Milan – En effet, être entraineur de football, qui plus dans le monde moderne est déjà un travail très compliqué. Et dans le Monde du ballon rond, une ville est plus dangereuse que les autres: Milan.
Bien que cette dernière présente de multiples beautés culturelles (Mode, Duomo,…) le quartier de San Siro regorge des traces du passé. Seule une personne a su quitter son poste d’entraineur sans faire l’objet d’un renvoi : Josè Mourinho
Etre entraineur de l’Inter ou de l’Ac Milan est déjà une lourde responsabilité, mais outre le talent, il faut avoir les reins plus que solide et se montrer prêt à traverser des Tsunamis. Si Mourinho est l’Elu depuis 2010, on peut remarquer que même Allegri, qui est à un pas de réaliser le Triplete avec la Juve, est passé à la trappe lors son passage à Milan. Certes, il aura remporté le dernier Scudetto de la ville, aux dépends de l’Inter, mais depuis lors, la salle des Scudettis, aussi bien pour l’Inter que pour le Milan, reste désespérément vide.
Erreurs de casting ?
Si à l’Inter, nous filons tout droit vers notre douzième entraineur après Mourinho, les Cugini ne sont pas en reste avec déjà cinq entraineurs en trois et demi (sous l’ère Berlusconi).
Au total, depuis juin 2010, le Meazza a vu défiler ses deux formations, qui font partie de la Légende du football européen avec pas moins de 10 Champion’s League (7 à Milan, 3 à l’Inter), sous l'autorité de seize entraineurs différents.
Est-ce réellement un problème d’entraineur, ou plus que jamais, la "Malédiction de Mourinho" perdure dans la ville de la mode… ?
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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