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L'Inter vu par les Barcelonais


Rifton

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Article super intéressant paru sur fcbarcelonaclan.com


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L'Inter est, depuis la chute du Milan AC et de la Juventus en 2006, l'équipe dominant la Série A. Cette suprématie nationale ne s'est jusqu'alors pas accompagnée d'un succès européen pourtant rêvé depuis longtemps par les supporters, lesquels doivent remonter à 1998 pour se remémorer le goût de la victoire, après le fameux match de Paris où leur équipe menée par un grand Ronaldo avait battu la Lazio trois buts à zéro en finale de la Coupe de l'UEFA. Pire encore, il faut aller jusque dans les années 60 pour retrouver les dernières victoires - qui étaient aussi les premières - dans la plus prestigieuses des compétitions européennes. Cet Inter là, entraîné par Herrera et emmenée par Mazzola, Facchetti, ou encore Suárez, était alors la meilleure équipe d'Europe et avait été sacré deux fois, en 1964 en 1965.

Plus de quarante ans après, le contexte semble bien différent. Pourtant, au cours de cette saison 2009-2010, les supporters ont à nouveau eu des raisons de croire. Croire en leur équipe, croire que le sacre européen n'est finalement pas trop grand pour leur club, croire que l'équipe mise en place par José Mourinho avait enfin les capacités pour aller jusqu'au bout. Et force est de constater que, jusqu'à fin février, ils avaient de bonnes raisons pour le penser.

Mais depuis, l'Inter peine en championnat. Après le nul concédé à Naples le 14 février, les nerazzurri n'ont remporté que trois matchs, pour six matchs nuls et deux défaites (face à la Roma et Catane), et un bilan total de onze matchs disputés, trois victoires, six nuls deux défaites, seulement 15 points sur 33 possibles, autant de buts marqués et 11 encaissés. La Roma en a alors profité pour revenir tel un boulet de canon jusqu'à la première place du championnat .

Est-ce que ces difficultés témoignent justement de la volonté de miser l'essentiel sur la Ligue des Champions, où est-ce qu'au contraire elles doivent inquiéter juste avant une confrontation qui doit les opposer à l'ogre barcelonais, tenant du titre (tenant de tous les titres, d'ailleurs...), et qui a retrouvé l'ensemble de ses capacités ?



La métamorphose de l'Inter
Javier Zanetti, capitaine dans l'âme. Mais âme de l'équipe ?


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L'Inter a-t-elle une identité de jeu, une carte de visite qui la distinguerait des autres équipes, comme l'Ajax, comme Barcelone, comme Arsenal ? Il paraît difficile de répondre oui. Comme il paraît encore plus difficile, sur ces dix dernières années, de faire ressortir de cette équipe un profil de jeu constant et singulier par rapport aux autres clubs. Il y a eu l'Inter de Lippi, l'Inter de Cúper, l'Inter de Zaccheroni, celui de Mancini, et aujourd'hui Mourinho. Pour autant de résultats différents sur le plan du jeu. Néanmoins, quelque chose a changé cette année, une mutation qui a fait de l'Inter, équipe déjà victorieuse en Série A avec les deux derniers entraîneurs cités, mais ô combien pauvre en ce qui concerne la qualité du jeu développé, une équipe plus séduisante. Nous pouvons nous demander si cette évolution peut être personnifiée, incarnée par un homme, si c'est le cas, citer le néerlandais Wesley Sneijder paraît être une bonne idée. Deux événements qui sont corrélés n'ont pas nécessairement un lien de causalité entre eux, toutefois il semble difficile de ne pas établir ce lien entre la venue de Sneijder et le jeu plus électrique de l'Inter. "Électrique", oui, c'est justement le mot qui devrait le mieux caractériser le néerlandais. Et désormais son équipe. Étrange, non ? Sneijder, c'est du talent dans les pieds, et dans la tête, une ambidextérité rare (il faudrait remonter à Verón ou à Zidane pour en retrouver une semblable), un jeu tourné vers l'avant, avec une verticalité qui se manifeste à la fois dans ses courses et dans ses passes, le tout sous une technique de très haut niveau. Sneijder, c'est un peu Iniesta qui aurait appris à faire des frappes.

À part cela ? Eh bien, il y a encore du talent dans toutes les lignes. On le sait désormais, Júlio César est l'un des meilleurs gardiens évoluant en Europe, et le meilleur portier de Série A la saison dernière. La défense centrale est l'un des points forts de l'équipe. Walter Samuel, meilleur au monde à la Roma, perdu au Real Madrid, a retrouvé un niveau de jeu important à l'Inter. Avec Lucio à ses côtés, auteur d'une excellente saison, Mourinho dispose enfin du défenseur central adroit techniquement dont il rêvait. Maicon n'est pas le meilleur arrière droit du monde seulement parce qu'il y a un autre joueur à Barcelone qui peut faire encore mieux (et encore, ce n'est pas l'avis du sélectionneur brésilien), sans cela il faut bien avouer que sa puissance, son adresse dans les centres, et sa capacité à faire le piston sur tout le couloir, en font un latéral d'exception qui pourrait prétendre à être le numéro un à ce poste, droite et gauche confondues. La gauche, justement, offre un constat moins précis. Chivu, central technique, peut occuper le poste. Santon également. Javier Zanetti, habitué du poste d'arrière droit avant l'arrivée de Maicon, a également pu être déplacé sur ce couloir, avec une réussite qui se comprend étant donné sa polyvalence. Mais le capitaine nerazzurro évolue également au milieu de terrain. Joueur de devoir, doté d'une régularité extraordinaire et d'une rare longévité, il peut jouer dans l'entre jeu, axe droit ou axe gauche, et proposer un rendement largement positif. Quand à son statut dans l'équipe, il est celui de l'emblème, de l'âme, et le brassard qu'il porte est difficilement contestable, même s'il est dû davantage à son parcours au sein du club, à sa longévité et à son exemplarité, qu'à ses talents d'aboyeur ou de meneur d'hommes, lesquels ne sont pas extraordinaires.

À ses côtés, évolue Cambiasso. Pour beaucoup de supporters, voire de fans de football en général, il est actuellement le meilleur à son poste dans le monde. Si cette idée est loin de plaire aux inconditionnels des Michael Essien, Yaya Touré, et autres Mascherano, elle n'est cependant pas si farfelue que cela. L'argentin, à la fois chien de garde, "harceleur" de métier, mais aussi technicien, relanceur, et occasionnellement buteur, dispose d'un répertoire très étendu et est indispensable au fonctionnement optimal de son équipe. À sa gauche, Thiago Motta, bien connu des barcelonais, évolue enfin dans une position qui lui permet de jouer son meilleur football. Bridé au poste de pivot axial à Barcelone, enterré à l'Atletico, de retour à son meilleur niveau à Gênes, et recruté par l'Inter, le Brésilien peut à ce poste exploiter toutes ses qualités techniques et physiques.

L'animation offensive tourne autour de deux schémas différents. Devant les trois milieux, Sneijder peut jouer l'électron libre derrière les deux attaquants. Mourinho n'a cependant pas complètement abandonné son éternel fantasme des deux ailiers, un projet qu'il avait mis au point à Chelsea avec Robben et Duff et qui a lamentablement échoué en Italie avec Mancini et Quaresma. Il est alors capable d'excentrer Samuel Eto'o vers la droite, d'aligner Pandev à gauche, et de laisser en pointe l'intouchable Diego Milito. Véritable canonnier de l'équipe, l'argentin réalise une excellente saison.

Les autres options ne manquent pas, avec l'irréprochable Stankovic, le puissant Muntari, ou le fantasque Balotelli. Globalement, l'Inter est donc une équipe qui a changé cette année, avec un voir deux nouveaux joueurs par ligne (Lucio - Sneijder et Motta - Diego Milito et Eto'o). Le jeu est plus rapide, les combinaisons plus nombreuses. La fluidité dans les actions arrive plus facilement, les joueurs semblent complémentaires. L'Inter 2009-2010, c'est la rencontre de la puissance et de la technique. Un constat seulement dithyrambique ? Non, il faut nuancer. D'une part, ce mariage entre le talent balle aux pieds et l'impact physique n'est pas constant. L'Inter n'a jamais réussi à rester à son meilleur niveau sur une série de plusieurs matchs. Le constat de l'équilibre est celui d'un maximum que peut actuellement atteindre l'équipe, et non d'un état permanent. Du reste, si on a une vision moins générale, plus actuelle des choses, il faut noter que le contexte de jeu n'est plus le même depuis plusieurs matchs, et les résultats en championnat non plus (voir supra).



Mourinho, un homme spécial
José Mourinho et son enthousiasme légendaire


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José Mourinho est, sur la scène mondiale du football, le plus "joueur" des entraîneurs. Et ce à deux titres. Le plus "joueur" en ce que sa présence médiatique est la plus proche de celles des joueurs, qui monopolisent le plus l'attention, devant leur coach. Mourinho échappe à ce constat et est autant la star que le sont les grands footballeurs. "Joueur", ensuite, parce qu'il aime provoquer, que ce soit au sens objectif du terme, ou d'une manière plus péjorative. Nombreuses sont ses déclarations polémiques (Ranieri s'en souvient...), ses petites piques, et ses remarques diablement ironiques. Le special one, en plus de monopoliser l'attention, monopolise la tension.

Une fois que l'on a dépassé toutes les explications bien connues sur ce comportement (il protège ses joueurs de l'attention médiatique, il est trop anticonformiste pour se soustraire à la bienséance correcte et aux protocoles habituels d'une conférence de presse, ou il se sent trop intelligent pour vouloir partager le même moule protocolaire que ses collègues entraîneurs, etc), nous pouvons nous interroger sur la nature du Monsieur. Il est un excellent entraîneur et il connait le football. Il a tout gagné avec une équipe qui, bien que très talentueuse, n'avait pas le même calibre que les grosses écuries européennes. Tout le monde se souvient du FC Porto des saisons 2002-2003 et surtout 2003-2004. Puis il a filé à l'anglaise et a de nouveau, avec l'aide des millions d'Abramovitch, réussi à mener une équipe victorieuse sur le plan national, et échouant de peu en Europe (but de Luis García ou pas ?). Si Chelsea est enfin arrivé à se hisser jusqu'en finale de la Ligue des Champions juste après son départ, n'était-ce pas lui qui avait fondé cette équipe (après avoir lui même bénéficié, il est vrai, du travail de Ranieri) ?

Aujourd'hui en Lombardie, Mourinho possède un bilan mitigé. La réussite en championnat, une réalité déjà effective sous l'ère Mancini, a perduré. Mais sur le plan du jeu, sa première saison a fait bien des mécontents. Les échecs des transferts de Quaresma et de Mancini ont empêché le Portugais de mettre au point son 4-3-3 déjà efficace à Chelsea, et l'ont condamné à réutiliser le système de son prédécesseur, avec trois milieux plus un quatrième axial devant eux. Un système amenant des résultats mais pas de jeu. Ou plutôt, un système qui, avec ces joueurs là, n'amenait pas de jeu, car il est évident (et même confirmé avec l'arrivée de Sneijder) que l'animation proposée par les joueurs détermine la qualité du jeu, indépendamment d'un schéma prédéterminé.

Ainsi, cette saison, Mourinho a réussi à mettre en place une équipe alliant les résultats à plus de qualité. Et la communication entre lui et ses hommes semble parfaite. Ils ont assimilé les fondamentaux insufflés par le portugais ; lequel les protège en dehors du terrain tout en ramenant l'Inter sur le devant de la scène, ne serait-ce que par sa présence toujours signe de concentration médiatique. Alors, Mourinho est-il surcoté, ses défenseurs confondent-ils la définition du meilleur entraîneur avec la définition de l'entraîneur le plus médiatique, c'est possible. Ou pas. Quoi qu'il en soit, il est plus que respecté par ses joueurs, plus que respecté par les autres entraîneurs, et en championnat il connait plus l'odeur de la première place que celle de l'échec, quel que soit le pays où il exerce.



L'Inter contre Barcelone : quelle opposition ?
À la fin, il ne pourra en rester qu'un.


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Barcelone contre l'Inter, c'est une opposition de styles. Si les deux équipes s'étaient rencontrées la saison dernière, c'eût déjà été une opposition de style : la maîtrise technique et territoriale de Barcelone, ajoutée à une redoutable efficacité offensive, contre la rigueur et la capacité d'asphyxier de l'Inter. Cette année, si un contraste existe toujours, il est d'une autre nature. Barcelone s'est calmé en ce qui concerne le jeu flamboyant et léché, mais continue de beaucoup marquer. Surtout, la "décisivité" est moins partagée que l'an passé, et plus concentrée autour des pieds de Lionel Messi, définitivement accepté comme le meilleur joueur de sa génération. Côté Inter, le jeu est donc plus électrique, les passes plus nombreuses, et, inversement, la "décisivité" monopolisée par Ibrahimovic a laissé place à une situation plus homogène, où Sneijder crée et assiste, principalement pour le buteur Diego Milito.

Il y aura forcément des matchs dans le match. Premièrement, un duel entre Guardiola et Mourinho. La classe et l'élégance de Pep face au franc parler et aux sarcasmes du Mou, une rencontre épicée qui ne manquera pas de faire des étincelles ; entre deux hommes qui se sont connus à Barcelone quand le premier était joueur et capitaine, et le second...traducteur. Il y avait déjà "match" d'entraîneurs en quarts de finale. Guardiola avait la jeunesse (et donc l'audace qui va avec), Wenger l'expérience. Mourinho a les deux. Un avantage certain mais, face à la réussite insolente de Guardiola depuis deux ans, le duel est loin d'être déséquilibré. En poules, les deux équipes s'étaient neutralisées à l'aller, mais Barcelone avait réussi une vraie démonstration au retour et s'était imposé. Nul doute que Guardiola signerait sans hésiter pour un tel scénario.

Deuxièmement, l'opposition entre Eto'o et Ibrahimovic. Bien entendu, ce n'est pas un duel direct sur le terrain, les deux joueurs évoluant en attaque, mais c'est en tout cas un affrontement symbolique. Aucun des deux n'avait pris le dessus lors des deux matchs du mini-championnat que constituaient les phases de poules. De manière plus globale, aucun des deux n'a pris l'avantage sur l'ensemble de la saison, et tout le monde, que ce soit les deux clubs ou les deux joueurs, semblent avoir perdu quelque chose. Barcelone a perdu une assurance buts et un joueur qui, s'il n'était plus aussi diabolique que lors de ses belles années d'avant blessures, connaissait le jeu de son équipe et ses coéquipiers. L'Inter a perdu un footballeur plein de fantaisie et d'inspiration. Ibrahimovic a perdu en efficacité, en magie, en rendement. Eto'o, pareillement, a perdu en nombre de buts et en niveau de jeu. Qui a gagné ? Les vendeurs de maillot, sûrement, mais à part cela...Quoi qu'il en soit, devant cette réalité, le double affrontement des demi-finales va sans doute permettre aux amateurs de comparaisons de tirer une vraie conclusion sur la portée de cet échange.

Ensuite, ce sera un duel de gardiens. De deux gardiens qui sont peut-être les meilleurs actuellement. Oui, Victor Valdés aussi. Une telle affirmation relevait de l'hérésie pour nombre de footeux tant le Catalan était sous-évalué avant cette saison. Aujourd'hui, il fait l'unanimité. Plus que n'importe qui en Espagne, peut-être plus que n'importe qui en Europe. Si même des supporters de Madrid le disent, c'est que cela signifie vraiment quelque chose, quand on sait que Victor Valdés était l'un des seuls motifs de diatribes de leur part quand le reste de l'équipe était incritiquable (ils devront désormais se contenter des talents d'acteur et de provocateur de Daniel Alvés pour trouver quelque chose à blâmer !). Júlio César, quant à lui, est l'un des meilleurs gardiens que le Brésil ait connu. Grand, très sûr, et décisif, il a pris la relève de Pagliuca, Frey, Peruzzi, et Toldo, dans une équipe qui a toujours eu d'excellents joueurs à ce poste.

Le duel des latéraux brésiliens sera l'autre opposition piquante des deux matchs. Daniel Alvés ou Maicon ? Maicon ou Daniel Alvés ? Chacun a sa préférence, la puissance et l'impact physique face à l'adresse et la vitesse, deux très bons passeurs décisifs, deux grands joueurs. S'agissant des duels plus directs, il faudra particulièrement porter attention sur le choix de Guardiola en ce qui concerne Sneijder. Sergio Busquets devrait se trouver dans sa zone, à moins que Guardiola - mais on peut en douter - change finalement sa ligne directrice de la saison pour relancer Yaya Touré, sans doute plus apte à gêner le néerlandais. La présence d'Ibrahimovic, pour le moment blessé, est souhaitable vu la domination physique des défenseurs interistes qui laisse peu de chances à Guardiola de tenter l'option Bojan Krkic. Mais c'est sûrement au milieu de terrain que l'affrontement sera le plus intéressant et équilibré. Mourinho sait à quel point il est dangereux de laisser Xavi libre de tout marquage, et il dispose des joueurs capables de le gêner. Sans tomber dans le fameux cliché "celui qui gagnera la bataille du milieu remportera le match" (parce que, non, pas forcément !), il faut avouer que, en tout cas, celui qui empêchera au milieu adverse de jouer les ballons comme il le souhaite, prendra une option sérieuse sur le contrôle du match.

Voilà quels sont les enjeux principaux de cette double rencontre. Un Inter qui a changé cette saison, qui joue mieux, mais qui depuis près de deux mois n'est plus dans son assiette en championnat, et qui a cependant éliminé l'un des prétendants au titre européen (Chelsea), rencontrera un Barcelone qui, au contraire, a été moins enthousiasmant que l'an passé, mais qui reste favori. Et qui, surtout, a retrouvé des couleurs depuis le changement tactique de Guardiola et l'explosion d'un Lionel Messi qui n'arrête pas de grimper vers les étoiles. Et la résurrection d'un Xavi qui est son assistant de luxe. Ces matchs promettent beaucoup d'étincelles et nul doute que cette affiche aurait constitué une finale alléchante. Entre une équipe qui s'est empiffrée de titres, et une autre qui au contraire est affamée, il est évident que les motivations ne seront pas de même nature. Pour l'une, il s'agira de continuer à marquer l'histoire en restant sur un sommet où il est plus difficile de survivre que de grimper, pour l'autre d'écrire une page qui est vierge depuis 45 ans.

Mais, ne nous trompons pas, si les interistes ont faim, s'ils ont montré parfois cette saison qu'ils pouvaient être redoutables, ils ressemblent plus à une équipe encore en train de grandir, qu'à un club déjà au sommet de ses possibilités. L'Inter n'est peut-être donc pas l'équipe de l'être, mais l'équipe du devenir. En espérant pour Barcelone qu'ils ne deviennent pas trop vite.


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Je l'ai lu hier, cela résume bien l'Inter cette saison et c'est parfaitement bien rédigé. Bien qu'il s'agit d'un supporter catalan qui l'a rédigé il reste objectif dans sa création. Sympas

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Invité Trinikola

Magnifique rédaction, il a vraiment bien ciblée l'Inter dans les moindres détails, il est correcte et juste.

 

Un grand bravo à leurs rédacteurs.

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Magnifique rédaction, il a vraiment bien ciblée l'Inter dans les moindres détails, il est correcte et juste.

 

Un grand bravo à leurs rédacteurs.

 

Un de leur principaux correcteur/rédacteur est un pote à moi que je connais bien, je lui transmettrai vos appréciations :P

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Magnifique article !!! :nikel:

 

Nan mais si un jour t'as la flemme de présenter l'Inter, tu lui files cet article et y'est tout bon lol

 

 

 

J'avoue la façon dont ils ont présenté le duel de LDC, on pourrait croire à une finale :D

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Carrément gladis32, j'aurais également trop voulu que ce soit l'affiche de la finale avec le même rituel que l'année dernière : le futur vainqueur contre le tenant du titre, sa aurait été parfait :P.

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