant.
Des réserves sur la prolongation, nous n’en avons pas fixé ni moi ni lui. Nous devons seulement trouver le temps tous les deux et de s'asseoir pour nous comprendre, même si je crois que nous y sommes déjà arrivés.
Vous ne craignez pas que Chelsea soit à la recherche d'un nouvel entraîneur et puisse s’intéresser à Mancini.
Je ne crois pas. Ces choses dépendent de lui, mais je ne pense pas vraiment. Et je ne sais pas ensuite si Chelsea cherche vraiment un autre technicien.
L'Inter de Mancini et de Moratti peut-il ouvrir un cycle comme celui de Herrera et de son père? Est-il possible faire des parallèles?
Il s'agit d’un beau parallèle et je crois que comme celle de mon père même l’actuelle est une équipe qui a été construite avec le temps. Maintenant nous avons une base solide, un bon entraîneur comme Mancini et c’est nôtre intention de continuer ainsi, améliorer ce groupe avec des achats dans l’espoir de gagner cette année et même au delà.
Des remerciements à la Roma du fait du match nul contre Messina, 9 points d’avance sur les giallorossi. La marge est-elle rassurante ?
Nous gardons les pieds sur terre et nous allons pas nous enflammés. 2007 a été entamé de la meilleur des façon, mais la route est encore longue.
Quelle impression avez-vous fait en gagnant à Turin ?
Une excellente impression parce que j'ai vu une équipe sûre d’elle. Celle de samedi était une rencontre importante parce qu'à la reprise du championnat il y a toujours de l'inconnu et on ne sait jamais ce qui va se passer. Mon idée était que l'Inter devait être concentrer et sur le terrain ça a confirmé ces impressions. Les joueurs été déterminés et ça a été agréable les voir ainsi.
Nous finirons avec ça : que demande Moratti pour 2007 ?
Je suis content de l’année écoulé qui s’est bien déroulé. En 2007, j'espère continuer ainsi pour offrir des satisfactions à nos tifosi qui les méritent après ce qu’ils ont endurés. Nous voulons le Scudetto pour le mettre à côté de celui de l'an passé que cependant je ne retiens pas comme l'ayant gagner sur tapis vert, mais sur le terrain, contrairement à ce que quelqu'un dit.
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