Samir Handanovic s'est livré suite à la contre-performance Nerazzurra face à Cagliari.
"Ces matchs doivent être tués. Aujourd’hui nous ne l’avons pas fait et nous nous sommes fait remonter au score, mais nous devons aller de l’avant. Lorsque tu ne réussi pas à gagner, tu as aussi bien de la rage que de amertume. En seconde période, nous avons calé un peu, nous ne parvenions plus à gérer le match."
"Aujourd’hui, l’adversaire à tout fait pour égaliser. Nous devons oublier ce match rapidement et nous préparer pour mercredi. Nous serons capable de faire ce que nous ne sommes pas parvenu à faire aujourd’hui."
Enragé et fatigué par ce partage ?
"Oui, nous sommes toujours enragés lorsque nous ne l’emportons pas, et nous sommes enragé par le fait de ne pas avoir profiter de nos occasions."
Un mot sur l’arbitrage ?
"Nous n’avons pas fait match nul par la faute de l’arbitre. Nous devons prendre cette responsabilité pour nous-même et ensuite pour d’autre choses. Ce sont des choses qui se comprennent. Il y avait de la nervosité, vous voulez tout donner. Mais ce n’est pas la faute de l’arbitre. Nous aurions dû tuer le match plus tôt. Nous avons eu les occasions, si nous avions marqué avant, nous n’aurions pas parlé de tout cela."
Que manque-t-il ? De la lucidité ? Être concret ?
"Il nous manque quelque chose certainement, mais ce n’est pas une excuse. Lorsque l’on arrive en fin de match, on perd de la lucidité, nous aurions dû l'emporter plus tôt. Nous avons eu des occasions, il y a eu des erreurs à ne pas commettre si nous voulons ambitionner quelque chose d’important."
Conte et l’équipe sont-ils préoccupés ?
"Nous ne sommes pas préoccupés parce que nous créons. Ensuite, tu as l’équipe qui est moins brillante, cela peut arriver, mais nous proposons du jeu toujours et dans une certaine quantité. Mais il manque ce petit plus, cette qualité en ce moment. Ce serait plus préoccupant de ne rien proposer et de mal jouer."
Y-avait-il trop de pression à être en tête au classement ?
"Non, aucune pression. L’Inter doit ambitionner des choses importantes et occuper les premières places. Il y a donc pas de pression qui entre en jeu."
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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